Prosus Info 47 franz

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A P.P.

8570 Weinfelden

Info47 Edition janvier 2012

Rubriques Workshops 11

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Une bonne qualité d’engraissement et la meilleure qualité des carcasses demandent des por3 celets de qualité De meilleurs porcelets pour de meilleurs résultats en engraissement

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PROSUS au pulse avec PROSIA® 7 et PROSIUS® Diminution de la consommation d’antibiotiques Etude pour évaluer les facteurs de risque des porcelets en début 8 d’engraissement Les Brachyspires en Suisse: état de la situation

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Nouvelle année

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Tier und Technik 2012

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42ème assemblée de la Coopérative PROSUS

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Impressum

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Nouvel an Das neue Jahr wir jetzt begrüssen oder müssen wir es wieder büssen. Das neue Jahr, es kommt mit Schwung die Tage sind ja auch noch jung. Das neue Jahr, es kommt mit Kraft es steht noch neu im vollen Saft. Das neue Jahr, lässt uns nicht ruh´n wir dürfen alle wieder etwas tun. Dans ce sens, le mieux pour 2012! Votre président Martin Egli martin.egli@kaeserei-studer.ch

2011 2011 2011 2011 2011 2012


Workshops 11 «Qualité = Assurance pour le futur» Auteur: Josef Schurtenberger, gérant, Coopérative PROSUS

La qualité est l’assurance du futur, c’était le fil rouge de nos Workshops 2011. Ce fil rouge n’a pas été choisi au hasard. Les entrepreneurs et les chefs d’exploitation, qui veulent faire résister aux aléas pénibles du marché, et durer sur le long terme, ne doivent aucunement commettre des erreurs en faisant des économies et en limitant la qualité. Il est en effet bien plus judicieux, dans ces situations de crise, de tout faire pour maîtriser encore mieux tous les leviers du mangement. Les thèmes choisis et les orateurs retenus ont attiré sur quatre soirées de très nombreux auditeurs. Nos deux interlocuteurs internes, Urs Aeschlimann et Reto Tobler se sont consacrés au thème de l’économie en élevage et en engraissement. Pourquoi ce thème? pour répondre aux questions: • «Est-il encore possible de gagner de l’argent avec la production porcine dans les conditions actuelles? Qui connait son revenu du travail?» • «Les éleveurs doivent diminuer leur production de 10% ! Qu’est-ce que cela signifie pour sa propre exploitation?» • «Je suis en premier lieu un producteur et je n’aime pas la bureaucratie. Qui me ressemble?» Sur la base de ces questions, ils commencèrent leur exposé en demandant aux producteurs de s’imaginer où ils voulaient se trouver dans 3, 5 ou 10 ans. Afin de répondre à ces questions posées ci-dessus, ces réflexions sont indétournables. Les réponses doivent permettre de définir la direction de l’exploitation. Pour simplifier le raisonnement, les orateurs ont choisi les deux voies possibles: continuer ou cesser la production porcine. Pour celui qui veut continuer dans la production porcine, il

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doit réfléchir à sa stratégie selon l’extension possible, la réduction de son atelier porcin ou alors l’optimisation de sa production. Afin d’effectuer cette analyse, plusieurs aides sont à disposition: les résultats de la comptabilité analytiques, l’étude des marges brutes, le rapport ART sur les exploitations, les analyses des coûts de production, les programmes de mise en valeur des résultats d’exploitation, le calcul de budgets et bien d’autres encore. Selon les résultats de ART, les différences entre le quartile supérieur (les 25% les plus élevés) et le quartile inférieur (les moins performants), sont impressionnantes. Alors que les marges brutes comparables sont de Fr. 1’722.– par truie pour les premiers, elles en sont que de Fr. 420.– pour les autres. Les comparaisons des chiffres aliments, achats d’animaux, vétérinaires et médicaments sont tout aussi intéressantes. Les exploitations des 25% inférieurs présentent des frais plus importants pour les aliments et les animaux achetés, alors que les 25% des exploitations avec les meilleures marges brutes comparables ont en général des frais plus élevés en moyenne pour le vétérinaire et les médicaments. ainsi que pour d’autres frais directs. Les différences les plus importantes entre ces deux quartiles restent cependant le fossé au niveau de la productivité, soit le nombre de porcelets vendus par tuie : alors que les premiers atteignent un rendement bruit de Fr. 3’856.–, l’autre quartile inférieur n’atteint que Fr. 2’572.–. Une fois de plus, il est donc évident que le facteur qui influence le plus le revenu annuel est le nombre de porcelets vendus par truie. En engraissement, les chiffres de ART présentent la même image pour l’année 2010. Les résultats par kilo d’engraisse-

