Portfolio
ABDALLAH
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+(33) 6 98 84 68 52
inesbenabdallahkhapko@gmail.com
LANGUES
FRANÇAIS
MATERNELLE ARABE MATERNELLE UKRAINIEN MATERNELLE ANGLAIS
C1_IELTS BRITISH COUNCIL ITALIEN
C1_UNIVERSITÀ DI BOLOGNA RUSSE
ABDALLAH
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FRANÇAIS
MATERNELLE ARABE MATERNELLE UKRAINIEN MATERNELLE ANGLAIS
C1_IELTS BRITISH COUNCIL ITALIEN
C1_UNIVERSITÀ DI BOLOGNA RUSSE
Lycée Gustave Flaubert, Tunis
LICENCE
École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Val de Seine (ENSAPVS)
Formation en Licence 2eme année : Initiation AutoCAD
Initiation ArchiCAD
Formation en Licence 3eme année : Sketchup
Rapport de Licence : « La CONTRE-CULTURE (aux états-unis) : une expérience et architecturale militante »
MASTER 1
Università di Bologna (UniBo) Campus di Cesena, Italie
Formation avancée AutoCAD & REVIT , Université de Bologne
Participation au concours Young Architects Competition (YAC academy)
« Hyperloop Desert Campus » (Jury : Souto De Moura architects, SANAA, Michele de Lucchi studio, MVRDV, Kengo Kuma, Aires Mateus, Zaha Hadid architects, David Chipperfield)
Participation au projet du pavillon de la Tunisie pour l’exposition universelle 2022 (1 octobre 2021- 31 mars 2022) à Dubai. « Centré sur la jeunesse, l’esprit d’innovation et l’avenir. »
Formation en ligne DOMESTIKA : « Architectural Visualization with V-Ray for SketchUp » par María Alarcón,Architecte Formation en ligne DOMESTIKA : « Advanced_3D Architectural Design and Modeling with REVIT» par Arturo Bustíos Casanova, Architecte
École Supérieure Nationale d’Architecture de Paris-Val de Seine Projet de fin d’étude : « Les Marais du Haut-Médoc, Accompagner la résilience d’un territoire menacée par la montée des eaux ». Mention Très Bien
B2_CENTRE CULTUREL RUSSE À TUNIS AUTOCAD REVIT SKETCHUP ARCHICAD PHOTOSHOP ILLUSTRATOR INDESIGN V-RAY LUMION QGIS PREMI ER PRO
2B ARCHITECT, Centre urbain , Tunis
_STAGE CHANTIER_ PHASE DET/OPC
Suivi du chantier d’un immeuble de bureau situé dans le centre-ville de Tunis Compréhension du processus de construction au côté de l’architecte
ATELIER DAPREYDEGEORGES, Saint-Ouen, Paris
_STAGE DE PREMIÈRE PRATIQUE EN AGENCE_PHASE ESQ /AVP/DPC/DET
Élaboration de plan d’exécution, de permis de construire Conception détaillée des bâtiments : plans / façades / coupes / élévations / vues
2B ARCHITECT, Centre urbain , Tunis
_STAGE PREMIÈRE PRATIQUE EN AGENCE_PHASE EXE/PRO
Mise en place des plans d’éxécution du projet de logement et détail de construction Travail sur les coupes, plans et façades de logements et équipements publics Réalisation de 3D sur le logiciel REVIT pour des vues présentées aux clients
LA FABRIQUE URBAINE, 5 cité Popincourt, Paris
_STAGE DE PREMIÈRE PRATIQUE EN AGENCE_PHASE ESQ/AVP/EXE/ACT
Analyses et recherches autour de différentes problématiques des projets urbains
de document de présentations aux problématiques urbaines étudiées_
utilisés : Sketchup
Autocad/ illustrator /Indesign
Nevada desert, USA
C’est au coeur du désert que s’implante le campus de recherche de Hyperloop. Conçu pour être le moyen de transport le plus rapide au monde, le projet incarne le futur. C’est dans un concept unique que le programme du centre de recherche est conçu. Entièrement creusé dans la terre, le campus introduit l’idée de la création, comme celle d’un savoir qui se garde et qui évolue selon une hiérarchie, ici architecturale. Tout le processus de recherche se met en place dans la partie basse, formant un noyau de savoir donnant naissance aux projets, pour ensuite se développer jusqu’à atteindre la surface de la terre. Le public arrivant dans le désert n’a plus qu’à se laisser guider par les éléments apparents pour découvrir le campus dans son intégralité.
