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voir Le magazine du grand narbonne N°17 - OCTOBRE - NOVEMBRE - DÉCEMBRE 2012

GRAND ANGLE

la culture

fait son numéro

GRAND NARBONNE

LES ACTIONS EN COURS

GRAND ÉCRAN

toute l’actualité des 37 communes

voir Le magazine du grand narbonne N° 17 - OCTOBRE - NOVEMBRE - DÉCEMBRE 2012

Transparence Solidarité Mobilité Harmonisation

Convivialité Témoignage Grand narbonne : les actions en cours Page 03

Appartenance Service Convivialité Pertinence Convivialité Pertinence Service

Pertinence Grand champ : RCNM : la formation pour ambition Page 09 Convivialité Appartenance Proximité Mobilité Convivialité Pertinence Grand angle : La culture fait son numéro Page 10 Service Appartenance Harmonisation Convivialité Pertinence Service Appartenance Service Convivialité Pertinence Pertinence Mobilité Service Grand écran : l’actualité des communes Page 18 Témoignage

édito La culture fait son numéro Ce nouveau Voir Grand consacre un dossier à la Culture en Grand Narbonne.

La Culture comme dynamique d’un territoire ! Certes la notion de développement culturel peut paraître banalisée dans le discours sociétal et politique ce qui n’est pas le cas dans Le Grand Narbonne. Il est même le vecteur indispensable à l’attractivité de ce territoire. Ce secteur dont la progression est supérieure à la moyenne en Europe, est le levier de croissance pour tous types de développement : développement culturel et politique de la Ville (projet Passerelle, renouvellement urbain.), développement culturel et ruralité (Festival Trenet), développement culturel et intercommunalité (La Tempora)…

Le Grand Narbonne s’est doté d’une politique ambitieuse, voire audacieuse portée fortement par ses élus. Les équipements culturels sont en mutation, les investissements vont dans le sens d’un plus grand partage de l’excellence.

L’adhésion de nouvelles communes au Grand Narbonne a permis un enrichissement de nos équipements communautaires. De la Médiathèque au Conservatoire de Musique et d’Art dramatique et à l’École d’Arts Plastiques, du Théâtre/Scène Nationale à Amphoralis. C’est un levier de croissance, un élément déterminant pour séduire de nouvelles entreprises et répondre aux besoins de nos habitants. C’est aussi conforter une

politique globale « d’aller de l’avant » pour Le Grand Narbonne. Nous nous sommes engagés dans un service public de qualité et de proximité. Eau, assainissement, collecte des ordures ménagères…

Le Grand Narbonne répond à vos besoins quotidiens.

Nous construisons aussi l’avenir avec des projets majeurs qui ont été élaborés à la fois de manière très professionnelle et aussi très participative associant les élus de différentes commissions, les acteurs de terrains, les associations… Émergent ainsi : le projet d’une gare nouvelle, la création d’une résidence habitat jeunes, une centrale de mobilité en soutien aux personnes en recherche d’un emploi… autant de chantiers engagés qui témoignent de la vitalité de notre territoire.

Dans ce numéro d’automne, je vous invite à découvrir et à suivre les actions que Le Grand Narbonne met en œuvre pour vous et par vous !

Jacques Bascou, Président du Grand Narbonne Maire de Narbonne, Député Honoraire

est édité par Le Grand Narbonne, Communauté d’Agglomération – Hôtel d’Agglomération - 12 bd Frédéric Mistral - CS 50 100 - 11 785 Narbonne CEDEX - Tél. : 04 68 58 14 58 Fax : 04 68 58 14 59 - www.legrandnarbonne.com – Directeur de publication : Serge Brunel • Comité de rédaction : Bérangère Battistella, vice-présidente du Grand Narbonne, déléguée aux Équipements culturels, à la Politique culturelle et patrimoniale intercommunale, Serge Brunel, Jacques Lombard, Alain Perea, Marjorie Téna, ICOM • Rédaction : ICOM • Secrétariat de rédaction et suivi de production : Service communication, ICOM • Photographies : Goanda, Le Grand Narbonne, NOMAH, ville de Narbonne • Conception, réalisation, mise en pages : ICOM • ICOM RCS Toulouse B 393 658 760. icom-com.fr • ISSN : ISSN 0753 – 3454 • Dépôt légal : octobre 2012 • Tirage : 60 000 exemplaires • 2012-09-3734 • Document imprimé par imprimerie De Bourg, une entreprise Imprim’vert®, procédé CtP avec des encres à base végétale - Papier Couché Mat 115 g.

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narbonne

LES

STANTS ECO

forces économiques du territoire

Rendez-vous dédiés

Après les marchés publics, les salons virtuels ou encore la gestion des déchets, Le Grand Narbonne propose des rencontres thématiques mensuelles aux entreprises du territoire : petits-déjeuners, soirées, débats, conférences… Ces INstants ont pour but d’attirer l’attention des entrepreneurs sur des problématiques émergentes en leur proposant de rencontrer des spécialistes des questions abordées. Des rendez-vous également importants dans une optique de mise en réseau.

Les INstants éco en bref • Une animation de la Chambre des Métiers de l’Aude et de la CCI de Narbonne, Lézignan-Corbières et Port-la-Nouvelle • Un lieu unique : INNOVEUM, pépinière-hôtel d’entreprise au cœur du Parc Méditerranéen de l’Innovation (La Coupe) à Narbonne • Des questions d’actualité… et toutes les réponses • Un lieu d’échanges, de dialogue et un moment de convivialité Les prochains thèmes : finances, consommation énergétique et croissance des TPE.

> 04 Contact : Jean-Philippe Martinez, directeur des pépinières d’entreprises 68 58 18 88 – www.legrandnarbonne.com – economie@legrandnarbonne.com

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narbonne

zone de la coupe

Une crèche interentreprises

Il reste encore quelques places ! L’ouverture d’une crèche, à l’heure où il n’est pas toujours facile de trouver une solution de garde pour son bébé, est toujours une bonne nouvelle.

La crèche interentreprises Les Petits Voisins ouvre ses portes en janvier 2013 au sein du centre commercial Géant Casino, route de Perpignan à Narbonne. Cette crèche, d’une capacité de 30 berceaux, s’adresse aux salariés des entreprises de la zone d’activités de La Coupe, de Plaisance mais aussi du futur Campus des entreprises innovantes au Parc Méditerranéen de l’Innovation. Une opportunité et un véritable service de proximité, qui devraient faciliter la vie à de nombreux parents et enfants…

>

Tous les renseignements par mail à lespetitsvoisins@mercialys.com ou au 01 53 70 55 48

Objectifs et avantages • Apporter une réponse à un besoin réel et important des familles • Permettre aux parents de disposer d’un établissement proche de leur lieu de travail, pour leur apporter de la sérénité.

• Aider les entreprises à innover en matière d’emploi, en plaçant la question de la garde des enfants au cœur de dispositifs RH innovants.

• Devenir un nouvel allié des collectivités, et un outil de dynamisation des bassins d’emplois concernés.

Passerelles :

entre danse urbaine et danse contemporaine

Initialement impulsé en 2010 et 2011 par la Communauté d’Agglomération de Béziers, le projet Passerelles “Entre danse urbaine et danse contemporaine” a évolué vers un projet de plus grande envergure partagé avec Le Grand Narbonne.

Le projet artistique monté à Béziers associait de jeunes danseurs hip-hop de l’association Ten’Dance, des danseurs contemporains du Conservatoire et l’Espace d’animation socio-culturel de la ville.

Suite à cette première expérience biterroise, une action commune entre Béziers et Narbonne est en cours d’élaboration. Deux associations de hip-hop du Grand Narbonne, le Hangar Musical et le Conservatoire de Musique rejoignent l’équipe. Au programme : cours, stages, participation à des concerts, battles, préparation des spectacles réalisés sur chaque territoire. Un intervenant spécialiste en danse hip-hop établit la « passerelle » entre les jeunes biterrois et narbonnais. Ses trois priorités : faire tomber les idées reçues entre danseurs hip-hop et danseurs contemporains, accompagner les jeunes et les professionnels dans leurs pratiques, créer un partenariat entre les deux communautés d’agglomération, leurs équipements socio-culturels et les nombreux acteurs qui les animent.

Passerelles

Un projet parmi ceux du PUI (Projet Urbain Intégré) de BéziersNarbonne, dans lequel se sont engagées les communautés d’agglomération de Béziers Méditerranée et du Grand Narbonne.

Il sera cofinancé par le Feder (Fonds européen de développement régional).

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CULTURE Tous ensemble

Créer du lien entre tous les artistes présents sur le territoire du Grand Narbonne et créer un guide des artistes, associations culturelles et lieux d’art du territoire, tel est l’objectif de cette initiative lancée par le Collectif Inter Artistique du Narbonnais (CIAN) et soutenue par Le Grand Narbonne. Appel est donc lancé d’ores et déjà aux artistes, peintres, sculpteurs, photographes et autres qui souhaitent y figurer. Pour cela, rien de plus simple, il suffit d’être adhérent au CIAN pour la modique somme de 15 € par an pour les individuels, et 20 € pour les associations.

Guy Montagné, > Contact : Tél. : 06 03 29 55 49

Économiser l’eau, les bons réflexes L’eau est une ressource rare qu’il faut économiser. Grâce à des équipements adaptés, on peut réduire de moitié, voire des deux tiers, sa consommation d’eau du robinet, soit 12 à 16 m3 par an et par personne, sans baisse de confort. Depuis la rentrée de septembre, Le Grand Narbonne propose aux habitants des kits d’économiseurs d’eau qui s’adaptent au robinet au prix de 5 €. Le principe de base est de mélanger sous pression air et eau, pour rendre cette dernière plus « onctueuse » tout en réduisant son débit. en savoir plus : > Pour

www.legrandnarbonne.com

Une pétition pour une gare TGV sur le territoire

VITEO, une vraie solution

Pas les moyens de s’acheter une voiture, des horaires de travail décalés incompatibles avec les transports publics, en formation mais sans permis de conduire, à la recherche d’un emploi… Comment faire quand le boulot ou la formation sont loin, qu’il n’y a pas de solutions de transports en commun ?

Le Grand Narbonne vient de mettre en place Viteo, une centrale de mobilité. Une solution pour tous ceux, en stage, formation, en recherche d’emploi mais qui ne peuvent s’y rendre par leurs propres moyens. Le principe en est simple. La personne en recherche d’emploi et confrontée à un problème de mobilité, est orientée vers la Centrale de Mobilité du Grand Narbonne par six structures comme Pôle Emploi, la Maison Emploi et Formation, la mission locale jeunes… Le gestionnaire de la structure rencontre le demandeur et examine avec lui son dossier pour lui proposer une solution adaptée pouvant aller jusqu’à la mise à disposition d’un véhicule. Selon le cas et le profil du demandeur, il peut s’agir d’un vélo, vélo électrique, scooter électrique, voiture sans permis ou voiture NATHAN… vraiment content électrique.

Saisonnier dans la restauration rapide, Nathan, 26 ans, s’est À noter que l’ensemble des vu proposer un contrat après l’été. « Seul problème, des véhicules gérés par Viteo sont horaires décalés, pas de moyen de transport en commun tous écologiques. Un véhicule pour m’y rendre, pas de véhicule personnel et surtout pas de propre roule à l’électricité au permis de conduire, avoue Nathan. Je suis allé rencontrer mon lieu du carburant. Une solution conseiller de la Mission locale jeunes qui, au vu de ma demande judicieuse pour lutter contre m’a tout de suite aiguillé vers Viteo. Et après tout s’est fait très la pollution. vite ». Aujourd’hui Nathan a pu accepter ce contrat, dispose

> VITEO

30 avenue Pompidor 11100 Narbonne 06 65 06 17 40

d’un scooter électrique depuis trois mois pour se rendre à son travail et la joie se lit sur son visage. « Ce qui est vraiment bien c’est que c’est un véhicule électrique, pas d’essence à payer, une autonomie de près de 90 km, je le branche chez moi le soir en rentrant… le tout pour une somme tout à fait abordable », conclut Nathan.

