DÉCEMBRE 2009 – février 2010 JIM CARREY, GORDON DOUGLAS, PEDRO COSTA, LAUREL ET HARDY, ANDRZEJ WAJDA, M. BALLHAUS
programme
Programme DÉCEMBRE 2009 – février 2010
ÉVÉNEMENT EXCEPTIONNEL EN DÉCEMBRE LE CINÉMA EN 3D !
Disponibles en librairie les éditions de la Cinémathèque française
restaurant restaurant Une nouvelle carte pour une nouvelle saison... des etcarte des desserts renouvelés chaque semaine ! Uneentrées nouvelle pour une nouvelle saison...
Lanterne magique et film peint Catalogue, 336 p., 45 € Coédition avec les éditions de la Martinière
Passion Cinéma, collections de la Cinémathèque française et du CNC Catalogue, 68 p., 9 € Coédition avec Beaux Arts Magazine Editions
Jacques Tati, deux temps, trois mouvements Catalogue, 300 p., 45 € Avec les éditions naïve
L’œuvre de Georges Méliès Catalogue, 360 p., 49 € Coédition avec les éditions de la Martinière
Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood Catalogue, 192 p., 45 € Coédition avec Skira-Flammarion
Caméras, Lanternes magiques, La Peur au cinéma, Grand / Petit, Le Chat de cinéma, Amoureux. de 14 à 18 €, Coédition avec Actes Sud junior
Sacha Guitry, une vie d’artiste Catalogue, 288 p., 45 € Coédition avec Gallimard
Etienne-Jules, Marey Actes du colloque du centenaire 202 p. + DVD (400 films) 40 € chronophotographiques, Coédition avec Arcadia Editions, la Sémia et le Musée d’Orsay
L’Image d’après, le cinéma dans l’imaginaire de la photographie Catalogue, 280 p., 34.90 €, Coédition avec Magnum Steidl
Le cinéma expressionniste, de Caligari à Tim Burton 230 p., 16 € Coédition avec les PUR
Le cinéma expressionniste allemand, splendeurs d’une collection Catalogue, 240 p., 39 € Coédition avec les Editions de La Martinière
Histoire de la Cinémathèque française, par Laurent Mannoni 512 p., 42 € Editions Gallimard
des entrées et des desserts renouvelés chaque semaine ! Une carte des vins qui mêle vins classiques, vins naturels et petit clin d’œil aucarte 7èmedes art,vins les qui vinsmêle des cinéastes, Coppola, Trintignant Une vins classiques, vins naturels et! petit clin d’œil au 7ème art, les vins des cinéastes, Coppola, Trintignant ! Le 51 ouvert tous les jours de 10H à 23H, sauf les lundis, fermeture à 17H
Le 51etouvert tous les jours à 23H, les mardis, fermeture toutede la 10H journée. sauf les lundis, fermeture à 17H et les mardis, fermeture toute la journée.
: www.restaurant51.com Mail : www.restaurant51.com
51Mail rue de Bercy – 75012 Paris - Téléphone : 01 58 51 10 91
Accès Métro Bercy lignes 14 et 6 Station de Vélib 12026 Accès Métro Bercy lignes 14 et 6 Station de Vélib 12026
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51 rue de Bercy – 75012 Paris - Téléphone : 01 58 51 10 91
Sommaire
3 éditorial
4 expositions, rétrospectives et hommages
6 lanterne magique et film peint Exposition temporaire 9 lanterne magique et film peint Spectacles de lanterne / Conférences / Films 14 tutto fellini ! (2 E PARTIE) : LES HERITIERS DES VITELLONI Rétrospective 20 LAUREL ET HARDY Rétrospective / Conférence 33 LE CINEMA EN 3D Rétrospective / Journée d’études 41 GORDON DOUGLAS Rétrospective 52 PEDRO COSTA Rétrospective / Dialogue 58 JIM CARREY Rétrospective 66 ANDRZEJ WAJDA Rétrospective / Leçon de cinéma 75 MICHAEL BALLHAUS Hommage / Leçon de cinéma Programmations régulières
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Index des films projetés remerciements musée de la cinémathèque informations pratiques ABONNEZ-VOUS À LA Cinémathèque !
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Histoire permanente du cinéma SÈANCES DU DIMANCHE MATIN Voir ou revoir le cinéma contemporain séances jeune public activités pédagogiques cinéma d'avant garde courts métrages L’art du court métrage / Fenêtre sur le court métrage contemporain séances spéciales Rencontres Henri Langlois / Ecole Louis Lumière histoire inattendue du cinéma français la Cinémathèque DE LA DANSE ciné-club jean-douchet cinéma bis
ÉDITORIAL
par Serge Toubiana, Directeur général
À quelques jours d’intervalle, Jim Carrey et Andrzej Wajda seront les invités de la Cinémathèque. Peut-on imaginer un si grand écart, entre le représentant du burlesque américain le plus farfelu et le plus déjanté, et un cinéaste comme Wajda, hanté par l’Histoire du XXe siècle et auteur d’une œuvre si colossale qu’il nous a semblé important de la revisiter ? C’est pourtant le pari que nous faisons, pimenté d’autres ingrédients qui dessinent le contour d’une programmation audacieuse. Le 3D revient en force, Hollywood en a décidé ainsi. Ce « genre » a déjà derrière lui une longue histoire, technique et esthétique. En décembre la Cinémathèque se mettra à l’heure du 3D en projetant une trentaine de films conçus et fabriqués pour figurer le monde en trois dimensions. Hitchcock, Jack Arnold et beaucoup d’autres se sont amusés à figurer l’espace dans sa dimension de cube, avec les effets de stupeur que l’on sait. Préparez vos lunettes ! Fellini, suite et fin. Sergio Toffetti nous propose une programmation de films italiens sous « influence » des Vitelloni. Ces personnages désœuvrés, paresseux et qui passent leur vie à ne rien faire, ne les retrouve-t-on pas dans maints films de la comédie italienne réalisés par Monicelli, Bolognini, Risi et d’autres encore ? L’hypothèse est alléchante et nous aurons plaisir à la suivre. Laurel et Hardy, pour le fun. Ce génial duo burlesque mérite d’être reconsidéré, films à l’appui, pour s’aventurer à dire deux ou trois choses sur la pulsion, le désir, la destruction joyeuse des décors et la déconstruction des images. Leur délire régressif a quelque chose de réjouissant, mais aussi de troublant. Cette rétrospective permettra d’en relever toute la saveur. Gordon Douglas était à l’aise dans tous les genres, nous dit Jean-François Rauger, particulièrement le film noir et le western. On sait moins que sa carrière couvrit une aussi longue période – il débuta avec Hal Roach, producteur des Laurel et Hardy -, jusqu’aux années soixante où il dirigea Frank Sinatra dans des films noirs. Cette rétrospective permettra de suivre une trajectoire curieuse et peu connue. Andrzej Wajda était venu présenter Katyn il y a quelques mois. Nous lui avions proposé de revenir, cette fois à l’occasion d’une rétrospective de son œuvre qui est imposante, à la fois par la quantité de films, et par les sujets et le brassage du Temps. Nous aurons le plaisir de l’accueillir en février 2010. Michael Ballhaus est un grand directeur de la photographie, qui a commencé au tout début des années soixante-dix avec Fassbinder. Sa trajectoire artistique est dense, elle l’a mené en Amérique où il a éclairé plusieurs films de Scorsese, Mike Nichols, Coppola et d’autres. Nous aurons plaisir à l’accueillir et à le faire parler de la lumière. Enfin, Jim Carrey. Sa vie et son œuvre. Comment présenter un tel phénomène ? Il a tout bousculé, réinventant le burlesque en mettant à mal la société du spectacle (dans le génial Man on The Moon de Milos Forman). Jim Carrey incarne le cinéma dans sa plasticité physique et son élasticité même. Bienvenue, Mister Carrey !
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La Femme en ciment, Gordon douglas
RÉTROSPECTIVES ET HOMMAGES p.52
PEDRO COSTA 11 – 24 janvier 2010 Cinéaste portugais, il dirige son premier long métrage en 1989, Le Sang. La plupart de ses films, sélectionnés dans les plus grands festivals internationaux, montrent le quotidien des marginaux et des immigrés des quartiers populaires de Lisbonne.
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Laurel et Hardy 09 décembre 2009 – 11 janvier 2010 Le tandem le plus célèbre de l’histoire du cinéma burlesque américain. Ils ont inventé un burlesque particulier, un goût pour les gags « à combustion lente », une subtile chorégraphie arithmétique.
p.58
JIM CARREY 01 – 14 février 2010 C’est le plus grand acteur burlesque actuel. Ses mimiques, la plasticité de ses expressions, ses imitations sont le symptôme génial d’une transformation du monde et de la société en pur spectacle, où l’infantilisation se mêle à une certaine obscénité.
p.33
Le cinéma en 3D 16 décembre 2009 – 03 janvier 2010 Une sélection de films et de programmes en 3D de toutes origines de tous genres et de toutes époques, de L’Etrange Créature du lac noir à Meurtres à la Saint Valentin en passant par Le crime était presque parfait d’Alfred Hitchcock.
p.66
ANDRZEJ WAJDA(1erE partie) 08 février – 01 mars 2010 Il incarne le renouveau du cinéma polonais entamé dans les années 1950. L’Histoire parfois tragique de la Pologne et ses soubresauts politiques alimentent, ouvertement ou métaphoriquement, une œuvre ample.
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Gordon Douglas 06 janvier – 08 février 2010 Cinéaste prolifique, il est le modèle du réalisateur hollywoodien à la longue carrière (des années 30 à la fin des années 70). Il s’est adapté aux modes, témoignant souvent d’un art très sûr et efficace de la mise en scène, visible dans ses films noirs et ses westerns.
p.75
Michael Ballhaus 17 – 28 février 2010 Débutant à Munich dans les années 1970, il devient le directeur de la photographie de Rainer Werner Fassbinder, avant d’être appelé à Hollywood où il travaillera aux cotés de Martin Scorsese, Mike Nichols, Francis Ford Coppola (Dracula).
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Tutto Fellini ! (2e partie) Les héritiers des Vitelloni 02 –18 décembre 2009 Le succès des Vitelloni de Fellini a engendré un certain nombre de films reprenant le même type de situations et surtout de personnages, dans le cinéma italien de la fin des années 1950 et le début des années 1960.
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p.14
Exposition TEMPORAIRE 14 octobre 2009 — 28 mars 2010 PROGRAMMATION FILMS spectacles et CONFÉRENCES
Lanterne magique ET FILM PEINT QUATRE cents ans DE CINÉMA
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Exposition en coproduction avec LE MUZEO NAZIONALE DEL CINEMA TORINO
Réalisé grâce au mécénat de NEUFLIZE OBC, GRAND MéCèNE DE LA CINEMATHEQUE FRANCAISE, EDF
En partenariat avec Le Figaroscope A Nous Paris ARTE Evene.fr Le Journal des Arts Dada
La Fnac Fonds régional d’art contemporain Ilede-France
commissariat production Laurent Mannoni et de l'exposition Donata Pesenti Campagnoni Christine Drouin et Béatrice Abonyi scénographie Massimo Quendolo Artiste majeur de la scène expérimentale new-yorkaise, Ken Jacobs est l’auteur de nombreux films, notamment Tom Tom the Piper’s Son, exploration d’un film de 1905 ; et du pamphlet sur la politique américaine d’après guerre, Star Spangled to Death. Parallèlement à ses films, Ken Jacobs a créé un nombre important de performances sous la bannière de ce qu’il nomme « The Nervous System ». Cellesci mettent la projection au cœur de leur dispositif. Ken Jacobs invente ses propres instruments de projection qu’il manipule durant la performance. Il crée ainsi des effets rythmiques, de profondeur ou de relief inédits. Ses performances remettent en cause les perceptions habituelles du temps, de l’espace et de l’image, elles désorientent et bouleversent le spectateur. Ken Jacobs présente en préambule de sa perfomance, un film en 3D réalisé à partir d’images de l’un des pionniers du cinéma,
Sam 16 janvier 20h00 Salle HL « Au plus profond de la plus Grande Dépression » : Nervous Magic Lantern Performance par Ken Jacobs avec des plaques abstraites de son invention.
Dim 14 février 15h00 Salle HL Spectacle de lanternes magiques. A préciser ultérieurement.
Pour tous les spectacles: Tarif plein 10 € / Tarif Réduit 8 € moins de18ans 5 € Forfait atout prix et Cinétudiant 7 € Libre pass Accès libre : réservation
Dim 13 décembre 15h00 Salle GF « Philidor et les lanternes magiques » Un spectacle pour le Jeune public (voir page 36)
Rappel : séance du vendredi 15 janvier du Cinéma d’avant-garde, en présence de Ken Jacobs (voir page101)
Poursuite du cycle de conférences à l’occasion de l’exposition « Lanterne magique et film peint. 400 ans de cinéma ».
En partenariat avec la CST, La fémis, le CDHDTE du CNAM et les universités Paris I, Paris III, Paris VII et Paris X.
Arnaldo Ginna et Bruno Corra, Georges Méliès, Lon Chaney, Werner Graeff, Dwinell Grant, Len Lye, Maurice Lemaître, Carmen D’Avino, José Antonio Sistiaga, Stan Brakhage, Frédérique Devaux, Jürgen Reble, Carl Brown, Jeff Scher, Cécile Fontaine, David Matarasso, Yves-Marie Mahé, Jérôme François, Henri Foucault… quelques-uns des noms attachés à la grande tradition expérimentale du film peint, qui s’inscrit dans l’histoire encore à établir des techniques de création cinématographique sans caméra, déjà relayée par les technologies numériques. Ponctuée de projections, alimentée par les artistes pluri-disciplinaires José Antonio Sistiaga et Hugo Verlinde, cette conférence s’attachera à retracer les initiatives pratiques et propositions formelles en matière de films peints et de cinéma sans caméra.
Ven 04 décembre 14h30 Salle GF CONFÉRENCE-PROJECTION DE NICOLE BRENEZ En présence de José Antonio Sistiaga et Hugo Verlinde. « Films peints / Films sans caméra / Techniques expérimentales de l’argentique au numérique »
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
La Cinémathèque française a créé un « Conservatoire des techniques » pour collecter et préserver les traces technologiques du 7e art, pour rassembler les témoignages et les archives des techniciens, pour sauver la mémoire des industries du cinéma. Il poursuit, entre autres objectifs, celui d’enseigner l’histoire technique du cinéma, en organisant une fois par mois une conférence assurée par les meilleurs spécialistes.
LES CONFÉRENCES DU CONSERVATOIRE Louis Aimé Augustin Le Prince (18421890) : Gift of Fire. Nineteen Obscure Frames That Changed The World.
SPECTACLES DE LANTERNES MAGIQUES
visites guidées, le samedi et le dimanche, 16h00 ateliers, stages autour de l’exposition voir page 98
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
La lanterne magique est un appareil d’optique apparu en 1659 aux Pays-Bas. Son inventeur est probablement l’astronome hollandais Christiaan Huygens. Nommée aussi « lanterne de peur », elle permet la projection, sur un écran blanc, à l’intérieur d’une salle obscure, d’images fixes ou animées. Celles-ci sont peintes sur des plaques de verre généralement de forme rectangulaire. Il faut une grande dextérité pour réaliser les figures, car la lanterne amplifie les vues qui peuvent atteindre une taille gigantesque. Il faut aussi une source lumineuse puissante, que l’on place à l’intérieur de la lanterne, et un objectif composé de plusieurs lentilles. Les premières plaques projetées en 1659 sont déjà mécanisées : deux verres superposés, mus par des mécanismes, permettent de faire bouger l’image (celle d’un squelette, inspiré de La Danse de mort d’Holbein). C’est la première fois dans l’histoire que l’on parvient non seulement à projeter une image, mais aussi à l’animer. L’explosion d’images hallucinantes qui suit immédiatement, proches parfois de Jérôme Bosch, sera désignée dès le XVIIe siècle comme un « art trompeur » préfigurant « l’art magique » d’André Breton. C’est le début d’une longue aventure qui mènera au spectacle cinématographique et au dessin animé moderne. Voyagez au cœur de l’imagerie lanterniste en dix étapes qui vous permettront de connaître la grande variété des sujets et des mécanismes d’animation : (vie quotidienne, voyages, contes et légendes, religions et ésotérisme, sciences et enseignement, arts et spectacles, érotisme (interdit aux enfants !), le monde à l’envers, fantômes, abstraction). Ne manquez pas le Théâtre optique d’Emile Reynaud avec ses merveilleuses « pantomimes lumineuses » ; la salle de fantasmagorie, qui restitue le spectacle de Robertson à l’extrême fin du XVIIIe siècle ; la lanterne magique où vous pourrez vous-même passer des plaques fixes et animées ; et l’installation de l’artiste Anthony McCall, qui explore le principe même de la projection lumineuse.
Lanterne magique et film peint parlons cinéma
L’exposition révèle les richesses des deux plus belles collections mondiales de plaques de verre pour lanterne magique peintes à la main entre 1659 et les années 1920, celles de la Cinémathèque française (17 000 images) et du Museo Nazionale del Cinema de Turin (6000 images).
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LANTERNE MAGIQUE ET FILM PEINT 400 ANS DE CINEMA
Jérôme Prieur a beaucoup écrit sous l’inspiration de l’image avec, entre
Tout en hauteur, à plusieurs mètres du sol, presque dans les airs, repose un catafalque de pierre. Sur la corniche, quatre têtes de morts et deux angelots escortent le défunt comme pour une dernière messe noire. Au détour du Père-Lachaise, se dresse le mausolée d’Étienne-Gaspard Robertson né à Liège le 15 juin 1763 et mort aux Batignolles le 2 juillet 1837. Physicien renommé en son temps et jusqu’à Saint-Pétersbourg pour ses ascensions aérostatiques et les séances de fantasmagories qu’il donnait à la fin du Directoire, au couvent des Capucines, Robertson avait inventé l’art de la nuit, la projection lumineuse, le cinématographe.
Ven 05 février 14h30 Salle GF CONFÉRENCE DE JÉRÔME PRIEUR avec une introduction de Laurent Mannoni « Robertson, le fantasmagore »
Ven 08 janvier 14h30 Salle GF CONFÉRENCE DE JACQUES MALTHÊTE « Technique du film peint aux débuts du cinéma » La mise en couleurs des premières bandes cinématographiques a d’abord été réalisée à la main, image par image, à l’aide d’un simple pinceau jusqu’en 1903-1904, puis au moyen de pochoirs. Les coloris appliqués sur l’image positive étaient les fameuses « couleurs d’aniline », obtenues selon des procédés industriels mis au point dans la seconde moitié du XIXe siècle. Les bandes positives pouvaient également être virées ou teintées. Au-delà de contraintes économiques raisonnablement identifiables, la logique selon laquelle s’opérait le choix des coloris, comme celui du procédé de mise en couleurs, n’est toutefois pas toujours facile à saisir. Tentative d’élucidation.
autres, Séance de lanterne magique (Gallimard) et Le Spectateur nocturne (Cahiers du cinéma). Cinéaste, ses films documentaires s’intéressent à la littérature, à l’histoire, à l’archéologie, et notamment aux débuts du christianisme. 16h30: Jérôme Prieur signera ses livres à la librairie de la Cinémathèque.
Versions française et anglaise www.cinematheque.fr/zooms/reynaud
Un développement multimédia coproduit par le Museo Nazionale del Cinema de Turin.
EN LIGNE Zoom sur le Théâtre optique d’Emile Reynaud Mise en lumière de ce génial créateur ainsi que son Théâtre optique. Au sommaire, un texte de Laurent Mannoni (co-commissaire de l’exposition de la Cinémathèque, « Lanterne magique et film peint »), des animations 3D, des photographies, des archives, un entretien inédit avec l’historien du cinéma Dominique Willoughby, des extraits de films rares et réanimés pour la première fois…
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
Jacques Malthête a été directeur de recherche au CNRS. Il est l'auteur de nombreuses contributions sur les débuts du cinéma et, en particulier, sur Georges Méliès dont il est l'un des descendants.
Une coédition Cinémathèque française / Actes Sud Junior 54 pages 15 x 21 cm, 14 €. Dès 6 ans. Dans la collection « Atelier cinéma » : pour apprendre, dès le plus jeune âge, à regarder le cinéma autrement Nicole Brenez enseigne à Paris 1. Elle est la programmatrice des séances de cinéma expérimental de la Cinémathèque française depuis 1996.
Direction éditoriale : Donata Pesenti Campagnoni (Museo Nazionale del Cinema de Turin) et Laurent Mannoni (Cinémathèque française) Avec un avant-propos de Francis Ford Coppola et un texte introductif de David Robinson HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
Une coédition Cinémathèque française / Les éditions de La Martinière Catalogue de 336 pages, 22 x 28 cm, plus de 500 illustrations 45 €
Lanterne magique et film peint parlons cinéma
le catalogue de l'exposition
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En librairie
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FRANCE INTER LA DIFFÉRENCE franceinter.com Dim 17 janvier 14h30 Salle HL Séance Couleur (60’) Présentée par Camille Blot-Wellens La couleur a presque toujours existé au cinéma, héritage ou continuation de l’art photographique et des lanternes magiques. Grâce à son épouse, Julienne Mathieu, un temps coloriste de films pour Méliès et Pathé, Segundo de Chomón a étudié et toujours cherché à perfectionner
Segundo de Chomón, ou le « Méliès espagnol » comme on l’a si souvent appelé, a très rapidement expérimenté l’art des trucs. Dès 1902 avec Choque de trenes (film aujourd’hui perdu) et ce jusqu’à sa disparition en 1929… Tout au long de sa vie il ne cessera jamais de se réinventer, recherchant de nouveaux effets et construisant de nouveaux appareils… Son ingéniosité et imagination sans limites peuvent aujourd’hui être appréciées dans ce programme, composé des meilleures copies conservées dans les archives européennes.
Dim 07 février 14h30 Salle HL Séance « Un autre Chomón » (60’) Présentée par Camille Blot-Wellens Si Segundo de Chomón est surtout connu (et reconnu) pour son art des trucages et ses films coloriés, il a aussi réalisé des films documentaires et a été le directeur de photographie des grands réalisateurs de l’époque, en France ou à l’étranger… Après avoir présenté le parcours de cette figure atypique du cinéma des premiers temps, nous proposons un programme qui permette de découvrir un Chomón plus méconnu, sans autant être moins talentueux… La plupart des copies de ce programme provient de cinémathèques européennes.
7 Till 5 (Canada/1933/10’/vidéo) Love on the Wing (Canada/1939/5’30’’/ vidéo) Alouette (Canada/1944/3’/vidéo) Dollar Dance (Canada/1943/5’30’’/vidéo) Là-haut sur ces montagnes (1945/3’37’’/
Programme 3 Dim 10 janvier 14h30 Salle HL
Camera Makes Whoopee (Canada/1935/15’) Mail Early (Canada/1941/2’) Mail Early for Christmas (Canada/1959/0’40’’) Five for Four (Canada/1942/4’) C’est l’aviron (Canada/1944/3’) A Little Phantasy on a 19th-century Painting (Canada/1947/3’37’’) Etoiles et bandes (Canada/1949/2’53’’) Fiddle-de-dee (Canada/1947/3’22’’) A Phantasy (Canada/1952/7’15’’) New York Lightboard Record (Canada/1961/8’) Sphères (Canada/1969/7’28’’) L’Écran d’épingles (Canada/1973/38’44’’)
Programme 2 Dim 13 décembre 14h00 Salle HL
Séances NORMAN MCLAREN l’art de la couleur (et du coloriage) au cinéma, couleur qui joue souvent un rôle essentiel dans ses réalisations… Cependant les copies coloriées sont assez rares (car beaucoup plus chères à l’époque et donc moins répandues) et ce programme a pu être possible grâce à la participation de nombreuses archives européennes.
Short and Suite (Canada/1959/4’27’’) Short and Suite (Canada/1940/9’) Two Bagatelles (Canada/1953/2’22’’) V for Victory (Canada/1941/2’) Le Mouvement image par image (en 5 parties) (Canada/1976-78/42’) Pas de deux (Canada/1967/13’22’’/35mm) Ballet Adagio (Canada/1971/10’/35mm) Around Is Around (Canada/195051/19’/35mm/relief) sous réserve Now Is the Time (Canada/195051/3’/35mm/relief) sous réserve
Programme 4 Dim 21 février 14h30 Salle HL
vidéo) Hoppity Pop (Canada/1949/2’28’vidéo) Boogie-Doodle (Canada/1951/3’23’’/vidéo) Regards sur le Canada n°16 (Canada/1954/30’/vidéo) Serenal (Canada/1959/4’) Lignes horizontales (Canada/1961/5’58’’/ vidéo) Lignes verticales (Canada/1962/5’50’’/ vidéo) Boucles (Canada/1952/3’15’’/35mm) Synchromie (Canada/1971/7’27’’/35mm)
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
Dim 06 décembre 14h30 Salle HL Séance Trucs (60’) Présentée par Camille Blot-Wellens, directrice des collections films à la Cinémathèque française.
Laurent Delmas et Christine Masson HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
vendredi 17h
Lanterne magique les films Segundo de Chomón / Norman McLaren
ON AURA TOUT VU
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RF-C. Abramowitz
CINÉMA
tutto fellini! LES HÉRITIERS DES VITELLONI Courrier International, De l’air, Critikat.com, La Tribune, Evene.fr, Le Figaro, FIP, CRT Ile de France, FNAC, De Cecco.
Mes chers amis, Mario Monicelli
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En partenariat avec le Jeu de Paume, l’Institut Culturel Italien, le centro sperimentale di cinematografia - cineteca nazionale, cinecittà luce, A Nous Paris, ARTE, Blast,
Rétrospective 02 – 18 décembre (2e partie)
Le succès des Vitelloni de Fellini a engendré un certain nombre de films reprenant le même type de situations et surtout de personnages, dans le cinéma italien depuis la fin des années 1950. Tout se passe comme si, durant la moitié de siècle qui a suivi la sortie des Vitelloni, le cinéma italien n’avait cessé de refaire le même film. Ce qui est assez étrange au fond, puisqu’à l’origine, l’œuvre aurait dû être strictement autobiographique, très précisément située à Rimini, tourné avec des acteurs qui étaient aussi des amis. : Leopoldo Trieste, authentiquement dramaturge dans la vie, Alberto Sordi qui imitait effectivement, dans ses spectacles de music hall, Amedeo Nazzari dans La cena delle beffe de Blasetti : « Que la peste saisisse qui ne boit pas avec moi »), ainsi que Riccardo, le frère de Fellini qui chantait l’opéra avec une voix de ténor. Et comme touche finale, il y a quelque chose dont la critique italienne, montrant son peu de souci du « texte », ne s’est pas rendue compte durant un demi-siècle. A la fin, Moraldo, incarné par Franco Interlenghi (mais Moraldo est le nom de celui qui, à l’époque, était le meilleur ami de Fellini, l’assistant réalisateur Moraldo Rossi) part pour Rome, la ville par excellence et salue du train ses amis moins courageux que lui qui continueront à jamais leur vie paresseuse. Mais, durant quelques instants seulement, la voix de l’acteur au doublage laisse la place à celle de Federico, qui scelle lui-même la conclusion du film, en annonçant une suite qu’il envisagera de faire durant des années sans jamais la tourner : « Moraldo va en ville ». Federico décrit ainsi ses protagonistes : « Ils ont dépassé la trentaine, prolongeant les jeux, les alibis irresponsables de l’adolescence. Ils ont brillé durant trois mois d’été dont les attentes et les souvenirs occuperont toute leur année. Ce sont les désœuvrés de la bourgeoisie, les fils à maman, les « grands veaux ». Ce sont aussi mes amis et je les aime bien ».
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Une atmosphère crépusculaire Pourtant, nous ne sommes à aucun moment effleurés par le soupçon d’être face à un « Bildungsroman », un roman d’apprentissage sur le passage de la jeunesse à la maturité. Parce que c’est précisément ce « passage » qui ne réussit pas à s’accomplir, mais reste suspendu au-dessus d’un monde qui dissout les passions, les sentiments, les idéologies, dans un éternel automne de l’existence. Le film débute lorsque « la fête est finie ». Cette atmosphère automnale, crépusculaire, transforme le ton des Vitelloni, qui semble contenir tous les éléments de la future comédie à l’italienne, mais qui saute par-dessus à pieds joints pour en annoncer déjà le crépuscule. Dans ce sens, la présentation qu’en firent au public français Roger Tailleur et Bernard Chardère, dans le numéro 11 de Positif (septembre/octobre 1954) reste significative : « I Vitelloni ne nous écrase d’admiration ni sous son poids épique ni par de séculaires roueries psychologiques. C’est un film proche, qui nous concerne, s’adressant à nous à hauteur d‘homme.
On rit. Et l’on comprend. » Tout est juste, à l’exception d’un détail. Aujourd’hui, plus personne ne dirait que l’on rit en voyant ce film. Le temps a montré, à nos dépens, qu’il n’y a pas de quoi rire. Les Vitelloni ont anticipé l’instinctive capacité de Fellini à faire coïncider des éléments de sa propre biographie avec l’embryon d’une possible autobiographie de la nation. En même temps - et cela se voit clairement aujourd’hui - le film a prédit un certain destin du cinéma italien et la difficulté pour celui-ci de sortir de la comédie. Ce passage incomplet, cet état de suspension qui n’est pas celui d’une jeunesse éternelle et heureuse, mais les limbes d’un futur précaire, a créé une atmosphère que respireront bon nombre de films italiens - dont la quinzaine que nous présentons à la Cinémathèque - et qui ressemblent à des « remakes partiels » des Vitelloni. L’héritage des Vitelloni Du modèle de référence, tous ont maintenu la structure du « passage », du parcours au-delà de la jeunesse, de l’éternelle province italienne, de la famille. Il est intéressant de voir comment s’articule ce sous-genre, qui élargit le rayonnement des Vitelloni, jusqu’à faire du film un des mythes fondateurs d’un cinéma italien plus fellinien que rossellinien. Les Vitelloni ont engendré les conventions de la comédie à ambiance estivale, avec des titres comme Leoni al sole (1961) de Caprioli ou bien, si l’on échange Rimini avec le Trastevere, Racconti Romani (Histoires romaines) en 1955 de Franciolini. Pour ces films, l’exemple de la « comédie en couleur » pourrait également être valable, tout comme le thème typique de la chanson napolitaine « s’il reste le soleil, s’il reste la mer ». Ce qui nous mène à Mediterraneo (1991), où un groupe de soldats font les « vitelloni » dans une île grecque durant l’Occupation italienne pendant la Seconde Guerre mondiale. Citto Maselli et Lina Wertmuller choisissent l’analyse sociopolitique des « désœuvrés » de la bourgeoisie, dans I Delfini (Les Dauphins) et I Basilischi, où la propension à tourner en rond des « vitelloni » romagnols est transférée, respectivement sur la Place de Ascoli Piceno et dans les chemins d’un village de Lucagne. Mauro Bolognini suit ses propres « Vitelloni » depuis les Innamorati (Les Amoureux) jusqu’au Giovanni Marti (Les Jeunes Maris). Dans ce dernier, la collaboration au scénario d’un Pier Paolo Pasolini anticipe Accatone (qui aurait dû être produit par Fellini et où la digression accentue la dimension métaphysique). « Les Vitelloni » vieilliront avec le cinéma italien et répéteront les mêmes rondes pathétiques, comme dans La rimpatriata (La Femme des autres) de Damiani. Ils s’incarneront dans la volonté de vivre désespérée de Amici mei (Mes chers Amis) de Monicelli, ou dans la joyeuse volonté de mourir de La Grande Bouffe de Marco Ferreri. Ils survivront, comme dans La prima notte di quiete (Le Professeur) de Zurlini, ou bien renaîtront de leurs propres cendres, éternelles figures de la comédie humaine italienne plus encore que de la comédie «à l’italienne », dans Ecce Bombo de Nanni Moretti, où ils deviendront des laissés-pour-compte trentenaires dans un drame comique existentialo-politique. Ou bien dans Sabato italiano de Lucianno Mannuzi, où désormais les nuits de Rimini ont le gout banalement amer du post-modernisme. Pendant ce temps, Puppi Avati continue de se déclarer un fellinien acharné, notamment dans son dernier film, Gli amici del bar Margherita (2009). Sergio Toffetti (Traduit de l’italien par Jean-François Rauger)
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L’Eternel automne de l’existence
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Sam 05 décembre 19h00 Salle HL Lun 14 décembre 16h30 Salle GF
Les Dauphins (I delfini) de Francesco Maselli Italie-France/1960/110’/VOSTF/35mm Avec Claudia Cardinale, Gérard Blain. La vie des jeunes dans la province italienne, entre filles et grosses voitures.
Ven 04 décembre 19h30 Salle GF Mer 09 décembre 21h30 Salle GF
I basilischi de Lina Wertmüller Italie/1962/85’/VOSTF/35mm Avec Antonio Petruzzi, Stefano Satta Flores. Trois jeunes hommes vivent sans ambition dans une petite ville du sud de l’Italie, à glaner les plaisirs de la vie. Mais cette nonchalance se transforme en malaise.
Jeu 03 décembre 17h00 Salle HL Lun 07 décembre 17h00 Salle GF
Les Amoureux (Gli innamorati) de Mauro Bolognini Italie-France/1955/90’/VOSTF/35mm Avec Antonella Lualdi, Franco Interlenghi. Deux jeunes hommes se disputent une jeune fille, tandis qu’une deuxième entre en compétition.
Dim 06 décembre 19h00 Salle HL Ven 18 décembre 17h00 Salle GF
du quartier.
Gli amici del bar Margherita de Pupi Avati Italie/2009/90’/VOSTF/35mm Avec Diego Abatantuono, Laura Chiatti. Pour devenir un habitué du mythique bar Margherita, Taddeo, 18 ans, se fait le confident d’Al, une personnalité importante
Ven 04 décembre 17h00 Salle HL Sam 12 décembre 21h15 Salle HL
Les Jeunes Maris (Giovani mariti) de Mauro Bolognini Italie-France/1958/98’/VOSTF/35mm Avec Anne-Marie Baumann, Gérard Blain. Quatre amis inséparables font les quatrecents coups. Des années après leur mariage respectif, ils se retrouvent.
Jeu 03 décembre 14h30 Salle HL Sam 12 décembre 17h00 Salle HL
Histoires romaines (Racconti romani) de Gianni Franciolini Italie-France/1955/110’/VOSTF/35mm Avec Antonio Cifariello, Franco Fabrizi. Trois amis, menés par Alvaro, ancien condamné, décident de monter une compagnie de transports.
Dim 06 décembre 16h15 Salle HL Ven 11 décembre 15h00 Salle GF
La Grande Bouffe (La grande abbuffata) de Marco Ferreri Italie-France/1973/130’/VOSTF/35mm Avec Marcello Mastroianni, Michel Piccoli. Quatre amis se réunissent chez l’un d’eux pendant quelques jours dans le but de festoyer. Des prostituées se joignent à la fête.
Mer 02 décembre 20h00 Salle HL -> -> Ouverture de la rétrospective Tutto Fellini ! (2e partie) : Les héritiers des Vitelloni Sam 12 décembre 14h30 Salle HL
Les Femmes des autres (La rimpatriata) de Damiano Damiani Italie-France/1962/110’/VOSTF/35mm Avec Walter Chiari, Letícia Román. Un groupe d’amis d’une petite quarantaine d’années se retrouvent pour quelques jours. Tous ont une vie bien réglée qui contraste avec la vie dissolue de leur jeunesse.
Accattone de Pier Paolo Pasolini Italie/1961/120’/VOSTF/35mm Avec Franco Citti, Franca Pasut. Un souteneur de la banlieue de Rome perd son gagne-pain quand sa protégée est mise en prison. Il rencontre alors l’innocente Stella. Jeu 03 décembre 21h00 Salle HL Lun 07 décembre 14h30 Salle HL
Le Professeur, Valerio Zurlini
La Grande Bouffe, Marco Ferreri
TUTTO FELLINI! (2 e PARTIE) LES HÉRITIERS DES VITELLONI LES FILMS
Jeu 03 décembre 19h00 Salle HL Sam 12 décembre 19h15 Salle HL
Pauvres mais beaux (Poveri ma belli) de Dino Risi Italie-France/1957/101’/VOSTF/35mm Avec Marisa Allasio, Maurizio Arena, Renato Salvatori. Romolo et Salvatore sont deux amis inséparables qui courent les filles ensemble. Ils tombent finalement amoureux de la même personne.
Sam 05 décembre 21h15 Salle HL Ven 11 décembre 17h00 Salle HL
Mes Chers Amis (Amici miei) de Mario Monicelli Italie/1975/140’/VOSTF/35mm Avec Ugo Tognazzi, Gastone Moschin. À la suite de la mort d’un des leurs, des quinquagénaires se souviennent de leurs plaisanteries.
Sam 05 décembre 14h30 Salle GF Mer 16 décembre 17h00 Salle GF
mer Egée et perdent tout contact avec la réalité de la guerre.
Mediterraneo de Gabriele Salvatores Italie/1991/96’/VOSTF/35mm Avec Diego Abatantuono, Claudio Bigagli. En 1941, des soldats italiens sont abandonnés par accident sur une île de la
Ven 04 décembre 21h30 Salle GF Mer 09 décembre 19h30 Salle GF
Dim 13 décembre 21h00 Salle HL
Les Vitelloni (I vitelloni) de Federico Fellini Italie-France/1953/107’/VOSTF/35mm Avec Franco Interlenghi, Alberto Sordi. Alberto, Leopoldo, Riccardo, Fausto et Moraldo sont cinq « vitelloni », des adultes qui se comportent comme des enfants. Oisifs, ils passent leur temps à des occupations dénuées de sens, sans essayer de sortir de leur médiocre environnement provincial.
Sam 05 décembre 17h00 Salle HL Jeu 17 décembre 17h00 Salle GF
Sabato italiano de Luciano Manuzzi Italie/1992/84’/VOSTF/35mm Avec Stefano Dionisi, Isabelle Pasco. Trois histoires se croisent, des amours se défont ou se cherchent.
Dim 06 décembre 21h00 Salle HL Mer 09 décembre 17h00 Salle GF
Le Professeur (La prima notte di quiete) de Valerio Zurlini Italie-France/1972/105’/VOSTF/35mm Avec Alain Delon, Sonia Petrovna, Lea Massari. Un professeur amateur de jeux d’argent s’installe dans une nouvelle ville pour son travail. Alors que sa relation amoureuse est en crise, il rencontre une jeune étudiante très attirante.
Accattone, Pier Paolo Pasolini
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
Leoni al sole de Vittorio Caprioli Italie/1961/100’/VOSTF/35mm Avec Vittorio Caprioli, Franca Valeri. A Naples, le farniente devient une philosophie de vie.
Les Jeunes Maris, Mauro Bolognini
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
Les deux compères Tandem le plus célèbre de l’histoire du cinéma burlesque américain, Laurel et Hardy ont inventé un burlesque particulier, des gags « à combustion lente », une subtile chorégraphie arithmétique. Laurel et Hardy ne forment qu’une entité, un seul corps divisé en deux. Un gros et un maigre. Un joufflu qui roule les mécaniques, et un lunaire. Le maigre, Stan Laurel, celui qui fait souvent la moue et parfois pleurniche comme un gosse, est né le 18 juin 1890 à Cumbria, en Angleterre. Des deux c’est lui le plus poète. Quant au gros, Oliver Hardy, il est né deux ans plus tard à Harlem, Géorgie, USA. Chacun de son côté a fait un début de carrière en solo avant de rencontrer l’autre. Leur association sous la marque « Laurel et Hardy » sera l’une des plus fécondes de toute l’histoire du burlesque. On dit qu’à la mort de Hardy, le 7 août 1957, Laurel ne s’en remit pas au point de sombrer dans une grave dépression. Il est mort lui-même le 23 février 1965 à Santa Monica après une vie bien remplie. Qu’est-ce qui fait que leur alliance ait à ce point si bien fonctionné ? Pour répondre, il suffit de revoir quelques-uns de leurs films. Piochons au hasard. Les Deux musiciens (Below Zero, 1930) Le duo joue de la musique devant une maison, alors que la neige tombe. Dépités, les doigts gelés, ils s’étonnent que les passants ne s’arrêtent pas et ne leur donne aucune pièce. Le gag, comme souvent, vient de leur retard à l’allumage : la maison devant laquelle ils stationnent est réservée à des sourds muets. Ils s’installent plus loin, mais les catastrophes s’enchaînent. Avec Laurel et Hardy le pire n’est jamais atteint. Suit l’épisode du portefeuille trouvé dans la neige, appartenant à un policier que nos deux compères convient généreusement à déjeuner. On devine la suite. Ce qui frappe c’est la pureté formelle, le cadrage (le jeu avec le hors-champ) et le bruitage (c’est du cinéma sonore mais qui porte avec joie les traces du muet). Du grand Art.
Rétrospective 09 décembre – 11 janvier En partenariat avec Télérama, France Musique
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Laurel & Hardy dans en croisière Gordon Douglas Jim Carrey The, truman Show
The Bohemian Girl (La Bohémienne, 1936). Le film commence comme une comédie musicale. Des gitans chantent et installent leur campement sur les terres d’un Comte qui vit dans son château entouré de sa garde. Décors et costumes d’époque, tout est parfait. Le Comte, apprenant que les bohémiens campent sur ses terres, exige leur départ. Ça chante et ça danse, tandis que Laurel et Hardy épluchent 21
laurel et hardy
Les Deux Vagabonds (Scram !, 1932) Au tribunal, Laurel et Hardy sont accusés de vagabondage par un juge qui les condamne à ne faire qu’une heure de prison, tellement celle-ci est déjà pleine. Dehors, un riche homme bien habillé perd sa clé de voiture, qui tombe à travers une grille sur le trottoir. L’homme est ivre mort. Jeux d’équilibre, poursuite avec un policier (figure obligée du burlesque), acrobatie et chutes. Plus tard, une scène de fou rire incroyable entre les deux compères et une femme réveillée la nuit dans une maison où Laurel et Hardy se sont introduits. Rendue ivre, Mme de Beaumont n’est autre que l’épouse du juge…
Serge Toubiana La Bataille du siècle (The Battle of the Century) de Clyde Bruckman États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. La chute d’un garçon pâtissier sera le point de départ de la plus grande bagarre de tartes à la crème de l’histoire du cinéma. • Suivi de Œil pour œil (Big Business) de James Wesley Horne États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy vendent en porte à porte des sapins de Noël en plein mois d’août. • Suivi de
SÉANCE D’OUVERTURE (80’)
C'est donc ton frère! , Harry Lachman
Mer 09 décembre 21h00 Salle HL • La séance d'ouverture sera précédée, à 19h, d'une conférence introductive : «Qui êtes-vous Laurel & Hardy ?» par Stephane Goudet. (voir page 32)
Son Altesse royale (Double Whoopee) de Lewis R. Foster États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Envoyés par une agence comme portier et groom pour un palace, Laurel et Hardy sont pris à leur arrivée pour une Altesse Royale accompagnée de son premier ministre. • Suivi de Vive la liberté ! (Liberty) de Leo McCarey États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy s’évadent du bagne. Dans leur hâte à s’emparer de vêtements civils, ils intervertissent leurs pantalons. • Suivi de Les Bons Petits Diables (Brats) de James Parrott États-Unis/1930/20’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel et Oliver Hardy. Laurel et Oliver jouent un double rôle : les deux pères et les deux fils. Ils sont restés à la maison pour garder les enfants qui sont insupportables.
Chaque film avec Laurel et Hardy raconte le processus qui mène à la résolution harmonieuse d’une histoire qui ne les concerne pas, tandis qu’eux s’emmêlent les pinceaux du fait de leur incurable maladresse. Mais ce qu’il y a d’admirable, c’est leur sens de la chorégraphie, leur souplesse physique, leur capacité de prendre des coups et de rebondir. Et surtout d’occuper tout l’espace. Leur obscénité est donnée comme naturelle (ils dorment dans la même chambre et dans le même lit) : ils sont l’un l’autre les deux médailles d’une même pièce. Que l’on se tourne vers ou vers l’autre, l’on rit car ces deux nigauds ont du génie.
laurel et hardy LES FILMS
Mer 06 janvier 19h30 Salle GF
Atoll K de Léo Joannon France/1950/99’/VF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy, Suzy Delair. Laurel et Hardy ont hérité une île dans le Pacifique. Ils décident de s’y installer, accompagnés d’un ami et d’une chanteuse. Mais la découverte sur cette île d’un gisement d’uranium va troubler leur vie paradisiaque.