ment sont en moyenne de Fr. 3.77 pour le quartile inférieure, tandis qu’il s’élève à Fr. 4.47 pour les meilleures exploitations. Les frais d’aliments se montent à Fr. 1.69 pour le groupe inférieur, alors qu’il n’est que de Fr. 1.44 pour les meilleurs. Il est aussi intéressant de constater que les exploitations les plus performantes (les meilleurs 25%) obtiennent environ Fr. 0,17 par kg d’engraissement pour les achats de porcelets. Les frais pour le vétérinaire ou les médicaments sont très semblables dans les deux groupes. Ceci montre donc qu’il est absolument primordial d’acheter les meilleurs porcelets. Les accroissements par jour d’engraissement ainsi que les indices de consommation sont les clés du succès et de rentabilité en engraissement. A l’aide du calcul des coûts de production PROSUS, les orateurs ont montré les variantes et incidences d’optimisation des coûts de production. Economiser des coûts dans leur globalité, en conservant le même volume de production, voire en le diminuant ! Simplifier ses processus de travail et ainsi diminuer sa propre charge de travail. Des exemples de calculs pertinents ont été présentés pour voir les incidences sur la production en l’augmentant ou en la stabilisant.


Dans leurs conclusions, les orateurs encouragèrent donc les chefs d‘exploitation à s’armer des outils d’évaluations qui leur paraissaient les plus adéquats pour leur exploitation afin de faire le bilan et de trouver la situation réelle de leur entreprise. Sur cette base, il faut alors définir les buts et la stratégie pour

les atteindre. Il est en effet notoire de remarquer que les performances dans les exploitations sont bien plus parlants et rentables que les coûts ! La Coopérative PROSUS dans son programme de services de conseils offre son soutien à tous les chefs d’exploitation dans leurs démarches, pour mieux se préparer

pour l’avenir. Avec ses programmes de marque PROSIUS® et PROSIA®, la Coopérative PROSUS fournit aussi des animaux qui présentent des avantages notoire de productivité. En finalité: «le succès est le résultat de ce que l’on fait, en attendant le succès».

Une bonne qualité d’engraissement et la meilleure qualité des carcasses demandent des porcelets de qualité

Auteur et orateur: Dr. Jörg Krapoth, gérant, farm concepts, Wahlstedt

Le but principal de PROSUS est de livrer des carcasses de porcs au meilleur prix et d’assurer ainsi aux agriculteurs le meilleur revenu. L’engraisseur, en bout de chaîne doit disposer, pour des performances d’engraissement et de carcasses des ressources optimales, et aussi de porcelets de qualité optimale. Génétiquement parlant, les porcelets d’engraissement doivent provenir d’une seule exploitation d’élevage disposant de truies de génétique homogène. Ces truies doivent donc idéalement être des hybrides de deux lignes, comme par exemple de marque PROSIA®. Les verrats géniteurs de ces porcelets doivent également être homogènes. Idéalement ces verrats sont des produits terminaux, fruits d’une sélection homogène sur de nombreuses années. De ces produits terminaux, seuls quelques spécimens devraient être utilisés par le commercialisateur comme pères de gorets de qualité : ce sont les porcelets PROSIUS®. Le statut sanitaire et la santé des gorets d’engraissement sont aussi de prime importance. Les provenances doivent être le moins nombreuses possibles (pas plus de trois, idéalement seulement d’une seule exploitation). Ces porcelets destinés à l’engraissement doivent posséder le même statut sanitaire et un programme conséquent de vaccination. De plus, les porcelets doivent avoir été élevés en post-sevrage en groupes, selon le système du tout dedans – tout dehors. Un management optimal du post-sevrage est décisif pour obtenir des porcelets de qualité. Un âge unique, un état de santé homogène (vaccinations) et 28 kilos à 70 jours de vie, sont les buts obligatoires pour tout éleveur. Pour cela il faut atteindre un poids homogène au sevrage se situant entre 8 et 8,5 kilos. Le porcelet à la vente est le produit final. C’est l’enseigne de PROSUS et de ses partenaires d‘élevage, tout comme pour les fournisseurs. Les critères de qualité de ces animaux sont déterminés par les clients, c›est-à-dire les engraisseurs. Ils doivent pouvoir être les juges pour PROSUS et leurs fournisseurs en porcelets. Une exploitation d’engraissement veut des groupes homogènes de même génétique, du même âge et possédant les mêmes résistances sanitaires. Une exploitation d’élevage avec 150 truies peut, avec un système à 3 semaines, assurer 240 porcelets d’engraissement par livraison, voire 400 porcelets en travaillant selon un rythme de 5 semaines. Il n’y a donc aucun problème pour pouvoir remplir des exploitations d’engraissement avec des postes de 200 ou 300 porcelets d’engraissement d’un seul coup en provenance d’une seule exploitation !