Ce nouveau bâtiment représente un nouveau départ pour l’humanité. C’est un lieu où l’impossible devient possible.
Le grand projet de Hyperloop a nécéssité l’espace et l’isolement du désert afin de se développer et se consolider. La progression a été telle qu’il a fallu concevoir un centre d’essai où les scientifiques et chercheurs les plus ambitieux de la planète se retrouvent pour concevoir cette technologie nouvelle.
À travers leurs savoir-faire et leurs méthodologies innovantes, ces chercheurs scientifiques participent à la transformation des visions de demain.
Pour accompagner ces personnes dans leurs recherches, le campus est doté des dernières technologies ainsi que d’une architecture hors du commun leur permettant de travailler dans un environnement les représentant.
Des laboratoires modernes et spacieux sont directement connectés à la cour centrale donnant sur l’extérieure.
Cet espace extérieur est non seulement un moyen d’apport de lumière mais aussi une ventilation naturelle indispensable à la construction souterraine.
D’autre part les espaces communs sont présents à chaque niveau et représentent plus de 50% du projet, préservant ainsi le lien et l’échange entre individus menant à la création d’idées et aux nouveaux projets donnant vie à un nouveau chapitre de l’histoire de l’humanité.
Espace administratif et salles de cours Espace public acceuillant un musée retraçant le projet Hyperloop à travers un parcours de visite du campus sur une passerelle suspendue
Chapelle
Perdus dans le désert américain, parmi les bassins salés et les désolations millénaires où la vapeur des anciennes locomotives a été accueillie pour la première fois, nous sommes invités à façonner les rêves les plus récents d’innovation et de vitesse à travers un bâtiment iconique situé dans l’un des contextes les plus majestueux et singulier de la planète. Le bâtiment du campus Hyperloop est un véritable sanctuaire scientifique, un lieu où l’impossible devient possible. C’est aussi un lieu où l’ambition humaine est confrontée à la réalité et dans lequel se façonne une vision principale; celle du progrès.
Arena Vue de l’appartement duplex de la tour Vue intérieure de l’aile administrative avec vue sur cour Vue intérieure de la chapelle ouverte au public et aux chercheurs Passerelle pour la visite du campus Espace sport réservé aux chercheursLe DOJO considéré comme un lieu sacré, est dédié à l’enseignement des arts martiaux. Son organisation architecturale répond à une réglementation stricte. C’est un lieu où l’on progresse, où chaque position devient symbolique. La présence de différents seuils au sein du bâtiment permet une lecture hiérarchique selon la tradition. L’architecture du bâtiment reprend les codes d’une organisation traditionnelle tout en ayant un aspect plus contemporain s’adaptant au site.
N
Placé à l’entrée du parc, le DOJO est le nouvel équipement d’un complexe sportif actuel. Tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, l’orientation, les ouvertures et le revêtement des façades sont déterminés par l’identité du paysage. Tandis que le plan et les circulations sont déterminés par la pratique du sport.
Le plan de distribution se fait tout autour de la zone des tapis. Suivant un système clair, deux voies programmatiques se distinguent : - Est-Sud abritant des vestiaires, des sanitaires ainsi que des locaux techniques - Une voie de circulation et de contemplation au Nord, qui s’ouvre complètement sur le paysage situé à l’Ouest.
Les maisons de jeunes et de la culture (MJC) sont des structures associatives qui ont pour objectifs la responsabilisation et l’autonomie des jeunes citoyens.
Ces MJC veulent lier la jeunesse à la culture et ainsi permettre de créer un lieu où l’on partage, se forme et créer. Dans ce projet, tous les espaces ont pour enjeux de rassembler les individus et tout cela autour d’une grande cour végétale créant un poumon vert au sein du bâtiment.
L’organisation des étages en escalier permet de créer de grands espaces communs, qui profitent aux visiteurs et habitués du lieu. Comme un élément indispensable dans la société ce projet vise à recréer l’image d’un lieu où l’émancipation individuelle et collective des personnes est primordiale.
