ILFAC Magazine 09

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M aga z i n e juillet 2016

STREET ART À DOEL

EXPO 21, RUE DE LA BOETIE

week-end à paris

histoire de Bruxelles

Le Vendredi 14 octobre

Du 09 au 11 décembre

10 leçons de septembre à juin

Plus d’infos p. 3

Plus d’infos p.8-9

Plus d’infos p.10-11

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C A R N E T D E V O YA G E

LE CAR DE LA MANCHA ! Laissez-moi vous narrer l'histoire...

Le jour suivant nous a vus à Tolède et là, nouvelle tuile : l'une de nos amies, victime du vol insidieux de son sac à main, passa une bonne partie de sa journée au commissariat de police, sous l'aile protectrice de notre Véronique Bien-Aimée. Les papiers furent retrouvés, la coupable identifiée, mais l'argent... envolé !!!

Nous partîmes à peu près quarante, sur les traces du Cid et de Don Quichotte. Notre aventure elle aussi fut mouvementée. Depuis la valise égarée dès Zaventem, en passant par notre car dépourvu de WC et de vidéo, mais doté d'une soute à la porte capricieuse... nous arrivâmes néanmoins dans ce pays vaste et orgueilleux.

Mais le plus grave était à venir : notre amie Mireille perdit son combat contre « les Moulins » et chût dans les escaliers ! Heureusement, prise en charge par notre équipe médicale (3 médecins à bord !), avec l'assistance des services ambulanciers locaux, elle a pu être réparée à Tolède et rapatriée en Belgique, où elle achève sa convalescence.

Chaque journée nous a réservé sa surprise... D'abord, un virus traître qui s'attaqua à notre Chef, Michel Bien-Aimé, le privant quasiment de sa voix d'or et de ses ressources physiques ! Le dit virus se propagea à toute allure dans la partie nord du car, la transformant en hôpital peuplé d'humaines et humains éructant et toussant dans un échange permanent de médications...

Le dernier soir, nous avons pu fêter, malgré ces avanies, un voyage certes mouvementé mais SUPERBE... bien qu'une apothéose nous attendait : le vol du GSM de Véronique Bien-Aimée ! Ce qui permit à cette dernière d'arpenter longuement les couloirs de l'hôtel, à la nuit tombée, à la recherche du rapteur, mais, trois fois hélas, sans succès. Peut-être était-ce une vengeance d'hidalgo, humilié par notre dédain du plus horrible repas qui nous ait jamais été servi : celles et ceux qui ont vu les « aumônières » ne les oublieront jamais !

Ensuite, une tentative d'assassinat sur le même Chef Bien-Aimé, déjà handicapé. Un classeur bleu particulièrement rigide tomba depuis les rangements supérieurs du car sur le sommet de son crâne, dans le but de le priver cette fois de son cerveau ! Passons sur les oublis hôteliers de vêtements, de chaussures, de pulls, qui nous firent perdre régulièrement de précieuses minutes ...

Cela pourrait sembler difficile à croire, mais nous avons vécu tout cela, sans Cervantès ni Racine, pour vous le raconter!

NOTRE EQUIPE

Même le petit train touristique parvint à crever un pneu en pleine visite de Burgos, nous laissant en rade au bord du périphérique !

Alain VANDERELST Administrateur-délégué

Marie-Anne Jurfest

Latifa AÏT BAALA Présidente

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avril 2016

Véronique HALPOUTER Responsable de projets

Kristela BYTYCI Animatrice


E XC U R SIO N

UNE JOURNEE A LIÈGE EXPO - 21, RUE DE LA BOÉTIE Le Vendredi 14 octobre Le nouvel axe Guillemins-Boverie-Médiacité : architecture et urbanisme à Liège au 3e millénaire. La construction de la gare des Guillemins engendre la reconfiguration de tout un quartier et la définition d’un nouvel axe ponctué de nouvelles infrastructures, depuis la gare jusqu’à la Médiacité. Rue Paradis, la Design Station destinée aux créateurs se singularise par des lignes et une volumétrie résolument novatrices. Haute de 136 m et toute habillée de verre, la Tour des Finances dite Tour Paradis répond à l’horizontalité de la gare conçue par Calatrava. Après les aménagements des quais, c’est au tour de la Passerelle cyclo-piétonne de s’installer dans le paysage liégeois. Présentant une élévation dissymétrique, la structure métallique surplombe la Meuse sur 163 mètres.

Dans le parc de la Boverie, le nouveau Musée des Beaux-Arts, La Boverie, est inauguré en mai 2016. Soucieux du respect des constructions et du parc existants, l'architecte provençal Rudy Ricciotti et le cabinet liégeois p.HD ont opté pour une intervention mesurée plutôt que pour un geste architectural fort. Les aménagements intérieurs et l’extension vitrée s’ouvrant vers le parc et la Dérivation offrent une allure contemporaine au bâtiment qui date de l’Exposition universelle de 1905. L’audace et la créativité de ces réalisations sont l'œuvre d'une grande diversité d'architectes locaux et internationaux qui participent à la nouvelle image de marque dont la Ville veut se doter.

