Les recettes pour une vie saine par le blog :
Empanadas de quinoa rouge et fromage Ingrédients pour une vingtaine d’empanadas : 500 g de farine 180 g d’eau 1 c. à c. de sel 100 g d’huile végétale neutre (arachide, tournesol) 120 g de gruyère râpé 60 g de quinoa rouge Priméal
Une recette tout droit venue d’Argentine. Ces petits chaussons fourrés de quinoa et de fromage vont ravir vos papilles. Parfaits pour être emportés en pique-nique, en en-cas, à toute heure !
Cuire le quinoa rouge dans de l’eau bouillante salée pendant 15 minutes, puis égoutter. Mélanger la farine, l’eau, le sel et l’huile jusqu’à obtention d’une pâte homogène. Mettre en boule, filmer puis laisser reposer 15 minutes. Rouler la pâte en un gros boudin, puis le découper en 20 morceaux. Mettre en boule les morceaux de pâte, puis étaler à l’aide d’un rouleau à pâtisserie afin d’obtenir des disques de pâte. Superposer les disques de pâtes, séparés par des carrés de papier sulfurisé pour éviter qu’ils ne collent entre eux. Filmer et laisser reposer 15 minutes. Dans un récipient, mélanger le quinoa et le gruyère râpé. Préchauffer le four à 230°C. Prendre un disque de pâte, l’étirer un peu avec le rouleau. A l’aide d’un pinceau et d’un peu d’eau, humidifier les bords du disque. Déposer une à deux cuillerées à soupe du mélange quinoa-fromage au centre puis refermer le chausson en demi-lune en effectuant des petits plis consécutifs d’un bout à l’autre du chausson. Déposer les empanadas sur une plaque recouverte de papier cuisson et cuire pendant 10 à 15 minutes jusqu’à ce que la pâte soit bien dorée.
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Menu lunchbox :
Poulet à l’estragon accompagné de riz rouge de Camargue et d’une salade carotte-betterave, sauce à l’huile de pépin de courge Ingrédients pour 2 repas : 2 filets de poulet Quelques feuilles d’estragon 10 cl de crème fleurette 2 c. à s. de moutarde 150 g de riz rouge de Camargue Priméal Pour la salade 1 carotte 1 betterave 2 c. à s. de pignons de pin 2 c. à c. de moutarde ½ c. à s. de vinaigre balsamique 4 c. à s. d’huile de pépin de courge Emile Noël
Pendant la pause déjeuner au travail, il ne faut pas hésiter à se faire plaisir avec un bon plateau repas équilibré et coloré. Prendre le temps de bien manger des produits de bonne qualité, c’est rester en bonne santé !
Dans une casserole d’eau bouillante bien salée, cuire le riz 30 à 40 minutes avec un couvercle, puis égoutter. Préchauffer le four à 200°C. Découper les filets de poulet en gros morceaux. Saler et poivrer. Placer dans une papillote en silicone ou dans du papier sulfurisé. Dans un bol, mélanger la crème fleurette, la moutarde, les feuilles d’estragon hachées (4 c. à s. environ). Puis verser sur les morceaux de poulet. Refermer la papillote puis cuire au four pendant environ 30 minutes. Pour la salade, éplucher la carotte et la betterave, puis râper. Dans un bol, verser la moutarde et le vinaigre balsamique, puis mélanger. Ajouter l’huile de pépin de courge au fur et à mesure, en mélangeant vivement pour émulsionner la sauce. Saler et poivrer. Sur les crudités, ajouter les pignons de pin, puis la sauce juste avant de servir.
Alors voici deux idées simples et rapides de repas à emporter.
