EXAMEN L1 DESIGN PAR
HATEM ZEHANI
J’atteste sur l’honneur ne pas avoir fait de plagiat sous quelque forme que ce soit et ne pas avoir triché vendredi, 9 janvier 2015
LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH MERVEILLES DU MONDE ANTIQUE
La grande pyramide de Gizeh ou appelée aussi la grande pyramide de Khéops, le deuxième roi de la IVe dynastie. La grande pyramide est présumé construite pour lui, pour son tombeau et ça il y a 4500 ans à Gizeh en Egypte. Avant de construire la grande pyramide les bâtisseurs ont totalement rasé une colline et ont laissé un pivot géant au centre, autour de ce pivot ils ont sculpté la roche pour y encastrer les blocs de dallages aux formes étranges pesant chacun la moyenne d'une grosse berline. Les bâtisseurs ont transféré sur 900 km près de 130 dalles de granite de 12 à 70 tonnes chacune et qui l'ont hissé jusqu'à 70 mètres au-dessus du sol, chose qui sera irréalisable actuellement La grande pyramide ne comporte que 3 chambres ridiculement petites en regard des dimensions des édifices, la chambre basse, la chambre médiane et la chambre haute Elle est empilé avec plus de 2000 millions de bloque de pierre de formes et de tailles différents ce qui beaucoup plus difficile avec des blocs identiques. Chaque bloque pèse le poids d'une grosse berline et le tout a été assemblé avec précision moderne de construction La chambre haute est parfaitement horizontale et verticale et sa précision de construction est supérieur à des constructions modernes, la précision est à l'ordre d'un dixième de millimètre La grande pyramide a quasiment passé 3 tremblements de terre majeurs sans dommage, tout était dans sa place et dedans à l'intérieur rien n’a bougé Ils ont orienté la pyramide si précisément qu'elle n'est décalé du nord que de seulement 5 centième de degré. Cette précision n'a été atteinte que depuis peu, 4500 ans plus tard au 17éme siècle ont été 5 fois moins précis. La grande pyramide possède en réalité 6 faces car chaque côté est très légèrement creusé, ce qui complique considérablement la construction, tout autant qu'aucune des blocs n'est semblable. Selon plusieurs égyptologues, la pyramide serait construite en 20 ans, soit 12h de travail par jour, 365 jours par an avec 2 millions de blocs de pierre soit 1 bloc taillée tissé extrait et tissé toutes les 2 minutes 30 environ. Sachant que les bâtisseurs ne connaissaient ni la roue, ni le fer et l'acier, c'était donc avec des burins de cuivre des mailles de pierre et beaucoup d'astuces qu'ils ont réalisé la septième merveille du monde antique et la seule encore visible de nos jours. Du coté géométrique, la pyramide est parfaitement ajusté avec des proportions étonnantes. On y mentionne souvent le nombre d'or et le nombre pi, c'est comme si les bâtisseurs nous avertissaient de quelque chose. Ainsi que dans les statues, la géométrie est parfaitement utilisé et ce sans être équipe de matériel permettant après de vérifier les proportions. Les proportions sont tellement précis au millimétré près qu'on dirait qu'on remplissait une piscine avec un verre d'eau comme mesure. Source http://www.thotweb.com La révélation des pyramides par Ekwanim Porductions (Documentaire)
STATUETTE HUMAINE À TÊTE DE FÉLIN PRÉHISTOIRE
On a découvert différentes figurines taillées à l'aide d'outils en pierre dans de l'ivoire de mammouth, présentant différents animaux comme les ours, les lions, les oiseaux ou même les poissons. Et parmi ces figurines d'ivoire la plus spectaculaire est la importante figurine qui fût découverte c'est celle de l'homme-lion, une créature thérianthrope fabuleuse. La sculpture a été découverte, brisée en centaines de petits morceaux, dans la grotte du Hohlenstein-Stadel dans la vallée de la Lone, le dernier jour de fouilles en 1939, qui ont été arrêtées à cause du début de la Seconde Guerre mondiale. Ce ne fut que trente ans plus tard que ces fragments d'ivoire furent reconnus comme éléments d'une figurine. Il