Dim 27 décembre 21h30 Salle GF -> -> Copie VOSTF Dim 10 janvier 15h00 Salle GF -> -> Copie 35mm/VF (Séance jeune public)
Mer 30 décembre 21h30 Salle GF-> -> Copie VOSTF Lun 04 janvier 14h30 Salle GF -> -> Copie 35mm/VF
La Bohémienne (The Bohemian Girl) de James W. Horne et Charles Rogers États-Unis/1936/70’/16mm et 35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver, deux bohémiens un peu voleurs, se retrouvent avec l’enfant d’un noble kidnappé par la femme d’Oliver qui a fuit avec son amant.
Sam 12 décembre 15h00 Salle GF (Séance jeune public)
Les Aventures de Laurel et Hardy de James Parrott États-Unis/1946/105’/VF/35mm Montage français de cinq courts métrages (voir détails programme 11) : Joyeux Pique-nique (A Perfect Day) 1929 La Maison de la peur (The Laurel and Hardy Murder Case) 1930 Les Deux Cambrioleurs/Une Nuit agitée (Night Owls)1929 Derrière les barreaux/Laurel et Hardy au bagne (The Hoose-Gow) 1929 Pêle-mêle/Les Bricoleurs (Hog Wild)1929
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
Les As d’Oxford (A Chump at Oxford) d’Alfred Goulding États-Unis/1940/63’/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy se retrouvent à faire des études à Oxford, récompense d’un banquier qu’ils ont sauvé d’une attaque. Après un coup sur la tête, Laurel devient très érudit…
LONGS MÉTRAGES
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
Bons pour le service. Stanley MacLaurel est censé hériter d’un grand-père écossais qu’il n’a pas connu. Les deux compères débarquent dans un village d’Écosse pour découvrir que l’héritage se limite à une cornemuse et une bague à tabac. Une scène incroyable, où leur génie de la domesticité est à l’œuvre. Dans la chambre d’hôtel qu’ils n’ont pas les moyens de payer, Laurel revient avec un morceau de morue qu’il a échangé contre leurs manteaux. Comment cuire le poisson ? À l’aide d’une bougie placée sous le sommier du matelas, celui-ci servant de grill. Pendant que Laurel surveille la cuisson, Hardy met la table en se servant des tiroirs d’une commode. La catastrophe ne fera qu’empirer. Laurel et Hardy sont les rois de la vie domestique. Partout où ils passent, rien ne survit intact. Leur capacité de destruction est infinie. Enrôlés dans l’armée écossaise, les deux compères se retrouvent en Inde, tandis que se déroule la romance entre une riche héritière et son fiancé. Laurel et Hardy deviennent malgré eux des héros.
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des patates. Laurel surprend la femme de Hardy en train d’embrasser son amant : « Il n’y a rien de mal, lui dit Hardy, il faut avoir les idées larges ». Laurel et Hardy sont si proches, si fusionnels, qu’il est impossible que l’un puisse s’éloigner de l’autre sous prétexte d’être marié. La nuit venue, les deux coquins s’en vont au village faire leurs larcins. Avec un talent inimitable fait de maladresse et de roublardise, ils dépouillent un aristocrate de son argent. Mais, plus qu’à voler les autres, Laurel et Hardy passent leur temps à se voler l’un l’autre à tour de rôle. Leur désir n’est pas de posséder, mais de déposséder l’autre du peu qu’il a, dans une sorte de rivalité enfantine. Les choses sérieuses se passent au second plan du film, quand l’amant de la femme de Hardy kidnappe la fillette du Comte, Arline. Celle-ci est présentée à Hardy comme sa fille, ce qu’il accepte avec un naturel déroutant. De la même manière qu’il est incongru que Hardy soit marié, il est inenvisageable qu’il soit père, ou alors par une sorte de miracle. Douze ans plus tard, Arline a grandi et rêve en chantant qu’elle est une princesse. Pendant que Laurel s’emploie à remplir des bouteilles de vin (scène hilarante et muette digne d’un mime de génie), Arline s’en va du côté du château où elle entend la voix du Comte chanter sa tristesse d’avoir perdu sa fille. Prise pour une bohémienne, la jeune fille est arrêtée. Hardy vient chercher le renfort de Laurel, complètement ivre. Au moment où Arline est menacée de se faire fouetter, son père reconnaît le pendentif qu’il lui avait donné lorsqu’elle était enfant. Tout finit pour le mieux. Laurel et Hardy, malgré eux, créent les conditions pour que l’harmonie revienne.
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Sam 19 décembre 15h00 GF -> -> Séance jeune public
Les Dessins animés de Laurel et Hardy (a laurel and hardy cartoon) de Joseph Barbera et William Hanna États-Unis/1966/69'/VF/16mm Les aventures de Laurel et Hardy adaptées en dessins animés.
Lun 21 décembre 21h30 Salle GF
membre de la famille royale qui en veut à sa vie.
Les Cuistots de Sa Majesté (Nothing But Trouble) de Sam Taylor États-Unis/1944/69’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy, Mary Boland, Philip Merivale. Stan et Oliver, aux services d’un roi en exil, déjouent les agissements criminels d’un
Dim 20 décembre 21h30 Salle GF Mer 30 décembre 19h30 Salle GF
Les Compagnons de la nouba (Sons of the Desert) de William A. Seiter États-Unis/1934/69’/VF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy appartiennent à un club. Pour assister à sa convention annuelle, ils disent à leurs épouses qu’ils partent en croisière, mais le bateau qu’ils étaient censés prendre a coulé.
Dim 03 janvier 19h30 Salle GF-> -> Copie 16mm/VOSTF Ven 08 janvier 17h00 Salle HL -> -> Copie 35mm/VF
C’est donc ton frère ! (Our Relations) de Harry Lachman États-Unis/1936/65’ Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy ont deux frères jumeaux marins. Les premiers sont mariés, les seconds ont des petites amies. Cela donne l’occasion à de nombreux quiproquos.
Jeu 10 décembre 19h30 Salle GF Mer 06 janvier 14h30 salle HL-> -> Séance Jeune public
Bons pour le service (Bonnie Scotland) de James W. Horne États-Unis/1935/80’/VF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. McLaurel et Hardy se rendent en Ecosse pour un héritage insolite. Démunis, ils s’engagent par mégarde dans un régiment en partance pour les Indes.
Laurel et Hardy LES FILMS
Fra Diavolo (The Devil’s Brother) de Hal Roach et Charles Rogers États-Unis/1933/88’/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Oliviero Hardio et Stanlio Laurelo viennent de se faire voler leur bourse par des bandits. Pour refaire fortune, ils décident de se faire passer pour le plus grand brigand de
Ven 18 décembre 19h30 Salle GF
Les Folles années de Laurel et Hardy (Laurel and Hardy’s Laughing Twenty’s) de Robert Youngson États-Unis/1965/90’/VOSTF/35mm Documentaire biographique.
Mer 23 décembre 19h30 Salle GF Dim 03 janvier 17h15 Salle GF
Fantômes déchaînés (A-Haunting We Will Go) d’Alfred L. Werker États-Unis/1942/67’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Poursuivi, un gangster se cache dans un cercueil. Laurel et Hardy se laissent persuader d’escorter le faux mort, mais en route, le cercueil est échangé avec celui d’un illusionniste.
Jeu 10 décembre 21h30 Salle GF -> -> Copie 16mm/VOSTF Lun 21 décembre 14h30 Salle GF -> -> Copie 35mm/VF (séance jeune public)
avec ses amis.
Les Deux Légionnaires (Beau Hunks) de James W. Horne États-Unis/1931/40’/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Abandonné par Jenny, la femme qu’il aime, Oliver s’engage à la Légion avec Stan. Mais tous les soldats pleurent sur le portrait de Jenny. •Suivi de Aidons-nous (Helpmates) de James Parrott États-Unis/1931/20’ Avec Stan Laurel, Oliver Hardy Hardy, marié, fait appel à Stan pour ranger son appartement après une nuit de nouba
Sam 02 janvier 15h00 Salle GF -> -> Séance jeune public Ven 22 janvier 14h30 Salle HL (Retrospective Gordon Douglas)
Deux Bons Copains (It’s Spring Again/Zenobia) de Gordon Douglas États-Unis/1939/85’/VF/35mm Avec Oliver Hardy, Alice Brady, Harry Langdon. Un docteur soigne un éléphant du cirque, et celui-ci lui en est un peu trop reconnaissant. l’époque : « Fra Diavolo ».
Mer 10 janvier 19h30 Salle GF
Laurel et Hardy chefs d’îlôts (Air Raid Wardens) d’Edward Sedgwick États-Unis/1943/67’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy, Edgar Kennedy, Jacqueline White. Trop âgés pour être admis au service actif, Laurel et Hardy servent leur pays en qualité de chefs d’îlots
Mer 30 décembre 17h00 Salle GF-> -> Copie 35mm Sam 02 janvier 19h30 Salle GF -> -> Copie16mm
Laurel et Hardy au Far West (Way Out West) de James W. Horne États-Unis/1937/64’/VOSTF Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver font route vers l’Ouest pour remettre à une jeune fille l’acte de propriété d’une mine d’or de la part de son père défunt.
Lun 11 janvier 17h00 Salle GF
Les Joyeux Compères de Charles Rogers et Lloyd French États-Unis/1946/72’/VF/35mm Montage français de trois courts métrages (voir détails programme17) : Les Jambes au cou (Going Bye Bye) 1934 Gai, Gai, marions-nous ! (The Private Life of Oliver the Eight) 1934 Les Joyeux compères (Them Thar Hills)1934
Lun 21 décembre 19h30 Salle GF
Les Joies du mariage de George Marshall et James Parrott États-Unis/1946/60’/VF/35mm Montage français de trois courts métrages (voir détails programme 15) : Les Joies du mariage (Twice Two) 1933 Bonnes d’enfants (Their First Mistake) 1932 Marchands de poissons (Towed in a Hole) 1931
Dim 27 décembre 17h00 Salle GF Sam 09 janvier 19h30 Salle GF
Le Grand Boum (The Big Noise) de Malcolm St. Clair États-Unis/1944/74’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy ont été engagés par une agence de détective privés pour escorter l’inventeur d’un nouvel explosif recherché par des agents ennemis.
Sam 26 décembre 15h00 Salle GF -> -> Copie VF Jeu 07 janvier 21h30 Salle GF -> -> Copie VOSTF
Jeu 07 janvier 14h30 Salle HL -> -> Séance jeune public, copie VF Sam 09 janvier 21h30 Salle GF -> -> Copie VOSTF
Maîtres de ballet (The Dancing Masters) de Malcolm St. Clair États-Unis/1943/63’/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Professeurs dans une école de danse, Laurel et Hardy aident un jeune inventeur à commercialiser ses trouvailles et à obtenir la permission de marier la fille aimée.
Dim 10 janvier 21h30 Salle GF
Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Détectives privés en mission à Mexico, Stan et Oliver retrouvent sur leur chemin un repris de justice qu’ils avaient fait condamner quelques années plus tôt. Par ailleurs, la ressemblance frappante de Stan avec le célèbre toréador Don Sebastian complique la situation. • Film précédé de Pick a Star (extrait) d’Edward Sedgwick États-Unis/1937/10’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel et Oliver Hardy. A Day at the Studio est le titre de l’extrait du film Pick a Star. Deux longues séquences irrésistibles où Laurel et Hardy en « Guest Star » du film font une démonstration de leurs talents de gagmen (les bouteilles brisées) et musicaux (la joute à l’harmonica).
Laurel et Hardy toréadors (The Bullfighters) de Malcolm St Clair États-Unis/1945/61’/VOSTF/16mm
Dim 20 décembre 17h00 Salle GF Ven 22 janvier 17h15 Salle HL (Retrospective Gordon Douglas)
Laurel et Hardy en croisière (Saps at Sea) de Gordon Douglas États-Unis/1940/57’/VF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy, travailleurs à l’usine, embarquent accidentellement sur un bateau avec un criminel en fuite.
Mer 23 décembre 17h00 Salle GF -> -> Copie VF Mer 06 janvier 21h30 Salle GF -> -> Copie VOSTF
Laurel et Hardy conscrits (The Flying Deuces) d’A. Edward Sutherland États-Unis/1939/65’/16 mm Après une vaine tentative de suicide, Oliver s’engage dans l’armée avec Stan. Devant la dureté de la vie militaire, les deux compères quittent le camp, laissant une lettre au colonel.
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Les Trois Mariages de Laurel et Hardy de James W. Horne et James Parrott États-Unis/1946/90’/VF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Montage français de quatre courts
Sam 02 janvier 21h30 Salle GF -> -> Copie VOSTF Sam 09 janvier 15h00 Salle GF -> -> Copie VF (séance jeune public)
Têtes de pioche (Blockheads) de John G. Blystone États-Unis/1938/60'/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Vingt ans après la Grande Guerre, Stan n’a pas quitté sa vie de soldat. Oliver, devenu un riche bourgeois, l’invite chez lui à dîner.
Sam 19 décembre 19h30 Salle GF Lun 28 décembre 21h30 Salle GF
Les Sans-soucis (Pack Up Your Troubles) de George Marshall et Raymond McCarey États-Unis/1932/68’/VF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. En 1917, Stan et Oliver s’engagent à la guerre. Au retour de la guerre, ils décident de s’occuper de la fille d’un soldat mort au front.
Ven 08 janvier 20h30 Salle JE
États-Unis/1967/90’/VF/35mm Seconde approche biographique, par Robert Youngson, de la rencontre de Stan Laurel et Oliver Hardy.
La Rencontre de Laurel et Hardy (Further Perils of Laurel and Hardy) de Robert Youngson
Mer 23 décembre 21h30 Salle GF Jeu 07 janvier 19h30 Salle GF
Quel pétard ! (Great Guns) de Monty Banks États-Unis/1941/74’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy ont été chargés de chaperonner le fils d’un millionnaire. Les deux compères suivent le jeune homme à l’armée pour le protéger.
Lun 28 décembre 15h00 Salle GF -> -> Copie VF (Séance Jeune public) Dim 03 janvier 21h30 Salle GF -> -> Copie VOSTF
Les Montagnards sont là (Swiss Miss) de John G. Blystone États-Unis/1938/72’/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy sont marchands de pièges à rats en Suisse. Pour montrer l‘efficacité de leurs produits, ils veulent faire une démonstration dans une boutique de fromage.
Laurel et Hardy LES FILMS
Programme 1 (durée : 82’) Le Veinard (Lucky Dog) de Jesse Robins États-Unis/1917/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Mis à la rue, Stan Laurel est suivi par un chien dont il n’arrive pas à se débarrasser, essaie d’échapper à un bandit et fait la connaissance de la charmante maîtresse d’un autre chien. • Suivi de À quarante-cinq minutes d’Hollywood (Forty-five Minutes from Hollywood) de Fred Guiol États-Unis/1926/22’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Oliver Hardy, détective privé, enquête sur une étrange affaire dans l’hôtel où réside Stan Laurel. • Suivi de Maison à louer (Duck Soup) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. ANG.STF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy meublent une maison vide et la louent à un couple de passage. Mais le véritable propriétaire arrive. • Suivi de En plein méli-mélo (Slipping Wives) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Une femme négligée par son mari cherche à
COURTS Métrages
Jeu 31 décembre 17h30 Salle GF
Les Zazous (Jitterbugs) de Malcolm St. Clair. États-Unis/1943/74’/VOSTF/16smm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy sont exploités par un escroc qui vend des pilules miracles.
Ven 18 décembre 14h30 Salle GF
Un jour, une bergère (Babes in Toyland) de Gus Meins et Charles Rogers États-Unis/1934/77’/VF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Au pays des jouets, Laurel et Hardy aident un fabricant de jouets. Ils logent chez une vieille femme que le propriétaire veut expulser, sauf si elle consent à lui donner la main de sa fille.
Jeu 24 décembre 15h00 Salle GF
métrages (voir détails programme 12) : Our Wife 1931 Quelle bringue !/La Nouba (Blotto) 1930 Chickens Come Home 1931 Toute la vérité (Come Clean) 1931
Programme 3 (durée : 80’) Les Deux Détectives (Do Detectives Think?) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Noah Young, condamné à mort par le juge Finlayson, veut se venger de lui et s’échappe. Le juge engage alors deux détectives, Laurel et Hardy. • Suivi de À l’âge de pierre (Flying Elephant) de Frank Butler États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. A l’âge des cavernes, Laurel a des difficultés à se trouver une épouse, Hardy est son rival. • Suivi de Poursuite à Luna Park (Sugar Daddies) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm
Ven 11 décembre 14h30 Salle HL
ennuis avec Finlayson, capitaine à cheval sur le règlement. • Suivi de A bord du « Miramar » (Sailors Beware!) de Hal Yates États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel, chauffeur de taxi, doit travailler comme steward pour le commissaire de bord Hardy lorsqu’il embarque par mégarde sur un paquebot avec son véhicule.
Programme 2 (durée : 80’) Un Ancien flirt (Love’Em and Weep) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel tente d’aider son ami Finlayson, jeune marié et respectable homme d’affaire, à se débarrasser de son ancienne maîtresse. • Suivi de Il était un petit navire (Why Girls Love Sailors) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. FR./35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. La petite amie de Stan, pêcheur de bigorneaux, est enlevée par un méchant capitaine aidé de son second (Oliver Hardy). • Suivi de Les Gaietés de l’infanterie (With Love and Hisses) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel est une recrue maladroite qui s’attire toujours des ennuis avec Hardy, sergent irascible qui s’attire lui-même toujours des
Jeu 10 décembre 17h30 salle GF
le rendre jaloux en se faisant courtiser par un représentant en peinture (Laurel).
Ven 11 décembre 21h30 Salle GF Jeu 17 décembre 15h00 Salle GF
de Clyde Bruckman États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Hardy accueille un cousin écossais éloigné, Laurel. Il va tenter de lui faire adopter ses mœurs, et notamment de remplacer son kilt par un pantalon. • Suivi de La Bataille du siècle (The Battle of the Century) de Clyde Bruckman États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. La chute d’un garçon pâtissier sera le point de départ de la plus grande bagarre de tartes à la crème de l’histoire du cinéma. • Suivi de Gaz hilarant (Leave’Em Laughing) de Clyde Bruckman États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan souffre d’une rage de dents et Oliver le conduit chez le dentiste. Celui-ci se trompe et au lieu de l’anesthésier, lui fait respirer du gaz hilarant. La séquence de fou rire des deux compères est un moment d’anthologie du cinéma burlesque.
Programme 4 (durée : 80’) Prenez garde à la peinture/Les Forçats du pinceau (The Second Hundred Years) de Fred Guiol États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Prisonniers, Laurel et Hardy s’accrochent à tous les moyens pour s’évader. • Suivi de Mon neveu l’Écossais (Putting Pants on Philip)
Ven 11 décembre 19h30 Salle GF
Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Un riche célibataire épouse une femme de mauvaise vie après une nuit bien arrosée. Au matin, alors qu’il a tout oublié, elle réapparaît. • Suivi de Le Chant du coucou (Call of the Cuckoo) de Clyde Bruckman États-Unis/1927/20’/INT. FR./16mm Avec Max Davidson, Specs O’Donnell et la participation de Stan Laurel, Oliver Hardy. Max Davidson emménage dans une très belle maison qui se révèle être déglinguée. Elle est de plus voisine avec un asile psychiatrique où sont enfermés Laurel et Hardy.
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Programme 6 (durée : 80’) Un Homme à boue Une partie de golf (Should Married Men Go Home?) de James Parrott États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver s’embarquent dans une partie de golf bien tumultueuse. • Suivi de Le Valet casse tout (Early to Bed) d’Emmet Flynn États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel et Oliver Hardy. Hardy fait un héritage et veut en profiter. Il engage Laurel comme maitre d’hôtel. • Suivi de V’là la flotte/ Carambolages en série (Two Tars) de James Parrott États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver louent une voiture et invitent
Sam 12 décembre 19h30 Salle GF
• Suivi de La Minute de vérité/ Tous en tutu (Their Purple Moment) de James Parrott États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Respectivement mariés, Stan et Oliver vont passer une soirée en boite de nuit sans leurs femmes, du moins c’est ce qu’ils pensent.
Programme 5 (durée : 80’) Solide comme Gibraltar/Le Poing final (The Finishing Touch) de Clyde Bruckman États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver terminent en hâte la construction d’une maison en bois pour un client impatient. • Suivi de From Soup to Nuts d’Edgar Livingstone Kennedy États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver sont engagés comme valet et maitre d’hôtel pour servir un diner dans une soirée mondaine. • Suivi de Ton cor est à toi (You’re Darn Tootin’) d’Edgar Livingstone Kennedy États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Renvoyés d’un orchestre pour avoir perturbé un concert dans un kiosque, Laurel et Hardy sont contraints à jouer de leur instrument (cor et flûte) dans les rues pour gagner leur vie.
Laurel et Hardy LES FILMS
Programme 8 (durée : 80’) Œil pour œil (Big Business) de James Wesley Horne États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy vendent en porte à porte des sapins de Noël en plein mois d’août. • Suivi de Son Altesse royale (Double Whoopee) de Lewis R. Foster États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy.
Dim 13 décembre 19h30 Salle GF
intervertissent leurs pantalons. • Suivi de Y’a erreur/Un cheval sur le piano (Wrong Again) de Leo McCarey États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy ramènent un cheval censé être volé pour obtenir une récompense, mais c’est en fait un tableau du même nom qui a disparu. • Suivi de C’est ma femme/ L’Oncle à l’héritage (That’s my wife) de Lloyd French États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel abuse de l’hospitalité de Hardy, ce qui fait fuir la femme de ce dernier. Mais un oncle doit venir juger du couple de Hardy pour le désigner comme héritier.
Programme 7 (durée : 80’) On a gaffé/Laurel et Hardy rois des menteurs (We Faw Down) de Leo McCarey États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Stan et Oliver disent à leur femme respective qu’ils vont au théâtre pour rejoindre deux jeunes femmes. A leur retour, ils font le récit du spectacle alors que le théâtre a brûlé. • Suivi de Vive la liberté ! (Liberty) de Leo Mc Carey États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy s’évadent du bagne. Dans leur hâte à s’emparer de vêtements civil, ils
Sam 12 décembre 21h30 Salle GF Lun 04 janvier 17h00 Salle GF
deux jeunes femmes en promenade. Mais leur conduite est plutôt douteuse. • Suivi de Habeas Corpus de Leo McCarey États-Unis/1928/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Laurel sont chargés par un savant de voler des corps dans un cimetière pour ses expériences.
Programme 10 (durée : 70’) Drôles de bottes ! (Be Big) de James Parrott États-Unis/1930/30’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy.
Lun 14 décembre 14h30 Salle GF
Stan soigne Oliver qui a la grippe. •Suivi de Une saisie mouvementée (Bacon Grabbers) de Lewis R. Foster États-Unis/1929/20’ INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Agents du gouvernement, Laurel et Hardy sont chargés de remettre un avertissement au récalcitrant propriétaire d’un poste de radio qui n’a pas payé sa taxe depuis dix ans. • Suivi de Entre la chèvre et le chou (Angora Love) de Lewis R. Foster États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Constamment suivis dans la rue par une chèvre, Stan et Oliver sont contraints de l’accepter et doivent la cacher au gérant de l’hôtel qu’ils occupent. • Suivi de On n’a pas l’habitude (Unaccostumed As We Are) de Lewis R. Foster États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Oliver invite Stan à manger chez lui mais sa femme refuse de préparer le diner et le quitte.
Programme 9 (durée : 80’) They Go Boom de James Parrott États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy,Charlie Hall.
Envoyés par une agence comme portier et groom pour un palace de Broadway, Laurel et Hardy sont pris à leur arrivée pour une Altesse Royale accompagnée de son premier ministre. • Suivi de Laurel et Hardy en wagon-lit (Berth Marks) de Lewis R. Foster États-Unis/1929/20’/INT. FR./16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Musiciens itinérants, Laurel et Hardy vont de ville en ville par le train. • Suivi de La Flotte est dans le lac (Men O’War) de Lewis R. Foster États-Unis/1929/20’/INT. FR./35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Marins en permissions, Laurel et Hardy invitent deux jeunes filles dans un parc. Ils louent une barque sur le lac mais se disputent avec un autre canoteur. Dim 13 décembre 21h30 Salle GF
Laurel et Hardy avec leurs femmes et un oncle atteint de la goutte prennent place dans une voiture pour faire un pique-nique à la campagne. • Suivi de La Maison de la peur/ Feu mon oncle (The Laurel and Hardy Murder Case) de James Parrott États-Unis /1930/28’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel s’installe avec Hardy dans la maison qu’il vient d’hériter de son oncle assassiné et où ils sont dérangés par d’étranges fantômes. • Suivi de Les Deux Cambrioleurs/Une nuit agitée (Night Owls) de James Parrott États-Unis/1929/19’/VF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Un policier propose un marché malhonnête à Laurel et Oliver. • Suivi de Derrière les barreaux/Laurel et Hardy au bagne (The Hoosegow) de James Parrott États-Unis /1929/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Prisonniers en transfert, puis pensionnaires du bagne, Laurel et Oliver trouent accidentellement le radiateur de la voiture de l’inspecteur des prisons. Ils vont essayer de boucher le trou avec du riz.
Programme 11 (durée : 107’) Joyeux Pique-nique (A Perfect Day) de James Parrott États-Unis/1929/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy.
Mer 16 décembre 19h30 Salle GF
Oliver et Stan se préparent à aller en piquenique avec leur épouse respective. Mais Hardy prétend être malade pour aller à la réunion de leur club avec Stan. • Suivi de Les Carottiers (Laughing Gravy) de James W. Horne États-Unis/1931/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Les démêlés de Stan et d’Oliver pour cacher un petit chien dans leur chambre d’hôtel, à la vue de leur hôtelier. • Suivi de Les Bons Petits Diables (Brats) de James Parrott États-Unis/1930/20’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel et Oliver Hardy. Laurel et Hardy jouent un double rôle : les deux pères et les deux fils. Les pères sont restés à la maison pour garder les enfants qui sont insupportables.
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Jeu 17 décembre 21h30 Salle GF
Programme 13 (durée : 75’) Sous les verrous (Pardon US) de James Parrott États-Unis/1931/55’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Au bagne, Stan et Oliver s’attirent la sympathie d’un leader qui prépare une révolte ; mais celle-ci échouera par les maladresses des deux compères. • Suivi de Stan Boxeur (Any Old Port) États-Unis/1932/20’/VOSTF/16mm de James W. Horne Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver, clients d’un hôtel sordide, prennent la défense d’une jeune servante que son employeur veut épouser de force.
Jeu 17 décembre 19h30 Salle GF
• Suivi de Chickens Come Home de James W. Horne États-Unis/1931/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Une ancienne maîtresse d’Oliver, tout jeune marié, vient perturber sa vie conjugale et professionnelle. Il fait appel à son compère Stan pour se débarrasser d’elle. • Suivi de Toute la vérité (Come Clean) États-Unis/1931/20’/VOSTF/16mm de James W. Horne Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Oliver et Stan sauvent de la noyade une candidate au suicide qui vient perturber la sérénité de leur ménage respectif.
Programme 12 (durée : 80’) Our Wife États-Unis/1931/20’/VOSTF/16mm de James W. Horne Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Aidé de Stan, Oliver enlève son opulente fiancée, dont le père s’oppose à leur mariage, pour se rendre avec elle devant un juge de paix qui doit les marier. • Suivi de Quelle bringue ! La Nouba (Blotto) de James Parrott États-Unis/1930/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Oliver invite Stan, marié, à sortir dans une boîte de nuit, à l’insu de sa femme. Mais celle-ci n’est pas dupe, armée d’un fusil, elle va les suivre dans le cabaret.
Mer 16 décembre 21h30 GF
• Suivi de Les Bricoleurs/Pêle-mêle (Hog Wild) de James Parrott États-Unis /1929/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. A la demande de son acariâtre épouse, Oliver tente en vain, avec l’aide de Stan, d’installer une antenne de radio sur le toit de la maison.
Laurel et Hardy LES FILMS
Programme 15 (durée : 60’) Les Joies du mariage (Twice Two) de James Parrott États-Unis/1933/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver, mariés respectivement au double féminin de l’autre, assistent à un repas d’anniversaire en compagnie de leurs épouses. Repas qui dégénérera dans une bagarre générale. • Suivi de Bonnes d’enfants (Their First Mistake) de George Marshall États-Unis/1932/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Les rendez-vous amicaux de Laurel et Harry sont toujours contrecarrés par la femme de ce dernier. Stan suggère à Oliver d’adopter un enfant pour occuper l’esprit de sa femme à la maison et ainsi le laisser libre de ses mouvements. Mais entre temps sa femme l’a quitté et Harry et Stan se retrouvent avec un bébé dans les bras… • Suivi de Marchands de poissons (Towed in a Hole) de George Marshall États-Unis/1933/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy.
Ven 18 décembre 21h30 Salle GF -> -> Copie VOSTF Jeu 31 décembre 15h00 Salle GF -> -> Copies VF + VOSTF (séance jeune public)
s’acquitter de leur mission.
Programme 14 (durée : 80’) En dessous de zéro (Below Zero) de James Parrott États-Unis/1930/20’/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Musiciens ambulants en plein hiver, Laurel et Hardy n’obtiennent aucun succès et leurs instruments se font écraser. Mais ils trouvent un portefeuille. • Suivi de Drôles de locataires ! (Another Fine Mess) de James Parrott États-Unis/1930/27’/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Trouvant la maison d’un colonel laissée vide, Laurel et Hardy s’y installent et la louent à un couple en se faisant passer pour valet et soubrette. • Suivi de Livreurs, sachez livrer ! (The Music Box) de James Parrott États-Unis/1932/30’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel et Hardy doivent livrer un piano dans une villa au sommet d’une colline. Les habitants sont absents mais ils doivent
Programme 17 (durée : 70’) Les Jambes au cou (Going Bye bye) de Charles Rogers États-Unis/1934/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Le témoignage de Stan et Oliver a permis l’arrestation d’un gangster qui jure de se venger et s’évade peu après. • Suivi de Gai, Gai, marions-nous ! (The Private Life of Oliver the Eight) de Lloyd French États-Unis/1934/30’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver sont propriétaires d’un salon de coiffure. Oliver décide de quitter son commerce pour donner suite à une annonce matrimoniale. Stan le suit, à son insu, dans l’étrange maison où Oliver à rendez-vous. • Suivi de Les Joyeux compères (Them Thar Hills) de Charles Rogers États-Unis/1934/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Oliver en cure à la montagne, en compagnie de Stan, ne se doute pas que l’eau agréable que tous deux boivent du puits de leur maison de séjour a été contaminée avant
Mer 16 décembre 14h30 Salle GF-> -> Séance Jeune public Dim 20 décembre 19h30 Salle GF
Stan et Oliver viennent ramoner la cheminée dans la maison d’un savant fou.
Programme 16 (durée : 60’) Les Deux Flemmards (Me and My Pal) de Charles Rogers et Lloyd French États-Unis/1933/20’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Hardy, homme d’affaire, doit se marier dans la mâtinée avec la fille d’un magnat de l’industrie. Mais, accaparé par le puzzle offert par Laurel, il rate son propre mariage. • Suivi de Les Menuisiers (Busy Bodies) de Lloyd French États-Unis/1933/20’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver sont menuisiers dans un atelier où, dans les mains de nos deux compères, leurs outils professionnels prennent une destination inattendue. • Suivi de Les Ramoneurs/Un sale boulot (Dirty Work) de Lloyd French États-Unis/1933/20’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy.
Sam 19 décembre 21h30 Salle GF
Stan et Oliver, marchands de poissons, décident d’acheter, en le retapant, un rafiot pour vendre en direct le produit de leur pêche.
Programme 19 (durée : 70’) Prenez garde au lion ! (The Chimp) de James Parrott États-Unis/1932/30’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Le cirque dans lequel travaillent Laurel et Hardy fait faillite et le directeur donne les puces savantes à Laurel et un chimpanzé à Hardy pour les payer. • Suivi de Les Rois de la gaffe (The Fixer-Uppers) de Charles Rogers États-Unis/1935/20’/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Représentants en cartes postales, Stan et Oliver viennent en aide à une femme abandonnée par son mari. • Suivi de Qui dit mieux ? (Thicker Than Water) États-Unis/1935/20’/16mm de James W. Horne Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Laurel en pension dans la famille Hardy suggère à Oliver de retirer tout son argent de la banque pour payer ses créanciers. Mais l’achat d’une pendule ancienne à une vente aux enchères va engloutir les fonds
Sam 26 décembre 21h30 Salle GF
nuit, viennent en aide à un cambrioleur de bijouterie et arrêtent par méprise un commissaire qui, ayant égaré ses clés, tentait de rentrer chez lui en passant par la fenêtre de sa villa.
Programme 18 (durée : 60’) Laurel et Hardy électriciens (Tit For Tat) de Charles Rogers États-Unis/1935/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Nouveaux propriétaires d’un magasin d’appareillages électriques, Stan et Oliver vont saluer leur voisin, crémier, à qui ils ont malheureusement déjà eu affaire. • Suivi de Le Bateau hanté (The Live Ghost) de Charles Rogers États-Unis/1934/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver procurent un équipage de marins au capitaine d’un bateau réputé hanté. • Suivi de Les Deux Policiers (The Midnight Patrol) de Lloyd French États-Unis/1933/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver, policiers en patrouille la
Sam 26 décembre 19h30 Salle GF
leur arrivée par une quantité d’alcool déversé par des bootleggers pour échapper à un contrôle policier.
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Programme 20 (durée : 70’) Laurel et Hardy campeurs (One Good Turn) États-Unis/1931/20’/VOSTF/35mm de James W. Horne Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Démunis d’argent, « victimes de la crise », Stan et Oliver sillonnent la campagne à bord de leur vieille auto mangeant et dormant à la belle étoile. • Suivi de Les Deux Vagabonds (Scram) de Raymond McCarey États-Unis/1932/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Condamnés par un juge à quitter la ville, Stan et Oliver sont embarqués par un noceur ivre dans une maison qui se trouve être celle du juge lui-même. • Suivi de
Dim 27 décembre 19h30 Salle GF -> -> Copies VOSTF Lun 11 janvier 14h30 Salle HL -> -> Copies VF sauf 35mm VOSTF
qu’il venait de retirer.
laurel et hardy LES FILMS
Lun 28 décembre 19h30 Salle GF
Maison de tout repos (County Hospital) de James Parrott États-Unis/1932/20’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan rend visite à Hardy qui est à l’hôpital avec une jambe dans le plâtre. • Suivi de The Tree in a Test Tube de Charles McDonald États-Unis/1943/10’/VOSTF/16mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Stan et Oliver, bien vêtus, vont partir en voyage avec leur belle voiture neuve quand un journaliste les interpelle pour leur poser des questions très singulières. Le seul film de Laurel et Hardy tourné en couleur. Stéphane Goudet est critique, maître de conférences en histoire du cinéma à l’Université Paris 1 et dirige le cinéma Georges Méliès de Montreuil. Très grand connaisseur de l’œuvre de Jacques Tati, il fut, avec Macha Makeïeff, commissaire de l’exposition « Tati, deux temps, trois mouvements » à la Cinémathèque française au printemps 2009. Il est aussi l’auteur d’une monographie sur Buster Keaton (Cahiers du cinéma).
« Qui êtes-vous Laurel et Hardy ? » Introduction didactique à l’œuvre et à la vie d’un cinéaste ou, cette fois-ci, de deux acteurs aussi célèbres que méconnus : repères biographiques, films clés, contexte de production, thèmes et motifs privilégiés, extraits de films…
Mer 09 décembre 19h00 Salle HL CONFÉRENCE DE STEPHANE GOUDET
LAUREL ET HARDY parlons cinéma
Une émission à réécouter et à podcaster sur francemusique.com
Retrouvez également Laurel & Hardy sur France Musique le 6 décembre de 12h à 13h dans 42ème Rue de Laurent Valière.
Tarif plein 4 € / Tarif réduit 3 € / Forfait atout prix et Cinétudiant 2,5 € / Libre pass Accès libre : réservation conseillée à partir du mercredi 25 novembre, 12h30.
La Bataille du siècle de Clyde Bruckman + Œil pour œil de James Wesley Horne + Son Altesse royale de Lewis R. Foster + Vive la liberté ! de Leo McCarey + Les Bons petits Diables de James Parrott. (Voir page 23)
Après la conférence, à 21h00 , Projection d’un programme de films pour l’ouverture de la rétrospective Laurel et Hardy:
L'étrange créature du lac noir, Jack Arnold
le cinéma en 3d
Rétrospective 16 décembre – 03 janvier En partenariat avec Le Mouv, TéléObs, Allociné, Métro, Critikat.com, Technikart.
Du 16 décembre au 3 janvier prochain, la Cinémathèque vivra au rythme du cinéma en relief. Pour cet évènement exceptionnel, la salle Henri Langlois sera spécialement équipée afin de pouvoir passer différents types de procédés 3D. Durant trois semaines on pourra vivre le cinéma en trois dimensions et être à la fois le spectateur et le cobaye des expériences cinématographiques les plus inattendues.
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Avatar de James Cameron va-t-il provoquer une révolution dans l’industrie, la technique et l’art cinématographiques, comme l’annoncent certains ? Ce film au budget colossal, qui contient environ 60 % d’images de synthèse obtenues par un nouveau système (« performance capture », qui succède à la « motion capture »), et qui est réalisé avec une caméra numérique Fusion 3D mise au point par Vince Pace, sera-t-il au cinéma ce que Le Chanteur de Jazz a été au « Talkies » ? Ce qui semble certain, c’est que la 3D numérique va de plus en plus envahir nos salles, nos écrans de télévision, d’ordinateur, nos smartphones, les jeux vidéo. « Dans cinq ans, tous les films hollywoodiens seront en 3D », annonce le patron de DreamWorks. Une nouvelle ère s’annonce, pour le meilleur et le pire. Cet engouement pour l’image en relief, le cinéma l’a déjà connu à partir de 1952, notamment pour concurrencer le succès grandissant de la télévision. Une vague de films 3D s’est alors abattu sur le monde. De Popeye aux 3 Stooges, tous les genres cinématographiques ont été revisités, pour le plus grand profit des « money makers » (enfin, pas toujours…) et du public avide de nouvelles sensations. Il ne faudrait pas croire cependant que la stéréoscopie animée est née avec le cinéma. En fait, les images « mouvementées » et en relief apparaissent dès le XIXe siècle, bien avant l’invention même du cinématographe. Quelques chercheurs-prométhéens ont rêvé d’assouvir un fantasme apparu dès la Renaissance : « voir le mouvement continué de place en place » avec son relief, ses détails et animations, et même avec les sons et les couleurs : déjà le mythe du « cinéma total »… La longue série d’inventions et d’améliorations qui allaient suivre est bel et bien à l’origine du cinéma en trois dimensions d’aujourd’hui dont, il faut le rappeler, la mise au point technique et l’exploitation commerciale restent encore un champ d’étude très ouvert. Revenons aux origines. Le physicien anglais Charles Wheatstone, premier concepteur du stéréoscope à réflexion et à dessins géométriques (1838), suggère en 1849 de « combiner le principe du stéréoscope avec celui du phénakistiscope. C’est durant l’année 1852 que les idées de Wheatstone reçoivent leurs premières applications concrètes, grâce à l’opticien parisien Jules Duboscq, qui a déjà commercialisé avec grand succès, en 1851, le stéréoscope à prismes de David Brewster. Le grand (mais maladroit) pionnier dans l’enregistrement stéréoscopique des phases successives d’un mouvement sur pellicule celluloïd est l’Anglais William Friese-Greene. Plus on s’approche de l’extrême fin du XIXe siècle, plus les brevets et appareils à la fois stéréoscopiques et cinématographiques sont pléthore. Emile Reynaud, par exemple, qui avait brillamment résolu la question de la projection animée en 1892 avec son Théâtre optique,
conçoit en 1902 un « appareil stéréocinématographique », dans lequel on visionne deux rangées d’images successives tirées sur papier et obturées par une couronne de miroirs prismatiques. On se sert également très tôt de la technique anaglyphique prônée par Ducos du Hauron et d’Almeida. En 1925, Laurens Hammond permet aux Ziegfeld Follies d’exploiter ce procédé et J.A. Norling et J.F. Leventhal réaliseront, en 1936, pour la MGM, un court-métrage que le public regardait à travers des lunettes en gélatine rouge et bleue. Le système dit « Audioscopiks » allait engendrer d’autres recherches aux États-Unis, notamment en 1953, lorsque la MGM récidivera avec le « Metroscopix », présenté alors comme la nouveauté du siècle.
Le principe de l’image polarisée C’est le principe de l’image polarisée qui a permis la grande vogue des films 3D durant les années 1950. Ici encore, le procédé est ancien : l’Anglais John Anderton en expose les grandes lignes dans un brevet daté de 1891 : deux lanternes magiques, équipées de prismes de Nicol, projettent de la lumière polarisée à travers un jeu d’images stéréoscopiques. L’expansion commerciale du procédé à lumière polarisée sera longtemps freinée par le problème de l’écran qui devait être métallisé et par la synchronisation des deux projecteurs, même si, rapidement, on proposa un seul projecteur équipé d’un jeu de miroirs. Toujours est-il que bon nombre de films 3D lancés par les États-Unis durant les années 1950 pour essayer de rivaliser avec la télévision, repose sur le principe de la stéréoscopie à lumière polarisée (Le crime était presque parfait). Aujourd’hui la vieille utopie du cinéma intégral revient donc en force : la 3-D constitue encore et toujours une attraction forte auprès du public actuel, malgré le port de lunettes coûteuses (qu’il faut nettoyer à chaque utilisation) ou la médiocrité de certains films. Après plus de 150 ans d’expérimentations, les procédés numériques de cinéma 3D prônés par Cameron et les majors d’Hollywood vont-ils enfin permettre de résoudre véritablement la « question vitale » ? Laurent Mannoni La rétrospective Il y eu dans l’histoire du cinéma, plusieurs moments où le procédé fut à la mode. En ajoutant un nouvel effet spectaculaire de perception qui donnait la sensation que l’image sortait de son cadre pour venir englober le spectateur, il s’agissait au début des années 1950, de dépasser la télévision, nouveau et redoutable concurrent du cinéma. Quelques films de prestige (Le Crime était presque parfait d’Alfred Hitchcock) ont côtoyé d’extravagantes séries B (L’Homme au masque de cire, Panique sur la ville, L’Etrange
Créature du lac noir). Les objets semblaient parfois sortir de l’écran pour être projetés vers les spectateurs, ce qui transformait les séances en tours de manège imprévus et mouvementés. Il y eut au début des années 1980 une seconde vague de production de films en relief touchant des genres alors désuets (Western) ou à la mode come l’épouvante (Parasite, Amityville 3), les films d’arts martiaux (Dynasty) voire le cinéma pornographique. La floraison actuelle de films 3D utilisant le numérique sera également représentée. Jean-François Rauger
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HISTOIRE D'UNE TECHNIQUE
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Sam 19 décembre 19h00 Salle HL
Chair pour Frankenstein (Flesh for Frankenstein) de Paul Morrissey et Anthony Dawson IT-RFA-FR-EU/1973/95’/VOSTF/35mm Avec Joe Dallesandro, Monique Van Vooren. Le Baron Frankenstein rêve de créer une race de surhommes. Il fabrique un corps de femme et doit à présent faire son pendant masculin.
Lun 28 décembre 19h00 Salle HL
Le crime était presque parfait (Dial M for Murder) d’Alfred Hitchcock états-Unis/1954/105’/VOSTF/35mm Avec Ray Milland, Grace Kelly. Un homme met en place un plan machiavélique pour assassiner sa femme.
Jeu 24 décembre 14h30 Salle HL • Film précédé de Spooks! de Jules White.
La Belle du Pacifique (Miss Sadie Thompson) de Curtis Bernhardt États-Unis/1953/91’/VOSTF/35mm Avec Rita Hayworth, Joe Ferrer. Une épidémie ravage la Nouvelle-Calédonie. Un prêcheur en profite pour diffuser sa bonne parole et tente de convertir l’ancienne prostituée Sadie Thompson.