Rue Tolbiac, 13eme, ParisSitué dans un site comprenant deux entrées à deux niveaux différents, le bâtiment présente une architecture transitoire. En effet, il est situé dans l’angle de l’avenue Tolbiac qui est relié au nouveau quartier des bureaux et des résidences de la rive gauche
Son emplacement marque un passage de temporalité de l’architecture, car l’on passe d’une architecture haussmanienne à l’architecture contemporaine que l’on croise dans les nouveaux quartiers d’aujourd’hui. C’est une lecture nouvelle que propose le bâtiment, avec une façade où l’enchaînement des matériaux offre un lien entre l’extérieur et l’intérieur des espaces, au public.
S’inscrivant entièrement dans sa temporalité, le bâtiment contemporain intègre une architecture aux valeurs nouvelles tout en respectant son environnement alentour. Ainsi le tissu urbain, répond à une transition temporelle architecturale à travers la
La « FOLIE « désigne une maison de plaisance construite par l’aristocrate, généralement dans les environs de Paris. Elle répondait dans sa destination et dans sa conception au caprice d’un courtisan, qui se faisait un jeu de construire une de ces maisons dans un délai très court. L’usage affiché de ces bâtiments était principalement dédié au divertissement .
Dans une version plus contemporaine, mais toujours attaché à son idée d’origine, ce projet s’inscrit dans la continuité du projet de la villette proposé par l’architecte Bernard Tschumi le long du canal de l’Ourq.
Les folies de l’architecte Bernard Tscuhmi ont la particularité de faire 10 m par 8 m et d’avoir une structure composée de pleins et de vides. C’est donc à partir des proportions originales proposées par l’architecte, que le projet prend place dans la continuité du parc de la Villette, autrement dit sur le canal de l’Ourcq.
Sa structure étant établie, c’est la fonction qui définit son utilisation au public. Tel un labyrinthe en hauteur, les différents niveaux appellent à parcourir l’ensemble de la structure architecturale métallique et proposent des vues ciblées sur le parc, la petite ceinture de Paris et le canal.
Façade ESTLe centre artistique regroupe plusieurs complexes vouant entièrement leurs espaces à la création, l’échange et les réflexions autour de l’art. Composé d’un musée principal ouvrant ses portes à tout le quartier et à la ville de Bologne , celui-ci marque sa présence par une architecture monumentale, créant à la fois un lien avec le passé à travers l’utilisation de matériaux locaux, et d’autre part un regard plus contemporain par son concept de structure mutlifonctionnelle.
Ce complexe composé de différentes structures architecturales crée un quartier entièrement dédié à l’art, que le visiteur est invité à découvrir autour d’une balade architecturale.
Différentes entrées sont créées afin de permettre l’accès aux diverses structures du complexe.
Une grande place centrale offre une vue sur l’église située à la limite de l’avenue, raccordant le quartier au centreville de Bologne. L’articulation des différents bâtiments et la diversité des volumétries et des typologies créés une dynamique au sein du quartier.
Le passage d’une structure à une autre, autant au niveau de la matérialité (bois, pierre, acier) au niveau de la construction et de la fonctionnalité des bâtiments, offre une cohabitation entre différentes architectures.
Le passage d’une structure à une autre, autant au niveau de la matérialité (bois, pierre, acier) au niveau de la construction et de la fonctionnalité des bâtiments, offre une cohabitation entre différentes architectures.
Ces différentes architectures racontent une histoire et créent un dynamisme visuel, qui invite le visiteur à se balader et à découvrir les différents espaces proposés.
Ces espaces ont été pensés de manière à mettre en valeur le travail des artistes présents sur place. De l’atelier au musée, tout un parcours retrace la naissance d’un projet jusqu’à son exposition aux yeux du public.
Les expositions artistiques sont dévoilées dans des espaces clos ou ouverts. Ces espaces sont pour certains habillés de longues façades vitrées mettant en avant les différentes oeuvres d’arts aux yeux du public. Une fois la balade entamée, on se laisse porter par l’atmosphère ludique et sensorielle des espaces et on fait partie de cette harmonie artistique.