L’état idéal des relations éleveur – engraisseur: • Le moins possible de provenances par livraison. Le maximum est 3. Le nombre d’animaux livrés correspond à mes grandeurs de chambres. Mise en engraissement selon le système du tout dedans – tout dehors. • Les exploitations d’élevage disposent d’une génétique définie. Celle-ci est aussi modifiée (aussi pour les verrats terminaux) selon entente. Uniquement des partenariats à longs termes. • Les animaux sont tous du même âge (même semaine de naissance, pas de porcelets retardés dans les groupes suivants, et présentent un poids régulier entre 25 et 30 kilos. • Les statuts sanitaires des exploitations, y compris les programmes de vaccination, sont discutés et concordent entre eux, les vétérinaires se concertent dans leurs agissements. • Il n’y a jamais de maladie qui rentre dans une nouvelle exploitation !

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De meilleurs porcelets pour de meilleurs résultats en engraissement

Auteur et orateur: Manfred Pudlik, Dipl. Ing. Agr., Groupe d’entreprises Böhring, Schöppingen

les prix payés aux producteurs diminuent.» Source: Schweizer Landwirtschaft, Taschenstatistik, 2011, p. 25. En engraissement, les coûts pour l’achat des porcelets représentent environ les 45% des coûts totaux. Cette pression des engraisseurs se reporte sur les producteurs de porcelets. Les éleveurs de porcelets sont le dernier maillon de la chaîne. La seule solution pour lui est donc de diminuer les coûts par tête en augmentant ses performances, afin de rester concurrentiel, et aussi d’augmenter son revenu par la qualité pour assurer l’écoulement de ses porcelets. L’engraisseur travaille toujours plus par bandes, afin de diminuer les effets de dégression. Avec 3,5 séries par année, il ne peut se permettre d’avoir une rotation qui ne tourne pas. L’utilisation de porcelets de qualité PROSIUS® est une manière rentable de minimiser les risques. Définition selon la norme DIN EN ISO 8402 qui décrit la qualité: «... comme la globalité des propriétés et des caractéristiques à remplir en regard des propriétés et des attentes fixées ou attendues».

,5 –

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0,7

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1,1

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1,3

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classe de poids à la naissance, kg

44

28,4

27,0

25,4

24,3

23,5

,3 –

>1

En résumé, il faut donc tout mettre en œuvre pour obtenir une croissance continue. L’avantage d’une croissance journalière élevée se traduit en durées d’engraissement plus courtes, et ainsi plus de séries par année, ce qui conduit indubitablement à plus de rentabilité par place d‘engraissement. Une durée d’engraissement plus courte due à des gains journaliers plus

sevrage, kg fin d’élevage, kg

5,4

22,5 5,2

21,0 4,7

19,0 4,3

18,3 3,7

poids, kg

Avec l’achat et la consommation de denrées alimentaires, il n’y a en général pas d’images assimilées. A la différence des montres, des portables, des autos etc., les denrées alimentaires ne sont pas un signe visible du statut sociétal. La viande de porc n’est donc pas en général un article de marque, et elle est facilement remplaçable. «Un ménage suisse a dépensé en 2008 environ le 7% de son revenu brut pour les denrées alimentaires » : Source: Schweizer Landwirtschaft, Taschenstatistik, 2011, p. 8. Le consommateur achète ses denrées alimentaires selon les prix. Le principe appliqué sur le marché est donc la du précurseur des coûts. Les coûts de production augmentent –

30,0 28,0 26,0 24,0 22,0 20,0 18,0 16,0 14,0 12,0 10,0 8,0 6,0 4,0 2,0 0,0

Les clients sont un aspect important dans les discussions autour de la qualité. Ce sont eux qui fixent la règle et qui décident, si un produit ou un service a ou n’a pas la qualité désirée. Celui qui veut donc produire de la «qualité», doit répondre aux désirs de ses clients et la contrôler régulièrement. Les caractéristiques d’un porcelet d’engraissement sont : sain, bonne carcasse, bon indice de consommation, gain journalier élevé. La signification et l’importance d’une croissance précoce et rapide sont démontrées par différentes études: les porcelets avec un poids élevé à la naissance sont en général plus lourds lors du sevrage, présentent le meilleur poids avant leur commercialisation et sont les plus performants en engraissement.

2,1

6,6

Le marché de la viande de porc est soumis à certaines spécificités qui nous conduisent inéluctablement à se poser des questions autour de la qualité. En Europe, la viande de porc est en surproduction. Celle-ci doit être exportée dans des pays tiers. Le pouvoir d’achat dans ces pays tiers n’est cependant pas aussi élevé qu’en Europe, ce qui fait que les prix réalisés sont bien plus bas.