 Déjeuner à la Capitainerie.

21, rue La Boétie - d’après le livre d’Anne Sinclair, petite-fille de Rosenberg. EXPOSITION À LA BOVERIE L’exposition propose d’aborder le parcours exceptionnel de Paul Rosenberg (1881-1959), homme d’affaires avisé, amateur éclairé et marchand d’art important de la première moitié du siècle dernier. Il fut l’ami et l’agent d’artistes de premier plan tels que Picasso, Matisse, Braque, Léger ou encore Marie Laurencin. Des prêts provenant de musées internationaux et de collections privées permettent de réunir quelque soixante chefs-d’œuvre de l’art moderne dont une grande partie n’a jamais été montrée en Belgique. Plusieurs de ces œuvres sont directement liées à Paul Rosenberg car elles ont transité par ses galeries, à Paris ou à New York. L’homme est un témoin emblématique d’un moment crucial de l’histoire de l’art : le transfert du centre de gravité artistique de Paris vers les Etats Unis,

passage lié aux bouleversements de la Seconde Guerre mondiale. Par une cruelle ironie de l’histoire, sa galerie de la rue La Boétie est devenue, en mai 1941, le siège de l’Institut d’Etude des Questions juives, une officine antisémite française soutenue par la Propagandastaffel. Paul Rosenberg a lui-même été victime des tourments de son époque, déchu de sa nationalité française par le régime de Vichy car il était juif et spolié d’une grande quantité d’œuvres par l’occupant allemand. Une sélection de documents inédits issus d’archives européennes et américaines, permettra d’appréhender les relations particulières qui unissent l’artiste au marchand. Des dispositifs scénographiques, audiovisuels et multimédia animeront le parcours.

RDV à la gare Centrale à 9h15 pour le train de 9h31. Arrivée à Liège à 10h30.

67€ comprenant la promenade, l'entrée et la visite guidée de l'exposition et le déjeuner. (trajet en train non-inclus) PRIX NON-MEMBRE 70€

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E D U C AT I O N P E R M A N E N T E

MÉMOIRE DES GÉNOCIDES ET PRÉVENTION DES CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

L’ENTREPRENARIAT AU FÉMININ Le Mardi 8 mars 2016

Le Mardi 27 Janvier 2016

Les membres de l’ILFAC ont décidé de décliner la Journée Internationale des F emmes sous l’angle de l’entreprenariat en tant qu’outil d’autonomisation. Ce fut l’occasion de faire une mise au point de l’entreprenariat féminin en Belgique en analysant les défis auxquels les femmes doivent faire face et les solutions envisagées.

A l’occasion de la journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste, nous avons collaboré avec le GRIP, l’association Auschwitz et IBUKA, afin de porter un message de cohésion et d’humanité pour que ces crimes ne se reproduisent plus jamais !

STOP AUX MUTILATIONS GÉNITALES FÉMININES

SAHARA OCCIDENTAL : SOURCES ET RESSOURCES Projection-débat au Parlement Européen sous le parrainage du Ministre d’Etat et Député européen Louis Michel.

Le Mercredi 10 Février 2016

Le Mardi 5 avril 2016

Les mutilations génitales féminines s’étendent dans le monde entier, l’Europe et la Belgique n’en sont pas épargnées. Plus de 140 millions de femmes ont subi ces pratiques et 3 millions de filles sont à risque chaque année à travers le monde. En collaboration avec le GAMS, le CEMAVIE et INTACT, nous avons abouti sur un débat enrichissant, en affirmant notre soutien aux femmes victimes de ces atrocités.

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Le lancement de ce nouveau documentaire de Hassan El Bouharrouti a donné l’occasion de débattre de l’impact de l’exploitation des ressources naturelles pour les populations au Maroc et en Europe. Ce fut l’occasion de rassembler autour d’une table plusieurs acteurs importants européens, des experts, des corps diplomatiques de l’OCP ainsi que des représentants de la société civile.

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Juillet 2016


D É B R I E F I N G D E S D É B ATS C I T O Y E N S PA S S É S

LE FANATISME AU CŒUR DE L’EUROPE QUELLES RÉPONSES ? Le Mardi 12 avril 2016 Les attentats ont frappé le cœur de l’Europe, Bruxelles, où 35 décès et 340 blessés étaient à déplorer ! L’ILFAC a rassemblé des experts mais aussi des parents d’enfants partis en Syrie afin d’aboutir sur un débat constructif concernant le recrutement des jeunes en Europe ainsi que la mise en œuvre d’une sécurité renforcée.

