BILAN WETLANDS INTERNATIONAL « OISEAUX D’EAU EN JANVIER » 2015 I - Introduction Nous avons recensé 347 463 oiseaux en janvier 2015 (Graphique 1), soit un effectif qui se situe dans la moyenne des 5 années qui ont précédé (Tableau 1). Nous le devons au bon état de conservation de quelques espèces, au phénomène de résilience qui fait suite aux hivers particulièrement rudes que nous avons connus au début de cette décennie, et à l’excellente couverture dont bénéficie cette enquête, car la météo clémente de ce mois de janvier n’a donné lieu à aucun afflux ou presque. Cependant, plus de 15 % des espèces recensées ont établi un nouveau record historique, dont : la grande aigrette (208), l’aigrette garzette (1 544), le héron garde-bœufs (426), la cigogne blanche (115), la spatule blanche (50), à la faveur de l’enquête portant sur les ardéidés aux dortoirs ; le cygne tuberculé (1 457) ; la bernache cravant (16 993) ; le grand labbe (24) ; la sterne caugek (194).
Graphique 1 : Nombre d'oiseaux recensés annuellement (1986-2015)
Sachez également que nous étions 114 en janvier pour couvrir cette enquête, dont au moins 18 professionnels. Nous avons parcouru 8 750 km dont 6 650 à titre gratuit, consacré 570 h de notre temps dont 1/3 salarié, soit une valorisation du bénévolat estimée à 11 000 €.
II – Bilan GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
1
La baie du Mont-Saint-Michel, que nous partageons avec nos voisins bretons, a accueilli 36,80 % de ce total ; viennent ensuite : l’estuaire de Seine (9,24 %), la baie des Veys (7,30 %), les marais du Cotentin et Bessin (6,91 %), la côte ouest de la Manche (6,64 %), le littoral Seino-marin (6,06 %), les marais de la Dives (6,04 %), la côte Est du Cotentin (4,09 %), la vallée de la Seine (2,74 %), le Pays de Bray (1,99 %), la baie d’Orne (1,68 %), le littoral Augeron (1,35 %), le Pays de Caux (1,27 %), la côte nord du Cotentin (1,05 %), la vallée de la Risle (1,03 %), la côte de Nacre (1 %), pour les principaux sites fonctionnels (figure 2).
Carte 1 : Répartitions des effectifs globaux en janvier 2015
Des conditions d’accueillent spécifiques à travers la Normandie décident de la répartition des espèces (tableau 1). Ainsi, la Seine-Maritime joue un rôle prépondérant pour les oiseaux marins (Carte 2) ; le département de la Manche pour les anatidés, hormis les canards plongeurs d’eau douce (Carte 3), et les limicoles (Carte 4) ; les foulques et les fuligules se distribuent préférentiellement entre l’Eure et la Seine-Maritime (Carte 5).