a fallu deux décennies de plus avant que la statuette puisse être restaurée professionnellement. Pourtant, il manquait toujours des parties importantes de la figurine. En 2009, à l'occasion des fouilles dans la grotte du Stadel on a découvert la place exacte de la statuette et ce en 1939. Et finalement on a réussi en 2012, après des restaurations difficiles à compléter l'homme-lion à partir de 300 fragments, ce qui donne une statuette beaucoup plus détaillée. Ce qui enrichisse nos connaissances du processus de la fabrication de la statuette et permette des nouvelles interprétations sur l'usage de celle-ci. Ce chef-d'œuvre sculpté dans une défense de mammouth combine des caractéristiques animales et humaines. Le côté animal est représenté par la tête féline, le corps allongé et les bras qui font penser aux pattes et aux griffes d'un grand félin. Le côté humain de l'homme- lion se manifeste surtout par sa position debout, par les jambes et les pieds. Les résultats de la dernière restauration suggèrent que l'homme-lion était censé représenter un être masculin. La créature fantastique de l'homme-lion est un vestige extraordinaire et singulier qui nous mène au monde spirituel des hommes de la dernière période glaciaire, même si nous ne serons jamais capables de déchiffrer leur vision du monde, certainement très complexe. La statuette mesure 30 cm de haut, 6 cm de diamètre. Elle fût découverte dans l'abri du Hohlenstein-Stadel en Allemagne (anciennement en Jura Souable). Elle date d'environ 30000 ans av.J.c.- et conservée dans le musée d'Ulm. D'après Marcel Otte, cette image humaine est extraordinairement ambiguë puisqu'elle mêle l'homme et l'animal comme si le "héros aurignacien " se déguisait en félin pour acquérir sa force, tel un prototype lointain d'Héraclès arborant sa défroque de lion. Dans certains endroits, cette statuette est considérée comme une femme. Au début, la figure était classifiée autant qu'homme par Joachim Hahn. Après examination, Elisabeth Schmid a décidé que cette figure était une femme avec une tête de lion. Source http://donsmaps.com (photos) http://ma.prehistoire.free.fr http://www.loewenmensch.de
VICTOIRE DE SAMOTHRACE GRÈCE HELLÉNISTIQUE
Victoire de Samothrace est une magnifique sculpture grecque de l'époque hellénistique, exécuté vers 190 avant J.-C. en marbre de Lartos pour le bateau et en marbre de Paros pour la statue. Elle mesure 3,28 m d'hauteur, trouvée à l'île de Samothrace et conservée au Musée du Louvre actuellement à Paris. Dans l'antiquité grecque, pour faire honneur au vainqueur on sculpte une déesse ailée descendant du ciel. En ajoutant à cela un navire de guerre pour représenter une victoire navale. La déesse est vêtue d'un chiton en tissu et d'un drapé allant jusqu'à la taille avec un pied droit en avant touchant à peine le sol du navire. La statue montre que la déesse faisait un geste de salut en mettant sa main droite en avant en signe de victoire. La statue est basée sur un navire de guerre qu'on peut distinguer grâce à ses caisses de rames. Le navire et la déesse forment un seul bloc ce qui peut être veut dire que l'œuvre est faite par un seul artiste. L’œuvre est plus détaillée et plus finie du côté gauche que du côté droit et cela peut montrer que l’artiste qu’il l’a sculpté a fait cela exprès en fonction de son environnement spatiale. Donc on peut dire que la statue était légèrement tournée vers la droite, avec une vue un peu en profile. Ce qui est courant chez les artistes à l’époque hellénistique. Source http://louvre.fr
DISQUE DE PHAISTOS CNOSSOS