LES DANGERS DES RÉSEAUX SOCIAUX COMMENT COMPRENDRE LE DISCOURS POLITIQUE

Le Mercredi 1er juin 2016 A la suite de nos formations smartphone organisées en collaboration avec UPDATE asbl, nous nous sommes focalisés sur une problématique actuelle qui concerne les dangers sociaux. Les experts en la matière ont pu approfondir le sujet en mettant l’accent sur les effets négatifs de la dépendance aux réseaux sociaux, sans pour autant sous-estimer les effets positifs de ceux-ci !

Le Mardi 3 mai 2016 « La presse est un vrai pouvoir » Cette phrase lança un débat passionnant sur l’analyse des discours politiques ! D’une part, le clivage entre différentes écoles impliquant l’enjeumétrie et la lexicométrie fut marquant. D’autre part, il y eut une mise en avant de l’importance de l’aspect humain, des émotions qui doivent se trouver au cœur du discours politique.

LE HANDICAP INVISIBLE

LE RACISME A-T-IL UNE COULEUR ?

Le Mardi 14 juin 2016 Le Mercredi 18 mai 2016 L’ILFAC poursuit son objectif de sensibilisation en organisant une conférence sur les handicaps invisibles, concept complexe, qui comprend, entre autre, le handicap intellectuel, psychique, cognitif, mais aussi des maladies invalidantes telles que la sclérose en plaques, les maladies orphelines etc. 80% des handicaps dans le monde sont invisibles et les témoignages cueillis ont insisté sur la place primordiale de l’espoir dans le parcours vers la guérison.

Nous entendons souvent la phrase « je ne suis pas raciste mais… » et cela prouve que le racisme et les discriminations persistent malgré leur interdiction par la loi. Cette conférence fut l’occasion de nous questionner sur l’origine et l’ampleur du racisme dans notre pays tout en abordant l’albinisme qui fait de nombreuses victimes en Afrique! Le témoignage exceptionnel d’une dame « née blanche, de parents noirs » fut davantage enrichissant.

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E D U C AT I O N P E R M A N E N T E

 DÉBATS CITOYENS À VENIR

L’ENSEIGNEMENT QUALIFIANT

LES USAGES ET LA DÉPENDANCE DES JEUNES AUX SMARTPHONES **

L’enseignement qualifiant et les métiers techniques souffrent d’une mauvaise image au sein de notre société alors que certains secteurs sur marché du travail sont en pénurie et que le chômage des jeunes atteint un niveau inacceptable.

Ce débat-citoyens s’inscrit dans le prolongement de celui organisé sur « les dangers des réseaux sociaux » en juin 2016.

Contrairement à des idées reçues, l’enseignement qualifiant n’accueille pas que des jeunes en situation d’échec. L’intelligence des mains peut aussi conduire à la réussite professionnelle et à l’épanouissement personnel ! Les exemples sont nombreux. Avec notamment Alain Vander Elst, Chef d’entreprise et Administrateur délégué de l’ILFAC qui s’entretiendra avec nous du sujet.

René Patesson, Docteur en Sciences Psychologiques, Professeur à l’ULB et Directeur de CREATIC (Centre de Recherches en Ergonomie Appliquée aux Technologies de l'Information et de la Communication) présentera les résultats de sa recherche. Child Focus abordera plus particulièrement le travail mené notamment en matière de sensibilisation.

Le Jeudi 15 septembre à 19h30 84-86 Avenue de la Toison d’Or à 1060 Bruxelles

Date - Nous contacter 84-86 Avenue de la Toison d’Or à 1060 Bruxelles

** nous contacter pour la date

Renseignements et inscriptions pour tous les débats citoyens au 02.500.50.95 ou info@ilfac.be

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Juillet 2016


E XC U R SIO N

 NE RATEZ PAS CETTE OCCASION UNIQUE !

STREET ART À DOEL Le lundi 12 septembre à 14h Doel (appelé Den Doel dans le parler local) est un village situé dans l’extrême nord-est de la province belge de Flandre-Orientale, dans les marais du pays de Waas, sur la rive gauche de l’Escaut. Depuis quelques décennies, le village se retrouve régulièrement projeté au centre de l’actualité belge, à double titre.

le comité d’action Doel 2020 , le sort de Doel paraît aujourd’hui scellé, et il faut craindre que les recours n’aient d’autre effet que d’en prolonger l’agonie. L’évacuation suit son cours, et à la date du 31 décembre 2006, Doel ne comptait déjà plus que 388 habitants.

D’abord, il a été choisi, comme le village de Tihange dans la province de Liège, comme lieu d’implantation d’une des deux centrales nucléaires que compte la Belgique.

Profitant de ce vaste terrain abandonné, des graffeurs de tous horizons ont investi les lieux et ont laissé libre court à leur art. En compagnie d’un guide de l’ ASBL « Fais le trottoir » qui oeuvrent depuis plusieurs années pour une meilleure (re)connaissance de ce mouvement, nous découvrirons ces fresques dans ce village fantôme. Les membres de l’équipe tentent de mettre en évidence les aspects positifs du graffiti et de transmettre à un public large une vision objective la plus authentique possible, qui dépasse les stéréotypes liés à ces pratiques. Le but étant de faire valoir la richesse et la diversité de la scène graffiti. Nous serons guidés par un artiste de rue.