Les Rencontres Nationales des SCoT Les 8e Rencontres Nationales des SCoT (Schéma de cohérence territoriale) ont eu lieu en juin à Nantes. Le Grand Narbonne, en charge du SCoT était présent, fidèle à son engagement de toujours au sein du réseau national des SCoT. Il était notamment l’un des acteurs de la création de la Fédération Nationale des SCoT, en 2009, lors des 5e Rencontres Nationales qui se déroulaient à Narbonne. La Fédération compte notamment parmi ses membres Didier Aldebert, maire de Vinassan, élu du Grand Narbonne, qui assume la fonction de trésorier adjoint. La Fédération rassemble plus de 200 SCoT en France, dans un réseau d’échange et de lobbying parlementaire. Le rendez-vous est d’ores et déjà pris pour les prochaines Rencontres Nationales, qui auront lieu les 13 et 14 juin 2013 à Libourne et Bergerac.

C’est durant l’automne que l’État doit décider de l’implantation d’une gare TGV sur le territoire du Grand Narbonne, véritable atout pour le développement économique. Autour du Grand Narbonne et du Département de l’Aude, avec la participation de Carcassonne Agglomération et la Communauté de Communes de la Région Lézignanaise, les principales collectivités se sont unies pour soutenir ce projet et faire en sorte que la décision nous soit favorable.

Déjà 169 communes audoises ont approuvé la motion en faveur de la création d’une gare TGV sur Le Grand Narbonne). Apportez vous aussi votre soutien en signant la pétition pour une gare TGV dans Le Grand Narbonne.

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Rendez-vous sur www.unegareTGVpourlaude.fr

La littorale… suite

Les circulations douces sont une des solutions mises en place par Le Grand Narbonne pour améliorer la qualité et le cadre de vie.

Vecteur de découverte du territoire et du développement d’un tourisme de nature, la Littorale permet aussi de développer des modes de déplacements alternatifs dont peuvent bénéficier la population locale et les touristes. La liaison Marcorignan – Moussan est désormais opérationnelle avec 2,5 km. Prochaine étape la poursuite de travaux autour de l’étang de Gruissan. La Littorale ce seront bientôt 70 km de voies douces pour le plus grand plaisir de tous.

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Réussir son projet

résenter le parcours du créateur d’entreprise, mettre en relation les porteurs de projets avec les principaux interlocuteurs de la création d’entreprise tel est le double objectif du Forum de la création d’entreprise organisé pour sa 6e édition le vendredi 23 novembre avec le soutien financier du Grand Narbonne et de l’État. L’occasion pour les visiteurs de confronter leurs projets de création ou de reprise d’activité à l’expertise des 40 exposants présents : services de l’État, collectivités territoriales, chambres consulaires, professionnels de l’accompagnement et du financement, ordre des avocats, chambre des experts comptables, etc. Trois tables rondes thématiques sont prévues, de véritables mines d’informations concrètes sur les différentes étapes de la création d’entreprise. Cette manifestation s’impose, d’année en année, comme un renÉdition 2012 : dez-vous incontournable du nouveau du développement écono• Une table ronde centrée sur la création mique du territoire. vendredi 23 novembre, > Ldee 9h à 16h, au Théâtre du

Grand Narbonne.

Renseignements sur www.maisondelemploi.fr ou sur www.legrandnarbonne.fr

et l’utilisation des réseaux professionnels et personnels dans le développement de l’entreprise. Elle s’adressera non seulement aux porteurs de projet mais également aux entreprises déjà créées.

• Deux nouveaux services aux créateurs présents sur cette 6e édition : la pépinière/ couveuse d’entreprise portée par la BGE Aude et la Ruche Associative qui étoffe l’offre de service d’accompagnement à la création d’activité dans le secteur de l’Économie Sociale et Solidaire renforcée.

O’rigine, un guide pratique à votre disposition

Les actions du programme Eau et Assainissement du Grand Narbonne sont désormais réunies sous l’appellation O’rigine. Un nom unique, pour afficher la volonté de la collectivité de mener une politique ambitieuse, d’assurer un service performant et respectueux de l’environnement. Disponible gratuitement dans les mairies, un guide* synthétise tout ce que vous devez savoir sur le traitement de l’eau et son assainissement en Grand Narbonne.

Les ressources du territoire, les différents types d’assainissement, les investissements… Sans oublier des éclairages très pédagogiques sur le cycle de l’eau, le fonctionnement des stations d’épuration, les factures, et, bien sûr, un carnet d’adresses complet.

> Disponible en mairie ou sur : www.legrandnarbonne.com * Collection des « Guides pratiques du Grand Narbonne »

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une extension indispensable

La population des communes Salles-d’Aude/Fleury-d’Aude grandit chaque année de façon significative. L’extension de la station d’épuration fait partie des investissements importants que Le Grand Narbonne a prévu au cours des années à venir, dans le cadre de son programme Eau et Assainissement, baptisé O’rigine.

Avec un budget de 2,5 M€, cette station d’épuration va passer d’ici quelque 18 mois d’une capacité de traitement de 6 000 à 9 900 Équivalent Habitant. En outre, les locaux seront réaménagés et les ouvrages existants adaptés à la nouvelle capacité de la station : poste de relevage, prétraitements, poste de recirculation, alimentation électrique, plate-forme hors d’eau, voirie, etc. Par ailleurs, vont être mis en place un traitement des graisses et un traitement des sables, un deuxième canal de comptage, ainsi qu’un groupe électrogène de secours dans un local dédié.

Espace de Liberté

Début d’une rénovation d’envergure

Après le relooking de la patinoire opéré en 2010 et en 2011, les premiers grands travaux de rénovation s’engagent sur l’Espace de Liberté. Début novembre, les vestiaires des bassins intérieurs bénéficieront d’une transformation complète, tenant compte des nouv e l le s n o r m e s d’hygiène et d’acce ssi b i l i té d e s équipements publics.

En termes de confort, de nombreux aménagements vont être réalisés pour les usagers : • des espaces plus spacieux, colorés, accessibles par un pédiluve dès l’entrée aux vestiaires ; • 20 nouvelles cabines, dont 4 pour les familles et les personnes à mobilité réduite ; • 320 casiers de différentes tailles ; • de nouveaux revêtements (sol et mur) ; • un nouvel espace de douches ; • un espace pour changer les bébés…

Les vestiaires destinés aux groupes et aux scolaires sont également totalement réaménagés. Parallèlement à ces interventions, un abri va être créé pour conforter l’accès au bassin olympique depuis les bassins intérieurs.

Une réflexion est engagée également pour installer une protection du bassin olympique contre le vent, qui apportera un plus significatif à tous les nageurs, en période hivernale notamment. L’ensemble de ces aménagements sera achevé au printemps 2013.

Espace de Liberté > Renseignements : du Grand Narbonne – Tél. : 04 68 42 17 89 www.espaceliberte.com

Le Conservatoire du Grand Narbonne sort des sentiers battus Au Conservatoire de musique et d’art dramatique du Grand Narbonne, le mois d’octobre est placé sous le signe d’une programmation pleine de surprises.

Comme toujours, impulsée par une forte dynamique, elle s’adresse à tous, les petits et les grands, les non initiés comme les mélomanes. Bref, à toutes les âmes curieuses de partager des moments d’émotion. Avec, en point d’orgue, deux projets pédagogiques qui sortent des sentiers battus.

Du hip-hop au Conservatoire. Pour la première fois, les beats du hip-hop vont résonner dans l’auditorium du Conservatoire. Du 16 au 20 octobre, le rappeur perpignanais Némir y installe sa résidence, pour un projet centré sur les cultures urbaines, réalisé en lien avec l’Association départementale de développement de la musique et de la danse de l’Aude.

Au programme, des ateliers, des conférences et autres stages. Némir est un pur produit de la culture hip-hop. Il a longtemps fait flamber ses impros sur les scènes françaises en tant que MC, avant de se lancer dans les lyrics et d’écrire ses propres textes. Il impose son style. Némir, c’est une écriture nerveuse, un verbe acéré, pertinent et impertinent, qui le place comme l’une des figures de la relève du rap français. Mais Némir, c’est avant tout un flow, percutant et personnel, qui va vite, très vite.

Quand le cirque et la musique se rencontrent. Du 8 au 10 novembre, le Conservatoire organise la rencontre entre la musique et les arts du cirque. Porté par David Clemente, professeur de trompette, ce projet a lieu en partenariat avec l’Association Mycelium, structure éducative et culturelle enseignant les arts du cirque. Ce stage est ouvert aux élèves de l’orchestre d’Harmonie I et II, ainsi qu’à tous les élèves circassiens. de Musique et d’Art Dramatique du Grand Narbonne : 1 rue de l’Étoile > Conservatoire 11100 Narbonne – Tél. 04 68 58 10 80 – www.legrandnarbonne.com

MÉDIATHÈQUE

UN NOUVEAU CATALOGUE numérIQUE

Disposer d’un outil plus performant pour être accompagné dans ses recherches d’ouvrages… c’est désormais possible avec le nouveau catalogue numérique proposé par la Médiathèque du Grand Narbonne. Corrections orthographiques automatiques et suggestions de recherches, sélections de filtres (sujets, auteurs, dates, etc.), notices avec suggestions d’iconographies, d’extraits vidéos et musicaux… tout y est prévu de manière ludique et attractive pour que chacun puisse s’abonner aux nouveautés dans les domaines de son choix, sélectionner des ouvrages dans son panier et réserver en quelques clics ses documents.

> La Médiathèque du Grand Narbonne : Esplanade André Malraux, Narbonne – Tél. 04 68 43 40 40 – www.legrandnarbonne.com voir

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Monnaie locale Une vraie monnaie, une vraie valeur Avez-vous déjà vu un habitant d’une ville ou d’un territoire échanger avec un commerçant de beaux et nouveaux billets ? Il s’agissait certainement d’une monnaie locale, c’est-à-dire d’une monnaie légale complémentaire à l’euro destinée à être échangée dans une zone territoriale. Dynamiser les échanges locaux et l’économie locale, au service de la force économique locale (commerces de proximité, producteurs locaux, professions libérales, collectivités territoriales), redonner du sens aux échanges économiques en favorisant une richesse qui sert au territoire, créer du lien social sont les principaux objectifs de création d’une monnaie locale.

Créer du lien et favoriser l’économie de proximité. C’est

Marie Bat, maire de Bages et élue du Grand Narbonne participe également à ce collectif.

Afin de sensibiliser les habitants du territoire, d’expliquer la démarche, ses objectifs et ses retombées potentielles… trois temps forts sont programmés. Le 26 octobre prochain, à 19h au Palais du Travail à Narbonne, Philippe Derruder, consultant et animateur des conférences et séminaires sur l’économie alternative, animera une conférence sur la monnaie complémentaire comme levier de l’économie locale. Autre rendez-vous, deux ateliers coopératifs se déroulent à Bages les 27 et 28 octobre dans le but de co-construire cette monnaie. « Créer une monnaie locale doit favoriser les échanges entre citoyens.

Se retrouver autour d’un système d’échange commun crée de la cohésion et favorise les liens sociaux », conclut Isabelle Herpe.