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Menu bento :
Pâtes safranées aux petits légumes, encornet et huile de sésame accompagnées d’une salade de concombre, sauce yaourt-menthe Ingrédients pour 2 à 3 repas : Pâtes safranées aux petits légumes, encornet et huile de sésame 150 g de tortils au citron et au safran Priméal 300 g d’encornets (ou seiche ou calamar) 1 branche de céleri ½ oignon 1 carotte 1 courgette De l’huile de cuisson neutre (arachide ou tournesol) De l’huile de sésame Emile Noël De la sauce de poisson asiatique (nuoc mam) Quelques brins de coriandre Salade de concombre et sauce yaourt-menthe 1 concombre 1 yaourt nature ½ citron Quelques feuilles de menthe
Pâtes safranées aux petits légumes, encornet et huile de sésame Éplucher et hacher finement le demi-oignon. Rincer les légumes. Hacher le céleri finement. A l’aide d’un économe, trancher la carotte et la courgette en fines tagliatelle. Nettoyer et rincer les encornets, bien les sécher puis les découper en gros morceaux. Dans une casserole d’eau bouillante et bien salée, cuire les pâtes pendant 4 minutes. Puis égoutter et rincer à l’eau froide pour stopper la cuisson et éviter qu’elles ne collent. Dans une grande poêle ou une sauteuse, faire revenir l’oignon haché dans un peu d’huile neutre, puis ajouter le céleri. Sur feu vif, ajouter les morceaux d’encornet. Laisser cuire jusqu’à ce que l’eau rendue par les encornets soit évaporée et que les morceaux soient bien dorés. Saler le tout avec de la sauce de poisson. Ajouter les lamelles de carotte et 10 cl d’eau pour éviter qu’elles ne grillent. Laisser cuire deux minutes puis ajouter les pâtes et enfin les lamelles de courgette. Faite revenir quelques minutes en mélangeant bien. Saler le plat à votre convenance avec la sauce de poisson. Hors du feu, ajouter un filet d’huile de sésame et de la coriandre hachée. Salade de concombre et sauce yaourt-menthe Eplucher le concombre et découper en fines rondelles à l’aide d’une mandoline ou d’un couteau. Dans un bol, verser le yaourt, le jus d’un demi-citron, et des feuilles de menthe ciselées. Saler, poivrer et mélanger. Verser la sauce yaourt-menthe sur les rondelles de concombre juste avant de servir. greenweez.com et mangez-moi.fr
Petits sablés aux baies de goji
Ingrédients pour une quinzaine de biscuits : 150 g de farine 90 g de beurre doux 60 g de cassonade 1 œuf 50 g de baies de goji séchées Weezfood Un peu de sucre semoule Voici une recette originale qui permet de consommer des baies de goji en toute gourmandise. Ce « superfruit » tibétain aux propriétés étonnantes, riche en vitamine C, B2, bêta-carotène et en fer, est en plus très bon ! Cela ressemble à du raisin sec, légèrement acidulé. Placés dans une boîte en fer blanc, les petits sablés aux baies de goji se conservent plus d’une semaine sans problème. Dégustez-les au petit déjeuner avec un verre de lait, un thé, un café ou un jus de fruit, ou emportez-les pour vos petites faims de la journée pour refaire le plein d’énergie et de vitamines.
Dans un grand bol, verser la farine puis le beurre découpé en petits cubes. Écraser les morceaux de beurre entre les doigts dans la farine, jusqu’à disparition des morceaux et obtention d’un effet « sable mouillé ». Ajouter la cassonade, puis mélanger. Ajouter l’œuf puis mélanger en écrasant la pâte sur le plan de travail à plusieurs reprises avec la paume de la main, jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Enfin, ajouter les baies de goji et mélanger. Mettre la pâte en boule, filmer puis laisser reposer au réfrigérateur au moins une heure. Préchauffer le four à 180°C. Dans un petit bol, mélanger 1 cuillerée à soupe de cassonade et 2 cuillerées à soupe de sucre semoule. Pour des biscuits plus épais et moelleux au centre, réaliser des boules de pâte de 25 g environ, puis les rouler dans le mélange de cassonade et de sucre semoule. Pour des biscuits plus fins et croquants, étaler la pâte entre deux feuilles de papier sulfurisé puis mettre au réfrigérateur 10 à 15 minutes. A l’aide d’un emporte-pièce ou de petits verres, détailler des disques dans la pâte. Les déposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé ou d’une feuille de cuisson en silicone. Enfourner et cuire pendant 10 à 15 minutes.
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Tarte abricot, pistache et crème d’amande Ingrédients pour un cercle à tarte de 24 cm environ : Pour la pâte 200 g de farine 100 g de beurre 2 g de sel 75 g de sucre glace 25 g de poudre d’amande 40 g d’œuf Pour la crème d’amande à la pistache 75 g de beurre ramolli 75 g de sucre semoule 75 g de poudre d’amande 75 g d’œuf 7,5 g de fécule de maïs 7,5 g de rhum 50 g de purée de pistache Jean Hervé Pour garnir la tarte 400 g d’abricots au sirop ou une quinzaine d’abricots frais De la confiture d’abricot Une pâte dorée et croustillante, une crème d’amande à la pistache moelleuse, des abricots juteux et légèrement acidulés...mmh de quoi faire saliver petits et grands ! Faire une bonne tarte maison de A à Z, ce n’est pas si compliqué : suivez le guide !