Ensuite, et plus récemment, il semble bien établi à présent que Doel doive s’ajouter à la liste des villages poldériens (si ce néologisme est permis) sacrifiés à l’expansion du port d’Anvers. En effet, l’évacuation totale de la bourgade, après expropriation de ses habitants, a été décidée en 1999 par l’autorité régionale flamande, pour faire place à de nouvelles installations portuaires. En dépit des résistances, et de la bataille juridique engagée par

42€ comprenant trajet en car et visite guidée par un

Départ de la gare Centrale, rue de Loxum, à 14h (de la Basilique sur demande ) et retour vers 18h.

artiste de Street Art. PRIX NON-MEMBRE 45€

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W E E K - E N D À PA R I S

LA PEINTURE AMÉRICAINE DES ANNÉES 30

LE MEXIQUE DES RENAISSANCES

& HODLER MONET MUNCH

Du Vendredi 11 au Dimanche 13 décembre Comme chaque année, nous vous proposons un week-end riche et varié dans une ambiance de fête dans la ville Lumière !

Vendredi après-midi

Samedi matin

La Peinture américaine des années 1930 à l’Orangerie

Le Mexique des Renaissances au Grand Palais Depuis son indépendance conquise face à la monarchie espagnole en 1821, le Mexique n’a cessé d’affirmer sa volonté de changement et son esprit de modernité. C’est en s’appuyant sur la peinture, la sculpture, l’architecture, l’urbanisme, la musique, la littérature, le cinéma et les arts appliqués que le pays forge son identité. Souhaitée par les plus hautes autorités françaises et mexicaines, l’exposition est la plus grande manifestation consacrée à l’art mexicain depuis 1953. Offrant un panorama d’artistes célèbres tels que Diego Rivera, Frida Kahlo ou Rufino Tamayo, le parcours dresse un constat de la bouillonnante créativité artistique du pays tout au long du XXe siècle.

Les années 1930 sont, à plus d’un titre, décisives dans l’affirmation d’une scène artistique moderne aux États-Unis, à un moment particulièrement complexe de son histoire où la définition d’un art moderne américain ne peut être univoque. De l’abstraction au réalisme "social" en passant par le régionalisme, les univers esthétiques de peintres tels que Marsden Hartley, Georgia O’Keeffe ou Edward Hopper cohabitent et se confrontent dans les mêmes foyers de création.

Temps et déjeuner libre. Ensuite transfert vers le théâtre Mogador où nous assisterons à la cultissime comédie musicale LE FANTÔME DE L’OPÉRA. Le plus célèbre des musicals de Broadway enfin à Paris ! Joué dans 25 pays et récompensé par 70 prix dont 7 Tony Awards®, LE FANTÔME DE L’OPÉRA est un véritable phénomène mondial avec déjà plus 140 millions de spectateurs. A l’origine de ce succès, le mythique roman de Gaston Leroux et la magnifique musique d’Andrew Lloyd Webber, compositeur de génie. 38 artistes, 17 musiciens, 230 costumes et 22 décors sur scène font du FANTÔME DE L’OPÉRA une expérience théâtrale incomparable.

Organisée en collaboration avec l’Art Institute de Chicago, cette exposition présentera un ensemble d’une cinquantaine de toiles issues de prestigieuses collections publiques américaines (l’Art Institute à Chicago, le Whitney Museum, le Museum of Modern Art à New-York…) et de collections particulières, dont la diversité reflète toute la richesse de cette période précédant la Seconde Guerre mondiale. Ensuite temps libre.

Nous terminerons cette journée par un dîner à la Coupole dans une ambiance typiquement parisienne !

Installation et dîner au NOVOTEL GARE MONTPARNASSE.

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Juillet 2016


Ferdinand HODLER "Le Grand Muveran", 1912

Val de Grâce

paix et sur les champs de bataille, l’évolution de la médecine dite « de catastrophe ».

Dimanche matin

HODLER MONET MUNCH

La cuisine du couvent sert d’écrin à la collection du docteur Debat : superbe ensemble de faïences italiennes du XVIème au XVIIIème siècle.

au musée Marmottan

L’église, qui selon l’ancien architecte des Monuments Historiques Yves Boiret « parle français avec un fort accent italien », est la plus sculptée de France. Elle fut élevée en remerciement de la naissance du premier enfant d’Anne d’Autriche : Louis Dieudonné, futur Louis XIV. L’hôpital, quant à lui, fut installé en ces murs en 1793 et reconstruit à l’extrémité des jardins à partir de 1974.