Affaire à suivre…

à la suite d’un café citoyen en février 2012 à Narbonne sur le thème de la monnaie locale, que se met en place un collectif citoyen. Le Grand Narbonne décide de s’y associer avec comme représentante Isabelle Herpe, viceprésidente du Grand Narbonne, passionnée par ce thème. « La monnaie est un symbole identitaire fort », explique Isabelle Herpe.

À noter • Conférence le 26 octobre, à 19h au Palais du Travail à Narbonne.

• Ateliers coopératifs les 27 et 28 octobre à Bages.

Concilier travaux et environnement

Pour moderniser l’ensemble des dispositifs de collecte du territoire, améliorer la salubrité dans les rues et inciter au tri sélectif, Le Grand Narbonne a opté pour l’installation de conteneurs enterrés.

Ainsi, à l’occasion de travaux d’aménagement urbain menés sur le territoire, Le Grand Narbonne investit sur les conteneurs tandis que les communes assurent les travaux de mise en place. Ces aménagements permettent également une meilleure intégration paysagère en évitant la présence de conteneurs aériens. Une première tranche de travaux a été réalisée sur les communes de Fleury-d’Aude, Gruissan, Narbonne, Montredon-desCorbières et Cuxac-d’Aude.

Résidence Habitat Jeunes

De nouveaux logements pour les 18/25 ans Pour beaucoup de jeunes en recherche d’emploi, le logement représente un obstacle majeur pour s’insérer dans la société ; non seulement ceux-ci souffrent du déficit quantitatif, voire qualitatif, de logements, mais ils subissent encore plus que d’autres les aléas de parcours qui rendent problématique leur accès au logement autonome.

Le Grand Narbonne conscient de ces réalités, lance la création d’une Résidence Habitat Jeunes de 55/60 places. Une réponse aux besoins même si elle ne doit pas être prise comme “la solution miracle” à la crise du logement qui frappe les jeunes. Ce projet, destiné en priorité aux jeunes de 18 à 25 ans, sera réalisé en partenariat avec un bailleur social aux compétences avérées (Habitat Audois) et une association largement impliquée dans l’accompagnement social des jeunes (les PEP 11). Le site de la Mayrale, ancienne pépinière proche du centre de Narbonne et des transports, a été choisi. 50 logements vont y être construits. Ce site dispose de tous les atouts pour accueillir le projet achitectural. Les travaux sont en cours et la livraison est prévue à l’automne 2013.

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champ Chaque weekend ils sont des dizaines à partir jouer un peu partout en France

Association du RCNM

La formation pour ambition Il en faut de l’énergie et du talent pour accéder au statut de rugbyman pro. Encourager la vocation et soutenir l’envie des grands sportifs de demain par la formation, tel est le rôle de l’association du RCNM. Rencontre.

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our qui s’intéresse aux exploits des hommes en orange et noir du RCNM (Racing Club Narbonne Méditerranée), on ne connaît bien souvent que les héros de l’équipe pro D2, qui régulièrement s’invitent dans les colonnes de la presse sportive ou locale ; « la locomotive du club ». Ce serait trop vite oublier que derrière les statuts de la SASP - Société anonyme sportive professionnelle, véritable société commerciale régie par l’article L. 122-1 du code du sport – existe une association historique, aujourd’hui présidée par Jean-Louis Caussinus, enfant du pays, rugbyman emblématique et ancien joueur de haut niveau. À Narbonne, c’est à elle, l’association support du club professionnel, que revient la mission de formation des jeunes joueurs : « Aujourd’hui, l’association regroupe environ cinq cents jeunes, détaille JeanLouis Caussinus, dont vingtcinq sont actuellement inscrits au Centre de formation, dernière étape avant le professionnalisme. » Une fonction clé, d’autant qu’en ce domaine, l’as-

sociation se doit de respecter un certain nombre d’obligations légales, telles que : encadrement par des éducateurs diplômés, participation en championnats, etc. « Il faut voir le nombre de bus qui partent chaque week-end de Narbonne pour inonder les territoires, voisins ou plus éloignés, avec nos équipes de jeunes » poursuit le Président.

Le budget de fonctionnement est en rapport : environ 1 M €, cofinancés par la ville de Narbonne, la Région, le Département et plusieurs partenaires sponsors.

Mais la spécificité de l’association du RCNM tient assurément à son ancrage fort dans la vie sportive locale et au maillage mis en place sur tout le territoire : « Pour alimenter naturellement le secteur de haut niveau, nous collaborons étroitement avec les clubs des villages du Grand Narbonne, grâce à la signature de conventions », explique-t-il. Et insiste sur la volonté du club à associer tous ceux du territoire, « sans lesquels nous n’existerions pas. Pour les 5-14 ans, l’école de rugby de Narbonne est d’abord celle du Grand Narbonne. » Un fédéralisme bienvenu pour ce chef d’entreprise quadragénaire, lui-même issu d’un club de village – Olonzac - qui n’oublie pas ses années comme entraîneur chez lui puis à Fleury-Coursan, avant de prendre en charge les juniors et les espoirs à Narbonne. « Nous devons soutenir cette jeunesse. À travers le rugby, vecteur important de notre identité, elle est le reflet du dynamisme de notre territoire ».

infos SASP

Association support du club professionnel en charge de la formation des jeunes joueurs.

50 artistes exposés et 13 invités d’honneur venus du monde entier.

> Président

Jean-Louis Caussinus

Stade Cassayet 5 rue Gay Lussac 11100 Narbonne Tél. : 04 68 41 76 93 sasp@rcnm.com

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La culture… ça se cultive. Particulièrement ici, en Grand Narbonne, où elle s’ébroue avec talent sur un terreau fertile.

Sous toutes ses formes. Fenêtre ouverte sur le monde pour mieux le comprendre, regards croisés, langage universel, la culture nous parle d’échange(s), de partage(s), de vivre ensemble. L’encourager et la soutenir, c’est donner plus de souffle mais surtout plus de sens à nos vies parfois bousculées. Un engagement plus qu’une mission, dont Le Grand Narbonne se fait écho et porte-voix, pour lui offrir plus de place sur tout le territoire.

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Je suis un fan absolu d’Elliott Murphy et je savais qu’il devait se produire à Pouzols-Minervois fin juillet. Malgré les presque 300 km depuis Marseille et une météo incertaine, je n’ai pas hésité. Ses concerts sont toujours d’une extraordinaire qualité, tant par le contenu musical que par l’ambiance. Mes amis et moi n’avons pas été déçus. Découvrant en prime un village au cœur d’un pays à l’accueil et au charme fous. C’est sûr, nous y reviendrons.

J’ai 71 ans et suis en classe de chant lyrique au Conservatoire depuis 1990. Je vois le travail accompli ces dernières années : ça va dans le bon sens, notamment avec la montée en puissance au niveau départemental. Et une professionnalisation de l’enseignement : les nouveaux professeurs sont titulaires du CA (certificat d’aptitude). Un vrai « plus » qui tire le Conservatoire vers le haut. Et offre à chacun les mêmes chances de réussite qu’un élève de Paris ou Montpellier. Mon seul regret : l’absence d’un grand chœur à Narbonne.

Jean Varsili, livreur, Marseille.

Gérard Clausier, élève au Conservatoire, Narbonne.

la culture joue l’ouverture Il est admis que la culture contribue à marquer chaque territoire d’une spécificité, d’une identité, que beaucoup voudraient fortes. Partage, ouverture, mixité, identité, cohésion sociale… Soucieux d’améliorer l’offre culturelle de proximité, Le Grand Narbonne intègre la dimension culturelle dans son développement local. Que ce soit le discours de Jacques Bascou, Président du Grand Narbonne ou celui de Bérangère Battistella, Vice-Présidente déléguée aux Équipements culturels et à la Politique culturelle et patrimoniale intercommunale, tous deux témoignent de leur ambition pour le territoire.

société a besoin de se retrouver sur des valeurs plus élevées ».

Quelle place doit être celle de la culture dans Le Grand Narbonne ?

Jacques Bascou : « Une place très importante ! D’abord parce que la culture permet à chacun de s’élever et de s’ouvrir. La culture élargit la réflexion, elle conduit au débat, suscite l’échange et le partage. Le dialogue et la rencontre font naître la compréhension, et la compréhension conduit au respect. Trop encline à l’éphémère et bombardée par le fait émotionnel, notre 12

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Envisagez-vous la culture comme facteur d’attractivité du territoire ?

J.B. : « Oui. La culture permet à un territoire comme le nôtre d’affirmer une identité et de renforcer son attractivité. En ce sens, elle est un vecteur de développement et un élément à part entière de notre politique de tourisme. Il faut savoir que Le Grand Narbonne est aujourd’hui repéré par une clientèle de qualité comme un territoire d’exception qui a su préserver son environnement et son art de vivre, et qui offre une vie culturelle riche et variée. Nous devons faire en sorte de conforter ces atouts que beaucoup d’autres territoires nous envient ».

Comment conforter ces atouts en matière culturelle ?

J.B. : « Une chose est essentielle : le projet culturel doit être partagé et porté par tous. La qualité d’une action territoriale se mesure au niveau d’implication et de participation des citoyens. C’est pourquoi nous faisons beaucoup d’efforts pour amener

des événements culturels et pour ouvrir nos grands équipements (Théâtre, Médiathèque, Conservatoire, École d’Arts Plastiques) sur l’ensemble des communes du Grand Narbonne. À cet effet, nous envisageons le surclassement en Conservatoire à Rayonnement Départemental de notre établissement, en parfaite complémentarité avec le Conservatoire de Carcassonne pour favoriser une synergie ambitieuse sur l’Aude. Il convient de créer un bouillon de culture qui baigne le plus grand nombre, et particulièrement la jeunesse. Qualité et diversité sont les maîtres mots de cette politique ».

«

La culture permet à un territoire comme le nôtre d’affirmer une identité et de renforcer son attractivité. Elle est alors un vecteur de développement

»

Je me suis inscrite à la Médiathèque à notre arrivée, il y a 6 ans. Je m’y rends une à deux fois par semaine. C’est une ressource précieuse dans mon travail, en plus du plaisir personnel que j’ai à y aller : un lieu agréable, avec un grand choix et une équipe sympathique très à l’écoute.

Pour moi, c’est un lieu important à Narbonne, une connexion avec le cœur de ville. On peut s’y arrêter librement pour lire un magazine, feuilleter le journal, faire une pause. Et depuis quelques années, l’animation y joue un rôle important, avec des apports culturels de qualité.

J’ai découvert La Tempora par hasard, grâce à mon beau-fils.

Depuis, je me renseigne sur les programmes via Internet. C’est la deuxième année que je participe aux spectacles de La Tempora. Récemment, j’ai vu Elliott Murphy à Pouzols et Nina Attal à SainteValière, deux concerts extraordinaires. Quand on nous offre des événements gratuits et d’une telle qualité, il faut faire l’effort de se déplacer. D’autant que l’organisation est toujours à la hauteur.

Ma compagne Lise et moi-même ne sommes Narbonnais que depuis deux ans mais déjà accros aux animations culturelles proposées par Le Grand Narbonne. De nombreuses disciplines sont proposées comme le théâtre, la danse ou encore la musique. Il en est une entre autres que nous avons beaucoup appréciée.

Libertad, un moment très intéressant de découverte et de rencontres. J’avais déjà suivi l’édition de l’an passé et il me semble que ces moments sont indéniablement intéressants pour notre culture personnelle mais également pour notre prise de conscience quant aux autres traditions.

Amandine Hourse, professeur des écoles, Narbonne.

Nadine Châtillon, retraitée, Narbonne.