ESPECE
14
27
50
61
76
TOTAL
GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
Moyenne 2010-2014 2
Plongeons Grèbes Autres palmipèdes Ardéidés Anatidés de surface Canards plongeurs Rapaces Rallidés Limicoles Laridés Alcidés Total
77 1493 1494 470 4870 1434 12 2241 20609 10449 453 43602
6 885 611 650 7062 1655 25 6299 8973 15419 10 41595
24 413 1624 1486 43313 6499 57 2029 95521 69334 82 220382
0 56 282 73 2081 98 0 471 2499 49 0 5609
540 647 2868 5715 4999 9010 186 2865 2204 59530 1614 11300 0 94 6908 17948 161 127763 14745 109996 1947 2492 36172 347360
278 8576 10570 1465 52779 16249 125 19548 143667 97352 2800 353409
Tableau 1 : Répartition départementale par groupe en 2015
Carte 2 : Répartition des plongeons, grèbes, alcidés et autres palmipèdes en janvier 2015
GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
3
Carte 3 : Répartition des anatidés en janvier 2015
Carte 4 : Répartition des limicoles en janvier 2015
GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
4
Carte 5 : Répartition des grands échassiers et des rallidés en janvier 2015
RDV le WE du 16-17 janvier 2016 pour la 50ème édition de cette enquête ! Merci aux animateurs départementaux et à la centaine de correspondants locaux qui font le succès de cette enquête, démontrant ainsi notre capacité à nous mobiliser pour la protection des oiseaux et de leurs milieux. Nul doute qu’il en serait autrement si vous n’étiez pas là pour recueillir ces indicateurs ! Coordonnées des animateurs départementaux : -
Calvados : Robin Rundule robinrundle@free.fr 02 31 97 06 46
-
Eure : Christian Gérard botaurus1@aol.com 02 32 35 48 86
-
Manche : Bruno Chevalier bruno-chevalier@neuf.fr 02 33 50 01 93
-
Orne : Stéphane Lecocq ste.lecocq@wanadoo.fr 02 33 96 15 78
-
Seine-Maritime : Fabrice Gallien fabrice.gallien@wanadoo.fr 02 31 43 52 56 Bruno Chevalier
GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
5
LES RECENSEMENTS D’OISEAUX D’EAU : DU BIRS AU BIROE ET A WI. UNE HISTOIRE DEJA LONGUE ! (Roger Mahéo, délégué national (scientifique) auprès de W.I, 1976-2001) Depuis de nombreuses années déjà, la communauté ornithologique parle du « wetlands » comme l’incontournable rendez-vous du mois de janvier. Petit rappel : pourquoi compter les oiseaux d’eau au mois de janvier ?. Des réflexions et débats engagés pour obtenir une bonne connaissance de la taille et de la répartition géographique de chaque population d’oiseaux d’eau, le choix du mois de janvier s’est imposé pour plusieurs raisons : - difficulté majeure de compter les couples nicheurs dispersés dans l’immensité de l’aire intercontinentale de reproduction; - relative stabilité spatiale entre la fin de la migration post-nuptiale en début d’hiver et les premiers mouvements de remontée sensibles dès la fin-janvier/février; - taille des effectifs à leur minimum. En effet, les effectifs de chaque population présentent un pic d’abondance après la saison de reproduction (recrutement 1 ère année); les oiseaux subissent ensuite une mortalité naturelle (à laquelle s’ajoutent les prélèvements cynégétiques) variable pendant la migration post-nuptiale et le début de l’hivernage. Les effectifs comptés au mois de janvier représentent donc le stock qui va assurer la pérennité des populations. L’historique de la création et du développement des comptages sera décrit au niveau international puis décliné au niveau national. Organisation des comptages au niveau international - En 1948, le CIPO (Conseil International pour la Préservation des Oiseaux), constatant le déclin assez rapide des populations d’oiseaux d’eau, créé l’IWRI (International Wildfowl Research Institute) .. Objectif : stimuler et coordonner la coopération internationale dans les domaines de la recherche et de la conservation des oiseaux d’eau migrateurs et hivernants et de leurs habitats, les zones humides. Cet Institut, basé au British Museum/Londres est dirigé par E.Hindle. - En 1954, le