Jeu 17 décembre 19h00 Salle HL
emmène sa fiancée Jennifer, la diligence se fait attaquer et Jennifer est enlevée.
Bataille sans merci (Gun Fury) de Raoul Walsh États-Unis/1953/83’/VOSTF/35mm Avec Rock Hudson, Donna Reed. Sur le chemin de la Californie où Ben Warren
Mer 30 décembre 14h30 Salle HL-> -> Séance Jeune public
Dynasty (Qian dao wan li zhu) de Mei Cheung Chang Hong-Kong/1977/94’/VF/35mm Avec Ying Bai, Kang Chin. Un film où les arts martiaux sont exploités pour un spectacle optimal.
Jeu 17 décembre 21h00 Salle HL
Emmanuelle 4 de Francis Leroi et Iris Letans France/1984/90’/35mm Avec Sylvia Kristel, Mia Nygren. Emmanuelle fuit au Brésil pour échapper à son amant. Elle subit là-bas une chirurgie qui change son propre corps.
Dim 03 janvier 19h00 Salle HL
Embrassez-moi, chérie (Kiss me, Kate) de George Sidney états-Unis/1953/109’/VOSTF/35mm Avec Howard Keel, Kathryn Grayson. Un couple d’acteurs divorcé doit travailler ensemble sur un spectacle musical adapté de la pièce de Shakespeare La Mégère apprivoisée par Cole Porter.
Mer 23 décembre 15h00 Salle HL-> -> Séance Jeune public
Le Guerrier de l’espace: aventures en zone interdite (Space Hunter: Adventures of the Forbidden Zone) de Lamont Johnson États-Unis/1983/90’/VOSTF/35mm Avec Peter Strauss, Molly Ringwald. Avec l’aide d’une jeune orpheline, Wolff tente
Sam 19 décembre 14h30 Salle HL
Fort Ti de William Castle États-Unis/1953/78’/VOSTF/35mm Avec George Montgomery, Joan Vohs. En 1759, pendant le conflit franco-indien, le Commandant Robert Rogers appelle au renforcement militaire à Alabany dans l’Etat de New York pour tenir les Indiens éloignés jusqu’à ce que l’armée régulière soit prête à monter vers le Nord.
Sam 26 décembre 19h00 Salle HL
Le Fantôme de la rue Morgue (Phantom of the rue Morgue) de Roy del Ruth États-Unis/1954/85’/VOSTF/35mm Avec Karl Malden, Patrick Medina. La rue Morgue à Paris est au XIXe siècle le théâtre de nombreux meurtres. On accuse un zoologue mais il semblerait que le meurtrier ne soit pas humain.
Jack Skellington est las de préparer la fête d’Halloween tous les ans. Il décide de s’approprier Noël. Sam 19 décembre 21h00 Salle HL
hommes, s’échappent lors d’un transport.
L’Étrange Noël de Mr. Jack (The Nightmare Before Christmas) de Henry Selick États-Unis/1993/75’/VF/projection numérique
Mer 30 décembre 21h00 Salle HL Sam 02 janvier 19h15 Salle HL
Lun 21 décembre 21h00 Salle HL Dogs of Hell (Rottweiler) de Worth Keeter États-Unis/1982/89’/VOSTF/35mm avec Earl Owensby, Bill Gribble Une meute de rottweilers, élevés et entraînés par l’armée américaine à tuer des
L’Étrange Créature du lac noir (Creature from the black lagoon) de Jack Arnold États-Unis/1954/80’/VOSTF/35mm Avec Richard Carlson, Julia Adams. Une expédition de paléontologues se risque en Amazonie pour étudier une étrange créature au fond d’un lagon.
Les Dents de la mer III (Jaws 3) de Joe Alves États-Unis/1983/97’/VOSTF/35mm Avec Dennis Quaid, Bess Armstrong. Les deux fils du héros des épisodes précédents travaillent pour un centre aquatique où ils recueillent un bébé requin. Mais la mère entend bien récupérer sa progéniture.
Amityville 3D- Le Démon (Amityville 3D) de Richard Fleischer États-Unis/1983/93’/VOSTF/35mm Avec Tony Roberts, Tess Harper. Un journaliste s’installe à Amityville, dans la célèbre maison qui fut le théâtre de meurtres et d’événements surnaturels. La suite de Amityville, la maison du diable de Stuart Rosenberg et Amityville 2 : le possédé de Damiano Damiani. Lun 21 décembre 19h00 Salle HL
Le Crime était presque parfait, d’Alfred Hitchcock
L’Homme au masque de cire, André de Toth
Les Dents de la mer III, Joe Alves
Sam 26 décembre 14h30 Salle HL
Intrigue sous les Tropiques (Drums of Tahiti) de William Castle États-Unis/1954/73’/VOSTF/35mm Avec Dennis O’Keefe, Patricia Medina. En 1877, les Tahitiens, gouvernés par la reine Pomare et soutenus par les Britanniques, attendent une cargaison d’armes pour se révolter contre le protectorat français.
Mer 23 décembre 19h00 Salle HL
Inferno de Roy Baker États-Unis/1953/83’/VOSTF/35mm Avec Robert Ryan, Rhonda Fleming. Un millionnaire alcoolique est abandonné dans le désert par sa femme et son amant.
Lun 28 décembre 17h00 Salle HL
L’Homme du Nebraska (The Nebraskan) de Fred F. Sears États-Unis/1953/68’/VOSTF/35mm Avec Wallace Ford, Philip Carey. Au Nebraska, Wade Harper tente d’établir des accords de paix durables entre les Américains et les Indiens. Mais le danger le guette…
réservation conseillée à partir du Mer 02 décembre 12h30.
Mer 16 décembre 20h00 Salle HL -> Séance d'ouverture, libre pass:
L’Homme au masque de cire (House of Wax) d’André de Toth États-Unis/1953/108’/88’/VOSTF/35mm Avec Vincent Price, Phyllis Kirk. Des années après l’incendie criminel du musée d’un sculpteur de figures de cire, celui-ci réapparait pour l’ouverture d’un nouveau musée, alors que des cadavres ont tendance à disparaitre de la morgue.
Sam 26 décembre 21h00 Salle HL
de sauver trois femmes capturées par le dictateur d’une planète ravagée par la peste.
L’Etrange Noël de Mr. Jack, de Henry Selick
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
le cinéma en 3d LES FILMS
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Jeu 31 décembre 14h30 Salle HL Panique sur la ville (Gorilla at Large) de Harmon Jones États-Unis/1954/84’/VOSTF/35mm Avec Cameron Mitchell, Ann Bancroft. Goliath, l’énorme gorille, est le pôle d’attraction d’une foire. Lorsqu’un homme est retrouvé le cou brisé, c’est lui le coupable tout désigné.
Jesse James VS. The Daltons de William Castle États-Unis/1954/65’/VOSTF/35mm Avec Brett King, Barbara Lawrence. Joe Branch se rend à Coffeyville pour retrouver son père qui selon la rumeur serait Jesse James. Jeu 24 décembre 16h30 Salle HL Le Labyrinthe (The Maze) de William Cameron Menzies États-Unis/1953/81’/VOSTF/35mm Avec Richard Carlson, Veronica Hurst. Kitty se rend en Ecosse dans le château de son ancien fiancé qui l’a abandonnée quelques semaines plus tôt. Elle le découvre soudainement vieilli.
Le Météore de la nuit (It Came from Outer Space) de Jack Arnold États-Unis/1953/81’/VOSTF/35mm Avec Kathleen Hughes, Richard Carlson.
Dim 27 décembre 19h00 Salle HL • Film précédé de Pardon My Backfire, de Jules White.
Les Massacreurs du kansas (The Stranger Wore a Gun) de André de Toth États-Unis/1953/83’/VOSTF/35mm Avec Randolph Scott, Claire Trevor. Fuyant un passé trouble, Jeff Travis rencontre Jules Mourret qui sait tout de lui. Jules s’apprête à attaquer une diligence de la compagnie pour laquelle travaille Jeff.
Sam 02 janvier 21h00 Salle HL
Le Masque (Eyes of Hell/The Mask) de Julian Roffman Canada/1961/83’/VOSTF/35mm Avec Paul Stevens, Claudette Nevins. Un jeune archéologue découvre un masque qui le rend fou.
Dim 27 décembre 21h00 Salle HL
The Mad Magician de John Brahm États-Unis/1954/72’/VOSTF/35mm Avec Vincent Price, Mary Murphy. Don Gallico invente des tours qui sont ensuite revendus à des magiciens par M. Ormond. Quand Don Gallico décide de se mettre à son compte, M. Ormond s’y oppose.
Jeu 31 décembre 17h00 Salle HL
Dim 20 décembre 21h00 Salle HL
Revenge of the Shogun Women (Shi shan nu ni) de Mei Chung Chang Hong Kong/1977/98’/VOSTF/35mm Avec Pai Ying, Leung Sau Geun. En Chine, au 17e siècle, de sanguinaires bandits masqués pillent, brûlent les villages, assassinent les habitants et violent les femmes.
Ven 18 décembre Minuit Salle HL-> -> En présence du réalisateur.
Le Pensionnat des petites salopes de Pierre B. Reinhard France/1982/66’/35mm Avec Jean-Pierre Armand, Piotr Stanislas. Deux copains se déguisent en Père Noël afin de passer le réveillon dans un pensionnat de jeunes filles. Interdit aux moins de 18 ans.
Ven 18 décembre 22h00 Salle HL-> -> Cinéma Bis
Parasite de Charles Band États-Unis/1981/85’/VF/35mm Avec Robert Glaudini, Demi Moore. Après une guerre nucléaire, le docteur Paul Dean a mis au point une nouvelle forme de parasite dont il a conservé un échantillon dans son abdomen. Le gouvernement veut s’en emparer.
Lun 21 décembre 17h00 Salle HL
Voyage au centre de la Terre (A journey to the center of the earth) de Eric Brevig États-Unis/2008/92’/VOSTF/numérique Avec Brendan Fraser, Josh Hutcherson. Lors d'une expédition en Islande, un
Dim 27 décembre 15h00 Salle HL-> -> Séance Jeune public
Le Trésor des quatre couronnes (Il Tesoro della quattro corone) de Ferdinando Baldi Esp-EU-GB/1983/97’/VOSTF/35mm Avec Tony Anthony, Ana Obregón. Des aventuriers sont à la recherche de couronnes ancestrales dont l’or contiendrait le secret du bien et du mal.
Sam 19 décembre 17h00 Salle HL
Those Redheads from Seattle de Lewis R. Foster États-Unis/1953/90’/VOSTF/35mm Avec Rhonda Fleming, Gene Barry. Une femme et ses quatre filles s’installent en Alaska pour participer à la Ruée vers l’or.
Lun 28 décembre 21h15 Salle HL
The Stewardesses de Alf Silliman Jr. États-Unis/1971/95’/VOSTF/35mm Avec Christina Hart, Michael Garrett. Une nuit mouvementée et unique dans la vie d’un équipage d’avion.
Dim 20 décembre 15h00 Salle HL-> -> Séance Jeune public.
Starchaser – The Legend of Orin de Steven Hahn États-Unis/1985/107’/VOSTF/35mm Le premier film d’animation en 3D. Le jeune Orin vit dans un monde souterrain où les humains sont devenus les esclaves des robots.
Dim 20 décembre 19h00 Salle HL
Silent Madness de Simon Nuchtern États-Unis/1984/93’/VOSTF/35mm Avec Belinda Montgomery, Viveca Lindfors. Un psychopathe évadé de l’asile retourne au collège Barrington où 20 ans plus tôt d’horribles meurtres ont été commis.
Mer 23 décembre 21h00 Salle HL
Meurtres à la Saint-Valentin (My Bloody Valentine) de Patrick Lussier Etat-Unis/2009/101’/VOSTF/numérique Avec Jensen Ackles, Jaime King. La petite ville minière d’Harmony fut autrefois le théâtre d’un effroyable drame. L’erreur commise par le jeune Tom Hanniger, un mineur débutant, provoqua la mort de cinq hommes.
Sam 26 décembre 17h00 Salle HL
Sam 03 janvier 21h15 Salle HL • Film précédé de Meurtre en 3D de George Sidney
Sangaree d’Edward Ludwig États-Unis/1953/94’/VOSTF/35mm Avec Fernando Lamas, Arlene Dahl. Le Dr Carlo Morales est désigné comme le principal héritier du général Darby qui l’a élevé. Mais la fille du général tente de casser le testament.
John vit avec sa copine dans le désert d’Arizona où il observe les étoiles. Un jour, une météorite s’écrase non loin de chez lui et il voit dans le cratère un vaisseau spatial.
Invasion fantastique sur la planète Terre (The Bubble/Fantastic Invasion of Planet Earth) de Arch Oboler États-Unis/1966/91’/VOSTF/35mm Avec Michael Cole, Deborah Walley. La Terre est emprisonnée dans une grosse bulle par une attaque extra-terrestre.
le cinéma en 3d LES FILMS
Jeudi 24 décembre 14h30 Salle HL • Film suivi de La Belle du Pacifique de Curtis Bernhardt
Spooks! de Jules White Etats/Unis/1953/16’/VOSTF/35mm Avec Larry Fine, Moe Howard. Des détectives privés sont engagés pour retrouver une jeune fille disparue. Un gorille et divers malfrats vont se mettre sur leur chemin.
Dim 27 décembre 19h00 Salle HL • film suivi de Les Massacreurs du Kansas de André de Toth
Pardon My Backfire de Jules White Etat/Unis/1953/16’/VOSTF/35mm Avec Larry Fine, Moe Howard. Larry, Moe et Shemp, garagistes, ont un grand besoin d’argent pour épouser leurs fiancées. Des gangsters évadés vont leur fournir une solution…
Mer 30 décembre 19h00 Salle HL
8 essais de cinéma en relief de Louis Lumière France/1932-1937/38'/35mm • Suivis de L’Ami de Monsieur de Pierre Cuvier France/1935/31’/35mm Sous réserve • Suivi de Riviera de charme de Nice de George Clerc France/1936/15’/35mm
Dim 03 janvier 21h15 Salle HL • Film suivi de Le Météore de la Nuit de Jack Arnold
Meurtre en 3D (Three Dimensional Murder) de George Sidney États-Unis/1941/8’/35mm Avec Pete Smith, Ed Payson. Le narrateur s’aventure dans la vieille maison de sa tante et se trouve face à d’étranges créatures.
COURTS-MÉTRAGES
Ven 18 décembre 20h00 Salle HL-> -> Cinéma Bis
Western (Comin’at ya) de Ferdinando Baldi IT-ESP-EU/1983/80’/VF/35mm Avec Victoria Abril, Toni Anthony Le jour où Hart et Abilene se marient, c’est surtout pour le pire…
Dim 03 janvier 14h30 Salle HL
scientifique et son neveu sont bloqués dans une caverne après une tempête. Ils se rendent bien vite compte que le seul chemin sûr les mène vers le centre de la terre.
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musical Memories de Dave Fleischer États-Unis/1935/7’09/35mm Grand-père et Grand-mère sont assis au coin du feu et écoutent de la musique en regardant des photos stéréoscopiques. • Suivi de Working for Peanuts Production Disney États-Unis /1953/6’30/35mm Une nouvelle aventure de Tic & Tac. • Suivi de Parade of Attraction Russie/1960/5’37/35mm Série de documentaires expérimentaux sur le procédé de relief russe. • Suivi de Motor Rhythm de Charley Bowers États-Unis/1940/8’/35mm Film d’animation où une voiture s’assemble par magie. • Suivi de
Séance présentée et illustrée au piano par Serge Bromberg
séance spéciale : Retour de flamme
le cinéma en 3d LES FILMS
Les lunettes pour voir les films en 3D seront en location 1 € pour tous les publics.
Sam 02 janvier 17h00 Salle HL
Animateur stéreo de René Bunzli France/1900/1’43/35mm Série de 4 films tirés d’un des premiers essais de cinéma en relief inventé par René Bunzli. • Suivi de Falling in Love Again de Munro Ferguson Canada/2003/2’55/35mm Comédie d’animation au rythme de l’interprétation par Marlène Dietrich de la chanson dans L’Ange bleu. • Suivi de Knick Knack de John Lasseter et Eben Ostby États-Unis/1989/3’37/35mm La vie d’un bonhomme de neige enfermé dans une boule à neige peut parfois devenir épuisante.
gordon douglas
Rétrospective 06 janvier – 08 février En partenariat avec Télérama, Positif
The Fiend Who Walked the West, Gordon Douglas
« Les débuts de la stéréoscopie animée » Laurent Mannoni (historien, directeur scientifique du patrimoine à la Cinémathèque française)
« La physiologie du relief » Thierry Lefebvre (historien du cinéma et des médias)
Programme en cours: Voir www.cinematheque.fr.
Alors qu’Avatar de James Cameron sort sur les écrans du monde entier et à l’heure où l’industrie cinématographique se tourne de nouveau vers la 3D pour réaliser d’abord des live action movies destinés à accompagner l’installation du parc numérique aux États-Unis et en Europe, cette Journée d’études retracera l’histoire du cinéma en relief depuis la vogue des vues stéréoscopiques au XIXe siècle jusqu’à nos jours.
Jeu 17 décembre 10h00-17h30 Salle HL JOURNÉE D’ÉTUDES « Cinéma en relief : la 3D à portée de main ? »
le cinéma en 3d parlons cinéma
Tarif Plein 4€ / Tarif Réduit 3€ / Forfait atout prix et Cinétudiant 2.5€ / Libre pass Accès libre
Dialogue avec Lenny Lipton. Chercheur dans le champ de stéréoscopie depuis les années 80, ses avancées sont au coeur de la révolution 3D numérique aux États-Unis.
« L’écran ouvert ou la projection à l’envers - réflexions sur l’esthétique de la 3D » Charles Tesson.(critique de cinéma)
« Retour sur l’histoire de la projection numérique 3D » Jean-Baptiste Hennion (2AVI, Département numérique)
« La prise de vue en relief » Alain Derobe (chef opérateur, stéréographe)
« L’accueil de la 3-D de Hollywood par les professionnels du cinéma français (1952-1955) » Guillaume Vernet (historien du cinéma)
« Les tentatives d’introduction du relief dans les années 50 aux États-Unis » Kira Kitsopanidou (historienne du cinéma)
Cinéaste prolifique, Gordon Douglas a suivi toute l’évolution du cinéma américain des années 30 à la fin des années 70, s’adaptant aux modes, acceptant parfois des travaux de commande et témoignant souvent d’un art très sûr et efficace de la mise en scène, très visible dans ses excellents films noirs, comme dans ses westerns. Gordon Douglas fait partie de ces cinéastes, à ce point liés et contraints par la production en série des studios et, au-delà, des changements de modes auquel obéit le divertissement tel qu’il était conçu à Hollywood, qu’il est très difficile de voir, dans une filmographie étalée sur plus de quarante ans, une vision ou une philosophie personnelle. Si ce n’est celles qui se déduisent d’abord d’un style et d’une écriture propre. Mais cela n’est il-pas l’essentiel, lorsque l’on recherche du cinéma l’expression de son autonomie ? Gordon Douglas a très rarement été à l’origine des scénarios qu’il a filmés, et s’est vu contraint d’accepter les projets qu’on lui proposait. Contrairement aux artistes considérés comme tels et représentant ce que l’on appelle le style classique, il s’est souvent, opportunément, sans état d’âme, mais avec ce qui ressemble à une superbe désinvolture, adapté aux modes du moment, aussi triviales ou faussement modernes soient-elles. Il est de ceux qui ont su tirer paradoxalement profit des impasses dans lesquelles Hollywood s’engageait, notamment dans les années 1960.
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Le cinéma dès l’enfance Gordon Douglas est né le 15 décembre 1907 à New York. Il débute très tôt dans le cinéma. Enfant, il lui arrive de faire l’acteur dans les films produits par des studios new-yorkais. Après le collège, il devient employé de bureau à la MGM à New York, puis figurant dnas les studios Paramount de Long Island. Il rejoint Hollywood et y travaille avec Hal Roach, célèbre producteur de films comiques. Il est acteur, scénariste, gagman. Il se rend à ce point indispensable que Roach lui confie la réalisation de courts métrages burlesques, la série des Our Gang, mettant en scène les tribulations comiques d’un groupe d’enfants. Rien de surprenant dès lors si ses débuts dans la mise en scène se font dans l’anonymat du cinéma burlesque, assurément un genre où le réalisateur s’efface presque obligatoirement derrière l’acteur (ou les acteurs) et son personnage. Il restera d’ailleurs, tout au long de sa carrière, fidèle au comique et tournera régulièrement avec plusieurs vedettes du burlesque dont Laurel et Hardy bien sûr, stars de l’écurie Hal Roach (Saps at Sea-Laurel et Hardy en croisière en 1940). Il filmera aussi l’unique tentative de créer un couple Oliver Hardy-Harry Langdon avec Zenobia (Zénobie) en 1939, son premier long métrage. Il fera tourner Bob Hope (Call me Bwana) en 1963, et Jerry Lewis dans un médiocre vaudeville pop (Way Way Out- Tiens bon la rampe, Jerry) en 1966.
Une subversion des genres On a beaucoup dit que Gordon Douglas était un cinéaste à l’aise dans ce que l’on appelle les genres, particulièrement le film noir et le western. Mais l’intérêt du cinéma de Gordon Douglas c’est aussi de démontrer à quel point la notion de genre est inopérante pour juger de la valeur d’une œuvre, qu’elle constitue davantage un poids, une contrainte, une limitation. Dire d’un film qu’il est un bon film de genre, c’est dire qu’il est un mauvais film. C’est pourquoi, dans les bons films de Gordon Douglas, la notion de genre est fréquemment transcendée et dépassée par une manière, soit d’en contaminer les conventions par des éléments exogènes, soit de les envisager avec une sorte de dérision maniériste, soit de les déborder par une hypertrophie de violence, trois façons typiques du savoir-faire « douglasien ». On trouve ainsi, chez lui, une manière inimitable d’injecter, par la cruauté de certaines situations, une dimension fantastique ou d’épouvante dans le western. L’atroce attente des soldats, encerclés par les Indiens et voués à une mort certaine, dans Only the Valiant (Fort Invincible) en 1951, ou dans Chuka (Chuka le redoutable) en 1967, font ainsi basculer la stricte convention westernienne. The Fiend Who Walked the West (1958) introduit une rhétorique de film d’épouvante dans le western. Certaines péripéties « baroques » de Rio Conchos (1963), comme la façade-simulacre du palais sudiste installé par Edmond O’Brien, les tortures subies par les protagonistes, le terrifiant massacre par lequel débute le film, suscitent le même sentiment. Them ! (Des monstres attaquent la ville) est, en 1954 un des meilleurs films de science-fiction des années 1950, parce que la dimension surnaturelle est ici favorablement contrebalancée par un sens instinctif de l’action pure. Le formidable Kiss Tomorow Good-bye (Le Fauve en liberté) réalisé en 1950 est un film noir, mais aussi l’histoire d’un personnage qui essaie d’échapper à l’univers du film noir. A cet égard, la structure du scénario, signé Harry Brown, fidèle collaborateur du cinéaste, en ferait presque une version sombre et désespérée de High Sierra, moins idéalisée. Comme dans le chef-d’œuvre de Raoul Walsh, le héros est tenté de sortir de sa condition en épousant une femme de la bourgeoisie, mais ici il a la fureur animale et amorale de James Cagney et non l’aura romantique d’Humphrey Bogart. Come Fill the Cup ! (Feu sur le gang) en 1951 est moins un film noir qu’un poignant récit sur l’alcoolisme. En 1954, Young At Heart enfin, est une comédie musicale, genre où s’est peu aventuré Douglas, mais une comédie musicale atypique. La mièvrerie de la première demi-heure y cède la place, avec l’arrivée du personnage interprété par Sinatra, à une noirceur dépressive inattendue. Ainsi, à l’arrivée, Young at Heart est sans doute un des films hollywoodiens les plus authentiques et les plus conscients jamais fait sur la dépression. « Tu ne peux pas éviter d’être un brave type. Tu m’ennuies à mort », dit le personnage incarné par Sinatra au « héros positif » interprété par Gig Young. Mais il y a l’autre manière de contourner les genres, où du moins d’en relativiser ou d’en déplacer les enjeux. Les trois films tournés avec Frank Sinatra en vedette, entre 1967 et 1969, ont par exemple su parasiter le genre policier, soit par une désinvolture paradoxalement efficace comme dans les deux « Tony Rome », Tony Rome (Tony Rome est dangereux) et The Lady in Cement (La Femme en ciment), soit par une tristesse profonde teintée de critique sociale dans The Detective (Le Détective). Sylvia (L’Enquête) en 1965 réduit à néant les mécanismes de l’enquête policière au profit d’une mélancolie typique de cette époque où Hollywood est justement un peu dépressif. 43
Un art de l'énergie brutale
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Sam 16 janvier 19h30 Salle GF
Appelez-moi chef (Call Me Bwana) de Gordon Douglas États-Unis/1963/93’/VOSTF/35mm Avec Bob Hope, Anita Ekberg. Une capsule spatiale avec des informations capitales s’est écrasée en Afrique. Un
Mer 03 février 21h30 Salle GF
Ven 29 janvier 19h00 Salle HL
Barquero de Gordon Douglas États-Unis/ 1970/105’/VOSTF/16mm Avec Lee Van Cleef, Warren Oates. Jake Remy et son gang de hors-la-loi s’échappent après un braquage. Leur chemin est barré par une rivière qui ne peut être
Sam 23 janvier 14h30 Salle HL
Bombardiers B-52 (Bombers B-52) de Gordon Douglas États-Unis/1957/106’/VOSTF format à déterminer Avec Natalie Wood, Karl Malden. Le sergent Chuck Brennan de la US Air Force a toujours détesté le colonel Jim Herlihy. Bien des années après la guerre de Corée, ils se rencontrent à nouveau. Appelez-moi Monsieur Tibbs (They Call Me MISTER Tibbs!) de Gordon Douglas États-Unis/1970/108’/VOSTF/16mm Avec Sidney Poitier, Martin Landau. Le lieutenant Virgil Tibbs doit enquêter sur le meurtre d’une prostituée dans lequel semble impliqué son ami, le révérend Logan Sharpe, militant politique et religieux.
A Night of Adventure de Gordon Douglas États-Unis/1944/65’/VOSTF/35mm Avec Tom Conway, Audrey Long. Un avocat défend l’amant de sa femme, accusé du meurtre d’une deuxième maîtresse.
Mer 13 janvier 19h30 Salle GF
traversée à la nage.
Au péril de sa vie (The Sins of Rachel Cade) de Gordon Douglas États-Unis/1961/124’/VOSTF/35mm Avec Angie Dickinson, Peter Finch. Dans un hôpital du Congo belge dans les années 40, un colonel tombe amoureux d’une infirmière, mais celle-ci succombe au charme d’un jeune aviateur de la RAF. explorateur amateur est engagé pour la retrouver. LONGS MÉTRAGES
Ven 29 janvier 21h15 Salle HL Ven 05 février 17h00 Salle HL
L'Enquête, Gordon Douglas La Grande Menace, Gordon Douglas Des monstres attaquent la ville, Gordon Douglas
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
Les Sept Voleurs de Chicago, Gordon Douglas
Jean-François Rauger
gordon douglas les films
Entre ironie et croyance Trop jeune pour avoir débuté au temps du Muet, comme ce que l’on appelle les grands cinéastes classiques (Ford, Hawks, Walsh) ou les grands artisans des studios (King, Curtiz), Douglas aura connu, dans la dernière partie de sa carrière, l’affaissement esthétique et moral qu’a vécu Hollywood. Son goût pour l’action, parfois teinté de sadisme, a ainsi été confronté à un relâchement de celle-ci consécutive à l’incrédulité et l’ironie qui caractérisent alors le public « moderne ». Sa manière de composer avec l’esprit de son temps sera dès lors celle d’une légèreté « pop » contrebalancée par un sens toujours intact de la violence. Il contribuera à faire ainsi d’Elvis Presley en 1962 (Follow That Dream-Le Shérif de ces dames) et de Frank Sinatra (Tony Rome, The Lady in Cement), deux icônes de distanciation des années 1960, des personnages qui ne sont plus tout à fait à ce qu’il font l’un, Presley devient ainsi une sorte d’attardé mental, l’autre, l’incarnation d’une nonchalance « cool » . Mais, parallèlement à cette impression d’insouciance joyeuse, s’accentue dans certains titres le sentiment d’enfermement qui n’a jamais quitté son œuvre et qui est accentué par des tournages en studio dans une époque où ceux-ci se raréfiaient, avec des films comme Chuka ou They Call Me MISTER Tibbs (Appelez moi Monsieur Tibbs) en 1970. L'excellent Barquero (1971) prend l’allure d’une longue phase d’attente, où l’action semble être étrangement suspendue, encadrée par deux séquences d’une brutalité inédite et troublante. On a déjà noté sa manière originale de suivre les projectiles lancés à vive allure d’un rapide mouvement de caméra ; il faudra aussi, au fur et à mesure de l’évolution de son œuvre, observer comment il met en place des scènes où les personnages adoptent volontiers, flegmatiquement, la position horizontale, découpant ainsi l’écran large par rapport à cette nouvelle mise en scène des corps dans l’espace. Sans doute, n’est-ce pas un hasard s’il réalise, avec Slaughter’s Big Rip-off (L’Exécuteur noir) en 1973, un film représentatif de la vogue dite Blaxploitation, forme dégradée, presque parodique, du film d’action ou du film noir traditionnel. A la fin de sa carrière, Gordon Douglas s’est moins acharné à renouveler les conventions qu’à s’en amuser par tous les moyens. Mais sans jamais perdre la foi.
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Un sens du détail cruel Qu’est-ce qui fait la valeur de nombreux films signés Gordon Douglas, puisqu’il faut se passer de la certitude de se trouver face à l’œuvre de ce que la cinéphilie traditionnelle désigne comme un auteur ? Un sens personnel de la topographie, une sécheresse qui évite systématiquement de succomber à un certain sentimentalisme, une manière de filmer la violence, une façon unique d’attaquer le cadre, une absence de pathos, une intuition de l’espace, un sens aigu du détail sanglant ou cruel ? A cet égard, on peut se souvenir de l’affreux rictus de la vieille femme étranglée par le forçat évadé, dans Dick Tracy contre Cueball, adaptation en 1946 de la bande dessinée qui se détache des œuvres équivalentes par ce genre de notations féroces. Dans The Fortunes of Captain Blood (1950), une balle de pistolet trace une ligne sanglante sur le visage d’un homme, un autre touché par une torche lancée par son adversaire commence à s’enflammer. L’esprit relativement débonnaire du film d’aventures maritimes est, dans ce film, altéré par de telles trouvailles.
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Mer 27 janvier 21h00 Salle HL Lun 01 février 17h00 Salle GF
De minuit à l’aube (Between Midnight and Dawn) de Gordon Douglas États-Unis/1950/92’/VOSTF/16mm Avec Mark Stevens, Edmond O’Brien. Deux officiers de police vétérans et amis, « Rocky » et Dan, tombent amoureux de la même fille.
Sam 06 février 21h30 Salle GF
Chuka le redoutable (Chuka) de Gordon Douglas États-Unis/1967/105’/VOSTF/ format à déterminer Avec Rod Taylor, Ernest Borgnine, John Mills, Luciana Paluzzi. Chuka l’aventurier et les autres occupants d’un fort de l’armée américaine sont encerclés par les Indiens. Sans espoir de s’échapper, les assiégés se dévoilent leur passé respectif.
Lun 08 février 14h30 Salle HL
Claudelle Inglish de Gordon Douglas États-Unis/1961/99’/VOSTF/16mm Avec Diane McBain, Arthur Kennedy. Une jeune fermière du Sud des États-Unis épouse un fermier sans le sou, au lieu du riche prétendant choisi par sa mère.
Lun 18 janvier 14h30 Salle HL Sam 30 janvier 17h00 Salle HL
recherche.
La Charge sur la rivière rouge (The Charge at Feather River) de Gordon Douglas États-Unis/1953/95’/VOSTF/35mm Avec Guy Madison, Frank Lovejoy. Deux femmes ont été capturées par les Cheyennes. La cavalerie est à leur
Mer 27 janvier 19h00 Salle HL
Catherine et son amant (She’s Back on Broadway) de Gordon Douglas États-Unis/1953/95’/VOSTF/16mm Avec Virginia Mayo, Gene Nelson. La carrière de Catherine Terris à Hollywood bat de l’aile. Elle pense alors à retourner à Broadway, où elle a fait ses débuts, mais son ancien mentor voit ça d’un mauvais œil.
Ven 05 février 22h00 Salle HL-> -> Cinéma Bis
Le Casse-cou (Viva Knievel!) de Gordon Douglas États-Unis/1977/104’VOSTF/35mm Avec Evel Knievel, Gene Kelly. Un célèbre cascadeur se rend à Mexico pour préparer un de ses plus grands numéros et rencontrer ses admirateurs. Pendant ce temps, son grand rival complote contre lui.
gordon douglas les films
L’Exécuteur noir (Slaughter’s Big Rip-Off) de Gordon Douglas États-Unis/1973/92’/VOSTF/35mm Avec Jim Brown, Ed McMahon. Slaughter, ancien Béret vert, pique-nique avec des amis lorsqu’un biplan apparaît et les mitraille. Ven 05 février 20h00 Salle HL-> -> Cinéma Bis
Des monstres attaquent la ville (Them!) de Gordon Douglas États-Unis/1954/94’/VOSTF/35mm Avec James Whitmore, Edmund Gwenn. Des expériences atomiques dans le désert du Nouveau-Mexique ont provoqué des mutations de fourmis. Ven 15 janvier 19h00 Salle HL Lun 01 février 14h30 Salle HL
Jeu 21 janvier 14h30 Salle HL Sam 06 février 19h30 Salle GF
Les Doolins de l’Oklahoma (The Doolins of Oklahoma) de Gordon Douglas États-Unis/1949/84’/VOSTF/16mm Avec Randolph Scott, George McReady. Chef d’un gang, Bill Doolin décide de le quitter pour mener une nouvelle vie sous un faux nom ; jusqu’au jour où les anciens membres du gang le retrouvent.
Jeu 04 février 21h30 Salle GF
Sam 09 janvier 19h00 Salle HL Jeu 14 janvier 19h30 Salle GF
Lun 25 janvier 17h00 Salle GF • Film suivi de San Quentin Dim 31 janvier 17h00 Salle HL • Film suivi de San Quentin La Diligence vers l’Ouest (Stagecoach) de Gordon Douglas États-Unis/1966/115’/VOSTF/35mm Avec Ann-Margret, Red Buttons. Un groupe de voyageurs assez insolite prend la même diligence vers l’Ouest. Alors qu’ils sont attaqués par des hors-la-loi, ils doivent oublier leurs différences pour survivre.
Jeu 07 janvier 21h15 Salle HL Dim 24 janvier 19h15 Salle HL
La Femme en ciment (Lady in Cement) de Gordon Douglas États-Unis/1968/94’/VOSTF/35mm Avec Frank Sinatra, Raquel Welch. À Miami, le détective Tony Rome enquête sur une femme qu’il a retrouvée noyée les pieds dans du ciment.
Dim 07 février 21h15 Salle GF
F comme Flint (In Like Flint) de Gordon Douglas États-Unis/1967/114’/VOSTF/16mm Avec James Coburn, Lee J. Cobb. Le super espion Flint découvre que le président des États-Unis a été remplacé par un acteur. Celui-ci aurait été engagé par un groupe de femmes qui veulent conquérir le monde au moyen de lavages de cerveau dispensés par leurs salons de coiffure.
Le Fauve en liberté (Kiss Tomorrow Goodbye) de Gordon Douglas États-Unis/1950/102’/VOSTF/16mm Avec James Cagney, Barbara Payton. Ralph Cotter s’échappe de prison avec la complicité de la sœur de son ami Carleton et reprend sa vie de gangster.
Jeu 28 janvier 21h00 Salle HL
Dick Tracy vs. Cueball de Gordon Douglas États-Unis/1946/62’/VOSTF/16mm Avec Morgan Conway, Ann Jeffreys. Le criminel Cueball récupère des diamants volés et tue quiconque veut les lui prendre. Dick Tracy demande à sa fiancée de se faire passer pour un acheteur.
Sam 02 janvier 15h00 Salle GF : VF (Intégrale Laurel et Hardy) Ven 22 janvier 14h30 Salle HL
The Falcon in Hollywood de Gordon Douglas États-Unis/1944/67’/VOSTF/16mm Avec Tom Conway, Barbara Hale. Le Faucon enquête à Hollywood sur la mort d’un acteur dont la femme, costumière, a une liaison avec un réalisateur.
Ven 08 janvier 21h45 Salle GF Dim 24 janvier 21h15 Salle HL
Ven 08 janvier 19h30 Salle GF Sam 23 janvier 21h30 Salle HL
Deux Bons Copains (Zenobia) de Gordon Douglas États-Unis/1939/70’/VOSTF/35mm Avec Oliver Hardy, Harry Langdon. Un docteur soigne un éléphant du cirque, et celui-ci lui en est un peu trop reconnaissant.
L’Enquête (Sylvia) de Gordon Douglas États-Unis/1965/115’/VOSTF/35mm Avec Caroll Baker, George Maharis. Un excentrique millionnaire engage un détective pour enquêter sur le passé de sa fiancée.
Le Détective (The Detective) de Gordon Douglas États-Unis/1968/113’/VOSTF/35mm Avec Frank Sinatra, Lee Remick. Le policier Joe Leland enquête sur le meurtre d’un homosexuel qui révèle la corruption régnant sur la ville de New York.
Mer 20 janvier 21h30 Salle HL Mer 27 Janvier 17h00 Salle HL General Spanky de Gordon Douglas États-Unis/1936/71’/VOSTF/16mm d’après la série de 1922 « Our Gang» ou « The Little Rascals » créée par Hal Roach. Avec John ‘Spanky’ McFarland, Philips Holmes. Trois jeunes enfants se retrouvent mêlés à
Le Géant du Grand Nord (Yellowstone Kelly) de Gordon Douglas États-Unis/1959/91’/VOSTF/16mm Avec Clint Walker, Edd Byrnes. Depuis qu’il a sauvé la vie d’un chef Sioux, Kelly, trappeur, est autorisé à poser ses pièges en territoire indien. Il est assisté par un pied tendre, Anse, qui tombe amoureux d’une jeune indienne qu’ils recueillent.
Lun 18 janvier 17h00 Salle GF Sam 30 janvier 14h30 Salle HL
Fort invincible (Only the Valiant) de Gordon Douglas États-Unis/1951/105’/VOSTF/16mm Avec Gregory Peck, Barbara Payton. Le capitaine Lance doit défendre son fort contre une attaque imminente des Indiens avec une armée d’incapables.
Jeu 21 janvier 21h00 Salle HL Ven 29 janvier 17h00 Salle HL
circonstances de cet assassinat.
La Flèche noire (The Black Arrow) de Gordon Douglas États-Unis/1948/76’/VOSTF/16mm Avec Louis Hayward, Janet Blair. Un jeune noble anglais revient de la guerre et découvre que son père a été tué par un vieil ami. Il tente alors d’éclaircir les
Jeu 07 janvier 17h00 Salle HL Sam 16 janvier 21h45 Salle GF
The Fiend Who Walked the West de Gordon Douglas États-Unis/1958/100’/VOSTF/35mm Avec Robert Evans, Hugh O’Brian. Un psychopathe terrorise la femme et les amis de son ancien compagnon de cellule.
Sam 09 janvier 21H00 Salle HL Jeu 14 janvier 21h30 Salle GF
Feu sur le gang (Come Fill the Cup) de Gordon Douglas États-Unis/1951/113’/VOSTF/16mm Avec James Cagney, Phyllis Thaxter. Lew Marsh perd son travail car il est alcoolique. Après une cure, alors qu’il décide d’aider les alcooliques à son tour, il est engagé pour soigner le fiancé de son ancienne petite amie.
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Les Loups dans la vallée (The Big Land) de Gordon Douglas États-Unis/1957/92’/VF/35mm Avec Alan Ladd, Virginia Mayo. Éleveur de bétail, Chad Morgan dirige l’union des vachers et des fermiers qui lutte pour la construction d’une voie ferrée.
Girl Rush de Gordon Douglas États-Unis/1944/65’/VOSTF/16mm Avec Wally Brown, Alan Carney. Deux acteurs de vaudeville sans grand succès décident de chercher de l’or. Ils arrivent dans une ville sans aucune femme dans laquelle on leur promet la richesse s’ils ramènent des filles.
Laurel et Hardy en croisière (Saps at Sea) de Gordon Douglas États-Unis/1940/58’/VOSTF/35mm Avec Stan Laurel, Oliver Hardy. Deux ouvriers d’usine en vacances embarquent accidentellement un criminel en fuite sur leur bateau. Dim 20 décembre 17h00 Salle GF : VF
Sam 30 janvier 21h00 Salle HL Jeu 04 février 17h00 Salle HL
I Was a Communist for the FBI de Gordon Douglas États-Unis/1951/83’/VOSTF/16mm Avec Frank Lovejoy, Dorothy Hart. La double vie d’un agent secret infiltré au parti communiste par le FBI.
Jeu 28 janvier 17h00 Salle HL
If You Knew Susie de Gordon Douglas États-Unis/1948/90’/VOSTF/35mm Avec Eddie Cantor, Joan Davis. Un couple d’acteurs de vaudeville décide d’arrêter de jouer pour permettre une enfance normale à leurs deux enfants. Ils vont bientôt être mêlés à des histoires de gangsters.
Sam 09 janvier 14h30 Salle HL
L’ascension difficile de l’actrice Jean Harlow dans les années 30, jusqu’à sa gloire professionnelle finale, tandis que sa vie privée est un désastre.
Harlow, la blonde platine (Harlow) de Gordon Douglas États-Unis/1965/125’/VOSTF/35mm Avec Caroll Baker, Red Buttons.
Sam 30 janvier 19h00 Salle HL Jeu 04 février 14h30 Salle HL
La Grande Menace (Walk a Crooked Mile) de Gordon Douglas États-Unis/1948/91’/VOSTF/35mm Avec Louis Hayward, Dennis O’Keefe. Le FBI et Scotland Yard s’associent pour connaître la source des fuites d’informations secrètes sur une usine nucléaire.
Jeu 28 janvier 14h30 Salle HL
Ven 22 janvier 17h00 Salle HL
Dim 24 janvier 14h30 Salle HL
Lun 25 janvier 14h30 Salle HL Dim 31 janvier 19h30 Salle HL
Les Nouvelles AventureS du Capitaine Blood (Fortunes of Captain Blood) de Gordon Douglas États-Unis/1950/91’/VOSTF/35mm Avec Louis Hayward, Patricia Medina. Le Capitaine Blood tente de délivrer ses hommes d’équipage prisonniers du roi d’Espagne.
Dim 17 janvier 19h30 Salle GF -> -> Film sous réserve
The Nevadan de Gordon Douglas États-Unis/1950/76’/VOSTF/16mm Avec Randolph Scott, Dorothy Malone. Le bandit Tom Tanner trouve une carte qui indique le chemin d’un convoi d’or.
Mer 03 février 19h30 Salle GF
Mr. Soft Touch de Gordon Douglas États-Unis/1949/93’/VOSTF/16mm Avec Glenn Ford, Evelyn Keyes. Joe Miracle dérobe cent mille dollars au River Club dont on lui a volé le contrôle.
Jeu 21 janvier 19h00 Salle HL
Un trésor semble être enfoui dans les eaux des Philippines. Greg Mason et son partenaire Andy plongent à sa recherche, mais on veut tuer Andy et accuser Mason du meurtre.
Mara Maru de Gordon Douglas États-Unis/1952/98’/VF/35mm Avec Errol Flynn, Ruth Roman.
Jeu 14 janvier 17h00 Salle HL Dim 31 janvier 21h30 Salle HL
Jeu 04 février 19h30 Salle GF La Maîtresse de fer (The Iron Mistress) de Gordon Douglas États-Unis/1952/110’/VOSTF/16mm Avec Alan Ladd, Virginia Mayo. L’histoire romancée de Jim Bowie, acteur majeur de la Révolution du Texas au XIXe siècle, qui cherche à séduire une femme. Il devient célèbre par son couteau en pierre de météorite.