Lise Bernat et Jérôme Pilot, Narbonne.

Ardente militante de la culture en Grand Narbonne, Bérangère Battistella, VicePrésidente déléguée aux Équipements culturels et à la Politique culturelle et patrimoniale intercommunale, milite en faveur d’une création toujours plus ouverte et plus proche du grand public. Mots croisés.

teur culturel pèse 80 M€ dans l’économie nationale et génère de l’emploi. Localement aussi, où le lien avec le tourisme est évident ».

Plus de deux ans ont passé depuis notre première rencontre. Où en est la culture sur le territoire aujourd’hui ?

Bérangère Battistella : « Elle se porte bien, soutenue par des équipements communautaires en constante progression. Et un service désormais dédié au sein du Grand Narbonne. On doit encore faire mieux, mais les objectifs d’excellence pour nos infrastructures - Médiathèque, Scène Nationale, Conservatoire, École d’Arts Plastiques, Musée Amphoralis - et d’optimisation de la diffusion culturelle sur l’ensemble du territoire seront atteints d’ici la fin du mandat. Ils sont les deux fils rouges qui conduisent notre politique. Sans oublier le soutien à la création d’événements, tel Libertad. Je me réjouis du travail accompli et de la cohérence qui se dessine ».

Est-ce dans cette logique que le musée Amphoralis à Sallèles-d’Aude rejoint la liste des équipements culturels du Grand Narbonne ?

B. B. : « Nous voulons aller encore plus loin avec ce musée sur site, dont la fréquentation s’effrite depuis plusieurs années. À l’image du service culturel du Grand Narbonne, Amphoralis va devenir un véritable laboratoire de projets, en lien direct avec le futur musée de la Romanité. Nous touchons là à notre identité culturelle profonde : ancienne cité industrielle de potiers gallo-romains, Amphoralis fait le lien entre histoire et culture, jette un pont entre artisanat et pédagogie. Notre objectif ? Redonner du sens à notre histoire autour de la vigne et du vin, développer activités et événements culturels en lien avec cette thématique. Là encore, mettre nos atouts en synergie et en cohérence, au service du développement économique ».

En quoi la culture est-elle importante dans un projet de territoire ?

B. B. : « À donner du sens. À l’heure où les valeurs fondent comme neige au soleil, la culture nous parle de dialogue et de solidarité. Elle invite à la confrontation des idées et donc à l’ouverture d’esprit. Elle est une pièce maîtresse de la cohésion territoriale en créant du lien social. Et levier économique si on s’en donne les moyens. Le sec-

Qu’en est-il des autres équipements ?

B. B. : « Deux axes structurent notre démarche : excellence et proximité. Pour tous les publics, dans toutes les communes du territoire. Un maillage essentiel pour garantir la diffusion culturelle la plus large. Ainsi, pour chaque équipement, nous renforçons la qualité des équipes pédagogiques et les modes de fonctionnement : enseignants diplômés au meilleur niveau et classes à

horaires aménagés au Conservatoire, mise en place d’un parcours pédagogique et formalisation du projet d’établissement à l’École d’Arts Plastiques, développement d’un réseau de lecture publique sur le territoire. Trois établissements dont la direction a été renouvelée il y a un an. Une ouverture et un souffle nouveaux pour la culture en Grand Narbonne ».

Exigence et proximité ne sont-ils pas antinomiques ?

B. B. : « Au contraire. Le rayonnement de la culture en Grand Narbonne est subordonné à la qualité des équipements comme de la programmation. Voyez le succès de Libertad, de La Tempora ou de la Fête du Conte, l’augmentation de la fréquentation au Conservatoire, à la Médiathèque, l’affiche de la Scène Nationale. C’est dans cet esprit que nous travaillons conjointement avec Carcassonne Agglomération, au projet de Conservatoire à Rayonnement Départemental (CRD), et en collaboration avec le célèbre violoniste de jazz Didier Lockwood. Soutenir et favoriser la qualité, c’est nourrir la créativité comme la diversité culturelle ».

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EXCELLENCE et proximité Qu’est-ce que la culture ? Vaste question à laquelle beaucoup tentent de répondre depuis que l’homme est homme. Modestement mais non sans ambition, Le Grand Narbonne apporte ses réponses. Proximité, accessibilité, instrument de développement, la Communauté d’agglomération a fait de la culture un des leviers de la qualité de vie dans notre territoire.

Un ferment d’identité. « Une politique culturelle d’agglomération s’inscrit dans une stratégie globale de développement, différente en cela d’une politique municipale. Pour comprendre les actions menées par Le Grand Narbonne en matière de culture, il est nécessaire de les relier à son projet de territoire ». Patrice Boulestin, directeur du développement culturel du Grand Narbonne, pose d’emblée la culture comme incontournable corollaire à la croissance. Une vision forgée par l’expérience pour ce passionné de musiques actuelles,

Le nouveau sort de l’Entresort Anciennement dans leur charmant théâtre de poche à Gruissan, les voici aujourd’hui nouvellement installés quai de Lorraine à Narbonne, en bordure de Canal. Premier bonheur : Mireille Huchon et Bernard Laborde n’ont rien perdu de leur verbe coloré ni de leur passion pour le théâtre. Avec cinquante places assises, leur nouvelle adresse arbore toujours charme et intimité. Ce qui a changé ? La reconnaissance des acteurs culturels locaux, notamment celle du Théâtre/Scène Nationale : « Son directeur nous a invité à nous produire à Narbonne avec une de nos créations, raconte Bernard Laborde.

Nous avons appris à travailler ensemble autour de notre projet : l’adaptation d’une pièce de Jean-Marie Piemme, auteur dramatique belge contemporain ». Dès lors, dans le cadre de la “décentralisation” culturelle communautaire, Mireille et Bernard sont engagés dans une tournée de quatorze représentations de Ne te promène donc pas toute nue ! de Feydeau à travers les communes du Grand Narbonne. Un vrai succès populaire autour de ce vaudeville hilarant. « Le public est toujours impressionné et sensible à cette dimension qu’il ne connait souvent que par la télévision », explique Mireille. Et Bernard de renchérir : « cette programmation renforce la relation entre les villages et la “capitale”, la ville centre ». > www.theatre-entresort-narbonne.com

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et par un parcours auprès de plusieurs collectivités locales. Aujourd’hui, seule la gestion des équipements incombe au Grand Narbonne : Théâtre/Scène Nationale, Conservatoire et La Muse (Ginestas), École d’Arts Plastiques, Médiathèque et désormais Amphoralis.

Un subtil jeu d’équilibre s’instaure : « on ne peut pas conduire une politique culturelle d’agglomération uniquement à partir des équipements, poursuit-il. D’autres projets sont à développer autour ». Et ils ne manquent pas. Pensé comme un véritable laboratoire d’idées par Bérangère Battistella, l’élue en charge de ces questions, son tout jeune service multiplie les initiatives pour « affirmer, à travers la culture, l’identité d’un territoire qui ne cesse de s’étendre ».

Avec un double enjeu : valoriser l’appartenance à une même communauté, mais aussi développer la notoriété à l’extérieur, dans un contexte de concurrence territoriale exacerbé.

Décloisonner pour rapprocher. Comment ? En faisant le pari de

toujours plus d’ouverture, de proximité et d’accessibilité. Être partagée par tous, voilà bien la première vocation de la culture. La Tempora en est un bel exemple. Avec cette manifestation itinérante gratuite portée

Didier Lockwood, musicien

Parole d’expert Conservatoire Petite musique du changement Violoniste de jazz français de réputation internationale, Didier Lockwood est depuis huit ans Président du Haut conseil de l’éducation artistique et culturelle, impliqué dans la pédagogie en matière d’enseignement artistique.

Son lien avec Narbonne ? En janvier 2012, il remet au ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, le rapport commandé sur la démocratisation de l’enseignement de la musique. Un pavé dans la marre.

C’est dans ce contexte que Bérangère Battistella lui demande d’accompagner le Conservatoire de Musique dans son projet de rayonnement départemental.

par Le Grand Narbonne, la musique, le théâtre, l’humour et la chanson s’invitent au fil des saisons dans les villages du territoire.

Là encore, ce maillage territorial apparaît essentiel à une diffusion culturelle équilibrée, au plus près de chacun et « fait partie des services offerts aux communes par Le Grand Narbonne ». Cette proximité s’exprime encore dans la politique “hors les murs” développée par l’ensemble des équipements culturels communautaires. Théâtre, Conservatoire et Médiathèque en sont les porte-drapeaux. Ainsi en va-t-il du Salon Littérature Jeunesse, dont certains auteurs partent à la rencontre des jeunes publics dans les communes du Grand Narbonne.

Un vrai succès. Et assurément un moyen d’agir sur les habitudes culturelles locales

« J’ai accepté, raconte-t-il, comme avec d’autres villes, dans l’objectif d’ouvrir la voie, de faire du Conservatoire du Grand Narbonne un établissement pilote. À partir de ce que prône mon rapport, je propose, ils disposent ». Et d’ajouter : « je suis heureux de voir que des territoires sont conscients qu’il y a des choses à changer en matière d’enseignement artistique et de la confiance accordée sur ce sujet ».

C’est que son rapport n’a pas été du goût de tout le monde. Anti système ?

Assurément, surtout quand il explique que « au-delà de ce que l’enseignement de la musique apporte à la musique elle-

même, il faut traiter de ce que sa pratique apporte à chacun. Le développement de valeurs fondamentales de sociabilité, d’apprentissage de la vie en commun, de l’effort, mais aussi de valeurs non enseignées à l’école ou dans les familles : éducation à l’émotion et à l’amour, de ce que l’on fait, du vivre simplement ».

Il rappelle qu’en Allemagne ou au Venezuela, la musique est la colonne vertébrale de l’enseignement général des enfants, bien loin du simple divertissement. Un passeport vers plus de libre arbitre, nos “humanités” d’hier. Aujourd’hui, avec lui, Le Grand Narbonne met les siennes en musique.

dès le plus jeune âge. Reste encore à encourager la mobilité des publics comme à accompagner les nouvelles pratiques, notamment avec l’explosion des supports numériques. À ce titre, l’exemple de la mise en œuvre de l’informatisation d’un réseau de lecture publique en cours témoigne de cette volonté de rayonnement au plus près des usagers.

Un instrument de croissance.

Là ne s’arrête pourtant pas la mission dévolue à la culture. Derrière la fascination légitime pour les beaux textes, la lumière des projecteurs et les paillettes sonores, un autre défi se tient en embuscade : séduire au-delà de nos frontières intercommunales. Aux côtés du dynamisme économique et de l’emploi, la culture joue un rôle de

À la Médiathèque, tout le plaisir de lire dans l’espace dédié aux plus jeunes

Libertad

Singulièrement différent

« Libertad est un festival qui s’adresse à tous les curieux des cultures du monde ». Ainsi résumé par celle qui le porte depuis les origines, Bérangère Battistella, Vice-Présidente du Grand Narbonne – Libertad est devenu en quatre ans un rendez-

vous incontournable de la scène culturelle communautaire. Mot d’ordre : transversalité.

