Le renouveau de l'Institut du monde arabe, 2013-2015

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Le renouveau de l’Institut du monde arabe 2013 c 2015


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Sommaire i 4 7

Préambule Fréquentation

9 10 22 32 44 56 70 72

I. I.1. I.2. I.3. I.4. I.5.

Les grandes expositions qui feront date Il était une fois l’Orient Express Hajj, le pèlerinage à la Mecque Le Maroc Contemporain Hip Hop, du Bronx aux rues arabes Osiris, mystères engloutis d’Égypte Les œuvres monumentales de Stéphane Pencréac’h FIPCOM : Le concours international de photojournalisme

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II.

Le nouveau visage du musée de l’IMA

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III.

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IV.

130 140 154 162 168 185

Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes IV.1. Cinéma IV.2. Un festival permanent de musiques et de danses IV.3. L’IMA hors les murs IV.4. Un nouvel élan pour des cours de langue et de civilisation arabes IV.5. Et des actions éducatives

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V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe • Personnalités du monde • Rencontres avec des personnalités politiques du monde arabe • Festivals & Forums • Ca s’est passé à l’IMA

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VI.

L’IMA digital

220

Conclusion et demain…

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L'IMA : un think tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques III.1. Un forum exceptionnel sur les renouveaux du monde arabe III.2. Les premiers Rendez-vous de l’Histoire du monde arabe III.3. Les Jeudis de l'IMA III.4. Le Café littéraire du mercredi III.5. Les Petits déjeuners économiques

LÉGENDE // Le Weather Festival, Vendredi le 6 juin 2014, parvis de l'IMA. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA 3


Préambule

par Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe L’Institut du monde arabe a pour vocation d’être un pont entre la civilisation arabe et la civilisation européenne, de faire circuler les idées, les images, les musiques entre les deux rives de la Méditerranée, d’être un lieu d’échange, d’initiative, de réflexion, de bouillonnement culturel. Rendre à cette institution sa pleine vitalité, c’est le défi que s’est donné Jack Lang lorsqu’il en a accepté en janvier 2013 la présidence sur la proposition de François Holland. Deux ans plus tard, un programme foisonnant d’expositions, de concerts, de rencontres, de débats, d’actions culturelles, ou encore de cours de langue. Quant à la bibliothèque, si elle est actuellement fermée au public, c’est pour ouvrir ses portes complètement rénovée dès le début de l’année prochaine. Cinq grandes expositions en particulier ont permis à l’Institut du monde arabe de retrouver son rang parmi des grandes institutions culturelles parisiennes. « Il était une fois l’Orient-Express », qui, tout en évoquant l’extraordinaire iaventure industrielle du chemin de fer dans l’atmosphère de la belle époque, a fait voir le drame historique qui accompagnait la chute et le déclin de l’empire ottoman et la naissance tragique d’un monde arabe en proie aux appétits des puissances. Elle a accueilli 260 000 visiteurs et a intégré le top 10 des expositions ayant rassemblé le public le plus nombreux en France en 2014. « Hajj, le pèlerinage à la Mecque », qui a permis de mieux comprendre à itravers des objets quotidiens, des œuvres d’art contemporaines et des œuvres anciennes, une des grandes manifestations du patrimoine immatériel de toute l’humanité qui est aussi pour des millions de croyants un acte de foi. Maroc contemporain », qui, à travers la présentation de trois icent« Le œuvres et le concours de quatre-vingt artistes plasticiens, designers,

vidéastes, architectes, créateurs de mode, accompagnée de spectacles, concerts, spectacles de danse, projection de films, a montré l’extraordinaire créativité de la société marocaine. Ces deux dernières expositions ont été inaugurées par le Président de la République en personne, la première par le Ministre des affaires étrangères. « Hip Hop, du Bronx aux rues arabes », qui, sous la direction artistique idu rappeur français Akhenaton, retraçait l’histoire de la culture hip hop,

de sa genèse aux Etats Unis à son irrésistible éclosion dans les rues arabes des printemps révolutionnaires. L’IMA a accueilli les travaux d’une trentaine d’artistes internationaux incarnant ce mouvement universel à travers la musique, l’écriture, le graffiti, le tag, la danse, la mode, la photographie ou encore le cinéma.

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Et enfin « Osiris, Mystères engloutis d’Égypte », qui permet iactuellement aux visiteurs de suivre la célèbre procession nautique de

la barque d’Osiris, qui accompagnait chaque année la divinité dans son passage vers l’au-delà. 290 pièces provenant pour leur majeure partie des fouilles sous-marines récentes de l’IEASM, encore jamais dévoilées au grand public, accompagnent une quarantaine de chefs-d’œuvre issus des musées du Caire et d’Alexandrie, jamais sortis d’Égypte jusqu’à présent.

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Le programme de deux années écoulées a été marqué par un profond renouvellement des actions menées par l’Institut du monde arabe : ouverture aux musiques actuelles avec la création des soirées électroniques « Arabic Sound System » ; lancement des Petits-déjeuners économiques du monde arabe, rendez-vous désormais incontournables pour les entreprises, institutionnels et journalistes concernés par les échanges commerciaux entre Europe et monde arabe ; organisation du « Forum international des renouveaux du monde arabe », également ouvert par François Hollande, et qui a réuni à l’IMA les principaux penseurs et acteurs du monde arabe sur les thèmes de l’entrepreneuriat, l’éducation, l’énergie, la voix des femmes et la culture. Aussi, la première édition des Rendez-vous de l’Histoire du monde arabe a-t-elle réuni des spécialistes, des universitaires, des chercheurs, des artistes, des intellectuels français, européens et arabes pour faire partager dans un esprit d'échange, de dialogue et d'ouverture leur connaissance de la très riche et passionnante histoire du monde arabe et de son apport à la grande épopée de l'humanité. Pour les mois à venir sont prévus la première Biennale des photographes contemporains du monde arabe en partenariat avec la Maison Européenne de la Photographie ainsi qu’une exposition exceptionnelle consacrée aux jardins arabo-musulmans dont le commissariat sera assuré par l’historienne et archéologue Sylvie Depondt.

Toutes ces actions sont rendues possibles grâce à la mobilisation des équipes de l’IMA, l’engagement sans faille de mécènes toujours plus nombreux, et à l’implication des États arabes fondateurs et partenaires de l’IMA. La voie est maintenant tracée : l’Institut du monde arabe est redevenu, tant pour le grand public que pour les artistes, créateurs, intellectuels et spécialistes du monde arabe un laboratoire d’idées, un lieu d’échange et de réflexion sur le monde arabe sous toutes ses facettes.

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Fréquentation 2013 c 2015

La fréquentation en forte hausse confirme cette attractivité retrouvée.

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* Nombre d'entrées prévisionnelles basées sur l'évolution progressive des fréquentations de l'exposition « Osiris, mystères engloutis d'Égypte ».

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I. Les grandes expositions qui feront date

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I Les grandes expositions qui feront date

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L'IMA renaît grace à un train légendaire

I.1. Il était une fois L’Orient Express

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Du 4 04 2014 au 31 08 2014 Le commissariat de la manifestation était confié à Claude Mollard

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Cette exposition, coproduite avec la SNCF, a accueilli 260 000 visiteurs. Le public a notamment pu découvrir les trois prestigieuses voitures décorées par Lalique, rangées sur le parvis de l’IMA au côté d’une locomotive qui sifflait le départ vers un voyage dans le temps et dans l’histoire. Car ce que le visiteur découvrait à l’intérieur de l’IMA ce n’était pas seulement le luxe d’un voyage réservé à une élite, mais le formidable développement des chemins de fer dans un Orient arabe que la chute de l’Empire ottoman, au lieu d’être la libération espérée, livre aux appétits des grandes puissances.

LÉGENDE // L'Orient Express. Installation de la locomotive, avril 2014. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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Tous droits

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I Les grandes expositions qui feront date

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i Il était une fois l’Orient-Express i

LÉGENDES // a. Exposition «Il était une fois l’Orient-Express», IMA 2014. CRÉDIT : Fabrice Cateloy © IMA b. Article du journal Le Monde du 8 août 2014.

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I Les grandes expositions qui feront date

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i Il était une fois l’Orient-Express i

LÉGENDES // a. Exposition «Il était une fois l’Orient-Express», IMA 2014. CRÉDIT : Fabrice Cateloy © IMA b. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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LÉGENDES // a. Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international et le président de la SNCF Guillaume Pepy. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Article du journal Aujourd'hui en France. c. Woody Allen et Jack Lang. CRÉDIT : © IMA.

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I Les grandes expositions qui feront date

i Il était une fois l’Orient-Express i

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I Les grandes expositions qui feront date

i Il était une fois l’Orient-Express i

LÉGENDES // a. Patrick Ropert, directeur de Gares & Connexions, Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, le président de la SNCF Guillaume Pepy et Claude Mollard, expert culturel, artiste-photographe et écrivain. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. CRÉDIT : Fabrice Cateloy © IMA c. Article du journal Arts Magazine d. Dessins d'internautes publiés sur la page Facebook Institut du monde arabe - officiel

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Les dimanches de l’Orient-Express, un cycle de rencontres et de débats organisés en parallèle de l’évènement, ont également rencontré un grand succès

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I Les grandes expositions qui feront date

i Il était une fois l’Orient-Express i

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LÉGENDES // a. L'Orient Express. Enlèvement de la locomotive dans la nuit du 1 et 2 septembre 2014. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Article du journal Libération

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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I Les grandes expositions qui feront date

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I.2. Hajj, le pèlerinage à la Mecque

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Du 23 04 2014 au 17 08 2014 Le Le commissariat commissariat de de la la manifestation manifestation était était confié confié àà Omar Omar Saghi Saghi

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Remerciements

Fondation d'entreprise Total, Banque Saudi Fransi.

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Cette exposition a été coproduite avec la Bibliothèque nationale du roi Abdelaziz. Elle avait pour but de présenter à travers des objets quotidiens, des oeuvres d'art contemporaines et des oeuvres anciennes, une des grandes manifestations du patrimoine immatériel de toute l'Humanité qui est aussi pour des millions de croyants un acte de foi. Les témoignages recueillis attestent de l'impact que cette représentation a eu sur l'ensemble des visiteurs.

LÉGENDE // Vue d'une des salles de l'exposition «Hajj, le pèlerinage à la Mecque». CRÉDIT : © IMA

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I Les grandes expositions qui feront date

i Hajj, le pèlerinage à la Mecque i

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LÉGENDES // a. Vue d'une des salles de l'exposition. CRÉDIT : © IMA b. Inauguration de l’exposition «Hajj, le pèlerinage à la Mecque», en présence du président de la République François Hollande, le 22 avril 2014. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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I Les grandes expositions qui feront date

i Hajj, le pèlerinage à la Mecque i

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LÉGENDES // a. Vue d'une des salles de l'exposition. CRÉDIT : © IMA b. Remise par Jack Lang, président de l'IMA, du catalogue et d'un pass pour un an au 25000ième visiteur de l’exposition «Hajj, le pèlerinage à la Mecque» (Il s'agit des professeures et des élèves d'une classe préparatoire de Paris 17). c. Réception pour l’exposition dans le musée de l’Institut du monde arabe lors de la visite du Premier ministre, le 26 juin 2014. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

d. Pass valable un an au 25000ième visiteur de l'expositon «Hajj, le pèlerinage à la Mecque».

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I Les grandes expositions qui feront date

i Hajj, le pèlerinage à la Mecque i

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LÉGENDES // a. Visite de l'émir du Qatar, Hamad Al-Thani. IMA, 24 juin 2014. b. Inauguration de l'exposition "Hajj, le pélerinage à la Mecque", par le président François Hollande et le prince Abdelaziz Ibn Abdallah Ibn Abdelaziz Al Saoud, en présence du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, le 22 avril 2014. c. Le Premier ministre Manuel Valls et le directeur général de la Bibliothèque publique du roi Abdulaziz, Faisal Bin Muammar, le 26 juin 2O14, lors d'une cérémonie oecuménique dans le musée de l'IMA. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA d. Article du journal Le Figaro

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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I Les grandes expositions qui feront date

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I Les grandes expositions qui feront date

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I.3. Le Maroc Contemporain

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Du 15 08 2014 au 1 03 2015 Le commissariat de la manifestation était confié à Jean-Hubert Martin ainsi qu’à Moulim El Aroussi et Mohamed Métalsi, les commissaires associés. Claude Mollard en a assuré la coordination générale.

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Cette exposition a accueilli cent mille visiteurs

À travers trois cent œuvres provenant de quatre-vingt artistes plasticiens, designers, vidéastes, architectes, créateurs de mode, accompagnée de spectacles, concerts, spectacles de danse, projections de films, l'exposition a montré l’extraordinaire créativité de la société marocaine. Plus de 42 spectacles sur 5 mois, des concerts, des spectacles de danse, des conférences, 50 rencontres et débats, 20 films et des ateliers pour les jeunes ont également été proposés à l’occasion de cet événement exceptionnel.

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Les visiteurs ont ainsi eu la possibilité de découvrir

à la fois une partie de la scène artistique marocaine actuelle et les spécificités de Casablanca, d’Essaouira, de Tleta El Henchane, de Marrakech, de Ouarzazate, de Skoura, de Tazenakht et d’Asilah, à travers un documentaire interactif. Ils ont pu se plonger virtuellement dans les studios de certains artistes exposés, en disposant d’une vue à 360° grâce aux lunettes Oculus Rift.

Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

Et sur le parvis de l'IMA,

l’installation d’une tente dessinée par l’architecte Tarik Oualalou abritant un souk voué à l’artisanat marocain et un salon de thé ou étaient servis coucous et tajines, accompagnés de musiques et de chants traditionnels joués par un orchestre marocain installé au milieu des convives.

Remerciements

OCP, Caisse des dépôts et consignations, Fondation d'entreprise Total, Caisse de dépôt et de gestion, CIH Bank, Attijariwafa bank, Banque Centrale Populaire, BMCE Bank, Royal Air Maroc, Fondation Alliances, Lafarge, Maroc Télécom, BMCI, GDF SUEZ, SUEZ Environnement, LVMH, Société Générale, Maison de l'artisan du Maroc, Agence du Sud - Maroc, Agence pour la Promotion et le Développement du Nord - Maroc, Agence de l'Oriental - Maroc, Pierre Bergé et Henry Hermand.

LÉGENDE // Dans les coulisses de l'exposition «Le Maroc Contemporain», préparatifs et installation, le 8 octobre 2014. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA 33


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I Les grandes expositions qui feront date

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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I Les grandes expositions qui feront date

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

LÉGENDES // a. Visite de la presse avant l'inauguration de l'exposition, le 13 octobre 2014. b. Soirée du journal Le Point, le 16 octobre 2014, salle du Haut Conseil, IMA. c. Inauguration de l'exposition, soirée du 14 octobre 2014.

CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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LÉGENDES // a. (De gauche à droite) Le président François Hollande, Jack Lang et la princesse Lalla Meryem le jour de l'inauguration. b. Article dans Le Journal du Dimanche c. Jack Lang accueille la princesse Lalla Meryem sur le parvis de l'IMA. d. Inauguration de l'exposition, le 14 octobre.

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: 341 Surface approx. (cm²) 37 N° de page :

E 149 RUE ANATOLE FRANC CEDEX - 01 41 34 60 00 T 92534 LEVALLOIS PERRE

Le Ma roc expose à 'Institut du monde a ra b e

NCE 149 RUE ANATOLE FRA 60 00 RET CEDEX - 01 41 34 92534 LEVALLOIS PER

Le Ma r à 'Institut du monde a

nnante LIMA présente l'éto s plasticiens ité de créativ ons et de Ils sont agîtes de questi pays leui e Comm soubi esaut soc ainsue ar m e le monde arabe et l'Afriq Comm

CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

nante LIMA présente l'éton iens créativité des plastic marocains

sculpture de « Equilibre a la Kaaba », (2013) IMA 2014 Mehdi Georges Lahlou

THOMAS JEAN

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ciens qui les entourent Les plastitoutes contemporains marocains, lent générations confondues, débou mond e en masse a l'Institut du scene arabe (IMA), révélant une plus absle l'art de te, onnan bouill trait au plus politise la deC'est que, dans le sillage de uit constr colonisation, le pays s'est rne bien une histoire de l'art mode nus en a lui Ils sont quasi inconabstraits France, maîs les peintres annees marocains, des la fin des l'ima1960, ont mis a mal toute dent, gerie roma ntiqu e que l'Occi Matisse nourri des toiles peintes par a leur ait ou Klee a Tanger, associ e eux, pays Le plus fameux d'entr aussi, un Mohamed Melehi, est, lui atelier, Tangerois d'adoption Son a, il lom du pittoresque de la medm de cette l'a installe dans un buildingquèlques cite devenue megapole en ses toiles t sorten la De décennies , remplies aux couleurs pétaradantes que les de courbes et d'entrelacs, ntaux collectionneurs moyen-orie a encore s arrachent a bon prix II y Rabi, le Casablancais Abdelkebir a la fois dont la peinture évoque Ki, le Nicolas de Staël ou Zao Woudécède en Marrakchi Farid Belkahia, peaux ses rait recom qui septembre, traces es étrang s d'agneau de motif et echos au henné, entre neoart brut aux arts ancestraux

