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Les raccords à sertir les plus éprouvés et fiables pour l’industrie du CVC/R

Largement utilisé depuis 2015

Approuvé NEC et homologué UL

Plus de 15 millions de raccords installés

Faites confiance aux raccords à sertir CVC/R d’origine pour une fiabilité qui a fait ses preuves et un historique de succès inégalé. Notre technologie à double joint de sertissage circulaire brevetée permet de réaliser deux raccordements métal sur métal à 360°, créant un joint mécanique permanent qui élimine tout chemin de fuite, et ce, à tous les coups! De plus, des mâchoires compatibles RLS sont offertes pour toutes les grandes marques d’outils de sertissage.

• Se raccorde en 10 secondes

• Approuvé NEC 0A22551 et 0A18303

• Homologué UL jusqu’à 700 psi

• Raccordements métal sur métal à 360°

• Aucun gaz ni matériau de soudage

• Aucun permis de feu

• Pas d’observateur d’incendie

• Pas de purge à l’azote

• Garantie limitée de 15 ans

19 et 20 avril 2023

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Devenez un installateur RLS certifié rapidlockingsystem.com du réseau, quelle que soit la direction d’écoulement du frigorigène. Un filtredéshydrateur bidirectionnel est donc requis (voir Figure 4 ).

Un écoulement bidirectionnel est obtenu par l’intermédiaire d’une série de clapets antiretour à chaque extrémité du filtre-déshydrateur. Ces derniers permettent au frigorigène d’entrer par l’un ou l’autre des raccords, le laissent s’écouler de l’extérieur du noyau vers l’intérieur, puis le laissent sortir par le raccord opposé.

Filtre-déshydrateur d’aspiration –Dans le cas d’un réseau fortement contaminé, où un filtre-déshydrateur d’aspiration est nécessaire pour aider l’élimination des contaminants, le seul emplacement pour celui-ci est entre la sortie de la vanne d’inversion à quatre voies et l’entrée du compresseur. Compte tenu de l’espace limité entre ces deux composants, un filtredéshydrateur d’aspiration standard s’avère trop gros pour être raccordé. Un modèle « à membrane » doit donc être utilisé (voir Figure 5 ). Vous remarquerez la présence de raccords d’accès Schrader sur l’entrée et la sortie. Ils servent à surveiller la chute de pression à travers le filtredéshydrateur.

Dispositif de dilatation – Le serpentin intérieur et le serpentin extérieur nécessitent tous deux un détendeur. Les détendeurs thermostatiques standard (TEV) ne convenant pas au débit inversé, ils doivent être raccordés en parallèle avec un clapet antiretour. Cette configuration de tuyauterie permet (1) au frigorigène liquide d’entrer dans le TEV lorsqu’un serpentin est utilisé comme évaporateur, et (2) au liquide condensé de sortir du serpentin (par le clapet antiretour) lorsqu’un serpentin est utilisé comme condenseur.

Il existe également des TEV spéciaux à « flux inversé » avec clapets antiretour internes. Le clapet antiretour interne fournit un chemin d’écoulement inverse (liquide entrant par la sortie de la vanne, s’écoulant vers l’orifice du TEV par le clapet antiretour, puis s’écoulant dans la conduite de liquide commune) lorsque le serpentin est utilisé comme condenseur. Dans les thermopompes monoblocs, où il y a une distance minimale entre le serpentin intérieur et celui extérieur, un détendeur électronique (EEV) peut être utilisé dans la conduite de liquide commune.

G Othermie

Pendant des années, lorsque le terme « thermopompe » était utilisé, on parlait du type de thermopompe (conventionnelle) décrit ci-dessus, à savoir équipé d’un compresseur, de serpentins (intérieur et extérieur), d’une forme de dispositif de dilatation pour chaque serpentin et d’une vanne d’inversion à quatre voies raccordée entre la sortie du compresseur et l’entrée du serpentin extérieur.

Au fil des ans, les thermopompes ont fait des progrès qui leur ont permis de fonctionner plus efficacement et sur une plage de températures plus étendue en hiver. Outre les modèles à source d’air, il y a aussi les modèles géothermiques qui utilisent l’eau souterraine ou l’eau de surface comme moyen de transfert thermique du serpentin extérieur : dissipateur de chaleur en mode de refroidissement ou source de chaleur en mode de chauffage.

L’eau souterraine située à une profondeur de 5 à 10 pi restera à une température assez constante toute l’année. De même, l’eau des aquifères souterrains et l’eau des nappes de surface resteront à une température assez constante (bien qu’une profondeur légèrement supérieure soit nécessaire pour les nappes de surface).