Dans sa programmation d’abord mais également dans ses formes comme dans ses localisations géographiques. Délocalisation serait plus exact. « Avec ce festival, vitrine emblématique d’une vision culturelle pour notre territoire. Libertad est né de la volonté de faire rayonner la Médiathèque du Grand Narbonne ». Pour son édition 2012 il s’est étendu au-delà de la cité, par la délocalisation de l’exposition très réputée “Elles changent l’Inde”*, dans le site prestigieux de l’Abbaye de Fontfroide et en établissant de riches partenariats avec le LAC à Sigean, par exemple. « Pour 2013, notre ambition est que le festival s’étende sur tout le territoire avec une implication croissante de ses équipements culturels. ». Concerts, rencontres, expos, conférences, films, Master class… pendant 6 jours, du 29 mai au 3 juin, Le Grand Narbonne a vibré cette année aux accents de l’Inde. Et de ses femmes. Manifestation engagée et alternative, Libertad a « pour vocation d’aller à la rencontre de tous les publics », grâce à l’accessibilité de ses tarifs. Petits prix pour grandes découvertes et émotions partagées. * Exposition conçue par BNP Paribas et Magnum Photos

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angle Amphoralis La culture en héritage C’est le petit dernier des équipements entré dans le giron du Grand Narbonne. Avec les 6 ha de son site à ciel ouvert, le musée des potiers gallo-romains Amphoralis à Sallèles-d’Aude a pourtant tout d’un grand.

Tout, sauf peut-être une fréquentation en berne ces dernières années alors même que le travail de fouilles archéologiques et de valorisation historique réalisé sur place jusqu’alors relève de l’exploit. « Récupérer Amphoralis, note Bérangère Battistella, c’est redonner du sens à notre histoire en la reconnectant avec ce qui a construit notre identité depuis des siècles : la vigne et le vin ». Plus encore à l’approche

premier plan dans l’attractivité territoriale. Elle est un des facteurs clé de la qualité de vie perçue et du choix de venir s’installer ici. De fait, elle entretient des liens étroits avec la dimension économique.

Dès à présent Le Grand Narbonne doit mettre ses équipements culturels en réseau avec les outils de sa politique touristique.

Une évidence quand on sait combien pèse le tourisme dans le développement du territoire. Et ce que sont les nouvelles attentes des consommateurs sur ce marché.

Nouveau venu dans les équipements communautaires, le musée des Potiers Amphoralis à Sallèles-d’Aude préfigure, au regard de son partenariat avec l’École d’Arts Plastiques et du futur musée de la Romanité, une

de l’implantation du futur musée de la Romanité à Narbonne. Une cohérence qui trouve son aboutissement dans la nomination d’Anne Bousquet, directrice de l’École d’Arts Plastiques à la tête d’Amphoralis : « J’y vois un lien immédiat avec l’École en l’inscrivant dans une perspective patrimoniale, note-t-elle. Il y a matière à instaurer un vrai dialogue entre ces deux équipements ». La médiation scientifique et l’ouverture culturelle y seront à l’honneur, permettant à chacun, habitants comme touristes, de s’approprier l’héritage d’une des plus grandes cités industrielles de l’Empire romain.

Le tuba et l’accordéon arrivent au Conservatoire

Ouveillan, Saint-Marcel-sur-Aude et Pouzols-Minervois

3 maires accueillent La Tempora Un programme unique, des têtes d’affiche prestigieuses, toute l’année, sur tout le territoire et 100 % gratuit, La Tempora vue par trois maires du Grand Narbonne. « Il faut rappeler que La Tempora a pris le relais de « Festàs en Festàs ». L’idée a toujours été de valoriser le potentiel d’accueil de notre territoire, en particulier rural, à travers les fêtes locales de chaque village tout au long de l’année », rappelle en préambule Gérard Cribaillet, maire d’Ouveillan. Une manifestation dynamisée et enrichie depuis deux ans par le service culturel du Grand Narbonne.

Aujourd’hui, La Tempora offre ainsi « la possibilité de piocher dans un catalogue d’offres culturelles extrêmement riche, construit par des professionnels. Sans Le Grand Narbonne, nous ne pourrions pas accueillir de tels artistes

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avec nos seuls budgets communaux », poursuit le dynamique maire de SaintMarcel-sur-Aude, Guillaume Héras.

Même son de cloche un peu plus loin, à Pouzols-Minervois, où Laurence et Corinne, les deux agents administratifs de la mairie confirment : « Pour un village comme le nôtre, les spectacles de La Tempora sont l’occasion de recevoir des artistes que nous n’aurions pas l’opportunité de voir autrement. Cet été, nous avons accueilli Elliott Murphy, Roland Tchakounté l’an dernier, deux artistes de renommée internationale. » L’objectif du dispositif est clair : mailler le territoire avec une offre culturelle de qualité toute l’année. Et ça marche ! Auprès du public local comme venu de plus loin. À Pouzols, Elliott Murphy a déplacé des spectateurs depuis Marseille et Montpellier quand Ouveillan jouait à

guichet fermé pour Gustave Parking en 2011. Ferment de rassemblement et d’ouverture, La Tempora joue la carte de l’attractivité « en lien direct avec le développement du tourisme… et donc de l’économie ».

Questions à…

Anne Bousquet, directrice de l’École d’Arts Plastiques du Grand Narbonne

Diriez-vous qu’aujourd’hui, l’École d’Arts Plastiques fait sa révolution ?

Je dirai plutôt qu’elle inaugure sa métamorphose : ouverture, structuration et professionnalisation.

Pour la première fois cette année, nous allons développer un vrai projet d’établissement, avec l’objectif de l’ouvrir à tout le territoire, et prioritairement aux jeunes grâce notamment à un partenariat avec l’Éducation Nationale. L’idée est de décloisonner en jouant sur la mixité et la transversalité.

Concrètement, qu’est-ce qui change ?

En premier lieu notre approche : nous allons vers une offre plus construite, soutenue par une vraie dynamique de progression pédagogique. Pour autant, cela reste une école de loisirs ouverte à tous, de 4 à 90 ans. Nous revenons ensuite aux fondamentaux en replaçant le dessin au centre de notre enseignement. Enfin, le rapprochement vers les écoles élémentaires du territoire et les lycées, en synergie et en complémentarité avec l’Éducation Nationale.

Pouvez-vous l’illustrer de quelques exemples ?

Avec les professeurs arrivés en 2011 et 2012, nous créons deux nouveaux cours spécialement destinés aux lycéens, dont un baptisé « option Art » les lundi et jeudi soir, pour accompagner les élèves de Première et Terminale à préparer leur matière Arts Plastiques au bac. Et pour les éclairer et les guider dans leur choix d’orientation vers des filières artistiques, souvent nébuleuses pour eux. Autre exemple : nous allons

multiplier les interventions en milieu scolaire – maternelle et élémentaire – dans tout Le Grand Narbonne à la demande des établissements.

Soit en proposant des classes d’initiation aux tout-petits, soit en associant les enfants de primaire à des projets plus spécifiques, comme lors du Salon littérature jeunesse par exemple.

Peinture, dessin, sculpture… s’exposent à la Médiathèque

Vicente Pradal

L’exil en résidence

nouvelle logique de fonctionnement : la transversalité comme moteur de croissance. Art, histoire, pédagogie, manifestation culturelle, chaque équipement porte en lui les germes de ces possibles. « L’École d’Arts Plastiques est dans ses startingblocks , précise Bérangère Battistella.

L’objectif du Grand Narbonne est de rendre plus attractive cette école et de capter 100 élèves supplémentaires par an grâce à la mise en place d’un véritable parcours pédagogique ». Et le Conservatoire, dirigé par Gilles Guilleux, suit le mouvement.

Professionnalisation des enseignants, labellisation à rayonnement départemental en cours avec le conservatoire de Carcassonne, Master Class et partenariats sont autant de projets confiés au nouveau directeur du Conservatoire. La Médiathèque n’est pas en reste. Sylvain Panis, à la tête de l’établissement depuis près d’un an poursuit la mise en place d’un projet d’établissement, la redistribution des espaces et l’amélioration des services… autant d’actions pour répondre au plus près aux attentes des lecteurs.

Au-delà de sa fonction sociale et sociétale, la culture est une voie délibérément placée au cœur du projet de territoire du Grand Narbonne. Son immense diversité y trouve avec bonheur toute sa place.

Il s’exprime distinctement, avec dans la voix, le chant des pierres rocailleuses de son Occitanie natale. Et le souvenir d’une Espagne fuie par ses ancêtres, jamais oubliée, omniprésente dans toute son œuvre de poète musicien, à la fois chanteur, guitariste et compositeurinterprète. Né à Toulouse, Vicente Pradal avoue un lien très fort avec le territoire du Grand Narbonne, qu’il fréquente depuis l’enfance et où il vient régulièrement se ressourcer, au calme de sa maison de Treilles.

En septembre et octobre 2011, le Théâtre/Scène Nationale l’accueille pour la deuxième fois en résidence, lui et un groupe de musiciens, autour de la création d’un spectacle sur le poète espagnol « injustement méconnu en France » Miguel Hernandez, mort à 31 ans fauché par la guerre. « C’est toujours une expérience originale, explique-t-il, que de réunir tous les protagonistes et de les confronter, après une année ou plus de travail théorique à la réalité du plateau ».

Pourquoi ici ? « C’est un plaisir de travailler dans ce théâtre, sur ce plateau merveilleux, entourés de gens très attentifs avec nous, puis de présenter notre travail singulier à un public aussi bienveillant ». Confiance, respect mais également fraternité entre l’Occitanie du sud et l’histoire de l’Espagne que défend Vicente Pradal : « même si je ne formate pas mon travail à un public en particulier, je sais qu’ici, je vais être accueilli par des frères », poursuit-il. Mais le moteur essentiel

de sa créativité reste pour lui « la volonté d’une direction qui soutient notre démarche, nous offre le lieu, l’hébergement et met de l’argent dans nos projets ».

En tête, l’équipe du théâtre, dont il souligne la confiance et l’audace à favoriser la création vivante : « on ne sait jamais à l’avance ce qui va sortir. Pour autant, il existe un respect total. Ce n’est pas parce qu’on nous paie, qu’on nous héberge, que l’on se permet d’avoir un droit de regard sur la chose artistique. C’est très précieux ».

Un soutien et un label qu’il emporte avec lui en tournée.

Une belle carte de visite pour le rayonnement du Théâtre du Grand Narbonne.

L’Inde, vedette de l’édition 2012 de Libertad

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écran Peyriac-de-Mer

Il était une fois… cent ans de vie

350 pages et toute l’histoire de la commune et de ses habitants depuis cent ans, des photos, une foultitude d’anecdotes… parsèment cet extraordinaire ouvrage entièrement écrit par Lucien Combes. Retour sur l’aventure d’un éditeur malgré lui.

Lucien a 69 ans, il est né dans la Marne et vient passer chaque année ses vacances à Peyriac-de-Mer depuis sa plus jeune enfance. « En 1970, à l’occasion d’une mutation professionnelle à Montpellier, nous décidons ma femme et moi de venir nous installer à Peyriac-de-Mer, proche de la famille ». Le père de Lucien, originaire de Peyriac et qui vient de fêter ses cent ans, a toujours été très impliqué dans la vie associative de la commune et au fil des années a rassemblé tous les articles et les photos relatant la vie au quotidien. « En réalisant cet ouvrage, explique Lucien, je voulais que les anciens ainsi que les nouveaux habitants sachent ce qu’ont été les joies et les peines des Peyriacois ». L’idée d’un livre fait alors son chemin dans l’esprit de Lucien qui décide d’aller à la rencontre de plus de 80 familles de Peyriac pour retracer cent ans de vie. « Pour certaines familles que mon père connaissait, ce sont les enfants ou petits enfants qui sont ici et qui m’ont ouvert leurs portes, m’ont donné des photos, raconté des anecdotes ». Au hasard de ces pages, ce sont des regards, des attitudes qui frappent.