Le disque de Phaistos est un disque en argile, mesurant 16cm de diamètre, sculpté sur deux faces vers le deuxième millénaire avant J.-C. Le disque est fût découvert en 1908 à Phaistos en Crète. Il comporte 241 signes dont 45 différents. Les signes reste à ce jour indéchiffrable et le disque est jusqu’à ce jour, une énigme du monde de l’archéologie. Des milliers d’années avant la création du CD Rom, les hommes utilisait déjà un disque pour stocker les informations. De nombreux archéologues ont tenté de déchiffré le disque mais en vain. Comme Gareth Owens, qui a consacré six ans de sa vie pour déchiffrer le disque et n’a pu en sortir qu’avec une seule expression juste qui est : « Mère ». Toute fois même les faces du disque et le sens de la lecture reste une énigme. La découverte reste à confirmer mais ce qu’on sait déjà c’est que cela peut être un disque à caractère religieux et qui comporte des expressions qui se tourne vers la femme enceinte, la femme de haute importance. Source http://www.maxisciences.com
DAME D'AUXERRE GRÈCE ARCHAÏQUE
La statuette féminine dite "Dame D'Auxerre" est une petite statue de calcaire avec des traces peu visible de peinture rouge sur le buste d'une hauteur de 75 cm. L'œuvre a été exécuté vers 650 avant J.-C. en Crète. Retrouvée en 1895 et conservé au musée d'Auxerre et c'est de là qu'elle doit son nom, jusqu’à ce qu'elle soit acquise par Maxime Collignon pour le musée du Louvre en 1907 mais le réel emplacement de la statuette reste inconnue. Une statuette de style dédalique et l'une des plus anciennes statue de la Grèce archaïque. La statue est caractérisée par son visage en forme de U, ses lourdes et épaisses chevelures étagées, sa main pliée vers la poitrine, une robe fourreau avec une pèlerine sur les épaules et le tout avec un léger sourire. Les vêtements ont été légèrement détaillés pour mettre en avant les formes de la robe. La statuette représente une influence remarquable pour l'Egypte et le Proche-Orient. Les gestes restent non clarifiées et restent jusqu'à présent sans une explication claire. Mais ce qui est aussi non confirmé, c'est la matière dont la statue a été faite : le calcaire. Ce matériau venant du méditerrané reste pour ce cas dans le côté obscure de la vérité. C'est probablement la korê d'Auxerre qui est considéré comme rare comme représentation d'un style local notamment en Crète. Source http://www.skulpturhalle.ch http://www.louvre.fr
APOLLON DU BELVÉDÈRE GRÈCE CLASSIQUE
L’Apollon du belvédère est l’une des plus célèbres des statues antiques qui est une source d’inspirations de plusieurs artistes et qui était reprise par plusieurs sculpteurs sous différentes formes et différentes matières (gravures, tirage en bronze, marbre…). C’est une copie romaine en marbre de carrare d’une statue bronze réalisé entre 330 et 320 Av. J.-C. par Léocharès qui travaillait au mausolée d’Halicarnasse qui représente Apollon après avoir tué un python. Elle appartient à l’époque impériale (I-IIéme siècle après J.-C.) et appartient actuellement au musée du Vatican. Elle fût découverte au XVème siècle à côté de l’église Saint-Pierre-Aux-Liens ensuite transporté à Vatican quand le Cardinale Giuliano est devenue pape en 1508. Ensuite elle était restaurée par Giovanni Angelo en 1532. Mais ce qui a fait de cette statue une œuvre très célèbre de la Grèce antique c’est l’érudit Winckelmann qui en délivre une analyse dans son œuvre « L’histoire de l’art chez les anciens » en 1779. Puis Apollon du Belvédère a été cédé aux Français par Pie VI selon le traité de Tolentino où elle sera exposé jusqu’en 1815 au Musée central des Arts de Paris quand on l’a restitué au pape. Et là, elle sera exposé dans la cour de l’octogone et qui fut admirée dès qu’elle y fût placée. La figure est représentée comme un Dieu, elle mesure 2,24 mètres, nue, portant un manteau et des sandales. Apollon a la jambe droite en avant et l’autre en retrait reposant sur la pointe des pieds. La statue forme une composition en X avec la main droite, enveloppé dans le manteau, fléchée perpendiculairement par rapport au corps au corps et qui tient probablement une flèche (ou une branche de laurier) et l’autre un arc. Le regard est dirigé vers l’horizon et en opposant à la direction de sa marche (à gauche). La statue est caractérisée surtout par son harmonie, son visage mature entouré par de longues mèches ondulées dont une partie est nouée surement pour faciliter son activité (une coupe qui est souvent trouvée chez les « Aphrodite au bain » ou les « Artémis chassant ») qui dégage une sérénité incroyable. La statue est caractérisée aussi par son exactitude anatomique, le rendu de la musculature, l’équilibre des proportions du corps et la noble posture. Source http://www.aly-abbara.com/ http://kulturica.com http://www.cineclubdecaen.com http://mv.vatican.va
