Constructeur de sols industriels et de chapes

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ConstrUCteUr/triCe de sols indUstriels et de Chapes CfC

assistant/e-ConstrUCteUr/triCe de sols indUstriels et de Chapes afp chaMp proFessionnel construction de voies de coMMunication Mélangeur/taloche/rouleau À pointes responsable/travail d’équipe 135.00 126.50


Un travail manuel pour perfectionnistes Il y a sol et sol. En tant que constructeur de sols industriels et de chapes, tu construis et entretiens des chapes et des revêtements de sol. Tu les construis, par exemple, dans des halles d’usines, des entrepôts ou des bâtiments publics. Tout d’abord, il y a les chapes. Tu les construis principalement dans des locaux commerciaux et d’habitation. La chape est réalisée sur une dalle brute en béton. Elle constitue le support de moquettes, parquets ou autres revêtements de sol. Une chape sert d’isolation thermique et phonique ou pour isoler de l’humidité. Pratiquement toutes les dalles doivent être recouvertes d’une chape.

Les sols industriels sont le deuxième secteur d’activité important des constructeurs de sols industriels et de chapes. Tu les construis dans des locaux de production ou des ateliers d’usines, mais aussi dans des entrepôts ou des parkings. Les sols industriels sont également utilisés dans des halles de sport et d’autres bâtiments publics. La construction de sols industriels requiert la plus grande précision. Dans une espace, un beau sol est la touche qui fait la différence. De plus en plus, des sols industriels classiques sont également utilisés dans des bureaux et même des appartements. Dans ce cas, ils font partie de l’aménagement intérieur.

Ce métier est diversifié Nettoyer et appliquer la couche de fond

Isoler et coffrer

Mettre en place les Fraiser et poncer le fond, matériaux d’isolation et le rendre rugueux. contre les bruits Nettoyer le sol et d’impact, l’humidité et appliquer la couche de les déperditions de fond. chaleur. Coffrer les réservations et mettre en place les profils.

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En tant que constructeur de sols ­industriels et de chapes, tu utilises les matériaux les plus divers comme le ­béton, les résines synthétiques, les granulés de caoutchouc ou la magnésie. Grâce à la formation initiale très étendue, réalisée en commun avec les autres métiers du champ professionnel des constructeurs de voies de communication, les cons­truc­teurs de sols industriels et de chapes sont des professionnels polyvalents. Ils trouvent donc facilement un emploi. De plus, celui ou celle qui fait preuve d’engagement et qui possède les facultés nécessaires a d’excellentes possibilités de carrière.

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Mélanger et verser

Niveler et lisser

Débuller et épandre

Mélanger les revêtements à plusieurs composants. Verser le mélange sur le sol et le répartir régulièrement.

Niveler le revêtement à base de ciment à la bonne hauteur avec une règle. Vibrer le revêtement et le lisser à la truelle.

Etaler proprement le revêtement en résine synthétique à la taloche. Débuller le revêtement et épandre du sable de quartz.

Impressum: Editeur: Fédération Infra, Weinbergstrasse 49, case postale, 8042 Zurich, www.infra-suisse.ch Mise en page et graphisme: Eclipse Studios, www.eclipsestudios.ch | Photos: Stefan Schaufelberger, www.kamerawerk.ch Un grand merci à toutes les personnes et entreprises ayant participé à ce projet. Cette brochure peut être commandée gratuitement à la Fédération Infra. 1re édition 2010. © 2010 Fédération Infra, Zurich. Tous droits réservés.