THOMAS JEAN

ns et de Ils sont agîtes de questioui pays mme le ante so ub ie sa ut sLIMCo A présente l'étonn e l'A e et iensfriqu abpla stic deitéardes créativ Comme le mon marocains asticiens qui les entourent Les pl , toutes s marocains contemporain THOMAS JEAN ent nfondues, déboul ns et de générations co Ils sont agîtes de questioon des leui pay mmem tittsutCodu nssau l'Ibie ue friqe en masse a sou l'Aen be etsc nde ara e le mo Comm vélant un e iens , ré arabe (IMA)qui les entourent Les plastic stoutes ains,ab rocus mapl le deporl'aainrts fon con,tem ent oul bouillonnante déb s, due con s génération isea l'Institut du monde litsse poma trait au plus en scene la de nt une e de révéla sillag leA), dabens(IM C'est que, ara plus abs, de l'art le bouillonnante st econstruit yss s'e let pa politis au plu colonisation,trai deage de sillne en s leer bilastru dan , que st C'el'art mod deoni it con t s'es s une histoire col pay le sation, en us nn n co bie ne in i der as mo t qu l'ar une histoire de a lui Ils sont us en onnait incstr siab s qua t son Ils s lui a tre in pe s abstraits France, maîsFrales nce, maîs les peintre ne ees an s annes de des fin fin la la des s s, de ain , roc marocains ma l'im te tou l ma a amis m ont l'iccidena-t, 1960, utquee l'O to al m a e iqu 1960, ont mis gerie rom ant entisst,e idMa cc s par peinte es l'O toile desqu tiqrriue gerie ro m annou leur asse ociait , ass ger Tan a e ati Kle M r ou pa tes in pe s tre eux, d'en eux fam s nourri des toile plu Le s pay lesi,urun i, est,itluiaaus lehcia Meso er,edas ngham ou Klee a TaMo atelier, Son tion dop d'a ois x, Tanger eu re nt d'e x eu a, il m dm fa me la us de pl e squ pays Le lom du pittore te cet de g un i, ldin ss bui au un s lui dan e t, tall es , ins hi l'a ele M lques Mohamed cite devenue megapole en què r, lie ate n laSo doennptiesioDe sorntent ses toiles Tangerois d'adéc tes, ils dan a,plie ara pét ed rs m leu la cou de d'entrelacs,mrem aux sque les que lom du pittore et s de courbe de-orce taux ild ientte untionbu yen mog rs in neu collec l'a installe dans reste y a enc s en x IIèlq ueore priqu a bon entol ach e en arreg ap ten tren i, Rab ir keb cite devenue sm Abdel le Casablancaisnt oeu s une ile to s s se foi la a nture évoque peirte t la so donla décennies De cachen i, le u-K Wo o Za ies ou ël pl Sta m de re s , ola adantes Nictar tesses ia, décède en aux couleurs pé Marrakchi Farid Belkah lation les e ux pea qu , ses cs rait la om re rec nt d'e tembre, qui ac de courbes etsep es trac s nge étra tifs xos imm mo au u de nt neam rie d'ag -o en di oy elle rs ech eu et t nn bru io art collect au henné, entre neo a encore pet eten II yx n prancixestrau boarts t sn sou s arrachent aaux tre , bi r Ra bi ke de la v el bd A te is ein ca enc an me bl fem sa en it Ca le Autoportra un, ie iss elle foste les arti oqvieuendraa, la re enévcon On Tange ont dont la peintu qui , 940 0-1 193 annees natifsou ou-Ki, le decalacB oW Za aëlnudes les plus sombres du res les heu Nicolas de Stcon teses enart toir t a l'éc tende rescè hian ,II,dé Hassa Bedelka ridime tout p era Marrakchi Fareg gên La t hen fâc latzm qui ets des sujcom rait ses peau i resuivante, malgre la censurexet Ma septembre, qution fe en im biant, amce s par ismsetra vatge an rd con étrserant louifs le ot de ps cou d'agneau de m les age dav ut et echos ellleL s autorise br pas t rt son oa ne ne nes griffe Les plasticien au henné, entre et 2014 straux ce an ts (c) Argus de la Presse auARAxBE3ar so AG/1 3061602400503/GCM/M de femme enceinte enceinte Autoportrait en femme

s On en conviendra, les artiste qui ont natifs des annees 1930-1940, es du connu les heures les plus sombr l'écart a t resten II, n Hassa regime de gênera des sujets qui fâchent La re et tion suivante, malgre la censu ambiant, le lourd conservatisme coups de s autorise davantage lesne sont pas griffe Les plasticiennes

ARABE3 AG/1 3061602400503/GCM/M

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ia (1980) « Main » de Farid Belkha FOUAD MAAZOUZ

les bigots Georges Lahlou a irrite autopor de tout poil On lui doit des pcrfor traits en femme voilée ou dcs De lui, mances sur tapis de priere d'une l'IMA expose un buste coiffe FATIMA MAZMOUZ a - le cube représentation de IaKabmosqu cc dc qui trône au milieu dc la dans La Mecque - ainsi qu'une video s et taleggm en laquelle il arpente, ue Belgiq de lons aiguilles, les routes Soit un - il Mt et travaille a Bruxelles vrai sens artiste qui titille, avec unde genre et du cocasse, les questions ir Fatmi, rte, la en reste Discrète, tete couve de religion Quant a Moun il est a construit trentenaire Safaa Erruas ements se le plus célèbre a l'étranger,bnllants une oeuvre dont les grond delica classeï lui aussi pai mi les mes l'une d'infi re derriè nt cache subversifs D'ailleurs, en 2012, Salinstalune ici te scene presen tesses elle de ses œuvres, mettant en llers d'orei es e de dizain lation abase de Rushdie, avait ete ecaite » man els desqu plis arabe immacules dans les l'expo « 25 Ans de creativite ciseaux déjà a I IMA L'instituelle dissimule aiguilles, s, en tenait se qui quatie de et petits objets contondant res tion, aujoui d'hui, pi esentemet e salle, blessu sous texte des affres et Barrada, sescieations Dans la dei presque de la vie domestique Yto sa \ille, la plus forte, qui passerait dont Cubes 's Rubik cinq elle, interroge l'identité de logie mapei cue ent Tanger, qui flotte entre mytho les couleurs rappellent fortem migra flux et Son ation elle e gener de la Beat de la Kaba, encor celles est ltar Gibra lman de ? t toires - le détroi Casse-tête pour un musu titre a Fatim le, tout proche Plus fronta modere • ortrait Mazmouz propose son autoppays ou Le Maroc contemporain. Paris (75005). en femme enceinte, dans un dc soi Institut du monde arabe. arabe org parler du corps cst lom d'aller 154b0 Jusqu'au 25 janvier, www.im i1d42605252b3432c301b1 Le trava il du jeune Mehd d573b5e159906807e25a4 « Super Dum », de Fatima Mazmouz (2009)

(c) Argus de la Presse

2014

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I Les grandes expositions qui feront date

i Le Maroc Contemporain i

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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a LÉGENDES // a. Inauguration de l'exposition, Jack Lang accueille la princesse Lalla Meryem sur le parvis de l'IMA, en présence de Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. L'acteur Djamel Debouzze lors de l'inauguration de l'exposition. CRÉDIT : © IMA c. Vue de l'exposition. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA d. Commentaires des internautes publiés sur la page Facebook Institut du monde arabe - officiel

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I Les grandes expositions qui feront date

i Le Maroc Contemporain i

Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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16 oct 14

Quotidien OJD : 275310 Surface approx. (cm²) STE-BLANQUI 80 BOULEVARD AUGU 13 - 01 57 28 20 00 75707 PARIS CEDEX

: 941

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STE-BLANQUI 80 BOULEVARD AUGU - 01 57 28 20 00 13 X DE CE 75707 PARIS

C U LT U R E

vre à Paris Lart marocain se décou De l'héritage médiéval auLouvre à l'impertinence contemporaine à linstitut du monde arabe, plusieurs expositions mettent en lumière la diversité de la création marocaine

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misme, égalité des genres, extré corruption, écologie, etc. tion qui Au Louvre, c'est l'émo relidomine devant le mobilierscrits, gieux médiéval et les manu des exceptionnellement sortiset maplus anciennes mosquées : le drasas du pays pour témoigneremMaroc était l'épicentre d'un à agne l'Esp de pire qui s'étirait à Cao, l'Afrique, de Cordoue cultures, des sage métis du nourri riaux. techniques, styles et maté Qu'en est-il aujourd'hui ? où la , l'IMA à est La réponse mforce esthétique de l'art contedes porain bouscule. La puissance et ies réun res quatre cents oeuv par les celle des messages délivrés cains, maro es artist quatre-vingts is à ARTS pour la première fois réun eur, exl'étranger dans cette ampl dont n ressio prime la liberté d'exp Paris, presque en face comme ils jouissent. Seul tabou, el on de Notre-Dame, sur le une autocensure, le roi, auqu ent parvis de l'Institut du ne touche pas. Tout le bâtim monde arabe (IMA), la ième poil de est investi, jusq u'au deux tente noire sahraouie en re de issous-sol où le Ring de la soum chèvre et de chameau, oeuvintriGotaibi, réduit El iné alou, d'Am Oual sion, Tarik l'architecte Les . d'eau e ue flaqu une typiq à t l'individu gue. Ce vaste campemen fête du à la corps congelés sont produits du désert, dressé pour laton. Cet la chachaîne et ils fondent sous « moussem », donne le urs. visite saides leur diffuse automne s'ouvre à Paris une Par resLa diversité des modes d'exp llason marocaine qui fera date. artistision-peinture, sculpture, insta sa richesse et sa diversité le inre, tectu archi s, tions vidéos, photo que, elle éblouit autant qu'el tions que, design, danse, théâtre, musi terroge en posant les ques nce, toléra brûlantes de la société :

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ARABE3 /MAG/1 3992071400506/GCD

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Tous droits réservés à

CULTURE

visiteurs Art Plus dè ZOO OOO s es pr pour l'Orient-Ex opée du train de luxe L'exposition retraçant l'ép nde arabe (IMA), à P mo du tut sti présentée à lin il, plus de 200 DO O depuis son ouverture le 4 avr organise des noctur fluidifier les visites, l'IMA ition, qui se tient pos res : à partir du 8 août, l'ex et samedis jus qu 'à 2 sera ouverte les vendredis lieu le vendredi 22 « super-nocturnes » auront matin. - (AFP.) 23 août jusqu'à 5 heures du

l'éditeur


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I Les grandes expositions qui feront date

Chers amis, au moment où le transporteur est en train de remettre les oeuvres au Maroc, c’est à ce moment là que j’ai senti la fin de cet événement marocain marquant. En effet, et j’aimerai que vous le sachiez, il est et restera comme une marque indélébile dans l’histoire de l’art et la culture dans mon pays. Grâce à vous, nous avons pu poser un jalon remarquable sur le cours de l’histoire. Il y aura dorénavant un avant et un après « Le Maroc Contemporain ». Cette grande marque, nous l’avons tous bâtie. À partir du Maroc où j’observe ce qui se dit, se construit, se réfléchit… je peux vous assurer que l’oeuvre réalisée a donné une impulsion à la création artistique et culturelle au Maroc.

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i Le Maroc Contemporain i

LÉGENDES // a. Accrochage de l'exposition, le 12 octobre 2014, tente sahraouie sur le parvis de l’IMA. b. Article du journal Le Monde c. Message de Moulim El Aroussi, philosophe, critique d'art et co-commissaire de l'exposition. d. Préparation et accrochage de l'exposition. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

Moulim EL Aroussi

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I Les grandes expositions qui feront date

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Une exposition qui a séduit toutes les générations

I.4. Hip Hop, du Bronx aux rues arabes

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Du 27 04 2015 au 26 07 2015

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Le commissariat de l’exposition était confié à Aurélie Clemente-Ruiz et Elodie Bouffard.


Remerciements

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Sous la direction artistique du rappeur français Akhenaton, cette manifestation retraçait l’histoire de la culture hip hop, de sa genèse aux États Unis à son irrésistible éclosion dans les rues arabes des printemps révolutionnaires. L’IMA a accueilli les travaux d’une trentaine d’artistes internationaux incarnant ce mouvement universel à travers la musique, l’écriture, le graffiti, le tag, la danse, la mode, la photographie ou encore le cinéma. Des œuvres historiques et des œuvres inédites - pour certaines spécialement créées pour l’occasion - d’artistes contemporains américains, français et arabes, étaient présentées aux côtés de documents d’archives dans une scénographie unique de plus de 1000 m2.

Coca-Cola France, Benq, Sonovente.com, Bleu de Paname et le Ministère de la Culture, Région Ile de France.

LÉGENDE // Affiche de l'exposition "HIP-HOP, du Bronx aux rues arabes"Sidoli 45


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I Les grandes expositions qui feront date

i Hip Hop, du Bronx aux rues arabes i

L’EXPRESS

I 2015 MERCREDI 27 MA

JUIN 15 Date : 27 MAI/02 : p.104 Page de l'article Bordier ien Journaliste : Jul Pays : France madaire Paris Périodicité : Hebdo OJD : 405431

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Culture cles /Artis & Specta 3 QUESTIONSA... recteur seillais est le di Le rappeur mar p. ho xposition Hipartistique de l'e A. M Tl à , es es arab Du Bronx aux ru

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

Quel a été votre rôle ? h-> J'a i dé fin i des ori en tat ion s : un e salle consacrée à la , technique des DJ un e au tre sur les origines du mo uve me nt da ns le t Br on x, au dé bu des années 1970, l'a cce nt mis sur DIVERSITÉ Pour le chanteur, les gra ffe urs ... On- leh ip-h ope st« une culture a dû renoncer à cer d'incorporation ». taines envies, fau te per peurs Line et Alonzo de budget. La ns sponsors des rap sonne chargée des e arabe au festival Hip-Hop Orléa la tre an nu lé pa r d'ê à l'Institut du mond nt vie t tan n eu au ipalité. L'institutio [IMA] n'a jamais recueillir municue la liberté d'expresdè difficultés pour liq app t fai p ça -ho d des fon ds. Le hip privées. sion seu lem en t qu an la de es peur aux entrepris liment : l'a rra ng e. Cela crée ère. Elles répondent po e pas fru str ati on et de la col iqu « On ne co mm un duction : sur la banlieue. » Tra d'argent Quarante ans après « On ne donne pas i tou- l'émergence de la culture qu po ur des cultures Arabes. » hip-hop, il faut donc er? chent les Noirs et les encore l'expliqu pour cerh-> Oui, puisque, e d'analp -ho hip t en tur em cul LÉGENDES // Le mouv tains, c'est une notre est un e irr igu e pourtant phabètes. Or elle nce et rs ve tra a. Création in situ par le graffeur Nassyo à é, iét se po ur la Fra soc hes ric , de -hop est ar t, la mo street des racines du Hip-Hop et deleson évolution notre société. Le hip . ec ture d'incorporation rap, ou la télé av ntôt le cul e un jusqu’à son appropriation parlalessérrappeurs ie Empire, bie tion se veut un rap osi xp L'e arabes. Crédit : Alice Sidoli © dif IMAfusée en Franpoce.liti.. ques pel de cet esprit d'ouvertntureet. I—> Les dirigeants ise sont Coexistent I engageme mle ma b. Inauguration de l’expositionet«HIP-HOP, les chefs d'entrepr le divertissement, monde différent stream et la contre-culture. d'u n2015. du Bronx aux rues arabes», le iss 27usavril te cet ir vo pas s. Nous sommes ne veulent nière Il y a des rap Propos rec uei llis Une battle s’improvise dans laetréa salle du Haut lité. De la même maécole pluriels. • tent une Conseil sur fond de Coca-Cola et sprays souhaipour par Jul ien Bordier qu'ils nat sembleàau Pension de qui res fixer les couleurs de l’artiste Reyz affairé r ête arabe. de M 6. Il fau t arr iseur, Institut du monde customiser les textiles des enfants eterdes dans le rétrov regard Jusqu'au 26 juillet. t cer con Le adultes sur commande… le pays a changé.

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CRÉDIT : ThierryésRambaud © IMA à l'éditeur s droits réserv c. Tou Article du magazine d’actualité L’Express

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I Les grandes expositions qui feront date

i Hip Hop, du Bronx aux rues arabes i mai 2015 er et samedi 2 vendredi 1

John Andrew Perello, alias JonOne, CINÉMA l’un des graffiti artistesN les plus reconnus IO EXPOSIT CINÉMA W Eet créateur d’une œuvre inédite pour ITION nous a fait l’honneur d’intervenir EXPOSl’exposition, à une conférence exceptionnelle, organisée dans le cadre de l’exposition sur le Hip Hop à l’IMA. Et pour clôturer cet événement en musique, une Block Party a rassemblé près de 2000 personnes sur le parvis de l’IMA, en présence du jeune rappeur américain en w Whitney e vogue, Pusha T et d’autres rappeurs français n e l e t ê f New York y et arabes reconnus :ew Jazzy itneDisiz, WhBazz, n e l e t ê f YorkNarcy New VALD, et Malikah. ril, Jeudi 30 av

KEND 06 // WEE

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Les Echos

s Echos mai 2015 Le er et samedi 2 vendredi 1

X LES CHOI Y GANDILLOT DE THIERR

KEND 06 // WEE

HE À L’AFFIC

DISQUE

ées 196 , dans les ann nts comA Francfort des do cume d’A us découvre SS pro cureur d’a nc ien s ts co ntr e i recouqu mb plo pr om ett an de le que lgré la chape quasi généra chwitz. Ma r et l’hostilité viendra jusqu’au vre ce dossie par il e, lèv se sou ett ra qu e rm pe sa démarche et cès en qu ête « Second pro bo ut de son a appelé le on qu’ ce e tienn ant. relli ». Passionn d’Auschwitz de Giulio Riccia

HE À L’AFFIC

lence nthe du si Le Labyri 0, un jeune

ierrez Brantley Gut

live – du sou ue est explos Leur musiq der, la channe –, leur lea rap pe lle rock moder wa rd , Ho y an le teu se Br itt Shakes est : Alabama rès Janis Joplin monte. Ap éricain qui rls » en groupe am « Bo ys & Gi ssi nd réu s , « Sou un trè xième album ictif et 2012, leur deu s add encore plu & Color » est rgence ! A écouter d’u . eux aci aud h Trade.

ug La critique et de Blur sont de Raphaël etfr/week-end sur lesechos.

Ro es Quoi ? 1 CD les chroniqu

THÉÂTRE

ées 196 , dans les ann nts comA Francfort des do cume d’A us découvre SS pro cureur d’a nc ien s ts co ntr e i recouan qu ett mb om pr de plo lgré la chape érale que chwitz. Ma ité quasi gén qu’au er et l’hostil viendra jus vre ce dossi par il e, soulèv qu e se pe rm ett ra sa démarche en qu ête et procès d son on de Sec ut « bo le on a appelé tienne ce qu’ Passionnant. i ». Giulio Ricciarell d’Auschwitz

live – du sou ue est explos Leur musiq der, la channe –, leur lea rap pe lle rock moder wa rd , Ho y an le itt teu se Br Shakes est : Alabama rès Janis Joplin monte. Ap éricain qui » en rls Gi groupe am & ssi « Bo ys , « Sound un trè s réu xième album ictif et 2012, leur deu s add encore plu & Color » est rgence ! d’u r ute A éco audacieux. h Trade.

ierrez Brantley Gut

a d’Alabam Rock-soul

avec cht. 2 h 03. Friederike Be

de que : un film manski, Fiche techni ling, André Szy Alexander Feh avec cht. 2 h 03. Friederike Be

k and Blue « Music, Pin A gauche, fe, 1918. orgia O’Keef / Artists Rights n°2 », de Ge eeffe Museum

ug La critique et de Blur sont de Raphaël etfr/week-end sur lesechos.