(n = 1179; seulement nichées de porcs jeunes)

,1

>2

Soure: BRÖRING, exploitation d’essais, 2009


élevés est aussi un avantage notable pour l’indice de consommation puisque les besoins en aliments pour ouvrir les besoins d’entretien diminuent sensiblement. Le sevrage et la commercialisation sont pour les porcelets synonymes de besoins plus élevés en énergie, appellent des activités corporelles plus intensives, entre autres par des combats de rang après les nouveaux groupements. Lorsque les besoins en énergie des porcelets ne sont pas couverts après le sevrage ou la mise en porcherie par les aliments, les porcelets réagissent par un raccourcissement des villis des intestins, ce qui prétérite ainsi à longs termes, la capacité d’assimilation des nutriments. Lors de l’installation de porcelets en engraissement, il faut leur mettre à disposition environ 10 à 15 kilos d’aliment de bienvenue, aliment fabriqué avec les meilleures matières premières, les mieux adaptées à l’alimentation des jeunes porcelets. La qualité des carcasses ainsi que les coûts alimentation influencent grandement la rentabilité de l’engraissement des porcs. Afin d’optimiser les apports d’aliment par kilo d’accroissement, les carcasses ne doivent pas engraisser, ce qui est facilement le cas lorsque les gains journaliers sont élevés. D’autre part, de hautes parts en viande maigre peuvent donc se traduire en période d‘engraissent plus longue, et signifie aussi plus de pertes. La rentabilité s’en fera ressentir. Quel niveau de production et quelle courbe d’alimentation sont optimaux? En 2008, cette question était le point de départ pour un essai comprenant 547 animaux dans la station d’essais de Köllitch. Les animaux avec des accroissements moyens à bons et présentant une bonne qualité de carcasses ont obtenu les meilleurs chiffres de renta-

stature en grammes

PMN en %

augment. début engraiss. (– 50ème jour

augment. fin d’engraiss. (–50ème jour

niedrig mittel hoch

niedrig 580g 670g 760g

mittel 650g 750g 820g

hoch 720g 800g 910g

augment. fin d’engraiss

augment. début engraiss

Essai:

niedrig mittel hoch

niedrig 58,4% 55,9% 55,2%

mittel 57,6% 57,3% 54,8%

hoch 56,7% 55.0% 53,9%

Variante

Erlös €/kg SG

Futterverwertung 1:

Gewinn/Platz, € (50€/Ferkel, 18€/dt Futter)

Gewinn/Platz, € (45€/Ferkel, 24€/dt Futter)

2/2

1,43

3,06

23,10

- 9,40

3/3

1,32

2,80

20,90

- 13,30

2/3

1,35

2,92

16,80

- 16,30

3/2

1,36

2,96

15,10

- 17,90

3/1

1,41

3,12

13,70

- 18,50

1/3

1,37

3,04

9,40

- 23,30

2/1

1,43

3,26

4,30

- 26,80

1/2

1,40

3,22

- 0,50

- 32,00

1/1

1,44

3,40

- 6,90

- 36,60

bilité, suivis des animaux avec des accroissements extrêmes en pré-engraissement et en finition, mais avec des taxations bien plus mauvaises. En termes d’indices de consommation, ces animaux étaient cependant supérieurs. Les animaux avec des accroissements plus bas en pré-engraissement et en finition ont obtenu les meilleures classifications, mais tombèrent, à cause de leur mauvais indice de consommation au dernier rang de la rentabilité. Cet essai a démontré aussi que les performances basses durant le pré-engraissement, compensées en finition, n‘atteignent pas une rentabilité optimale. Ce fait s’explique par le fait que l’accroissement en viande (donc en protéine) durant le pré-engraissement se compense chez les animaux en finition par une accumulation trop importante en graisse, ce qui a des incidences négatives sur leur classification. Avec une même génétique, les parts en viande maigre des animaux peuvent aussi être très différentes, à cause de l’alimentation. Durant leur phase de porcelet et en pré-engraissement, les animaux doivent recevoir une alimentation bien pourvue en protéines et en Acides Aminés, afin qu’ils puissent développer leurs muscles. Pour cela, bien sûr, l’apport énergétique doit être suffisant. En limitant leur accès à la nourriture, les animaux peuvent donc ainsi profiter ainsi de leur potentiel global en croissance et en formation de muscles. Ce qui a été gaspillé durant l’élevage des animaux ne se rattrape jamais. Les aliments porcelets et les aliments préengraissement doivent être riches en protéines, avec de hautes teneurs en Lysine, mais avec une teneur suffisante en énergie. Une alimentation de la plus haute valeur nutritionnelle se répercute toujours positivement chez l’engraisseur. En finition cependant, il faut absolument veiller à limiter les apports énergétiques, afin d’éviter trop de gras.