(Intégrale Laurel et Hardy)
une bataille capitale de la Guerre Civile.
gordon douglas les films
Lun 25 janvier 17h00 Salle GF • Film précédé de Dick Tracy vs. Cueball Dim 31 janvier 17h00 Salle HL • Film précédé de Dick Tracy vs. Cueball
San Quentin de Gordon Douglas États-Unis/1946/66’/VOSTF/35mm Avec Lawrence Tierney, Barton MacLane. Profitant d’une sortie consécutive à de nouvelles méthodes de traitements de détenus, un prisonnier s’évade.
Mer 06 janvier 20h00 Salle HL -> -> Ouverture de la rétrospective Gordon Douglas. Dim 17 janvier 21h15 Salle GF
Rio Conchos de Gordon Douglas États-Unis/1964/107’/VOSTF/35mm Avec Richard Boone, Stuart Whitman. Deux officiers de l’armée américaine, un alcoolique et un coureur de jupons, se rendent au Mexique pour empêcher un ancien colonel des Confédérés de vendre des armes aux Apaches.
Ven 29 janvier14h30 Salle HL
La Revanche des gueux (Rogues of Sherwood Forest) de Gordon Douglas États-Unis/1950/79’/VOSTF/16mm Avec John Derek, Diana Lynn. Quand le roi Jean lève de nouveaux impôts démesurés, le fils de Robin des Bois reforme la troupe de son père pour s’y opposer.
Ven 15 janvier 14h30 Salle HL
Dim 10 janvier 17h00 Salle HL
Les Rebelles du Missouri (The Great Missouri Raid) de Gordon Douglas États-Unis/1951/84’/VOSTF/35mm Avec Wendell Corey, MacDonald Carey. Les deux célèbres hors-la-loi Frank et Jesse James ont tué le frère du Major Towbridge en légitime défense. Celui-ci veut se venger.
Sam 09 janvier 17h00 Salle HL
Le Rapt du rapide 5 (Broadway Limited) de Gordon Douglas États-Unis/1941/75’/VOSTF/35mm Avec Victor McLaglen, Marjorie Woodworth. A cause d’une publicité dans laquelle elle joue, une star voit sa vie sentimentale bouleversée et le FBI la suspecte de méfaits.
Jeu 28 janvier 19h00 Salle HL
Le Premier Américain à Tokyo (First Yank Into Tokyo) de Gordon Douglas États-Unis/1945/82’/VOSTF/16mm Avec Tom Neal, Barbara Hale. Un agent américain subit une chirurgie plastique pour se faire passer pour un Japonais et s’infiltrer chez l’ennemi.
Mer 13 janvier 21h30 Salle GF -> -> Film sous réserve
Tiens bon la rampe, Jerry (Way…Way Out) de Gordon Douglas États-Unis/1967/105’/VF/35mm Avec Jerry Lewis, Connie Stevens. Les Américains suivent le modèle russe en envoyant un couple sur la lune. On marie les deux astronautes avant le départ pour préserver les bonnes mœurs, mais Jerry va chercher à jouir de tous les avantages du couple, tandis que les deux Soviétiques ne cachent pas leurs plaisirs.
Dim 10 janvier 19h00 Salle HL Ven 15 janvier 17h00 Salle HL
Sur la Piste des Comanches (Fort Dobbs) de Gordon Douglas États-Unis/1958/90’/VOSTF/35mm Avec Clint Walker, Virginia Mayo. Un hors-la-loi sauve une femme et son fils d’une attaque apache. Mais la femme accuse son sauveur d’être le responsable de la mort de son mari.
Dim 17 janvier 17h00 Salle HL
Avec Kathryn Grayson, Merv Griffin. L’ascension de la jeune chanteuse de music-hall Grace Moore.
So This Is Love de Gordon Douglas États-Unis/1953/101’/VOSTF/35mm
Sam 16 janvier 14h00 Salle HL Lun 08 février 17h00 Salle HL
Le Shérif de ces dames (Follow That Dream) de Gordon Douglas États-Unis/1962/109’/VOSTF/35mm Avec Elvis Presley, Arthur O’Connell. Quand la voiture des Kwimper tombe en panne sur une autoroute de Floride, la famille décide de monter un campement et de s’attribuer l’emplacement.
Mer 20 janvier 17h00 Salle HL Sam 23 janvier 17h00 Salle HL
Les Sept Voleurs de Chicago (Robin and the 7 Hoods) de Gordon Douglas États-Unis/1964/105’/VOSTF/35mm Avec Frank Sinatra, Dean Martin, Sammy Davis Jr., Peter Falk. Une comédie musicale qui transporte l’histoire de Robin des bois dans l’Amérique de la Prohibition. Alors que Guy Gisborne, lieutenant du Boss de Chicago, assassine son patron, Robbo, ami fidèle du Boss, veut se venger.
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Films d’après la série de 1922 « Our Gang » ou « The Little Rascals » créée par Hal Roach.
COURTS MÉTRAGES
Dim 07 février 19h30 Salle GF
Zombies on Broadway de Gordon Douglas États-Unis/1945/69’/VOSTF/16mm Avec Wally Brown, Alan Carney, Bela Lugosi. Deux agents d’une société de publicité sont chargés de chercher un vrai zombie pour la soirée d’ouverture d’une boite de nuit.
Sam 23 janvier 19h15 Salle HL Film sous réserve
Young at Heart de Gordon Douglas États-Unis/1954/117’/VOSTF/35mm Avec Doris Day, Frank Sinatra. Quand Alex, un jeune compositeur, fait la connaissance des Tuttle, les trois filles en tombent amoureuses. Mais une seule sera l’élue.
Dim 10 janvier 21h00 Salle HL Jeu 21 janvier 17h00 Salle HL
pépite, McCraken et son gang le suivent pour découvrir la source de son or.
Le Trésor des sept collines (Gold of the Seven Saints) de Gordon Douglas États-Unis/1961/88’/VOSTF/35mm Avec Clint Walker, Roger Moore. Le trappeur Shawn Garret achète un cheval avec une pépite d’or. Attirés par cette
Jeu 07 janvier 19h00 Salle HL Dim 24 janvier 17h00 Salle HL
Tony Rome est dangereux (Tony Rome) de Gordon Douglas États-Unis/1968/110’/VOSTF/35mm Avec Frank Sinatra, Jill St John, Richard Conte, Gena Rowlands. Le privé Tony Rome est payé pour ramener à son père sa fille disparue. Il la retrouve évanouie dans un hôtel mais la broche en diamant qu’elle portait a disparu.
Mer 20 janvier 19h15 Salle HL
Le Tigre du ciel (The McConnell Story) de Gordon Douglas États-Unis/1955/106’/VOSTF/35mm Avec Alan Ladd, June Allyson. Mac a plein de projets pour sa famille mais la Guerre de Corée les contrarie. Engagé dans l’aviation, il devient un héros.
gordon douglas les films
Dim 31 janvier 14h30 Salle GF
Le Trésor des sept collines, Gordon Douglas
Our Gang Follies of 1938 de Gordon Douglas États-Unis/1937/21’/VOSTF/16mm Avec Frances Bowling, Henry Brandon. Les Petites Canailles préparent un show dans lequel Alfalfa serait un chanteur de variété, mais celui-ci préfère l’opéra. • Suivi de The Pigskin Palooka de Gordon Douglas États-Unis/1937/20’/VOSTF/35mm Avec Alvin Buckelew, Hugh Chapman. Alfalfa est dans une école militaire et envoie des lettres à ses amis sur ses prouesses au football américain. A son retour, il doit montrer son talent. • Suivi de Rushin’ Ballet de Gordon Douglas États-Unis/1937/20’/VOSTF/35mm Avec George ‘Spanky’ McFarland. À la poursuite de Butch, Alfalfa et Spanky se retrouvent au milieu d’un ballet.
Bored of Education de Gordon Douglas États-Unis/1936/10’/VOSTF/35mm Avec John ‘uh huh’ Collum, Dickie de Nuet. Spanky et Alfalfa feignent un mal de dents pour ne pas aller à l’école. • Suivi de Pay As You Exit de Gordon Douglas États-Unis/1936/11’/VOSTF/35mm Avec George ‘Spanky’ McFarland.. Les Petites Canailles décident de monter leur propre version de Roméo et Juliette. • Suivi de Spooky Hooky de Gordon Douglas États-Unis/1936/10’/VOSTF/35mm Avec John ‘uh huh’ Collum. Les Petites Canailles mettent une note étrange sur le bureau de leur professeur pour quitter la classe et aller au cirque. • Suivi de Two Too Young de Gordon Douglas États-Unis/1936/10’/VOSTF/35mm Avec John ‘uh huh’ Collum, Dickie De Nuet. Spanky et Alfalfa tentent de voler les feux d’artifice de Buckwheat et Porky. • Suivi de
Fishy Tales de Gordon Douglas États-Unis/1937/11’/VOSTF/35mm Avec Tommy Bond, Johnny ‘uh huh’ Collum. Alfalfa tente d’échapper à un combat en prétendant être handicapé. • Suivi de Hearts Are Thumps de Gordon Douglas États-Unis/1937/10’/VOSTF/35mm Avec George ‘Spanky’ McFarland. Les garçons promettent de ne pas approcher de filles le jour de la Saint-Valentin mais Alfalfa ne peut résister au charme de Darla. • Suivi de Night’n’Gales de Gordon Douglas États-Unis/1937/11’/VOSTF/35mm Avec Johnny Arthur, Darla Hood. Une tempête oblige les Petites Canailles à passer la nuit chez Darla, dont le père devient fou de colère. • Suivi de Reunion in Rhythm de Gordon Douglas États-Unis/1937/10’/VOSTF/35mm Avec Ernie Alexander, Matthew ‘Stymie’ Beard. Les Petites Canailles mettent en scène une comédie musicale en l’honneur des anciens membres du groupe.
Programme 2 (durée : 93’)
Programme 1 (durée : 83’ )
Dim 07 février 15h00 Salle GF
• Suivi de Three Smart Boys de Gordon Douglas États-Unis/1937/11’/VOSTF/35mm Avec Sidney Bracey, Nora Cecil. Les Petites Canailles feignent la maladie pour faire croire qu’une épidémie ravage l’école et qu’elle doit fermer. • Suivi de Bear Facts de Gordon Douglas États-Unis/1938/11’/VOSTF/16mm Avec Jack Baxley, Darla Hood. Une nouvelle aventure des Petites Canailles. • Suivi de Hide and Shriek de Gordon Douglas États-Unis/1938/10’/VOSTF/35mm Avec Billy Bletcher, Dick Elliott. Les Petites Canailles tentent de résoudre le mystère d’un bonbon disparu et se retrouvent dans la maison hantée d’un parc d’attractions.
La chambre et le monde Cinéaste portugais, Pedro Costa dirige son premier long métrage en 1989, Le Sang. La plupart de ses films, sélectionnés dans les plus grands festivals internationaux, montrent le quotidien des marginaux et des immigrés des quartiers populaires de Lisbonne. Rétrospective, en sa présence. « Habiter signifie laisser des traces » (Walter Benjamin, Paris Capitale du XIXe siècle) Un homme noir. Son corps nu fume dans la lumière. Nous ne savons ni qui il est, ni où nous sommes. Mais déjà le cadre et l’écoute ont construit notre disponibilité à des images que jamais, nulle part, nous ne voyons. C’est la deuxième séquence seulement de Dans la chambre de Vanda, ce film baobab poussé au centre du désespoir des villes. On songe à François Villon, à cette façon par le poème d’être proche du mythe, étant proche du plus matériel de l’humain, du trivial, du fécal, de l’infantile, de ce qui vient des peurs et des plaisirs fondateurs. Cela avait commencé bien avant, au printemps de 1995. Sans crier gare apparaissait dans le ciel blanc des amoureux de cinéma un phénomène météorologique inconnu. Une femme blanche en robe rouge dans une île de misère noire, en charge de vie et de mort, immergée peu à peu dans un rapport au monde qui la (et nous) dépasse. Cela s’appelait Casa de lava, « maison de lave », deuxième long métrage d’un jeune réalisateur portugais parti tourner aux îles du Cap-Vert. Phénomène inconnu ? Pourtant les apparences inscrivaient ce film dans un courant bien repéré du cinéma contemporain, aux confins de l’enregistrement documentaire et de ses descendances issues du néo-réalisme, et du projet formaliste, misant sur les effets de cadrages, de durée et de couleurs. On a vu comme la construction narrative se défie ostensiblement des liens de causalité, préférant glissements et assonances qui ouvrent l’espace au temps, au rêve, à la peur, à la folie - espace géographique sur l’écran, espace mental chez le spectateur. On a vu comme l’attention aux corps, aux visages, aux gestes parie sur un langage secret, dont les hiéroglyphes sont faits de la chair même des hommes, de leur peau, de leurs os, de leur voix. Et aussi, et surtout, on a perçu cette vibration interne au plan, à chaque plan comme s’il était unique, et que son intensité pouvait et devait à lui seul tout dire des beautés et de l’horreur du réel. Pedro Costa a étudié à l’Escola Superior de Cinema de Lisbonne, il y a eu comme professeur Antonio Reis, auteur de ce film immense, fondateur, Tras-Os-Montes. Plus tard, Costa dira que Reis, une des rares références qu’il se reconnaît, lui a transmis l’idée qu’il fallait tourner chaque plan comme si sa vie en dépendait.
pedro costa Rétrospective 11 –24 janvier En partenariat avec Les Inrockuptibles, Libération, France culture
Ossos, « un film de mutants » Cette urgence se voit, et se sent, en regardant Casa de Lava, comme en découvrant le premier long métrage de Pedro Costa, O Sangue, réalisé en 1989, à l’âge de 30 ans. Ce sont des jalons sur le chemin du cinéaste, chemin qui connaît un tournant décisif avec le film suivant, Ossos (1997). Costa y rencontre les habitants d’un quartier misérable de Lisbonne, parmi 53
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Pedro Costa
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Mer 13 janvier 16h00 Salle HL • Film suivi de 6 Bagatelas Jeu 21 janvier 21h15 Salle GF • Film suivi de 6 Bagatelas Dans la chambre de Vanda (No Quarto da Vanda) de Pedro Costa PORT-ALL-Suisse/2000/178’/VOSTF/35mm
Ossos de Pedro Costa Portugal-France-Danemark/1997/94’/ VOSTF/35mm Avec Vanda Duarte, Nuno Vaz. Deux jeunes femmes, Clotilde et Tina, vivent dans la misère dans un bidonville de la
Lun 11 janvier 20h00 Salle HL -> -> Ouverture de l’hommage à Pedro Costa, en présence du réalisateur, de Jeanne Balibar et Rodolphe Burger. Soirée privée. Places pour les abonnés Libre Pass, sur réservation à partir du mercredi 30 décembre, 12h30.
Mer 13 janvier 21h00 Salle HL • Film précédé de Tarrafal et, à 19h00, d'un Dialogue avec Pedro Costa Sam 23 janvier 21h00 Salle GF • Film précédé de Tarrafal
Casa de Lava de Pedro Costa Portugal-France/1994/110’/VOSTF/35mm Avec Inês Medeiros, Isaach de Bankolé. Tombé de son échafaudage, un ouvrier sur un chantier à Lisbonne est dans le coma. Une infirmière offre d’accompagner son retour au pays dans une île volcanique du Cap-Vert. Avant-première
Ne change rien de Pedro Costa Portugal-France/2009/98’/35mm Avec Jeanne Balibar, Rodolphe Burger. Le film suit Jeanne Balibar, chanteuse, des répétitions aux enregistrements, des concerts rock aux cours de chant lyrique.
Dans la chambre de Vanda, Pedro Costa Le Sang, Pedro Costa
Dim 17 janvier 19h00 Salle HL Ven 22 janvier 19h30 Salle GF
Où git votre sourire enfoui ? de Pedro Costa Portugal-France/2001/104’/VOSTF/35mm Avec Danièle Huillet, Jean-Marie Straub. Au moment du montage de la troisième version de Sicilia ! par Jean-Marie Straub et Danièle Huillet, Pedro Costa tourne une «comédie de remontage» en filmant les deux réalisateurs qui dévoilent une certaine idée de leur cinéma et de leur couple. Documentaire de la collection « Cinéma, de notre temps » produite par Janine Bazin et André S. Labarthe. Version longue
Jeu 14 janvier 21h15 Salle HL • Film précédé de The Rabbit Hunters Dim 24 janvier 19h30 Salle GF • Film précédé de The Rabbit Hunters Ven 15 janvier 21h00 Salle HL Mer 20 janvier 19h30 Salle GF
En avant, Jeunesse (Juventude em Marcha) de Pedro Costa PORT-FR-Suisse/2006/154’/VOSTF/35mm Avec Ventura, Vanda Duarte, Beatriz Duarte, Gustavo Sumpta. Clotilde a quitté son mari Ventura, ouvrier cap-verdien de la banlieue de Lisbonne. Perdu entre l’ancien quartier délabré où il a longtemps vécu et son nouveau logement dans un HLM tout juste achevé, Ventura rencontre des jeunes paumés qui deviennent tous ses « enfants ».
banlieue de Lisbonne. Tina vient d’accoucher et tente de mettre fin à ses jours et à ceux de son bébé. Le père de l’enfant s’interpose et se sauve avec lui. Avec Vanda Duarte, Zita Duarte. Un an durant, Pedro Costa a partagé quelques moments du quotidien de Vanda (héroïne d’Ossos), réglé par la drogue.
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
pedro costa LES FILMS
Jean-Michel Frodon
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lesquels il installe la fiction d’un enfant à essayer de maintenir en vie, au prix du désespoir ou du reniement, parmi ces immigrés africains, ces chômeurs, ces drogués, ces prostituées, ces voleurs qui deviennent devant sa caméra un peuple. Un peuple d’êtres humains, regardés sans complaisance et sans misérabilisme, sans folklore ni surplomb sociologique. Celui qui anima durant des décennies la cinémathèque portugaise, Joao Benard da Costa, l’autre grande figure à laquelle se réfère volontiers Costa, dira de Ossos que c’est « un film de mutants ». Et Pedro Costa mute lui aussi avec ce film, sous l’effet de la rencontre avec cet environnement urbain et humain, et en particulier avec une de ses interprètes, Vanda Duarte. Elle l’emmène dans le quartier où elle vit, Fontainhas, encore plus misérable peutêtre que celui montré dans Ossos, et en cours de destruction. Peu à peu, Pedro Costa va y trouver sa place de cinéaste. Avec une petite caméra numérique, il commence à filmer Vanda dans sa chambre, souvent en compagnie de sa sœur, et qui consacrent le plus clair de leur temps à fumer de l’héroïne. Il découvre les voisins et les lieux qui entourent cet endroit que désignera, près de quatre ans plus tard, le titre du film, Dans la chambre de Vanda (2001). Et c’est un monde à part entière que Costa explore et fera découvrir par les moyens du cinéma. Un monde minuscule et infini, où règne des rythmes et des règles particulières, presque une gravitation autonome. Dans le film, Vanda montrant des traces, des cicatrices sur son propre corps, dit : « Les marques c’est fait pour ne pas oublier ». Ne pas oublier quoi ? Peut-être simplement ce que c’est que d’être au monde, d’être humain, avec une histoire humaine, quelle qu’elle soit. En avant jeunesse Après, Pedro Costa retourne à Fontainhas. Il invente une machine de vision : zoom avant vers l’avenir du quartier des déshérités détruit par le progrès, où Vanda et les autres sont relogés dans des studios froids et blancs construits par leurs frères noirs et blancs. En avant, jeunesse (2006) reprend pour l’emmener encore plus loin la possibilité d’utiliser la vidéo numérique comme matériel de peintre, pour chanter la dignité glorieuse de ceux qui vivent, même dans les taudis. Chez Costa, admirateur fidèle de John Ford, l’aventure est partout à qui sait comprendre ce qui se joue. Mais nulle part sans doute l’aventure n’est plus intense que dans le travail. C’est ce qu’aura montré le cinéaste portugais à deux reprises, en filmant deux situations de travail qui se transforment en exploits de chaque instant, dans l’exigence de gestes refaits sans cesse, d’essais repris et interrogés. Une fois un couple de cinéastes, Danièle Huillet et Jean-Marie Straub (Où gît votre sourire enfoui ? 2003), une fois une chanteuse, Jeanne Balibar (Ne change rien, 2009). Il ne faut pas s’y tromper : qu’il s’agisse ici de travail artistique permet seulement de mieux percevoir que le travail, au sens qui intéresse Costa, au sens du « faire », est acte de courage, d’élan hors de soi, de mise en jeu de tout ce qu’on est, de tout ce qu’on sait et de tout ce qu’on peut, pour atteindre ce qu’on n’était pas, ce qu’on ne savait pas, ce qu’on ne pouvait pas. Ainsi filme Pedro Costa, aventurier des mers chaudes du monde réel, sur son navire de cinéma entièrement fait à la main, barré à la diable.
Lundi 12h – 19h Du mercredi au dimanche 12h – 20h30 Nocturne le jeudi jusqu’à 22h Matinée le dimanche à partir de 10h
JEUNE PUBLIC
Dim 06 décembre 17h00 Rebecca Dautremer signera ses ouvrages.
Dim 31 janvier 17h00 François Place signera ses ouvrages. La librairie est accessible La Cinémathèque française sur la mezzanine de la cinémathèque 51 rue de Bercy, 75012 Paris Tél. : 01 71 19 34 05 librairie@cinematheque.fr
Rétrospective PEDRO COSTA
Mer 13 janvier 18h00 Pedro Costa signera le DVD de son film Dans la Chambre de Vanda (éd. Capricci).
Dim 14 février 17hOO Aline Ahond signera ses ouvrages.
Les signatures auront lieu sur la mezzanine.
EXPOSITION LANTERNE MAGIQUE ET FILM PEINT
Ven 05 février 16h30 Jérôme Prieur signera ses ouvrages à l’issue de sa conférence.
Jeu 14 janvier 19h15 Salle HL Sam 23 janvier 19h00 Salle GF
Le Sang (O Sangue) de Pedro Costa Portugal/1989/95’/VOSTF/35mm Avec Pedro Hestnes, Nuno Ferreira. Deux jeunes frères gardent un secret lié aux absences répétées de leur père. Cette fois-ci, le père ne s’est pas absenté comme les autres fois…
Jeu 14 janvier 21h15 Salle HL • Film suivi d’Ossos Dim 24 janvier 19h30 Salle GF • Film suivi d’Ossos
Mer 13 janvier 21h00 Salle HL • Film suivi de Casa de lava
Tarrafal de Pedro Costa Portugal/2007/17’/VOSTF/35mm Avec José Alberto Silva, Lucinda Tavares. Tarrafal : territoire de l’île de Santiago au Cap-Vert où, en 1936, le Portugal a créé une colonie pénale pour les prisonniers politiques. Cette colonie était connue sous le nom de « camp de la mort lente ». Épisode du film collectif L'État du monde commandé par la Fondation Calouste Gulbenkian.
Mer 13 janvier 16h00 Salle HL • Film précédé d’Où gît votre sourire enfoui ? Jeu 21 janvier 21h15 Salle GF • Film précédé d’Où gît votre sourire enfoui ?
Sam 16 janvier 17h00 Salle GF -> -> Film présenté par le réalisateur
Tout refleurit d’Aurélien Gerbault France/2006/78’/VOSTF/vidéo Portrait filmé de Pedro Costa, au travail, pendant le tournage d’En avant, Jeunesse.
Jeu 21 janvier 19h30 Salle GF
Sicilia ! de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet France-Italie/1999/66’/VOSTF/35mm Constellations et dialogues de Conversazione in Sicilia d’Elio Vittorini. Avec Gianni Buscarino, Vittorio Vigneri. Voyage initiatique d’un homme qui part à la recherche de son enfance.
AUTOUR DE PEDRO COSTA
Sam 23 janvier 21h00 Salle GF • Film suivi de Casa de lava
Prolongez le plaisir du cinéma à la librairie de la Cinémathèque française
18h00 : Signature de Pedro Costa à la librairie de la Cinémathèque.
Tarif plein 4 € / Tarif réduit 3 € Forfait atout prix et Cinétudiant 2,5 € Possibilité d'un billet couplé avec la séance de 16h00 (Oû gît votre sourire enfoui?), ou avec celle de 21h00 (Casa de lava) (Film + Dialogue : 8 € au lieu 10,50 €) Libre pass Accès libre : réservation conseillée à partir du mercredi 30 décembre, 12h30.
Mer 13 janvier 19h00 Salle HL Dialogue avec Pedro Costa Rencontre animée par Bernard Benoliel. « Une leçon apprise des Straub, c’est qu’on gagne beaucoup à s’imposer des limites réalistes, mais sans faire de sacrifices. Que chaque mot est action, que le rêve que tu portes doit d’abord être dans les choses que tu choisis de filmer. (…) Straub, c’est cette attention permanente, la recherche de cette intensité phénoménale dans les films, cette énergie en tout, qu’on ne retrouve pas dans la vie. » (Dans la chambre de Vanda – Conversation avec Pedro Costa, éditions Capricci, 2008)
Les Rendez-vous de la librairie
6 Bagatelas de Pedro Costa France-Portugal/2003/18’/vidéo Avec Jean-Marie Straub et Danièle Huillet. En complément à Où git votre sourire enfoui ?, six scènes tournées également au Fresnoy, Studio national des arts contemporains, ne figurant pas dans le film, avec Jean-Marie Straub et Danièle Huillet.
cartes postales
The Rabbit Hunters (A Caça Ao Coelho Com Pau) Portugal/2007/24’/VOSTF/vidéo Avec Alfredo Mendes, Ventura, José Alberto Silva. Pedro Costa filme au quotidien trois émigrés cap-verdiens de Fontaínhas, quartier pauvre de Lisbonne, laissés-pour-compte de la société portugaise aspirant au bonheur. Épisode du film collectif Memories commandé par le Jeonju International Film Festival.
catalogues pedro costa parlons cinéma
dvd
pedro costa les films
affiches
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Livres revues
jim carrey
l’homme médium
Rétrospective 01 - 14 février
Jim Carrey ou le plus grand acteur burlesque actuel. Ses mimiques, la plasticité de ses expressions, ses imitations sont le symptôme génial d’une transformation générale du monde et de la société en pur spectacle, où l’infantilisation se mêle à une certaine obscénité. Hommage, en sa présence. Les corps du cinéma burlesque ne font pas autre chose que de nous parler du monde réel, présent, immédiat. Lorsque le cinéma n’est plus que le témoin de la fin d’une certaine conception de l’Histoire, de la crise de l’image comme enregistrement pur du visible, de la disparition de la frontière qui séparait virtualité et réalité, il produit aussi la silhouette comique qui incarnera cette mutation. Jim Carrey n’est pas seulement un adulte qui a conservé les mimiques de l’enfance. Il est à la fois le témoin et l’antidote de la lente et désastreuse infantilisation de la société. Il est surtout le symbole d’une « médiatisation » générale du monde, de la transformation de celui-ci en pur spectacle, de sa substitution par un double façonné par les industries culturelles. Jim Carrey est né à Newmarket, au Canada, le 17 janvier 1962. Il développe très jeune des talents comiques et débute dans divers cabarets de Toronto, avant de s’installer en 1979 à Los Angeles. Il débute au cinéma dans la comédie fantastique Once Bitten, avec Laureen Hutton, tient un petit rôle dans Peggy Sue s’est mariée de Francis Ford Coppola, Pink Cadillac et L’Inspecteur Harry est la dernière cible de Buddy Van Horn, deux films produits par Clint Eastwood. Il devient au début des années 1990 la vedette du show télévisé comique In Living Color des frères Wayans. La figure « postmoderne » d’un comique régressif
The Truman Show, de Peter Weir
1 Philippe Murray. Après l’Histoire II p. 255, Les Belles Lettres, 2000
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En partenariat avec A nous Paris, Allociné, télérama, FIP
On le découvre en France avec The Mask de Chuck Russel. Le film impose l’image d’un corps humain à la plasticité assistée par des prothèses numériques, une mutation d’un personnage par l’intrusion du dessin animé, une redondance donc. Ou peut-être un contresens. Jim Carrey a inventé un personnage entièrement façonné par les logos, signaux et réflexes du divertissement de masse depuis un siècle. Ace Ventura, détective pour chien et chats, Ace Ventura en Afrique, Dumb and Dumber ont créé la figure « postmoderne » d’un comique régressif jusqu’à la scatologie, infantile. Mais il s’agit ici de la face noire et mortifère de cette sacralisation de l’enfance, de l’érection de celle-ci en modèle idéal de comportement dans les sociétés industrielles occidentales. « Tout ce qui se présente comme innocent est par définition glaçant » 1. C’est une forme hyperbolique, extatique, l’inflation jusqu’à explosion du babil enfantin, du balbutiement décomplexé, de l’imitation juvénile et candide d’un monde adulte qui serait encore hors d’atteinte. Pourtant, la capacité de l’enfance à reproduire, à mimer, à caricaturer ce qui la sollicite continuellement, devient, avec lui, une forme de critique radicale. Le mimodrame
enfantin devient le miroir déformant de tous ces signaux vidés de sens émis aujourd’hui par les industries culturelles et les jeux de l’enfance se dévoilent comme un refoulé immonde, une détermination honteuse, obscène et totalitaire. D’ailleurs, bien plus tard, dans Bruce Almighty (Bruce Tout puissant), n’a-t-il pas obtenu le privilège recherché par chaque enfant, celui de voir le monde se plier totalement à sa volonté conformément aux impératifs d’un pur principe de plaisir ? Les fondements de son personnage
C’est sans doute dans Cable Guy (Disjoncté) en 1996, qu’ont définitivement été consolidés les fondements théoriques du personnage de Jim Carrey. Il y incarne un installateur de télévision câblée qui harcèle jusqu’à plus soif un de ses clients, un jeune cadre incarné par Matthew Broderick, à seule fin de devenir son ami. Son personnage fut un enfant unique élevé par une mère célibataire et volage. Lâché désormais dans un univers dont il n’a perçu que le reflet filtré et déformé du petit écran, il va littéralement devenir un homme qui ne fera que médiatiser le bruissement du spectacle contemporain. Le cable guy n’a pas de nom. Ou plutôt, il en a plusieurs, celui des héros de feuilletons télévisés des années 1970. Il régurgite ensuite, comme une seconde nature, les bruits indifférenciés du spectacle moderne, hurlements de dessins animés ou beuglements de la musique rock, râles et gémissement du cinéma pornographique. Le corps de Jim Carrey semble avoir absorbé toute une sous-culture ambiante qu’il vomit ensuite sous la forme de borborygmes parodiques et obscènes. C’est la dérision d’un monde dominé par les lois de l’entertainment. La figure d’un double lointain
Très vite au fait de la nature singulière du burlesque de Jim Carrey, Hollywood s’est mis à construire des objets théoriques et « self conscious » autour de son personnage. Ce sera bien sûr The Truman Show de Peter Weir (1998), un film imaginant un personnage dont la vie elle-même n’est qu’un soap opera, dont le quotidien est la substance d’un spectacle mis en scène qui le dépasse. Mais c’est avec Man on the Moon de Milos Forman (1999) que Jim Carrey rencontrera un double lointain, un fantôme, celui du comique Andy Kaufman, dont le film constitue une forme de biographie à la fois romancée et analytique. Andy Kaufman est un amuseur qui interloqua les téléspectateurs américains, entre 1975 et 1983, par ses excès et son style atypique. La frontière introuvable qui sépare l’ironie de la candeur, le premier degré du second, l’humour décalé et la ringardise, la naïveté et la manipulation est donc au cœur du film de Forman. Jim Carrey y fait rentrer son personnage dans une catégorie incertaine. Après avoir absorbé puis restitué tous les spectacles du monde, il incarne un individu qui pratique la destruction du spectacle luimême, l’irruption du réel dans la fiction, l’aléatoire dans la programmation, l’actualisation dans la mise en scène, le retour de l’événement dans un monde qui travaillait à le supprimer grâce à ses industries de l’imaginaire. Andy Kaufman retourne le personnage de Jim Carrey : il tente de parvenir à la suppression totale du spectacle, et le prolonge dans le geste de son abolition. Jean-François Rauger 61
Ace Ventura, détective pour chiens et chats, Tom Shadyac
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Lun 01 février 20h00 Salle HL -> -> Avant-première en présence de Jim Carrey. Soirée privée. Places pour les abonnés Libre Pass, sur réservation à partir du mercredi 20 janvier, 12h30.
I Love You Phillip Morris de Glenn Ficarra et John Requa États-Unis/2008/102’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Ewan McGregor. L’histoire vraie d’un ex-flic, exmari, ex-arnaqueur aux assurances, ex-prisonnier modèle et éternel amant du codétenu Phillip Morris.
Ace Ventura en Afrique (Ace Ventura : When Nature Calls) de Steve Oedekerk États-Unis/1995/98’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Simon Callow. Ace Ventura se lance à la recherche d’une
Sam 06 février 19h00 Salle HL
chauve-souris sacrée.
Ace Ventura, détective pour chiens et chats, (Ace Ventura : Pet Detective) de Tom Shadyac États-Unis/1994/90’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Courteney Cox. L’équipe de football américain de Miami fait appel à Ace Ventura pour retrouver leur dauphin mascotte, kidnappé. Avant-première
Braqueurs amateurs (Fun with Dick and Jane) de Dean Parisot États-Unis/2004/91’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Téa Leoni.
Dim 14 février 21h30 Salle GF
Batman Forever de Joel Schumacher États-Unis/1995/122’/VOSTF/35mm Avec Val Kilmer, Tommy Lee Jones, Jim Carrey, Nicole Kidman. Aidé de son nouvel assistant Robin, Batman affronte Double-face et L’Homme-mystère.
Dim 07 février 21h00 Salle HL
Fous d'Irène, Bobby Farrelly & Peter Farrelly
Ven 05 février 21h30 Salle GF
Bruce tout-puissant (Bruce Almighty) de Tom Shadyac États-Unis/2002/101’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Morgan Freeman. Bruce se retrouve au chômage. Après avoir blâmé Dieu pour tous ses malheurs, celuici l’invite à le remplacer pendant ses sept jours de congés.
Ven 05 février 19h30 Salle GF
Deux chômeurs tentent en vain de retrouver un travail avant de vendre leurs biens et de passer au braquage.
Ace Ventura en Afrique, Steve Oedekerk
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
Bruce tout-puissant, Tom Shadyac
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
I Love You Phillip Morris, Glenn Ficarra et John Requa
jim carrey LES FILMS
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Fous d’Irène (Me, Myself and Irene) de Bobby Farrelly et Peter Farrelly États-Unis/1999/117’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Renée Zellweger. Un motard de la police de Rhode Island
Jeu 04 février 21h00 Salle HL • Film précédé de Pecan Pie
Eternal Sunshine of the Spotless Mind de Michel Gondry États-Unis/2003/108’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Kate Winslet. Joël rencontre Clémentine et succombe à son charme. Mais un jour, elle ne le reconnaît pas. Elle l’a effacé de sa mémoire grâce au procédé Lacuna du Dr. Mierzwiak.
Sam 06 février 21h00 Salle HL
Dumb and Dumber de Peter & Bobby Farrelly États-Unis/1994/106’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Jeff Daniels. Deux amis, spécialistes de l’élevage de vers de terre, partent à la recherche d’une jeune femme qui semble avoir oublié sa valise dans un aéroport. Ils se retrouvent au centre d’un complot…
Mer 03 février 19h15 Salle HL
Diane Baker. Steven, un jeune architecte, fait poser le câble dans son nouvel appartement. L’installateur, qui veut lier amitié avec son client, va vite se révéler très envahissant.
Disjoncté (The Cable Guy) de Ben Stiller États-Unis/1995/95’/VOSTF/35mm Avec Matthew Broderick, Jim Carrey,
Mer 10 février 17h00 Salle HL
Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire (Lemony Snicket’s a Series of Unfortunate Events) de Brad Silberling États-Unis/2004/108’/VOSTF/35mm d’après Daniel Handler. Avec Jim Carrey, Meryl Streep. Trois orphelins à la tête d’une immense fortune sont placés chez divers membres de leur famille. Leur richesse attire l’attention du cupide comte Olaf, un parent éloigné.
Jeu 11 février 19h30 Salle GF
La Dernière Cible (The Dead Pool) de Buddy Van Horn États-Unis/1988/92’/VOSTF/35mm Avec Clint Eastwood, Liam Neeson, Jim Carrey. Alors que l’inspecteur Callahan enquête sur l’assassinat de deux personnalités, il découvre que son nom figure sur une mystérieuse liste noire.
Jim carrey LES FILMS
Menteur, menteur (Liar, Liar) de Tom Shadyac États-Unis/1996/86’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Maura Tierney. Pour son anniversaire, un enfant fait le vœu que son père, avocat, ne puisse plus mentir durant une journée. Il est exaucé et, pour 24 heures, la vie de l’avocat devient un enfer. Jeu 11 février 21h30 Salle GF Le Nombre 23 (The Number 23) de Joel Schumacher États-Unis/2006/100’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Virginia Madsen. Agatha offre à son mari, Walter, un livre mystérieux trouvé par hasard : Le Nombre 23. Walter fait un lien entre ce récit et la disparition, il y a quinze ans, d’une étudiante.
Sam 06 février 17h00 Salle HL Le Grinch (How the Grinch Stole Christmas) de Ron Howard États-Unis/1999/104’/VOSTF/35mm d’après le Dr. Seuss. Avec Jim Carrey, Taylor Momsen. Au pays des Whos, tout le monde est toujours joyeux. Mais au sommet du Mont Crumpit, rumine le Grinch, qui décide un jour de voler tous leurs cadeaux de Noël.
The Mask de Charles Russell États-Unis/1994/100’/VOSTF/35mm
Mer 03 février 21h15 Salle HL
Man on the Moon de Milos Forman États-Unis/1999/117’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Danny De Vito. La carrière du comique américain Andy Kaufman, qui débuta dans de nombreux cabarets avant de se faire remarquer à la télévision (Saturday Night Live) et de monter des spectacles originaux à New York.
Sam 13 février 21h15 Salle GF
The Majestic de Franck Darabont États-Unis/2001/152’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Martin Landau. Ecarté d’Hollywood en 1951, un scénariste accusé de sympathies communistes noie son chagrin dans l’alcool. On le retrouve amnésique. Dans le petit village où il est accueilli, un vieil homme le reconnaît : c’est son fils, héros de la guerre.
Dim 14 février 14h30 Salle GF
Horton (Horton Hears a Who!) de Jimmy Hayward & Steve Martino États-Unis/2008/86’/VOSTF/35mm Avec les voix de Jim Carrey, Steve Carrell, Carol Burnett, Will Arnett. L’éléphant Horton décide de protéger la microscopique population d’une poussière, contre l’avis d’un méchant kangourou et de ses voisins qui le prennent pour un fou.
Mer 03 février 17h00 Salle HL
Mer 10 février 21h30 Salle GF
Jeu 04 février 21h00 Salle HL
Disjoncté, Ben Stiller
Carl Allen est un homme las jusqu’au jour où il s’inscrit à un programme de développement personnel basé sur une méthode toute simple : dire oui à tout.
Yes Man de Peyton Reed États-Unis/2007/104’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Zooey Deschanel.
Jeu 4 février 19h00 Salle HL
The Truman Show de Peter Weir États-Unis/1997/VOSTF/35mm Avec Jim Carey, Laura Linney. Un vendeur d’assurances découvre à son insu que sa vie a fait l’objet d’une émission télévisée diffusée en continu 24 heures sur 24.
Sam 13 février 19h00 Salle GF
Peggy Sue s’est mariée (Peggy Sue got married) de Francis Ford Coppola États-Unis/1986/104’/VOSTF/35mm Avec Kathleen Turner, Nicolas Cage, Barry Miller, Jim Carrey. En 1985, les élèves du lycée Buchanan, promo 1960, se retrouvent en habits d’époque. Revoyant son mari comme jadis, une jeune femme s’évanouit et revit ces fameuses années 60.
• Film suivi de Eternal Sunshine of the Spotless Mind
États-Unis/2003/2’/VOSTF/35mm Avec Jim Carrey, Eric Judor. Un homme en pyjama conduit un lit en chantant Pecan Pie…
Pecan Pie de Michel Gondry
Dim 14 février 19h30 Salle GF
Dim 07 février 17h00 Salle HL
Le Drôle de Noël de Scrooge (A Christmas Carol) de Robert Zemekis États-Unis/2009/96’/VOSTF/projection numérique 3D D’après Charles Dickens. Avec Jim Carrey, Gary Oldman. Le jour de Noël, un vieil avare haï de tous reçoit la visite de trois fantômes qui le poussent à changer de vie.
Dim 07 février 21h00 Salle HL
Avec Jim Carrey, Peter Riegert. Un employé de banque vivant avec son chien, trouve par hasard un masque ancien, doté d’un pouvoir magique. Il devient The Mask, un personnage délivré de ses frustrations.
se transforme un beau jour en un double vulgaire, et sadique qui doit escorter une jeune femme dans un autre Etat, où elle est recherchée.
L’OBSESSION DE L’HISTOIRE Andrzej Wajda incarne le renouveau du cinéma polonais, entamé dans les années 1950 avec des films jetant un regard critique sur la Pologne. L’Histoire parfois tragique de ce pays et ses soubresauts politiques alimentent, ouvertement ou métaphoriquement, une œuvre dont on pourra mesurer l’ampleur en revoyant l’intégralité de ses films. Hommage, en sa présence.
Rétrospective (1re partie) 08 février – 01 mars
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En partenariat avec L’Institut Polonais, TéléObs
Relier l’homme à l’Histoire Wajda donc s’est fixé une mission : élaborer l’épopée de la survie d’un peuple, adapter les romans qui reflètent l’âme du pays. Il y a quelque chose de messianique dans sa conception du cinéaste, et sans cesse, il s’est appliqué à relier l’homme à l’Histoire, à analyser des rapports de l’individu avec la cité, la collectivité, l’Etat. Il a aussi le romantisme chevillé au cœur. La rébellion innée. La certitude qu’il n’y a pas de liberté nationale sans liberté individuelle. 67
ANDRZEJ WAJDA
La première chose à faire à propos d’Andrzej Wajda consiste à rappeler qu’il est Polonais. Cette remarque n’est pas une lapalissade. Rares sont les cinéastes en effet qui se vouent si fidèlement à l’histoire et à la culture de leur pays. Il le fit, lui, avec une détermination jamais démentie. Avec vocation, pourrait-on dire, au risque que cela le desserve sur le plan international. Plus polonais que Bergman était suédois, Fellini italien, Buñuel espagnol ou Welles américain, Wajda a parfois pâti du caractère national de ses films. Il le dit fièrement : « Mes films sont polonais, faits par un Polonais, pour un public polonais ». Faut-il, pour apprécier Wajda et le comprendre, posséder les clés de l’histoire événementielle et fantasmatique de la Pologne ? Seuls le disent ceux qui n’aiment pas le cinéma. Wajda tient toutefois à son étiquette. Figure de proue de la cinématographie polonaise, ambassadeur autant qu’homme d’images, Wajda est le représentant officiel d’une nation qui a été tant de fois réduite au néant diplomatique, qu’elle scande autant que faire se peut des preuves de son identité. La passé politique de ce pays si souvent envahi, morcelé, réprimé, déchiqueté, proie des colons allemands, des hordes mongoles, des mercenaires suédois et russes, des Hongrois et des Turcs, otage des Chevaliers Teutoniques, a forgé ses citoyens à exalter une vocation héroïque, une orgueilleuse passion de la patrie. Destin de martyre dont Wajda s’est voulu le chantre. Culte de la résistance opiniâtre, dont Wajda a montré à la fois la beauté, l’élégance du geste, et l’inutilité parfois. Pour Wajda, le romancier, le musicien, le peintre ou le cinéaste polonais est plus qu’un auteur : un mage, un guide, un gardien de la « polonité ». C’est la mémoire et le porte-parole d’une nation. Son exhibition artistique est compensatoire d’une vie politique bâillonnée. Tel est le sens du Chef d’orchestre (1979), où le vieux musicien comblé par une gloire internationale qui décide, pour un concert d’adieu, de revenir dans la patrie dont il s’était exilé cinquante plus tôt, est un clin d’œil à Arthur Rubinstein. Ou au prix Nobel de littérature Czeslaw Milosz, dont Wajda disait qu’en dépit de son exil, « il était des nôtres », non parce qu’il écrivait ou parlait polonais mais parce qu’il pensait polonais.
