Le 1 K, sur la route des Incas au cœur du Marais Un OVNI de l’hôtellerie et de la gastronomie vient d’atterrir au 13, boulevard du Temple. S’y précipiter pour se laisser emporter par la vague péruvienne. Séquence sensations. Une première en France !
Les racines du concept Avec douze sites inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO, une quinzième place au Top 50 des meilleurs chefs du Monde pour Virgilio Martinez du Central à Lima, un prix Nobel de littérature décerné à Mario Vargas Llosa, le Pérou solaire et magnétique devient le nouvel eldorado gastronomique. Paris va plus loin en accueillant le premier établissement entièrement dédié au culte du Temple du Soleil ! 1 comme premier. K comme Kulture. 1K comme Inca. La dernière vitrine du Groupe Machefert, – 22 hôtels dans la capitale, un à Saint-Tropez et un autre à Marrakech -, bouscule les règles de l’hôtellerie et de la restauration au cœur du Marais. Face au bouillonnement de l’est parisien, le quartier retrouve son caractère novateur avec l’implantation du 1K, le lieu de vie des nouvelles générations. Blasées par la société de consommation, elles revendiquent un retour aux sources, une autre façon de s’alimenter, de s’amuser, de se détendre. Choc des cultures, choc des matériaux, le concept imaginé par Kevin Machefert transgresse les habitudes. Ici la technologie est utilisée au service des clients pour rendre leur expérience inoubliable.
L’ambiance est cosy et chaleureuse. On retrouve tous les codes du peuple du soleil‌
Créateur du 1K À 24 ans, Kevin Machefert prend les commandes de cet OVNI inca qu’il a créé de toutes pièces. Après avoir navigué avec brio au sein de grandes écoles de commerce (prépa économique et SKEMA Business School*), il étudie la finance à la London School of Economics et découvre la réalité économique dans une prestigieuse banque parisienne. Mais il est très vite rattrapé par l’atavisme familial et le plaisir de se mettre au service de ses hôtes. De retour à Paris, le temps des entrepreneurs revient. Kevin Machefert rejoint, entre autre, l’entreprise familiale. Curieux, passionné, ouvert sur le monde, il a développé à Londres son attrait pour tout ce qui est avant-gardiste. Amoureux du Pérou par ses voyages mais aussi grâce à son enfance aux côtés d’une nounou péruvienne, il pressent l’engouement de ces dix prochaines années pour cette partie de l’Amérique du Sud. Tout en montant son concept, il se frotte à la réalité hôtelière et à la fonction de directeur d’un établissement de moyenne capacité qui nécessite de s’atteler à tous les postes: check-in, réception, plonge, bar, service… Avec son ami Martin Gunther, rencontré sur les bancs de la LSE et lui aussi venu du monde de la finance, ils planchent sur les budgets : travaux, comptes prévisionnels, gestion, RH… Charles, un autre ami d’enfance le rejoint pour imaginer l’architecture technologique. Après presque 4 mois de travaux, l’établissement rayonne aux couleurs des nuits bleues et des métaux précieux. Avec son bar, son lobby, son restaurant, sa terrasse et ses 52 chambres, le 1K est né sous le signe des Incas. * Grande école internationale
Kevin Machefert, l’un des plus jeune directeur d’hôtel de la capitale.
Tradition et modernité C’est sûr, dans les années à venir, tous les projecteurs seront tournés vers le Pérou. New York compte déjà 15 restaurants péruviens, Londres accueille le Coya, le Lima, l’Andina et le Nobu Matsuhisa qui twiste entre saveurs du Pays du Soleil Levant et arômes des Andes. Inspirée par l’architecture traditionnelle des Andes, la structure du 1K est totalement dans l’air du temps. Va-et-vient entre tradition et modernité, l’architecte Raymond Morel (à l’origine entre autres du Murano et du Kube) jongle avec le bronze, l’or, le cuivre et le bois pour créer un choc visuel et émotionnel. Toute la décoration renvoie à l’imagerie du peuple du Soleil : masques péruviens au dos des sièges, dorures et motifs incas au plafond, sol aux couleurs changeantes. Des chaines en mouvements constants sur 20 mètres de murs, des lumières dansantes et mystérieuses chahutent les codes décoratifs. Dès la réception, on plonge au cœur du pays inca. Un Barrissol déploie une pyramide inversée, symbole ancestral de la puissance et de la vie. Dans l’entrée, une œuvre moderne des fresquistes Alex et Marine s’étend sur un mur pour s’estomper vers le plafond et venir mourir sur le mur opposé.