Ro es Quoi ? 1 CD les chroniqu

Georgia O’K Photo 2014 k S), New Yor Society (AR

k and Blue « Music, Pin A gauche, fe, 1918. orgia O’Keef / Artists Rights n°2 », de Ge eum

THÉÂTRE

r Saladin Pennac pa à l’Atelierdes Deschiens se glisse

eeffe Mus Georgia O’K Photo 2014 k S), New Yor Society (AR ac

», huile sur « ’61 Ponti Ci-dessus, , 1968-1969. bert Bechtle toile de Ro Bechtle Photo Robert », de Cindy #45 m Still sy »Untitled Fil Photo Cindy Sherman/Courte 1979. Sherman, , New York.

ce L’ex-compli du do cteur use blanche uit dans la blo rôle de n our une d p n a v l a adin porte G Olivier Sal ». es pienc d’« urg lade des Hô Ma n cie An e haut cet « ime verbal ris », pantom te d’exortaux de Pa sor c, l Penna signée Danie et des fantasmes liés ux ma pides hô cisme ne et aux ine moder nà la médec (1 h 15), tra ctacle court ultra-hilataux. Un spe un scalpel et me com nt nja mi n cha ne pa r Be scè en s mi ran t, l’Atelier. Guillard à telier, 21 h.,

r Saladin Pennac pa se à l’Atelier schiens se glis

que : un film manski, Fiche techni ling, André Szy Alexander Feh

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Heike Ulrich

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X LES CHOI Y GANDILLOT DE THIERR

a d’Alabam Rock-soul

SALLE ENCORE EN

ran Taxi Téhé

de touri lui est faite terdiction qu est parvenu à réaMalgré l’in ahi éran ». s, Jafar Pan ner des film est « Taxi Téh gers, qu’ ille rve ssa liser cette me isant, il filme ses pa du dealer Tout en con dialogue. On croise un il pèlerinage avec lesquels mémés en surés, deux , la nièce de de DVD cen ons rouges iss po de trice, et cal avec un bo enir réalisa ombrés i rêve de dev Panahi qu e les bras enc et traeuse avocat le rag drô st cou e C’e un es rouges. ros de be d’une ger rgence. h 22 s. A voir d’u Jafar Panahi. 1 gique à la foi

SA n rock, ENCORE EN musée Grévi digne d’un ositionra n n, une exp hé Té ndaise Björk. ed de cette poligrammatio Taxi isla -pifaite de tour- t treest la chanteuse à con le rée nt sac nt -on me n qui lui con exacte te comume m, prend dictioect à réama , racon é l’inter parven Le Whitney dir eur per». Malgr ahi estcol , son tney Museu tions lecTéh Jafar Pan Weinberg éran des« Taxi films,00 vresest qui uveau Whi dans un ns 0 œu no tique. Adamner desles rai ut po 22. qu’ to s, ille s et contem Le parmicette merveder passa.ger Notre e ses nn « ler éték,choisis, liser art wntown » es mo nt,neil filmpas antdea ano Grévin roc sio un 0 enist conduisa show installé « do nçu par Renzo Pi sée de ce Toutatr On croésise t contem . nentes, lesles40 ges n mu te à l’ar d’uré e éta logue. si e ne dia oci us de nag co il qu dig t eri n ass els es tio e pèl en lesqudes stéréotypx mémés en accrochage à que : un film e exp occupent avecsor bâtimgrammation, un n, est un deuaider par cet, la nièce de t soosi Fiche techni aise Björk. poliud deDVDtircen surés,lon éâtre de l’A le l’H s ons rouges tière ne son ra de ed.de cette objectif étaitde nteuse island gu -pi rd vou cha au Où ? Paris, Th 06 49 24). Lire la tre la us bo in à iss No con ma po nées en la lisatrice, et au consacrée e sond poment le ont américain. ex 46 n mentpor cte bocalt.de (01 d don un exa h com sur ain réa en c te 15 la , ir . Les ekave on qu en m pre est dim we e itney l’arrêve de dev » New York ombrés , rac - er l’histoire dequ maens ech Le Wh i . son directeur enc , aucune surules tnfr/ey Museu De mêm hi tions perrep plexes ueea brasenc hios. Panaes com W critiq Weinberg, oreet tracate les maiseus s des collec REPRISE là e avo quimonolithiqucou uv t et, le tique. Adam 000 œuvre rainspas rag rch el de l’arges tempo . C’est drô une le du Le tout no wntown » dans un ma rosées parmi les 22. êt intellectu rou . L’in pos et con l’exant tre ante cap ita gerbe derne lé de été choisis, rce ncetér titupas o med’u . s pas là pour do bowski istres» mo nn le,. « No iss ne faite de an « com est l’in artvoi sio pu d’u Pi lé rge 0 au tel : o al 40 w r st me nz les shouvelle formu t contem- sion n’a été la fois. A voi us ne som 22, de s, difficile à in h les The Big Le . 1vel r Re de ce nente ahi pa . ges Pan No à l’ar u te no éta « ces ar à ue est e t. si m nç és Jaf con ue atr giq tou seu oci us de co riq upent les qu itney Mu à hage à sur que : un film « seu lem en es ass e ré ent jeure roc typtitu « L’Améocc prime un ériences nou ma e réo tim t n Wh exp sté iqu (Et ha n est hni es tio . bâ du l des hét tec des le acc eur n, st Joe est he r uraétait de sortir. C’est une insaider par cet er du et ce n’e ski » est l udso le direct . inaug éâtre Ré ali sé pa if ans à éclore us voulons pour donn tière ne sont quoi Fic que ce soit si e Big Lebow ligne encore objectize Où ? Paris, Th 06 49 24). Lire la l bord de l’H n expo inaugurale sitiion 1 vendre au n. No la mape et ion… », sou tre am en 193 ariste), « Th cai s en » lex s Coen, que éri mi cén 46 ée réf a née res la cos (01 ent d so qu de frè don uro h sur ain invde l’art. Les e face à l’E la la méditation, por Elle a été « ire dim. 15 e que rk est fr/week-en ’œuvre des Yo en pr êm os. nd w fs-d m rk. ech Ne Mo sto e che ise » Yo les éri . l’hi D des er es du Nouveau amore, aucune New la Cro tte plexes ants enc repensist critique sur is com sortiss PRISE mavai mi-mai sur es tra RErs prise vient es. Past iqule l de éres aux art t et,silàpro voca-ellectuel nolith retrouvera poids de l’ar moive so cachés grande sur al de Cann s tiv nt tré pas rch plu aus fes me e de la int ma par , s du r êt titr le y du po Plur le isissant un rce. L’intér caché opéen i . Il faut voi exclus lé de l’exmontre pu cap. ita e wsk dents de jur américains, me ante nts ur d’art eurg Leut En cho là pou n’a pas auecom tel est l’intitu formu du XX siècle films noirs le, ou deiss Bi déb bo James faiteuip Pour l’amateThe réside dirigeantene sommes pas n’a été le à voir » : ur nous, » à hilarant des sion sacrées au cains nu poseu , de en tble te, l’éq cespar m nouvelle conité ue est diffici tout. « Nous le dou n incnonest sur r un « qui lem es nouvellesdes salles con re àr et hab 4 d’u meme « L’Amériq itney Museu ressem érienc de 191 majeuteu e priani . expson . le, l a peinturepa est porté pa l (Et ha l’un hétiqu architleeceurmp st des r Joe n’eieu urale du Wh . C’est une institution position » est et est ce bit directexe le qui ce ski si par com sé abs t iné éra x e du u ow ali ore soi es un er lea gén Ré – Leb dg enc sition inaug nn ore 4) ), « The Big sublime tab e l’on i que ligne a été Jeff Bri été am quo l’ambition 1 pour do (1889-197 drejet ize ans à écl stennant – ou le res Coen, quillustrant venpro ariéto a d’abordréf lexion… », sou de l’H ud son tée » en 193 Daugherty coscén s qui a mis tre l’Europe et des frèutes pastelen Mais le ation, de laen t de s bo rds no, pour un budnarrable. été « inven dit futuristefs-d présiméuv ’œuvre Elle aRE nde face à - Lelano 1918, vol eau bâ tim que : érie. un tableau des che amtur New York. LIVes la Croisette Renzo Pia eeffe de Nouveau Mo tion se vie line,és e Fiche techni nt de Georgia O’K tich sortissants discip mi-mai sur d’expeosi Pas a s. artist du pri es.l’es ver faces ch it nnns a- par la star de laso sur e conrou ca sur vail de res Ca tra voc pac nd ret rs tra de des poids aux pro c s gra le al ale s si trè tiv nt ave çu sic tré pluing District, t voir par orités mu un film de 98) fess femmes. Da ns, le film le de ns de dollarseuropéen, laack con s llio duiste s choisissant un titre aus lusiveme Plu reEn juryart de son fau toi cai e Il ts hé . éri rt e des nd atp cac mi den cle d’a am gra montre exc Lett les Meut du XX siè habitants, irs près d’une ateurquartier dedéb . Joel Coen (19 s, s no es ccent est mis sur ntsne l’amix ante n’a pas get de 422 film ideJa ur Jam ige 0, Po ses rés des du us, dir 195 de de nse e nt au no s et L’a ées ou me ur ara it des ann réen de la ville inconnu po et plus Le cho de doute, l’équip cains consac avec Jeff Bridge bord une im n East Side ressemble àré à l’art hil doublées. salles abstra olutio 4 d’u par un des ité par lete 191el ne l’év i nt an, ni anime. thko, c’est d’a qu’on remarque. re denn sac quava Upperpo hitecest porté entérile, onpar teur et hab Aus sitiau Mark Ro l a peintu John Goodm , - r (1908- 1984) ventio par son arc branché,exemple absla star du genre, iné e com unse générale qu dges trop con hée uvaitsub 4) –où BriLee e tableau de ambitieux t cac été tro f sne s 197 a lim Jef sen été Kra 89mp l’ambition ais rd son (18 gte e, le bo y dél ud Julianne Moore t ertdison Avenu nnant – ou p lon l’H le de le. qui ughMa stretan jet a d’a fan s de Daent s illu s bo rds de telper très belle toi drab Jackson Pollock, tro de son mari. passi Mais le pro narse s aus Po ur les uriste éto un bu en,t cde volute Steve Buscemi, bâ tim 8, est :re la postérité précisém ou de tableau fut 191 t eau n ee, Renzo Piano, pour que l’ép e de un tou uv t it hni s fe ou no LIVRE éta t tec Au e n eef ur Le ent e uia Ell Fiche on. de Georgia O’K Ja n de la disciplin derriè tur e. d’expositio stituti r du bâtim Philip Seymo rh ol, Ba sq faces it uve à l’intérieuale , le MoMA de star petit livre às la pace coni tré- trict,l’in c des sur s qu’tra ins de Wa trèCe sicl’ars. Etats-Unis hés. Il faut un film de Mo un vra on tro conçu par la joli ns t auxiste mes. Dans l’es dollaruxave Dis Hoffman, orités mu rose est le ingras son 98)s… Plus de trésors cac plexe et ue de llioverde Lettres des artué s fem atpack en (19 lestiq ture vie , Me , . La Co » re de pro l ne grande toi rro de nts sur on de 422 micou ur s rtu d’u figu Joe ier ita s Ko mi cœ get Tu com art n n hab prè est qu ue cri ent 0, ntjou rd’ hu i Joh du fon d de mo ville et de sesla tin 195 cceau dges, cho.ix l’A mé riq années e immense de Jane 57 de Side et plus Yo rk,L’aest Jeff Bri des « Duolu seum. n de slainé dit esEa trait et dé cou vri r doublées. Le sorne t d’abord un t abs ses théthk st Tara Reid. 1 h l’arpai l’évde stio Ne w ir c ue.ile à voave ré àdes let trenn an, tiquée du Whitney Mu arqfic llettesMa éri ble sac Ro o, c’es rem el Upper ones ntr son Austen 1817) àitses re,somrk John Goodm goûtsta 4) qu’ sophis tsdif branché, entsemtro ventio gen 198riq me ses -Huet auparava con dubli e (1775-tro 08r p ou ue pou (19 lais , hée r en am uva la le c, ore ang t cac nh sne e de mé Mo Be ièr enue, où seroline. Entre Kra pu mp L’A gtem, ianne — Judith detLee grand lonseu Jul w York pMu leen trè s loc qui délaissenromanc Ne de ues e toi Av Ca tro s tiq le k, et êtr on fan ma ny bel / dis s Pol Ma ri. whitney.org ve Buscemi, et très qu i pe uv de Jackson s itney de son ma na, Fan Po ur les jugement Ste ion it l’épousemoment, on la Wh précisémentnièces An rité 27 sept. http:// fins ent t aussi per ten, ce posté ex po sitEll est tou ture etbât ce e éta ur uia t ou . rière im oiJa n e Au s derpro Jusqu’au ls d’écri de – ainsi, en r du Philip Seymo ur, se dév rh ol, Ba sq l’institution consei térieues , le MoMA re à la de laMo de cœEta médiocres tréins de Wa uve à l’in ts-Unis hés. Il faut rs affair joli petit liv et le malie totale est un vrai t aux Ce qu’on tro Hoffman, sur leupro de l’ar ue tho t y voir, ano litt éra ire s de trésors cac plexe et s vieux rose s e peu de Plu de ras tur » s… re ver on ur re mé i cri tiq uéde l’auteu cou Ko n Turturro, ent. La figulen t les mo n cœ Joh riq ue com tin hu de ux mé d rd’ ére l’A fon jou la r gén 57 est au ère vif, et ses thé- ». Un be au sor. « Du Museum. dit es de dé cou vri Tara Reid. 1 h Ne w Yo rk, caractpai ir tes du Whitney jug és s let tre s iné 1817) à ses t desOrgullet eil et Préme sem ble de ses sophistiquée et t difficile à vo 75pour son goûd’« pu Finitude. faire rê c, en som nhamou-Hu e anglaise (17 tions trè L’Amérique es k nd bli dépasser et t des édi romancièr — Judith Be roline. Entre êtrne « Dus fond deitney Museum, New Yor m t ste matiques graprésen / meilleur, se org Fanny et Ca uveen ey. s na, pe i itn ent Wh An gangs. L’hom Au qu wh em s ces qu’on est le », 27 sept. http:// Jance moment,à on niè po sit ion Quoi ? en niècesqu de guerre des Nation est ju e et fins jug ex ses tur ore ’au s cri enc tre d’é oisi, – ainn cœur – Letde la pro- 0Jus Zulu parle pas conseils ur, se dév euros. médiocres moma aataa et sa ale de ce tot aires de cœ lie 176 pages, 16,5 ionnaires Afrika Bamb ano de, ire s et le à vis r, itu sur leurs aff éra voi Fin des y t litt éd. s l’un peu il est tho de juste du sionnant : « no gun », len t les mé de l’auteure violence », , généreux hip-hop « no caractère vif Pré jug és ». Un be au abe et SITION le monde ar aus d’« Orgu eil rêver. On ne itude. ns PO re Fin da fai EX e ns et èn tio er édi DJ, eux dépass renduUn phénom présent des fond de meilleur, se musique. Les L’hommage uvre Austen « Du nièces », œ ut, ils ne d des gangs. d’ pas-Tout passe par la qu’on est le set rre déb te ef Au gue Quoi ? Jane jus é. de Ch vit ore ati tion est Lettres à ses 0 euros. Comique y a, dan stitut tured’adresse et de cré parle pas enc sa Zulu Na mon cœur – de funk. Il l’expo de l’In de l’Opéra lais s de cette cul mbaataa et nv », de soul et sortant de 176 pages, 16,5 à Afrika Ba visionnaire … te explicatio de disques rues arabes éd. Finitude, it encore ! En il est l’un des no gun », juste du fun très brillan au Petit Pa gts d du Bronx aux Pourtant, la On en voudra sionnant : chines, une », « is leurs doi « Hip-hop, ma ce om ié. be sou len a-C sas ara tre vio e pér ras naî no e nd du mo aton, qui vont une parti hip-hop « ne pas êtr entenaire, l’O à travers hen ues ent de Ak tric r niq aim ent son peu e r rs tim rap Pou ais, N on a le sen monde arab si, rivalisentquant que les danseu jouant avec leurs trée par le au Petit Pal p entre au 0 EXPOSITIO on, orches aus ène dans le ture hip-ho que s’expose rer en çus entre 187 démonstrati t que la cul Un phénom la musique. Les DJ, eux disposent quetitre, ils la font du is leu rs do igt s dé ra s opéras con nde ». le simple fai sept grand uvre par . Pu victoire. ut, ils ne s en à Mélisa est riche. Et MC (maî Tout passe le desle pa sse -pa sse e importante Chefs-d’œ Comique vité. Au déb etto-blaster cos un ati 2 : « De Carm gh à de rythme du cré de 190 déj r fait dans la sal et de ut est nieux po de l’Instit musée ses h-scratch. Ce nouveau par un mu funk. Il y a, d’adresse et rs indistec nce rs harmo de alo l’ex ux des me et cou au rap et à l dio de éo lea de l’Opéra lais t par -ra com vid tan Un sors, naissance bes », La visite Enion lication !rtit tophones photos, tab ques de sou de ara era c s exp dis rore gné De La S nn Pa ave te de rue w, ma ma do enc ue s ) tit it llan Re Blo aux . ssi tin pa nie au con ces gro Kurtis au Pe s de fée du Bronx une très bri On en voudratum«es, nde)… etPo -hop, extérieur, et ster Flash, sin, N urtant, lacustomisés, n nx du leurs doigt i: Mélisa machines, beustHip rationpas nçais Assas précise d’u Grandma dans le Bro ur danser en naître sous e rassasié. nde ara t Fra nt po tie , l’Opéra-Com êtr (ill mo n, ire les les von nge par i du e et ato ena plo sab y qu un us ne du us ent em s on no niques rs aiment timent de siq ue ,e par le rappeur Akhen aupen fiques photos qui no tines – c’estPublic En Pour son tric xième nation ais, à traver s à l’appui, les danseu on a le sen de ,mu à ue au Petit Pal avec leurs pla – c’e st le La France est la deu p entre magni hestrés Document 0 quant que on orc t commencé sition expliq e à d equ ture hip-ho nées 1970. que s’expose rer en jouant en t çus entre 187 démonstrati g r â cple t f s e la cul tie de l’expo lieu des an uoi les DJ on igt s dé rap ils la font du ara nes fai mi par s urq e, do s opéras con o». jeu re po e nd rs pay titr ém les niè et i sim nd t gra leu les cér i t le nt re. s ser der lisa sep pos dan re de re dan comme s sse . Pu is est riche. Et d i sun rtante victoi Carmen à Mé de cospols, L’art : s’est imposé du MC (maît imue s : pour fai ion. L etto-blaster explique le pa sse -pa à dioevis upes stars nomène et 1902 : « De au rythme dans les rue discothèque. est déjau de contestat ux fait mur de gh gro uve en ire re sée nie un no isée ses du r voi mu à mo Ce ntr é, ind pa pro le et h. rs har d’e ert se , r de lib it rs alo té et mence guscratc au rap uel… Un n-DMCteu s, tableaux Un parcou pas leur dro ones-radio r la pauvre naissance dont lessin ment perpét La visite com La Soul, Ru tions, photo magnétoph ue avec dequi n’avaient de là : il faut recouvri nie) donnera … culture en mouve de l’IMA permettr rtis Blow, De ces gro tumes, parti thé âtr o-extérieur, et contin e)… et aussi r Flash, Ku sin, NTM, IAM is la customisés, lie rdan parvis nx dudu graffiti naît : Mélisand Grandmaste ner l’envie. nçais Assas ma installé sur le dans le Bro hip-hop es urone. ser en de sneakers (illustration sables poph y et les Fra trainte. Le usgris des ghettos, don pour le look, à base du hip-hop, us plongent em pen no con no En i ion s , on c gym qu i, nat ue san s bli éde r pu . Pu photo Paris, salles s à l’ap de mu siq de même la deuxième urquoi le ph graffe reste la rue dehors des magnifiques Où ? A 0., Document ont commencé à Il en sera expliq es - is son royaume 197 La France est l’exposition beuespo vecma ettes – les rt portées en ais annéesPal grâce à d dex aux rues ara i les DJ bes comme et de casqu tieon deline sures de spo milieu des Petitnt par re niè et pourquo ifs Br iers se les pays ara vêtements une— Christian Eu s ser les jeunes(chaus der art du sur me est qu dan dan p, p de au re sé des ), com ho disposit -ho s fai po qu’ pue jus Hi nomènet dus’esmot im expliq L’art des stades e les gar s : pour nde arabe tation. Le hip xpression ls, con dans les org . rue it d’entrée en discothèque. et leou gues les moins chères quentification qui deviendra re deara audiovisue be.tes voiw.im Paris, Insrtitu mur d’e se produire 28 juin frin d’id aires r dro leté,, ww gude pétuel… Un leu juilert teuaude 26lib ue t recouvrir la pauvreté pascri tiq dont le sin nt. Un signe se, ces légend er uvement per permettra aux visiteurs , Jusqu’ qui n’avaient La de fau il y a la dan réapproprie : ilsur osée culture en mo ît l’exlàpo de l’IMA nade rques. Puis seurs. Montr i lie r thé âtr vis ma dan ffit . x entré au mu par des gra vie rs le ie deu du l’en er hip-hop est donn se lancent installé sur e de sneake la pro Le e fr/ os, e. bas qu os. ett à is int phone. k, gh ech tra déf les me pour le loo s con gris des de gym« battles », graffer san la rue. Où ? A Paris, ek-end rtées en dehors des salles es – les wemê aume reste Il en sera de bes mais son roy de sport po de casquett Petit Palais, aux rues ara n Eudeline (chaussures ements et iers se p, du Bronxara — Christia ), de sur vêt ho s des quart pdes gar jusqu’au Hi be sta les e des ou iendra res qu du monde on qui dev be.org moins chè 28 juin. Paris, Institut es fringues les d’identificati let, www.imara ces légendair nt. Un signe La critique Jusqu’au 26 juil a la danse, réapproprie es. Puis il y rs. Montrer de l’expo sur ie des marqu deux danseu t pro cen la lan défis que se lesechos.fr/ « battles », d ro Pictures artist and Met