A la fin des années 1970, Andrzej Wajda confiait volontiers que deux sujets lui tenaient particulièrement à cœur et qu’il avait l’ambition de leur consacrer un film avant de mourir. Le docteur Korczak était l’un d’eux. Ce célèbre pédiatre, qui accompagna deux cents enfants juifs arrachés à leur orphelinat pour être parqués dans le ghetto de Varsovie, les protégea de la souffrance et de la solitude avant de les accompagner à Treblinka pour mourir avec eux, se vit en effet consacrer un film, Korczak (1990). Il tint parole aussi pour le second sujet : Katyn (2007). Cette évocation du massacre d’officiers polonais en 1940, dont on crût les Allemands responsables avant de découvrir que les coupables étaient les Soviétiques, constitue pour lui une affaire d’autant plus douloureuse qu’elle est en partie personnelle : son propre père faisait partie des officiers exécutés. L’histoire la plus brûlante devait lui offrir matière à ses deux films les plus célèbres, tournés dans la fièvre de l’événement : L’Homme de marbre (1977) mêle l’ancien et le nouveau, les champions du stalinisme, la grandeur et la décadence d’un héros du socialisme. Hier l’édification d’un ouvrier maçon stakhanoviste, aujourd’hui la frénésie d’une jeune cinéaste à faire toute la lumière sur les impostures et les zones d’ombre d’un régime totalitaire, la censure. Palme d’or au Festival de Cannes, L’Homme de fer (1981) plonge en plein cœur des luttes politiques, la grève des chantiers navals de Gdansk, la naissance de Solidarnosc et l’apparition de Lech Walesa.
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Adapter les grands auteurs Quand Wajda adapte un grand roman polonais, c’est pour une raison analogue. Les grands auteurs sont à ses yeux des prophètes, une conscience, une force spirituelle. Qu’ils parlent d’Histoire ou de sentiments, ils incarnent une idée de la Pologne, une civilisation, fureur et ferveur. C’est le cas de Jaroslaw Iwaszkiewicz, auteur du Bois de bouleaux (1970), où deux frères, un veuf et un moribond, incarnent deux manières de défier Eros et Thanatos, en communion charnelle avec le paysage. Le cas aussi de Tadeusz Konwicki, le scénariste de Kanal, qui replonge dans la Pologne de 1939 pour retrouver un peu de cette paix et de cette insouciance dans laquelle un jeune homme tombe amoureux d’une belle lycéenne de Lituanie, avant que le territoire national ne subisse l’assaut des armées allemandes et ne soit partagé avec la Russie (Chronique des événements amoureux, 1986). L’Histoire est là, ô combien, dans Les Noces (1972), d’après Stanislaw Wyspianski, une pièce du patrimoine national qui fait surgir les fantômes du passé, au début du XXe siècle, alors que l’on célèbre en grande pompe le mariage d’un jeune poète avec une paysanne. Dans
l’allégresse de cette nuit burlesque et shakespearienne, surgissent des visions oniriques : celles du grand roi Sigismond, de Zawisza le héros médiéval, du massacre des nobles préparant une insurrection nationale avec l’aide secrète de l’Autriche en 1846, du devin ukrainien Wernyhova. Et s’immisce la prémonition d’une imminente catastrophe, tandis que la Pologne danse encore sous la monarchie austro-hongroise. Wajda s’enflamme pour tout sujet qui lui permet de parler à demi-mots de ce dont son pays saigne encore et toujours. On peut décrypter derrière Danton (1983) et son bras de fer contre Robespierre, le portrait d’un juste assassiné, une réflexion contemporaine sur le pouvoir et la révolution, l’affrontement entre Walesa et Jaruzelski. Transposé d’un roman de Rolf Hochhuth, description d’une liaison interdite entre une Allemande et un Polonais, Un amour en Allemagne (1983) décrit le nazisme au quotidien, via la démarche pédagogique d’un fils interrogeant les témoins et cherchant à comprendre comment des hommes ont pu laisser faire de telles horreurs, comment peut s’entretenir l’amnésie. Une sarabande d’images baroques L’histoire, la patrie, le patrimoine culturel : n’omettons pas l’essentiel. Habile dialecticien, insolent tout en se gardant d’être dissident, Wajda, adepte du grand angle, est l’un des très grands cinéastes de sa génération, un peintre hors pair. Son œuvre est une sarabande d’images baroques, romantiques, expressionniste, l’illustration endiablée de la sauvagerie des passions. Comment mieux évoquer Wajda que par l’intensité visuelle de ses fresques ? Verres d’alcool enflammés, sanglante poursuite entre des draps qui sèchent, duo d’amour dans une église en ruines, sous un Christ suspendu la tête en bas. Un air de Chopin saccagé par des musiciens barbares, une jument blanche galopant dans une plaine bordée d’arbres roux, le claquement sec des étendards et le galop des chevaux kamikazes. Un tuberculeux moribond joue des claquettes et de la sonate frivole avant de poursuivre de ses assauts fougueux une blonde pulpeuse, née de la paille et de l’eau de source. Tourbillon de robes bariolées et de chapeaux emplumés, filmé par une caméra qui chavire, s’enivre au son des violons. Portrait d’une campagne peuplée de demoiselles en vaporeuses robes mousseline qui consomment leurs siestes dans les langueurs tandis que leur monde glisse gracieusement vers sa fin, déjà figé dans un coma suranné. Ville en transes où les usines déploient leurs tentacules, jungle humaine où les pauvres sont soumis au rythme intraitable des cadences. Enquête sur un citoyen traqué par la politique du soupçon. La révolte et la mort entremêlés dans un paroxysme flamboyant. Jean-Luc Douin
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Chez Wajda, l’obsession de l’Histoire est donc passée par Cendres (1965), exaltation du courage des combattants du prince Poniatowski engagé aux côtés des troupes napoléoniennes contre canons autrichiens et espagnols. Par Lotna (1959), hommage à ces ancêtres d’un détachement de cavalerie qui, en 1939, chargèrent sabre au clair et en gants blancs, debout sur leurs étriers, contre des blindés allemands. Et, bien sûr, par les films qui le révèlent, juste après la Seconde Guerre mondiale : Génération (1955), sur l’engagement de jeunes gens contre l’occupant allemand ; Kanal (1957), sur les actes de résistance d’un groupe de partisans encerclés par les nazis lors de l’insurrection de Varsovie ; et Cendres et diamants (1958), portrait complexe d’une génération prise entre les idéaux de l’Armée nationale et l’idéologie communiste.
L’Amour à vingt ans de Shintarõ Ishihara, Marcel Ophüls, Renzo Rossellini, François Truffaut et Andrzej Wajda
Lun 8 février 20h00 Salle HL -> -> Soirée privée. Places pour les abonnés Libre Pass, sur réservation à partir du mercredi 27 janvier, 12h30.
Sweet rush(Tatarak) d’Andrzej Wajda Pologne/2009/85’/VOSTF/35mm D’après Jaroslaw Iwaszkiewicz. Avec Krystyna Janda, Pawel Szajda. Une femme mûre rencontre un jeune homme qui lui fait oublier son âge.
Cendres (Popioly) d’Andrzej Wajda Pologne/1965/234’/VOSTF/35mm Avec Daniel Olbrychski, Boguslaw Kierc. L’histoire de la Pologne au moment des invasions napoléoniennes à travers trois
Jeu 11 février 19h00 Salle HL
Le Bois de bouleaux (Brzezina) d’Andrzej Wajda Pologne/1970/99’/VOSTF/35mm Avec Olgierd Lukaszewicz, Daniel Olbrychski. Un jeune tuberculeux vient vivre ses derniers moments chez son frère, dans un ultime sursaut d’amour de la vie.
Jeu 18 février 19h30 Salle GF
L’Anneau de crin (Pierscionek z orlem w koronie) d’Andrzej Wajda Pologne/1992/104’/VOSTF/35mm Avec Rafal Królikowski, Adriana Biedrzynska. En 1944, alors que l’insurrection de Varsovie prend fin, l’armée de l’intérieur doit se rendre aux Allemands. Marcin, un jeune soldat, tente de fuir la ville mais il est grièvement blessé.
Lun 15 février 14h30 Salle HL
Avec Jean-Pierre Léaud, Zbigniew Cybulski. Film à sketches sur les amours de jeunes gens de cinq pays différents.
Sam 20 février 21h30 Salle GF
Chronique des événements amoureux (Kronika wypadków milosnych) d’Andrzej Wajda Pologne/1986/120’/VOSTF/35mm Avec Paulina Mlynarska, Piotr Wawrzynczak. Eté 39, peu avant le début de la Deuxième Guerre mondiale, le jeune Witek rentre chez ses parents. Dans le train, un homme lui fait une étrange prédiction.
Sam 20 février 19h30 Salle GF
Le Chef d’orchestre (Dyrygent) d’Andrzej Wajda Pologne/1980/101’/VOSTF/35mm Avec John Gielgud, Krystyna Janda. Marta, une jeune violoniste, rencontre un chef d’orchestre polonais renommé à l’étranger. Celui-ci avait très bien connu sa mère et se sert de Marta pour retrouver son passé.
Jeu 18 février 21h30 Salle GF
La Chasse aux mouches (Polowanie na muchy) d’Andrzej Wajda Pologne/1969/104’/VOSTF/35mm Avec Zygmunt Malanowicz, Malgozhata Braunek. Un petit bureaucrate sans ambition se rend en boite de nuit avec un ancien camarade de classe. Il y fait la connaissance d’Irène qui veut lui faire découvrir la vie sous un autre angle.
Mer 10 février 19h15 Salle HL
Cendres et Diamant (Popiól i diament) d’Andrzej Wajda Pologne/1958/103’/VOSTF/35mm Avec Zbigniew Cybulski, Ewa Krzyzewska. Le dernier jour de la Seconde Guerre mondiale, on ordonne à Maciek, un jeune résistant, de tuer le nouveau secrétaire du parti communiste, alors que tous deux ont combattu ensemble.
Mer 10 février 21h15 Salle HL
Génération/Une fille a parlé (Pokolenie) d’Andrzej Wajda Pologne/1955/83’/VOSTF/35mm Avec Tadeusz Lomnicki, Urszula Modrzynska. À l’heure de l’occupation de la Pologne par les Allemands, Stach, subjugué par le discours de Dorota à la sortie de l’école, se rallie avec ses amis à la jeunesse communiste armée pour résister.
Sam 13 février 19h30 Salle HL
La Dernière Charge (Lotna) d’Andrzej Wajda Pologne/1959/90’/VOSTF/35mm Avec Jerzy Pichelski, Adam Pawlikowski. Lotna, une magnifique jument arabe, va être réquisitionnée par la cavalerie pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Jeu 11 février 21h00 Salle HL
Korczak d’Andrzej Wajda Pologne-ALL-GB/1990/115’/VOSTF/35mm Avec Wojciech Pszoniak, Ewa Dalkowska. Pendant la Seconde Guerre mondiale dans le ghetto de Varsovie, Korczak est un grand docteur qui se consacre aux enfants d’un orphelinat. Il y instaure un régime d’autogestion qui contraste avec ce qu’il se passe au-dehors.
Dim 21 février 21h30 Salle GF
Katyn d’Andrzej Wajda Pologne/2007/118’/VOSTF/35mm Avec Joachim Paul Assböck, Waldemar Barwinski. En septembre 1939, l’URSS envahit la Pologne. Malgré l’insistance de sa femme qui l’enjoint à fuir, un soldat accompagne les milliers d’autres déportés.
Sam 13 février 21h30 Salle HL
Kanal (Ils aimaient la vie) d’Andrzej Wajda Pologne/1957/95’/VOSTF/35mm Avec Teresa Izewska, Tadeusz Janczar. Pendant l’insurrection polonaise de 1944, un groupe de résistants en fuite utilise les égouts de la ville.
Sam 13 février 14h15 Salle HL • Séance suivie d'une leçon de cinéma d'Andrzej Wajda à 17h30.
Les Demoiselles de Wilko (Panny z Wilka) d’Andrzej Wajda Pologne-France/1979/118’/VOSTF/35mm Avec Daniel Olbrychski, Anna Seniuk. Alors qu’il part chez son oncle se reposer, Victor repense aux jeunes voisines avec lesquelles il avait passé son enfance. Il cherche à savoir ce qu’elles sont devenues.
Ven 19 février 14h30 Salle HL
érigé en modèle. Elle cherche à comprendre comment les médias ont construit cette gloire.
L’Homme de marbre (Czlowiek z marmuru) d’Andrzej Wajda Pologne/1977/165’/VOSTF/35mm Avec Jerzy Radziwilowicz, Krystyna Janda. Une jeune fille fait son film de fin d’études sur un ouvrier fabriquant de briques qui fut
Danton d’Andrzej Wajda Pologne-France/1983/136’/VOSTF/35mm Avec Gérard Depardieu, Wojciech Pszoniak, Patrice Chéreau. Quatre ans après le début de la Révolution française, les meneurs se divisent. Danton
tente de gagner l’adhésion du peuple.
Dim 14 février 19h00 Salle HL
Lun 15 février 17h00 Salle GF
L’Homme de fer (Czlowiek z zelaza) d’Andrzej Wajda Pologne/1981/153’/VOSTF/35mm Avec Jerzy Radziwilowicz, Krystyna Janda. Une journaliste est envoyée à Dantzig faire un reportage sur les grèves. Elle s’intéresse à un jeune homme qui se rallie à Solidarnosc de Lech Walesa.
Crime et Châtiment (Schuld und Sühne) d’Andrzej Wajda Autriche-ALL/1992/120’/VOSTF/vidéo d’après le roman de Dostoïevski. Avec Stephan Bissmeier, Jutta Lampe. Un jour, Raskolnikov tue une vieille prêteuse sur gages. Il a ensuite l’impression que tout le monde le soupçonne du meurtre.
destins individuels.
Avant-première Ven 12 février 19h00 Salle HL
Korczak, Andrzej Wajda
Chronique des événements amoureux, Andrzej Wajda
Danton, Andrzej Wajda
Cendres, Andrzej Wajda
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
ANDRZEJ WAJDA LES FILMS
71 France/1962/120’/VOSTF/35mm
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72
Lun 01 mars 17h00 Salle GF
Les Noces (Wesele) d’Andrzej Wajda Pologne/1973/106’/VOSTF/35mm Avec Ewa Zietek, Daniel Olbrychski. Dans une maison de Cracovie, toutes les couches de la société sont réunies pour le mariage d’un poète à la mode et d’une paysanne.
Sam 27 février 21h30 Salle GF
Nastasja d’Andrzej Wajda Pologne-Japon/1994/100’/VOSTF/vidéo D’après le dernier chapitre de l’Idiot de Dostoïevski. Avec Tamasaburo Bando, Toshiyuki Nagashima. Alors que Nastasja vient de mourir, les Princes Mishkin et Rogozin reviennent sur leur passé. Sous réserve
Sam 27 février 19h30 Salle GF
Mademoiselle Personne (Panna Nikt) d’Andrzej Wajda Pologne/1996/98’/VOSTF/35mm Avec Anna Wielgucka, Anna Mucha. Fervente catholique, une jeune paysanne accompagne ses parents qui déménagent en ville. Elle va y faire des rencontres peu en accord avec ses croyances.
Dim 21février 19h30 Salle GF
La Ligne d’ombre (Smuga cienia) d’Andrzej Wajda Pologne/1976/100’/VOSTF/35mm d’après le roman de Joseph Conrad. Avec Marek Kondrat, Graham Lines. Un jeune capitaine doit conduire un bateau jusqu’à Singapour. Mais les conditions de navigation sont très dangereuses et une épidémie touche les passagers.
Dim 28 février 19h30 Salle GF
Lady Macbeth sibérienne (Sibirska Ledi Magbet) d’Andrzej Wajda Pologne/1961/106’/VOSTF/35mm d’après la pièce de William Shakespeare. Avec Ljuba Tadic, Olivera Markovic. Entraîné par sa femme, Macbeth complote de tuer le roi d’Ecosse après la prédiction de trois sorcières.
Dim 28 février 21h30 Salle GF -> -> (Sous réserve)
ANDRZEJ WAJDA LES FILMS
La Semaine sainte (Wielki tydzien) d’Andrzej Wajda Pologne-ALL-FR/1995/97’/VOSTF/35mm d’après le roman de Louis Aragon.
Jeu 25 février 19h15 Salle HL
Sans anesthésie (Bez znieczulenia) d’Andrzej Wajda Pologne/1978/113’/VOSTF/35mm Avec Zbigniew Zapasiewicz, Ewa Dalkowska. Jerzy est un célèbre reporter à qui la vie sourit. Mais au retour d’un voyage, sa femme qui s’était toujours montrée aimante demande le divorce et les cours qu’il donne à l’université sont annulés.
Lun 01 mars 14h30 Salle HL
Jeu 18 février 14h30 Salle HL
Un amour en Allemagne (Eine Liebe in Deutschland) d’Andrzej Wajda RFA-FR/1983/132’/VOSTF/35mm Avec Hanna Shygulla, Piotr Lysak. Un homme d’une cinquantaine d’années retourne avec son fils sur les lieux de son enfance. Il cherche à éclaircir une histoire d’amour entre sa mère et un réfugié de guerre polonais.
Ven 12 février 17h00 Salle HL
Tout est à vendre (Wszystko na sprzedaz) d’Andrzej Wajda Pologne/1969/105’/VOSTF/35mm Avec Beata Tyszkiewicz, Elzbieta Czyzewska. Film en hommage au comédien Zbigniew Cybulski. L’acteur principal du film d’Andrzej a disparu pendant le tournage. Son ex-femme et l’actuelle le cherchent en vain ; le sujet du film devient cette absence.
Mer 17 février 19h30 Salle GF
Lun 22 février 14h30 Salle HL Samson d’Andrzej Wajda Pologne/1961/106’/VOSTF/35mm Avec Serge Merlin, Alina Janowska. Victime d’un pogrom, un étudiant juif se retrouve en prison puis dans le ghetto d’où il parvient à s’évader.
La Terre de la grande promesse (Ziemia obiecana) d’Andrzej Wajda Pologne/1975/179’/VOSTF/35mm Avec Daniel Olbrychski, Wojtek Pszoniak. Trois amis s’installent à Lodz, ville du textile, pour faire fortune. Ils rassemblent leur argent pour construire une usine.
Mer 24 février 19h30 Salle HL
Les Sorciers innocents (Niewinni czarodzieje) d’Andrzej Wajda Pologne/1960/87’/VOSTF/35mm Avec Tadeusz Lomnicki, Krystyna Stypulkowska. Un jeune homme, habitué à avoir le pouvoir sur les femmes, tombe amoureux d’une jeune fille avec qui il a un soir une grande discussion.
Dim 21 février 15h00 Salle GF
Solidarnosc, Solidarnosc… d’Andrzej Wajda, segment « Man of Hope » Pologne/2005/113’/VOSTF/Vidéo Avec Lech Walesa, Andrzej Wajda. Des courts métrages commémorant le 25e anniversaire du syndicat Solidarité.
Ven 26 février 17h00 Salle HL
Avec Beata Fudalej, Wojciech Malajkat. Du 19 au 26 mars 1815, Napoléon s’échappe de l’île d’Elbe et reprend la course au pouvoir tandis que Louis XVIII fuit, emmenant avec lui le peintre Géricault.
Les Possédés d’Andrzej Wajda France/1988/116’/35mm D’après le roman de Dostoïevski. Avec Isabelle Hupert, Jutta Lampe. Un village de Russie, 1870. Un petit groupe révolutionnaire prône la violence pour anéantir le système.
Jeu 11 février 14h30 Salle HL
Paysage après la bataille (Krajobraz po bitwie) d’Andrzej Wajda Pologne/1970/101’/VOSTF/35mm Avec Daniel Olbrychski, Stanislawa Celinska. A l’heure de la libération des camps, le jeune poète Tadeusz veut retrouver la Pologne. Il fait la rencontre d’une jeune juive qui veut l’entrainer dans son exil vers la France.
Jeu 25 février 21h30 Salle HL
Pan Tadeusz- Quand Napoléon traversait le Niémen (Pan Tadeusz) d’Andrzej Wajda Pologne-France/1999/125’/VOSTF/35mm Adaptation du poème épique de Mickiewicz. Avec Linda Boguslaw, Daniel Olbrychski. En 1812, Napoléon est en route pour Moscou. Pendant ce temps, en Lituanie, deux familles d’aristocrates, l’une pro-russe, l’autre indépendantiste, s’opposent dans une guerre des clans.
Les Films réalisés pour la télévision seront présentés dans le prochain programme
La rétrospective de l’œuvre d'Andrzej Wajda se poursuivra en mars.
Lun 22 février 17h00 Salle GF
Quand tu dors (Kiedy ty spisz) d’Andrzej Wajda Pologne/1952/11’/VOSTF/35mm Un documentaire sur les travailleurs de nuit, qui permettent à la vie diurne de fonctionner. •Suivi de Leçon de cinéma polonais (Lekcja polskiego kina) d’Andrzej Wajda Pologne/2002/71’/VOSTF/Vidéo Documentaire sur le cinéma polonais, ses influences et la place de la censure. •Suivi de Le Mauvais Garçon (Zly Chlopiec) d’Andrzej Wajda Pologne/1950/6’/Sans dialogues/Vidéo Avec Jan Lomnicki. Premier court métrage d’école.
I Walk in the Sun (Ide do Slonca) d’Andrzej Wajda Pologne/1955/15’/VOSTF/35mm Avec Xavier Durikowski. Documentaire sur le sculpteur Xavier Durikowski. •Suivi de Pottery of Ilza (Ceramika Ilzeka) d’Andrzej Wajda Pologne/1951/10’/VOSTF/35mm Un documentaire sur l’industrie régionale de la poterie. •Suivi de
DocumentaireS
Mer 24 février 21h15 Salle HL
La Vengeance (Zemsta) d’Andrzej Wajda Pologne/2002/100’/VOSTF/35mm d’après une pièce d’Alexander Fredro. Avec Roman Polanski, Janusz Gajos. Un notaire et un ancien soldat se partagent un château en Pologne, mais tous deux se détestent, ce qui ne facilite pas l’amour entre la fille du vieux combattant et le fils du notaire.
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« Le problème principal du cinéma politique n’est pas d’accepter ou de refuser l’ingérence de la censure, mais de concevoir une œuvre qui rende les procédés de la censure inopérants. On ne peut censurer que ce qui ne dépasse pas l’imagination des censeurs. Créez quelque chose de vraiment original, les censeurs y perdront leurs ciseaux avec leur latin. (…) Seul l’artiste répond de ce qu’il dit à son public. C’est le mode d’emploi de sa liberté. L’artiste doit parfois faire comprendre à son peuple ce que celui-ci ne veut pas entendre. Il a besoin d’une liberté en quelque sorte double : liberté à l’égard du pouvoir, liberté à l’égard du public. » (Andrzej Wajda, Un cinéma nommé désir, éditions Stock, 1986)
Sam 13 février 17h30 Salle HL « WAJDA PAR WAJDA », UNE LEÇON DE CINÉMA À la suite de la projection à 14h15 de L’Homme de marbre, Leçon de cinéma d’Andrzej Wajda.
ANDRZEJ WAJDA parlons cinéma
Tarif plein 4 € / Tarif réduit 3 € Forfait atout prix et Cinétudiant 2,5 € Possibilité d'un billet couplé avec la séance de L'Homme de marbre Film + Leçon de Cinéma : 8 € au lieu de 10,50 €. Libre pass Accès libre : réservation conseillée à partir du mercredi 27 janvier, 12h30. Film hors réservation.
L’Homme de marbre, Andrzej Wajda
Hommage au directeur de la photographie
MICHAEL BALLHAUS
17 — 28 février Les Affranchis, Martin Scorsese
En partenariat avec l’AFC, le Goethe institut, Télérama, Air Berlin
L’OEIL EN MOUVEMENT Après avoir été le directeur de la photographie dans les années 70 de nombreux films de Rainer Werner Fassbinder, Michael Ballhaus est devenu l’un des chefs opérateurs les plus demandés aux États-Unis, signant notamment quelques-uns des films les plus importants de Martin Scorsese (de After Hours à Les Infiltrés). Hommage, en sa présence. Il n’y a pas de hasard. A 18 ans, le jeune Michael Ballhaus se rend sur le tournage de Lola Montès à Munich, où sont réalisées les séquences de cirque du film. «Cette visite changea ma vie. J’étais stupéfait de me rendre compte qu’il y avait une combinaison parfaite et magique entre les deux mondes que j’avais connus et aimés durant toute ma vie : la photographie et le théâtre » 1. Assister à la fabrication des célèbres arabesques visuelles du tandem Max Ophuls - Christian Matras (son chef opérateur) est une étape fondatrice dans le désir de Michael Ballhaus de devenir directeur de la photographie. Son premier rêve était de devenir acteur, comme l’étaient ses parents, ou son oncle Carl Ballhaus, acteur célèbre des années 20 et 30, notamment dans M le maudit de Fritz Lang. Après une formation de photographe, Michael Ballhaus débute comme cadreur pour la chaîne Südwestfunk à Baden-Baden, puis comme chef opérateur en 1960, avant de devenir, en 1968, enseignant à l’académie allemande de cinéma et de télévision, tout juste créée à Berlin.
La période américaine Après le tournage en 1981 de Dear Mr Wonderful de Peter Lilienthal aux ÉtatsUnis, Ballhaus est engagé sur le film de John Sayles, Baby It’s You. C’est ainsi qu’à l’instar d’autres chefs opérateurs européens tels que Nestor Almendros, Chris Menges ou Vittorio Storaro, Michael Ballhaus va progressivement se faire un nom de l’autre côté de l’Atlantique. C’est Martin Scorsese qui donnera l’impulsion définitive à sa carrière américaine. Après une première tentative avortée de réaliser avec lui La Dernière Tentation du Christ, Scorsese lui propose de faire la photo de After Hours, un « petit » film libre, rapide, tourné en quarante nuits. Ballhaus y joue sur les contrastes : « J’ai essayé d’opposer une lumière éclatante à l’obscurité. Le personnage principal passe toute sa vie dans l’obscurité d’un bureau. Puis une nuit, il se trouve dans un puits de lumière. La lumière le frappe, il prend peur, il se retire dans l’ombre mais la lumière vient le trouver à nouveau. » 4 . Six films suivront avec Martin Scorsese : La Couleur de l’argent (1986) et ses fabuleux travellings planant au-dessus des tables de billard, La Dernière Tentation du Christ (1988), Les Affranchis (1990), Le Temps de l’innocence (1993), Gangs of New York (2002) et Les Infiltrés (2006), autant de façons différentes pour Ballhaus, chorégraphe amoureux du genre humain, d’adapter sans cesse la mobilité de sa caméra à la narration fluide du cinéaste américain. Ballhaus à Hollywood, c’est un peu comme si Fassbinder avait posé ses yeux sur le cinéma américain, dit-on parfois poétiquement pour exprimer l’imprégnation d’un cinéma « mainstream » par l’esthétique élégante et dynamique du cinéma allemand des années 70. On peut s’amuser à repérer les points communs entre Les Larmes amères de Petra Von Kant et La Ménagerie de verre de Paul Newman, deux huis-clos dont Ballhaus a réalisé la photographie. Ou encore tracer un fil entre les portraits mélancoliques d’Hannah Schygulla dans Le Mariage de Maria Braun et ceux de Michelle Pfeiffer dans Susie et les Baker Boys de Steve Kloves. La carrière américaine de Ballhaus est impressionnante. On peut encore citer les films de Mike Nichols (Working Girl, 1988 ; Primary Colors, 1998), de Robert Redford (Quiz Show, 1994 ; La Légende de Bagger Vance, 2000), Barry Levinson (Sleepers, 1996), et même celui du chanteur Prince pour cette expérience unique qu’est Under the Cherry Moon (1986). Aujourd’hui, alors qu’il vient de tourner un documentaire sur Berlin où il s’est désormais retiré, Michael Ballhaus, à 74 ans, est plus que jamais tourné vers l’avenir. Il continue de soutenir les jeunes réalisateurs et les étudiants en cinéma. Son fils, Florian, assure désormais la relève. Il était il y a trois ans le directeur photo du film à succès de David Frankel, Le Diable s’habille en Prada.
1 in «A talk with Michael Ballhaus », par Talia Lavie, avril 2008 (www.cinemascopian.com) 2 in « Das fliegende Auge – Michael Ballhaus im Gespräch mit Tom Tykwer », Tom Tykwer, 2002, hélas non traduit en français ou en anglais (éd.Berlin Verlag)
3 in Entretien avec Michael Ballhaus par Hubert Niogret, Positif, n°475, novembre 2000 4 in « L’Amérique dans l’objectif européen », entretien avec Michael Ballhaus, Cahiers du Cinéma n°74, juin 1987
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Bernard Payen
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La rencontre avec Fassbinder Fasciné par la Nouvelle Vague française et le travail de Raoul Coutard, Michael Ballhaus rencontre en 1970 Rainer Werner Fassbinder qui recherche alors le chef opérateur de ce qui sera son unique western, Whity. La rencontre entre les deux hommes est particulièrement glaçante tant Fassbinder est condescendant, voire haineux à l’égard de son aîné de dix ans, mais elle initie singulièrement une collaboration intense et productive. Le tandem FassbinderBallhaus réalisera une quinzaine de films en dix ans, parmi lesquels Maman Küsters s’en va au ciel, Roulette chinoise ou Le Droit du plus fort. Dans Martha, réalisé pour la télévision en 1974, Michael Ballhaus met au point son fameux travelling à 360°, qui va devenir sa marque de fabrique. La rencontre amoureuse entre les personnages de Martha et de son futur mari Helmut reste ainsi un incroyable moment suspendu, mémorable pour le spectateur comme pour les protagonistes. La technique s’oublie pour servir avant tout un sentiment. Le réalisateur Tom Tykwer définit parfaitement l’art de Ballhaus 2 : « Il est toujours aussi curieux d’expérimenter de nouvelles choses dans le langage filmique, mais sans jamais oublier qu’au cœur d’un bon film, il y a l’être humain et ses conflits existentiels. Ballhaus a concilié de manière fascinante la complexité technique et l’empathie du regard sur les personnages, sans aucune distanciation. » Les Larmes amères de Petra Von Kant l’illustre particulièrement, chacun de ses travellings doux et imperceptibles, parfois combinés à des zooms, expriment une émotion immédiate sans aucune forme de gratuité.
Travailler avec Fassbinder va aussi permettre à Ballhaus d’expérimenter la vitesse sur un tournage : « C’est vraiment lui qui m’a appris à travailler vite, en prenant des décisions immédiatement. (…) Il avait beaucoup d’images dans la tête. Ce qu’il aimait, c’était être inspiré par le moment. » 3. À la charnière des années 70-80, Le Mariage de Maria Braun (1979), et Lili Marleen seront ses dernières collaborations avec le cinéaste allemand.
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Sam 27 février 16h30 Salle HL
Broadcast News de James L. Brooks États-Unis/1987/133’/VOSTF/35mm Avec William Hurt, Albert Brooks. La talentueuse productrice d’un journal télévisé tombe amoureuse du présentateur d’une émission qu’elle méprise.
Dim 21 février 19h00 Salle HL
Bons Baisers d’Hollywood (Postcards from the Edge) de Mike Nichols États-Unis/1990/101’/VOSTF/35mm Avec Meryl Streep, Shirley MacLaine. Suzanne Vale est une actrice qui s’adonne à la drogue et a dû lutter pour s’imposer dans le métier malgré l’ombre persistante de son ancienne star de mère.
Dim 21 février 17h00 Salle HL
After Hours de Martin Scorsese États-Unis/1985/97’/VOSTF/35mm Avec Griffin Dunne, Rosanna Arquette. Paul, informaticien timide, passe une nuit cauchemardesque avec une jeune fille qu’il connait à peine.
Sam 20 février 14h30 Salle HL • Séance suivie d'une leçon de cinéma de Michael Ballhaus à 17h30.
hiérarchie et devient trafiquant de drogue.
Les Affranchis (Goodfellas) de Martin Scorsese États-Unis/1990/146’/VOSTF/35mm Avec Robert De Niro, Ray Liotta. Henry Hill, qui a toujours rêvé d’appartenir à la Mafia, monte les échelons dans la
Gangs of New-York de Martin Scorsese États-Unis/2002/167’/VOSTF/35mm Avec Léonardo DiCaprio, Daniel Day-Lewis. New York, 1846. Deux gangs s’affrontent sans merci. Dix-sept ans après, le fils du
Jeu 25 février 21h45 Salle GF
Le Droit du plus fort (Faustrecht der Freiheit) de Rainer Werner Fassbinder RFA/1975/123’/VOSTF/35mm Avec Peter Chatel, Rainer Werner Fassbinder, Karlheinz Böhm. Un jeune homosexuel perd son travail et son petit ami, arrêté par la police. Il gagne à la loterie et rencontre un homme très intéressé par son argent.
Dim 28 février 21h45 Salle HL
Dracula (Bram Stocker’s Dracula) de Francis Ford Coppola États-Unis/1992/128’/VOSTF/35mm D’après Bram Stocker. Avec Gary Oldman, Winona Ryder. John, un jeune avocat anglais, est envoyé en Transylvanie chez le comte Dracula qui le séquestre. Celui-ci part pour Londres afin de retrouver Mina, la fiancée de John, qu’il croit être sa femme disparue.
Jeu 18 février 21h00 Salle HL
à mener une vie normale, avant de s’en remettre complètement à Dieu.
La Dernière Tentation du Christ (The Last Temptation of Christ) de Martin Scorsese États-Unis/1988/164’/VOSTF/35mm Avec Willem Dafoe, Harvey Keitel, Paul Greco, Steve Shill. Jésus de Nazareth hésite une dernière fois
Dim 28 février 19h15 Salle HL
chef vaincu cherche vengeance.
La Couleur de l’argent (The Color of Money) de Martin Scorsese États-Unis/1986/119’/VOSTF/35mm Avec Paul Newman, Tom Cruise. Ayant abandonné billard et arnaques, Eddie Felson rencontre un jour dans un bar un jeune joueur de billard qui lui rappelle sa jeunesse.
Adolf et Marlène (Der Mann von Obersalzberg) de Ulli Lommel RFA/1977/88’/VOSTF/35mm Avec Kurt Raab, Margit Cartensen. Hitler veut faire de Marlène Dietrich sa maîtresse mais celle-ci ne cesse de le défier. Jeu 18 février 19h00 Salle HL
Dracula, Francis Ford Coppola
Maman Küsters s’en va au ciel, Rainer Werner Fassbinder
Les Larmes amères de Petra Von Kant, R.W. Fassbinder
La Montagne magique (Der Zauerberber)
Made in Germany and USA (Made in Germany und USA)
Martha de Rainer Werner Fassbinder RFA/1974/116’/VOSTF/35mm Avec Margit Cartensen, Karlheinz Böhm. Une jeune femme perd son père et ne quitte
Jeu 25 février 19H30 Salle GF
Le Mariage de Maria Braun (Die Ehe der Maria Braun) de Rainer Werner Fassbinder RFA/1979/120’/VOSTF/35mm Avec Hanna Schygulla, Claus Löwitsch. Maria Braun devient la maitresse de Bill, un GI américain, après que son mari soldat est porté disparu. Quand il revient et surprend Maria et Bill ensemble, Maria décide de tuer Bill.
Mer 24 février 21h30 Salle GF-> Film précédé de Bourbon Street Blues.
Maman Küsters s’en va au ciel (Mutter Küsters’ Fahrt zum Himmel) de Rainer Werner Fassbinder RFA/1975/120’/VOSTF/35mm Avec Brigitte Mira, Ingrid Caven. Après le suicide de son mari, une femme demande justice.
Ven 19 février 17h00 Salle HL
Reckless de James Foley États-Unis/1984/90’/VOSTF/35mm Avec Aidan Quinn, Daryl Hannah. Johnny, footballeur issu d’une famille
Sam 27 février 21h15 Salle HL
Quiz Show de Robert Redford États-Unis/1994/133’/VOSTF/35mm Avec John Turturro, Rob Morrow. En 1958, Herbert Stempel est le champion invaincu du jeu télévisé « Twenty-One ». Mais d’origine juive, il est peu apprécié par le public et fait baisser l’audience.
Ven 26 février 21h00 Salle HL
Primary Colors de Mike Nichols États-Unis/1997/143’/VOSTF/35mm Avec John Travolta, Emma Thompson. Fils d’un Noir qui a lutté pour les droits civiques, Henry Burton participe à la campagne présidentielle de Jack Stanton et découvre l’univers vicié de la politique.
Dim 21 février 21h00 Salle HL
de Hans W. Geissendörfer Autriche-RFA-France-Italie/1982/153’/ VOSTF/35mm D’après Thomas Mann. Avec Werner Eichhorn, Rod Steiger. Hans, jeune diplômé de l’université, rend visite à son cousin qui soigne sa tuberculose dans un sanatorium. Fasciné par l’atmosphère morbide de l’endroit, Hans décide d’y rester.
Dim 28 février 16h45 Salle HL
Ven 19 février 21h30 Salle GF
de Rudolf Thome RFA/1974/141’/VOSTF/35mm Avec Karin Thome, Eberhard Klasse. Un couple cherche à se réconcilier en partant aux États-Unis.
La Ménagerie de verre (The Glass Menagerie) de Paul Newman États-Unis/1987/134’/VOSTF/35mm D’après Tennessee Williams. Avec Joanne Woodward, John Malkovich. Un jeune homme est exaspéré par sa mère, qui cherche à tout prix à marier sa fille boiteuse et neurasthénique.
Mer 24 février 19h15 Salle GF
sa mère aigrie que pour se marier avec un sadique.
After Hours, Martin Scorsese
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
Les Larmes amères de Petra Von Kant (Die bitteren Tränen der Petra von Kant) de Rainer Werner Fassbinder RFA/1972/124’/VOSTF/35mm Avec Margit Carstensen, Hanna Schygulla. Une styliste de mode à succès et très imbue d’elle même, Petra Van Kant, tombe amoureuse d’une jeune mannequin.
Sam 20 février 20h00 Salle HL
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
MICHAEL BALLHAUS LES FILMS
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Sam 27 février 19h00 Salle HL
Susie et les Baker Boys (The Fabulous Baker Boys) de Steve Kloves États-Unis/1989/114’/VOSTF/35mm Avec Jeff Bridges, Michelle Pfeiffer. Les frères Baker gagnent leur vie en jouant de la musique dans les bars. Alors que le travail se fait de plus en plus rare, ils engagent une chanteuse qui leur offre un nouveau regard sur la vie.
Ven 19 février 19h00 Salle GF -> -> Séance présentée par Michael Ballhaus. Sous réserve.
Roulette chinoise (Chinesisches Roulette) de Rainer Werner Fassbinder RFA/1976/96’/VOSTF/35mm Avec Anna Karina, Margit Cartensen, Brigitte Mira. Gerhard se rend avec sa maîtresse dans sa maison de campagne ou il se retrouve face à sa femme et son amant.
Sam 27 février 14h30 Salle HL
pauvre, doit gagner le cœur de Tracy, une pom-pom girl d’un milieu aisé.
MICHAEL BALLHAUS LES FILMS
Working Girl (Quand les femmes s’en mêlent) de Mike Nichols États-Unis/1988/113’/VOSTF/35mm Avec Harrison Ford, Sigourney Weaver, Mélanie Griffith, Alec Baldwin. Quand sa chef se casse une jambe, Tess,
Ven 26 février 19h00 Salle HL
Under the Cherry Moon de Prince États-Unis/1986/98’/VOSTF/35mm Avec Prince, Kristin Scott Thomas. Deux amis profitent de leur séjour au bord de la mer Méditerranée pour extorquer de l’argent aux riches vieilles dames. Un jour, ils s’attaquent à une jeune héritière.
Mer 17 février 20h00 Salle HL -> -> Ouverture du cycle Michael Ballhaus Libre Pass : réservation conseillée à partir du mercredi 03 février 12h30.
Le Temps de l’innocence (The Age of Innocence) de Martin Scorsese États-Unis/1993/139’/VOSTF/35mm Avec Daniel Day-Lewis, Michelle Pfeiffer. Dans les hautes classes de la société newyorkaise des années 1870, Newland Archer tombe amoureux de la cousine de sa fiancée.
Mer 24 février 21h30 Salle GF -> -> Film suivi de Maman Küsters s'en va au ciel. (Film sous réserve)
Bourbon Street Blues de Douglas Sirk et Hans Schönherr RFA/1978/24’/VOSTF/35mm d’après Tenessee Williams. Avec Anne-Marie Dueringer, Doris Schade. Dans un bordel de la Nouvelle-Orléans, une femme est menacée d’expulsion par sa logeuse.
COURT METRAGE
Dim 28 février 14h30 Salle HL
secrétaire frustrée, prend l’entreprise en main et tombe malencontreusement amoureuse du fiancé de sa chef.
Tarif plein 4 € / Tarif réduit 3 € Forfait atout prix et Cinétudiant 2,5 € Possibilité d'un billet couplé avec la séance des Affranchis (Film + Leçon de Cinéma : 8 € au lieu de 10,50 €). Libre pass Accès libre : réservation conseillée à partir du mercredi 03 février, 12h30. Film hors réservation.
« Je travaille différemment avec chaque cinéaste. Scorsese, par exemple, pense avant tout aux images et un aspect essentiel de son méticuleux travail de préparation pour le tournage de ses films est de faire une liste détaillée des plans qu’il me remet. Cette liste exprime pour moi le rythme et la durée de respiration de chaque scène.» (Extrait d’un entretien avec M.Ballhaus).
Sam 20 février 17h30 Salle HL « BALLHAUS PAR BALLHAUS », UNE LEÇON DE CINÉMA Après la projection (14h30) des Affranchis de Martin Scorsese : Leçon de cinéma de Michael Ballhaus animée par le chefopérateur Eric Gautier, le cinéaste Olivier Assayas (sous réserve), et Serge Toubiana. En partenariat avec l’AFC (Association française des directeurs de la photographie cinématographique).
MICHAEL BALLHAUS parlons cinéma
programmations régulières p.109
CINÉMA BIS Toutes les deux semaines, des films étranges, bizarres, fantastiques, d’horreur ou érotiques.
p.92
VOIR-REVOIR LE CINÈMA CONTEMPORAIN Des œuvres contemporaines novatrices, singulières, souvent passées trop vite dans les salles.
p.103
L’ART DU COURT Métrage FENÊTRE SUR LE COURT Métrage CONTEMPORAIN Programmations de courts métrages thématiques et mensuelles.
p.94
SÉANCES JEUNE PUBLIC Cycles de films pour les enfants et adolescents (Autour des contes, Voir le monde en couleurs, etc.).
p.107
CINÉMATHÈQUE DE LA DANSE Programmations mensuelles de films autour de la danse et du cinéma.
p.100
CINÉMA D’AVANT-GARDE Toutes les deux semaines, le vendredi, séances spéciales composées par Nicole Brenez.
p.108
CINE-CLUB JEAN DOUCHET Projection d’un film, suivie d’une analyse du critique Jean Douchet et d’une discussion.
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HISTOIRE PERMANENTE DU CINÉMA Retrouvez régulièrement à la Cinémathèque de grands classiques, des raretés et curiosités de l’histoire du cinéma
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L’Angoissante Aventure de Jacob Protozanov
L’Acrobate de Jean-Daniel Pollet
Sam 27 février 20h30 Salle JE
L’Amour trop fort de Daniel Duval France/1980/92’/35mm Avec Marie-Christine Barrault, Daniel Duval. Un jeune metteur en scène de cinéma tombe amoureux d’une bourgeoise et néglige peu à peu son vieil ami acteur.
Ven 18 décembre 20h30 Salle JE
L’Amiral Nakhimov (Admiral Nakhimov) de Vsevolod Poudovkine URSS/1946/88’/VOSTF/35mm Avec Alexis Diki, Reuben Simonov Poudovkine. La vie de l’amiral Nakhimov, héros de la Guerre de Crimée.