Le musée, bâtiment principale de ce complexe artistique, est situé de façon stratégique dans le site. Par sa volumétrie monumentale et sa texture de pierre apparente, il incarne le renouveau de l’architecture locale tout en rendant hommage à son histoire. Situé au centre de la parcelle, il propose une vue sur l’église du quartier, à travers l’installation de deux grandes baies vitrées. Celles-ci donnent d’une part sur la bibliothèque circulaire ainsi que la banlieue de Bologne et d’autre part sur l’église et son parc. C’est une architecture qui offre aux visiteurs un spectacle unique dans la ville historique.
Les espaces dessinés et construits au fil des siècles évoluent aussi avec celles et ceux qu’ils accueillent et qui les transforment à leur tour. Penser la beauté de la ville de demain revient donc à s’interroger sur la capacité de métamorphose de celle-ci par et avec ses habitants et ses usagers.
La ligne directrice de ce projet est la cohabitation des bâtiments anciens, apportant une richesse historique, avec les nouvelles structures apportant le confort nécessaire à la société actuelle.
Prenant la forme de tours, ces nouvelles unités répondent à un besoin urgent de logement au centre de la ville de Paris, tout en ayant une petite surface au sol. Une fois en hauteur, les habitants peuvent profiter des différents points de vue qui s’offrent à eux sur l’ensemble de la ville de Paris.
Avec les dimensions de 13 m par 11 m, c’est la tour de logement la plus fine du complexe des grands voisins. Elle dispose d’un grand hall qui est rattaché à l’ancien bâtiment existant créant ainsi un toit terrasse pour les habitants de la tour et du bâtiment réhabilité. Ce hall accueille la circulation avec une cage d’escalier et deux ascenseurs qui donnent directement accès aux appartements.
Trois types d’appartements composent la tour ; des T2 , des T3 et T4 aménagés en duplex ainsi que des T5 .
Tous les appartements ont une superficie allant de 70 m² à 100 m² offrant aux habitants un espace fonctionnel et modulable avec une vue sur toute la ville de Paris.
Le terrain choisi pour le centre d’interprétation de l’avifaune est dans un environnement marécageux où l’eau est stagnante. Il s’étend sur plusieurs kilomètres et offre des points de vue sur ces paysages de basse altitude où l’on aperçoit à peine la limite entre la terre et l’eau. Dans ce paysage, le projet propose un parcours composé de deux bâtiments : le centre d’interprétation de l’avifaune ainsi qu’une tour d’observation des oiseaux qui marque la fin du parcours piéton. L’ensemble du projet est posé sur des pilotis. Il se détache physiquement du terrain et donne l’impression de flotter sur l’eau.
Le centre d’interprétation est conçu par une volumétrie rectangulaire simple. Des fondations en pieux vissés soutiennent le bâtiment et permettent de protéger le bâtiment en cas de submersion et d’inondation sur le terrain. Une trame de 10 fermes composent le volume et se place à une distance de 5 m l’une de l’autre.
Le bâtiment dans sa généralité fait 45 m par 10 m.
Dans les deux extrémités du bâtiment, des murs-rideaux apportent la lumière à l’entièreté du volume rectangulaire.
Enfin, c’est en roseau qu’est recouverte la totalité de la toiture du bâtiment. Le centre d’interprétation propose un programme qui vise à informer et à sensibiliser le visiteur au territoire qui l’entoure.
Un espace de conférence ainsi qu’un large espace d’exposition proposent de découvrir la diversité de la faune et de la flore existante du territoire.
Au-delà de la reconquête d’une biodiversité remarquable dans un contexte de changement climatique où l’adaptation est nécessaire, ce projet autant paysager qu’architectural guide le choix de gestion d’un aménagement plus cohérent avec son environnement. À travers une utilisation des ressources locales, une compréhension des variations possible de la morphologie du territoire au fil du temps, le projet révèle l’identité du paysage des Marais du Haut-Médoc.
La
Avec
La « Green Tower » est un concept utopique, exprimant un changement de paradigme et de moralité. Aujourd’hui, il y a une forte distinction entre la civilisation et le paysage naturel. Les activités humaines n’ont fait qu’accroître l’écart entre l’organique et l’abstrait. Pour cette raison, dans ce projet l’idée d’un équilibre entre nature et civilisation est dominant ; une nouvelle ville verticale à la nature omniprésente.