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LÉGENDE // a. Block Party pour clôturer l’exposition. CRÉDIT : © Kampucheaphoto b. Inauguration de l’exposition «HIP-HOP, du Bronx aux rues arabes», le 27 avril 2015. Meen One, graffeur tunisien devant son oeuvre créée in situ dans l’exposition à l’IMA. DJ Chabin, l’un des 1er DJ français qui a mixé le soir du vernissage. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA c. Article du quotidien Les Échos. MUSIQUE

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

ce des De L’ex-compli du do cteur use blanche it dans la blo ôle de nu ur une dr o p rte n Galva r Saladin po vie Oli ». es d’« urgenc e des Hôpilad Ma n Ancie e haut cet « ime verbal ris », pantom te d’exortaux de Pa l Pennac, sor signée Danie et des fantasmes liés ux picisme des ma ne et aux hô ine moder nà la médec (1 h 15), tra ctacle court ra-hilataux. Un spe scalpel et ult un me n mi chant com r Be nja pa ne scè en ran t, mi s l’Atelier. h., 21 er, Guillard à teli A l’ de

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I Les grandes expositions qui feront date

i Hip Hop, du Bronx aux rues arabes i

LÉGENDES // a. Ghettoblasters graffés par des artistes différents GAC original. CRÉDIT : Farida Brechemier © IMA b. Article « Planète Rap » de Thomas Blondeau (Les InRockuptibles). c. Jack Lang, Akhénaton, Ariklès de Tizi et JonOne à l’inauguration de l’exposition «HIP-HOP, du Bronx aux rues arabes» le lundi 27 avril 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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i Hip Hop, du Bronx aux rues arabes i

LÉGENDES // a. Vue aérienne d’une des salles de l’exposition «Hip Hop, du Bronx aux rues arabes», le 27 avril 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Le rappeur américain Pusha T à la Block Party sur le parvis de l’IMA. CRÉDIT : © Kampucheaphoto c. Article du quotidien américain L’International New York Times. d. Yazan Halwani, graffeur libanais devant son œuvre créée in situ à l’IMA pour l’exposition en collaboration avec Jon One. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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a LÉGENDES // a. Inauguration de l’exposition «Hip-Hop, du Bronx aux rues arabes», le 27 avril 2015. Baskets appelées sneakers : un accessoire indispensable dans le vestiaire des rappeurs ! La transition entre les espaces du 1er et 2ème étage est assurée aux platines par Mr Viktor, un jeune DJ français (Champion du monde) qui propose un cours de DJ immersif. b. Conférence-dansée animée par Youval Ifergane. Elle retrace l’histoire du mouvement hip-hop, raconte la naissance des différents types de danses. Alliant danse et humour, l’intervenant nous fait découvrir les pas et styles les plus emblématiques du hip-hop en interpellant le public et en le faisant participer. IMA, Paris, mai 2015. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA c. Article du journal La Provence 54


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L’exposition qui lève le voile...

I.5. Osiris, mystères engloutis d'Égypte

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Du 8 09 2015 au 31 01 2016

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Franck Goddio est le directeur des fouilles et l’archéologue commissaire de l’exposition


Cette exposition exceptionnelle ressuscite l’un des mythes fondateurs de l’Égypte ancienne par l’évocation de la célébration des « Mystères d’Osiris » ! Cet événement sans précédent met en lumière les découvertes issues des fouilles sous-marines de l’IEASM dirigées dans la baie d’Aboukir par Franck Goddio. On y découvre notamment les incroyables vestiges des temples d’Héracléion et de Canope qui accueillaient dans le plus grand secret ces rites et processions religieuses, ainsi que de nombreux objets, témoins de ce culte aujourd’hui disparu, illustrant ces cérémonies.

Fondation d’entreprise Total, Egyptair, Groupe Casino, Engie, Orange, Vinci Construction, Sawiris Foundation, Vivendi, Ministère du Tourisme égyptien, Bureau du Tourisme d’Égypte, Epson, Guardian et Neolux.

Partenariat institutionnel de l’IMA

Union de Banques arabes et françaises.

Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

Remerciements

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ux à Paris des ea uvésrem osition arquable exp dieduuNilxestsa es d r casion d’une l’oc eu d n La sple s englouties au large du delta La découverte

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bronze Statuette en n, à l’Institut d’un pharao est ornée exposition arabe (IMA) dont la coiffe du monde , deux cent d’un uraeus de Paris des protecteur repêle serpent soixante pièces , au J.-C.), (500-250 av. la baie d’Aboukir de sa découverte chées dans de trésors lors Nil, du large du delta , est un événeà Héracléion. FOUNDATION/ ILTI l’antique Egypte s proviennent FRANCK GODDIO/H vestige sous GERIGK ment. Ces CHRISTOPH connue aussi d’Héracléion, Canope, de et , Thônis le nom de prospères, portuaires deux villes millénaires des depuis englouties de sédirs mètres sous plusieu Ces cités, gardien. ments marins de l’Egypte, avaient nes de la porte s par la Méditerdisparu, happée sache pourquoi qu’on ranée, sans où. ni précisémenteaux, ces œuvres, et des Sauvées des monumentalesgranodes statues en granit rose, portraits en (la roche dans laRodiorite noire la pierre de quelle fut gravéede sycomore, des bois en ou sette) ex-voto, cibijoux, des coupes, des l’argent, bronze, l’or, le dans eur. Le selés de leur splend souss témoignent nt des fouille présiune coupe , butin provie moulée dans RenouveFranck Goddio d’ar- veau-né, marines de soleil. ut européen nte ans auparaet d’or et séchée au elle symbolise l’Instit ), de dent crypte. Cinqua arine (IEASM t la chaque année, écrit que Thônis chéologie sous-m une équipe de même lée du dieu assurandes vant, il avait é avec renaissance étaient une culte Ces vestiges eurs, qui a travaill preuve la Héracléion cosmos. Un un vieux pêistes (plong ue : là, devant la stabilité du mission avec soixante spécial mans, archéopar Plutarq iennent ville. « Il était onnelle érudition. prov es chanté ne et une sans succès. » camera urs, à la Termystèr ancien aexcepti apire s’unit ingénie un cheur, Chamde son Nil qui ateurs, restaur est aidé par sionné d’Histodonne la mesure grand depuis laquelle « Osiris est le d’Héracléion, . logues, dessinlocaliser, explorer Le chercheur manola mer dans C’était le plus prise. d’archéologie, Franck Goddio tionnaire, le re-Isis, et Seth, disparaît et se disi sous teurs…) pour s, en exhumer les lté de l’entre pareil révolu nce magnétique pollion », insiste connue auss de la difficu ces cités était conle Nil se jette, les cités perdue de mètre à résona ensible : « On le Thônis, restaurer. » t» L’existence de historiens hypers uableperse. des d’enfan ire, nom aurait traremarq vestiges et les rêve le en s disent « Un tion par les textes e de nucléa raz-de-marée un bateau Une exposi scène. « Un rêve objets exposé à OsiUn premier 450 et nue es Hérodote et Diodor e – tracta derrière les dix A l’IMA, les et de Canope éion entre droites tous antiqu trilingu présidu culte rendu toute ment mise en lignes stèle de des Lang, la rtance touché Héracl à un séisme, la zone çant Jack c’est l’impo et Liée Sicile, mais couvrir une vénéré dans d’enfant » pour qui ne cache pas démotique dédié à 350 av. J.-C. carrés. » mètres pour ris. Seul dieu e Hérodote. La du temple en hiéroglyphe,de Canope, datée nte mètres une pyradent de l’IMA, illir tous ces destruction du panthéon égypcent cinqua en 1996. l’Egypte, affirm ue que la figure a découvert 1881 par grec – du décret plaisir d’accue commence fouilles, on la chapelle sion nautiq traduite en Amon, le Zeus l’an son l’Egypte. p éion est à la fin du L’opération de granit rose, terait, elle, tard, Héracl de 238 av. J.-C., ro, qui l’intrigue. Y Gereb. proces doit accomplir une fois par trésors prêtés par florence evin tien, remon notre ère. La ville, à temple, mide the du dieu Amon de s, Trois ans plus Maspe son grand [mort divine éion et le monoli dans les vitrine quelnnée Gaston IIe siècle avant nnés Héracl Jean Yoyotte repérée, avec les fonds marins. e est rythmée, l’eau, fut abando sont mentio Amon de Gereb, C’est le grand lu les hiéroglyphes. e siècle, inédites. Comm le sous moitié sous es engloutis vous voyez qui a de invisib - des pièces des 350 mini-barques siècles. Au VIII grand temple Osiris, mystèr t du monde plongez, dit-il, nce par des en 2009] dans la ville d’Héra sion rituelle nes durant cinq « gifle de Poséidon » t « Vous flèchent le part la proces n ques-u te. Institu la On était ! On comme » Saintère d’où avec émotio en plomb qui d’Osiris, le d’Egyp Osiris se rendan e sable un tsunami, Fossésd’Hom dieu du votives du rappell des ssion 1, rue la figure ponctuelles. cléion », se la barque – selon l’expremène comparable rain, arabe, d, Paris 5e . Tous les jours, de large fouilles très parcours de ur averti. sacré souter à Canope. trois mètres Bernar dé- le plongeure s’emballe. Sur la stèle pour un phéno le sud-ouest de la Un mur de de 10 heures long d’un canalte mètres, d’Hérade calcaire est en L’avent noire de sauf le lundi, de soixan grands blocs qui submergea 1200 av. J.-C. –, sera du Nil » granodiorite , le vendredi de large situait, en sur 103 mètres. La tête « A la bouche e. intacte en à 19 heures nd Strabon les Sardaigne, vers delta du Nil s’est 1er , datant gagé cléion à Canop le fameux Osiris celle d’un Osi21 h 30, le week-e géographe « Le bouche du Nectanébo n ordonne blanc grec, Héra- Le sans appel. J.-C., à la « Témoigne aussite momifiée faite jusqu’à 20 heures. Jusqu’au de la contidisparaître ob- marbre J.-C., le pharaoThônis-Hévers 25 av. jusqu’à e.org à ti- 378 av. r devient une Je ris-Sérapis, garant nt, statuet enfoncé, faisante et le portus maImarab syncré érigée végéta localise limon 2016. soit Les dieu « grec. et de Nil ». ique, qu’elle Goddio. 31 janvier égyptien et cléion, Canop rapporte de grains d’orge pour Franck vouloir les nuité dynast songe du pharaon e un noulexandrie », rakleion – noms les session logue Jean grande comm magnus d’A premier à général que né d’un ent égypto , qui a dirigé n’étais pas le la dé- rin, Sôter, le t-il. Le prince Franck Goddio au large exhu- L’émine, présent sur place, Ptolémée er, avouekilomètres Grand, est de cherch Toussoun [1872-1944], e de Yoyott lexandre le fouilles à six A issaire d’ semain comm une re est ant Omar premiè d’Aboukir et l’IMA. savoir, posséd lancé mée. « La de homme de avait l’exposition de la découen baie d’Aboukir, L’histoire mêmeraconte ce pas- villa que la khaverte, telle au de Toutan rière du tombe rois. Une commun la Vallée des régénétique mon, dans partir de la patrimoine e à suggéèse établie à de la du phat Marc Gabold ti se- hypoth tion des images éfertiti, épouse IV, ou qui condui momie de Néferti cente publica ire (tombe KV 62) otep rer que « la raon Amenh KV 35, dite de re funéra son est-elle la de la tombe rois », chamb roi mort au début de Akhenaton, nt rait celle clide la Vallée des du jeune khamon, reposa av. J.-C. Sur les Thèbes. la Young Lady, 1318 nne vers évomère de Toutan une chambre déKarnak, l’ancie t présentée règne, des traces verticales dans Haute à souven à ses côtés kha- chés, des cadres de portes dissitombeau, en Young Lady, Toutan lode Reerobée de son égypto M. mère quent éminents comme la signifie, écrit que « la momie Egypte ? Deux des hypothèses qui mulées. « Cela dans Pharaon Mant mon. Tandis celle de la tombe gues avance l’on sait de ves, le 23 juillet, “Le Tombeau de on est tout ce que : , la d’Akhenatla Vallée des rois ». e bousculent gazine n°23 ces portes donnent pharaonienne KV 55, de e sièque ti”, de la grande époque XIV rée Néferti au dynastie, s pièce inexplo funédes momie dix-huitième ère. accès à une entation de chambre Rapatriement le couple Akhenar à une représ e et à une cle avant notre n’a jamais pu idene de la Pour assiste six filles, fils, stockag on ure et inviolé ni sa Après fertiti aurait donc eu un ti. » Jusque-là, « raire antérie de Néfertiti ton-Né le, celle de Néferti référence au tifier ni la momie aît Guillemette tombe origina e par Nicholas Reekhaton, en son père hono- Toutan sépulture, reconn L’idée, avancé farfelu », fait revénéré par a, , directrice dieu Aton n’a rien de capitale Amarn « le Andreu-Lanoë ement des antiquisouhai ves, en nouvel e Gabold dans la ov . Le jeune pharaire du départ marquer Marc Louvre. Il est nne Egypte Anton Tchekh ment raison

L’ LÉGENDES // a. Scénographie de l’exposition «Osiris, mystères engloutis d’Égypte», du 8 septembre 2015 au 31 janvier. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA b. Article du journal Le Monde

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I Les grandes expositions qui feront date

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

LÉGENDES // a. Divinités osiriennes posées sur les fonds sous-marin de la baie d’Aboukir. Statuettes en bronze découvertes sur le site de ThonisHéracléion, Égypte, VIe - IIe siècle av. J.-C. (Mise en scène). b. Statue de pharaon d’un très beau modelé, découverte dans la zone Sud-Ouest du temple d’Amon à Thônis-Héracléion. Le roi, dans l’attitude de la marche, tenait un bâton de la main droite. Il pourrait s’agir soit d’un roi de la 30e dynastie, soit, d’après la gravure du cartouche sur la ceinture, corrodée et difficilement lisible, de Psammétique II (595 - 589 av. J.-C.) de la 26e dynastie.

ngère Presse étra

Cet événement d’exception, coproduit entre l'IEASM, Artévia et l'IMA, bénéficie du soutien de la Fondation Hilti

i Osiris, mystères engloutis d’Égypte i

CRÉDIT : Christoph Gerigk © Franck Goddio / Hilti Foundation. c. Chasse au trésor «Osiris, mystères engloutis d’Égypte». CRÉDIT : Emmanuel Pujol © Fandecine - Artevia / Hilti Foundation / IEASM / Institut du monde arabe. d. Article du journal belge LE VIF L’EXPRESS.