Source: MEYER, Köllitsch, 2008

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400

protéine graisse absorption du fourrage quotidien dans l’élevage

350 300

grammes par jour

250

2,5

2

200

1,5

150 100

1

50 0,5

0 20

40

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absorption en kilo du fourrage quotidien dans l’élevage

Point de départ quotidien dans l’élevage

100

poids de vie en kilos

par porc. Des pesages de contrôle sont absolument nécessaires. Des gains journaliers élevés sont liés à de grandes consommations journalières d’aliment, ce qui induit inéluctablement aussi des consommations en eau plus élevées. Afin de garantir cette forte consommation en eau de boisson, il faut donc en contrôler au moins une fois par année la qualité de l’eau (teneur en bactéries), et également le débit au niveau des animaux, mais aussi la hauteur des pipettes. De plus il est recommandé de contrôler les paramètres chimico-physiques de l’eau et de surveiller ainsi la solubilité des ions.

Résumé: Mis à part la santé des animaux elle-même, les conditions climatiques des chambres sont importantes pour que les animaux puissent présenter les meilleurs croîts en viande. Les maladies dans le cheptel coûtent souvent bien plus chers que ce que l’on peut imaginer, parce que souvent, en plus des coûts directs, de nombreuses pertes indirectes sont aussi à prendre en considération: Incidences directes d’une maladie dans un cheptel de porcs d’engraissement: • Diminution de rendement à cause des pertes d’animaux, ventes de porcs plus légers (chétifs et trop légers) et manques à gagner à cause des mauvaises carcasses (classification). Une maladie est gourmande en Acides Aminés, qui manquent ensuite pour garantir le meilleur développement en viande. • Des coûts d’alimentation plus élevés à cause de mauvais indices de consommation, ainsi que des besoins d’entretien à couvrir puisque les durées d’engraissement sont plus longues. • Plus de frais vétérinaires pour les examens, les soins et les médicaments Incidences indirectes sont à rechercher dans des durées plus longues d’engraissement, parce que les derniers du lot occupent les chambres plus longuement que leurs congénères: • Coûts en énergie plus élevés, puisque les animaux malades doivent avoir plus chaud • Plus de travail pour trier les animaux • Plus de travail d’observation et pour le traitement des animaux malades • Plus de déductions à cause de la grandeur des postes livrés • Les places sont bien moins bien utilisées. Lorsque toutes les mesures ont été prises pour travailler avec une bonne série, il ne faut pas tout gâcher en engraissant trop les animaux : à cause du masque des paiements des porcs gras, les animaux trop lourds sont sanctionnés par des déductions financières. De plus des animaux trop lourds consomment beaucoup plus d‘aliment en finition, ce qui fait augmenter les indices de consommation. Une péjoration de l’indice de consommation de 0,1 kilo se traduit par un surcoût de Fr. 4,95

6

Afin que les porcelets de qualité fournissent des performances à l’engraissement au top, il faut que les conditions de détention soient optimales : • Pour un bon départ sans problème en engraissement, avec une part de viande élevée, il est fortement recommandé de distribuer en début d’engraissement un aliment de bienvenue aux gorets achetés. Un pré-engraissement intensif avec un accroissement maximum en protéine forme la base de réussite pour des carcasses de qualité. • Plus l’ingestion est élevée, rsp. plus la génétique est orientée accroissement, plus il est judicieux de rationner les animaux en finition, avec des aliments économiques, voire de regrouper les animaux selon leur sexe pour obtenir les meilleurs résultats. • La santé des animaux en général et les qualités de l’eau influencent grandement les performances.


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Genossenschaft PROSUS Marktplatz 3, CH-8570 Weinfelden Tel. 071 626 23 50, Fax 071 626 23 69 postmaster@prosus.ch, www.prosus.ch

21% 20% 19% 18% 17% 16% 15% 14% 13% 12% 11% 10% 09% 08% 07% 06% 05% 04% 03% 02% 01% 00%

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Etude pour évaluer les facteurs de risque des porcelets en début d‘engraissement Diminution de la consommation d‘antibiotiques

ich r u Z e d té i s r e v i . n U med. vet

é par Dr. e porcine, ig ir d t s cin te Ce proje r, division méde faculté Zurich le e, Xaver Sid edizin, Vetsuiss em Schwein

Introduction

Facteurs d’influence

Actuellement la distribution d’antibiotiques par voie orale est très répandue en production porcine. Même si cette thérapie est en ce moment la plus efficace et la mieux tolérée, elle comporte des risques. Une estimation pas suffisamment précise du poids corporel ou de l’ingestion d’aliment peut conduire à un traitement sousdosé ou sur-dosé. Les problèmes à craindre sont une mauvaise réponse au traitement, la formation de bactéries résistantes ou une prolongation de la durée d’élimination des substances médicamenteuses et finalement des résidus dans les denrées alimentaires.