LE TRIOMPHE DE JUSTINIEN BYZANCE
Le Triomphe de Justinien dit « Ivoire Barberini » appartenant au Haut Moyen-Âge et qui doit son nom au cardinal Barberini à qui Claude Fabri de Peiresc a offert ce chef-d’œuvre au début du XVIIème siècle est un dyptique impérial et qui est réalisé à Constantinople pendant la première moitié du VIème siècle. Ce haut-relief mesure 34,20 cm de hauteur, 26,80 cm de largeur et 2,80 de profondeur. Il est composé de quatre plaques dont une (de droite) est manquante. Cette plaque sculptée à base d’ivoire d’éléphant et qui s’inscrit dans le monde byzantin est conservée au musée du Louvre actuellement depuis 1899. Cette œuvre est caractérisée par ses formes complexes, sa qualité d’exécution et son iconographie. C’est d’ailleurs le seul dyptique impérial presque complet conservé jusqu’aujourd’hui. Le Triomphe de Justinien représente justement, la scène profane de la gloire d’un empereur qui peut être Justinien Ier (527-565) mais son identification reste difficile. Cet empereur montant sur un cheval cabré et victorieux, porte ne armure et un manteau flottant, une couronne, une petite tunique et des bottes. Et c’est ce qui représente la tradition antique des statues équestres d’empereurs. Sous ses jambes, se trouve une femme (Victoire, personnification de la Terre) qui soutient l’un de ses pieds et qui porte des fruits dans ses vêtements. Autour de lui se trouve un perse (vu ses vêtements) ce qui souligne la puissance de l’empereur. En haut, se trouve le christ bénissant, jeune et imberbe. Il tient dans sa main gauche une croix, certifiant le geste de bénédiction et il est encadré par des anges portant des médaillons avec le soleil, la lune et les étoiles gravés dessus. Ce qui confirme que l’œuvre est bien byzantine présentant des codes des premiers temps du christianisme. A gauche, on peut voir une statuette de victoire porté par un chef militaire probablement et en bas un peuple (scythes, nomades de steppes, asiatiques) soumis à Constantinople accompagnés d’un éléphanteau et un tigre. Source http://www.photo.rmn.fr (photo) http://www.panoramadelart.com http://www.louvre.fr Monuments et mémoires de la Fondation Eugène Piot, Tome 7, fascicule 1, 1900. pp. 79-94.
VIERGE À L'ENFANT DE JEANNE D'EVREUX GOTHIQUE
La Vierge à l’Enfant, exécuté entre 1324 et 1339, se tient sur un piédestal doré, supporté par 4 petits lions, sur lequel des scènes du nouveau testament sont présentes, notamment l'annonciation, visitation, nativité, annonciation aux berges, adoration des rois… Ces scènes sont peinte en utilisant une palette de bleu sombre, un vert émeraude, un jaune et un rouge grenat, entre ces derniers, des émaux translucides de basse taillé commémorent les épisodes de l’Enfance et de la Passion du christ. La Vierge tient à la main une fleur de lys, qui, constitué de plaques de cristal, contient ses cheveux, sont lait et des reliques de vêtements. Cette statuette a été offerte par Jeanne d'Evreux au trésor de l'abbaye de Saint-Denis en 1339. C’est chef-d'œuvre de l’art gothique de la vierge. En effet, cette statuette est caractérisé par la maîtrise de technique de son sculpteur, de la précision et détails des drapés apportés à cette dernière, la sensibilité dégagé par les figures, la douceur du visage de la Vierge et surtout la tendresse des gestes échangés entre la Mère et l’Enfant. Cette sculpture joue un rôle majeur dans l’évolution de la statuaire, effectivement, la Vierge à l'Enfant a été toujours représenté de la même façon : la Mère qui regarde son Enfant qui est souvent sur ses genoux mais cette fois-ci la vierge est représenté sous une forme naturelle et spontané pleine de tendresse. On peut apercevoir cette silhouette sinueuse de la Vierge qui porte un manteau comportant plusieurs plis et chutes de plis (signe de l’art parisien de la 1ère moitié du XIVème siècle), avec son visage arrondi et un léger hanchement. Source http://www.photo.rmn.fr (photo) http://www.louvre.fr http://www.insecula.com http://cedidoca.diocese-alsace.fr