Autres séries de photos intéressantes : le village photographié sur un siècle. « J’ai voulu proposer à tous les amoureux de Peyriac, habitants et visiteurs, un ouvrage qui donne la parole aux souvenirs et aux témoignages, de la vie du début du siècle à nos jours. Il était temps, je crois, d’exposer et de relater cette histoire, car ce sont de petits morceaux de notre vie ou du passé de nos parents qui s’y retrouvent ». C’est chose faite et magnifiquement.

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marcorignan

Place aux logements aidés

Leucate

Une grande première Le premier collège de l’histoire de Leucate a ouvert ses portes le lundi 4 septembre aux 28 élèves de l’unique classe de sixième qui ont eu le privilège d’inaugurer des bâtiments entièrement rénovés. Deux nouvelles salles de classe vont venir s’ajouter aux quatre actuelles.

L’équipe pédagogique a dégagé trois axes thématiques transdisciplinaires qui occuperont chacun un trimestre : l’environnement, la mosaïque et le théâtre. Le collège fonctionne sur quatre jours.

D’année en année, le collège se développera au fur et à mesure de l’avancée des élèves en section supérieure. Cette année, les sixièmes. La rentrée prochaine verra s’ouvrir une classe de cinquième, ainsi de suite.

Ici, la politique sociale n’est pas un vain mot. La commune vient d’acquérir un immeuble situé place de l’Olivier. Après rénovation, la commune projette d’y créer 3 logements aidés dont elle assurera la gestion. Cette opération immobilière va également contribuer à l’embellissement du cœur du village.

COURSAN

Objectif : 0 camion dans la commune

Aujourd’hui, c’est fait : la traversée de Coursan – RD 6 009 – est interdite aux poids lourds de 7,5 tonnes et plus, excepté pour les dessertes locales : Coursan, Fleury et Salles. Une bonne nouvelle pour les habitants de la commune. Deux mois après son application, on est à même de constater une très nette amélioration du trafic routier. L’amélioration de la qualité de vie des Coursanaises et Coursanais s’en trouve déjà profondément améliorée.

Seconde étape : dans les prochaines semaines va s’ouvrir avec les partenaires concernés, le débat sur la nécessité de la réalisation d’une voie de contournement du chef-lieu de canton.

Le saviez-vous Le pourcentage de camions dans le trafic global sur le secteur est passé de 4,60 % en 2010 à 10 % en 2012 au Nord de l’agglomération et de 7,70 % à 8 % au Sud. Chaque jour, ce sont 2 140 poids lourds qui empruntent cette route.

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SALLÈLES-D’AUDE

Bientôt un jardin public au Calvaire

C’est en 1862, que fut érigé par Madame Miramont, cet ensemble religieux en mémoire à ses défunts. Il se compose d’une chapelle centrale, d’un déambulatoire couvert en partie, l’ensemble étant animé par un chemin de croix remis en couleurs. D’importants travaux de restauration ont été entrepris par la municipalité afin de pouvoir offrir très bientôt aux Sallèlois et aux visiteurs un jardin public de qualité dans un cadre majestueux.

Névian

Plus accueillante et confortable

Les quartiers du village se refont une beauté.

Tout d’abord l’entrée côté route de Clottes a été élargie, avec création de zones de délestage, passage surélevé et mise en place de bacs fleuris. Dans la rue du 14 Juillet, rue de l’Orbieu et chemin de l’Orbieu, les réseaux secs ont été enfouis et après recalibrage de la chaussée, celle-ci a été recouverte d’une couche d’enrobé. Après la reprise des canalisations eau potable et eaux usées, l’enfouissement des réseaux téléphonie et électricité, réalisés pendant l’été avenue de Villedaigne, les travaux reprennent avec la création de trottoirs, de zones à circulation prioritaire, d’un éclairage public, un aménagement paysager… Une belle réalisation pour le village.

SIGEAN

l’école primaire sécurisée

La rue de l’Etang- Boyé, voie encombrée et rétrécie à l’époque par l’implantation d’un hangar servant de boulodrome. Elle ne pouvait assurer sa fonction première de liaison routière entre, l’avenue de Perpignan, les nouveaux quartiers ouest de la ville, l’accès au stade, à la piscine et à l’aire de sports et de loisirs. Il était urgent d’agir et de restructurer cette zone. C’est chose faite depuis la rentrée scolaire. Malgré la configuration du terrain et la diversité des besoins, un espace public de qualité a été réalisé. Et les premiers résultats sont là, principalement pour les 350 écoliers et leurs parents. Une aire de stationnement appelée “arrêt-minute”, facilite l’arrêt des véhicules et la dépose des enfants.

L’aire de jeux de l’école primaire sera reconduite dans sa superficie avec, dans un futur proche, la création d’un City-Park. Une deuxième phase est en cours avec la construction d’un boulodrome couvert, l’implantation de nouveaux cadres de jeux de boules et la création de places de stationnement. Une voie nouvelle desservira cet espace, avec sortie sur l’avenue de Perpignan.

Le tout sera aménagé avec des espaces verts, garnis de plantes méditerranéennes et autres arbres de notre région.

BAGES

Concilier l’utile à l’agréable

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oir Grand les avait rencontrés en juillet 2010 lors de l’ouverture de leur épicerie sur cette ravissante place de Bages. Aujourd’hui, Christine et Frédéric s’agrandissent pour créer un espace restauration avec leur épicerie, toujours dénommée, les Jardins de Bages.

Des travaux d’aménagement y ont été réalisés avec la mise en place d’une cuisine, d’un bar recouvert de zinc et des toilettes. Désormais ouverts 7 jours sur 7, ils proposent midi et soir

une restauration à emporter ou à déguster sur place, sur la terrasse. Pas question d’utiliser des surgelés, tout y est fait maison avec les produits frais locaux et chaque jour des plats différents et variés. Les Jardins de Bages, un lieu de dégustation même rapide, de détente, de convivialité… Désormais, ici l’on peut faire son marché, boire un petit café au soleil et venir y déjeuner ou dîner.

Que du bonheur !

> Les Jardins de Bages : 04 68 70 13 76

PORT-LA-NOUVELLE

C’est parti pour la nouvelle gendarmerie !

Cent ans après sa création (1912)… Cinquante ans après son installation dans ses actuels locaux (1962)…

La brigade de gendarmerie de Port-la-Nouvelle vient de déménager dans une caserne toute neuve. Conçu dans un esprit fonctionnel, le bâtiment est parfaitement adapté aux missions des gendarmes et à leurs exigences de travail. Sur 300 m2, il accueille 10 bureaux, une salle d’attente et d’accueil, des locaux techniques, des locaux sécurisés, 2 cellules, un espace détente, des sanitaires, 2 salles d’audition. À proximité de la caserne, 14 pavillons (du T3 au T5) et 2 studios ont été construits pour l’hébergement des gendarmes et de leurs familles. Issu d’une concertation humaine et rigoureuse entre l’État et la Commune de Port-laNouvelle, ce transfert poursuit un triple objectif : qualitatif avec l’amélioration du service public et de la sécurité des biens et des personnes à l’échelle du canton* ; territorial avec le développement du quartier sud de la ville ; social avec l’accueil de 14 familles supplémentaires sur la commune. Trois bonnes nouvelles pour Port-la-Nouvelle ! * Port-la-Nouvelle, Sigean, La Palme, Peyriac-de-Mer, Portel-des-Corbières, Roquefort-des-Corbières.

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Salins de Gruissan

Quand tradition rime avec innovation

Le bail et la convention de partenariat signés entre la commune de Gruissan et la société Someval ne manquent pas d’ambition ! En jeu, le développement économique et culturel des salins de Gruissan, un site emblématique de l’histoire de la commune.

Si la reprise de la production de sel et le développement du musée du sel sont « classiques », les anciens marais salants vont accueillir des activités originales (production et commercialisation d’huîtres, création d’un espace de restauration à base de produits et de recettes régionales), voire carrément futuristes comme l’implantation d’une unité

de recherche en bio carburants et produits cosmétiques issus d’algues collectées à Gruissan*. Ces différentes activités devraient générer plus d’un million d’euros de chiffre d’affaires et permettre la création de 10 emplois en équivalents temps plein à l’année (trente en saison estivale).

Le 11 juillet dernier, le Maire, Didier Codorniou et Jean-Jacques Promé (Someval) ont également signé des conventions tripartites avec les autres usagers des salins : chasseurs, pêcheurs et Ligue pour la Protection des Oiseaux de l’Aude (LPO). Ces conventions prévoient le maintien des activités de chasse, la vente des produits de la pêche à la Someval pour la restauration et la poursuite des visites et observations des oiseaux.

Au-delà de son impact économique, l’activité salinière va également permettre la sauvegarde d’un éco système unique. Et dire que ce projet a bien failli ne jamais aboutir. La ville de Gruissan et la Someval ont engagé avec succès, une action juridique contre la Compagnie des Salins qui prévoyait le gel du site. Comme quoi il faut parfois savoir mettre son grain de sel pour défendre les projets d’avenir ! (*) Depuis juin 2011, le salin de Gruissan est site pilote du projet Salinalgue visant à cultiver sur 1 000 m2 la Dunaliella salina, une micro-algue utile à la fabrication de bioproduits dont un biocarburant. Une industrialisation progressive sur 6 000 ha est prévue à partir de 2015.

Innovant, le projet associe treize partenaires réunis dans un consortium privé-public, dont Someval. Salinalgue a été labellisé par les pôles de compétitivité Pôle Mer PACA, Cap Énergies, Trimatec et Derbi. Il s’inscrit dans le projet Green Stars impulsé par le LBE-INRA et soutenu par Le Grand Narbonne.

bizanet

Pour la sécurité de tous

Promenade du soir ou footing du matin sur la route en venant de Narbonne étaient devenus périlleux.

Afin de limiter la vitesse pour la sécurité des piétons et de tous ceux qui circulent dans le village, une signalisation à l’entrée de la commune et la mise en place d’un ralentisseur ont été effectués.

Sans oublier la mise en service de la zone 30 km/h sur la traversée de la commune. Et l’ensemble de ces réalisations semblent faire ses preuves à en croire les habitants soulagés et rassurés par ces mesures. « Vraiment, je me sens plus en sécurité et plus sereine quand je sors faire mes courses, explique Michèle, une résidente, ces aménagements étaient vraiment indispensables ». La commune envisage désormais l’installation de ces mêmes aménagements sur les autres entrées de Bizanet.

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Cuxac-d’Aude

L’âge de glace I

L

’initiative de la municipalité et de l’association “La route de la Glace” ne laissera personne… de glace ! La restauration des deux glacières du XVIIe siècle creusées à flanc de colline sur le Pech du Mont Carretou est en bonne voie.

Constituées de deux réservoirs circulaires d’environ 5 mètres de diamètre avec des murs d’un mètre d’épaisseur Deux particularités à construits à partir de matériaux hétéroclites (pierres plates de ces glacières : elles sont calcaire et galets de rivière), ces permettaient de stocker côte à côte et les portes glacières la glace recueillie en hiver dans la Montagne Noire. Celle-ci était sont orientées plein sud

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»

ensuite acheminée vers différents sites au moyen de charrettes tirées par des chevaux.

L’étude réalisée par Narbonne Insertion estime à trois ans la durée du chantier. La réhabilitation a été confiée à l’association « Concordia » dont l’objectif est de participer à des travaux d’utilité sociale et d’animation locale. Une équipe internationale composée de jeunes volontaires a déjà réalisé une première tranche de travaux de débroussaillage et de reconstruction des voûtes du toit des glacières en août 2011.

La réhabilitation de ce patrimoine bénéficie des subventions de divers partenaires (Région, DRAC, Conseil Général, Direction de la Jeunesse et des Sports), sans oublier la participation financière de l’association de “La Route de la Glace” et de la ville.