CIPO, en coopération avec le Wildfowl Trust/GB, décide de remplacer l’IWRI par l’IWRB (International Wilfowl Research Bureau, E.Hindle étant nommé directeur. - De 1961 à 1968, le siège de l’IWRB est transféré à La Tour du Valat/F, L.Hoffmann devenant directeur. - De 1969 à 1996, le siège est transféré à Slimbridge/GB, avec pour directeur GVT Matthews jusqu’en 1988, puis M.Moser. - 1996 : création de WI (Wetlands International), structure intégrant Asian Wetland Bureau + Wetlands for the Americas + International Waterfowl Wetlands Bureau. WI entretient des partenariats avec UICN, WWF, Bird Life International et les secrétariats de la convention de Ramsar et de la convention de Bonn. - 1997 : le siège de WI est transféré à Wageningen/NL Signalons que le conseil exécutif de l’IWRB, constatant que compte tenu de son développement international, les termes « wilfowl/sauvagine », « waterfowl/gibier d’eau » ayant des significations différentes selon les régions du monde, décide de modifier l’intitulé de l’organisme : - 1970 : International Wildfowl Research Bureau devient International Waterfowl Research Bureau - 1981 : pour les pays francophones, le Bureau International de Recherches sur la Sauvagine GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
6
devient le Bureau International de Recherches sur les Oiseaux d’Eau. - 1987 : International Waterfowl Research Bureau devient International Waterfowl Wetlands Research Bureau. L’IWRB privilège au départ le suivi des Anatidés dans une démarche de coopération internationale. Différents groupes de travail seront progressivement créés (on en comptera 23 en 1992), dont : - 1954 : GT « Anatidés-Foulques » - 1960 : GT « Oies » - 1965 : GT « Limicoles » .. Pour ne citer que les premiers ! Parallèlement au développement des Groupes Spécifiques, citons 2 dates importantes : - 1962 : création du Bureau MAR (partenariat UICN-CIPO-IWRB) en vue d’identifier et de caractériser les zones humides d’importance majeure; - 1971 : signature de la convention de Ramsar relative aux zones humides d’importance internationale, particulièrement comme habitat des oiseaux d’eau. (la France ratifie la convention en 1986, en désignant un site, la Camargue .. 43 sites sont maintenant désignés). L’augmentation du nombre de pays membres de l’IWRB et la densification du réseau des sites comptés permet un fonctionnement à l’échelle du paléarctique occidental à partir de 1967. C’est à cette date que sont présentées les premières synthèses portant sur la distribution numériqe des oies, canards, limicoles. Ces résultats permettent d’estimer la taille de chaque population d’oiseaux d’eau et d’identifier les sites majeurs à l’échelle du paléarctique occidental. Ces chiffres permettent aussi de définir des critères d’importance internationale (seuil 1% de l’effectif total estimé = critère 6 de la convention de Ramsar) ou national (1% de l’effectif présent en France). Il convient de mentionner notamment : 1974 : GL Atkinson-Willes : The numerical distribution of ducks, swans and coots as a guide in assessing the importance of wetlands in mid-winter. 1974 : AJ Prater : The distribution of costal waders in Europe and North Africa Remarque : une version française de ces 2 documents est publiée en 1976 dans le Bull.ONC, Spécial n°6 1987 : A Rüger, C Prentice, M Owen : Résultats des dénombrements internationaux d’oiseaux d’eau du BIROE, 1967-1983 (version française : IWRB Special Publ. N°6-F) 1989 : JY Pirot, K Laursen, J Madsen, JY Monval : Population estimates of swans geese, ducks and Eurasian coot in the westerne paléarctique and sahelian Africa. 1989 : CJ Smit, T Piersma : Numbers, midinette distribution and migration of wafer populations using the East Atlantic flyway. 1994 : PA Rose, DA Scott - Waterfowl Population Estimates. 1997 : PA Rose, DA Scott : Waterfowl Population Estimates, 2nd édition 2002 : WI Ed : Waterbird Population Estimates, 3è édition 2006 : WI Ed : Waterbird Population Estimates, 4è édition 2012 : WI Ed : Waterbird Population Estimates, 5è édition France métropolitaine Les délégués nationaux auprès de W.I. sont désignés par le Ministère de l’Environnement (mandat de 4 ans renouvelable) à partir de 1975. - 1954-1973 : M.de Coniac (UNFDCC) et J.Penot (SNPN) ont participé au conseil exécitif dès la création du BIRS. GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