Lun 11 janvier 20h30 Salle JE
Âme d’artiste de Germaine Dulac France/1925/100’/35mm Avec Ivan Petrovitch, Nicolas Koline. À Londres, une comédienne en vogue tombe amoureuse d’un poète marié et repousse les avances d’un Lord.
Mer 10 février 19h30 Salle GF
Le Baiser mortel (Dürfen wir schweigen ?) de Richard Oswald Allemagne/1925/50’/35mm Avec Walter Rilla, Conrad Veidt. Louis, un jeune médecin, apprend à son ami le peintre Jean qu’il a la syphilis. Celui-ci
Mer 17 février 20h30 Salle HL
L’Arlésienne d’André Antoine France/1922/69’/35mm d’après Alphonse Daudet. Avec Lucienne Bréval, Gabriel de Gravone. Un jeune paysan camarguais tombe sous le charme d’une inconnue, désespérant par là une autre jolie femme secrètement amoureuse de lui.
Dim 14 février 20h30 Salle JE
L’Animal d’acier (Das Stahltier) d’Otto Zielke Allemagne/1935/75’/VOSTF/35mm Avec Aribert Mog. Un ingénieur allemand construit une nouvelle locomotive et raconte aux ouvriers qui l’aident l’histoire des chemins de fer.
Dim 03 janvier 20h30 Salle JE
France/1920/84’/INT.FR/35mm Avec Ivan Mosjoukine, Valentine Dark. Octave essaie de ramener son frère Charles dans le droit chemin quand celui-ci doit épouser la charmante Lucie.
Sam 30 janvier 21h30 Salle GF
Mer 02 décembre 21h30 Salle GF
France/1976/101’/35mm Avec Claude Melki, Laurence Bru. Un garçon de bains-douches découvre les joies du tango.
Angèle de Marcel Pagnol France/1934/140’/35mm Avec Henri Poupon, Orane Demazis, Fernandel. Une jeune fille de la campagne est séduite par un voyou et contrainte à la prostitution.
A Bigger Splash de Jack Hazan Grande-Bretagne/1974/105’/VOSTF/35mm Avec David Hockney, Peter Schlesinger. Désespéré par le départ de son ami, David, un jeune peintre californien en vogue, n’arrive plus à travailler.
L’Homme de Rio, Philippe de Broca
Histoire permanente du cinéma les films
Dim 20 décembre 14h30 Salle GF
Le Carrosse d’or de Jean Renoir France-Italie/1952/98’/VF/35mm d’après la pièce de Prosper Mérimée Le Carrosse du Saint Sacrement Avec Anna Magnani, Duncan Lamont. La vedette d’une troupe de théâtre est courtisée par le vice-roi d’une colonie espagnole qui lui offre un carrosse d’or.
Lun 01 février 20h30 Salle JE
La Captive de Chantal Akerman Belgique/2000/116’/35mm D’après Marcel Proust. Avec Sylvie Testud, Stanislas Merhar. Simon est jaloux d’Ariane avec laquelle il vit et la fait surveiller.
Sam 02 janvier 14h30 Salle HL
Sam 30 janvier 20h30 Salle JE
Le Club des Trois (The Unholy Three) de Tod Browning États-Unis/1925/77’/INT. ANG./35mm Avec Lon Chaney, Harry Earles, Victor McLaglen. Un nain, un ventriloque et un géant commettent un meurtre lors d'un cambriolage.
Ven 05 février 20h30 Salle JE
La Chine est proche (la Cina è vicina) de Marco Bellochio Italie/1967/95’/VOSTF/35mm Avec Glauco Mauri, Elda Tatoli. Dans une petite ville de l’Italie du Nord, des jeunes pro-chinois tentent de saboter la campagne électorale du candidat du parti populaire.
Ven 12 février 20h30 Salle JE
Chicago de Frank Urson États-Unis/1927/53’/INT FR/35mm Avec Phyllis Haver, Victor Varconi. Un buraliste est amoureux fou de sa femme. Celle-ci le trompe sans vergogne et ne pense qu’à l’argent.
Mer 06 janvier 20h30 Salle JE
Sam 05 décembre 21h30 Salle GF Le Capitaine Fracasse d’Abel Gance France/1942/108’/35mm d’après Théophile Gautier. Avec Fernand Gravey, Jean Weber. Le baron de Sigognac quitte son château en ruines et suit une troupe de comédiens ambulants pour les yeux de la belle Isabelle qu’il doit protéger des avances du cruel duc de Vallombreuse.
Un vagabond s’installe dans une ferme et séduit une servante avant de reprendre la route. 20 ans plus tard, il revient…
Le Chemineau d’Henry Krauss France/1916/65’/35mm Avec Henry Krauss, Max Charlier.
Avec William Holden, Gloria Swanson. Une ancienne star du cinéma muet confie une adaptation à un scénariste désargenté.
Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard) de Billy Wilder États-Unis/1950/110’/VOSTF/35mm
Sam 05 décembre 19h30 Salle GF
Ven 15 janvier 20h30 Salle JE
Sam 16 janvier 20h30 Salle JE Charlotte for Ever de Serge Gainsbourg France/1986/94’/35mm Avec Serge et Charlotte Gainsbourg. La vie de Stan, scénariste alcoolique, et de sa fille de 15 ans avec laquelle il vit seul.
Le Champignon des Carpathes de Jean-Claude Biette France/1988/97’/35mm Avec Tonie Marshall, Thomas Badek. Marie découvre dans un jardin parisien un champignon doté de propriétés curatives extraordinaires.
Sam 06 février 20h30 Salle JE
Bas les masques (The Hun Within) de Chet Withey États-Unis/1918/70’/35mm/INT.FR Avec Dorothy Gish, Erich von Stroheim. Alors que la Première Guerre mondiale commence, le fils d’une Américaine et d’un Allemand installé aux États-Unis décide d’espionner pour l’Allemagne, contre l’avis de sa fiancée.
Ven 19 février 20h30 Salle JE
Barrière des races (Braveheart) d’Alan Hale États-Unis/1925/53’/INT.FR/35mm Avec Rod LaRocque, Lillian Rich. Victime d’une chute de cheval, une jeune fille est sauvée par un indien yakima, fils du chef de la tribu.
Mer 16 décembre 20h30 Salle JE
Le cave se rebiffe de Gilles Grangier France/1961/98’/35mm d’après Albert Simonin. Avec Jean Gabin, Martine Carol. Truculente description d’une bande de faux monnayeurs.
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
néglige son avis et séduit même Colette, la fiancée de Louis.
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
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Docteur Jekyll et Mister Hyde (Doctor Jekyll and Mister Hyde) de John S. Robertson États-Unis/1920/ 77'/INT.ANG/16mm Avec John Barrymore, Martha Mansfield.
Lun 15 février 20h30 Salle JE
The Deluge de Felix Feist États-Unis/1933/78’/16mm/VF Avec Edward Van Sloan, Peggy Shannon. Un déluge ravage la planète et décime l’humanité.
Dim 24 janvier 20h30 Salle JE
Deep End de Jerzy Skolimowski RFA-ÉU/1970/88’/VOSTF/35mm Avec John Moulder-Brown, Jane Asher. À Londres, un adolescent de quinze ans est engagé dans une piscine et tombe amoureux d’une jeune femme qui y travaille également.
Dim 06 décembre 20h30 Salle JE
La Cousine Bette de Max de Rieux France/1927/91'/35mm, copie teintée D’après Honoré de Balzac. Avec Germaine Rouer, Alice Tissot. Une vieille fille pauvre ne songe qu’à ruiner son ancien soupirant, un baron qui a épousé sa sœur.
Mer 02 décembre 19h00 Salle GF
l’autre tombe sous le charme d’un fantôme.
Conte de la lune vague après la pluie (Ugetsu monogatari) de Kenji Mizoguchi Japon/1953/89’/VOSTF/35mm Avec Masayuki Mori, Kinuyo Tanaka. Au XVIe siècle, au Japon, l’histoire de deux villageois : l’un devient un cruel samouraï,
Mer 06 janvier 17h00 Salle GF
Le Conformiste (Il conformista) de Bernardo Bertolucci Allemagne-Italie/1970/106’/35mm Avec Jean-Louis Trintignant, Stefania Sandrelli. En 1935, un jeune fasciste s’interroge alors qu’il est envoyé en mission en France pour supprimer un professeur de philosophie qui lutte au sein des activités antifascistes.
Dim 31 janvier 19h00 Salle GF
La Comtesse aux pieds nus (The Barefoot Contessa) de Joseph L. Mankiewicz États-Unis/1954/128’/VOSTF/35mm Avec Ava Gardner, Humphrey Bogart. Sous la pluie ont lieu les obsèques de la comtesse Torlato Favrini : son passé défile devant nous.
Dim 13 décembre 20h30 Salle JE
Esclaves (Slaves) de Herbert J. Biberman États-Unis/1969/110’/VOSTF/16mm Avec Stephen Boyd, Dionne Warwick. Dans le Kentucky, la révolte d’un esclave noir.
Dim 31 janvier 21h45 Salle GF
Eraserhead de David Lynch États-Unis/1978/90’/VOSTF/35mm Avec John Nance, Charlotte Stewart. Dans une banlieue industrielle cauchemardesque, une femme accouche d’un bébé monstrueux…
Lun 04 janvier 20h30 Salle JE
Entre onze heures et minuit d’Henri Decoin France/1948/92’/35mm Avec Louis Jouvet, Robert Arnoux. Profitant de sa ressemblance avec un trafiquant trouvé mort, un inspecteur s’introduit dans son milieu pour découvrir le coupable du meurtre.
Jeu 04 février 20h30 Salle JE
Enlevez-moi de Léonce Perret France/1932/98’/35mm Avec Roger Tréville, Jacqueline Francell. René doit distraire celle qu’il croit être la maîtresse d’un de ses amis.
Dim 28 février 20h30 Salle JE • Film précédé de La Fiancée, la Comédienne et le Maquereau.
Du jour au lendemain (Von Heute auf Morgen) de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet France-Allemagne/1996/62’/VOSTF/35mm d’après l’opéra d’Arnold Schoenberg et Max Blonda. Avec Christine Whittlesey, Richard Salter. Après une soirée mondaine, un homme dit à son épouse son attirance pour une des ses amies pendant qu’elle évoque la sienne pour un chanteur qui lui a fait la cour.
Mer 02 décembre 20h30 Salle JE
Drame en Alaska (Little Pal) de James Kirkwood États-Unis/1915/46'/INT.FR/35mm Avec Mary Pickford, Russell Bassett. Le tenancier d’un saloon de l’Alaska perd sa fille Little Pal aux dés au profit d’une brute épaisse. Little Pal décide alors de s’enfuir.
Sam 09 janvier 20h30 Salle JE
Un chimiste londonien trouve une formule séparant le bien du mal en l’homme. Il l’expérimente sur lui-même.
Histoire permanente du cinéma
Gentleman Jim de Raoul Walsh États-Unis/1942/107’/VOSTF/35mm Avec Errol Flynn, Alexis Smith. L’ascension d’un jeune employé de banque
Jeu 18 février 17h00 Salle HL
Gare centrale (Bab el Hadid) de Youssef Chahine Egypte/1958/90’/VOSTF/35mm Avec Youssef Chahine, Hind Rostom. La gare centrale du Caire est le cadre d’un drame humoristique à trois personnages.
Dim 28 février 20h30 Salle JE • Film suivi de Du jour au lendemain.
La Fiancée, la Comédienne et le Maquereau (Der Bräutigam, die Komödiantin und der Zuhälter) de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet Allemagne/1968/23’/VOSTF/35mm Avec Irm Hermann, Kristin Peterson, Hanna Schygulla, Rainer Werner Fassbinder. Des prostituées allemandes, une pièce de théâtre et un mariage où la mariée tue son proxénète.
Jeu 07 janvier 20h30 Salle JE
Un homme riche tombe amoureux d’une belle fille provocante qui s’amuse à l’aguicher pour mieux le repousser.
La Femme et le Pantin de Jacques de Baroncelli France/1928/83’/35mm d'après Pierre Louÿs. Avec Raymond Destac, Conchita Montenegro.
Dim 28 février 15h00 Salle GF
Fanny et Alexandre (Fanny och Alexander) d’Ingmar Bergman Suède-France-RFA/1983/188’/ VOSTF/35mm Avec Pernilla Allwin, Bertil Guve. Tirés des souvenirs du cinéaste, une évocation de la vie d’une famille à travers le regard de deux enfants.
Jeu 11 février 17h00 Salle HL
Espions sur la Tamise Le Ministère de la peur (Ministry of Fear) de Fritz Lang États-Unis/1943/85’/VOSTF/35mm d’après Graham Greene. Avec Ray Milland, Marjorie Reynolds. Durant la Seconde Guerre mondiale, un homme est libéré de l’asile. Durant son voyage de retour vers Londres, il est peu à peu mêlé à une affaire d’espionnage.
L’Homme qui rit (The Man Who Laughs) de Paul Leni États-Unis/1927/114’/INT.FR/35mm d’après Victor Hugo. Avec Mary Philbin, Conrad Veidt.
Mer 24 février 17h00 Salle HL
L’Homme de Rio de Philippe de Broca France/1964/110’/35mm Avec Jean-Paul Belmondo, Françoise Dorléac. Venu retrouver sa fiancée pendant une permission, Adrien apprend que le tuteur de celle-ci, éminent professeur, a été enlevée.
Mer 20 janvier 20h30 Salle JE
L’Homme à la caméra (Tcheloviek’s Kino Apparatom) de Dziga Vertov U.R.S.S./1929/70’/INT.FR/35mm Avec Mikhaïl Kaufman. L’homme à la caméra enregistre le mouvement de la ville.
Dim 24 janvier 21h30 Salle GF
Hantise (Gaslight) de George Cukor États-Unis/1944/114’/VOSTF/35mm Avec Ingrid Bergman et Charles Boyer Paula, qui vient de s’installer dans la maison de son mari, a des hallucinations.
Ven 04 décembre 20h30 Salle JE
suicide d’un ouvrier va déclencher une grève.
La Grève (Statchka) de S. M. Eisenstein URSS/1924/73’/VOSTF/35mm Avec Ivan Kljuvkin, Alexandre Antonov. Dans une usine de la Russie tsariste, le
Mer 23 décembre 20h30 Salle JE
Grand Frère (The Cold Deck) de William S. Hart États-Unis/1917/55’/INT.FR.ANG/35mm Avec William S. Hart, Mildred Harris. En Californie, à l’époque de la Ruée vers l’or, un joueur de poker abandonne sa profession pour venir en aide à sa soeur malade et l’emmener vivre dans les montagnes.
Mer 10 février 20h30 Salle JE
Le Grand Elan de Christian-Jaque France/1939/84’/35mm Avec Max Dearly, Fernand Charpin. Un jeune skieur tente de gagner une compétition de ski pour renflouer son oncle, aubergiste dont les affaires périclitent.
Dim 27 décembre 14h30 Salle GF
jusqu’à la victoire du championnat du monde de boxe.
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Loin du Brésil de Tilly France-Suisse/1992/100’/35mm Avec Emmanuelle Riva, Jenny Clève. Pour la fête des mères, Juliette attend dans sa maison normande la visite des ses
Lun 08 février 20h30 Salle JE
Le Livre noir (Reign of Terror) d’Anthony Mann États-Unis/1949/89’/VOSTF/35mm Avec Robert Cummings, Arlene Dahl. Un agent secret au service des contrerévolutionnaires doit retrouver le livre noir dans lequel Robespierre consigne le nom de ses victimes afin d’entraîner sa chute.
Jeu 03 décembre 21h30 Salle GF
La Lettre (La carta) de Manoel de Oliveira France-PortugalEspagne/1999/107’/35mm d’après La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette. Avec Chiara Mastroianni, Pedro Abrunhosa. Une jeune femme vertueuse se marie sans amour. Elle tombe bientôt amoureuse d’un autre.
Ven 26 février 20h30 Salle JE
Avec Duncan Macrae, Jean Anderson. Un vieil Ecossais élève ses deux petitsenfants à la mort de son fils, tué par les Hollandais qu’il déteste. Sa fille, elle, est amoureuse du docteur du village, un Hollandais.
Les Kidnappeurs (The Kidnappers) de Philip Leacock États-Unis/1953/93’/VOSTF/35mm
Dim 27 décembre 20h30 Salle JE
La Jeune Fille au carton à chapeau (Devouchka s Korobkoi) de Boris Barnet URSS/1927/70’/INT. FR./35mm Avec Anna Sten, Vladimir Fogel. Dans une Russie en pleine crise du logement, une jeune femme doit fabriquer des chapeaux à son domicile pour pouvoir vivre.
Dim 21 février 20h30 Salle JE
L’homme qui tua la peur (Edge of the City) de Martin Ritt États-Unis/1957/83’/VOSTF/35mm Avec Sidney Poitier, John Cassavetes. Un déserteur trouve un emploi de docker grâce à un Noir qui devient son ami.
Lun 01 mars 20h30 Salle JE
En Angleterre, à la fin du XVIIe siècle, le fils d’un Lord est défiguré et vendu à des marchands d’enfants. Mer 24 février 20h30 Salle JE
Le Lys brisé (Broken Blossom) de David W. Griffith États-Unis/1919/65’/INT.ANG/35mm Avec Lilian Gish, Richard Barthelmess. À Londres, une jeune fille battue par son père se réfugie chez un Chinois.
Le Mur invisible (Gentleman’s Agreement) d’Elia Kazan États-Unis/1947/118’/VOSTF/35mm Avec Gregory Peck, Dorothy McGuire. Un journaliste new-yorkais se fait passer pour Juif afin d’écrire une série d’articles sur l’antisémitisme en Amérique. Marie pour mémoire de Philippe Garrel France/1967/87’/35mm Avec Zouzou, Didier Léon. Dans une vie aliénante où tous les rapports semblent fondés sur l’agressivité et la domination, quatre garçons et quatre filles hurlent leur mal de vivre, leur solitude et leur désespoir.
Le Métis (The Half-Breed) d’Allan Dwan États-Unis/1916/73’/INT.FR/35mm Avec Douglas Fairbanks, Alma Reuben.
Mer 17 février 17h00 Salle HL
Match d’amour (Take Me Out to the Ball Game) de Busby Berkeley États-Unis/1949/93’/VOSTF/35mm Avec Frank Sinatra, Esther Williams, Gene Kelly. Une équipe de baseball va changer de dirigeant. Les joueurs découvrent avec stupeur qu’il s’agit d’une femme.
Jeu 28 janvier 19h30 Salle GF
Dim 31 janvier 20h30 Salle JE Mer 09 décembre 20h30 Salle JE
Les Naufragés de la D17 de Luc Moullet France/2002/83’/35mm Avec Patrick Bouchitey, Iliana Lolitch. Les pérégrinations picaresques d’un pilote automobile et de sa copilote qui préparent
Sam 02 janvier 20h30 Salle JE
Le Mystère Picasso d’Henri-Georges Clouzot France/1956/78’/35mm Avec Pablo Picasso. Le peintre espagnol peint sur une toile transparente devant la caméra de Clouzot.
Jeu 25 février 14h30 Salle HL
Le Mur de Serge Roullet France/1967/90’/35mm Scénario de Serge Roullet et Jean-Paul Sartre. Avec Michel de Castillo, Denis Mahaffey. Pendant la Guerre d’Espagne, un Irlandais et un Espagnol attendent en prison leur exécution.
Lun 18 janvier 20h30 Salle JE
Le Montreur d’ombres (Schatten - Eine nächtliche Haaluzination) d’Arthur Robison Allemagne/1923/80’/INT.FR/35mm Avec Fritz Kortner, Ruth Weyher. Engagé pour animer un dîner, un montreur d’ombres prévient par son spectacle la maîtresse de maison de ce qui lui arrivera si elle continue à flirter avec un de ses invités.
Sam 26 décembre 20h30 Salle JE
La Mandragore (Alraune) de Richard Oswald Allemagne/1930/87’/VOSTF/35mm Avec Brigitte Helm, Albert Bassermann. Un scientifique crée une petite fille qu’il baptise Alraune à partir du sperme d’un condamné à mort et avec l’aide d’une prostituée. Celle-ci manifeste bientôt des tendances démoniaques.
Sam 05 décembre 20h30 Salle JE
Ma femme... homme d’affaires de Max de Vaucorbeil France/1932/85’/35mm Avec Robert Arnoux, Alfred Pasquali. Une femme ambitieuse, déçue par son mari timoré, tente sa chance dans les affaires. Et réussit.
Ven 22 janvier 20h30 Salle JE
La Madone des sleepings de Maurice Gleize France/1927/136’/35mm Avec Claude France, Olaf Fjord. Femme extravagante et ravissante, Lady Diana Wynham est au bord de la ruine. Son secrétaire entreprend de la sauver de ce mauvais pas.
Dim 20 décembre 20h30 Salle JE
Moana (Moana: A Romance of the Golden Age) de Robert Flaherty États-Unis/1926/77’/INT.ANG/16mm Avec Taavale, Faamgase. Sur le modèle de Nanouk l’Eskimau, le réalisateur s’intéresse à la vie des habitants des îles Samoa.
Mis à l’écart, Lo, un métis qui vit dans la forêt voit arriver Teresa, en fuite après avoir poignardé son amant.
Jeu 14 janvier 14h30 Salle HL
enfants et de ses petits-enfants.
Histoire permanente du cinéma
Panique à Needle Park (The Panic in Needle Park) de Jerry Schatzberg États-Unis/1971/110’/VOSTF/35mm Avec Al Pacino, Kitty Winn. À New-York, une jeune sans-abri tombe
Sam 23 janvier 20h30 Salle JE
L’Or des mers de Jean Epstein France/1932/72’/35mm Avec des pêcheurs bretons. Parce qu’il a trouvé une caisse rejetée par la mer au contenu mystérieux, un pêcheur pauvre et méprisé se voit courtisé par les habitants du village.
Mer 13 janvier 20h30 Salle JE
On demande un assassin d’Ernst Neubach France/1949/90’/35mm Avec Fernandel, Félix Oudart. Dans un moment de dépression, Bob veut mettre fin à ses jours et engage un boxeur pour le tuer. Revenant sur sa décision, il doit échapper à celui qu’il a engagé…
Jeu 03 décembre 20h30 Salle JE
La Nuit des adieux de Jean Dréville et Isaac Michalovitch Menaker France-URSS/1966/130’/35mm Avec Gilles Segal, Pierre Bertin. La vie et la carrière de Marius Petipa, danseur marseillais, dans la Russie du XIXe siècle.
Mer 27 janvier 21h30 Salle GF
Nuages d’été de Mikio Naruse Japon/1958/128/VOSTF/35mm Avec Chikage Awashima, Michiyo Aratama. Parti à la campagne, un journaliste qui doit écrire un article sur les paysans fait la connaissance d’une veuve.
Lun 07 décembre 20h30 Salle JE
Notre pain quotidien (Our Daily Bread) de King Vidor États-Unis/1934/74’/VOSTF/35mm Avec Karen Morley, Tom Keene. Des victimes de la Crise de 1929 se regroupent en communauté agricole.
Dim 24 janvier 15h00 Salle GF
Noblesse oblige (Kind Hearts and Coronets) de Robert Hammer GB/1949/87’/VOSTF/35mm Avec Alec Guinness, Dennis Price. Désirant à tout prix devenir duc, un lointain héritier veut assassiner tous ceux qui se dressent entre lui et le titre.
Sam 20 février 20h30 Salle JE
une course.
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Jeu 17 décembre 20h30 Salle JE
Rafles sur la ville de Pierre Chenal France/1958/82’/35mm d’après le roman d’Auguste Le Breton. Avec Charles Vanel, Mouloudji. Un dangereux gangster a assassiné un policier. Un inspecteur se lance à sa poursuite…
Jeu 21 janvier 20h30 Salle JE
Poussières dans le vent (Lien lien fong tch’en) de Hou Hsiao-hsien Taiwan/1986/109’/VOSTA/35 mm Avec Wang Kin-wen, Sin Chou-fen. L’histoire d’amour de deux adolescents.
Sam 30 janvier 19h30 Salle GF
Polyester de John Waters États-Unis/ 1981/86’/VOSTF/35mm Avec Divine, Tab Hunter. Une honnête femme au foyer voit son univers s’écrouler en apprenant que son mari est un pornographe qui la trompe, que son fils se drogue et que sa fille est enceinte d’un voyou local.
Mer 02 décembre 17h00 Salle HL
Seulement cette aventure, par des chemins étranges, réunira deux âmes qui, sans elle, ne se seraient peut-être jamais connues. » (Robert Bresson)
Pickpocket de Robert Bresson France/1959/75’/35mm Avec Martin Lassalle, Marika Green. « Ce film n’est pas du style policier. (...)
Mer 27 janvier 20h30 Salle JE
Pension d’artistes (Stage Door) de Gregory La Cava États Unis/1937/92’/VOSTF/35mm Avec Katharine Hepburn, Ginger Rogers. Une jeune fille riche qui désire être actrice emménage dans une pension remplie d’autres jeunes filles qui partagent le même rêve.
Sam 13 février 20h30 Salle JE
Pantalaskas de Paul Paviot France/1959/90’/35mm Avec Carl Struder, Anna-Maria Cassan. Pantalaskas, un géant lituanien émigré en France, tente de se suicider et reçoit l’aide de son logeur, d’un policier et d’un instituteur.
Dim 03 janvier 15h00 Salle GF
amoureuse d’un drogué.
Temps sans pitié (Time without Pity) de Joseph Losey Grande-Bretagne/1957/88’/VOSTF/35mm Avec Michael Redgrave, Ann Todd.
Ven 29 janvier 20h30 Salle JE
Tabou (Tabu) de Robert Flaherty et Friedrich Wilhelm Murnau États-Unis/1931/80’/16mm/INT.FR Avec Anna Chevalier, Matahi. Dans l’île de Bora-Bora, Reri devient une vierge consacrée, tabou et pour vivre son amour avec Matahi, les amants s’enfuient.
Dim 07 février 20h30 Salle JE
Solitude (Lonesome) de Paul Fejos États-Unis/1928/67’/INT FR/35mm Avec Barbara Kent, Glenn Tryon. Mary, une jeune standardiste, et Jim, un ouvrier d’usine, se rencontrent par hasard au Luna Park de Coney Island à New York. Ils se trouvent séparés à la suite d’un incident stupide.
Dim 10 janvier 20h30 Salle JE
Les Soldats vierges (The Virgin Soldiers) de John Dexter Grande-Bretagne/1969/96’/VOSTF/35mm Avec Hywel Bennett, Nigel Patrick. À Singapour, de nouvelles recrues britanniques font les frais de leur absence d’expérience, aussi bien militaire que sentimentale.
Jeu 04 février 14h30 Salle HL
Sans soleil de Chris Marker France/1982/100’/35mm Documentaire Une réflexion en images sur divers pays, de l’Islande a la Guinée-Bissau, en passant par le Japon.
Ven 26 février 14h30 Salle HL
La Rivière de boue (Doro no kawa) de Kôhei Oguri Japon/1981/105’/VOSTF/35mm Avec Nobutaka Asahara, Takahiro Tamura. À Osaka, en 1956, sur les rives de la rivière où ses parents tiennent un bouge, un garçon de 10 ans découvre l’amitié et la mort.
Ven 12 février 14h30 Salle HL
Les Raisins de la colère (The Grapes of Wrath) de John Ford États-Unis/1940/129’/VOSTF/35mm d’après John Steinbeck. Avec Henry Fonda, Jane Darwell Une famille de métayers prend la route en direction de la Californie, dans l’espoir d’y trouver du travail.
Histoire permanente du cinéma
Un officier de police sans importance de Jean Larriaga France/1973/100’/35mm Avec Raymond Pellegrin, Charles Denner. Deux garçons et une fille ont le rêve de partir vivre sur une île du Pacifique. Sans argent, ils ne trouvent qu’une solution : voler la caisse d’un cinéma.
Triplepatte de Raymond Bernard France/1922/88’/35mm Avec Henri Debain, Pierre Palau. Un jeune homme de bonne famille se trouve au bord de la ruine et dans les mains d’un usurier qui veut lui faire épouser une jeune fille qu’il a choisi.
Jeu 28 janvier 21h30 Salle GF
Tu es mon fils (La Finestra sul Luna Park) de Luigi Comencini Italie/1956/90’/VOSTF/35mm Avec Giulia Rubini, Pierre Tabaud. À la mort de sa femme, Aldo revient en Italie où il retrouve son fils de 10 ans pour qui il est devenu un étranger.
Dim 17 janvier 20h30 Salle JE
Les Trois Lumières (Der müde Tod) de Fritz Lang Allemagne/1921/100’/INT FR/16mm Avec Lil Dagover, Bernhardt Goetzke. La Mort raconte trois histoires d’amour à une femme qui veut sauver l’homme qu’elle aime.
Sam 12 décembre 20h30 Salle JE
Venido a menos d’Alejandro Azzano Argentine/1984/83’/VOSTF/35mm Avec Fernando Siro, Fernanda Mistral. Un aristocrate argentin, joueur ruiné, vient s’installer avec femme et enfants chez sa riche sœur où il invente de nouvelles combines pour gagner de l’argent.
Mer 27 janvier 19h30 Salle GF
Un soir, Un train d’André Delvaux Belgique/1968/92’/35mm Avec Anouk Aimée, Yves Montand. Après une dispute avec son amie, un professeur de linguistique belge prend le train pour aller donner une conférence. S’ensuit un étrange périple.
Mer 03 février 20h30 Salle JE
Mer 30 décembre 20h30 Salle JE
Sam 19 décembre 20h30 Salle JE
demande réparation.
d’épouser Totte, une jolie coiffeuse.
Un chapeau de paille d’Italie de René Clair France/1927/84’/35mm d’après Eugène Labiche. Avec Albert Préjean, Geymond-Vital. Le jour de ses noces, un rentier traverse en cabriolet le Bois de Vincennes. Son cheval mange un chapeau de paille que vient chercher un officier de hussards, qui
Dim 06 décembre 19h30 Salle GF
Tueurs de dames (The Lady Killers) d’Alexander Mackendrick Grande Bretagne/1955/91’/VOSTF/35mm Avec Alec Guinness, Cecil Parker. Voulant cambrioler une banque, cinq criminels louent un sous-sol à une vieille dame en se faisant passer pour des musiciens.
Ven 11 décembre 20h30 Salle JE
Le Tueur de Denis de la Patelière France/1972/87’/35mm Avec Jean Gabin, Fabio Testi. Un inspecteur de police qui travaille à l’ancienne s’oppose au directeur de la P.J., partisan de méthodes plus modernes autour de la capture d’un tueur.
Lun 21 décembre 20h30 Salle JE
Totte et sa chance d’Augusto Genina France-Allemagne/1928/ 108’/INT.FR/35mm Avec Carmen Boni, André Roanne. Pour aller contre l’avis de son père tyrannique, un riche héritier décide
Dim 06 décembre 21h30 Salle GF
Tommy de Ken Russell Grande-Bretagne/1975/110’/VOSTF/35mm Avec Roger Daltrey, Oliver Reed. D’après l’opéra rock des Who, l’histoire délirante d’un enfant aveugle, sourd et muet qui devient une sorte de messie.
Jeu 25 février 17h00 Salle HL
Terre en transe (Terra em Transe) de Glauber Rocha Brésil/1967/115’/VOSTF/35mm Avec Jardel Filho, Paulo Autran. À Eldorado, un homme agonisant évoque son passé politique.
Jeu 03 décembre 19h30 Salle GF
Un homme regagne l’Angleterre et tente de prouver l’innocence de son fils, condamné à mort.
Andalucia d’Alain Gomis France/2007/85’/35mm
Le dimanche à 11h sont proposées des œuvres contemporaines novatrices, singulières, souvent passées trop vite dans les salles et dont l’importance justifie aisément une nouvelle occasion de les voir sur grand écran. Certaines projections sont présentées par les cinéastes ou suivies d’une discussion.
Andalucia, Alain Gomis
Capitaine Achab de Philippe Ramos
Dim 13 décembre 11h00 Salle GF
Bubble de Steven Soderbergh États-Unis/2005/73’/VOSTF/35mm Avec Debbie Doebereiner, Dustin Ashley. Martha et Kyle, deux fois plus jeune qu’elle, travaillent dans une usine et sont amis. Mais la jeune Rose arrive et perturbe leur relation avant de se faire mystérieusement étrangler.
Dim 21 février 11h00 Salle GF -> -> Film suivi d’une discussion avec le réalisateur
La Belle Personne de Christophe Honoré France/2008/90’/35mm d’après La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette. Avec Louis Garrel, Léa Seydoux, Grégoire Leprince-Ringuet. Junie arrive dans un nouveau lycée où sa personnalité étrange attire l’attention de nombreux garçons. Elle jette son dévolu sur le calme Otto, mais ne reste pas insensible aux attentions de Nemours, jeune professeur d’italien.
Dim 20 décembre 11h00 Salle GF -> -> Film présenté par le réalisateur
Yacine vit dans une caravane autour de laquelle il a construit tout un univers qui lui est propre. A l’arrivée d’un ami d’enfance, tout cela est remis en question.
Dim 17 janvier 11h00 Salle GF
L’Homme de Londres (A londoni férfi) de Béla Tarr France-GB-Hongrie/2007/132’/ VOSTF/35mm d'après Georges Simenon. Avec Tilda Swinton, Miroslav Krobot. Maloin vit dans un port lugubre, où la vie connaît peu de réjouissances. Un jour, il est témoin d’un meurtre et interroge alors son innocence et le sens même de son existence.
Dim 28 février 11h00 Salle GF
John John (Foster Child) de Brillante Mendoza Philippines/2007/98’/VOSTF/35mm Avec Cherry Pie Picache, Kier Segundo. Dans un centre d’adoption de Manille, Thelma s’occupe pour la dernière fois de John John avant de le remettre à sa nouvelle famille, américaine.
Dim 07 février 11h00 Salle GF
Christophe Colomb, l’énigme (Cristovão Colombo, o enigma) de Manoel de Oliveira France-Portugal/2007/75’/VOSTF/35mm Avec Ricardo Trepa, Manoel de Oliveira. Manuel Luciano recherche depuis plus de soixante ans la vraie identité de Christophe Colomb. Avant de la révéler, le voilà sur la route pour un dernier voyage vers la maison natale de l’explorateur.
Dim 06 décembre 11h00 Salle GF - > - > Film suivi d’une discussion avec le réalisateur
France/2007/100’/35mm d’après Moby Dick d’Herman Melville. Avec Denis Lavant, Jacques Bonnaffé. Un jeune garçon dévore la Bible et devient un grand capitaine chasseur de baleines, avec pour cible et obsession la blanche Moby Dick.
séances du dimanche matin Voir-revoir le cinéma contemporain
93 Avec Samir Guesmi, Djolof Mbengue.
92
La Belle personne, Christophe Honoré
Dim 14 février 11h00 Salle GF
plus violentes, l’amènent à consulter un prêtre qui la persuade qu’elle est possédée.
Requiem de Hans-Christian Schmid Allemagne/2006/93’/VOSTF/35mm Avec Sandra Hüller, Burghart Klaussner. Michaela a 21 ans et est épileptique. Elle se rend à l’université où elle se fait de nombreux amis mais ses crises, de plus en
Dim 03 janvier 11h00 Salle GF
Montag (Montag kommen die Fenster) d’Ulrich Köhler Allemagne/2006/88’/VOSTF/35mm Avec Isabelle Menke, Hans-Jochen Wagner. Nina et Frieder font des travaux dans leur nouvelle maison. Mais un jour, Nina part sans prévenir pour un périple qui la mènera dans un grand hôtel isolé dans la forêt.
Dim 10 janvier 11h00 Salle GF
The Last Show (A Prairie Home Companion) de Robert Altman États-Unis/2006/105’/VOSTF/35mm Avec Meryl Streep, Lily Tomlin. Le Fitzgerald Theater accueille depuis trente ans le show radiophonique « A Prairie Home Companion » avec ses animations rétro. Racheté par un groupe texan, ce spectacle est peut-être le dernier.
Dim 27 décembre 11h00 Salle GF
dans la province du Shanxi.
Useless (Wuyong) de Jia Zhang Ke Chine-Hong Kong/2007/81’/VOSTF/35mm Avec Ke Ma. Un regard sur l’industrie du textile qui croise une usine de Canton, une créatrice de mode chinoise à Paris et une boutique de tailleurs
Dim 31 janvier 11h00 Salle GF
Shotgun Stories de Jeff Nichols États-Unis/2007/92’/VOSTF/35mm Avec Michael Shannon, Douglas Ligon. Au fin fond de l’Arkansas, trois jeunes frères apprennent la mort de leur père qui, parti depuis longtemps, a eu d’autres fils ailleurs. La rencontre entre les demi-frères sera violente.
Dim 24 janvier 11h00 Salle GF
Le Roi et le clown (Wang-ui namja) de Lee Jun-ik Corée du Sud/2005/119’/VOSTF/35mm Avec Woo-seong Kam, Jin-yeong Jeong. Deux comédiens veulent de produire à la cour du roi mais leur spectacle est jugé insultant. Ils seront libres s’ils réussissent à faire rire le roi.
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Dim 06 décembre 15h00 Salle GF
Avant-première Kérity, la maison des contes Film d’animation de Dominique Monféry France/2008/80’/35mm Création graphique de Rebecca Dautremer Avec les voix de Jeanne Moreau, Julie Gayet, Liliane Rovère, Pierre Richard. Un petit garçon de 7 ans se retrouve plongé dans l’univers des contes. Film présenté en avant-première avec la collaboration de Paris Mômes et de Haut et Court. À partir de 6 ans
Sam 05 décembre 15h00 Salle HL Voir page 96
Spectacle Jeune Public Philidor et les lanternes magiques
Mer 02 décembre 14h30 Salle HL • Précédé du Conte de la Chatte blanche raconté à l’aide d’une lanterne magique.
La Belle et la Bête de Jean Cocteau France/1945/96’/35mm Avec Josette Day, Jean Marais. Belle se retrouve prisonnière d’un château où les objets semblent s’animer tout seuls, comme par magie. À partir de 6 ans
Pour accompagner la sortie en salle du film Kérity, la maison des contes (présenté à la Cinémathèque en avant-première), et pour prolonger l’exposition consacrée à la lanterne magique et au film peint, un petit détour du côté des héros de contes dont les aventures ont été dessinées sur plaques de lanterne magique ou adaptées au cinéma.
AUTOUR DES CONTES Du 02 au 09 décembre
Fra Diavolo, Hal Roach et Charles Rogers
Norman McLaren fait danser les couleurs (Programme de courts métrages) Norman McLaren est un réalisateur canadien auteur de nombreux films d’animation en couleurs et en musique. Pour certains films, il a peint directement sur la pellicule des formes colorées et dansantes. Dots (Points) (1940/2’30’’)/ La Poulette grise (1947/6’)/Hen Hop
Voir le monde en couleurs Du 20 janvier au 06 mars
Écran argenté, lunettes bleues et rouges… tous les dispositifs de cinéma en relief seront présentés pendant le mois de décembre dans la grande salle Henri Langlois. Pour le jeune public, une sélection de films, le mercredi et le dimanche à 15h. Voir p33
Le cinéma en 3D Du 16 décembre au 04 janvier
À l’occasion de la rétrospective intégrale qui leur est consacrée à la Cinémathèque, Laurel et Hardy s’invitent dans les séances jeune public de décembre mais aussi tous les jours à 15h pendant les vacances de Noël. On y entendra les deux compères parler français avec leur fameux accent anglais irrésistible ! Voir p20.
Intégrale Laurel et Hardy Du 9 décembre au 11 janvier
Mer 09 décembre 14h30 Salle HL
Contes chamboulés (programme de courts métrages) Au programme : des courts métrages de Lotte Reiniger, de Tex Avery, de Garri Bardine et projections bonimentées avec la lanterne magique. À partir de 8 ans
SÉANCEs JEUNE PUBLIC
La Main au collet (To catch a Thief) d’Alfred Hitchcock États-Unis/1955/106’/VOSTF/35mm Avec Cary Grant, Grace Kelly. Un ancien cambrioleur surnommé « le
À partir de 4 ans Mer 03 février 14h30 Salle HL
Le Prince Nezha triomphe du roi Dragon (Nezha Nao Hai) Film d’animation de Wang Shuchen, Yan Ding Xian et Jingda Xu Chine/1979/65’/VF/35mm Le Prince Nezha est doté de pouvoirs magiques qui vont lui permettre de rétablir le bonheur sur terre. Muni de son grand ruban rouge, il défie tous les démons.