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LÉGENDES // a. Chasse au trésor «Osiris, mystères engloutis d’Égypte». CRÉDIT : Alexia Plandé © Artevia / Hilti Foundation / IEASM / Institut du monde arabe b. L’Éternel Abdel Halim Hafe avec l’ensemble El Ouns, le 20 mars 2015. Parvis, IMA. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA c. Chasse au trésor «Osiris, mystères engloutis d’Égypte». CRÉDIT : David Hanau © Artevia / Hilti Foundation / IEASM / Institut du monde arabe d. Article du journal italien Corriere Della Sera


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I Les grandes expositions qui feront date

Le dimanche 6 septembre 2015, l’Institut du monde arabe a proposé un jeu inédit, réalisé par Ma Langue Au Chat et en partenariat avec l’Office du tourisme de l’Égypte, Égyptair et Fleuves du Monde. 4000 personnes ont répondu présent à l’appel pour gagner des voyages en Égypte et des invitations pour l’exposition.

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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La chasse au trésor Osiris a réuni 4000 personnes au jardin des Tuileries !

i Osiris, mystères engloutis d’Égypte i

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© CHRIS MORIN-EITNER

expos l’exposition Climats artificiels. > L’une des œuvres planantes présentées dans

Jusqu’au 28 février 2016

Atmosphère, atmosphère…

AIN VOUS EMPORTE SUR

CETTE TRÈS BELLE EXPOSITION D’ART CONTEMPOR DE PETITS NUAGES.

tout cela mutation délaissé PAl’ pour fair de nouve Une faç déco ord d’abuvre ceva Fran  Che lan sang D’Azinco une an de 8vict toir l’His 2 janvier d’éc €. M 8,50olie ce tout Invalide ati mut M° Inval issé déla  Avan pou jouer àfar nou de eq notr Une fa d’abor

© CHRIS MORIN-EITNER

férence sur le changement A quelques semaines de l’ouverture de la Con ironnement), la Fondation climatique (un événement crucial pour l’env Récamier, une exposition en EDF propose, dans son espace de la rue ndu : les œuvres d’artistes contrepoint, pleine de poésie et d’inatte du climat, mais sur un mode contemporains réunies là parlent bien sûr iels. tres pleines ts artific s, d’au taculaire l’exposition specClima dans es sont s pièc ntes prése ainentées plana e. Cert œuvres alist dessurré L’une >pres que offrent toutes une échappée, d’humour, d’autres plus graves ; mais elles un ré28 févr l’ailleurs, une évasion, et peut-être même… vers2016 Jus rteier portue ouve unequ’a ler un nuage, contemp Paris t y toucher (en vrai !)… enchantement. On peu ère es osphère, atmosph es écosystèmes créés de tout Atm à l’état de savane, observer d’étrang SUR E ORT EMP S VOU AIN er. POR aim TEM les CON à ’ARTrder le ciel et la terre. Et E EXPO BELLd’in ETTE C tionsNàDrega vitaSITIO Autant es.TRÈS pièc . Du mar au

Grâce à la scénographique, sombre et bleutée, on est tout de suite plongé au cœur du sujet : dans une ambiance de grotte sous-marine, la nouvelle exposition de l’Institut du monde arabe nous entraîne à 2016 s-d’œuvre chef u 31tejanv desier qu’auver Jus la déco que ; et anti engloutis de l’Egypte ux ea s de rti so iris Os plus particulièrement, des statues DESau culteFOU dieu duILLES Q des Dobjets liés etUAN INES MAR S SOU S IQUE LOG HÉO ARC un dieu au destin contrarié Osiris, … UIS ENFO ORS TRÉS DES NT bole de fertilité et de REM nu sym deveONTE bre som ue,et plein phiq ogra nge t étra à lau.scén C’es Grâc renoeuvea suitdee deent, tout mm on est , nota tée,, avec et mystère de bleu dans es : alièr sujet r dutures anim une sculp gé autescœu plon saisissan -mar qui ut,ine, te sous debo grotame e deopot amb un hipp (dontianc titut l’Ins de de é n sitio anim un dessin nou plusexpo la uevelle évoq s entr orainà, empaîne e nou cont de arab de l’art du ey, voire Disnmon uvre !). s-d’œ ans 2 800 y achef uver pteted’ildes la l’Egy quedéco ; que is ptes anti engloutet l’Egy tère loutis,is de mys eng  Osir es statu . des ans 6 ent, de èrem tir . A par plus ypteiculi d’Egpart dieu du les culte . Tlj sf lun, liéser au 2016 janvi des 31 ts et u’auobje Jusq rarié de in19cont dest h, ven au à h dieu 10 un Osir mar,is,mer et jeu de de et lité à h ferti b deve et dim de 10 samde h 30,bole 21sym 10 h ànu et0plein nge €. étra t t : 10,5 C’es rédui u. €, uvea reno 20 h. Tarif : 15,50 de ent, mm rue nota , avec de, arabe, 1, mys de du mon tuttère Insti ealières anim V. ard,sParis tes sculp t-Bernture ssans-Sain saisi des Fossé ut, qui debo ame abe.org. t uneu.hipp imaropot (don M° Jussi évoque plus un dessin animé de Disney, voire de l’art contemporain, 2015 brepte 7 octo d’il–y a 2 800 ans !). l’Egy que

PETITS NUAGES. DE ir de 5 ans. Jusqu’au 28 février 2016  Climats artificiels. A part gement VIIe. chan, Paris le mier nce Réca fére, 6, ruesur Con laon EDF re de dati ce Fon s de Espaertu uit.l’ouv h. Grat 19 aine que A 12 hsàsem delque dim ial pour l’environnement), la Fondation cruc nt.edf.c om. eme ation . Fond ue (un yloneévén atiqs-Bab clim M° Sèvre

Récamier, une exposition en EDF propose, dans son espace de la rue et d’inattendu : les œuvres d’artistes contrepoint, pleine de poésie PARCOURS-JEU du climat, mais sur un mode contemporains réunies là parlent bien sûr ls es ficieplein s, d’au artitres laireats tacuClim specion sont osit es l’exp piècrir r décs ouv Pouaine presque surréaliste. Cert échaesppée, es une s Môm tout, Pari offre etntterre s elles e ciel maientr es ;res grav œuv et ses d’humour, d’autres plus un rémêm proc e t-êtr x te le e…upeu peu ion, !etTu évas-jeu une ours un, parc l’aill çueurs a con une porte ouverte vers deParis e 29ler pagemp encont ouge, !) un on,nua vraidati la Fon e, à(en y touc placher rer tsur enchantement. On peu r d’étranges écosystèmes créés de toutes erveéro. obsnum à l’état de savane, ce ciel et la terre. Et à les aimer. pièces. Autant d’invitations à regarder le mar au

ir de 5 ans. Jusqu’au 28 février 2016. Du  Climats artificiels. A part e on EDF, 6, rue Récamier, Paris VII . dati Fon ce Espa uit. Grat h. 19 à h 12 dim de Som. .edf.c ME ation MO . Fond ylones s-Babri u Pa 60Sèvre M°

PARCOURS-JEU

ls Pour découvrir l’exposition Climats artificie es Môm s Pari , et ses œuvres entre ciel et terre ua conçu un parcours-jeu ! Tu peux te le proc de 29 e pag en rer sur place, à la Fondation, ou ce numéro.

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d’Egypte. A partir de 6 ans. Jusqu’au 31 janvier 2016. Tlj sf lun, les mar, mer et jeu de 10 h à 19 h, ven de de 10 h à SUR et dim samOIR T SAV h 30, TOU h à 21 POUR 10 ÉE 0 €. ARM ’ L DE 10,5 : NS t ATIO rédui LESh.MUT Tarif : 15,50 €, 20 GE Â OYEN M FINduDU À LAtut monde arabe, 1,.rue Insti Ve. mais Paris tu ard,poin t-Bern t très suje des t uns-Sain C’esFossé

La fin des chevaliers

rg.e cet automne abe.o imar bord qu’a M° ionneu.ant passJussi

le musée de l’Armée : grâce à et bombardes. l’exposition Chevaliers 2015– Marignan, on 7 octobre D’Azincourt à 24 janvier 2016

La fin des chevaliers POUR TOUT SAVOIR SUR LES MUTATIONS DE L’ARMÉE À LA FIN DU MOYEN ÂGE. C’est un sujet très pointu mais passionnant qu’aborde cet automne le musée de l’Armée : grâce à l’exposition Chevaliers et bombardes. D’Azincourt à Marignan, on

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D’Azin de 8 a janvier 8,50 € Invalid M° Inv  Ava joue à notre


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I Les grandes expositions qui feront date

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LÉGENDES // a. File d’attente pour l’exposition «Osiris, mystères engloutis d’Égypte». b. Article du Paris Mômes, le guide culturel des enfants de 0 à 12 ans. c. Scénographie de l’exposition «Osiris, mystères engloutis d’Égypte» sur le parvis de l’IMA. d. Visite de l’exposition commentée par son commissaire Franck Goddio le 7 septembre 2015. e. Article du journal L’OBS.

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CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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LÉGENDES // a. Inauguration de l’exposition «Osiris, mystères engloutis d’Égypte» le 7 septembre 2015. Visite commentée par le commissaire de l’exposition Franck Goddio. CRÉDIT : Matthieu Rater © IMA b. CRÉDIT : Christoph Gerigk © Franck Goddio / Hilti Foundation. c. Article du journal Le Point

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LÉGENDES // a. Épave en sycomore, Thônis-Héracléion, baie d’Aboukir, Égypte. Cette épave d’une dizaine de mètres de long, intégralement construite en bois de sycomore, a été découverte dans le canal jouxtant le temple d’Amon à Héracléion qui se prolongeait à l’Ouest vers Canope. Associés à cette barque nilotique datée du IVe s. av. J.-C. des objets rituels ont été mis au jour. Ils constituent des indices qui laissent supposer que l’esquif aurait servi lors de la navigation qui avait lieu pendant les cérémonies osiriennes entre les deux sanctuaires de la région canopique. b. Divinités osiriennes posées sur les fonds sous-marin de la baie d’Aboukir. Statuettes en bronze découvertes sur le site de Thonis-Héracléion, Égypte, VIe IIe s. av. J.-C. (Mise en scène). CRÉDIT : Christoph Gerigk © Franck Goddio / Hilti Foundation.

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I Les grandes expositions qui feront date

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À travers cette exposition, les visiteurs peuvent suivre la célèbre procession nautique de la barque d’Osiris, qui accompagnait chaque année la divinité dans son passage vers l’au-delà. 290 pièces provenant, pour leur majeure partie, des fouilles sous-marines récentes de l’IEASM accompagnent une quarantaine de chefs-d’œuvre issus des musées du Caire et d’Alexandrie.

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Un flot exceptionnel de couvertures médiatiques !

Plus de 500 pages dans la presse écrite en France, sur tout le territoire, en Europe, dans le monde arabe et aux États-Unis ; des dizaines de chaines de radio et de télévision ont également largement couvert l’événement...

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Dès le premier mois, plus de 1000 tweets postés sur l’exposition « Osiris, mystères engloutis d’Égypte» et aujourd’hui 9 500 000 impressions…


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Date : 26 OCT 15

I Les grandes expositions qui feront date Pays : France Périodicité : Quotidien Paris

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REUSSIR LE PERIGORD

Pays : France Périodicité : Quotidien Paris

Date : 23 OCT 15 Page de l'article : p.32 Journaliste : Valérie Godement

Pays : France Périodicité : Hebdomadaire OJD : 6393

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Date : 26 OCT 15

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Art,: France spectacles & expositions / Expos - 2015/10/26 18:37 Pays Périodicité : Quotidien Paris

Art, spectacles & expositions / Expos - 2015/10/26 18:37

Art, spectacles & expositions / Expos - 2015/10/26 18:37

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Top expo France Fnac : Osiris double Picasso Top expo France Fnac : Osiris double Picasso

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(Relaxnews) - D'après le classement hebdomadaire des meilleures Top expo France Fnac : Osiris double Picasso ventes de billets pour expositions à la Fnac, du 19 au 25 octobre,

Du titre international au titre le plus local !

"Osiris, mystères engloutis d'Egypte" actuellement à linstitut du monde arabe, prend la première place sur l'exposition événement

"Picasso.Mania" au Grand-Palais à Paris. (Relaxnews) D'après le classement hebdomadaire des meilleures "Warhol unlimited" conserve sa troisième position. Quant aux (Relaxnews) -billets D'après le classement hebdomadaire des meilleures expositions sur Scorsese etpour Marc Chagall, elles tombent en fin ventes deMartin expositions à la Fnac, du 19 au 25 octobre, de classement. ventes de billets pour expositions à la Fnac, du 19 au 25 octobre, Classement hebdomadaire, effectué engloutis à partir des meilleures ventes de "Osiris, mystères d'Egypte" actuellement billets dans les magasins Fnac et Fnac.comd'Egypte" de la semaine passée, du "Osiris, mystères engloutis actuellement à linstitut du à linstitut du lundi au dimanche inclus. monde arabe, la première sur événement l'exposition événement monde arabe, prendprend la première place sur place l'exposition "Picasso.Mania" au Grand Palais à Palais Paris. à Paris. "Picasso.Mania" au Grand Art, spectacles &conserve expositions / Expos - 2015/10/26 "Warhol unlimited" sa troisième Quant aux18:37Quant aux "Warhol unlimited" conserve sa position. troisième position. expositions sur Martin Scorsese et Marc Chagall, elles tombent en fin expositions sur Martin Scorsese et Marc Chagall, elles tombent en fin de classement. Top expohebdomadaire, France Fnac : Osiris double Picasso de classement. Classement effectué à partir des meilleures ventes de billets dans les hebdomadaire, magasins Fnac et Fnac.com de la passée, du Classement effectué à semaine partir des meilleures ventes de lundi au dimanche inclus. billets dans -les magasins Fnac et hebdomadaire Fnac.com de des la semaine (Relaxnews) D'après le classement meilleurespassée, du ventes de dimanche billets pourinclus. expositions à la Fnac, du 19 au 25 octobre, lundi au

A Paris, l'Institut du monde arabe accueille jusqu'au 31 janvier l'exposition "Osiris, Mystères engloutis d'Egypte", ou comment mieux cerner ce dieu de légende.

Osiris et ses Mystères C

ette exposition, riche de 250 objets trouvés lors de fouilles sousmarines auxquels s'ajoute une quarantaine d'œuvres provenant des musées du Caire et d'Alexandrie (dont certaines sortent d'Egypte pour la première fois), illustre la légende d'Osiris, un des mythes fondateurs de la civilisation égyptienne. Osiris, fils de la Terre et du Ciel, fut tué par son frère Seth qui démembra son corps en quatorze morceaux avant de les jeter dans le Nil. Isis, sœurépouse d'Osiris, grâce à ses pouvoirs divins, remembra son corps, avant de lui rendre la vie et de concevoir Horus, leur fils. Osiris devint alors le maître de l'audelà et Horus, victorieux de Seth, eût l'Egypte en héritage. Sous l'égide de Franck Goddio (voir encadré), la mission de l'Institut européen d'archéologie sous-marine

"Osiris, mystères engloutis d'Egypte" actuellement à linstitut du monde arabe, prend la première place sur l'exposition événement "Picasso.Mania" au Grand Palais à Paris. "Warhol unlimited" conserve sa troisième position. Quant aux expositions sur Martin Scorsese et Marc Chagall, elles tombent en fin de classement. Tous droits réservés à l'éditeur ARABE3 6723075400509 Classement hebdomadaire, effectué à partir des meilleures ventes de billets dans les magasins Fnac et Fnac.com de la semaine passée, du lundi au dimanche inclus.

a découvert, à quèlques kilomètres d'Alexandrie, en baie d'Aboukir, les cités de Thônis-Héracléion et de Canape, submergées par les eaux depuis le VIII6 siècle. Au fond de l'eau, ont été mis au jour les vestiges des temples, statues et objets liturgiques relatifs à Osiris et à la cérémonie annuelle lui étant consacrée, les "Mystères". Ces derniers étaient célébrés au sein des temples, à l'abri des yeux profanes (d'où le nom de "Mystères") dans toute l'Egypte, ils faisaient revivre et perpétuaient la légende fondatrice du pays. Les résultats de vingt ans de campagnes archéologiques ont été rapprochés du texte du décret de Canape, connu depuis le début du XIXe siècle et datant de 238 avant notre ère. Cet édit mentionne le fait qu'entre les villes de Canape et d'Héracléion, se déroulait tous les ans une navigation dans le cadre des Mystères, selon des modali-

Tous droits réservés à l'éditeur

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Date : 02 OCT 15 Journaliste : Valérie Godement Pays : France Périodicité : Hebdomadaire Tous droits réservés à l'éditeur

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DIRECT MATIN

Pays : France Périodicité : Quotidien OJD : 528018

Tous droits réservés à l'éditeur Tous droits réservés à l'éditeur

À Paris, linstitut du monde arabe accueille jusquau 31 janvier 2016 l'exposition « Osiris, Mystères

ITALIA OGGI (PRESSE D'ITALIE)

engloutis d'Egypte », ou comment mieux cerner ce dieu dè légende. Pays : France Périodicité : Hebdomadaire

Périodicité :

Date : 15/09/2015 Journaliste : Ettore Bianchi

LE MONDE DE LA PHOTO.COM

Date : NOV 15 Page de l'article : p.28

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ITALIA OGGI

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AU'Jslliuto arabo di Parigi 2,")0 opere d'arie dedicate agli dèi della civiltà faraonica

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L'Abele egizio chiamato Osiride ette exposition riche de Molti pezzi sono frutto di ricerche 250 objets trouvés lors nel mare di Alessandra