MASQUE MORTUAIRE DE TOUTÂNKHAMON EGYPTE
Le masque mortuaire de Toutânkhamon est le masque le plus connu au monde, c’est l’une des plus célèbres icônes de l’Egypte antique. Découvert par Haward Carter et Lord Carnarvon le 4 novembre 1922 lors de la découverte de la tombe de Toutânkhamon, fils successeur d’Akhenaton à Thèbes (Louxor aujourd’hui) à la vallée des rois. Le masque est caractérisé sa symétrie, la sérénité du visage et l’impression de gravité. Ce masque trouvé dans la tombe du pharaon, couvrait la tête de la momie, ses épaules et une partie du buste. Le masque est en or massif, pèse 11 kg, mesure 54 cm d’hauteur et 39 cm de largeur, il est conservé au musée de Caire en Egypte. Rien n’est laissé au hasard et toute pièce a une signification comme l’uraeus qui se trouve au-dessus de la tête du souverain qui représente la déesse serpent Quadiet et qui est symbole de la basse Egypte tout comme la tête du vautour qui le juxtapose qui représente à son tour la déesse Nekhbet et qui est symbole de la haute Egypte ; Les deux figures, incrusté de pierres précieuses et de verres colorés, présentent assurent la protection du pharaon est son royaume. La coiffure pharaonique du masque est en némés, séparé par des bandes bleues et nouée à l’arrière, là où on trouve des hiéroglyphes inscrites sur le dos et les épaules reprenant un extrait du « livre des morts ». Les yeux sont en quartz avec du léger rouge au coin et les paupières sont en verre bleu. La barbe ornée d’or du jeune pharaon est tressé, forme du divin. Le pharaon porte aussi un collier Ousekh composé de lapis-lazuli, de quartz, d’amazonite, de feldspath et de verres colorés et à l’extrémité du collier, sur les épaules, on trouve deux têtes de faucons. Source CRDP de Montpellier 2008 http://www.biographie-peintre-analyse.com http://www.insecula.com
DÉESSE AUX SERPENTS CNOSSOS
La déesse aux serpents, appelée aussi prêtresse, a été sculpté en 1600 av. J.-C.. Trouvée à Cnossos, la statuette mesure 29,5 cm d'hauteur et faite en faïence. Elle est conservée au musée d'Héraklion à Crète. C'est l'une des statuettes les plus célèbres. On peut la distinguer par sa robe minoenne qui est composé de d'une jupe longe plissée et un tablier bordé avec un corsage ajusté à manches d'où on peut voir les seins à couvert signe de la fertilité. C'est sans doute la fille d'une déesse, qui tient dans ses mains des serpents symbole de l'immortalité, l'infini et le pouvoir sous-jacent menant à la création de la vie. Elle porte aussi un lion sur la tête, symbole divin représentant la majesté, la monarchie et la force. Source http://www.histoire-fr.com Art et histoire de Crete par Mario Iozzo
PANTHÉON ROME
C'est le monument romain antique le mieux préservé malgré qu’il ait été attaqué et que ses garnitures originales en bronze ait été arrachées Ce grand monument de l’antiquité présente une architecture qui est la plus influent et le plus copiée à la Renaissance et à l’époque moderne. A l'origine c’était un temple aux dieux puis il était sanctifié et transformé en une église et maintenant c’est un lieu touristique très célèbre que des milliers de visiteurs viennent le voir chaque jour. Il s'agit d'un bâtiment qui a eu une histoire complexe. En effet, Panthéon était entouré d'une colonnade qui entourait le bâtiment et qui obscurcissait le Canon sur le côté. Les colonnes massives sont supportées par d’énormes bases de marbre inarticulées et