7
- 1973-1976 M.de Coniac et B.des Clers (Fondation Internationale pour la sauvegarde du gibier). - 1976-1986 : M.de Coniac et R.Mahéo (Université de Rennes I) - 1986-2001 : P.Havet (ONCFS) et R.Mahéo - 2001 : partant en retraite, R.Mahéo ne demande pas le renouvellement du mandat. Remplacé par G.Barnaud (MNHN) La mission du délégué national (scientifique) a pour objet : - la coordination des groupes de recherches Anatidés-Foulques (à partir de 1976), Limicoles côtiers (à partir de 1977), Bernaches (à partir de 1977), Oies grises (de 1981 à 1991), Avocettes (à partir de 1993); - l’animation du réseau « oiseaux d’eau » (envoi des circulaires, collecte des fiches de recensement, contrôle des fichiers de saisie). Ce réseau est constitué par les coordinateurs régionaux et/ou départementaux au sein de chaque groupe ornithologique - la diffusion des bilans annuels, Limicoles côtiers, Bernaches, Oies grises (1981-1991), avocettes, ainsi qu’un condensé des rapports de convention Anatidés-Foulques de 1979 à 1985 (Ministère de l’Environnement/CRBPO) puis de 1996 à 2008 (Ministère de l’Environnement/LPO) en raison de l’importance des frais d’expédition des documents entiers. Le développement de l’ornithologie de terrain au cours des années 1950 permet l’émergence de groupes ornithologiques à coté de la SEO et de la SOF, notamment le GJO, pionnier des enquêtes de terrain, notamment concernant les anatidés et limicoles. C’est la sévère vague de froid de l’hiver 1962-63 qui a déclenché la prise de conscience d’une nécessaire organisation des comptages hivernaux à l’échelle nationale afin d’identifier les sites importants pour l’accueil des canards et limicoles en hivernage. Les comptages : de la collecte des chiffres à la compilation des données et à la publication des bilans : Concernant les Anatidés, les premiers résultats sont publiés en 1963 (Roux & Spitz coord), puis chaque année, Spitz & Roux, 1964, Spitz, 1964 (limicoles), Spitz, 1965, Roux, Spitz & Tamisier, 1967, Spitz, 1967 (limicoles), Brosselin, Roux & Tamisier, 1968, Roux & Tamisier, 1969. 1967 : Le réseau WI/France s’organise véritablement à partir de cette date, avec plusieurs comptages mensuels (en plus de ceux du mois de janvier) : novembre (1970 à 1974), décembre (1966 à 1974), février (1975 à 1978), mars (1977 à 1981). M. Brosse lin (SNPN) organise la centralisation et la compilation des fiches de recensement pour Anatidés-Foulques .. Dont le nombre augmente en même temps que le nombre de sites visités. Dès le début des années 1970, une convention Ministère de l’Environnement/SNPN améliore les conditions de compilation et de préparation des bilans annuels. La France est alors découpée en 6 zones biogéographiques (nord-ouest, nord-est, ouest, centre, sud-ouest, midi). 1977 : T.Saint-Gerand (CRBPO) devient coordinateur du Groupe Anatidés-Foulques, R. Mahéo devient coordinateur du Groupe Limicoles côtiers. Chaque Groupe de Recherches produit une fiche de recensement, anatidés-foulques + plongeons, grèbes, grand cormoran d’une part, limicoles côtiers d’autre part. Ces fiches de recensement distinctes sont utilisées jusqu’en 1994. Une fiche de recensement oiseaux d’eau est utilisée à partir de 1995, suite à l’extension des comptages à toutes les espèces. GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
8