Perdre ces repères Sur le boulevard du Temple, impossible de rater le 1K. Sa façade éclairée par des projecteurs met en valeur les stores d’un bleu profond aux liserés cuivrés, légèrement laitonnés, des fenêtres de l’hôtel. La terrasse bleu roi est encadrée de bacs géants où les plantes servent de mur sonore. Dans l’entrée aux parois bleues, les yeux sont immédiatement attirés par le plafond où ont été moulés dans le plâtre et vieillis à la feuille d’or des masques, des têtes de guerriers et d’animaux. Au sol, un vinyle tissé (Bolon) trouble le regard : il est bleu satiné d’un côté et couleur terre cuite de l’autre. De longues chaines mouvantes ondulent sur les murs dans une ambiance bleu nuit. Tout au long, des banquettes d’1,30 m de hauteur créent des petites niches intimistes autour de tables sur lesquelles on mange à même le bois Wengé, un bois tropical très foncé. Toute la scénographie mise sur la lumière tamisée des suspensions cuivrées. Perte de repères totale dans cet univers « ethnico contemporain » qu’un système sonore ultra sophistiqué (FOHHN) renforce. Sa technologie de pointe permet de ne jamais savoir d’où vient le son, le tout contrôlé à partir d’iPads placés dans des coffrages en laiton à l’effigie du logo 1K, logés dans chacune des parties communes de l’hôtel. Dans ces coffrages, les iPads permettent un contrôle de la domotique encore jamais vu dans un établissement de cette catégorie : playlists, volume et choix de la source audio ou vidéo en temps réel ne sont que quelques possibilités offertes par ce système crée sur mesure et nommé « 1K2C ». Derrière le bar de service en pierre granit, une porte en plaque rouillée invite au mystère. Une surprise attend les clients du 1K en octobre… À suivre. Sur la paroi de verre, qui sépare la salle de restaurant du lobby, les cabosses de feuilles d’or plaquées sur le bar reflètent en vis-à-vis les longues chaines mouvantes. Les baristas évoluent à vue derrière le comptoir recouvert d’un immense plateau laqué, sous lequel un éclairage plongeant crée une atmosphère étrange faite de pixels d’or et de reliefs, donnant l’illusion d’un banc de sable mouvant vertical. Si l’on bouge devant, il bouge aussi. Incrusté dans l’un des murs du hall, qui file à perte de vue, un terrarium géant exhibe trois varans sauvages de plus d’un mètre chacun. Les mascottes de l’hôtel.
1K – le restaurant Cette plongée dans l’Amérique du sud, aux confins des Andes, se poursuit à table. Le Pérou est par essence une terre sauvage de mélanges et de métissages. Le 1K veut faire découvrir comme nulle part à Paris la gastronomie andine. Profondément enraciné dans la culture des incas, le concept tient cependant à associer ces saveurs lointaines à des tendances occidentales d’aujourd’hui. Le jeune chef Julien Burbaud (candidat Top Chef 2012) compose une cuisine ethnique, adaptée aux palais occidentaux, où les contrastes de texture vont une fois de plus troubler les sens. Un jeu perpétuel entre tous les antagonismes gustatifs, entre tous les opposés : le croquant et le moelleux, l’épice et la douceur, l’acidulé et le sucré. Si la cuisine traditionnelle andine se déguste toujours autour d’une raison , - le Ceviche active le métabolisme, la parihuela (un plat à base de fruits de mers et de poissons) a des vertus aphrodisiaques -, elle est surtout l’une des plus saines au monde grâce à l’immense diversité biologique de son territoire. Riche en super aliments et ingrédients aux nutriments essentiels, comme le quinoa, le maïs, les patates douces, cette culture culinaire métissée, surprenante et succulente, est en passe de détrôner la mode des restaurants asiatiques… Julien Burbaud la réinterprète à sa manière pour faire exploser en bouche des saveurs encore méconnues.
Julien Burbaud, Top Chef 2012
1K – l’hôtel Fermer les yeux et s’imaginer dans une chambre perchée sur la cordillère des Andes, loin de tout bruit et de tout mouvement : au cœur du Marais, le rêve devient réalité. Habillées d’alpaga tressé, les 52 chambres et suites promettent un voyage unique au cœur de la tradition et de la modernité. Cache-sommiers, plaids, coussins et fauteuils rappellent tous les symboles de la culture inca dans le détail d’un tapis andin, d’un métier à tisser, de laines aux motifs géométriques, de couleurs criardes et chaleureuses. Derrière cette décoration soignée et typique, se cache un savant système de connexion avec tous les services de l’hôtel. Un procédé disruptif permet d’activer d’un seul geste les videos à la demande, la conciergerie, l’Online Stream, le Screen Mirroring, le Dongle Chrome Cast, l’AirPlay, le Bluetooth. La très bonne couverture wifi du 1K permet de surfer à son aise jusque dans la salle de bains. Pour la magie futuriste, le téléphone portable est le seul sésame pour ouvrir la porte de chaque chambre. Pour que le rêve se conjugue en version oversize, deux magnifiques suites de 75m2 sont dotées chacune d’une piscine. Pour la quiétude, deux cours intérieures calmes et paisibles font oublier aux hôtes qu’ils sont en plein Paris. Côté prix, le 1K rend cette expérience accessible à partir de 200 € la nuit.
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