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Mes chantiers s’étendent, en moyenne, sur 1500 m2 Damir Tomic (20), constructeur de sols industriels et de chapes CFC, 2e année d’apprentissage, Euböolithwerke AG, Olten

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Les deux premières semaines de mon apprentissage de constructeur de sols industriels et de chapes ont été éprouvantes.Mais ce n’était qu’au début.Aujourd’hui, Damir s’y est habitué depuis longtemps. Il est convaincu d’avoir trouvé le métier qui lui convient. Plus tard, d’impressionnantes machines seront montées dans cette halle. Pour l’instant, elle est encore vide. Damir Tomic et ses collègues construisent ce qu’on appelle un sol industriel. Pour cela, il faut ­beaucoup de doigté. Damir est maintenant dans sa deuxième année d’apprentissage. Il sait qu’il a encore beaucoup à apprendre. Et pas seulement jusqu’à son examen de fin d’apprentissage. «Mon chef d’équipe ­construit des sols industriels et des chapes depuis 30 ans déjà. Mais il lui arrive encore de se retrouver face à des situations qu’il n’avait encore jamais rencontrées!», relève Damir. A l’aide d’une règle, Damir lisse le mélange que son collègue a coulé sur le sol

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préparé. «Je construis principalement des chapes à base de magnésie», nous confie Damir. Mais le travail du constructeur de sols industriels et de chapes n’est jamais monotone. C’est précisément ce qui plaît à Damir dans son métier. «Mon métier est très diversifié», ajoute Damir. «Tu n’es jamais longtemps au même endroit et tu fais des travaux très différents. Comme ça, le temps file à toute vitesse. Ça me plaît beaucoup.»

Mon travail n’est jamais monotone Damir a eu connaissance du métier de constructeur de sols industriels et de chapes à travers un ami. Après un stage de découverte et un contrôle de base «presque parfait», sa décision était prise: il serait constructeur de sols industriels et de chapes. Le métier de constructeur de sols industriels et de chapes a de quoi sur­prendre: «Un appartement moyen a une surface d’un

peu moins de 100 m2. Quand je dis que nos chantiers font entre 1000 et 1500 m2 en moyenne, la plupart des gens restent ­bouche bée!», raconte Damir, non sans fierté. Il ne considère pas son travail comme spécialement pénible. Lui-même et ses collègues veillent à ne jamais soulever seul de lourdes charges. «Le soir, quand je rentre à la maison, je suis bien un peu ­fatigué. Mais c’est normal: je sais ce que j’ai fait.» Damir se voit très bien suivre une formation de chef d’équipe après son apprentissage. «C’est mon but. Mais une chose après l’autre!»

Un métier pour les femmes?.01/ La construction de sols industriels et de chapes est un métier manuel. En particulier la construction de chapes exige une certaine force physique. Tu es une femme? Adresse-toi à une entreprise de ta région pour effectuer un stage de découverte.

01.


A la surface de certains revêtements, on répand du sable de quartz. Celui‑ci sert de charge et rend le revêtement antidérapant.

Sur un revêtement en résine synthétique tout neuf, il faut marcher avec des souliers cloutés.

Les sols industriels sont souvent utilisés dans des ­halles de production, mais aussi dans des bâtiments ­publics et même dans des locaux d’habitation.

Avant de mettre en place un revêtement, le fond doit être poncé et dépoussiéré. Puis on applique une couche d’accrochage.


02 36.00

J’aime le travail d’équipe Leonard Daku (25), constructeur de sols industriels et de chapes CFC Texolit AG, Buchs (ZH) 34.25

Appliquer un revêtement en résine ­ ynthétique ou une couche d’accrochage à s la taloche, c’est ce qu’il préfère. Leonard Daku vient de terminer son examen ­final. Peut-être deviendra-t-il un jour chef d’équipe. «Le soir, je vois ce que j’ai fait toute la journée. C’est ce que j’aime dans ce métier», souligne Leonard Daku. Il est dans un bâtiment administratif flambant neuf. L’architecture est moderne, et la vue sur le lac à vous couper le souffle. Tous les sols sont en résine synthétique très esthétique: c’est l’œuvre de Leonard Daku et de son équipe. Les constructeurs de sols industriels et de chapes travaillent en équipe. Ils ne travaillent jamais seuls. «Nous sommes toujours entre trois et dix personnes sur un chantier,» précise Leonard. Cela lui plaît. Déjà durant le stage de découverte, le travail en équipe l’a séduit. «Les gens de mon entreprise sont super!», ajoute Leonard. La journée commence peu après 5h30 du matin.