UNE EXPOSITION SUR L'EGYPTE A L'IMA

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les cités de Thônis-Héracléion et de Canope, submergées par de fouilles sous-males eaux depuis le VIII6 siècle. rines auxquels s'ajoute Au fond de l'eau, ont été mis au Cairo e di Alessandria 1 suo nome eune Osiride quarantaine d'œuvres proIn una scenografia accatti(Osiris) ed e il dio egizio jour les vestiges des temples, risaltano i colori della morte e venant dell'oltre- vante desdovemusées du Caire et tomba La sua storia si verde e grigio-blu che espristatues et objets liturgiques acquatico,certaines intreccia con quella biblica mono l'ambiente d'Alexandrie (dont di Abele, di cui rappresenta l'accento e posto sulle prarelatifs à Osiris et à la cérémonie il corrispettivo Questa e al- tiche religiose feste pour e cortei la presortent d'Egypte tre vicende mitologiche, che rituali, a cominciare da quelli annuelle lui étant consacrée, les si svolgevano nelle citta si perdono nell'antichità, sono che fois) illustre la légende di Thonis Heraben rappresentate mière attraverso scomparse « Mystères ». Ces derniers étaient 250 opere d'arte presenti in cleion e di Canopo Una delle d'Osiris, un dese quella mythes una mostra all'Istituto del piu suggestive che si fondacélébrés au sein des temples, à mondo arabo di Parigi, aperta teneva annualmente sul cateurs la 3,5civilisation égypal pubblico fino al 31 gennaio de nale lungo chilometri che l'abri des yeux profanes (d'où le 2016 collegava i due centri a est di tienne. Osiris, nelfils de lain Terre et nom de « Mystères ») dans toute II titolo di questa esposi- Alessandria momento zione e emblematico Osin- cui le acque del Nilo si ritiLE MYTHE, DATANT D'AU MOINS VINGTCiel,ravano fut tué par son frère Seth de, milieu somme/iidu d'Egitto Ecco dunque esposti CINQ siècles avant notre ere, est l'Egypte et faisaient revivre etplutôt glaII riferimento e al fatto che vasi, lanterne galleggianti, démembra son corps Le dieu Osiris, fils de la Terre et du Ciel, molti dei pezzi chequi si possosistn (uno strumento musi- en quaperpétuaient lafutçantlégende fondano ammirare sono il frutto di cale), incenso, barche sacre, démembre par son frere Seth, rememtorze morceaux dè les jeter accurate ricerche effettuate oltre a simulacriavant di Osiride par sa soeur Isis, qui fut aussi sa femme trice du pays. bre nei fondali del mare di AlesQuest'ultimo, stando al et la mere de son fils Horus, lequel vengera Nil. Isis, soeur-épouse sandria, chc hanno dans restituito lemito tramandato da PluMyriamAbdeiaziz Jusqu'au 17 janvier 2016 Les résultats de vingt ans preziose testimonianze delle tarco, era il primo figlio del son pere en tuantde SethcamLine legende qui MenyasKidsfi Première biennale des photographes divinità venerate ai d'Osiris, tempi dei Cielogrâce e della Terra e vennepouvoirs à ses hisse Osiris au rang des divinités centrales coyrtesyMyriamAbdeiaziz du monde arabeegiziani contemporain faraoni Tutto que- ucciso dal fratello Seth che, pagnes archéologiques ont été de la croyance égyptienne Deux cent cindalla gelosia, loson avedivins, accecato remembra corps, sto e opera dell'archeologo quante objets remontant jusqu'au rapprochés du texte du décret deVIII siecle Franck Goddio, che ha fatto va anche decapitato e ne avevo sparso resti nel Nilola e neivie et de lui i rendre un paziente lavoro avant di cernita de Canope, connu depuis le début fra 15 mila oggetti in totale dintorni Ma non aveva fatto con Iside, sorella e moconcevoir leur fils. Osiris quelli rinvenuti nelle acque e, contoHorus, e glie di Osiiide, che per amodu XIX siècle et datant de 238 soprattutto, quelli conservati re riuscì le a ritrovare i resti nei magazzini delle devint collezioni alors maître dedi l'au-delà nazionali Nella capitale fran- quest'ultimo e a risuscitarlo, avant notre ère. Cet édit menper poi concepire con luide Ho-Seth, eut cese sono presenti sia etpiccoli Horus, victorieux oggetti, tra cui gioielli d'oro, rus, che in seguito avrebbe tionne le fait qu'entre les villes ilhéritage. conflitto famigliare sia grandi statue come quella risolto l'Egypte en Sous l'égide del dio Hapy che pesa é ton- facendo condannare a morte de Canope et d'Héracléion, se Seth dagli dci Proprio que-encadré), nellate Completanode l'esposiFranck Goddio (voir zione una quarantina di ope- sta vittoria gli permise di déroulait tous les ans une navigaprimo faraoneeuropéen re provenienti dai musei del diventare la mission deill'Institut d'Egitto, mentre Osiride fu tion dans le cadre des Mystères, d'archéologie sous-marine a selon des modalités spécifiques : découvert, à quèlques kilomètres Tous droits réservés à l'éditeur elle devait commencer au temple ARABE3 4819725400509 d'Alexandrie, en baie d'Aboukir, DI El I ORE BlAfvGHI

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œuvre exposée a I IMA Photo Myriam Abdelaziz

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« Lune de miel » Qatar Courtesy Galerie Photo 12, œuvre exposée a la Galerie Photo 12 Photo MaherAttar

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Osiris et ses M Où : Huit lieux dont la Maison Europeenne de la Photographie (5/7 rue de Fourcy, 75 004 Paris), I Institut du monde arabe (1 rue des Fosses SaintBernard 75 005 Pans) et la Galerie Photo 12 (14ruedesJardinsSamt Paul 75004Paris) Quand: du 12 novembre au 17]anviei2016 biennalephotomondearabe.com

Matieede Khamlia, Sud du Maroc, Courtesy Leila Alaoui oeuvre exposée a la MEP Photo Leila Alaoui

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Thônis-Héracléion, ville engloutie

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Tous droits réservés à l'éditeur

L’Institut du monde arabe présente près de 300 objets issus notamment de récentes fouilles sous-marines menées au large de l’Égypte. Au programme, les vestiges d’une ville légendaire où se déroulait la cérémonie des Mystères d’Osiris.

Télé Star Jeux

avant J - C , découverts lors d'une fouille sous-marine en baie d'Aboukir, témoignent de l'adoration dévorante pour ce dieu • Osms, mystères engloutis d'£gypte, jusqu'au 31 janvier, Institut du monde arabe (5")

À Paris, linstitut du monde arabe accueille jusquau 31 janvier 201 engloutis d'Egypte », ou comment mieux cerner ce dieu dè légend

La Biennale des photographes du monde arabe portée par la Maison Europeenne de la Photographie et l'Institut du monde arabe propose de decouvrir les travaux de SO artistes contemporains Les photographes dévoiles proposent une approche artistique et pas forcement axée sur l'actualité immédiate Ce premier rendez-vous présentera entreautres, « Les Marocains» de la Franco-Marocaine Leila Alaoui a la Mep Cette serie, réalisée entre 2011 et 2014, s'inspire des travaux de Robert Franck Thekmiam et dévoile des portraits d hommes et de femmes de tous ages et de différentes ethnies Pour « L Habit fait le moine», capture en 2010 et presente a I Institut du monde arabe, Nabil Boutros se déguise en différents types d Egyptienstandis que la Yéménite BoushraAImutawakel a travers «What if» réalise en 2008 défie les normes en imaginant les hommes portant le voile a la place des femmes LestravauxdeLamiaGargash (Emirats Arabes Unis) quantaeuxsmterrogerontsurlesproblematiques identitairesetculturellespropresauxpaysduGolfe

Tous droits réservés à l'éditeur

L’Institut du monde arabe présente près de 300 objets issus notamment de récentes fouilles sous-marines menées au large de l’Égypte. Au programme, les vestiges d’une ville légendaire où se déroulait la cérémonie des Mystères d’Osiris.

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

Pays : France Périodicité : Mensuel

Date : 18 SEPT 15 Page de l'article : p.28

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ette exposition riche de 250 objets trouvés lors Thônis-Héracléion, engloutie Tous droits réservés àville l'éditeur de fouilles sous-maauxquels s'ajoute Entrez dans les Mystères d’Osirisrines ! une quarantaine d'œuvres provenant des musées du Caire et Statuette d’Osiris en bronze et barque votive en plomb posées sur les fonds sous-marins de la baie d’Aboukir. Thônis-Héracléion, Égypte, vie-iie siècles av. J.-C.

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les cités de Thôniset de Canope, subm ARABE3 3460145400504 les eaux depuis le V Au fond de l'eau, ont jour les vestiges69de

Statuette d’Osiris en bronze et sur les fonds sous-marins de la ba


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I Deux expositions qui font écho à l'actualité politique

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Les œuvres monumentales de Stéphane Pencréac’h Du 12.05.2015 au 26.07.2015

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L’exposition de peintures de Stéphane Pencréac’h s’articulait autour de trois moments de l’histoire contemporaine : les Printemps arabes, le conflit syrien et les journées tragiques qui ont touché Paris en janvier 2015. Cet événement a été réalisé en partenariat avec la galerie Vallois, Paris.

i Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

LÉGENDES // a. L’artiste Stéphane Pencréac’h devant l’une de ses œuvres monumentales. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Article du journal Le Monde du 28 mai 2015, signé Philippe Dagen. 71


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I Deux expositions qui font écho à l'actualité politique

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FIPCOM : Le concours international de photojournalisme de l’Émirat de Fujaïrah (2ème édition)

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La compétition FIPCOM (Fujaïrah International Photojournalism Competition) est née du choix de l’Émirat de Fujaïrah d’investir massivement dans le secteur de la culture et de la communication. Via la FCMA (Fujaïrah Culture and Media Authority), et toujours dans cet objectif de diffusion et d’enrichissement culturel, Fujaïrah en partenariat avec l’Agence France-Presse, a permis à tout professionnel du photojournalisme de participer à la compétition FIPCOM.

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réservés à

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Les photos des gagnants sélectionnés parmi les quatre catégories en compétition (Actualité, Reportage d’actualité, Sport et Reportage sport) seront, dans un premier temps, exposées à l’Institut du monde arabe à Paris, puis à Dubaï et Abu Dhabi en 2016. 7441047

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réservés Tous droits

Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

Tous droits

à l'éditeur

LÉGENDES // a. «Alep» de Baraa Al-Halabi, exposition FIPCOM à l’IMA. Un homme transporte une fillette blessée dans un bombardement gouvernemental de Kallaseh, un district de la ville d’Alep, située dans le nord de la Syrie, le 3 juin 2014. LÉGENDES // b. Article enStéphane ligne du Pencréac’h National Geographic. a. L’artiste devant l’une de ses œuvres monumentales. Photo Thierry Rambaud b. « L’Histoire peinte de Stéphane Pencréac’h », Le Monde, le 28 mai 2015, par Philippe Dagen.

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA

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...le parcours thématique du musée est recentré sur la pluralité

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA

Le musée de l’Institut, dirigé par Eric Delpont, a rouvert au public en février 2012 après avoir fait l’objet d’un complet réaménagement, tant dans son propos que dans sa muséographie. Son parcours thématique est recentré sur la pluralité – ethnique, linguistique, confessionnelle, culturelle – du monde arabe tel qu’il se définit aujourd’hui.

Le musée participe aujourd’hui aux manifestations nationales et européennes (Semaine de la science, Nuit européenne des musées, Journées européennes du patrimoine, Nuit blanche) avec une programmation et des animations spécifiques.

LÉGENDE // Performance de Lassaâd Metoui à l’occasion de «La Nuit blanche», le 4 octobre 2014. Création en public d’une calligraphie en triptyque, entrée dans les collections du musée. CRÉDIT : © IMA

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À l’occasion de cette réouverture, le musée a obtenu l’appellation « Musée de France ». Des œuvres contemporaines (Bokja, Nasser Al-Aswadi, Arwa Abouon, Lassaâd Metoui) et anciennes (rare céramique abbasside à décor de lustre polychrome, paire de khabiya marocaines) sont ainsi entrées dans les collections, enrichies également de dons reversés au musée de l’IMA.

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les collections

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LÉGENDES // a. Présentation de la collection d’astrolabes dans le musée. CRÉDIT : Pierre-Olivier Deschamps / VU b. Kilim tunisien avec un bandeau meublé d’une caravane, 2e moitié du XIXe siècle. CRÉDIT : Philippe Maillard c. Nabil Boutros, «Salam», 2004. Triptyque photographique. CRÉDIT : Photo de l’artiste

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Le musée de l’IMA met en valeur toutes les nuances d’une identité et d’une civilisation grâce à des œuvres et des objets rarement mis en regard : archéologie antique et médiévale, art et artisanat, ethnographie, art moderne et contemporain. Les collections de l’Institut sont augmentées de pièces mises en dépôt par des institutions françaises – musées du Louvre et du quai Branly – ainsi que certains musées des pays membres - fondateurs de l’IMA : Arabie Saoudite, Bahreïn, Syrie, Tunisie.

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LÉGENDE // Nouvelle acquisition : Arwa Abouon «I’m sorry, I forgive you» 2012, diptyque. Acquis en 2014 après l’exposition «Hajj, le pèlerinage à La Mecque».

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les acquisitions

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les acquisitions

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LÉGENDES // a. Coran en volume - Iran, XVe siècle, don de la famille Khalili à la présidence de la République française, reversé au musée de l’IMA. b. Coupe abbasside à décor de lustre polychrome - Irak, 1ère moitié du IXe siècle, acquise en 2013. c. Manaf Halbouni, «Le Roi est arrivé» 2014. Béton, bois et velours. L’artiste syrien Manaf Halbouni a récemment fait don au musée de son installation «Le Roi est arrivé». Cette acquisition offre l’opportunité de redonner à voir la collection d’art moderne et contemporain du musée, riche des créations de grandes figures de la scène artistique syrienne. Huit artistes sont ainsi présentés jusqu’en décembre 2015 : Youssef Abdelké, Fateh Al-Moudarres, Ziad Dalloul, Manaf Halbouni, Elias Zayat, Nazir Naba’a, Mustapha Fathi et Marwan. d. Nasser Al Aswadi, «Houb» 2013. Huile sur toile.

Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

L’artiste syrien Manaf Halbouni a récemment fait don au musée de son installation « Le Roi est arrivé ». Cette acquisition offre l’opportunité de redonner à voir la collection d’art moderne et contemporain du musée, riche des créations de grandes figures de la scène artistique syrienne. Huit artistes sont ainsi présentés jusqu’en décembre 2015 : Youssef Abdelké, Fateh Al-Moudarres, Ziad Dalloul, Manaf Halbouni, Elias Zayat, Nazir Naba’a, Mustapha Fathi et Marwan.

CRÉDIT : Fabrice Cateloy © IMA

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LÉGENDE // a. André Miquel, historien en visite au musée, mezzanine lors du vernissage de l'exposition « Paroles de bêtes (à l'usage des princes). Les fables de Kalila et Dimna ». 10 septembre 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les expositions

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Au sein des collections permanentes, le musée dispose dorénavant d’une galerie dédiée à des expositions-dossiers, avec une programmation biannuelle et très diversifiée. Huit expositions ont ainsi été organisées en 2013 - 2015 : « Un art secret, les écritures talismaniques de l’Afrique cde l’Ouest » (14 février - prolongée jusqu’au 18 août) montrait pour la première fois dans toute son ampleur une collection d’amulettes et de talismans, au croisement des mondes arabe et africain, collectée principalement dans la décharge à ordures de Dakar à l’initiative d’Alain Epelboin, un médecin anthropologue attaché au CNRS ;

« Lumières de la sagesse. Écoles médiévales d’Orient et cd’Occident » (25 septembre - 5 janvier), montée en partenariat avec les universités Paris I Panthéon-Sorbonne et Al-Imam à Riyad, explorait quant à elle, la transmission collective des connaissances fondée sur la relation personnelle et étroite entre maître et élève, appuyée sur l’autorité du livre ;

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LÉGENDE // Le banquet de Hârûn al-Rachîd pour la 11ème «Nuit européenne des musées», l’édition 2015 à l’Institut du monde arabe, des étudiants de BTS et bachelor (dans les disciplines ‘‘ Cuisine ’’, ‘‘ Traiteur ’’ et ‘‘ Service ’’) de l’École Ferrandi concevront des ateliers sur le goût, l’odorat et la vue, ainsi qu’un buffet avec une présentation et une dégustation de recettes revisitées des califes abbassides. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les expositions

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« Voués à Ishtar » (13 janvier - prolongée jusqu’au 25 mai) ccélébrait le 80e anniversaire de la découverte par André Parrot de Mari, en Syrie, site pillé depuis 2012. L’exposition a permis la réunion de deux œuvres sculptées majeures partagées entre le musée de Damas et le Louvre depuis leur mise au jour; « Soieries d’al-Andalus » (18 juin - 21 septembre) ctémoignait de l’introduction de la sériciculture en Espagne

après la conquête arabe et de l’excellence des tissages de soie dans les cours musulmanes de la péninsule grâce à la collection de la Fondation Lazaro Galdiano montrée pour la première fois en France;

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À l’occasion de la Nuit européenne des musées, le samedi 16 mai 2015, 2408 visiteurs ont participé au Banquet de Hârûn al Rachîd organisé avec l’école de gastronomie française Ferrandi (Paris), dans le cadre de l’opération « La classe, l’œuvre ! »

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les expositions

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« Desdémone, entre désir et désespoir » c(26 mars - 26 juillet) s’est interrogé sur la transcription en

formes et couleurs des sentiments littéraires. A partir d’un tableau d’Eugène Delacroix inspiré du célèbre drame de Shakespeare, Othello et Desdémone, une sélection d’œuvres modernes (Cézanne, Picasso…) et contemporaines (Adrien Couvrat, Guillaume Bresson…) montraient comment peindre la passion, de l’amour à la jalousie; de bêtes (à l’usage des princes). Les fables de cKalila« Paroles et Dimna » (11 septembre 2015 – 3 janvier 2016), réalisée

LÉGENDES // a. Exposition Desdémone «Entre désir et désespoir» du 26.03 au 26.07.2015. L’installation d’Edwart Vignot autour du tableau d’Eugène Delacroix (et atelier) Othello et Desdémone. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA b. «Paroles de bêtes (à l’usage des princes). Fables de Kalila et Dimna» du 11 septembre 2015 au 3 janvier 2016. Ibn al-Muqaffa «Kalila wa Dimna», Égypte ou Syrie, XIVe siècle : Les chacals Kalila et Dimna en train de converser. CRÉDIT : © BNF c. Article «Desdémone se venge à l’Institut du monde arabe», Le Figaro et vous, le 9 juillet 2015, par Adrien Goetz.