Préparation de la pâte à tarte Dans un bol, verser la farine puis le beurre découpé en cubes. L’écraser avec les doigts dans la farine jusqu’à disparition des morceaux et obtention d’un effet « sablé ». Ajouter le sel, le sucre glace et la poudre d’amande tamisés. Battre un œuf et en prélever 40 g pour l’ajouter au mélange. Écraser la pâte avec la paume de la main contre le plan de travail jusqu’à ce qu’elle soit homogène. Mettre en boule et aplatir légèrement en un disque épais. Filmer et mettre au réfrigérateur au moins une heure. Préparation de la crème d’amande Découper le beurre ramolli en petits morceaux puis le travailler à la spatule afin de le lisser et de lui donner la consistance d’une pommade sans grains. Pour cela, on peut le chauffer dans une casserole quelques secondes à feu doux ou au four à micro-ondes à 350 W, puis remuer vivement, et ainsi de suite jusqu’à obtention d’un beurre bien lisse et crémeux mais surtout pas fondu ! Terminer de le lisser parfaitement avec un fouet. Ajouter ensuite le sucre, la poudre d’amande, les œufs (battre deux œufs et en prélever 75 g). Ajouter la fécule de maïs, le rhum et la purée de pistache. Garnissage de la tarte Égoutter les abricots au sirop ou laver, sécher, couper en deux et dénoyauter les abricots frais. Sur une feuille de papier cuisson, étaler la pâte sur 0.5 cm d’épaisseur avec un rouleau. Mettre au réfrigérateur 5 à 10 minutes. Préchauffer le four à 180°C. Poser le cercle à tarte sur une plaque recouverte de papier cuisson. Déposer la pâte sur le cercle à l’aide du rouleau. Enfoncer la pâte dans le cercle et contre les bords du cercle avec les doigts. Couper l’excédent et piquer le fond avec une fourchette. Étaler la crème d’amande uniformément, puis déposer les oreillons d’abricot. Enfourner pendant 35 à 45 minutes jusqu’à ce que la tarte soit bien dorée. Laisser refroidir, puis napper de confiture d’abricot à l’aide d’un pinceau pour apporter de la brillance et pour que la tarte conserve sont moelleux. greenweez.com et mangez-moi.fr
A propos de l’auteur Nom : HEYSER Prénom : Priscilla Age : 27 Ville de résidence : Paris Pourquoi un blog de cuisine ? Pour me faire plaisir et faire plaisir aux autres. J’avais envie de partager mes meilleures recettes en expliquant l’histoire qui se cache derrière chacune d’elles, et de donner envie aux gens de cuisiner et de bien manger. La cuisine pour moi c’est du partage. Et justement, mon blog c’est un peu de moi que je partage. Ce sont des histoires, des moments, des souvenirs. Il y a des influences et des inspirations des gens qui m’entourent, de mes nombreux voyages, des gens rencontrés sur ma route, de mes origines. Mon père est franco-vietnamien, ma mère philippine et mon conjoint italien. Donc forcément, ça se ressent dans ma cuisine ! Trait de caractère principal La générosité à travers la nourriture. J’aime énormément recevoir. Pour moi c’est essentiel quand j’apprécie les gens. En général, je prépare plein de choses. J’y passe des heures et il y en a bien sûr à chaque fois pour un régiment ! Ce que tu aimes Manger bien sûr, découvrir de nouveaux aliments et de nouveaux plats, voyager, le monde du spectacle, les loisirs créatifs, les romans d’Amélie Nothomb, les recettes de Gordon Ramsay. Ce que tu n‘aimes pas La fumée de cigarette, le gaspillage, le rouge à lèvres. Mangez sain pour toi c’est quoi ? C’est se faire plaisir avant tout avec un repas équilibré fait-maison, pas trop gras, pas trop salé, pas trop sucré, fait avec des produits de bonne qualité et produits localement dans la mesure du possible. Le bio c’est quoi pour toi ? Ce sont des produits de grande qualité fabriqués ou cultivés en respectant l’environnement et les capacités offertes par la nature. Pour moi, manger est un réel plaisir. C’est au centre de tout : de notre bien être, de notre plaisir, de notre santé et de notre vie sociale surtout. Être réunis autour d’une table avec les gens qu’on aime, c’est ça la vie ! Ça représente les plus beaux moments de partage et de plaisir. Les gens sont connectés. A travers la cuisine, on transmet des émotions et beaucoup d’amour. On transmet une culture aussi et des traditions. La cuisine, c’est une langue à part entière finalement. Et un patrimoine culturel d’une valeur inestimable.