Après avoir déjeuné, il se rend d’abord au dépôt. «Le matin, nous nous retrouvons d’abord dans l’entrepôt», explique Leonard. Là, il commence par se changer. Après cela, le chef distribue le travail aux différentes équipes. Ensemble, ils chargent le bus et se rendent sur le chantier. Le voyage peut aussi être relativement long, car l’entreprise dans laquelle il travaille effectue des mandats dans toute la Suisse. «Mais ça ne me gène pas.» Il sourit et ajoute: «Chez nous, le temps de déplacement est payé.»

Parfois, je travaille plus longtemps que prévu «Une ombre au tableau? Chaque métier en a», concède Leonard. Les constructeurs de sols industriels et de chapes doivent parfois travailler plus longtemps que prévu. On ne peut pas simplement interrompre la pose d’un revêtement et rentrer à la maison.

«Exceptionnellement, je rentre chez moi à 20 h», précise Leonard. Mais il ajoute aussi­ tôt: «Lorsque nos finissons plus tôt que prévu, nous terminons aussi notre journée de travail plus tôt.» Leonard a terminé sa formation il y a quelques mois seulement. Ses projets d’avenir sont encore un peu flous. Pour l’instant, il reste ici. Il aimerait simplement travailler encore un moment et mettre de l’argent de côté. «Mais je me suis déjà ren­ seigné sur le perfectionnement de chef d’équipe», avoue-t-il.

La sécurité avant tout.02/ Dans la construction de sols industriels et de chapes, la priorité va à la sécurité et à la santé. Le respect des dispositions relatives à la protection de l’environnement est également très important. Les construc­ teurs/trices de sols industriels travaillent toujours avec leur équipement de protection individuel.

02.


Même si on dispose aujourd’hui de machines et d’appareils, la construction de sols industriels et de chapes implique toujours un important travail manuel.

Le revêtement est mélangé sur le chantier et immédiatement coulé sur le sol. Les ­éléments attenants sont d’abord protégés.

Le revêtement est réparti régulièrement sur le sol au moyen d’une taloche. Cela exige du doigté et de l’expérience.


Benjamin Stampfli

Visar Shtanaj

Kurt Gerber

Markus Popp

∆ Carrière.01/

∆ Carrière.02/

∆ Carrière.03/

∆ Carrière.04/

J’ai été séduit par la résine synthétique

un chef d’équipe travaille comme tout le monde

Je suis un homme de chantiers. Corps et âme

J’accorde une attention toute particu­ lière aux apprentis

«Dans mon métier, j’aime tout particulièrement les matériaux utilisés, la mise en œuvre des revêtements. Ce sont surtout les différents revêtements en résine synthétique qui m’ont séduit. Les produits employés dans la construction de sols industriels et de chapes sont très beaux. Parfois, ils ont même un aspect tout à fait luxueux! Mais les sols industriels doivent avant tout être fonctionnels et pratiques. La diversité des matériaux et des travaux, mais aussi des chantiers me fascine. Je voyage dans toute la Suisse: je suis deux semaine par-ci, deux semaine par-là. J’aime ça.

«En tant que chef d’équipe, je suis responsable du bon déroulement des travaux sur mon chantier. J’organise les machines, je commande le matériel et les bennes. Le matin, je me rends d’abord au dépôt. Avec mes collègues, je charge le matériel. E ­ nsemble, nous nous rendons ensuite sur le chantier. En tant que chef d’équipe, j’attribue à chacun son travail. Contrairement à ce qui se passe dans beaucoup d’autres métiers de la construction, le chef d’équipe des constructeurs de sols industriels et de chapes met la main à la pâte comme tout le monde. Mais en plus, je dois aussi effectuer tout le travail administratif. Les rapports de régie et de transport, je les écris généralement sur le chantier, de manière à ne rien oublier.