Pourquoi réunir le temps d'une exposition Ferdinand Hodler, Claude Monet et Edvard Munch ? Parce que ce sont des peintres essentiels de la modernité européenne, entre impressionnisme, post-impressionnisme et symbolisme. Parce que leurs œuvres s'avancent dans le XXème siècle – jusqu'en 1918 pour Hodler, 1926 pour Monet et 1944 pour Munch - et qu'elles ont exercé une influence déterminante dans l'histoire de l'art. Mais, plus encore, parce qu'ils ont tous les trois affronté des questions de peinture en apparence insurmontables, avec la même constance et au risque d'être incompris. Comment peindre de face l'éclat éblouissant du soleil, avec de simples couleurs sur une simple toile? Comment peindre la neige? Comment suggérer les mouvements et variations de la lumière sur l'eau ou sur le tronc d'un arbre, malgré l'immobilité de la peinture ? Tous trois ont mis la peinture à l'épreuve de l'impossible.

Nous évoquerons Anne d’Autriche et Louis XIII, le jeune Louis XIV, Richelieu et Mazarin, mais aussi l’histoire et l’action du Service de Santé des Armées depuis plus de trois siècles, Dominique et Hippolyte Larrey, les « gueules cassées »…

Déjeuner et temps libre

Dimanche après-midi

Visite du Val de Grâce

Départ de la gare Centrale, rue de Loxum à 7h45. (Basilique sur demande), de Nivelles (Parking du Hubo) Arrivée à Paris vers 12h30. Retour à Bruxelles le dimanche vers 21h-21h30.

C’est le plus bel ensemble monastique dessiné par François Mansart pour la reine Anne d’Autriche. Quarante-cinq ans de travaux et trois architectes. Restaurés récemment, l’église et le couvent ont recouvré leur splendeur passée. Le jardin du cloître a retrouvé ses buis taillés, les galeries accueillent les collections permanentes du musée du Service de Santé des Armées ; c’est toute l’histoire de la médecine militaire qui est retracée à travers ces quelques salles : le rôle des médecins militaires en temps de

495€ comprenant le trajet en car, les nuitées au Novo-

tel Montparnasse, le restaurant du 1er soir, le dîner à la Coupole de 2ème soir, les entrées et visites guidées des 3 jours. En option : La comédie musicale 81€ (places de 1ère catégorie) PRIX NON-MEMBRE 505€

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E D U C AT I O N P E R M A N E N T E COURS N° 3 : DE L’AUTRE CÔTÉ DU CANAL

BRUXELLES : SES QUARTIERS ET SA VIE…

De l’autre côté du canal : expression bien connue pour les habitants du nord-ouest de Bruxelles ! Nous sommes coupés de la capitale par un canal inauguré en 1561. Mais notre Histoire est une des plus riches des communes périphériques de la capitale bruxelloise. Berchem Saint-Agathe et son aérodrome, Ganshoren et son château « De Rivieren », Jette Saint-Pierre et son abbaye de Dieleghem, Koekelberg et sa basilique et, enfin, Molenbeek Saint-Jean et son « Manchester » bruxellois. Ne croyez cependant pas que tout s’arrête à ces seuls faits d’histoire. Il y a encore bien d’autres surprises à parcourir pendant plus de 1.000 ans d’une Histoire parsemée d’anecdotes étranges, surprenantes et savoureuses.

DE JADIS À NOS JOURS. L'histoire de Bruxelles ne se limite pas à un découpage en 10 leçons. Il y a tellement d'autres choses à découvrir. Cette deuxième année de cours va vous permettre d'entrer un peu plus dans les secrets de certains quartiers tout comme de certaines activités souvent ignorées des Bruxellois. De septembre 2016 à juin 2017, voici l'occasion de partir à la découverte du quartier Léopold, du quartier Louise. La vie économique ne sera pas oubliée, tout comme l'enseignement, l'architecture, les crimes et châtiments mais aussi les belles heures de Bruxelles. Voici de quoi passer encore de bons moments ensemble et lorsque la conférence deviendra promenade, la découverte n'en sera encore que plus surprenante. Les cours et promenades seront organisés par Eric Demarbaix.

Le mardi 15 novembre 2016 (14h-16h) et le jeudi 17 novembre 2016 (10h-12h) + Promenade vendredi 25 novembre à 14h

COURS N° 4 : 1921 / BRUXELLES + LAEKEN, HAEREN ET NEDER-OVER-HEEMBEECK

COURS N°1 : LE QUARTIER LÉOPOLD 1838-2014

De tous les temps, les Bourgmestres bruxellois ont toujours espéré développer le territoire de la capitale. Si la Cuve bruxelloise avait, à l’époque féodale, une connotation purement fiscale qui aurait pu faire croire à un grand territoire unifié, il n’en fut cependant rien. Bruxelles jusqu’en 1860 se confina dans ses murs de la seconde enceinte de 1356. Chaque village qui entourait la capitale voulait garder son autonomie et sa liberté. Pourtant après la Première guerre mondiale, un bourgmestre va réussir là où tous ses prédécesseurs avaient échoué. Adolphe Max se retrouve à la tête qui tripla sa surface du jour au lendemain. Ce sera la grande aventure des expositions universelles au Heysel, de l’aérodrome de Haeren et du développement de la zone du canal.