Cette condition contraste avec l’écart de température de l’air ambiant extérieur pouvant atteindre près de 100 °F entre l’été et l’hiver. Cela offre deux avantages pour le fonctionnement de la thermopompe :

• En mode chauffage – La température constante de l’eau souterraine fournira une charge thermique constante pour le serpentin extérieur, permettant une charge suffisante sur le compresseur pour générer un débit massique et une chaleur de compression suffisants pour fournir une source constante de chaleur à la zone conditionnée.

• En mo de climatisation – La température relativement basse de l’eau utilisée comme moyen de transfert thermique pour le serpentin extérieur (condenseur) entraînera des pressions de refoulement plus faibles par rapport à un condenseur refroidi à l’air en plein été. Cela se traduit par une plus grande capacité du compresseur, une consommation électrique réduite et vraisemblablement une cote de rendement saisonnier SEER plus élevée. Il existe différentes méthodes pour utiliser l’eau d’une source souterraine : en boucle fermée et en boucle ouverte.

Boucle fermée – Il s’agit d’une application où le serpentin extérieur est enfoui dans la terre sous la ligne de gel. La terre ou l’eau souterraine est utilisée comme source/dissipateur de chaleur. Essentiellement, le serpentin extérieur prend la forme d’un échangeur de chaleur vertical ou horizontal enterré dans le sol. Les échangeurs de chaleur horizontaux nécessitent beaucoup plus de surface de terrain, mais étant donné qu’ils ne sont pas enterrés aussi profondément que les échangeurs de chaleur verticaux, ils sont moins coûteux à installer. Les configurations de tuyauterie les plus courantes utilisent deux tuyaux (un enterré à environ quatre pieds et l’autre enterré à environ six pieds) ou deux tuyaux côte à côte à environ cinq pieds de profondeur.

Les échangeurs de chaleur verticaux sont normalement utilisés sur les grands bâtiments où l’absence de terrain rend pratiquement impossible l’enfouissement d’un échangeur de chaleur horizontal. Les échangeurs verticaux sont construits en polyéthylène et ils sont enterrés dans des trous forés d’environ 100 à 400 pi de profondeur, situés à environ 20 pi l’un de l’autre. Chaque trou accueille deux tuyaux verticaux reliés au fond par un coude en U, formant ainsi une boucle. Chaque boucle verticale est raccordée à un collecteur puis à la thermopompe.

Des échangeurs de chaleur à eau de surface peuvent être utilisés si l’emplacement dispose d’un plan d’eau de taille adéquate. Les exigences minimales pour le volume et la profondeur du plan d’eau dépendent de la capacité en BTU de la thermopompe. Dans les climats plus froids, l’eau doit être d’une profondeur suffisante pour que l’échangeur de chaleur se trouve bien en dessous de la ligne de gel. De plus, la qualité de l’eau doit satisfaire certaines spécifications minimales.

Boucle ouverte – Imaginez un système équipé d’un condenseur refroidi à l’eau alimenté par une source d’eau à 60 °F sans fin. Cette caractéristique élimine le besoin d’une tour de refroidissement pour transférer la chaleur de l’eau du condenseur. Ou encore, imaginez un refroidisseur alimenté par cette même source sans fin. La température de l’eau diminuera de 10 °F dans l’échangeur de chaleur du refroidisseur. En outre, en raison de l’approvisionnement continu en eau, il n’est pas nécessaire qu’un ventiloconvecteur absorbe la chaleur vers l’eau réfrigérée.

Voilà l’essence même d’un réseau en boucle ouverte : un approvisionnement inépuisable en eau, agissant à la fois comme dissipateur thermique pour la climatisation et comme charge thermique pour le chauffage. Une pompe alimentera en eau l’échangeur de chaleur de la thermopompe. Puisqu’il s’agit d’un approvisionnement sans fin, l’eau est simplement pompée à travers l’échangeur de chaleur, puis vers un autre endroit séparé de la source d’eau.

Un inconvénient de cette méthode est qu’il pourrait y avoir un problème d’encrassement de l’échangeur de chaleur selon la condition de l’eau. Au fur et à mesure que l’encrassement augmente, cela entraînera alors une réduction de l’efficacité du processus.

Dans les applications commerciales plus importantes, des systèmes hybrides peuvent être utilisés en présence d’équipements de réfrigération utilisant des condenseurs refroidis à l’eau (avec une tour de refroidissement). Ces systèmes fourniraient un approvisionnement en eau à longueur d’année pour combler les besoins de charge thermique de la thermopompe en hiver et de dissipation de la chaleur en été.

Avec le virage de la décarbonisation et le passage à l’électrification, il est préférable d’en savoir plus sur la façon dont ces systèmes fonctionnent et peuvent répondre aux besoins de vos clients.

Dave Demma détient un diplôme d’ingénieur en réfrigération. Il a travaillé comme technicien avant de joindre le secteur manufacturier, où il entraîne régulièrement des groupes d’entrepreneurs et d’ingénieurs.

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