Le transport provoque un stress non négligeable pour l’animal. S’il s’effectue dans des véhicules mal conditionnés (propreté, température) ou sans respect de l’ordre de priorité au déchargement, ce premier pas à la sortie de l’exploitation d’élevage peut perturber notablement les défenses immunitaires. Le commerce représente aussi des risques. L’absence d’informations sur l’état de santé du cheptel, les problèmes à l’élevage, les traitements déjà effectués, les vaccinations et l’âge des bêtes est un handicap. Mélanger des animaux malades ou porteurs avec d’autres provenances peut provoquer le développement d’une infection. En porcherie d’engraissement le management, les conditions de logement, le climat et le statut immunitaire des animaux sont des facteurs importants pour une bonne santé du troupeau. Si les locaux sont mal nettoyés et mal désinfectés cela favorise la persistance des germes pathogènes, l’augmentation de la pression microbienne et finalement le déclenchement d’une infection. Des écuries trop froides affaiblissent les jeunes porcs qui dépensent trop d’énergie corporelle. Des grands boxes, des locaux surchargés, l’absence de boxes d’infirmerie, des porcheries tampon mal gérées sont autant de facteurs de stress qui devraient ètre évités.

La statistique 2008 de Swissmedic sur la distribution des antibiotiques indique une consommation importante en Suisse. Chez les animaux de rente plus de 75% des antibiotiques sont administrés par voie orale. En comparaison avec les pays de l’UE nous nous trouvons dans la moyenne; pourtant le consommateur s’apprête à remettre en question la consommation d’antibiotiques chez les animaux de rente. Ainsi certains pays européens fixent des objectifs cadres, baisse de 10% en un an pour le Danemark et baisse de 50% en trois ans pour la Hollande.

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Même si les vaccinations contre les lawsonias et les circovirus donnent de bons résultats cela ne signifie pas que leur protection soit suffisante. Le problème vient du fait que le producteur de porcelets supporte les frais et le travail supplémentaire sans profiter directement de l’avantage recherché. Les traitements prophylactiques lors de l’adaptation tentent de compenser, avec un succès relatif, la faiblesse du système immunitaire. Chaque entrée de personnes ou d’animaux représente un risque d’introduire une maladie dans la porcherie. Les véhicules, l’outillage, les insectes, les rongeurs sont aussi des vecteurs de germes qui peuvent être pathogènes. Dans notre étude les facteurs critiques cités ci-dessus seront observés et les paramètres qui influencent négativement la santé à l’engraissement, et qui pourraient nécessiter un traitement antibiotique, seront identifiés. Sur la base de nos résultats des points de repère seront fixés afin de réduire à terme la consommation d’antibiotiques sans pour autant mettre la santé des animaux en danger.


Structure du projet

Objectif

Dans le cadre de ce projet de recherche, des transports de porcelets seront choisis au hasard entre le 1er mars 2011 et le 21 décembre 2012. Les lots de porcelets seront suivis depuis leur chargement à l’élevage jusqu’à leur destination. Les transports seront effectués par différentes organisations de commercialisation et auront lieu pour moitié en été et pour moitié en hiver. Une de ces organisations de commercialisation qui participe dans ce projet est la Prosus. Puis, lors de trois vities successives, l’évolution sanitaire des mêmes porcheries d’engraissement sera observée et documentée. Les visites auront lieu deux semaines après l’arrivée, au milieu et à la fin de l’engraissement. Comme la santé des bêtes est directement liée à la provenance, une visite des élevages concernés permettra d’évaluer l’état sanitaire du moment et d’identifier les traitements et les mesures prophylactiques.

Le but de ce travail est de mettre en évidence certains points faibles de la production de porcs afin de maintenir et d’améliorer la santé des animaux. De cette façon l’usage d’antibiotiques en production animale devrait diminuer. Avec ce projet on ne contribue pas seulement à améliorer l’image de la production suisse de denrées alimentaires, on apporte aussi un plus par une amélioration de la rentabilité. Ce travail de recherche appliquée est financé par l’Office vétérinaire fédéral et appuyé par le SSP et Suisseporcs. Les exploitations qui participent à cette étude auront une chance de pouvoir gagner l’un des trois prix sponsorisés. Nous vous prions instamment de soutenir notre démarche et nous nous réjouissons déjà de la bonne collaboration.

med. vet. Stephanie Hartmann Abteilung für Schweinemedizin Vetsuisse Fakultät Zürich shartmann@vetclinics.uzh.ch tél. 044 635 90 74 med. vet. Annette Riklin Abteilung für Schweinemedizin Vetsuisse Fakultät Zürich ariklin@vetclinics.uzh.ch tél. 044 635 82 03

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Les Brachyspires en Suisse: état de la situation Auteures : Dr Judith Peter-Egli & Dr Yvonne Masserey, SSP

Durant ces derniers mois, de nombreuses publications ont été faites au sujet des dysenteries. Certaines informations sèment la confusion et les rumeurs concernant l’ampleur de la maladie en Suisse sont contradictoires. C’est pourquoi permettez-nous de relever certains faits : la dysenterie, une maladie de l’intestin, due à la bactérie Brachyspira Hyodysenteria se retrouve principalement chez les gorets au sevrage et les porcs d’engraissement. Les symptômes en sont une diarrhée glaireuse ou sanguinolente, mais peuvent être très variables, ce qui fait que le diagnostique peut facilement être faussé et confondu avec d’autres maladies de l’intestin comme la Lawsonia par exemple. La dysenterie est une maladie qui a déjà été décrite, à cause de sa répartition sur toute la terre, au début du siècle passé. On a considéré pendant très longtemps que cette maladie n’était pas présente en Suisse. Or un étudiant s’est penché sur le sujet il y a quelques années, ce qui a confirmé la présence de foyers de dysenterie à Brachyspires en Suisse.