R.Mahéo est destinataire de toutes les fiches de recensement jusqu’en 2004 pour un premier contrôle A partir de cette date, les fiches sont normalement adressées directement à LPO/Rochefort, N.Maillet ayant en charge la saisie des chiffres jusqu’en 2013. La technologie évoluant rapidement, B.Deceuninck propose un module de saisie à partir de 2014. Anatidés-Foulques Un co-financement Ministère de l’Environnement/ONC/CNRS/MNHN permet au CRBPO de développer une base de données informatisée pour la gestion des comptages. A partir de 1979, ce nouvel outil fournit des cartes de distribution par sites et non plus par zones biogéographiques pour les bilans annuels 1979-1985. 1985 : le CRBPO interrompt la coordination du Groupe Anatidés-Foulques, faute de renouvellement des co-financements .. Mais le réseau BIROE/France poursuit les campagnes de recensement au mois de janvier. 1987 : La LPO crée le Service Etudes et Recherches, en charge entre autres de la coordination du groupe Anatidés-Foulques, ainsi que de la création et de la gestion de la base de données « anatidés/France ». La publication des bilans nationaux reprend, D.Bredin & N.Maillet en 1988 (bilan qui reprend pour comparaison les ENC de 1986 et 1987), PJ Dubois & N Maillet en 1989, G.Rocamora & N.Maillet de 1990 à 1995, B.Deceuninck & N.Maillet à partir de 1995. Limicolres côtiers R.Mahéo centralise les données limicoles côtiers et produit un bilan annuel à partir de 1978 dans le cadre d’une convention ONC/Université de RennesI. La base de données est gérée par F.Gabillard de 1998 à 2000 puis par S.Le Dréan-Quenec’hdu à partir de 2001), en lien avec le GR « limicoles » de WI. Bernache cravant R. Mahéo coordonne une enquête nationale (comptages mensuels d’octobre à mars) de 1973 à 2013. S.Dalloyau (LPO) assure la coordination à partir de 2014, avec préparation d’un bilan annuel. La base de données mensuelles est gérée par S.Le Dréan-Quenec ‘du depuis 2001, en lien avec B.Ebbinge, coordinateur du groupe « oies » de WI. Oies grises C.Riols coordonne l’enquête nationale (comptages mensuels d’octobre à mars) de 1981 à 1992, avec la production d’un bilan annuel. Avocette R.Mahéo organise une enquête nationale (comptages mensuels de septembre à mars), avec la diffusion d’un bilan annuel, dans le cadre d’une enquête internationale pilotée par H.Hotker (International Wader Study Group/WI) sur la dynamique à long terme des populations d’avocettes. La base de données mensuelles est gérée par S.Le Dréan-Quenec’hdu. Toutes ces enquêtes qui s’inscrivent sur le long terme ont permis la publication de synthèses ; Citons notamment : 1979 - Hemery G., Houtsa F., Nicolau-Guillaumet P., Roux F. : Distribution géographique, importance et évolution numérique des effectifs d’Anatidés et de Foulques hivernant en GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
9
France : janvier 1967-1976 1983 -Yesou P., Trolliet B. : Anatidés et zones humides de France métropolitaine 1991 -Yeatman-Berthelot D., Jarry G : Atlas des oiseaux de France en hiver. 1992 - Mahéo R. : Valeur internationale du littoral français pour les limicoles en hivernage. 1994 - Rocamora G. : Les zones importantes pour la conservation des oiseaux en France 1999 - Rocamora G., Yeatman-Berthelot D. : Oiseaux menacés et à surveiller en France, populations, tendances, menaces, conservation 2000 - Deceuninck B., Maheo R. : Synthèse des dénombrements et analyse des tendances de limicoles hivernant en France, 1978-1999 2000 - Gillier JM, Mahéo R., Gabillard F. : Les comptages d’oiseaux d’eau hivernant en France : actualisation des connaissances, effectifs moyens, critères numériques d’importance internationale et nationale 2002 - Deceuninck B. : Mid-winter counts of waterfowl in France : the sheme, somme results and perspectives. 2010 - Deceuninck B., Fouque C. : Canards dénombrés en France en hiver : importance des zones humides et tendances. Roger Mahéo Délégué national (scientifique) auprès de W.I. : 1976-2001
GONm – B. Chevalier | Bilan enquête WI « oiseaux d’eau en janvier 2015 ».
10