«Celui ou celle qui veut faire carrière dans la construction de sols industriels et de chapes doit avoir une bonne capacité de compréhension, un sens développé de l’organisation et un certain doigté dans la direction d’équipes, c’est évident. Cela dit, le hasard m’a bien aidé, et c’est aussi grâce à lui que je suis aujourd’hui dans la construction de sols industriels et de chapes. Ma carrière dans cette entreprise a commencé, il y a maintenant 30 ans. Après mon apprentissage et l’école de commerce, j’ai commencé comme collaborateur. Finalement, je suis devenu responsable de département. Après quelques détours, j’ai eu la possibilité de racheter l’entreprise. La construction est clairement mon truc. Je suis un homme de chantiers, corps et âme.

«Walo Bertschinger AG est probablement le plus grand construc­ teur suisse de sols industriels et de chapes. Ce secteur occupe, chez nous, environ 400 personnes. Chaque année, nous formons huit à dix apprentis comme ­constructeurs de sols industriels et de chapes. Cela représente environ la moitié de tous les ap­ prentis de cette profession en Suisse! Lorsque j’ai commencé mon apprentissage, le métier de constructeur de sols industriels et de chapes n’existait même pas. J’ai appris les métiers de dessinateur et de maçon. Après ma formation de chef de chantier, j’ai pris la direction d’un centre de profit dans le département sols industriels et revêtements décoratifs, chez Walo Bertschinger AG. Cette fonction me procure aujourd’hui encore beaucoup de plaisir. Dans ce cadre, j’accorde une attention toute particulière au travail avec les apprentis.

Constructeur de sols industriels et de chapes qualifié Weiss + Appetito AG, Berne

«Travailler toute la journée au bureau? Ce n’est pas pour moi!» Le soir, je suis souvent lessivé. En tant que constructeur de sols industriels et chapes, tu dois être physiquement en forme. C’est exactement ce qu’il me faut. Travailler toute la journée au bureau serait pour moi un supplice. J’ai besoin de bouger, y compris dans mes loisirs – je fais du kungfu. Mais la force seule ne suffit pas. Ni dans le kung-fu, ni dans mon métier. Les constructeurs de sols industriels et de chapes doivent aussi réfléchir: lors du mélange des composants, du nivellement ou de la prise des mesures. Certains travaux exigent une extrême précision. Il y a un an, j’ai terminé mon apprentissage. Maintenant, je commence ma formation de chef d’équipe.»

Chef d’équipe en construction de sols industriels et de chapes qualifié Walo Bertschinger AG, Zurich

«Un bon chef d’équipe est correct.» Je me sens à l’aise dans l’organisation et la direction de personnes. Je veux que mes collègues soient satisfaits de mon travail. Je m’efforce d’éviter les temps morts. Un bon chef d’équipe est correct avec ses collègues. Pour moi, c’est important. J’étais un très bon élève. En principe, je voulais faire l’école de commerce. Mais rester assis au bureau toute la journée, ce n’était pas pour moi. Je veux mettre à profit les possibilités de perfectionnement offertes par mon métier. Mon but est de devenir chef de chantier.»

Propriétaire et directeur Streiff Unterlagsboden AG, Aadorf (TG)

«Les délais sont sacrés.» Nous nous sommes spécialisés dans les isolations et les chapes flottantes. Dans une entreprise comme la nôtre, les tâches du propriétaire et du directeur sont bien sûr très diversifiées. Toute la préparation du travail est extrêmement importante. Car dans la construction de chapes, le respect des délais est impératif. Nous ne pouvons pas simplement arriver sur le chantier un jour plus tôt ou plus tard que prévu. Le respect des délais représente un défi considérable.»

Responsable d’un centre de profit sols industriels et revêtements décoratifs, Walo Bertschinger AG, Zurich

«Il n’est pas facile de trouver suffisamment d’apprentis.» Nous proposons des activités et des manifestations les plus diverses pour la relève professionnelle. Cela fait partie de notre politique d’entreprise, car il n’est pas facile du tout de trouver suffisamment de bons apprentis. Notre secteur souffre malheureusement d’une mauvaise ­réputation. A tort, à mon sens.»