OUVEILLAN

REDONNER SA PLACE À L’AGNEAU

Éric et Frédéric Goixart ont de quoi être fiers. Ces deux frères ont pris le relais de ce commerce, avec la même conviction que leur père, fondateur il y a trente ans. La bergerie Le Maurandy, dispose aujourd’hui de cinq bâtiments. « Nous sommes négociants éleveurs. Nous achetons des agneaux en Paca, en Midi-Pyrénées, mais aussi en Espagne et au Portugal ». Chaque année, l’entreprise revend ainsi quelque cent mille bêtes. Après l’achat, l’agneau est entièrement pris en charge ici. C’est la garantie de conserver de bout en bout un regard sur la qualité du produit. « Nous réfléchissons maintenant à la possibilité de réintroduire des brebis et rétablir du pastoralisme traditionnel sur le territoire. Le circuit court est garant de qualité. En outre il participe au respect de l’environnement. Avec environ 5 000 m² de surface pouvant alimenter 280 foyers, nos bergeries constituent une part importante des installations photovoltaïques de la région ». Pour conclure Éric Goixard affirme : « on le fait, au fond de nous, pour revenir enfin au vrai métier de berger, tel que l’exerçait notre grand-père. La boucle serait alors bouclée ! ».

> P our en savoir plus : maisongoixart@orange.fr – 04 68 46 81 71

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écran

saint-marcel-d’aude

RAÏSSAC-D’AUDE

ACCROS’ LANGUES, association linguistique pour adultes

L’association « Accros’Langues » ne propose pas de séances de soutien scolaire. Elle ne propose pas non plus de séances de rattrapage en niveau scolaire.

Alors que peut-elle bien proposer ? Du loisir et du plaisir.

Plaisir de communiquer en anglais, en allemand, en français et en espagnol. Plaisir d’échanger entre adultes des mots, des paroles et plus si affinités. Car en dehors des cours, l’association organise de nombreuses activités : sorties culturelles, voyage à l’étranger (Londres, Écosse Irlande), fête annuelle à Raïssac-d’Aude, soirée théâtrale à Villedaigne…

Pour 20 € seulement, les adhérents peuvent choisir leur niveau et participer à différents cours sans régler de supplément. L’association propose trois niveaux en anglais - français (débutants, semidébutants ou semi-confirmés et confirmés), deux niveaux en allemand- français (débutants et semi-confirmés) et un niveau débutant en espagnol.

> Pour tous renseignements, joindre

Mme Claudia Nicolas (Présidente) au 06 78 38 02 25, Christine Montraisin (Trésorière) 06 18 43 11 07, M. JeanMarie Delverdié (Vice-président) 06 80 53 61 76 ou les secrétariats des mairies de Raïssac-d’Aude, de Canet d’Aude ou de Villedaigne.

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Poissons, fruits de mer en direct…

L

e commerce de proximité vit des temps difficiles mais il a des atouts certains et un avenir. Preuve en est à Saint-Marcel-sur-Aude où depuis quelques mois de nouveaux commerces s’installent. Et c’est la ferme conviction de Philippe Capadevila installé depuis le 1er juin dernier, galerie Malassan. Originaires de Canet-d’Aude, Philippe et Stéphanie, sa femme, habitent Sallèles-d’Aude. « Après plusieurs années comme cuisinier pour différents patrons, j’ai voulu être seul maître à On trouve toutes sortes de bord, explique Philippe. Je choisir mes produits coquillages… huîtres, moules, souhaitais et m’orienter davantage vers bulots et tourteaux cuits, sans mon dada les coquillages.

Un soir de l’année dernière, oublier les plats cuisinés revenant de la mer, nous avons remarqué en s’arrêtant ici acheter du pain, que l’on trouvait tout sauf une poissonnerie ». Aussitôt vu, aussitôt fait… Aujourd’hui après trois mois, Philippe est satisfait, « les affaires marchent pas mal », dit-il. Épaulé par son épouse, qui travaille avec lui à mi-temps, ce passionné peut passer des heures à parler de ses produits et ça donne envie d’y goûter !

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ventenac-EN-MINERVOIS

Une petite entreprise dynamique

Elle a 30 ans et se prénomme Gaël. En 2005, elle vient rejoindre son mari à Narbonne, responsable d’une entreprise de fabrication de supports promotionnels et de communication. En 2009, ils décident d’installer leur chez eux à Ventenac-enMinervois. « C’est un vrai village, convivial, joli avec tout le nécessaire à une vie quotidienne agréable, explique Gaël, nous avons eu un vrai coup de cœur ». Férue et passionnée de création visuelle, Gaël s’initie au graphisme et en 2011 créée chez elle, sa petite structure de création visuelle et de concepts, avec entre autres une affinité dans le domaine de l’ameublement. « Je n’ai aucun mérite à m’être intéressée à ce thème, ajoute-t-elle, toute petite déjà j’aimais me rendre dans les magasins de mon père ; tirer des leçons de ses enseignements, imaginer… ». Elle développe en parallèle et en toute confidentialité des décorations de mariage personnalisées, produits issus de son expérience personnelle. Aujourd’hui, les choses se passent bien, « j’aime travailler de chez moi, j’organise mon temps exactement comme je l’entends… et ce d’autant, conclut Gaël, que je serai bientôt maman d’une petite fille, et quoi de mieux pour elle que de travailler à domicile ». Que du bonheur en sorte !

GINESTAS

À découvrir

34 naissances en 2010 et 33 en 2011… la démographie se porte bien à Fleury-d’Aude… Le nouvel ensemble périscolaire sera le bienvenu.

Fleury-d’Aude

Priorité aux jeunes Trois cent cinquante élèves, 138 repas quotidiens préparés à la cantine… Des chiffres qui justifient la création d’un nouvel ensemble périscolaire adapté aux contraintes et besoins actuels. Avec ce projet d’un montant de plus de 3M€ se dessine un véritable pôle jeunesse : le site d’implantation du futur centre se situe à proximité des écoles et de la médiathèque. Le terrain de 4 000 m2 Cantine, salle d’aide aux accueillera le bâtiment, des aires de jeux devoirs, à la lecture, aires extérieures et un parking de 100 places. Le service de restauration scolaire occupera le de jeux, dortoir… un pôle rez-de-chaussée du bâtiment avec deux salles dédié aux enfants. de restauration et une cuisine centrale. L’étage sera dédié à l’Accueil de Loisirs Associé à l’École (ALAE) avec deux salles d’activités, deux salles de lecture / TV, une salle d’aide aux devoirs, des sanitaires et un dortoir. Pour une intégration harmonieuse du bâtiment dans son environnement, l’architecture privilégiera une forme en U et en H proche de l’habitat existant dans le centre ancien et des matériaux simples (pierre locale, bardage bois). La performance énergétique sera assurée par une toiture-terrasse végétalisée ainsi que de larges baies vitrées côté sud. Inauguration prévue en janvier 2014.

narbonne

La proximité est un (Mont)plaisir

Accéder à tous les services administratifs et aux permanences sans presque avoir à bouger de chez soi ! Le rêve sera bientôt réalité pour les habitants des quartiers sud de la ville (Hauts de Narbonne, Rochegrise et Réveillon). La future mairie annexe s’installe sur le domaine de Montplaisir, dans les locaux laissés vacants par le Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée. Elle sera opérationnelle au 1er trimestre 2013. Avant de pouvoir accueillir du public, notamment les personnes à mobilité réduite, le bâtiment nécessite quelques travaux d’aménagement.

Outre l’administration municipale et certains services à la population, ce sont aussi des associations et des organismes qui seront sollicités pour assurer dans ce quartier de Narbonne des permanences au plus près de leurs usagers.

En 1853, le Conseil Municipal confiait l’ancien cimetière à la Paroisse pour en faire un lieu de culte : le Calvaire. Aujourd’hui la remise en état a été effectuée par les services techniques de la commune, en collaboration avec l’Association du Patrimoine. Un jardin y a également été créé avec l’aide et l’expérience d’un ingénieur agronome, Michel Bourzeik. Des bigaradiers, autrement appelé l’arbre aux oranges amères, y ont été plantés. du lundi au samedi > Ode uverture 9h à 19h

TREILLES

Une inauguration sous le signe de la bonne humeur

Les nouveaux lotissements « Les Terrasses de la Bade » et « le lotissement communal de la Bade » ont été inaugurés le 7 juillet dernier dans une ambiance festive avec la Mesnie des Chevaliers du Fitou.

Après la visite des deux sites avec vue imprenable sur le littoral, les équipements réalisés et les constructions en cours, le long cortège des élus, personnalités et assistance s’est réuni sur la Place de la Fontaine.

Dans un rituel somptueux le Grand Maitre a tenu Chapitre de la Mesnie avec l‘éloge du Fitou. Ont suivi les intronisations de six dignitaires pour devenir ambassadeurs du Fitou. Madame Marie-Hélène Fabre a reçu le grade d’Officier de la Mesnie.

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Le Grand Narbonne, ce sont 37 communes et plus de 120 000 habitants.

Écrivez-nous…

La Médiathèque 1 bd Frédéric Mistral 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 43 40 40 Fax : 04 68 43 40 41

Le Grand Narbonne

Communauté d’Agglomération Hôtel d’Agglomération 12 bd Frédéric Mistral - CS 50 100 - 11 785 Narbonne CEDEX Tél. : 04 68 58 14 58 Fax : 04 68 58 14 59 Ouvert au public de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30

contact@legrandnarbonne.com

www.legrandnarbonne.com Citiboutique Transports urbains et interurbains Tél./fax : 04 68 90 18 18

Politique de l’habitat Tél./fax. 04 68 58 14 67 Régie de l’Eau et de l’Assainissement Tél./fax : 04 68 58 14 53

Direction générale des services Tél./fax : 04 68 58 14 50

Patrimoine Tél./fax : 04 68 58 17 55

Direction générale des services adjoint Pôle ressources et moyens Tél./fax : 04 68 58 14 64 Direction des Services techniques Tél./fax : 04 68 58 14 60 Direction générale des services adjoint Pôle Urbanisme - Habitat - Cohésion sociale et développement territorial Tél./fax : 04 68 58 14 62 Politiques contractuelles Tél./fax : 04 68 58 14 65 Direction des finances Tél./fax : 04 68 58 10 88 Direction des Ressources humaines Tél./fax : 04 68 58 10 89 Espace rural et équilibre du territoire Tél./fax : 04 68 58 14 58 poste 14 82 Développement économique Tél./fax : 04 68 40 50 31 Politique de la Ville Tél./fax : 04 68 40 50 23

Environnement Direction Tél./fax : 04 68 58 14 61 Collecte des déchets ménagers Tél./fax : 04 68 58 14 57 Déchetteries Recycleries Tél./fax : 04 68 58 14 57 Tri sélectif Tél./fax : 04 68 58 14 68 Cabinet Tél./fax : 04 68 58 17 38 Communication Tél./fax : 04 68 58 17 42

Espace de Liberté Avenue Général Leclerc 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 42 17 89 Fax : 04 68 41 10 73 www.espaceliberte.com Conservatoire de Musique et d’Art dramatique 1 rue de l’Étoile 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 58 10 80 Fax : 04 68 90 26 54 École d’arts plastiques 1 rue de l’Étoile 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 58 10 80 Maison Emploi et Formation 8 avenue Maréchal Foch 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 65 39 55 Fax : 04 68 32 45 72 www.mef-legrandnarbonne.fr Piscine de Fleury 4 rue des Cayrols 11 560 Fleury-d’Aude Tél. : 04 68 46 51 00 Fax : 04 68 42 21 84 Le Théâtre-Scène Nationale 2 av. Ma tre Hubert Mouly 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 90 90 00 Fax : 04 68 90 90 09 www.letheatre-narbonne.com

Parc des expositions Avenue Ma tre Hubert Mouly Centre technique de 11 100 Narbonne Coursan Tél. : 04 68 90 44 00 Comptabilité Fax : 04 68 90 44 11 service Eau /Assainissement www.parcexpos-narbonne.com 32 rue Gustave Eiffel ZAE La Condamine Fourrière animale A.R.P.A.N 11 110 Coursan Cap de Pla - RN 113 Tél. : 04 68 33 83 27 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 41 41 68 Centre Technique annexe de Ginestas Route de Mirepeïsset 11120 Ginestas Tél. : 04 68 46 12 20 N° astreinte : 04 68 33 83 27 Acceuil-ginestas@orange.fr

Les Pompes Funèbres 51 voie des Elysiques 11 100 Narbonne Tél. : 04 68 42 88 77 Fax : 04 68 42 88 33

SEML SENA SUD Tél./fax : 04 68 90 22 50

L’Office Public de l’Habitat a changé de locaux. Vous pouvez les retrouver à l’adresse suivante : OPH du Grand Narbonne – 27 rue Nicolas Leblanc ZAC LA COUPE à Narbonne Tél. : 04 68 32 20 55. Ligne de bus n° 2. Ouverture au public : lundi et mercredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h, le vendredi de 8 h 30 à 16 h 30 sans interruption. Permanence à l’Hôtel d’Agglomération du Grand Narbonne, 12 bd Frédéric Mistral : tous les jours de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30.