Un quartier qui, aujourd’hui, a perdu toute son identité. Actuellement, il est désigné comme le quartier européen alors que ce fut très longtemps le Quartier Léopold, désignation nettement plus bruxelloise ! L’aristocratie bruxelloise et la bourgeoisie aisée issue de la révolution industrielle étouffaient dans l’intra-muros féodal bruxellois. Un groupe d’investisseurs crée, sans aide financière de l’Etat, une société civile pour l’agrandissement et l’amélioration de la capitale de la Belgique. Une nouvelle vie se crée autour et sur les hauteurs de la vallée du Maelbeek. Le Cinquantenaire, les squares, les musées, un jardin zoologique éphémère, un musée des sciences naturelles vont ainsi constituer ce nouveau quartier qui a laissé la place aux milliers de mètres carrés de bureaux destinés aux Eurocrates.

Le mardi 13 décembre 2016 (14h-16h) et le jeudi 15 décembre 2016 (10h-12h)

Le mardi 13 septembre 2016 (14h-16h) et le jeudi 15 septembre 2016 (10h00-12h00) + Promenade vendredi 23 septembre 2016 à 14h

COURS N° 5 : INDUSTRIES ET COMMERCES BRUXELLOIS Habiller les rois des plus luxueuses étoffes, décorer les murs de leurs châteaux d’images somptueuses tissées et entourer reines et princes des plus volatiles dentelles, trois spécialités bruxelloises qui de 1300 à 1900 firent de Bruxelles une capitale internationale des textiles de luxe. Le travail des enfants et des femmes, la fraude, la contrefaçon, la contrebande furent des éléments qu’il fallut gérer au quotidien. Entre-temps, en 1822, la Société générale pour favoriser l’industrie est créée à Bruxelles. C’est le début d’un essor industriel pour tout le pays mais aussi à Bruxelles qui découvre son « Manchester » local. C’est la route qui mène à la quatrième marche du podium des grandes puissances industrielles mondiales. Ce sera l’époque de la mécanisation, des premières lois sociales, des secours mutuels, des coopératives ouvrières et des Maison du Peuple.

COURS N° 2 : DE LOUISE AU BOIS DE LA CAMBRE Voici l’histoire d’un second quartier chic qui se développera tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle grâce surtout à la suppression de l’octroi en juillet 1860. Malgré la ferme opposition de la commune d’Ixelles qui voyait son territoire coupé en deux de la place Louise jusqu’au bois de la Cambre, nouveau lieu de rendez-vous dominical, rien n’y fit. Ixelles s’inclina devant la puissance de la capitale. Nous allons parcourir une avenue à l’architecture très diversifiée. Ce sera aussi l’occasion de découvrir un véritable musée en plein air, mode très importante développée à la fin du XIXe siècle à travers toute la ville. L’abbaye de la Cambre sera incontournable et nous n’oublierons pas de découvrir l’architecture particulière du Bois de la Cambre ainsi que des bâtiments historiques de l’Université Libre de Bruxelles.

Le mardi 10 janvier 2017 (14h-16h) et le jeudi 12 janvier 2017 (10h-12h)

Le mardi 11 octobre 2016 (14h-16h) et le jeudi 13 octobre 2016 (10h00-12h00) + Promenade le vendredi 21 octobre 2016 à 14h

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Juillet 2016


H I ST O I R E D E B R U X E L L E S COURS N° 6 : L’ENSEIGNEMENT COMMUNAL

COURS N° 9 : CRIMES ET CHÂTIMENTS

Dès l’existence de la Ville, l’enseignement était aux mains de l’Eglise dont les représentants détenaient le savoir et le transmettaient dans leurs écoles et les monastères. Au fils du temps, la concurrence entre les différents ordres religieux installés dans la ville sera féroce. Les bourgeois de Bruxelles craignant pour la vertu de leurs filles rejettent la création d’une université qui finalement s’installera à Louvain. Ce sera ensuite l’époque des grands collèges catholiques, la réorganisation républicaine et enfin un développement rapide à l’époque néerlandaise. Les athénées suivront et Bruxelles portera quasi seule la création de l’Université Libre de Bruxelles. Mais tout cela ne concernait encore que les garçons. Le chemin d’un diplôme universitaire pour une jeune fille est encore long et semé d’embûches.