Le revêtement fraîchement mélangé est réparti régulièrement sur le sol.

Le revêtement est nivelé à la bonne hauteur au moyen d’une règle.

La surface est lissée à la taloche.


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Constructeur/trice de sols industriels et de chapes – un métier pour toi?

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INFORMATIONS Formation initiale de constructeur/trice de sols industriels et de chapes CFC.01/ Prérequis: avoir terminé l’école obligatoire

Exigences.01/

3 ans jusqu’à l’obtention du CFC de constructeur/trice de sols industriels et de chapes

Tu aimes travailler avec tes mains et tu as une certaine force physique. On peut compter sur toi, et tu es toujours à l’heure. Tu es habile de tes mains et tu travailles de manière autonome, soigneuse et précise. Tu communiques aisément et tu travailles volontiers en équipe. Tu as une santé robuste et tu es physiquement en forme. Tu fais preuve de persévérance et tu n’abandonnes pas facilement.

Celui ou celle qui possède déjà un certificat fédéral de capacité (CFC) peut effectuer cette formation en 2 ans (deuxième formation). La formation pratique se fait dans l’entreprise formatrice (une entreprise de construction de sols industriels et de chapes) et dans les cours interentreprises. L’enseignement théorique est donné dans une école professionnelle.

Assistant/e-constructeur/trice de sols industriels et de chapes AFP.02/

Les bons côtés du métier .02/

Tu vois le résultat de ton travail.

Si tu es habile manuellement mais que tu as besoin d’un peu plus de temps pour apprendre, tu peux faire une formation de base de 2 ans comme assistant/e-constructeur/trice de sols industriels et de chapes AFP. Avec des capacités suffisantes, tu as la possibilité, par la suite, avec 2 ans supplémentaires d’obtenir un CFC de constructeur/trice de sols industriels et de chapes.

La construction de sols industriels et de chapes n’est pas un travail de bureau. Tu travailles toujours physiquement.

Perfectionnement.03/

Le travail est très varié. Tu travailles avec les matériaux les plus divers et à des endroits très différents. La construction de sols industriels et de chapes est un travail d’équipe. Tu ne travailles jamais seul.

Les constructeurs/trices de sols industriels et de chapes sont des professionnels bien payés. Les possibilités de perfectionnement et de carrière des constructeurs de sols industriels et de chapes sont très bonnes.

Ce qui fait aussi partie du métier .03/ Le travail de constructeur/trice de sols industriels et de chapes est physiquement éprouvant. Tu travailles souvent accroupi ou à genoux. Suivant le travail, la journée de travail peut aussi, parfois, se terminer assez tard. Notamment lorsque le chantier est éloigné. Cela ne facilite pas la vie sociale. Dans de rares cas, des réactions allergiques à certains produits chimiques peuvent apparaître.

∆ Aimerais-tu devenir constructeur/trice de sols industriels et de chapes? Adresse-toi à une entreprise de ta région pour faire un stage de découverte. Tu y seras le/la bienvenu/e.

Cours spécialisés spécifiques et formations spécialisées Formation supplémentaire de 1 an comme constructeur de routes, constructeur de voies ferrées ou constructeur de fondations. Formation supplémentaire de 2 ans comme paveur Chef/fe d’équipe en construction de sols industriels et de chapes (diplôme) Contremaître/sse en construction de sols industriels et de chapes (examen professionnel avec brevet fédéral) Chef/fe de chantier dipl. en génie civil (examen professionnel supérieur) Bachelor of Science en génie civil (haute école spécialisée)

Maturité professionnelle .04/ Si l’apprenti présente de très bonnes prestations scolaires, il peut suivre une école de maturité professionnelle dans le canton de l’entreprise dans laquelle il effectue son apprentissage. La maturité professionnelle permet, selon l’orientation, d’être admis sans examen d’entrée dans une haute école spécialisée.

Pour tout complément d’information.05/ Fédération Infra www.infra-suisse.ch Pavidensa www.pavidensa.ch Informations générales pour l’orientation scolaire et professionnelle: www.orientation.ch

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