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Envoyez-nous vos questions ou vos suggestions par courrier : LE GRAND NARBONNE Service Communication 12 bd Frédéric Mistral 11 785 Narbonne CEDEX ou sur www.legrandnarbonne.com

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Argeliers

Maire : Christian Rouzaud 7 place de l’Hôtel de Ville Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 16 h à 18 h.

Tél. : 04 68 46 11 04 www.argeliers.fr 2

Armissan

Maire : Gérard Kerfyser Vice-Président délégué à la Voirie 17 rue de la Mairie Du lundi au vendredi, de 8 h à 12 h et de 14 h à 16 h.

Tél. : 04 68 45 33 41 mairie.armissan@wanadoo.fr www.armissan.eu 3

Bages

Maire : Marie Bat Vice-Présidente déléguée à l’Environnement et au PNR. Place juin 1907 Du lundi au vendredi, de 8 h à 12 h.

Tél. : 04 68 41 38 90 info@bages.fr www.bages.fr 4

Bizanet

Maire : Jacques Blaya 12 rue de la République Du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 12 h.

Mardi, jeudi, vendredi : 9 h 30 à 12 h et de 13 h à 15 h.

Mer : 9 h 30 à 12 h et 13 h à 19 h.

Tél. : 04 68 45 11 85 www.bizanet.net 5

Bize-Minervois

Maire : Alain Fabre Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 15 h 30 à 18 h 30.

Tél. : 04 68 46 10 29 www.bize.minervois.fr 6

Caves

Maire : Jean Desmidt 4 rue de la Mairie Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.

Fermé le mercredi et vendredi après-midi.

Tél. : 04 68 45 71 71

Coursan

Maire : Gilbert Pla Vice-Président délégué aux Finances, aux Affaires générales et à la Commande publique.

Avenue Frédéric Mistral Du lundi au vendredi, de 8 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

Tél. : 04 68 46 61 61 www.coursan.fr

Cuxac-d’Aude

Maire : Jacques Pociello 29 bd Yvan Pélissier Heures d’ouverture des services administratifs : Lundi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 18 h 30.

Mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30.

Tél. : 04 68 46 68 68 mairie.cuxac.daude@wanadoo.fr www.mairie-cuxacdaude.fr 9

Feuilla

Maire : Henri Fauran 9 rue du Quartier Neuf Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h.

Tél. : 04 68 45 71 61 10

Fleury-d’Aude

Maire : Guy Sié 4 boulevard de la République Du lundi au vendredi, de 8 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

Tél. : 04 68 46 60 60 www.communefleury.fr 11

Ginestas

Maire : Georges Combes 4 avenue de la Promenade Lundi, mardi, jeudi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h.

Tél. : 04 68 46 12 06 www.ginestas.fr 12

Gruissan

Maire : Didier Codorniou Vice-Président délégué à la Communication, au Tourisme, et aux Équipements sportifs.

Rue Jules Ferry Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 h et 13 h 30 à 17 h 30.

Tél. : 04 68 75 21 21 www.ville-gruissan.fr 13

La Palme

Maire : André Pla 13 rue Joël Bousquet Du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 12 h et de 14 h 30 à 17 h Tél. : 04 68 48 15 23 14

Leucate

Maire : Michel Py 34 rue Dr Sidras Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h 30 et de 14 h à 17 h Tél. : 04 68 40 51 00

pratique

narbonne

D. 1

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6

D.

N. 9

D.

2 Armissan

19

A. 61

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NARBONNE

Montredondes-Corbières 17

11

37 Vinassan

20 Névian

Villedaigne 36

D. 168

D. 3

2

4 Bizanet

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D. 32

13

Bages 3

D. 6

1

Maire : Christian Théron 1 rue de la Mairie Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.

Tél. : 04 68 48 20 47

61

Gruissan 12

28 Saint-Marcelsur-Aude

Peyriac-de-Mer 22

1

. 61

D Portel-desCorbières 24

Maire : Guillaume Héras 9 avenue Georges Brassens Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h.

Du lundi au jeudi de 17 h à 18 h.

Tél. : 04 68 93 62 13 mairiedesaintmarceldaude.com

MER MÉDITERRANÉE

N. 9

Sigean 33

23 D. 9 Port-la-Nouvelle

Roquefortdes-Corbières 27

09

D. 7

La Palme 13

9 Feuilla Treilles 34

6 Caves D. 627

Maire : Gérard Cribaillet Vice-Président délégué à l’Agriculture-Viticulture et à la Fourrière animale.

Place des Pénitents Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h.

Lundi, mercredi, vendredi, de 16 h à 18 h.

Mardi, jeudi, de 16 h à 18 h 30.

Tél. : 04 68 46 81 90 mairie.ouveillan@wanadoo.fr www.ouveillan.com

Raïssac-d’Aude

D.

Ouveillan

D. 19

21 Ouveillan Pouzols- 25 11 Ginestas Minervois 5 16 Mirepeïsset .

D 31 Sallèles-d'Aude Ste-Valière 30 St-NazaireSt-Marcel32 Salles29 D. 31 8 Cuxac-d'Aude 28 sur-Aude d'Aude Ventenac- d'Aude en-Minervois 35 18 Moussan 7 Coursan D. 611 10 FleuryRaïssacd'Aude d'Aude 26 15 Marcorignan

Maire : Didier Bousquet 2 rue de la République Tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h.

Tél. : 04 68 43 80 82

Roquefortdes-Corbières

1

D. 1

1 Argeliers

D. 611

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Bize- 5 Minervois

D. 13

Névian

Maire : Magali Vergnes Vice-Présidente déléguée aux Politiques contractuelles, aux Relations avec les structures du territoire et à la Régie des pompes funèbres.

13 avenue de la gare Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

Tél. : 04 68 93 60 55 www.mairie-nevian.fr

Pouzols-Minervois

Maire : Louis Pech 25 rue de la République Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 15 h.

Fermé le mercredi aprèsmidi.

Tél. : 04 68 46 13 74 mairie-pouzols-minervois@ orange.fr mairie-pouzols-minervois.fr 26

N. 9

N. 112

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Sallèles-d’Aude

Maire : Yves Bastié 22 avenue René Iché Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 17 h à 18 h.

Tél. : 04 68 46 68 46 www.sallelesdaude.fr

Maire : Roger Brunel 10 avenue des Corbières Du lundi au vendredi, de 10 h à 12 h et de 16 h à 18 h Tél. : 04 68 48 28 00

Vinassan

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Maire : Didier Aldebert 9 rue Jean Jaurès Du lundi au vendredi de 8 h à 12 h et 14 h à 18 h.

Tél. : 04 68 45 29 00 www.vinassan.fr

D.

Narbonne

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Treilles

Maire : Alain Bouton 8 place de la Fontaine Du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h Fermé le mercredi après-midi Tél. : 04 68 45 71 81

607

19

Maire : Jacques Bascou Président du Grand Narbonne.

Place de l’Hôtel de Ville Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 h et 13 h 30 à 17 h 30.

Tél. : 04 68 90 30 30 communication@mairie-narbonne.fr www.narbonne.fr

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Villedaigne

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Maire : Alain Péréa 2 rue de la Mairie Tél. : 04 68 43 80 06

D.

Maire : Jean-Paul Schembri 9 avenue de la Mairie Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30.

Tél. : 04 68 93 61 06

Maire : Henri Martin Place du 21 juillet 1844 Tél. : 04 68 40 30 30 Du lundi au vendredi, de 8 h 45 à 12 h et de 13 h 45 à 17 h 30 et le samedi de 9 h à 12 h. www.portlanouvelle.fr

Sigean

Maire : Roger Combes Place de la Libération Du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h Tél. : 04 68 40 24 24

A. 9

Moussan

Sainte-Valière

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Maire : Christian Lapalu Vice-Président.

1 place de la Mairie Du lundi au vendredi, de 10 h à 12 h et de 13 h à 15 h.

Mercredi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 16 h.

Tél. : 04 68 43 23 66 www.ventenac-en-minervois.fr

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18

30

Maire : Viviane Durand 8 place de l’Église Lundi, jeudi, vendredi : de 9 h à 12 h et de 13 h à 17 h. Mardi de 9 h à 12 h et de 15 h à 19 h Mercredi de 9 h à 12 h (fermé l’après-midi).

Tél. : 04 68 46 13 63 www.mairie-sainte-valiere.fr

35 Ventenacen-Minervois

D. 3

Maire : Bernard Géa Vice-Président.

2 rue Albin Richou Du lundi au vendredi, de 8 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h.

Tél. : 04 68 42 06 38 www.mairiemontredoncorbieres.fr

Maire : Yves Hélaine Avenue de la République du lundi au jeudi, de 9 h à 12 h et de 16 h à 18 h et vendredi, de 9 h à 12 h.

Tél. : 04 68 93 61 55 www.mairie-saintnazaireaude.fr

Salles-d’Aude

6

17 Montredondes-Corbières

Port-la-Nouvelle

32

Maire : Jean-Luc Rivel Place de la Mairie Du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

Tél. : 04 68 33 61 73

D. 2

Maire : André Ratia Place de la République Du lundi au jeudi, de 9 h à 12 h et de 17 h à 18 h 30. Vendredi, de 9 h à 12 h et de 17 h à 18 h.

Tél. : 04 68 46 13 30

23

29 Saint-Nazaired’Aude

610

Mirepeïsset

Peyriac-de-Mer

D.

16

22

Maire : Jean-Marie Assens 2 place de la Mairie Lundi, mardi et jeudi de 10 h à 12 h et de 15 h à 17 h. Mercredi et vendredi de 10 h à 12 h et de 15 h à 18 h. Samedi de 10 h à 12 h : Point info tourisme.

Tél. : 04 68 42 68 42 mairie.peyriacdemer@wanadoo.fr www.peyriacdemer.org

11

Marcorignan

D. 6

15

Maire : Aimé Laffon Vice-Président délégué à la Politique des Transports publics.

9 avenue de Narbonne Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30.

Tél. : 04 68 93 60 09 contact@marcorignan.fr www.marcorignan.fr

14 Leucate

D. 3

9

voir

- N°17

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