Sam 30 janvier 15h00 Salle GF
L’Eté de Kikujiro (Kikujirô no natsu) de Takeshi Kitano Japon/1999/121’/VOSTF/35mm Avec Takeshi Kitano, Yusuke Sekiguchi. Le jeune Masao, accompagné de Kikujiro, part dans un grand voyage à travers le Japon, à la recherche de sa mère. À partir de 8 ans
Mer 27 janvier 14h30 Salle HL
d’éblouissantes comédies musicales. La réalisatrice s’amuse à combiner les souvenirs de Jacques Demy en noir et blanc avec les extraits de ses films multicolores. À partir de 8 ans
Jacquot de Nantes d’Agnès Varda France/1991/118’/35mm Avec Philippe Maron, Edouard Joubeaud. Quand il sera grand, Jacquot sera réalisateur : il deviendra le célèbre réalisateur Jacques Demy, auteur
Sam 23 janvier 15h00 Salle GF
Un américain à Paris (An American in Paris) de Vincente Minnelli États-Unis/1951/113’/VOSTF/35mm/ Technicolor Avec Gene Kelly, Leslie Caron. Un peintre américain s’installe à Paris et tombe amoureux, non seulement de la ville mais aussi d’une de ses habitantes. Une comédie musicale où Paris, recomposé en studio, a les couleurs acidulées du Technicolor. À partir de 8 ans
Mer 20 janvier 14h30 Salle HL
(1942/3’)/Canon (1964/9’)/Le Merle (1958/4’)/Mosaïc (Mosaïque) (1965/6’)/ Blinkity Blank (1955/6’)/Rythmetic (1956/9’) Durée totale : 55’ À partir de 6 ans
La Charge héroïque (She Wore a Yellow Ribbon) de John Ford États-Unis/1950/103’/VOSTF/35mm Avec John Wayne, Joanne Dru. En 1876, le Fort Starke abrite une garnison de cavalerie, en plein désert de terre rouge. Les tensions sont vives avec le peuple indien mais dans le Fort, les soldats, de bleu vêtus, n’ont d’yeux que pour la très jolie Olivia, qui
Mer 17 février 14h30 Salle HL
Le Prince qu’on sort (The Wizard of Oz) de Larry Semon États-Unis/1925/65’/INT. FR./35mm/noir et blanc teinté Accompagnement en direct au piano. Avec Larry Semon, Dorothy Dwan, Oliver Hardy. Une enfant abandonnée devant la porte d’un couple de fermiers apprend à ses dix-huit ans qu’elle est l’héritière du Royaume d’Oz. À partir de 8 ans
Sam 13 février 15h00 Salle GF • Précédé de Early Abstractions 1,2,3 de Harry Smith (États-Unis/1939-1956/6’/16 mm)
la musique est envahi par les adeptes du silence et du gris. À partir de 8 ans
Le Sous-marin jaune (Yellow Submarine) Film d’animation de George Dunning Grande-Bretagne/1968/85’/VOSTF Avec les voix de John Lennon, Paul McCartney, George Harrison, Ringo Starr. Les Beatles, à bord de leur sous-marin jaune, sont appelés à la rescousse de Pepperland : le pays des couleurs et de
Mer 10 février 14h30 Salle HL
Le Garçon aux cheveux verts (The Boy with Green Hair) de Joseph Losey États-Unis/1948/82’/VOSTF/35mm Avec Robert Ryan, Dean Stockwell. Un jeune garçon découvre un matin que ses cheveux sont subitement devenus verts. À partir de 8 ans
Sam 06 février 15h00 Salle GF • Précédé de Come Closer de Hy Hirsh (États-Unis/1953/7’/16 mm)
Chat », suspecté d’une série de vols commis sur la Côte d’Azur, cherche à identifier le coupable pour se disculper... À partir de 10 ans
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Un programme de rythmes colorés, films étonnants réalisés avec des papiers
Carte blanche à Aline Ahond (cinéaste et illustratrice)
Curieuses histoires en couleurS (programme de courts métrages)
Mer 24 février 14h30 Salle HL
Le Magicien d’Oz (The Wizard of Oz) de Victor Fleming États-Unis/1939/101’/VOSTF/35mm Avec Judy Garland, Bert Lahr. Dorothy s’ennuie dans son monde en noir et blanc, mais un cyclone va bientôt changer sa vision des choses… Précédé de Rainbow Dance de Len Lye (Grande-Bretagne/1936/5’/16 mm) À partir de 8 ans
Sam 20 février 15h00 Salle GF • Précédé de La Vielle Dame au chapeau d’Olivier Fouchard (France/2002/2’15’’/16 mm)
porte à son chapeau un beau ruban jaune… À partir de 10 ans
Sam 27 février 15h00 Salle GF
découpés, ou à la gouache, parfois même sans caméra. Carnavallée d’Aline Ahond (France/1998/4’30/35mm) Snip de Steven Woloshen (Canada/2004/ 2’/35mm) Le Lion et la souris d’Evelyn Lombard (Canada/1976/5’/vidéo) La Pista de Gianluigi Toccafondo (Italie/1991/2’/vidéo) Rabbit’s Moon de Kenneth Anger (ÉtatsUnis/1950/7’/16mm) Wall of Sound Flowers de Francine van Everdingen (Pays-Bas/2004/6’/16 mm) Le Chant du Styrène d’Alain Resnais (France/1958/ 14’/35mm) Durée totale : environ 80’ À partir de 8 ans
SÉANCEs JEUNE PUBLIC
Jacquot de Nantes, Agnès Varda
marie Bobine présente … Au programme : des films, mais aussi des histoires, des chansons et un petit cadeau surprise. A table ! Comment filme-t-on ce moment du repas qui est très souvent l’occasion de se retrouver en famille ou entre amis ? Durée totale : environ 60’ Pour les 3-6 ans. Mer 13 janvier 15h00 Salle GF Sam 16 janvier 15h00 Salle GF
SÉANCEs spéciales JEUNE PUBLIC
Tarif plein 10 € / Tarif Réduit 8 € moins de18ans 5 €
« Les Lanternes magiques : voir le monde et au-delà » Voir page 09 Dim 14 février 15h00 salle HL
« Philidor et les lanternes magiques » Spectacle Jeune public conçu par le Service pédagogique de la Cinémathèque. Avec Julien Tauber (conteur), Sébastien Clément (percussionniste), Colas Reydellet (scénographe et lanterniste), Sébastien Ronceray et Fabrice Nardin (lanternistes) Le conteur Julien Tauber s’est s’inspiré de l’univers merveilleux des lanternes – pays lointains, plaques scientifiques, diableries… – ou des contes traditionnels illustrés sur plaques, pour nous entraîner dans un voyage inédit. Durée : 75’ Un spectacle à découvrir en famille (enfants à partir de 5 ans) Sam 05 décembre 15h00 Salle HL Dim 13 décembre 15h00 Salle GF Dim 31 janvier 15h00 Salle HL
Autour de l’exposition Lanterne magique et film peint Des spectacles de lanternes magiques
Activités Pédagogiques
Pour les 11-14 ans CINÉCYCLES Des cycles d’ateliers sur 8 séances, pour en savoir plus sur le cinéma et s’essayer à la pratique cinématographique. CinéCycle 2 : Un monde en couleurs Quel rôle joue la couleur, au cinéma ? L’occasion de voir que la question de la couleur se pose à toutes les étapes de fabrication d’un film. Tous les mercredis du 13 janvier au 17 mars 2010 (inscription à partir du 2 décembre) de 15h00 à 17h30, hors vacances scolaires (groupe de 12 participants maximum) Tarif 60 € le cycle de 8 séances (inscription trimestrielle) Pour les enfants de 3 à 6 ans ATELIERS MINIKINO Le cinéma sous toutes ses facettes, à travers de petites expériences pour comprendre la projection et l’animation du mouvement Tarif 8 € pour un enfant accompagné d’un adulte Un goûter est offert aux enfants à l’issue de l’atelier Lanternes magiques Sam 5 et Dim 6 décembre de 15h30 à 17h00
EN FAMILLE Un dimanche à la Cinémathèque Autour de l’exposition Lanterne magique et film peint. 400 ans de cinéma. Dim 06 décembre 10h30 : visite-atelier « Films peints » autour de l’œuvre de José A. Sisitiaga 15h00 : Avant-première du film Kérity, la maison des contes. (voir page95) Dim 13 décembre 10h30 : visite-atelier « Contes et légendes » avec Julien Tauber, conteur. 15h00 : spectacle Jeune Public Philidor et les lanternes magiques (voir p 95 : séances spéciales JP) Dim 31 janvier 10h30 : visite-atelier « Voyages » avec François Place, illustrateur et auteur 15h00 : spectacle Jeune Public Philidor et les lanternes magiques Dim 14 février 10h30 : visite-atelier « Le monde à l’envers » avec Aline Ahond, illustratrice et réalisatrice 15h00 : spectacle Les lanternes magiques : voir le monde et au-delà (voir p.104 séances spéciales JP)
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Pour les enfants de 6 à 8 ans (accompagnés d’un adulte) Le monde en boîtes (nouveau) Sam 23 et Dim 24 janvier (inscriptions Tarif 8 € pour les adultes et 4 € pour les enfants à partir du 16 décembre) de 15h30 à 17h00
PENDANT LES VACANCES SCOLAIRES VACANCES DE NOËL Stage: « Cinéma d’animation » Pour s’initier au cinéma d’animation, les participants inventent des décors et construisent des figurines qu’ils devront avoir la patience d’animer… image par image ! Lun 21 et Mar 22 décembre 10h00-17h00 (prévoir un piquenique pour le déjeuner). Mer 23 décembre 15h00-18h00 : Séance Jeune Public suivie d’un goûter et de la présentation des travaux avec les parents. Pour les enfants de 10 à 12 ans Tarif 40 € par enfant (une place adulte est offerte par enfant participant au stage, pour la séance Jeune Public du samedi). Journée-atelier des vacances de Noël : « De l’image fixe à l’image animée » Après une visite des expositions de la Cinémathèque, les enfants partent sur les traces d’inventeurs qui, comme Emile Reynaud et son Théâtre d’optique, ont cherché à mettre les images en mouvement. Lun 28 décembre 10h00-17h00 (prévoir un pique-nique pour le déjeuner) Présentation aux parents de 17h00 à 17h30 Pour les enfants de 8 à 10 ans Tarif 15 € par enfant
VACANCES D’HIVER « Histoires en couleurs » En compagnie de l’illustratrice Aline Ahond, les participants de ce stage créent leur propre histoire, illustrée sur des plaques de lanternes magiques, en utilisant toutes sortes de matériaux. Jeu 25 et Ven 26 février 10h00 -17h00 (prévoir un piquenique pour le déjeuner) Sam 27 février 15h00-18h00 : Séance Jeune Public (carte blanche à Aline Ahond) suivie d’un goûter et de la présentation des travaux avec les parents.
POUR LES ADOLESCENTS LE CINÉ-CLUB (NOUVEAU) La Cinémathèque propose aux jeunes cinéphiles âgés de 12 à 18 ans, de se retrouver autour de séances de cinéma et de discussions sur la programmation des films, entre mars et juin 2010. A la fin de l’année scolaire, le groupe du ciné-club aura la chance de pouvoir programmer une journée à la Cinémathèque, journée composée de films, d’ateliers et de rencontres avec des praticiens du cinéma. Pour en savoir plus, rendez-vous à partir du 15 février sur www. cinematheque.fr
Pour les enfants de 10 à 12 ans Tarif 40 € par enfant (une place POUR LES ADULTES adulte est offerte par enfant participant au stage, pour la séance STAGES Jeune Public du samedi). « LE CINÉMA EN PRATIQUES » Journée-atelier des vacances d’hiver : Des stages pratiques proposés « Une journée avec Peau d’Âne » aux individuels adultes (étudiants, Une journée pour s’immerger dans le conte de Peau d’Âne, illustré sur enseignants, tout public). les plaques de lanternes magiques Pendant deux week-ends consécutifs, sous la houlette et adapté au cinéma. d’un technicien du cinéma, les Mer 03 mars 10h00-17h00 (prévoir participants découvrent par la pratique un aspect de la création un pique-nique pour le déjeuner) cinématographique. Cette approche Atelier+visite de l’exposition technique est complétée par une Lanterne magique et film peint + séance Jeune public à 14h30 (Peau analyse d’extraits de films. d’âne de Jacques Demy) Présentation aux parents de 17h00 à 17h30 Pour les enfants de 6 à 10 ans Tarif 15 € par enfant
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POUR LES ENFANTS ET LES ADOLESCENTS
La lumière et le cadre 5-6 + 12-13 décembre 2009 (le même stage sera proposé en mars 2010) Stage animé par Claire Childéric, directrice de la photographie. Elle a travaillé récemment sur le film Rumba (2008) et réalise par ailleurs des films documentaires. montage 23-24 + 30-31 janvier 2010 Stage animé par Catherine Aladenise, monteuse de fictions et de documentaires, qui travaille en collaboration avec Djibril Glissant (L’Éclaireur, 2006) et a été l’assistante-monteuse de Nicole Lubtschansky sur les trois derniers films de Jacques Rivette. Horaires Sam 14h00-18h00 Dim 10h00-13h00 et 14h00-18h00 Tarif 110 € Libre pass et CinÉtudiants 90 € Inscription sur place ou par billetterie en ligne sur www. cinematheque.fr (Activités pédagogiques / Stages adultes) BALADES ARCHITECTURALES Tous les 1ers dimanches du mois à 11h00 La visite s’intéresse à la fois au bâtiment construit par l’architecte américain Frank Gehry et à son implantation dans un quartier de Paris en pleine mutation. Durée 2h00 Plein tarif 8 €, Tarif réduit 7 € Forfait Atout Prix 5.5 € Moins de 18 ans 4 €
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Terrorism Considered as One of the Fine Arts A Dialogue between Peter Whitehead and Sophie Strohmeier de Peter Whitehead GB/2009/150’/vidéo Libre adaptation par l’auteur de son roman éponyme, paru chez Hathor Publishing en 2007. « Le vrai but de l’avant-garde doit être de fomenter et accomplir des actes de guerre. Nommez-les ‘Terrorisme’ si vous voulez. L’avant-garde doit englober un théâtre urbain permanent de violence ciblée, une violation méditée des formes frigides et stériles. Mais sa stratégie requiert finesse et subtilité. Un dernier cri – un appel à l’action déguisé en art. Car nous sommes en guerre. Il n’existe pas de paix, sauf en imagination. L’art ne concerne pas l’art, même célébrant l’inouï ; il doit être politique. Comment ? À l’ère où images et artefacts sont consommés aussi vite que du papier toilette ? Comment
Un Film… de Peter Whitehead Grande-Bretagne/2009/3’/vidéo Contribution au film collectif Outrage & Rébellion.
Ven 11 décembre 20h00 Salle HL Peter Whitehead En présence de Peter Whitehead, séance présentée par Nicole Brenez et Antoine Thirion.
Evénement : Peter Whitehead présente ses deux derniers films, son plus court (Un film) et son plus long (Terrorism Considered as One of the Fine Arts), tous deux liés et en prolongement du chef d’œuvre The Fall. Deux essais romanesques sur les dimensions politique, idéologique, technologique et psychique de l’image telles qu’elles ont caractérisé la première décennie du XXIe siècle, iconophile jusqu’à la démence et que les cinéastes, experts en matière de représentation et de montage, furent peutêtre le mieux à même de ressaisir.
Peter Whitehead
Le site web Nohzone de Peter Whitehead
Divisadero 77 ou Gradiva-Western de Raymonde Carasco et Régis Hébraud France/1977-2009/36’/vidéo Tourné et monté en 16mm en 1977, retrouvé et sonorisé par Régis Hébraud en 2009, Divisadero 77 ou Gradiva-Western explicite la transition entre Gradiva Esquisse 1 et le début de la fresque Tarahumaras, dont il constitue le premier épisode jusqu’alors inconnu. Texte lu par Isabelle Fournier.
Ven 15 janvier 19h30 Salle GF Raymonde Carasco par Régis Hébraud
Lire le texte de Roland Barthes (Allocution-rapport sur la Thèse de Raymonde Carasco, La Fantastique des Philosophes, 1975) sur www.cinematheque.fr
Une série de portraits récents où les relations entre artistes ne se confondent en rien avec celles, traditionnelles, d’objet et de sujet ni de motif et d’auteur, mais qui travaillent l’image comme champ de relations à découvrir, établir et tresser pour que se manifeste quelque chose de l’inouï vivant.
L’AVANT-GARDE PAR ELLE-MÊME : PORTRAITS EXPERIMENTAUX OU « LA VERITE SE PRODUIT COMME UN APRES-COUP DU DESIR »
Pour le reste, cf : www.nohzone.net Illustration : le site nohzone, capture de Peter Whitehead (voir ci-joint)
l’art peut-il provoquer l’action directe ? La seule question qui importe (hormis celle du suicide), ainsi que JeanLucifer Godard l’a montré et prouvé grâce à ce suprême artefact d’avantgarde qu’est La Chinoise est celle-ci : comment un film peut-il mobiliser à la fois la population de la Sorbonne et le peuple des travailleurs en France, comment peut-il les armer de chansons et de slogans poétiques, d’images disloquantes, de mots ardents et autres sabres pour découper et démembrer le réel ? (…) L’ ‘art’ d’avant-garde doit aspirer à être dangereux, belliqueux et direct. Comment ramener de la réalité, affronter l’holocauste de la virtualité universelle, rendre l’homme et la femme de la rue heureux et comblés de se sentir réels ? » Peter Whitehead, mai 2006.
Cinéma d'avant-garde/ contre-culture généralE
Philippe Garrel à Digne (Premier voyage) de Gérard Courant France/1975/103’/vidéo «À l’occasion des 3e rencontres cinématographiques de Digne, Pour un autre cinéma’– créées et animées par Pierre Queyrel – qui présenta une rétrospective de l’œuvre cinématographique de Philippe Garrel, ce film est la captation sonore des deux rencontres que le cinéaste fit, le 2 mai 1975, avec le public à l’issue de la projection de ses films Le Lit de la Vierge, Le Révélateur, La Cicatrice intérieure, Un ange passe et Les Hautes Solitudes.» Gérard Courant. Le débat cinéphilique à l’apogée de son art.
Ven 29 janvier 19h30 Salle GF Philippe Garrel par Gérard Courant (1) En présence de Gérard Courant
Le 16 janvier à 20h00 salle HL, Ken Jacobs présente son spectacle: «Nervous Magic Lantern Performance» à la Cinémathèque. (Voir page09)
et Ken Jacobs à Boulder, Colorado, chez les Brakhage. Un accompagnement affectueux et attentif, dans cette durée continue propre à ceux qui se prémunissent contre la disparition par l’enregistrement éperdu du très proche et familier. Le compte-rendu se termine par une séance du «Nervous System» dédiée à Brakhage. Séance à l’occasion de la publication des Brakhage Lectures aux éditions Capricci.
Keeping an Eye on Stan de Ken Jacobs et Nisi Jacobs États-Unis/2003/117’/vidéo Il est des génies, parfois, dont on voudrait pouvoir conserver chaque mot, chaque geste, et les verser au patrimoine éphémère de l’humanité. Keeping an Eye on Stan suit pas à pas la dernière visite de Stan Brakhage à New York, puis une visite de Flo
Ven 15 janvier 21h30 Salle GF Stan Brakhage par Ken Jacobs et Nisi Jacobs En présence de Ken Jacobs, Emmanuel Burdeau et Kévin Cappelli
Los Pascoleros Tarahumaras 85 de Raymonde Carasco et Régis Hébraud France/1985/25’/16mm « L’envers, les coulisses, des mises en scène de la Passion dans le village de Norogachic, au Mexique. » (Raymonde Carasco).
River of Anger d'Antoine Barraud France/2007/38’/vidéo « J’arrivais au festival de Lucca avec l’envie de dessiner Kenneth Anger, de faire son portrait s’il le voulait bien. Mais sa voix insensée, mêlant assurance et tremblements, ses phrases jamais finies mais teintées d’ambitions professorales, son incroyable corps, ce visage paradoxal, toute sa personne en somme me donna l’envie de le filmer. De le filmer pour ce qu’il est, un monstre. ». Antoine Barraud.
Ven 12 février 19h30 Salle GF Kenneth Anger par Antoine Barraud En présence d’Antoine Barraud
(Second voyage) de Gérard Courant France/1979-2009/56’/vidéo »À l’occasion des 7e rencontres cinématographiques de Digne, ‘Pour un autre ciném’ – créées et animées par Pierre Queyrel – qui présenta une rétrospective de l’œuvre cinématographique de Philippe Garrel, ce film est la captation sonore de la rencontre que le cinéaste fit, le 28 avril 1979, avec le public à l’issue de la projection de ses films Marie pour mémoire, Athanor, Voyage au jardin des morts et Le bleu des origines.” Gérard Courant.
Ven 29 janvier 21h30 Salle GF Philippe Garrel par Gérard Courant (2) En présence de Gérard Courant • Suivi de Cinématon 52, F. J. Ossang de Gérard Courant France/1979/3’55/S8 • Suivi de Cinématon 53, Gina Lola Benzina de Gérard Courant France/1979/3’55/S8 • Suivi de Cinématon 56, Marie-Noëlle Kauffmann de Gérard Courant France/1979/3’55/S8 • Suivi de Cinématon 193, Philippe Garrel de Gérard Courant France/1982/3’55/S8 • Suivi de Cinématon 318, Frédéric Pardo de Gérard Courant France/1984/3’55/S8 • Suivi de Cinématon 1988, Zouzou de Gérard Courant France/1999/3’55/S8 • Suivi de Philippe Garrel à Digne
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
Filmer ce désert de Régis Hébraud France/2009/10’/vidéo Un portrait de Raymonde Carasco réalisé à partir notamment des claps de ses films et de rushes des tournages de 1995 à 2001 ; et de sa lecture du poème « Filmer ce désert ».
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
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Ven 26 février 21h30 Salle GF Steve Dwoskin/Keja Ho Kramer, Alain Vega/Marc Hurtado, Marcel Hanoun/Francesca Solari, Jean-Michel Humeau/ Mathieu Touren, Armand Gatti/ Fergus Daly
Jeu 10 décembre 20h30 Salle JE Programme 137 : Ado attitude (durée : 101’) Ce programme est un reflet de certains comportements d’adolescents en révolte contre la société où ils évoluent ou des rapports conflictuels qu’ils entretiennent avec leurs parents. • Suivi de Elles d’Ahmed Lallem Algérie/1966/22’/VOSTF/35mm Des lycéennes algériennes s’expriment à propos du voile et de leurs libertés. • Suivi de Les Veuves de 15 ans de Jean Rouch France/1966/25’/35mm À Paris, le comportement de deux adolescentes dans la société « yéyé ». • Suivi de Les Vacances d’Emmanuel Bercot France/1997/17’/35mm Avec Isild Le Besco, Catherine Vinatier. À la veille des vacances, Anne n’a pas assez d’argent pour emmener sa fille Mélody passer quelques jours loin de la petite ville de province où elles vivent. Grand Prix du court métrage (Belfort, 1998), Meilleur court métrage (Cabourg, 1998).
Jeu 14 janvier 20h30 Salle JE Programme 138 : Société de consommation (durée : 81’) Jorge Furtado et Marie Hélia se sont penchés sur la chaîne alimentaire de deux produits que nous consommons régulièrement. Christophe Le Borgne s’intéresse, lui, aux multinationales prêtes à tout pour conditionner les êtres humains à acheter leurs produits. Quant à Philippe Lioret, il égratigne, avec beaucoup d’humour, le système
• Suivi de Mille morceaux de Frédéric Benzaquen France/1999/12’/35mm Avec Isild Le Besco, Martin Reigner. C’est les vacances. François et Sandrine se rencontrent. Ils s’aiment. C’est leur première fois. • Suivi de Mamaman de Iao Lethem Belgique/2002/25’/35mm Avec Laetia Reva, Circé Lethem. Les rapports conflictuels dans une famille monoparentale entre une mère et sa fille de 17 ans. Grand Prix du Jury au Festival Premiers plans (Angers 2003).
L'art du court métrage (9 e partie)
Les Maisons de feu d'Antoine Barraud France/2009/15’/vidéo Portrait de Koji Wakamatsu. La Montagne de la terreur d'Antoine Barraud France/2009/30’/vidéo Portrait de Shuji Terayama.
En présence d’Antoine Barraud
Ven 12 février 21h30 Salle GF Kohei Oguri/Shuji Terayama/ Koji Wakamatsu par Antoine Barraud
Ven 26 février 19h30 Salle GF René Vautier par Oriane BrunMoschetti et Leïla Morouche En présence de Oriane Brun-Moschetti, Leïla Morouche et René Vautier.
The Man We Want to Hang de Kenneth Anger États-Unis/2002/12’/vidéo À l’occasion d’une exposition à Londres, Kenneth Anger filme l’œuvre picturale d’Aleister Crowley, mage dont les textes constituèrent le scénario de ses films ainsi que Pierre Hecker l’avait observé dès 1998 dans Les films ‘magick’ de Kenneth Anger. Algérie Tours/Détours de Oriane Brun-Moschetti et Leïla Morouche France/2007/113’/vidéo Un portrait de René Vautier affectueusement ramené par deux jeunes historiennes cinéastes sur les lieux de ses tournages et de ses tournées Ciné-Pop, qui se mue peu à peu en une description bouleversante de l’Algérie comme on ne la voit jamais en France.
La Forêt des songes d'Antoine Barraud France/2009/45’/vidéo Portrait de Kohei Oguri.
Ich Will de Kenneth Anger États-Unis/2000/35’/vidéo Sur l’iconographie aryenne cultivée par le IIIe Reich.
Cinéma d'avant-garde/ contre-culture généralE
L’Île aux fleurs (Ilha das Flores) de Jorge Furtado Brésil/1989/13’/VF/35mm L’itinéraire d’une tomate, de sa production dans la plantation de monsieur Suzuki jusqu’à la décharge publique de l’île aux fleurs à Porto Alegre. Un pamphlet sur notre société de consommation entre ceux qui jettent et ceux qui ramassent pour s’alimenter. Ours d’argent du court métrage (Berlin,1990), Prix de la presse et du public (Clermont-Ferrand, 1991). • Suivi de Les Filles de la sardine de Marie Hélia France/2000/50’/35mm La vie dans une usine de sardines en l’an 2000. • Suivi de Debout les frileux de la terre de Christophe Le Borgne France/2002/12’/35mm Avec Philippe Vieux, Henri Boyer. Dans une ville caniculaire et polluée, la population entière subit le joug d’une multinationale de crème solaire écran total
d’information des grandes surfaces vis-àvis de leur clientèle.
Jean-Michel Humeau de Mathieu Touren France/2009/17’/vidéo Portrait pionnier de l’héroïque cinéaste qui filma notamment Douglas Bravo et la
Marcel Hanoun m’a demandé de Francesca Solari France/2009/20’/vidéo Francesca Solari fait plus que lui répondre. Portrait en forme d’échange de joyeux procédés.
Fair Play de Géza Pál Varga Hongrie/1978/2’/sans dialogues/16mm Film d’animation : un oiseau dans une cage est la victime sans défense d’un chasseur. • Suivi de La Vraie cérémonie du thé (Tea House Mouse) de Bob Kuwahara États-Unis/1963/6’/VF/35mm De la série des Terry Toons, ce dessin
Jeu 11 février 20h30 Salle JE Programme 139 : Les bonnes manières (durée : 70’) L’art de bien se comporter en toutes situations.
qui a imposé au monde le nudisme comme idéologie pour servir ses intérêts financiers. La résistance s’organise... • Suivi de Vache-qui-rit de Philippe Lioret France/2005/6’/35mm Avec Grégory Fitoussi, Léa Wiazemski, Anne Wiazemski. Comment choisir un livre dans un hypermarché quand on a affaire, pour vous conseiller sur cet achat, à l’ancienne vendeuse du rayon fromage.
Nous remercions les auteurs, ayant-droits et distributeurs.
Welcome to our Battle of Images de Fergus Daly Irlande/2009/31’/vidéo Portrait d’Armand Gatti, et plus particulièrement du tournage de Nous étions tous des noms d’arbres à Derry en Irlande du Nord en 1983, par un écrivain documentariste.
Les Carnets de la Bête /The Beast Notes de Keja Ho Kramer France/2008/28’/vidéo Portrait de Steve Dwoskin, boucle nouvelle dans les entrelacs existentiels d’images entre Robert Kramer, Dwoskin et Keja Ho Kramer. The Infinite Mercy Film de Marc Hurtado France/2009/16’/vidéo Portrait flamboyant d’Alan Vega, peintre et sculpteur, par un cinéaste poète et musicien.
guérilla vénézuelienne par un vidéaste spécialiste de l’expérimentation sonore. (Esquisse)
En présence de Keja Ho Kramer, Francesca Solari, Marc Hurtado, Matthieu Touren
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ne tolère aucune désinvolture de la part de ses stagiaires. Parmi eux, Annick, la cinquantaine, ne cache pas son mépris pour ces techniques agressives de vente. Prix de la meilleure actrice à Chantal Banlier (Grenoble 2006) • Suivi de Bien sous tous rapports de Marina de Van France/1996/11’/35mm Avec Adrien de Van, Marina de Van, Benoit Brione, Jérôme Kapoor. Une jeune fille de bonne famille doit apporter autant de soin à sa façon de se tenir à table qu’à l’exécution d’une fellation.
AH, LIBERTY ! de Ben Rivers Grande-Bretagne/2008/20’/16mm Une maison familiale dans une campagne retirée et hors du temps. Des enfants et des animaux en pagaille. La nature et un bric-àbrac d’objets. Le tout au cœur d’un paysage splendide. Cette œuvre poursuit une idée de la liberté qu’accentue le format en Scope même si le pressentiment d’une menace
Ce programme propose une reprise de quatre films montrés lors des séances précédentes.
Lun 28 décembre 20h30 Salle JE MISCELLANÉES D’HIVER 3 / TRAVERSÉES
Wadley, Matias Meyer
WADLEY de Matias Meyer Mexique/2008/56’/vidéo/VOSTA Avec Leonardo Ortizgris. Le long d’un chemin, à l’aube, un homme d’une trentaine d’années marche. Il traverse un village, demande son chemin, puis
GRACELAND de Anocha Suwichakornpong Thaïlande/2006/17’/35mm/VOSTF Avec Sarawut Martthong, Jeralin Chanchoenglop. Une nuit, à Bangkok, Jon rencontre une mystérieuse femme. Ensemble, ils s’en vont pour un voyage en pays étranger – celui du cœur humain.
Où SE TROUVE LE CHEF DE LA PRISON ? de Patric Chiha France/2007/18’/35mm d’après le questionnaire d’Aimable Jayet. Avec Raphaël Bouvet. Soudainement, Roman se pose une première question, suivie d’une multitude d’autres auxquelles personne ne peut répondre.
plane dans les images. Il n’y a pas d’histoire à proprement parler. Juste des fragments de vies vécues.
fenêtre sur le court métrage contemporain
animé nous conte avec humour comment papa souris se substitue à sa fille pour servir un thé dans la meilleure tradition japonaise à un vilain chat. • Suivi de Petite leçon de savoir-vivre de Pascal Gontier France/2001/8’/35mm Avec Bernard Menez, Chris Egloff. Il est parfois délectable de faire taire celui qui, fort de sa jeunesse et de sa gouaillerie, la ramène un peu trop... • Suivi de Félicitations de Matthieu Rozé France/2002/6’/35mm Avec Jean-Claude Dauphin, Raphaeline Goupilleau. Un couple peu sympathique déambule dans un magasin de porcelaine à la recherche d’un cadeau de mariage. Un geste malheureux plus tard, un sucrier éclate en morceaux… • Suivi de Bonbon au poivre de Marc Fitoussi France/2005/35’/35mm Avec Chantal Banlier, Aure Atika. Mélanie, la trentaine, s’applique chaque jour à former de futurs représentants pour une célèbre marque de confiserie. Elle
L'art du court métrage (9 e partie)
Maurice Maeterlinck, dans son fameux essai sur le théâtre intitulé Le Tragique quotidien préconise pour toucher le cœur de ce qui est en jeu chez l’Homme de s’attacher à l’inaperçu, au quotidien, au banal. Et tout l’art des deux films ici proposés est de saisir le peu, l’impalpable qui bouleverse et nous pousse au devant de nous-mêmes. Il n’y aurait rien à voir mais tout est là dans la mesure où il est question dans l’un comme dans l’autre film d’approcher des sentiments prégnants et diffus tout à la fois. Mais aucune concession n’y est faite à la violence pauvre de l’anecdotique mal senti, non mis en forme. A travers une attention portée à la présence, une écriture qui va chercher dans l’à-côté et l’imperceptible advient. Et fait écho à ce que le poète flamand écrivait dans un autre essai intitulé La Vie profonde : « Il n’y a pas de jours petits. Il faut que cette idée descende dans notre vie et qu’elle s’y
Lun 25 janvier 20h30 Salle JE ÉLOGE DU PEU
L’ENS Louis-Lumière offre une formation professionnalisante, théorique et pratique, technique et artistique, propre à satisfaire les attentes des métiers de l’image et du son. Placée sous la tutelle du Ministère de l’Éducation Nationale, l’Ecole recrute à Bac+2 et propose un enseignement dans trois sections : cinéma, son et photographie. Ces études sont validées par un diplôme de niveau Bac+5. L’Ecole participe également à des activités de recherche appliquée dans ces domaines.
Lun 25 janvier 20h00 Salle HL Ecole nationale supérieure Louis-Lumière : soirée des diplômés 2009 Parrainage - Alain Corneau Entrée libre • Travaux photographiques • Créations sonores • Films dont Les larmes de la luciole d’Antoine Moquet (2009/35mm/15’) et Les clowns… de Maguy Fournereau (2009/ HDCam/14’
NOTRE AMOUR d’Arnold Pasquier France/2009/45’/vidéo Avec Philippe Chosson, Christine Bompal, Mark Tomkins, Barbara Carlotti. Arnold Pasquier filme les répétitions et les représentations d’un spectacle de Christian Rizzo, Mon amour. Des corps qui marchent, s’enlacent et s’entrelacent, se cherchent, expérimentent ; des visages au travail, beaux, concentrés et rieurs, peinturlurés de paillettes, masqués d’un tulle de couleur tombant des capuches ; des plantes en pot, de la fumée, des sphères noires : tout un monde mystérieux d’actions insensées qui s’enchaînent…
UM DIA FRIO de Claudia Varejao Portugal/2008/27’/vidéo/VOSTF Au cours d’une journée d’hiver à Lisbonne, un père, une mère, un fils et une fille, tracent le parcours d’une journée, en solitaire.
transforme en substance. Il ne s’agit pas d’être triste. Petites joies, petits sourires et grandes larmes, tout cela occupe le même point dans l’espace et le temps. » François Bonenfant
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais s’enfonce dans le désert jusqu’à atteindre une oasis. Il est à la recherche de peyotl, plante de la famille des cactées connue pour ses effets hallucinogènes.
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
Lun 14 décembre 20h00 Salle JE PALMARÈS DE LA 32e EDITION DES RENCONTRES Cinématographiques HENRI LANGLOIS FILMS PRIMÉS 2009 En présence de réalisateurs. Entrée libre. Le créateur de la Cinémathèque française est aussi celui des Rencontres Henri Langlois, Festival international des écoles de cinéma. Du doc allemand à la fiction mexicaine, du drame argentin à la comédie finlandaise… : le Festival propose une sélection rigoureuse et éclectique parmi près de 1300 films reçus chaque année des écoles du monde. Un concentré de ce que la jeune génération de cinéastes du monde entier produit de plus abouti, de plus fort, de plus surprenant. Ces jeunes réalisateurs, qui tentent ici leur chance, offrent à leur film un beau début de carrière ; après les Rencontres Henri Langlois, d’autres grands festivals à Cannes, Clermont-Ferrand et hors de nos frontières, récompensent bien souvent les films ou les auteurs primés à Poitiers. Pour en savoir plus : www.rihl.org
séances spéciales
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LO QUE TRAE LA LLUVIA d’Alejandro Fernandez Almendras Chili/2006/13’/35mm Avec Olga Munoz, Antonio Guajardo, Francisco Almendras. Une journée à la campagne : tandis qu’un vieux paysan nettoie le ruisseau plein de boue, sa femme confectionne le fromage qu’elle vendra ensuite au bord de la route.
CLASSES VERTES de Alexis van Stratum Belgique/2008/18’/35mm Avec Martin De Myttenaere, Catherine Salée. Jonathan, 7 ans, part demain en classes vertes avec l’école. Mais sa maman n’a pas envie qu’il parte. Et l’amour d’une maman, c’est bien connu, ça peut faire des ravages…
FORBACH de Claire Burger France/2008/35’/vidéo Avec Samuel Theis, Mario Theis, Sonia Theis. Samuel, comédien, revient à Forbach, sa ville natale, pour recevoir une médaille. Dans cette ancienne cité minière de Lorraine, on est fier de sa réussite parisienne. Pour Samuel, c’est l’occasion de renouer avec sa famille.
Sylvie Guillem, Sylvia Schildge
La cinémathèque de la danse
Lun 22 février 20h30 Salle JE DÉTOURNÉS Si la famille (même et surtout sous sa forme la plus restreinte) est ce qui enclot, protège et à la fois endort, il faut sans doute s’en écarter plutôt que de la haïr comme André Gide invitait à le faire. Mais celle qu’il détestait tant, c’était la famille bourgeoise sous sa forme la plus classique. Rien de tel ici, et point de vastes réseaux de parenté. Dans Forbach et Classes vertes c’est la figure de la mère solitaire qui surgit, alcoolique ou dévorante, mais toujours irresponsable, magnifique et inquiétante dans son trop-plein et son manque d’amour. Et le regard porté sur elle est généreux, quitte à malgré tout préconiser le détour. Une justesse d’approche qui nous frappe également à la vision de Lo que trae la lluvia où des grands-parents attendent et préparent la venue de leur petit-fils. Alejandro Fernandez Almendras réussit là, et sans le moindre dialogue, un film d’une intensité et d’une profondeur remarquable. Film atmosphérique et suspendu qui n’est d’ailleurs pas sans faire écho à The Dirty Ones où deux sœurs appartenant à une communauté religieuse coupée du monde, se retrouvent dans l’antichambre d’une vie nouvelle. François Bonenfant
fenêtre sur le court métrage contemporain
Jeu 25 février 20h30 Salle JE Les Femmes collantes de Pierre Caron France/1938/73’/35mm Avec Josselyne Gaël, Henri Garat. Un notaire séducteur n’arrive pas à se débarrasser des ses trois maîtresses.
Jeu 28 janvier 20h30 Salle JE Numéro 077, 777- Série 7 de Victor de Fast France/1934/35’/35mm Avec Milly Mathis, Marcel Vallée. • Suivi de Chantons quand même de Pierre Caron France/1939/48’/35mm Avec Annie Vernay, Marie Bizet. Un sergent retrouve, au hasard d’une étape, une petite camarade de l’été.
Programmation : Jacques Lourcelles.
Depuis 1999, sous l’égide de l’AFRHC, une séance mensuelle propose une exploration du cinéma français de 1930 à 1950, livrée à travers des œuvres extrêmement rares dont beaucoup n’ont pas été vues depuis leur sortie.
Quelques mois après la disparition de Merce Cunningham, la Cinémathèque de la Danse présente une sélection de films réalisés par Charles Atlas. Ce programme inédit était prévu de longue date, pour la venue de la Compagnie au Festival d’Automne à Paris - 2009. Charles Atlas commence à travailler avec Merce Cuningham dès les années 70, dans un partenariat très particulier puisque pour certains de ses films, comme Torse, Merce Cunningham tenait lui-même la caméra. L’œuvre de Charles Atlas, où l’écriture
Pour toutes les séances, billets en vente sur place 1h avant la séance et préventes sur www.cinematheque.fr
Lun 15 février 20h00 Salle HL GUILLEM SUR LE FIL de Françoise Ha Van, France/2009/90’/Vidéo Nouveau film/portrait réalisé par Françoise Ha Van sur Sylvie Guillem
Lun 18 janvier 20h00 Salle HL En partenariat avec le Centre National de la Danse DU CÔTÉ DE LÉONIDE Propos et images sur l’un des 3 chorégraphes des Ballets Russes : Léonide Massine Comme Chaplin, Massine fait partie de ceux qui ont tout compris. Comme nul autre, il sut révéler les intermittences du cœur et les escamotages de la passion. Métaphysicien comme Don Juan, Massine était possédé par la hâte et la folie des nombres. Mathématicien, il calculait tout et retombait toujours juste, à deux pas du vide…
cinématographique se conjugue avec le mouvement chorégraphique, constitue un patrimoine unique dont certains des films peuvent compter parmi les films de danse les plus exceptionnels jamais réalisés.
VOSTF Film en version originale sous-titrée en français VASTF Film en version anglaise sous-titrée en français VF Film étranger en version française INT. FR Film muet avec intertitres français INT. ANG Film muet avec intertitres anglais
16h00 Programme 1 1. Suite for 5 (25’) 2. Sounddance (19’) 3. Extrait de Merce Tribute collage/ compilation présenté au Baryshnikov Arts Center (30') 18h00 Programme 2 1. Summerspace (20') 2. Crises (this is HD) (23') 3. Second extrait de Merce Tribute collage/compilation présenté au Baryshnikov Arts Center (30')
Dim 13 décembre Salle HL MERCE CUNNINGHAM PAR CHARLES ATLAS En présence du réalisateur
HL Salle Henri Langlois GF Salle Georges Franju JE Salle Jean Epstein LE Salle Lotte Eisner
THE DIRTY ONES de Brent Stewart États-Unis/2008/11’/vidéo/VOSTF Avec Rachel Korine, Raven Dunn. Deux sœurs adolescentes appartiennent à la religion mennonite coupée des influences de la société contemporaine. Durant leur voyage, elles s’arrêtent pour diner et trouver un hôtel pour la nuit, elles se retrouvent isolées dans un endroit inconnu.
Histoire inattendue du cinéma français
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Lundi 18 janvier 19h30 Salle GF L’Arche russe (RUSSIAN ARK) de Alexandre Sokourov Russie-Allemagne/2002/95’/VOSTF/35mm Avec Serguey Dreiden, Maria Kuznetsova. En un long plan séquence, un narrateur déambule dans le musée de l’Ermitage.
Lun 07 décembre 19h30 Salle GF L’HOMME SANS AGE (YOUTH WITHOUT YOUTH) de Francis Ford Coppola États-Unis/2007/124’/VOSTF/35mm Avec Tim Roth, Alexandra Maria Lara. 1938, un vieux professeur de linguistique est frappé par la foudre : il renaît rajeuni... Lun 14 décembre 19h30 Salle GF REDACTED – REVU ET CORRIGE (REDACTED) de Brian De Palma États-Unis /2007/90’/VOSTF/35mm Avec Izzy Diaz, Rob Devaney. Le quotidien absurde des soldats américains en Irak, jusqu’au crime de guerre.
22h00 Dans les bras de l’enfer (Behind Enemy Lines/P.O.W. the Escape) d’Amir Gideon États-Unis/1986/88’/VF/35mm Avec David Carradine, Charles R. Floyd. Dans le Vietnam en feu de 1973, un colonel est chargé de rapatrier des soldats prisonniers mais tombe lui même aux mains de l’ennemi. Son détenteur lui propose la liberté s’il l’aide à rejoindre les États-Unis avec le trésor de guerre qu’il a amassé.
20h00 Œil pour œil (Lone Wolf McQuade) de Steve Carver États-Unis/1983/107’/VOSTF/35mm Avec David Carradine, Chuck Norris. J.J. McQuade est obligé de quitter la police de San Francisco après une descente tragique qui coûte la vie à son équipier. Il décide alors de travailler en solo pour éliminer le gang de trafiquants responsables du massacre.
Ven 04 décembre Salle HL Hommage à David Carradine (2)
cinéma bis
Ven 08 janvier Salle HL Cinéma fantastique australien 20h00 Next of Kin/Cousins de sang (Next of Kin) de Tony Williams Australie-NZ/1982/89’/VOSTF/35mm Avec Jackie Kerin, John Jarratt. Dans une maison de retraite, une femme lit le journal intime de sa mère. Bientôt, les événements relatés dans le journal se produisent dans sa propre vie. 22h00 Réaction en chaîne (The Chain Reaction)
Ven 18 décembre Salle HL Le cinéma bis en 3D 20h00 Parasite de Charles Band 22h00 Western de Ferdinando Baldi 00h00 Le Pensionnat des petites salopes de Pierre B. Reinhard En présence du réalisateur. Voir les notules de ces films dans le cycle Le Cinéma en 3D p38
Lun 11 janvier 19h30 Salle GF LE SOLEIL (SOLNTSE) de Alexandre Sokourov Russie-Italie-FR/2005/110’/VOSTF/35mm Avec Issei Ogata, Robert Dawson Été 1945, fin de la Seconde Guerre mondiale: les derniers jours au pouvoir de l'empereur japonais Hiro Hito.
« Les cinématographies à l’œuvre : le cinéma américain, 1995-2005 (suite et fin). Et, à partir de janvier 2010, « Les cinématographies à l’œuvre dans le monde (hors France et États-Unis), 1995-2005 »
Projection d’un film, suivie d’une analyse « à chaud » et d’une discussion.
Lun 04 janvier 19h30 Salle HL SARABAND d’Ingmar Bergman Suède/2003/91’/VOSTF/Projection numérique Avec Liv Ullmann, Erland Josephson. Trente ans ont passé depuis que le couple de Scènes de la vie conjugale s’est perdu de vue. Entre eux, la complicité et l’affection sont réelles.
Ven 05 février Salle HL Gordon Douglas 20h00 L’Exécuteur noir 22h00 Le Casse-cou Voir les notules de ces films dans la rétrospective Gordon Douglas, p48 Ven 19 février Salle HL Braquages 20h00 Money Movers / L’Attaque des fourgons blindés (Money Movers) de Bruce Beresford Australie/1978/92’/VF/35mm Avec Terence Donovan, Tony Bonner. Un fourgon blindé est intercepté par des hommes armés. Ils prennent le butin mais sont tous abattus par un tueur à gages. 22h00 Commando terreur (Milano violenta) de Mario Caiano Italie/1976/100’/VF/35mm Avec Claudio Cassinelli, John Steiner. Un casse : deux gangsters partent avec le magot et deux autres font diversion en prenant des otages.
Ven 22 janvier Salle HL Mercenaires et troupes d’élite 20h00 Commando (Who Dares Wins) de Ian Sharp GB-Suisse/1982/125’/VOSTF/35mm Avec Richard Widmark, Judy Davis. Un homme de l’unité d’élite SAS est chargé d’infiltrer un groupe terroriste. 22h15 Les Sept Salopards (La Belva dalla calda pelle) de Bruno Fontana Italie/1982/99’/VF/35mm Avec Angelo Infanti, Laura Gemser. Après avoir exécuté un homme politique et sa femme, une bande de mercenaires tente de se sauver par la mer et tombe dans un traquenard.
En partenariat avec Conférences et Débats.
Enregistrement et diffusion du Ciné-club pour la web-radio Les chemins de la connaissance sur www.franceculture.com
Lun 01 mars 19h30 Salle GF THREE TIMES de Hou Hsiao Hsien avec Qi Shu, Chen Chang Taïwan/2004/132’/VOSTF/35mm Trois époques, trois histoires, trois incarnations d’un amour infini.
de Ian Barry Australie/1980/92’/VOSTF/35mm Avec Steve Bisley, Arna-Maria Winchester. Un tremblement de terre provoque un accident dans une centrale nucléaire et menace toute la région. Un ingénieur, mortellement contaminé, décide d’alerter l’opinion publique.