sans cannelures. On trouve sur ces monolithes, des morceaux de pierre uniques. Contrairement aux colonnes grecques, les colonnes romaines n’étaient pas coupées et ont été importées d’Egypte ce qui montre la puissance majeure et de son empereur Hadrien qui était à l’origine de ce bâtiment. La largeur du bâtiment et son hauteur remplit le champ de vision et ce qui est vraiment fascinant c’est que ce n’est pas une structure radiale traditionnelle. C’est une architecture qui s’intéresse à la géométrie idéale, on voit sans cesse, une répétition de formes géométriques tel que les rectangles, les cercles, les carrés… A l’intérieur les colonnes sont bien alignées avec les fausses fenêtres et avec la coupole. Ce qui donne l’impression que le dôme pourrait tourner. Cette relation entre le dôme et les structures rappellent le réel système qui dépend du béton. En effet, on trouve un épais de béton qui supporte le dôme. Les Romains avaient vraiment perfectionné le béton. Et c'est l'un des bâtiments qui montre cela. Le Panthéon contenait des sculptures divines initialement, et cela montre la richesse et la puissance d’Hadrien. Le bâtiment représente reflet du mouvement des cieux. En effet la lumière pénètre dans l’espace du bâtiment depuis le soleil et elle projette un cercle très net sur le Dôme en se déplaçant sur le sol de l'édifice en parallèle avec le déplacement du soleil dans le ciel. Ce qui laisse dire que ce bâtiment fonctionne presque comme un cadran solaire. D’après le Dr. Beth Harris et Dr. Steven Zucker de la Khan Academy.
CRATÈRE EN CALICE ATTIQUE PEINTURE GRECQUE
Le cratère en calice attique a été trouvé dans la région italienne de l'Etrurie. C'est un vase de grande taille qui présente l'une des œuvres les plus détaillés et les plus raffinées de la région d'Athènes à la fin du VIème siècle. Il a appartenu à la fameuse collection Campana depuis 1861, Jusqu’à ce que Napoléon III le transfert vers le musée du Louvre en 1863. C’est un vase à figures rouges, concurrent de la technique des figures noires. Cette dernière reste une technique compliqué car doivent recourir à l'incision ce qui ne garantit pas un rendu détaillé et précis. Un cratère (vase contenant de l'eau et du vin) a des variantes telles que le cratère en cloche, le cratère à volutes, le cratère à colonnettes et le cratère en alice. L’avantage c’est que le vase a été signé par le potier qu'il la fait et du peintre qu'il a dessiné. Dans la première face un jeune homme tenant un aulos est représenté et qui a probablement gagné au concours musical puisque il monte sur le podium Dans l'autre face, entre les deux femmes qui font un geste théâtrale, Héraclès et le gênât Antée en scène mythique de lutte. Le nom des personnages est reconnu grâce aux inscriptions trouvés sur le vase mais Héraclès est facilement méconnaissable grâce à sa massue et son carquois même sans inscriptions. Antée paraît vaincu lorsqu’on qu'on on regarde le vase, il est position de faiblesse et d'abandon, son visage est déformé par la douleur, sa main droite est figé et son œil reflète l'agonie. Antée porte une barbe rousse et non taillée. Elle est traitée par des coups de pinceaux grossiers avec une moustache bien en évidence pour accentuer la férocité de son personnage. Par contre, Héraclès est dans une position dynamique et ne présente aucun signe de fatigue ou d'effort excessif. Sa barbe est bien taillée et sa chevelure est ordonnée et entourés de boucles bien dessinées. Les deux corps sont en position de pyramide ce qui donne un aspect expressif et monumental. C'est à la fois la vivacité de la lutte et l’impression de perspective qui donnent un aspect naturelle aux corps ainsi présentés dans ce vase surtout que la musculature est bien détaillée et que les femmes derrière donne un effet de profondeur à la scène. Et c'est ce qui caractérise Euphronios, ce rapport entre la réalité et la convention. Source http://www.unehistoiredesarts.fr http://www.louvre.fr