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avec le concours exceptionnel de la Bibliothèque nationale de France introduit la diffusion d’un texte devenu universel par les leçons de vie qu’il donne. Faire parler des animaux permet, sur un mode divertissant, de rappeler à chacun les règles d’une bonne conduite sur le plan individuel, familial et civique. Des manuscrits richement illustrés, des objets, des œuvres contemporaines et des extraits de spectacles témoignent de l’engouement jusqu’à nos jours pour ces fables;

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les expositions

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2015 main » (28 juillet - 4 octobre 2015) est le fruit cd’une« Cousu action culturelle menée pendant neuf mois à la maison d’arrêt pour femmes de Versailles. Une douzaine de détenues volontaires a rejoint un atelier chaque lundi pendant neuf mois. Après des conférences sur le monde arabe et l’art du textile, les femmes ont cousu et ornementé une pochette, un gilet et un caftan pour raconter une ou leur histoire, et en faire une exposition. Epaulées par la styliste Anne-Valérie Hash et la scénographe Alice Geoffroy, chacune a exprimé son imaginaire et retrouvé une part de dignité. L’exposition a quitté la prison à la fin du mois de juillet pour l’Institut du monde arabe où elle a été montrée au public jusqu’au 4 octobre ; la Fondation EDF, mécène de ce projet, et le ministère de la Justice l’accueilleront par la suite.

de bois enrichis de parures du Temps, sont installées au sein des collections permanentes à l’occasion des Journées européennes du patrimoine (19-20 septembre 2015) qui ont pour thème le « Patrimoine du XXIe siècle, une histoire d’avenir ». Ces sculptures racontent une histoire de l’humanité à l’échelle de l’individu et sont montrées pour la première fois au public. Chaque œuvre possède son étui afin de suivre l’homme dans ses errances.

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« Les sculptures nomades de Rodolphe Hammadi » c(19 septembre 2015 - 10 janvier 2016), faites de morceaux

LÉGENDES // a. Vernissage de l’exposition «Cousu main» à l’IMA. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Article du journal Le Parisien

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LÉGENDE // «Mes armes», exposition-atelier de Rodolphe Hammadi, le samedi 9 septembre 2015. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA 92


II. Le nouveau visage du musée de l’IMA Les expositions

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La bibliothèque de l’Institut du monde arabe, bibliothèque de référence sur le monde arabe, sera entièrement rénovée au cours de l’année 2015. Les travaux, financés par le Koweit, permettront de moderniser les équipements, de créer de nouveaux espaces de consultation, d’améliorer le confort de lecture, de diversifier l’offre en faisant la part belle au numérique et à l’audiovisuel, et d’accueillir ainsi un public toujours plus nombreux. Aussi la remise en état de marche des moucharabiehs de la façade de l’IMA constituera un événement majeur pour l’Institut et le paysage architectural parisien.

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LÉGENDE // La bibliothèque de l’IMA en travaux en 2015 et au 1er semestre 2016. CRÉDIT : © IMA

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II. Le nouveau visage du musée de l’IMA La bibliothèque

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Réouverture de La bibliothèque de l’Institut du monde arabe prévue en 2016

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

III. L'IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques

LÉGENDE DU GRAPHIQUE // Un taux d’évolution positif de +160% entre 2012 et 2015 pour les rencontres et les débats de l’IMA, et l’année n’est pas finie… 97


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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

L’Institut du monde arabe est aussi un lieu de réflexion, autant sur l’histoire que sur l’actualité des pays arabes, réunissant régulièrement intellectuels, écrivains, artistes, entrepreneurs, acteurs de la société civile, hommes politiques. Ce programme est placé sous la responsabilité de Mohamed Métalsi, directeur des affaires culturelles de l'IMA. La plupart de ces rencontres sont consultables sur le site internet de l’IMA, et constituent une base de données sur l’état actuel des connaissances relatives au monde arabe, qu’elles soient artistiques, scientifiques, philosophiques, démographiques, économiques ou politiques.

LÉGENDE // Jeudi 1er octobre 2015, débat «Retour du religieux, retour du refoulé ? L’islam face à la psychanalyse» animé par Abdennour Bidar. CRÉDIT : © IMA

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques

III.1. Un forum exceptionnel sur les renouveaux du monde arabe

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Les hasards du calendrier ont fait de cette manifestation un événement fort après l’attentat contre Charlie Hebdo. Le président de la République française François Hollande en ouverture de ce forum, a prononcé un discours contre le terrorisme qui a marqué les esprits. Pendant deux jours (15 et 16 janvier 2015), ce forum a réuni une centaine de personnalités provenant de vingt et un pays du monde arabe, intellectuels, femmes et hommes d’actions, économistes, banquiers, venus s'exprimer sur le renouveau du monde arabe dans les domaines de l’entreprenariat, l’éducation, l’énergie, les villes et la voix des femmes.

LÉGENDE // Session inspiration / Entrepreneuriat CRÉDIT : Thinkers&Doers – Sébastien Calvet © IMA

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques Un forum exceptionnel sur les renouveaux du monde arabe

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LÉGENDES // a. Cérémonie d’ouverture - Auditorium de l’IMA b. Cérémonie d’ouverture avec Fleur Pellerin, François Hollande, Son Excellence Dr Hamad Bin Abdulaziz Al-Kuwari, ministre Qatari de la Culture, des Arts et du Patrimoine, Gilles Kepel, docteur en sociologie, politologue et spécialiste de l’islam et du monde arabe contemporain, professeur des universités à Sciences Po Paris. c. Cérémonie de clôture avec Salem Massalha, co-fondateur de Bassita, Pascal Boniface, Jacques Attali, Omran Al Kuwari, Peter Zemsky, Didier Pourquery. d. (Dans l’ordre) Hissa Al Dhaheri, Le Louvre Abu Dhabi programme manager – Abu Dhabi Tourism and Culture Authority, H.E. ; Sheikha Maissa Al Qassimi, Guggenheim Abu Dhabi programme manager – Abu Dhabi Tourism and Culture Authority ; Salama Al Shamsi, Zayed National Museum programme manager- Abu Dhabi Tourism and Culture Authority ; Virginie Sassoon, member of the XXI Century Club, doctor in Communication Sciences, joint expert Panos Europe Institute ; Sylvie Gleises, general director France, Benelux & Middle East - Axa Art ; Alexandre Kazerouni, researcher and professor - Sciences Po, Paris. CRÉDIT : Thinkers&Doers – Sébastien Calvet © IMA e. Conférence sur la réhabilitation des cimetières juifs au Maroc avec Mr Ahmed Taoufiq, ministre des Habous et des Affaires Islamiques CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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LÉGENDES // a. Colloque «Maroc pluriel», le 30 janvier 2015. b. Journée sur le judaïsme marocain. «Le Judaïsme du Maroc : les lectures plurielles d’une histoire.» avec Ariel Danan, directeur adjoint de la bibliothèque de l’Alliance Israélite Universelle et historien ; Gad Ibgui de l’Espace Culturel et Universitaire Juif d’Europe du Centre Communautaire de Paris et Mohammed Kenbib, professeur, Université Mohammed V de Rabat. c. «Le patrimoine syrien en péril», colloque organisé en partenariat avec le musée du Louvre, le 30 avril 2014, avec Cheikhmous Ali, Sophie Cluzan, Jack Lang, François Zabbal, Michel al-Maqdissi et Jacques Montluçon. Allocution de Jack Lang, président de l’IMA. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques Un forum exceptionnel sur les renouveaux du monde arabe

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques

III.2.

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Les premiers Rendez-vous de l’Histoire du monde arabe / La ville, 1ère édition

Le commissariat était assuré par Francis Chevrier et la coordination générale par Maati Kabbal.


LÉGENDE // Les Rendez-vous de l’Histoire du monde arabe du 5 au 7 juin, «Villes en révolution». Débat : Delphine Pagès-El Karoui, Mona Abaza, Hela Ammar, Gilles Gauthier. Modérateur : Abdennour Bidar. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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En collaboration avec les Rendez-vous de l'Histoire de Blois, l’Institut du monde arabe a organisé les premiers Rendez-vous de l’Histoire du monde arabe du 5 au 7 juin 2015 ouverts au public et gratuits sur le thème de « la ville ». Spécialistes, universitaires, chercheurs, artistes, intellectuels français, européens et arabes, se retrouveront désormais chaque année pendant trois jours à l'IMA, pour faire partager dans un esprit d'échange, de dialogue et d'ouverture leur connaissance de la très riche et passionnante Histoire du monde arabe et de son apport à la grande épopée de l'humanité. Une cinquantaine de rendez-vous ont été proposés pour cette première édition : Villes arabes en révolution ; Les parcs et jardins dans le monde arabe ; Ces villes que l’on massacre ; Bagdad, le rêve et la guerre ; L’architecture coloniale en Algérie ; Rencontre avec Alaa El Aswany sur Le Caire…

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LÉGENDES // a. Visuels extraits de la brochure «Les Rendez-vous de l’Histoire du Monde arabe». b. Les Rendez-vous de l’Histoire du monde arabe, première édition, dimanche 7 juin 2015. «Regards contemporains sur l’architecture coloniale en Algérie». De gauche à droite : Modératrice : Mercedes Volait, directrice de recherche au CNRS, directrice du laboratoire InVisu ; Nabila Chérif, enseignant-chercheur, École polytechnique d’architecture et d’Urbanisme, Alger ; Boussad Aiche, enseignant chercheur, département d’architecture, Université Mouloud Mammeri ; Sami Boufassa, enseignant chercheur, département d’architecture, Université A. Mira ; Claudine Piaton, architecte et urbaniste de l’État, laboratoire inVisu (CNRS- INHA). CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques Les premiers rendez-vous de l’histoire du monde arabe

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LÉGENDES // a. «Existe-t-il un humanisme arabe ?» b. «Bagdad, le rêve et la guerre.», intervenants : Gabriel Martinez-Gros, Vanessa Van Renterghem, Caecilia Pieri, Françoise Micheau ; modératrice : Valérie Hannin. c. Exposition photos en 3D. d. «Les Arabes au XIXème siècle : une invention française ?», intervenants : Henry Laurens et Jean-Noël Jeanneney. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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Un rendez-vous marquant :

« Chiites / Sunnites : une nouvelle guerre de 30 ans ? » en compagnie de Pierre-Jean Luizart (chercheur au CNRS, historien spécialiste du Moyen-Orient, auteur de plusieurs ouvrages sur l’Irak), Bernard Haykel (professeur à Princeton University, historien spécialisé dans les régions du MoyenOrient, du Maghreb et de l’Asie centrale) et Hosham Dawod (anthropologue, ingénieur de recherche au CNRS, responsable de l’antenne de l’Ifpo en Irak). La grande reporter de L’OBS, Sara Daniel animait cette rencontre.

En partenariat avec :

L’OBS, Le Monde, l’Histoire, Le Monde des Religions, TV5 Monde, France Culture, Le Courrier de l’Atlas, MCD, Radio Orient et France 24.

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques

III.3. Les Jeudis de l’IMA

...l’islamophobie, la laïcité et la citoyenneté, la situation des chrétiens d’Orient, les nouveaux migrants, la problématique du corps dans l’espace méditerranéen, la poésie et les arts, l’orientalisme

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Conçu et animé par Maati Kabbal, un florilège de thématiques abordées en 2013- 2014 : la situation après les printemps arabes, la marche des Beurs, l’islamophobie, la laïcité et la citoyenneté, la situation des chrétiens d’Orient, les nouveaux migrants, la problématique du corps dans l’espace méditerranéen, la poésie et les arts, l’orientalisme. Par ailleurs, dans le cadre d’un nouveau cycle de conférences « les Grandes figures » Pascal Boniface, Gilles Kepel, Jean-Pierre Chevènement, Edgar Morin, Henry Laurens, Yves Bonnefoy, Pierre Rabhi, Plantu ont été invitées à parler de leurs œuvres, en lien avec le monde arabe.

LÉGENDE // «Stéphane Hessel, un an aprés» le 27 février 2014, Michel Rocard à la tribune. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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b Les thèmes abordés autour de l’exposition « Le Maroc Contemporain » : « Enjeux et défis des médias au Maroc » en partenariat avec TelQuel, Al Akhbar, BM et TV2M ;

« Les droits de l'Homme au Maroc » , « Dynamiques constitutionnelles au Maroc et en Tunisie » et « Maroc : Femmes leaders, femmes en mouvement » en partenariat avec le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) ; « L'esprit de Fès » avec Patrick Viveret, Faouzi Skali, Katia Légeret, Leili Anvar et Abderrahim Hafidi ; « Maroc : La création artistique au féminin » avec Majida Khattari, Rita Alaoui, Fatiha Zemmouri, Ikram Kabbaj et Syham Weigant ; « Maroc : Quelle relève romanesque ? » avec Mohamed Nédali, Hanane Derkaoui, Hayat El Yamani, Saïd El Haji et Abdelkader Benali ; « Journées d'études autour du judaïme marocain : Essaouira » avec André Azoulay ; « Réhabiliter les cimetières juifs au Maroc » avec Serge Berdugo ; « La bande dessinée et la littérature jeunesse au Maroc et au Maghreb » ; « Mohamed Berrada, entre Machrek, Maghreb et Occident » avec Youssel Fadel, Mohamed Dahi, Abdelahad Sebti, Fouad Laroui, Habib Selmi et Nadine Decendre ; « Femmes marocaines : vers la parité ? » avec Latifa El Boushini, Rahma Bourquia, Rabéa Naciri, Nouzha Guessous et Amina Ennceiri. Par ailleurs, les Grandes figures Abdellatif Laâbi et Pierre Bergé (Interviewé par Frédéric Mitterrand) sont venues apporter leur témoignage.

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En novembre 2014, un hommage spécial a été rendu à l’écrivain, poète et animateur de radio franco-tunisien Abdelwahab Meddeb, en présence de la ministre de l’Éducation Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Najat Vallaud Belkacem, du directeur de France culture, Olivier Poivre d’Arvor et de Jack Lang. Un public très nombreux s’était déplacé. Tous n’ont pu être accueilli dans l’auditorium.

LÉGENDES // a. Séance du 18 septembre 2014, «Pour les musulmans» avec Edwy Plenel, Denis Sieffert et Elias Sanbar. b. La chanteuse palestino japonaise Mariam Tamani accompagnée au piano par Dubko Georgiy. «La poésie dialogue avec les arts», le 9 mars 2014. c. «Islam, islamisme (s) et Occident», dialogue entre Alain Gresh (journaliste) et Tariq Ramadan (universitaire islamologue), samedi 14 juin, séance animée par Chloé Fraisse-Bonnaud (directrice adjointe de l’iReMMO). CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA d. Danse gnaoua. CRÉDIT : © IMA

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Le patrimoine chrétien en Orient constitue un témoin irremplaçable de la diversité des cultures au Proche et au Moyen-Orient.

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L’Œuvre d’Orient, association de soutien aux chrétiens d’Orient, souhaite agir pour faire connaître et conserver ce patrimoine et sa grande variété matérielle et immatérielle : architecture, sites archéologiques, langues, fonds d’archives, icônes, musiques… Pour la deuxième édition (le 15 avril 2015), à l’heure où Mgr Gollnisch, le directeur général de l’Œuvre d’Orient, dénonce un « crime culturel contre l’humanité », de nombreuses initiatives ont lieu pour préserver et entretenir ce patrimoine. La rencontre animée par Sébastien de Courtois (Écrivain, historien et journaliste à France Culture, spécialiste du christianisme oriental) a réuni Patrick Blanc (Directeur de l’atelier de conservation et de restauration du Musée départemental Arles antique), Alain Desreumaux (Directeur de recherche au CNRS, président de la Société d’études syriaques) ; Christian Darles (Architecte-archéologue, professeur émérite à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse), Christian Robin (Membre de l’Institut, CNRS), Anatidé Terminassian (Maître de conférences émérite de l’Université de Paris I - Sorbonne), Frère Najee Michael (Dominicain, fondateur du Centre numérique des Manuscrits orientaux).

LÉGENDES // a. Introduction de Mgr Pascal Gollnisch, directeur général de l’Œuvre d’Orient. b. «Patrimoine des chrétiens d’Orient» en partenariat avec l’Œuvre d’Orient, le 15 avril, avec Patrick Blanc, directeur de l’atelier de conservation et de restauration du Musée départemental Arles antique ; Alain Desreumaux, directeur de recherche au CNRS, président de la Société d’études syriaques ; Christian Darles, architecte-archéologue, professeur émérite à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse ; Christian Robin, membre de l’Institut CNRS ; Anahide Terminassian, maître de conférences émérite de l’Université de Paris I - Sorbonne ; Frère Najeeb Michael, O.P. , dominicain, fondateur du Centre numérique des manuscrits orientaux. Rencontre animée par Sébastien de Courtois, écrivain, historien et journaliste à France Culture.

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Quelques moments forts autour de l’exposition « Hip-Hop, du Bronx aux rues arabes » : La rencontre avec l’artiste graffeur américain Jon One, les deux Jeudis de l’IMA « Rap et liberté d’expression » et « Regarde ta jeunesse dans les yeux : l’histoire du Hip-Hop français » dans le cadre du festival Paris Hip-Hop, la rencontre entre l’éducation artistique et culturelle et le sport scolaire organisée à l’initiative du service régional de l’UNSS Versailles et de la DAAC (Rectorat de Versailles) et les battles improvisées des collégiens et des lycées sur le parvis de l’IMA ; sans oublier, les performances du Trio Joubran et de DAM dans le cadre du festival Palest’In & Out !

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques Les Jeudis de l’IMA

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LÉGENDES // a. Livre en Lien avec L’exposition : «Regarde ta jeunesse dans les yeux» de Dee Nasty & Vincent Piolet (2015). b. Battles improvisées des collégiens et des lycées sur le parvis de l’IMA. IMA, juillet 2015. CRÉDIT : © IMA

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Salle comble pour les rencontres philosophiques sur l’islam, en partenariat avec France Culture. Le philosophe Abdennour Bidar a la charge de conduire tout au long de la saison 2015-2016 une série de «Rencontres philosophiques sur l’Islam» et d’analyser la complexité de cette religion avec rigueur et sans raccourcis. À chaque rendez-vous mensuel, le philosophe choisit de dialoguer avec une discipline donnée - la psychanalyse, la sociologie, la théologie, la géopolitique, entre autres- dont il invite deux ou trois spécialistes reconnus, pour que progressivement soient interrogés et passés en revue, de façon critique et créatrice, tous les grands débats qui agitent aujourd’hui les esprits autour de la civilisation et de la religion islamiques...