Lun 15 février 19h30 Salle GF DE L’EAU TIEDE SOUS UN PONT ROUGE (AKAI HASHI SHITA NO MURUI MIZU) de Shohei Imamura
Lun 08 février 19h30 Salle GF EN UNE POIGNEE DE MAINS AMIES de Manoel de Oliveira, Jean Rouch Portugal/1996/35’/VOSTF/35mm • suivi de PORTO DE MON ENFANCE (PORTO DA MINHA INFANCIA) de Manoel de Oliveira France/Portugal/2001/61’/VOSTF/35mm Avec Jorge Trépa, Maria de Medeiros. Le réalisateur se souvient de la ville de sa jeunesse .
Lun 01 février Relâche
Lun 22 février 19h30 Salle GF MILLENNIUM MAMBO (QIAN XI MAN PO) de Hou Hsiao Hsien Taïwan/2001/119’/VOSTF/35mm avec Qi Shu, Jack Kao. Vicky, jeune femme qui travaille dans une boîte de nuit, est partagée entre deux hommes.
France/2001/119’/VOSTF/35mm Avec Kôji Yakusho, Misa Shimizu. Un homme fait la connaissance d’une femme aux pouvoirs étranges et libérateurs.
Lun 25 janvier 19h30 Salle GF JE RENTRE A LA MAISON de Manoel de Oliveira France/Portugal/2001/90’/VOSTF/35mm Avec Michel Piccoli, Catherine Deneuve. Gilbert Valence est un comédien de théâtre, son talent et sa longue carrière lui ont valu les plus grands rôles. Un soir, à l’issue de la représentation, la tragédie entre dans sa vie.
Figure majeure de la cinéphilie, Jean Douchet poursuit son entreprise unique et encyclopédique d’un regard embrassant par décennies le cinéma mondial.
Lun 21 et 28 décembre : Relâche
Enregistrement et diffusion du Ciné-club par la web-radio Les Chemins de la connaissance sur www.franceculture.com
PARLONS CINÉMA LE ciné-club jean douchet Histoire du cinéma et analyse de films
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Catherine et son amant, Gordon Douglas, p48 Le Cave se rebiffe, Gilles Grangier, p84 Cendres, Andzej Wajda, p71 Cendres et diamant, Andzej Wajda, p70 C’est donc ton frère !, Harry Lachman, p24
C Capitaine Achab, Philippe Ramos, p92 Le Capitaine Fracasse, Abel Gance, p85 La Captive, Chantal Akerman, p85 Le Carrosse d’or, Jean Renoir, p85 Casa de lava, Pedro Costa, p57 Le Casse-cou, Gordon Douglas, p48
B Le Baiser mortel, Richard Oswald, p85 Barquero, Gordon Douglas, p47 Barrière des races, Alan Hale, p84 I Basilischi, Lina Wertmüller, p19 Bas les masques, Chet Withey, p84 Bataille sans merci, Raoul Walsh, p36 Batman Forever, Joel Schumacher, p63 La Belle du Pacifique, Curtis Bernhardt, p37 La Belle personne, Christophe Honoré, p93 La Bohémienne, James W.Horne, Charles Rogers, p23 Le Bois de bouleaux, Andzej Wajda, p71 Bombardiers B-52, Gordon Douglas, p47 Bons baisers d’Hollywood, Mike Nichols, p79 Bons pour le service, James W.Horne, p24 Boulevard du crépuscule, Billy Wilder, p84 Braqueurs amateurs, Dean Parisot, p63 Broadcast News, James L.Brooks, p79 Bruce tout puissant, Tom Shadyac, p63 Bubble, Steven Soderbergh, p93
Les Aventures de Laurel et Hardy, James Parrott, p23
A A Bigger Splash, Jack Hazan, p84 Accattone, Pier Paolo Pasolini, p18 Ace Ventura détective chiens et chats, Tom Shadyac, p63 Ace Ventura en Afrique, Steve Oedekerk, p63 L’Acrobate, Jean-Daniel Pollet, p84 Les Affranchis, Martin Scorsese, p78 After Hours, Martin Scorsese, p78 Aidons-nous, James Parrott, p25 Âme d’artiste, Germaine Dulac, p85 Gli Amici del bar marguerita, Pupi Avati, p18 L’Amiral Nakhimov, Vsevolod Poudovkine, p85 Amityville 3D - Le Démon, Richard Fleischer, p36 Les Amoureux, Mauro Bolognini, p19 L’Amour trop fort, Daniel Duval, p85 Andalucia, Alain Gomis, p92 Angèle, de Marcel Pagnol, p84 L’Angoissante Aventure, Jacob Protozanov, p84 A Night of Adventure, Gordon Douglas, p47 L’Animal d’acier, Otto Zielke, p85 L’Anneau de crin, Andzej Wajda, p71 Appelez-moi chef, Gordon Douglas, p47 Appelez-moi Monsieur Tibbs, Gordon Douglas, p47 L’Arche russe, Alexandre Sokourov, p108 L’Arlésienne, André Antoine p85 Les As d’Oxford, Alfred Goulding, p23 Atoll K, Léo Joannon, p23 Au péril de sa vie, Gordon Douglas, p47
Index des films
D Dans la chambre de Vanda, Pedro Costa, p57 Danton, Andzej Wajda, p70 Les Dauphins, Francesco Maselli, p19 Deep End, Jerzy Skolimowski, p87 De l’eau tiède sous un pont rouge, Shohei Imamura, p108 The Deluge, Felix Feist, p87 De minuit à l’aube, Gordon Douglas, p48 Les Demoiselles de Wilco, Andzej Wajda, p71 La Dernière charge, Andzej Wajda, p71 Dernière cible (La), Buddy Van Horn, p64 Les Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, Brad Silberling, p64 Des monstres attaquent la ville, Gordon Douglas, p48 Les Dents de la mer 3, Joe Alves, p36 La Dernière tentation du Christ, Martin Scorsese, p78 Les Dessins animés de Laurel et Hardy, Joseph Barbera et William Hanna, p24 Détective (Le), Gordon Douglas, p49 Deux bons copains, Gordon Douglas, p24 et 48 Les Deux légionnaires, James W.Horne, p24-25 Dick Tracy vs Cueball, Gordon Douglas, p49 La Diligence vers l’Ouest, Gordon Douglas, p49 Disjoncté, Ben Stiller, p64 Docteur Jekyll et Mister Hyde, John S. Robertson, p87 Dogs of Hell, Worth Keeter, p36-37 Les Doolins de l’Oklahoma, Gordon Douglas, p49
Courts métrages, Segundo de Chomon, p13 La Cousine Bette, Max de Rieux, p87 Le Crime était presque parfait, Alfred Hitchcock, p37 Crime et châtiment, Andzej Wajda, p70 Les Cuistots de sa majesté, Sam Taylor, p25
Chair pour Frankenstein, Paul Morrissey et Anthony Dawson, p37 Le Champignon des Carpathes, Jean-Claude Biette, p84 La Charge sur la rivière rouge, Gordon Douglas, p48 Charlotte for Ever, Serge Gainsbourg, p84 La Chasse aux mouches, Andzej Wajda, p70 Le Chef d’orchestre, Andzej Wajda, p71 Le Chemineau, Henry Krauss, p84 Les Chevaliers de la flemme, Charles Rogers et Lloyd French, p25 Chicago, Frank Urson, p85 La Chine est proche, Marco Bellochio, p85 Christophe Colomb, l’énigme, Manoel de Oliveira, p93 Chronique des événements amoureux, Andzej Wajda, p71 Chuka le redoutable, Gordon Douglas, p49 Claudelle Inglish, Gordon Douglas, p49 Les Compagnons de la nouba, William A.Seiter, p25 La Comtesse aux pieds nus, Joseph L. Mankiewicz, p86 Le Conformiste, Bernardo Bertolucci, p86 Conte de la lune vague après la pluie, Kenji Mizoguchi, p86 La Couleur de l’argent, Martin Scorsese, p79 Courts métrages, Gordon Douglas, p52 Courts métrages, Laurel et Hardy, p27 Courts métrages, Norman McLaren, p13
G Gangs of New York, Martin Scorsese, p79 Gare centrale, Youssef Chahine, p87 Le Géant du Grand Nord, Gordon Douglas, p49 Général Spanky, Gordon Douglas, p49 Génération - une fille a parlé, Andzej Wajda, p71 Gentleman Jim, Raoul Walsh, p87 Girl Rush, Gordon Douglas, p49 Le Grand boum, Malcolm St Clair, p24 Le Grand Elan, Christian-Jaque, p86 Grand Frère, William S. Hart, p86 La Grande Bouffe, Marco Ferreri, p19 La Grande menace, Gordon Douglas, p50 La Grève, S. M. Eisenstein, p86 Le Grinch, Ron Howard, p64
Le Fantôme de la rue Morgue, Roy del Ruth, p37 F comme Flint, Gordon Douglas, p49 La Femme en ciment, Gordon Douglas, p49 La Femme et le Pantin, Jacques de Baroncelli, p86 Les Femmes des autres, Damiano Damiani, p18 Feu sur le gang, Gordon Douglas, p49 La Fiancée, la Comédienne et le Maquereau, Jean-Marie Straub & Danièle Huillet, p87 The Fiend Who Walked The West, Gordon Douglas, p48 La Flèche noire, Gordon Douglas, p48 Les Folles années de Laurel et Hardy, p25 Fort Invincible, Gordon Douglas, p48 Fort Ti, William Castle, p37 Fous d’Irène, Peter et Bobby Farrelly, p65 Fra Diavolo, Hal Roach et Charles Rogers, p24
F The Falcon in Hollywood, Gordon Douglas, p48 Fanny et Alexandre, Ingmar Bergman, p86 Fantômes déchainés, Alfred L.Werker, p25
E Enlevez-moi, Léonce Perret, p87 Embrassez-moi chérie, George Sidney, p37 Emmanuelle 4, Francis Leroi et Iris Letans, p37 En avant jeunesse, Pedro Costa, p57 L’Enquête, Gordon Douglas, p48 En une poignée de mains amies, Manoel de Oliveira et Jean Rouch, p108 Entre onze heures et minuit, Henri Decoin, p87 Eraserhead, David Lynch, p87 Esclaves, Herbert J. Biberman, P87 Espions sur la Tamise/Le Ministère de la peur, Fritz Lang, p86 Eternal Sunshine of the Spotless Mind, Michel Gondry, p65 L’Etrange créature du lac noir, Jack Arnold, p36 L’Etrange Noël de Mr Jack, Henry Selick, p36 L’Exécuteur noir, Gordon Douglas, p48
Dracula, Francis Ford Coppola, p78 Drame en Alaska, James Kirkwood, p86 Le Droit du plus fort, Rainer Werner Fassbinder, p79 Drôle de Noël de Scrooge (Le), Robert Zemeckis, p64 Du jour au lendemain, Jean-Marie Straub & Danièle Huillet, P86 Dumb and Dumber, Peter et Bobby Farrelly, p65 Dynasty, Mai Cheung Chang, p37
L Le Labyrinthe, William Cameron Menzies, p38 Lady Macbeth sibérienne, Andzej Wajda, p72 Les Larmes amères de Petra Von Kant, Rainer Werner Fassbinder, p78 The Last Shadow, Robert Altman, p92 Laurel et Hardy au Far West, James W.Horne, p25 Laurel et Hardy, chefs d’ilôts, p24 Laurel et Hardy conscrits, p24 Laurel et Hardy en croisière, Gordon Douglas, p25 et 51 Laurel et Hardy toréadors, Malcolm St Clair, p25 Leoni al sole, Vittorio Caprioli, p18 La Lettre, Manoel de Oliveira, p89 La Ligne d’ombre, Andzej Wajda, p72 Le Livre noir, Anthony Mann, p89 Loin du Brésil, Tilly, p88
K Kanal, Andzej Wajda, p71 Katyn, Andzej Wajda, p71 Les Kidnappeurs, Philip Leacock, p89 Korczak, Andzej Wajda, p71
J Je rentre à la maison, Manoel de Oliveira, p108 Jesse James vs The Daltons, William Castle, p38 La Jeune Fille au carton à chapeau, Boris Barnet, p88 Les Jeunes maris, Mauro Bolognini, p19 John John, Brillante Mendoza, p93 Les Joies du mariage, George Marshall et James Parrott, p25 Les Joyeux compères, Charles Rogers et Lloyd French, p25
I If You Knew Susie, Gordon Douglas, p50 I Love You Philip Morris, Glenn Ficarra et John Requa, p63 Inferno, Roy Baker, p37 Intrigue sous les tropiques, William Castle, p37 Invasion fantastique sur la planète terre, Arch Oboler, p38 I Was A Communist For the Fbi, Gordon Douglas, p51
H Hantise, George Cukor, p87 Harlow, la blonde platine, Gordon Douglas, p50 Histoires romaines, Gianni Franciolini, p19 L’Homme à la caméra, Dziga Vertov, p87 L’Homme au masque de cire, André de Toth, p36 L’Homme de fer, Andzej Wajda, p70 L’Homme de Londres, Bela Tarr, p93 L’Homme de marbre, Andzej Wajda, p70 L’Homme de Rio, Philippe de Broca, p87 L’Homme du Nebraska, Fred F.Sears, p37 L’Homme qui rit, Paul Leni, p88 L’homme qui tua la peur, Martin Ritt, p88 L’Homme sans âge, Francis Ford Coppola, p108 Horton, Jimmy Hayward et Steve Martino, p65
Le Guerrier de l’espace : aventures en zone interdite, Lamont Johnson, p37
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P Panique à Needle Park, Jerry Schatzberg, p89 Panique sur la ville, Harmon Jones, p39 Pan Tadeusz, Andzej Wajda, p73
O On demande un assassin, Ernst Neubach, p89 L’Or des mers, Jean Epstein, p89 Ossos, Pedro Costa, p57 Où gît votre sourire enfoui ?, Pedro Costa, p57
N Nastaja, Andzej Wajda, p73 Les Naufragés de la D17, Luc Moullet, p89 Ne Change rien, Pedro Costa, p57 Nevadan, Gordon Douglas, p51 Noblesse oblige, Robert Hamer, p88 Les Noces, Andzej Wajda, p73 Le Nombre 23, Joel Schumacher, p64 Notre pain quotidien, King Vidor, p88 Les Nouvelles aventures du Capitaine Blood, Gordon Douglas, p51 La Nuit des adieux, Jean Dréville & Isaac Michalovitch Menaker, p88
Meurtres à la Saint-Valentin, Patrick Lussier, p38 Millenium Mambo, Hou Hsiao Hsien, p108 Mr Soft Touch, Gordon Douglas, p50 Moana, Robert Flaherty, p88 Montag, Ulrich Köhler, p92 Les Montagnards sont là, John G.Blystone, p26 La Montagne magique, Hans W. Geissendörfer, p78 Le Montreur d’ombres, Arthur Robison, p88 Le Mur, Serge Roullet, p89 Le Mur invisible, Elia Kazan, p89 Le Mystère Picasso, Henri-Georges Clouzot, p89
M Made in Germany and USA, Rudolf Thome, p78 Mademoiselle personne, Andzej Wajda, p73 The Mad Magician, John Brahm, p39 La Madone des sleepings, Maurice Gleize, p88 Ma femme... homme d’affaires, Max de Vaucorbeil, p88 La Maîtresse de fer, Gordon Douglas, p50 Maîtres de ballet, Malcolm St Clair, p26 The Majestic, Franck Darabont, p65 Maman Küsters s’en va au ciel, Rainer Werner Fassbinder, p79 La Mandragore, Richard Oswald, p89 Man On the Moon, Milos Forman, p65 Mara Maru, Gordon Douglas, p50 Le Mariage de Maria Braun, Rainer Werner Fassbinder, p79 Marie pour mémoire, Philippe Garrel, p89 Martha, Rainer Werner Fassbinder, p79 The Mask, Charles Russell, p64-65 Le Masque, Julian Roffman, p39 Les Massacreurs du Texas, André de Toth, p39 Match d’amour, Busby Berkeley, p89 Mediterraneo, Gabriele Salvatores, p18 La Ménagerie de verre, Paul Newman, p78 Menteur, menteur, Tom Shadyac, p64 Mes chers amis, Mario Monicelli, p19 Le Météore de la nuit, Jack Arnold, p38 Le Métis, Allan Dwan, p88
S Sabato Italiano, Luciano Manuzzi, p18 Samson, Andzej Wajda, p73 Le Sang, Pedro Costa, p59 Sangaree, Edward Ludwig, p38 San Quentin, Gordon Douglas, p51 Sans anesthésie, Andzej Wajda, p73 Sans soleil, Chris Marker, p90 Les Sans-soucis, George Marshall, Raymond McCarey, p27 Saraband, Ingmar Bergman, p108 La Semaine sainte, Andzej Wajda, p73 Les Sept Voleurs de Chicago, Gordon Douglas, p51 Le Shérif de ces dames, Gordon Douglas, p50 Shotgun Stories, Jeff Nichols, p93 Sicilia !, Jean-Marie Straub et Danièle Huillet, p59 Silent Madness, Simon Nuchtern, p39 6 Bagatelas, Pedro Costa, p59 Les Soldats vierges, John Dexter, p90 Le Soleil, Alexandre Sokourov, p108 Solidarnos, Solidarnosc…, Andzej Wajda, p72 Solitude, Paul Fejos, p91 Les Sorciers innocents, Andzej Wajda, p72
La Rencontre de Laurel et Hardy, Robert Youngson, p27 Redacted, Brian de Palma, p108 Requiem, Hans-Christian Schmid, p93 La Revanche des gueux, Gordon Douglas, p50 Revenge of the Shogun Women, Mai Chung Chang, p38 Rio Conchos, Gordon Douglas, p51 La Rivière de boue, Kôhei Oguri, p90 Le Roi et le clown, Lee Jun-ik, p92 Roulette chinoise, Rainer Werner Fassbinder, p80
R The Rabbit Hunters, Pedro Costa, p59 Rafles sur la ville, Pierre Chenal, p91 Les Raisins de la colère, John Ford, p91 Le Rapt du rapide 5, Gordon Douglas, p51 Les Rebelles du Missouri, Gordon Douglas, p50 Reckless, James Foley, p79
Q Quel pétard !, Monty Banks, p27 Quiz Show, Robert Redfort, p79
V, w, w, y, z Voyage au centre de la terre, Eric Brevig, p39 Western, Ferdinando Baldi, p39 Working Girl, Mike Nichols, p80 Yes Man, Peyton Reed, p64 Young At Heart, Gordon Douglas, p52 Venido a menos, Alejandro Azzano, p91 Les Zazous, Malcolm St Clair, p27 Zombies On Broadway, Gordon Douglas, p52
U Un amour en Allemagne, Andzej Wajda, p73 Un chapeau de paille d’Italie, René Clair, p90 Under The Cherry Moon, Prince, p80 Un fauve en liberté, Gordon Douglas, p52 Un jour, une bergère, Gus Meins et Charles Rogers, p26 Un officier de police sans importance, Jean Larriaga, p90 Un soir, un train, André Delvaux, p91 Useless, Jia Zhang Ke, p93 La Vengeance, Andzej Wajda, p73 Les Vitelloni, Federico Fellini, p19
Le Trésor des sept collines, Gordon Douglas, p52 Triplepatte, Raymond Bernard, p91 Les Trois Lumières, Fritz Lang, p91 Les Trois mariages de Laurel et Hardy, James W.Horne et James Parrott, p26 The Truman Show, Peter Weir, p64 Tu es mon fils, Luigi Comencini, p91 Le Tueur, Denis de la Patellière, P91 Tueurs de dames, Alexander Mackendrick, p90
T Tabou, Robert Flaherty et Friedrich Wilhelm Murnau, p91 Tarrafal, Pedro Costa, p59 Tatarak, Andzej Wajda, p70 Le Temps de la grande promesse, Andzej Wajda, p72 Le Temps de l’innocence, Martin Scorsese, p80 Temps sans pitié, Joseph Losey, P91 Terre en transe, Glauber Rocha, p90 Têtes de pioche, John G.Blystone, p26 Those Redheads From Seattle, Lewis R.Foster, p38 Three Times, Hou Hsiao Hsien, p108 Tiens bon la rampe Jerry, Gordon Douglas, p51 Le Tigre du ciel, Gordon Douglas, p51 Tommy, Ken Russell, p90 Tony Rome est dangereux, Gordon Douglas, p52 Totte et sa chance, Augusto Genina, p90 Tout est à vendre, Andzej Wajda, p73 Tout refleurit, Aurélien Gerbault, p39 Le Trésor des quatre couronnes, Fernando Baldi, p38
des sept collines (1961), Joe Alves, coll CF, DR P54 Pedro Costa, DR P57 Le Sang (1989), Pedro Costa, DR ; Dans la chambre de Vanda (2000), Pedro Costa, DR P60 The Truman Show (1997), Peter Weir, coll CF, DR P63 I Love You Philip Morris (2008), Glenn Ficarra et John Requa ©Europa Corp; Bruce tout-puissant (2002), Tom Shadyac, coll CF, DR; Fous d’Irène (1999), Peter et Bobby Farrelly, coll CF ©20th Century Fox ; Ace Ventura en Afrique (1995), Steven Oedekerk, coll CF, DR P65 Ace Ventura détective chiens et chats, 1994, Tom Shadyac, coll CF, DR P66 Andrzej Wajda sur le tournage de son film Chronique des événements amoureux (1986), coll CF, DR P70 Cendres (1965), Andrzej Wajda, coll CF, DR ; Danton (1983), Andrzej Wajda, coll CF ©Gaumont ; Chronique des événements amoureux (1986), Andrzej Wajda, coll CF, DR ; Korczak (1990), Andrzej Wajda, coll CF, DR P75 Les Affranchis (1994), Martin Scorsese, coll CF ©Warner Bros P78 Les Larmes amères de Petra Von Kant (1977), Rainer Werner Fassbinder, coll CF © Carlotta ; Maman Küsters s’en va au ciel (1978), Rainer Werner Fassbinder, coll CF © Carlotta; Dracula (1992), Francis Ford Coppola ©Columbia ; After Hours (1985), Martin Scorsese, coll CF ©Warner Bros P84L’homme de Rio (1964), Philippe de Broca, coll CF © Fildebroc P92 Andalucia (2007), Alain Gomis © Eurozoom; La Belle personne (2008), Christophe Honoré ©Le Pacte P94 Fra Diavolo (1933), Hal Roach et Charles Rogers, coll CF, DR P100 Le site Nohzone, capture d’écran du site de Peter Whitehead ©Peter Whitehead P105 Wadley (2008), Matias Meyer © Matias Meyer P107 Sylvie Guillem © Sylvia Schildge
Couverture Man On the Moon (1999), Milos Forman, coll Kobal, ©Warner Bros P2 La Femme en ciment (1968), Gordon Douglas, coll CF, DR P6 Exposition Lanterne magique et film peint ©Stéphane Dabrowski / Cinémathèque française P14 Mes Chers amis (1975), Mario Monicelli, coll CF, DR P14 La Grande bouffe (1973), Marco Ferreri, coll CF ©Connaissance du Cinéma; Le Professeur (1972), Valerio Zurlini, coll CF, DR ; Les Jeunes maris (1958), Mauro Bolognini, coll CF, DR ; Accatone (1961), Pier Paolo Pasolini, coll CF, DR P20 Laurel et Hardy en croisière (1940), Gordon Douglas, coll CF, DR P23 C’est donc ton frère ! (1936), Harry Lachman, coll CF ©MGM P33 L’Etrange créature du lac noir (1954), Jack Arnold, coll CF ©Universal P36 Les Dents de la mer III (1983), Joe Alves, coll CF, DR ; L’Homme au masque de cire (1953), André de Toth, coll CF, DR ; Le Crime était presque parfait (1954), Alfred Hitchcock, coll CF, DR ; L’Etrange Noël de Mr Jack (1993), Tim Burton, ©Warner Bros P42 The Fiend Who Walked the West, 1958, Gordon Douglas ©20th Century Fox P47 Les Sept Voleurs de Chicago (1964), Gordon Douglas, coll CF, DR ; Des Monstres attaquent la ville (1954), Gordon Douglas, coll CF ©Warner Bros; La Grande Menace (1948), Gordon Douglas, coll CF, DR ; L’Enquête (1965), Gordon Douglas, coll CF ©Paramount Pictures P53 Le Trésor
So This Is Love, Gordon Douglas, p50 Starchaser - The Legend of Orin, Steven Hahn, p39 The Stewardesses, Alf Silliman Jr, p39 Sur la piste des Comanches, Gordon Douglas, p50 Susie et les Baker Boys, Steve Kloves, p80
Les Loups dans la vallée, Gordon Douglas, p51 Le Lys brisé, David W. Griffith, p88
Pantalaskas, Paul Paviot, p90 Parasite, Charles Band, p39 Pauvres mais beaux, Dino Risi, p19 Paysage après la bataille, Andzej Wajda, p72 Pecan Pie, Michel Gondry, p64 Peggy Sue s’est mariée, Francis Ford Coppola, p64 Pension d’artistes, Gregory La Cava, p90 Le Pensionnat des petites salopes, Pierre B.Reinhard, p39 Pickpocket, Robert Bresson, p90 Polyester, John Waters, p91 Porto de mon enfance, Manoel de Oliveira, p108 Les Possédés, Andzej Wajda, p72 Poussières dans le vent, Hou Hsiao-hsien, p91 Le Premier Américain à Tokyo, Gordon Douglas, p51 Primary Colors, Mike Nichols, p79 Le Professeur, Valerio Zurlini, p18
crédits photos
Index des films
REMERCIEMENTS
LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE MUSÉE DU CINÉMA
Présidents d’honneur Claude Berri † Jean Rouch † Jean Charles Tacchella Membres d’honneur Sylvette Baudrot Jean-Pierre Beauviala Pierre Etaix Renée Lichtig † Claude Pinoteau Président Costa-Gavras Bureau Jean-Paul Rappeneau (Vice-président) Martine Offroy (Vice-présidente) Bruno Blanckaert (Trésorier) Jean-Michel Arnold (Secrétaire) Laurent Heynemann (Secrétaire)
51 rue de Bercy 75012 Paris www.cinematheque.fr 01 71 19 33 33
Administrateurs Olivier Assayas Pierre-André Boutang † Laurence Braunberger Alain Corneau Jacques Fieschi Nicole Garcia Pierre Grunstein Cédric Klapisch Marie Masmonteil Margaret Menegoz Sophie Seydoux Alain Sussfeld Gilles Jacob Nicolas Seydoux La BnF représentée par Bruno Racine La femis représentée par Marc Nicolas Les Archives de France représentées par Martine de Boisdeffre Le CNC représenté par Béatrice de Pastre L’EHESS représenté par François Weil
Personnalités qualifiées Bernard Blistène (Inspecteur général, Arts plastiques) Gaston Kaboré (Cinéaste) Bernard Latarjet Commissaire du gouvernement Véronique Cayla (Présidente du Centre national de la cinématographie et de l'image animée)
Dépôt légal, septembre 2009
114
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION / directeur général Serge Toubiana
COORDINATION Bernard Payen
En partenariat avec
Remerciements Hommage à Norman McLaren L’Office national du film du Canada (ONF) La Cinémathèque Québécoise Cinédoc Paris Films Coop
PROGRAMME Décembre 2009 - février 2010
CONCEPTION GRAPHIQUE Toan Vu-Huu (www.toanvuhuu.com) assisté de Pierre Lovati
Steiner, Studio Canal Image, Nicolas Tamagno, Maurice Tamago, TCM, Tosselli, Transit Film Gmbh, Eva Truffaut, Joséphine Truffaut, Laura Truffaut, C. Vaillant, Georges Van Parys, Hermann Warm, Warner Bros Entertainment Inc., Serguei Youtkevitch, J.S Zamecnik.
Prieure, Films Sans Frontières, Héliotrope, Actions-Théâtre du Temple, De Cecco. Laurel et Hardy En partenariat avec
LA PROGRAMMATION CINéMA Avec le mécénat de
contrôleur financier Marie-Françoise Rivet
La Cinémathèque française est une association de loi 1901 subventionnée par le Ministère de la culture et de la communication.
MUSÉE DE LA CINÉMATHÈQUE Avec le soutien de
Exposition réalisée grâce au mécénat de
Programmation Segundo de Chomon Remerciements Rosa Cardona et Mariona Bruzzo de la Filmoteca de Catalunya, Encarni Rus et Alfonso del Amo de la Filmoteca Española, Serge Bromberg de Lobster, Catherine Cormon et Mustafa Ozen du Nederlands Filmmuseum, Bryony Dixon du British Film Institute, Caroline Fournier de la Cinémathèque suisse, Béatrice de Pastre, Eric Le Roy, Driss Tsila et Eric Loné des Archives françaises du film.
115
FONDATEURS Henri Langlois Georges Franju Paul-Auguste Harlé Jean Mitry
Lanterne Magique et film peint, 400 ans de cinéma En coproduction avec
et de Isabelle Adjani, Abdul Alafrez, Jean-Jacques Annaud, Candadido Aragonez de Faria, ARIES, Association Chaplin, Association Frères Lumière, Atelier Faria, Guido Augusts, Simone Autant-Lara, Benoit Barbier, Adrien Barrère, Yves Barsacq, Sylvette Baudrot, Moidele Bickel, Mr Biggar, Michèle Bonnet, Philippe Boyer, Goran Bregovic, Jacques Burkhalter, Miriam Cendrars, Centre Pompidou, Patrice Chéreau, Roland Coudon, Edgardo Cozarinsky, Rogéro Duarte, Georges Dola, Danilo Donati, Vicking Eggelings, Mme Hafida El Alama, Filmmuseum de Berlin, Les Films d’Ici, Les Films Roger Leenhardt, Fischinger Archive, Claudine Fraenkel et Jacques Fraenkel, Raphael Freida, Friedrich W. Murnau Stiftung, Georges et Jean-Pierre Gottlob, Les Grands Films Classiques, Michel Grant, Robert Herlth, Bernard Herrmann, Otto Hunk, Ina, Robert Israel, Maurice Jaubert, M. Jemain, Naoko Kasikaki, Erich Kettelhut, Mme Keïko Kosugi, Joseph Koutachy, Joseph Kosma, Maurice Lalau, Bernard Lancy, Marie-Ange L’Herbier, Henri Leitner, Lobster Films, Vincent Lorant-Heilbronn, Man Ray Trust, Michel Michelet, Milestone Film and Video, MK2, Asta Nielsen, Jean de Paléologue dit Pal, Paramount, Pathé Patrimoine, Pathé Renn Prod., Pierre Grise Prod., Amédée Prevost, Mme Rabusson, Georges Redon, Ricciarni, Hans Richter, Jacques Rivette, Walter Rohrig, Manuel Rosenthal, Luc Roux, Philippe Royer, Bertina SchulzeMittendorf, SCP André Melies et Madeleine Malthète Méliès, Christopher Sharits, Carlo Siviero, Martial Solal, Cécile Starr, Max
Federico Fellini
En partenariat avec
Remerciements Hal Roach Library (Ellen Theg) Fox Hollywood Classics MGM-UA Lobster films Cinémathèque de Toulouse Cineteca del Friuli Gaumont-Télédis Le Cinéma en 3D En partenariat avec
Remerciements Bonner Kinemathek, George Eastman House, Academy Film Archive, Martin Scorsese Collection, Théatre du Temple. Cinémathèque de Bruxelles, National Film and Television Archive, Suomen Elokuva Arkisto, Les Archives françaises du film, Lobster, Sabucat Production, Fox USA, Park Circus, Hollywood Classic, Mr Stefan Droessler, Jeff Joseph
Remerciements Centro Sperimentale di Cinematografia-Cineteca Nazionale, Cineteca di Bologna, Mediaset-Cinema Forever, Muzeo Nazionale di Cinema di Torino, Cinecittà Holding, Cinémathèque Royale de Belgique,Tamasa Distribution, Pathé, Gaumont, Carlotta Films, Les Films du
Gordon Douglas En partenariat avec
Remerciements Action Cinémas - Théâtre du temple, Jean-Baptiste Garnero et les Archives françaises
Pedro Costa En partenariat avec
Remerciements Sara Moreira et l’ANIM, Capricci Films, Équation, Dominique Toulat et La Ferme duw Buisson, Fabienne Moris, Jean-Pierre Rehm et le FID Marseille, Bak Ildong et le Jeonju International Film Festival, Maurice Tinchant et Pierre Grise Distribution, Qualia Films, Thomas Ordonneau et Shellac et tout particulièrement Paulo Branco, Pedro Costa, Aurélien Gerbault et Valérie Massadian. Jim Carrey En partenariat avec
Metropolitan Filmexport, Paramount Pictures France, Walt Disney Studios Motion Pictures France, Warner Bros Pictures France. Andrzej Wajda En partenariat avec
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Une collection unique au monde
séance spéciales et avant-premières Merci de faire apparaitre au programme la projection de l’avant première du film « Le père de mes enfants » de Mia HansenLøve le lundi 7 décembre
Un musée qui présente l'histoire de la collecte et de la sauvegarde de notre patrimoine cinématographique.
Remerciements Les Films du Paradoxe, Rezo films, La fémis, Les Films du losange, Margaret Mengoz, Régine Vial
Remerciements Cinémathèque Québécoise, Lincoln Film Center, Filmoteca Narodowa, Polish TV, Polish Film Institute, Kinovista, Wajda School, voir-revoir Les Films du Losange, Films sans le cinéma contemporain Remerciements Frontières, Gaumont, Jeck Film. Ad Vitam, ASC Distribution, Bac Films, Épicentre Films, Michael Ballhaus Équation, Eurozoom, Memento En partenariat avec Films, Metropolitan FilmExport, Océan Films, Le Pacte, Shellac, Sophie Dulac Distribution et tout particulièrement Alain Gomis, Christophe Honoré et Philippe Ramos. cinéma bis En partenariat avec
Remerciements Actions/Théâtre du Temple, Carlotta, La Cinémathèque Universitaire, Ciné Sorbonne, Columbia, Gaumont, le Goethe Institut, SND, Tamasa, Twentieth Century Fox France, Warner. Histoire permanente du cinéma Remerciements Les Acacias-Cinéaudience, Action Cinémas-Théâtre du Temple, Arkeion, Connaissance du Cinéma, Columbia, Compagnie des Phares et Balises, Films sans frontières, Gaumont, Le Petit Bureau, Twentieth Century Fox, Les Grands Films Classiques, MK2, Pathé, Pierre Grise, Pom Films, Roissy films, Swashbuckler, Tamasa. Jeune public En partenariat avec
Remerciements La Cinémathèque Royale de Belgique, Columbia Tri Star, EuropaCorp Distribution, Twentieth Century Fox France,
Les Films du paradoxe, Action Partenaires officiels Théâtre du temple, Ciné Sorbonne, de la Cinémathèque Ciné Tamaris, Boomrang, UIP, française Light Cone, Lobster, Océan Film, la Cinémathèque Robert Lynen de la Ville de Paris
Remerciements Les distributeurs et ayant-droits :
Remerciements Daniel Cohen et le Festival européen du film fantastique de Strasbourg, Dirk Van Extergem et le Cinéma Nova, Warner Bros.
De fabuleux trésors : lanternes magiques, Cinématographe Lumière, objets culte (La tête de Mrs Bates de Psychose, le robot de Métropolis)...
Grand mécène de la Cinémathèque française
Le musée de la CINÉMATHÈQUE
L’Art du court métrage Remerciements L’Agence du court métrage, Les Archives françaises du film - CNC Archives Gaumont-Pathé, La Cinémathèque scolaire « Robert Lynen », Cinémathèque de Toulouse, Films de la Pléiade, Les Films d’ici, Michel ValioCavaglione, Artemis Productions, Institut Hongrois de Paris, Frédéric Benzaquen. histoire inattendue Remerciements Les Archives françaises du film - CNC, SACD, Les Editions René Château
Mai 2009 : à voir dans le nouvel espace du Musée de la Cinémathèque consacré à Jacques Demy : La « peau d’âne » portée par Catherine Deneuve dans le film éponyme, des maquettes de comédies musicales, des dessins, affiches… 117
du film –CNC, Fleur Buckley et le BFI, Gabrielle Claes et la Cinémathèque royale de Belgique, Régina Bölsterli et la Cinémathèque suisse, Christophe Gautier et La Cinémathèque de Toulouse, Marc Scheffen et la Cinémathèque de la Ville de Luxembourg, Columbia, Eduard Ferrer et Cooper Films, Catherine Gautier et la Filmoteca Española, Fox, Pat Doyen et George Eastman House, Géraldine Higgins et Hollywood Classics, Maëlle Arnaud et l’Institut Lumière, Rob Reiner et la Library of Congress, Maria Chiba, Serge Bromberg et Lobster Films, MGM, Anne Morra et The Museum of Modern Art, Rui Nogueira, Paramount Pictures, Eric Spilker et Spilker Films, Todd Wiener et UCLA Film and Television Archive, Warner Bros.
informations pratiques
horaires et tarifs des activités
LES FORMULES ET Tarifs
La Cinémathèque française Musée du cinéma 51, rue de Bercy 75012 Paris www.cinematheque.fr Informations 01 71 19 33 33
Exposition temporaire Exposition Temporaire Lanterne magique et film peint Plein tarif 7€ Tarif réduit * 6€ Moins de 18 ans 3,5 € Forfait Atout Prix 5€ Carte CinÉtudiant 5€ Libre Pass Accès libre Exposition + film ou Exposition + Musée Forfait 9 €
Cinéma Projections / Ciné Club Plein tarif 6,5 € Tarif réduit * 5€ Moins de 18 ans 3€ Forfait Atout Prix 4€ Carte CinÉtudiant 4€ Libre Pass Accès libre
libre pass 10 € par mois pour une durée minimale d’un an Le Libre Pass donne un accès libre* à toutes les séances et activités et à de nombreux privilèges.
Cinéma Bis Plein tarif Tarif réduit Forfait Atout Prix
Pour les événements sur réservation (signalés dans le programme), réservation à partir des dates indiquées au 01 71 19 32 39, sur place ou par mail libre-pass@cinematheque.fr
accès Métro Bercy, lignes 6 et 14 Bus n°24, 64, 87 En voiture A4, sortie Pont de Bercy Parkings 77, rue de Bercy Hôtel Mercure ou 8, boulevard de Bercy Billetterie Ouverture à 12h du lundi au samedi et 10h le dimanche (fermeture le mardi) Possibilité d’acheter vos billets à l’avance sur place et sur www.cinematheque.fr* La Cinémathèque sera fermée les 25 décembre 2009 et 1er janvier 2010, et fermera ses portes exceptionnellement à 17h le 24 décembre.
Groupes et collectivités Parcours, ateliers, visites guidées, carnets de billets Informations 01 71 19 33 66 Réservations 01 71 19 33 38 ACCESSIBILITÉ Bâtiment accessible aux personnes à mobilité réduite. Public mal entendant : Salle Langlois et audioguides du Musée équipés de boucles à induction, prêt de casques, VO sous titrées. * À l ‘exception des films programmés en salle Jean Epstein
librairie De 12h à 20h30, nocturne jusqu’à 22h le jeudi, dimanche ouverture à 10h, lundi de 12h à 19h. Fermeture le mardi. LE MUSÉE DE LA Cinémathèque Collections permanentes Plein tarif 5€ Tarif réduit * 4€ Moins de 18 ans 2,5 € Forfait Atout Prix 3,5 € Carte CinÉtudiant 3,5 € Libre Pass Accès libre Musée + film Forfait 7€ Entrée libre les dimanches de 10h à 13h Horaires du musée et des expositions Du lundi au samedi de 12h à 19h, fermeture le mardi Nocturne Exposition Lanterne Magique le jeudi jusqu’à 22h et dimanche de 10h à 20h Audioguide pour visiter les collections permanentes. 4 langues (français, anglais, allemand, espagnol) Disponible gratuitement avec le billet d’entrée. Pré-ventes magasins FNAC, Carrefour, 0 892 684 694 (0.34 € TTC/min), www.cinematheque.fr, www.fnac.com.
9€ 6,5 € 5,5 €
Du lundi au dimanche Fermeture le mardi * Bénéficiaires des tarifs réduits : moins de 26 ans, demandeurs d’emplois, plus de 60 ans, détenteurs d’une carte abonnement annuel à la Bibliothèque du film, personnes participant à plusieurs activités le même jour.
Conférences, leçons de cinéma, Dialogues, journées d’étude Plein tarif 4€ Tarif réduit 3€ Forfait Atout Prix 2,5 € Carte CinÉtudiant 2,5 € Libre Pass Accès libre Bibliothèque du film Cartes journalières 3,5 € Forfait Atout Prix * 2,5 € Libre Pass Accès libre Médiathèque Du lundi au vendredi, de 10h à 19h (fermeture le mardi) et le samedi de 13h à 18h30 Espace chercheurs et Iconothèque sur RDV, lundi, mercredi, jeudi de 13h à 18h et vendredi de 10h à 18h Centre d’information à distance 01 71 19 32 32 Pour les lycéens et les apprentis de la Région Ile-de-France, les Tick’arts sont acceptés aux caisses de la Cinémathèque pour le cinéma et les expositions.
* Billets délivrés 1h avant chaque séance dans la limite des places disponibles (Un quota est réservé pour les Libre Pass)
le forfait atout prix 30 € 30 € de crédit à utiliser en toute liberté, seul ou accompagné pour bénéficier de 30% de réduction sur l’ensemble des activités.
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Des formules pour tous les rythmes La Cinémathèque sans compter ! Le Libre Pass 10€ par mois accès libre à toutes les séances et activités * ainsi qu’à de nombreux privilèges 5% de réduction à la librairie, invitations à des avantpremières, places réservées pour les soirées spéciales et rencontres, réception du programme à domicile, informations par mail et réductions chez nos partenaires. * dans la limite des places disponibles et à l'exception des stages pratiques.
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Carte amortie à partir de deux séances par mois.
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Possibilité d'acheter les billets à l'avance sur internet et d'utiliser la carte en famille ou entre amis. La carte Cinéfilou gratuite Carte réservée aux moins de 12 ans permettant de cumuler des points pour gagner des entrées et profiter des nombreux filons du Cinéfilou.
La carte CinÉtudiant 9 € Carte trimestrielle réservée aux étudiants ou aux moins de 26 ans offrant l’accès libre à la Bibliothèque du film*, 30% de réduction pour les autres activités de la Cinémathèque et de nombreux avantages. La carte de la Bibliothèque du film 34 € 15 € (-26 ans, étudiants ou enseignants). Carte d’abonnement annuel offrant l’accès libre à la Bibliothèque du film et permettant de bénéficier du tarif réduit pour les autres activités de la Cinémathèque.
la carte cinétudiant 9 € Carte trimestrielle réservée aux étudiants ou -26 ans donnant droit à un accès libre à la Bibliothèque, à 30% de réduction pour les autres activités de la Cinémathèque.
BULLETIN DE SOUSCRIPTION
carte d'abonnement annuel à la bibliothèque du film 34 € Pour les -26 ans, étudiants ou enseignants 15 €
Libre Pass réglé par prélèvements automatiques bancaires de 10 € /mois pour une durée minimale de douze mois (incluant une fermeture au mois d’août non facturée). Le premier prélèvement intégrera 9,80 euros de frais de dossier. Joindre autorisation de prélèvement complétée + RIB ou RIP + photo d’identité.
carte cinéfilou Moins de 12 ans Carte gratuite permettant de cumuler des points pour gagner des entrées.
Libre Pass pour une durée fixe de douze mois,
Conditions d’abonnement pour le Libre Pass et bulletins d’abonnements téléchargeables sur notre site www.cinematheque.fr
Formule Choisie Forfait atout Prix 30 €, réglé par chèque.
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C arte de la Bibliothèque du film, 34 € réglée par chèque (a). Joindre une photo d’identité. Carte de la Bibliothèque du film, tarif étudiant
ou enseignant, 15 € réglée par chèque (a). Joindre un justificatif statut étudiant ou enseignant + une photo d’identité. Carte trimestrielle Cinétudiant, 9 € réglée par chèque (a).
Joindre un justificatif statut étudiant ou moins de 26 ans + une photo d’identité. Carte Cinéfilou pour les moins de 12 ans, carte gratuite. Joindre justificatif + une photo d’identité.
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(a) chèque à l’ordre de la Cinémathèque française
BULLETIN DE SOUSCRIPTION À retourner avec votre règlement et votre photo d’identité (sauf pour le Forfait Atout Prix) à la Cinémathèque française - Direction des relations avec le public - 51 rue de Bercy - 75012 Paris
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