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Rechercher les causes primaires L’introduction de la bactérie sur l’exploitation ne peut pas toujours être élucidée: souvent l’achat d’animaux infectés en est la cause. La dissémination précise et la présence confirmée de Brachyspires étaient très mal connues dans les exploitations jusqu’en 2010, puisque la présence de ces bactéries sur une exploitation ne conduit pas forcément à l’apparition de la maladie. Dans le cadre d’une dissertation à l’Université de Berne, une technique plus pointue d’analyses a pu être mise au point et il est maintenant possible, depuis fin 2010 début 2011 de tester toutes les exploitations de remonte SSP AR. Au moment de la prise d’échantillons, il n’y avait aucun soupçon de présence clinique de Brachyspires sur ces exploitations. Cependant la présence de Brachyspires Brachyspira Hyodysenteria (dysenterie) sur une exploitation de remonte AR a été découverte, sur 2 autres exploitations les résultats ont confirmé l présence de B. Pilosicoli qui sont une forme vraiment atténuée de la maladie de la dysenterie à Brachyspires. Toutes le mesures adéquates ont été prises sur l’exploitation présentant des B. Hyo pour éviter toute contamination et réduire la propagation de cette bactérie (vente uniquement aux clients qui avaient reçus des animaux dernièrement, médicamentation des animaux d’élevage, etc.). Les mesures prises correspondent aux standards actuels de traitement de cette maladie. Ces mesures sont aussi consignées sur les directives à appliquer de la fiche sur les Brachyspires, qui est entrée en vigueur à la fin avril 2011. Les exploitations de remonte AR qui sont infestées par les Brachyspires doivent assainir obligatoirement. Ces mesures sont planifiées en collaboration avec le SSP. La présence de Brachyspires peut aussi être détectée par la recherche des vecteurs pathogènes dans les excréments. Le problème de cette méthode réside dans le

fait que les animaux infestés ne rejettent pas continuellement des bactéries. C’est la raison pour laquelle il faut prendre souvent des échantillons en cas de soupçon pour déterminer avec suffisamment de sécurité la présence de ces bactéries. Les tests de dépistage en laboratoire sont très chers, c’est pourquoi il a été discuté au sein du SSP de renoncer à ces recherches de bactéries dans les exploitations d’engraissement. C’est pourquoi il est actuellement impossible de se faire une idée précise de la présence de ces Brachyspires en Suisse dans les exploitations d’engraissement. Afin de minimiser la propagation de cette maladie, les cheptels d’engraissement infestés doivent être annoncés et un échantillonnage de fèces doit être analysé pour procéder à une éventuelle médication. Toute prise d’échantillon dans une exploitation présentant des soupçons de présence de ces bactéries doit être décidée avec le SSP, afin de fixer le nombre d’échantillons et la prise de ces échantillons pour s’assurer d’un diagnostique sûr.


Que faire en cas de dysenterie?

Mesures de lutte et d‘assainissement

Quelle est la situation en Suisse?

La commission d’experts du SSP a décidé cette année que toutes les exploitations de remonte AR doivent faire l’objet d’une surveillance et prise d’échantillon minimale. De plus un statut AR B.Hyo et A B. Hyo a été créé, pour les exploitations qui sont infestées. Ce statut est soumis à des conditions spéciales: par exemple les livraisons de ces exploitations ne peuvent se faire que dans les exploitations qui ont reçu des animaux de cette exploitation durant les 12 derniers mois. Le but est de limiter la propagation de la dysenterie dans de nouvelles exploitations et d’assainir les exploitations connues dans les meilleurs délais.

Les mesures de lutte et d’assainissement contre la dysenterie sont très onéreuses et souvent compliquées. Selon la structure de l’exploitation et la disposition des installations, l’exploitation est assainie partiellement. Le SSP soutient efficacement les exploitations concernées pour la planification. Pour la lutte, rsp. l’assainissement partiel, il est nécessaire d’utiliser une thérapie avec des antibiotiques prescrits à haute dose durant plusieurs semaines. Auparavant, il faut cependant toujours procéder à un antibiogramme, car l’agent pathogène est capable de réagir rapidement et de développer des résistances.