Que penser de la justice du Prince par rapport à la justice urbaine ? A quand remonte le premier code pénal ? Quels sont les peines encourues à l’époque féodale ? Y-a-t-il une justice de classe ? Bruxelles fut-elle vraiment la capitale du crime sous l’ancien régime alors que la criminalité en sabots démontre également l’image d’une société prompte à la colère et à la révolte. Les voleurs, les prostituées, les étrangers en mal d’aventures, les exilés, voilà les soucis quotidiens pour la police bruxelloise qui toujours crie son manque de moyens pour être efficace. La haute société est-elle à l’abri et si l’Amigo ne fut pas toujours un hôtel de luxe, les prisons bruxelloises ne reflétaient pas le luxe et une hygiène irréprochable. Les justices de paix imaginées par le pouvoir républicain français vont jouer un nouveau rôle pour le justiciable qui découvrira à la fin du XIXe siècle, un nouveau palais de Justice construit par Joseph Poelaert et qui essuie encore toujours un grand nombre de critiques.

Le mardi 7 février 2017 (14h-16h) et le jeudi 9 février 2017 (10h-12h)

Le mardi 9 mai 2017 (14h-16h) et le jeudi 11 mai 2017 (10h-12h) + promenade vendredi 2 juin 2017 à 14h

COURS N° 7 : LA VIE COMMUNALE BRUXELLOISE Dix-neuf communes pour une région. Une capitale pour dixhuit villages, au moins jusqu’au début du XXe siècle. Comment fonctionnait l’administration communale au Moyen-âge. Quels étaient les pouvoirs du bourgmestre et de ses échevins ? Comment va évoluer l’administration communale à partir de la loi communale de mars 1836 ? Quels étaient les relations entre la ville de Bruxelles et les communes de la périphérie au XIXe siècle ? Quels sont les origines du développement des villages qui entouraient Bruxelles ? Où se réunissait le conseil communal dans les communes périphériques. Quel est l’origine de la construction d’hôtels de ville ou de maisons communales prestigieuses ? Que reste-t-il de la notion de liberté communale aujourd’hui ?

COURS N° 10 : LES BELLES HEURES DE BRUXELLES Au Moyen-âge, la population avait quasi autant de jours de congé qu’aujourd’hui mais réparti de façon différentes. Que faisaient-ils de leurs loisirs ? Les saints menaient la danse avec de nombreuses processions religieuses. Les fêtes populaires étaient fréquentes au point d’agacer certains patrons et hommes politiques au XIXe siècle. Les foires commerciales étaient également l’occasion de multiples réjouissances. Les XVIIe et XVIIIe siècles verront apparaitre des loisirs plus philosophiques pour les gens de la haute société bruxelloise. Ce sera aussi l’occasion pour les riches bourgeois et l’aristocratique de découvrir d’autres plaisirs comme les promenades à l’Allée Verte, puis au bois de la Cambre. A la fin du XIXe siècle, Bruxelles va « brusseller » dans ses théâtres, ses music-halls, ses guinguettes des villages voisins, ce sera l’insouciance de la Belle Epoque. Ce sera ensuite l’époque des cinémas de quartiers et bien d’autres loisirs encore

Le mardi 14 mars 2017 (14h-16h) et le jeudi 16 mars 2017 (10h-12h)

COURS N° 8 : L'ARCHITECTURE BRUXELLOISE DU NÉOCLASSIQUE À 1958

Le mardi 6 juin 2017 (14h-16h) et le jeudi 8 juin 2017 (10h-12h) + promenade vendredi 16 juin 2017 à 14h

Les hasards de l’Histoire de la capitale n’ont laissé que peu (trop peu) de traces de l’architecture féodale bruxelloise. Malgré la reconstruction rapide et prestigieuse de la Grand’Place à la fin du XVIIe siècle, il fallut attendre quasi un siècle de plus pour voir les premiers aménagements urbanistiques majeurs à la place de la Blanchisserie et au quartier royal et l’ancienne Cour brûlée. Le XIXe siècle sera une période peu inventive au niveau de nouveaux modèles architecturaux, les architectes copient des modèles anciens. Seuls les grands boulevards haussmanniens apportent une touche de modernité dans la capitale. Il faudra l’arrivé d’un art dit nouveau avec ses nombreux architectes belges mondialement connus pour voir la ville prendre une allure belle et enjouée. Mouvement très bref, il sera dépassé par le mouvement des arts décoratifs entre les deux guerres mondiales. Dans les années ’50, le modernisme prend la relève et laisse encore aujourd’hui quelques traces très « vintage ».

INSCRIPTION ET PAIEMENT OBLIGATOIRES Formules et prix Pour l’ensemble des 10 cours pour une personne Pour l’ensemble des 10 cours pour un couple Pour un cours pris séparément Pour une promenade Téléphone : 02/500.50.95 – Email : info@ilfac.be Avenue de la Toison d’Or, 84-86 – 1060 Bruxelles Compte bancaire BE78 2100 6992 1086²c

Le mardi 18 avril 2017 (14h-16h) et le jeudi 20 avril 2017 (10h-12h) + Promenade vendredi 28 avril 2017 à 14h 11