Jusqu’à ce jour, deux assainissements partiels ont été réalisés officiellement dans notre pays. L’une des exploitations est une porcherie d’engraissement dans laquelle la clinique porcine de Berne, en collaboration avec le SSP, ont déjà fait un assainissement total réussi quelques années auparavant, mais qui restait suspecte jusqu’à ce pour les Brachyspires. L’autre exploitation est la porcherie citée ci-dessus, élevage AR, où la clinique porcine de Zürich (pour un travail de master et dissertation), en collaboration avec le SSP a effectué un assainissement partiel (ou roulant). Puisque cet assainissement s’est terminé dernièrement, il y a encore trop peu de recul pour juger de l’efficacité à longs termes de cette procédure.

L’agent pathogène survit très bien dans le purin, depuis où il peut à nouveau se propager rapidement dans les chambres par l’intermédiaire des mouches ou autres rongeurs. Les canaux des porcheries doivent être vidés complètement et désinfectés très minutieusement avec un produit adéquat. Une lutte conséquente contre les mouches, insectes et autres rongeur font partie de la stratégie de lutte contre les Brachyspires. Dans tous les cas, il y a lieu d’appliquer toutes les règles d’hygiènes sur les exploitations, et surtout d’équiper les visiteurs avec des survêtements propres à l’exploitation, ainsi que des bottes, afin d’éviter toute contamination.

D’autres assainissements sont en planification ou sont en cours d’exécution. En tirant tous à la même corde, il est possible de tenir en respect cette maladie sur notre territoire helvétique. Pour cela, il faut que les producteurs, et aussi les commercialisateurs, le SSP et les vétérinaires concernés, agissent rapidement, et surtout annoncent leur suspicion dès les premiers symptômes de dysenterie sur une exploitation.

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Nouvelle année Chers Coopérateurs, Fournisseurs et Clients, Madame, Monsieur, L’année 2011 appartient déjà à l’histoire. Cependant, nous aimerions y retourner un bref moment pour nous rappeler les nombreux contacts intéressants que nous avons eu avec vous. Nous vous remercions de votre bonne collaboration, de votre fidélité et de votre confiance envers notre team. Renforcé par votre confiance, nous avons commencé, très motivés, la nouvelle année. Notre but pour 2012 est, coopérateurs et fournisseurs, de vous offrir des prestations nombreuses. Notre engagement pour vous est marqué par le motif «Nous disons ce que nous faisons et faisons ce que nous disons». Il inclut la transparence, pas de marges cachées, un grand engagement et une grande qualité, transparence des goûts et pas de directives concernant le fourrage. Nous nous réjouissons d’une fructueuse collaboration pour 2012 et, nous vous remercions d’avance de votre confiance. Nous vous souhaitons ainsi qu’à vos familles, bonne santé, bonheur à la maison comme à l’exploitation.

Coopérative PROSUS Direction et team

Mutation dans le team PROSUS Le 31 octobre 201, Mirjam Schilling a terminé ses travaux après environ 7 années dans la coopérative PROSUS. Elle était engagée à temps partiel dans la gestion de commande et au secrétariat. Ses traits caractéristiques étaient sa fiabilité et son calme. Nous la remercions beaucoup de son travail précieux. Nous lui souhaitons le mieux, bonne santé et beaucoup de joie de vie dans sa reconversion professionnelle ainsi que dans sa vie privée.

12ème Tier & Technik à St. Gall

23 au 26 février 2012

La 12ème exposition Tier & Technik à St. Gall aura lieu du 23 au 26 février 2012. A nouveau, nous y serons présents avec un stand PROSUS. Nous vous invitions à nous rendre visite. Profitez de l’occasion pour s’entretenir personnellement de sujets brûlants. Nous nous réjouissons de vous accueillir sur notre stand no 52 dans la halle 2.1 de l’OLMA à St. Gall.

42ème assemblée de la Coopérative PROSUS 11 avril 2012 Mercredi, 11 avril 2012 aura lieu la 42ème assemblée ordinaire de la Coopérative PROSUS au Restaurant Gasthof Ochsen à Lupfig AG. Nous vous prions de bien noter cette date dans vos agendas et de réserver cette journée. L’invitation et les documents usuels vous seront adressés suffisamment tôt. Faites-vous plaisir, soyez des nôtres !

Impressum: édition/parution:: team de rédaction: éditeur: édité par: e-mail: Auflage:

janvier 2012, trimestrielle, sauf édition spéciale Susanne Schellenberg et Josef Schurtenberger werbeschmid.ch, Egon Schmid, Bächlitrotte Dietingen, 8524 Uesslingen Coopérative PROSUS, Marktplatz 3, 8570 Weinfelden, téléphone 071 626 23 50, fax 071 626 23 69, net www.prosus.ch j.schurtenberger@prosus.ch et s.schellenberg@prosus.ch 1‘300 exemplaires en allemand, 120 exemplaires en français Envoyez-nous vos commentaires, votre critique, vos propositions, vos tomates ou bien vos lauriers par courrier ou par mail; merci beaucoup.

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