95€ 150€ 13€ 10€


AGENDA 2016

PB- PP  P701005 BELGIE(N) - BELGIQUE

12 13 15 15 15 18

EXCURSION COURS HISTOIRE COURS HISTOIRE ED. CITOYENNE ED.CITOYENNE PROMENADE

decembre Doel Le quartier Léopold Le quartier Léopold L’enseignement qualifiant Smartphones & jeunes

Le quartier Léopold

code 49 - p 07 code 46 - p 10 code 47 - p 10 code 39 - p 06 code 40 - p 06 code 48 - p 10

9-11 13 15

WEEK END Paris COURS HISTOIRE Bruxelles, Laeken, Haeren... COURS HISTOIRE Bruxelles, Laeken, Haeren...

janvier 20

13 14 19 21

COURS HISTOIRE De Louise au Bois de la Cambre COURS HISTOIRE De Louise au Bois... EXCURSION La Boverie à Liège et ... THEATRE Le Poisson Belge PROMENADE De Louise au Bois...

COURS HISTOIRE COURS HISTOIRE THEATRE PROMENADE THEATRE

code 21 - p centr

Béjart

Permanence sociale Le jeudi de 10h00 à 12h00 sur rendezvous, téléphone 02-500 50 95 ou info@ilfac.be.

code 46 - p 10 code 47 - p 10 code 41 - p 03 code 42 - p centr code 48 - p 10

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De l’autre côté du canal De l’autre côté du canal The Roots De l’autre côté du canal Le chagrin des ogres

Notre atelier mémoire se poursuit. Merci de nous contacter pour les dates.

projets

novembre 11 13 14 19 21

BALLET

infos de dernière minute

OCTOBRE 11

code 45 - p 8-9 code 46 - p 10 code 47 - p 10

Journée à Bonn Visite du MIMA "L’Histoire commence en Mésopotamie" au Louvre Lens et Luc Tuymans au LAM Expo "Ukiyo-e" au Cinquantenaire avec une conférence de Francis Peeters Expo "Origin" à Seneffe et le musée Ianchelevici à La Louvière

Voyages 2017

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14 au 21 mai : Van Gogh au soleil avec Michel Carly. 19 au 27 juin : La Sicile avec Karin DEBBAUT 3 au 9 septembre : Vienne avec Michel CARLY 1ère semaine d’octobre : New-York

Modalités d’inscription

rappel ADHESION 2016 Nous nous permettons de vous rappeler votre cotisation 2016. À cette date certains d’entre vous ne sont plus en ordre de cotisation. Merci d’y remédier au plus vite. Nous vous demandons une contribution de 15€ par année civile, à verser sur le compte mentionné ci-joint dans nos modalités d'inscription, en indiquant « Cotisation 2016 ». Cette affiliation vous permet de continuer à recevoir notre périodique et vous donne droit à un tarif préférentiel sur de nombreuses activités ainsi qu’une priorité lors de l’inscription.

FERMETURE du 15 JUILLET au 16 AOUT Nous restons joignables au 02 500 50 97 jusqu’au 20 juillet et par mail durant cette période.

T éléphonez à l’ILFAC au 02/500.50 95 ou envoyez un mail à info@ilfac.be pour effectuer la réservation, en communiquant nom, adresse et tél, et en précisant si vous bénéficiez d’une réduction ou si vous êtes membre. Toute inscription à un voyage sera confirmée par le versement d’un acompte. Différentes possibilités de lieux de départ. Nous contacter. ersez la somme convenue dès l’inscripV tion (sinon la place retenue n’est plus assurée) sur le compte BE78 2100 6992 1086 en précisant le code de l’activité.

Afin de pouvoir vous adresser des informations de dernière minute, nous aimerions avoir les adresses courriel de nos membres. Merci de nous les communiquer. D’autre part, n’hésitez pas à marquer votre intérêt pour les activités qui vous tentent. L’annulation d’une journée est souvent liée à des inscriptions trop tardives. Merci de votre compréhension. Ilfac Magazine

12

Juillet 2016

L’Association se réserve le droit d’annuler les réservations qui n’auraient pas été réglées dans les délais impartis. E n cas d’annulation de votre part, prière de nous le faire savoir au plus vite. Nous effectuons le remboursement dans la mesure des possibilités (aucun remboursement si l’annulation a lieu moins de 48h avant l’activité). Nous nous réservons la possibilité d’annuler ou de reporter l’activité si nécessaire, et dans ce cas, le remboursement est intégral.

Comité de rédaction Véronique HALPOUTER & Latifa AÏT-BAALA

graphisme & mise en page Thomas DAEMS / www.thomasdaems.be

ILFAC a.s.b.l. Avenue de la Toison d’Or, 84-86 1060 Bruxelles (Saint-Gilles) Tél. : +32 2 500 50 95 / Fax : +32 2 500 50 96 info@ilfac.be / www.ilfac.be

ER : Alain Vanderelst- 84-86 avenue de la Toison d’Or – 1060 Bruxelles - Périodique trimestriel Avril - Mai - Juin 2016

SEPTEMBRE


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