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LÉGENDE // Les Jeudi de l’IMA, Christian Jacq, le 15 octobre 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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Trois jeudis en lien avec l’exposition «Osiris, Mystères engloutis d’Egypte» ont marqué les esprits :

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« Christian Jacq raconte la grande aventure d’Osiris. Osiris et la pyramide. »,le jeudi 15 octobre 2015, l’écrivain Christian Jacq, connu pour ses célèbres fresques historiques sur l’Égypte ancienne, a introduit les mystères de la déesse Osiris entre architecture et textes, affirmant la victoire de l’amour sur la mort... Débat animé par Catherine Fruchon-Toussaint, journaliste à RFI. « Les mystères engloutis d’Osiris : histoire d’un mythe, genèse d’une exposition. », avec Franck Goddio, Martine ThomasBourgneuf, Nicolas Groulx et Sylvain Rocca. « Trois sites engloutis d’Egypte liés par l’histoire et la géographie : Thônis-Héracléion, Canope et le portus magnus d’Alexandrie. », avec Franck Goddio.

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques

III.4. Le Café littéraire du mercredi

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Tourné vers l’actualité éditoriale, Le Café littéraire, animé par François Zabbal, reçoit le mercredi, un ou plusieurs auteurs pour des entretiens à bâtons rompus sur le thème de leurs ouvrages ; romans, récits de voyage, essais politiques ou livres d’art, au rythme de deux rencontres par mois. Dans une ambiance cordiale, l’auditoire peut échanger directement avec l’auteur qui expose ses idées et sa démarche littéraire. Une trentaine de rendez-vous ont été organisés entre 2013 et 2015. Les rendez-vous les plus récents :

LÉGENDE // Le Café littéraire reçoit Philippe Sénac pour parler de son livre «Charlemagne et Mahomet. En Espagne (VIIIe - IXe siècles)» Mercredi 23 septembre 2015. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA

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Jacques Frémeaux, « La question d’Orient » (éd. Fayard) ; François Pouillon, « Anthropologie des petites choses » (éd. Le bord de l’eau) ; Zeina Toutounji, pour l’ouvrage de son grand père Youssef Awad « Le Pain » (éd. Actes Sud) et Mercedes Volait, « L’Univers à Paris : Un lettré égyptien à l’Exposition universelle de 1900 » (éd. Norma). Philippe Denac « Charlemagne et Mahomet » (Folio/Gallimard, 2015), le 23/9 ; Makram Abbès « L’Ethique du Prince » (éd. Les Belles Lettres, 2015), le 7/10 ; Jeanne Favret-Saada « Comment produire une crise mondiale avec douze petits dessins » (éd. Fayard, 2016), le 14/10 ; Tobie Nathan « Ce pays qui te ressemble » (éd. Stock 2015), le 18/11 ; Dominique Casajus « L’Alphabet touareg » (CNRS éditions, 2015), le 25/11 ; Najwa Barakat « La Langue du secret » (éd. Actes Sud, 2015).

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques

III.5. Les Petits déjeuners économiques

L’IMA, animé par la volonté de renforcer les liens entre les acteurs économiques français, européens et arabes, a lancé en 2013 un nouveau rendez-vous trimestriel : les Petits déjeuners économiques du monde arabe, organisés par Adèle Parilla, en partenariat avec l’ESCP Europe. Ces rencontres se présentent sous la forme de tables rondes composées de chefs d’entreprises français et arabes invités à partager leurs visions relatives aux grands enjeux économiques.

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LÉGENDES // a. «Le rôle des banques dans le financement du développement des pays arabes» avec Jean-Marc Daniel, économiste et professeur associé à ESCP Europe, Thierry Simon, responsable relations clients et réseau international de Crédit Agricole - CIB (France) et administrateur de Saudi Fransi (Arabie Saoudite) et Fadi Halout, directeur général France de la National Bank of Abu Dhabi (Émirats Arabes Unis). b. «Le développement urbain dans le monde arabe», Petit déjeuner économique du 17 mars 2015, avec Mazen Al Sawwaf, vice-chairman de Global Investment ; Bruno Hervet, vice-président exécutif, Smart and Sustainable Cities, Suez Environnement ; Serge Michel, rédacteur en chef de Monde Afrique ; Charbel Aoun, président Smart Cities chez Schneider Electric ; Fouad Awada, directeur général adjoint de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme Ile de France.

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LÉGENDE // «Le rôle de l’interculturalité dans les échanges économiques avec le monde arabe» était le dernier thème du Petit déjeuner économique, le 2 juin 2015, avec Ingie Chalhoub, présidente-directrice générale du Groupe Étoile et directrice artistique d’Ingie Paris ; Hakim El Karoui, partner chez Roland Berger Strategy Consultants ; Mohamed Jaidah, directeur général de Jaidah Group et Morgan Marchand, consultant et formateur en management international chez Sherpa Formation. Débat animé par Eric Chol, directeur de la rédaction de Courrier international. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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III. L’IMA : un think-tank mêlant débats, colloques, conférences et petits déjeuners économiques Les Petits déjeuners économiques

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La thématique du premier rendez-vous en novembre 2013 : « Le monde arabe dans l’économie numérique et le rôle des télécommunications dans la croissance à venir ».

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes

IV.1. CinĂŠma

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L’activité cinématographique a repris en 2013, sous la responsabilité de Layane Chawaf, après une interruption de quatre ans. En 2014, l’IMA a ainsi organisé le 1er Festival des Films du Golfe et un Festival de nouveau cinéma marocain, CinéMaroc, dans le cadre de l’exposition « Maroc contemporain ».

LÉGENDE // «Mariage Blues», «Rock'n Bled», «Le Prix de la Fiancée», trilogie de Touria Benzari, lundi 9 février 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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En 2015, avec l’exposition « Osiris, mystères engloutis d’Égypte », une semaine a été dédiée au nouveau cinéma égyptien en octobre. Et en décembre, plusieurs courts métrages égyptiens seront présentés dans le cadre du « Jour le plus court ».

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LÉGENDES // a. Khadija Al Salami, Jack Lang et Christine Taubira après la projection de l'avant-première «Moi Nojoom,10 ans Divorcée» du 8 juin 2015 de la réalisatrice yémenite Khadija Al Salami. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Retombées presse sur le film «Moi Nojoom, 10 ans Divorcée» sur la presse en ligne, france24.com.


IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Cinéma

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La projection en avant-première de films inédits, ou d’autres, récompensés par les professionnels se poursuivra, permettant au public de découvrir la diversité cinématographique du monde arabe. Outre sa programmation propre, l’IMA donne une visibilité aux autres festivals de cinéma arabe. Il reçoit ainsi, en partenariat, le Festival du Film Franco-Arabe de Noisy-le-Sec, le Panorama des Cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient et le Festival Ciné-Palestine. Et une programmation commune est mise en place avec le Festival International du Film de Dubaï et la salle de cinéma cairote Zawya.

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Cinéma

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Parmi les événements les plus marquants :

c le 1er juin 2015 : Un hommage a été rendu à la réalisatrice égyptienne

Asma El-Bakry, en présence de Gilles Kepel, Marianne Khoury, Kénizé Mourad, Mercedes Volait. Cet hommage nous a permis de découvrir son franc-parler et nous a dévoilé pleins de petits moments de sa vie, sur fond de photos personnelles. Amira Selim, une jeune chanteuse lyrique égyptienne, lui a rendu hommage à sa façon.

c le 8 juin 2015 : Avant-première de « Moi Nojoom, 10 ans divorcée »

LÉGENDES // a. Le 1er juin 2015, «Hommage spécial à la réalisatrice égyptienne Asma El Bakri» avec Gilles Kepel, Marianne Khoury, Kénizé Mourad, Mercedes Volait, Robert Solé et Gilles Gauthier. b. Boushra Almutawakel, photographe Yéménite à l’avant-première de «Moi Nojoom, 10 ans divorcée» devant ses oeuvres.

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de la Yéménite Khadija Al Salami, Prix du meilleur film au Festival International du Film de Dubaï 2014, en présence de la réalisatrice et de la garde des Sceaux, Christiane Taubira. Ce film, tourné dans la clandestinité, retrace l’histoire d’une fillette mariée de force par son père. le 17 juin 2015 : Remise des prix du concours des documentaires courts, « Filme ton quartier », en présence du réalisateur et scénariste français Laurent Cantet. Coproduit par France 3, France TV - Nouvelles Écritures et la Fondation France Télévisions. « Filme ton quartier » est la première édition d’une plate-forme créative permettant à de jeunes auteurs amateurs ou professionnels de prendre la parole et transmettre leurs propres visions de leurs villes, leurs villages ou leurs quartiers au plus grand nombre. Le prix de la Fondation France Télévision a été attribué à Ingha Mago (Ile-de-France) pour « Dissimulée ».

CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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a LÉGENDES // a. La réalisatrice Aïten Amin et l’acteur Khaled Abol Naga à la projection du film «Villa 69» d’Aïten Amin, le 9 octobre 2015. b. Le président est photographié avec le réalisateur Amir Ramsès des documentaires : «Juifs d’Égypte» et «Juifs d’Égypte, la fin du voyage». Samedi 10 octobre 2015. c. La réalisatrice du film «Histoires vivantes» Maggie Morgan et Ahmed Khaled réalisateur du court métrage «Sucre blanc», le 11 octobre 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Cinéma

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Les films de l’IMA à l’heure de l’Égypte du 9 au 13 octobre 2015 : Six films égyptiens récents ont été diffusés dans l’auditorium de l’IMA : c Villa 69 de Ayten Amin, 2013, fiction, 109’ c Juifs d’Égypte de Amir Ramsès (parties I et II), 2012 / 14, documentaire, 152’ c Sucre blanc de Ahmed Khaled, 2014, fiction, 13’ c Histoires vivantes de Maggie Morgan, 2007, fiction, 54’ c Asham de Maggie Morgan, 2012, fiction, 90’ c Hommage à Nour El-Shérif, À l’heure du Caire de Amir Ramsès, 2014, fiction, 115’

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LÉGENDES // a. Éric Cantona à la projection du film «Looking for Alger». b. Soirée cinéma du 2 novembre, le président est photographié avec (de gauche à droite) Éric Cantona, le réalisateur Théo Schuster, Jean-Marie Cantona, Joël Cantona et Amar Bendjama, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire d’Algérie en France. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Cinéma

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Lundi 2 novembre 2015 à 20h, documentaire « Looking for Alger » d’Éric Cantona. Il s’agit d’un voyage au cœur de la capitale algérienne à travers le football et la rivalité opposant depuis des décennies deux clubs prestigieux d’Alger.

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes

IV.2. Un festival permanent de musiques et de danses

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Programme conçu par l’ancien directeur des actions culturelles de l’IMA, Mohamed Métalsi.


Quelques moments forts autour de l’exposition « Le Maroc Contemporain » : De jeunes violonistes invités dans une des masters classes de Renaud Capuçon en décembre 2014; Le groupe phare de la scène algérienne Babylone devant une salle comble; « la nouba flamenca » avec l’Orchestre de Tétouan; La performance incroyable de la troupe de Bouchra Ouizguen. Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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LÉGENDE // «Les chants de Mazagan», chorégraphe Lahcen Zinoun. Auditorium Rafik Hariri - IMA, vendredi 23 janvier 2015. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA 141


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IV . Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Un festival permanent de musiques et de danses

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LÉGENDES // a. Les rendez-vous de la danse à l’IMA. b. L'Éternel Abdel Halim Hafe avec l’ensemble El Ouns, vendredi 20 mars 2015.

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L’IMA a accueilli d’autres événements exceptionnels liés aux musiques actuelles : les soirées électroniques Arabic Sound System créées par l’IMA et Pluriacts; le Weather Festival (3ème édition introduite par la projection du film de Jacqueline Caux « Man from tomorrow », en présence de Jeff Mills, l’un des pionniers de la musique électro); la Fête de la musique mêlant influences nord-africaines et orientales avec des sonorités danse, transe, pop, rock, soul, rap et electro; une soirée off du Festival les Dunes électroniques à Tozar et Nafta (2ème édition, février 2015) a également eu lieu à l’Institut fin novembre 2014.

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CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA c. «Voix interdites» d’Ahmed Essyad avec l’ensemble de musique de chambre L’Instant Donné, samedi 28 février 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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IV . Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Un festival permanent de musiques et de danses

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Le cycle de musiques « Egypte mix » en lien avec l’exposition « Osiris, mystères engloutis d’Égypte » viendra accompagner les nouvelles scènes du Maghreb et du Proche-Orient qui seront mises à l’honneur pour cette nouvelle saison 2015 - 2016 entre autres surprises… Autres thèmes au programme : « Des voix et des femmes », « Souvenirs d’Andalousie », « Sur la voie des maîtres, de Bagdad à Alep »…

LÉGENDES // a. «Le Weather Festival» le 6 juin 2014. Parvis de l'IMA. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Concert Arabic Saound System. CRÉDIT : © IMA c. Mohamed Abozekry. CRÉDIT : © Sylvain Gripoix

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LÉGENDES // a. Fête de la musique, S1-Bioz : résolument dance. d. Concert Maroc(k) and roll, Groupe Hoba Hoba Spirit, le 24 janvier 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

b LÉGENDES // b. Les femmes de Chefchaouen avec l’ensemble Rhoum el Bakkali. Auditorium Rafik Hariri, IMA, vendredi 6 mars 2015. c. L’Éternel Abdel Halim Hafe avec l’ensemble El Ouns, le 20 mars 2015. e. Le groupe Mazagan avec Jack Lang, le 13 décembre 2014. Auditorium, IMA. f. SiSimo «À la croisée du rock et du rap», le 20 février 2015, Auditorium Rafik Hariri. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA

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Les rendez-vous de la danse mettront en lumière quelques aspects de la chorégraphie classique et moderne du flamenco, sans oublier les différents spectacles de la danse orientale à la danse traditionnelle du Maghreb b LÉGENDES // a. Hesham Essam & Ali Khattab. CRÉDIT : © DR b. Sabri Moudallal. CRÉDIT : © Christine Delpal c. Compagnie Almas. CRÉDIT : © Seb JAWO Photographies d. «Nouba de femmes», chorégraphie de Saâdia Souyah. CRÉDIT : © DR

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IV . Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Un festival permanent de musiques et de danses

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IV . Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Un festival permanent de musiques et de danses

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LÉGENDES // a. Fête de la musique 2015. Rabah (Groupe de Rap). b. Le président de la République François Hollande a salué la foule présente sur le parvis de l’IMA pour clôturer la Fête de la musique en beauté, pour la 2ème année consécutive. c. Leïla - Chanson tunisienne et orientale à la Fête de la musique 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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LÉGENDES // a. Mohammed Hasan Alwan est né à Riyad en 1979 et vit aujourd’hui à Ottawa. Outre un recueil de nouvelles et un essai sur l’émigration, il a publié quatre romans : «Saqf alKifâya» 2002, «Sophia» 2004, «Tawq at-tahâra» 2007 et «Al-Qundus (Le castor)» 2011. Tous parus chez Dar Al-Saqi à Beyrouth. «Le castor», qui est le dernier en date, et le premier à être traduit en français, lui a valu de figurer en 2013 parmi les six finalistes du Prix international de la fiction arabe. « Ce prix témoigne de la façon dont la littérature s’affranchit des frontières... ». b. Le Jury a également attribué une ‘mention spéciale’ (dotée de 5000 €) à Ali Al-Muqri pour son ouvrage «Femme interdite» (Mars 2015 - Éditions Liana Levi). Traduit de l’arabe (Yémen) par Khaled Osman et Ola Mehanna. Ali Al-Muqri, né en 1966 à Taizz, vit à Sanaa au Yémen. Il est l’auteur de nombreux articles parus dans les journaux progressistes, d’un essai remarqué sur l’alcool et l’islam et de trois romans. c. Le président de la République François Hollande entouré de la Palestinienne Bushra Awad et l’Israélienne Robi Damelin. Rencontre pour la Paix : À l’occasion de la sortie du livre «Nos larmes ont la même couleur» de Bushra Awad et Robi Damelin, qui a été présenté à l’IMA le 14 octobre 2015. Modérateur : Jean-Claude Petit, journaliste et président du réseau Chrétiens de la Méditerranée. CRÉDIT : © Présidence de la République

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IV . Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Des partenariats audacieux

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Deux prix prestigieux pour la création artistique contemporaine dans les pays du monde arabe

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Le Prix de la littérature arabe (3e édition), créé par l’Institut du monde arabe et la Fondation JeanLuc Lagardère, a été remis, le 14 octobre 2015, à Mohammed Hasan Alwan pour son roman Le castor (Seuil / Février 2015), à l’occasion d’une cérémonie à l’Institut du monde arabe. Le jury a également attribué une mention spéciale à Ali Al-Muqri pour son ouvrage Femme interdite (Liana Levi / Mars 2015).

La Société des Amis de l’IMA et l’Institut du monde arabe lancent pour la première fois Le Prix SAIMA pour la création contemporaine arabe. La 1ère édition est consacrée à l’écologie et au développement durable dans les villes arabes. Ces deux thèmes font écho à la prochaine exposition événement « Jardins d’Orient » qui sera inaugurée en avril 2016 à l’IMA. En partenariat avec :

France Médias Monde, le Ministère de la Culture, Art Absolument et Connaissance des Arts.

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes

IV.3. L’IMA hors les murs

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Itinérance de « L’Âge d’or des Sciences Arabes »

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La Sorbonne Abou Dhabi a présenté cette exposition dans son atrium : Lieu de passage obligatoire du site, grâce au soutien des mécènes historiques de l’IMA à savoir la Fondation d’entreprise Total et le Groupe Casino, mais aussi, grâce à de nouveaux partenaires, Amundi et Airbus Group. L’exposition a été inaugurée par le sheikh Nahyan Bin Mubarak Al-Nahyan, ministre de la Culture, de la Jeunesse et du Développement social des Émirats Arabes Unis, le président de l’IMA M. Jack Lang, le président de la Sorbonne M. Jobert, ainsi que le vice-chancelier de la Sorbonne Abou Dhabi M. Fouache. Elle a connu une très large couverture médiatique grâce à la présence de ces importantes personnalités.

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Après avoir été déjà présentée dans sept villes différentes, aussi bien en France que dans le monde arabe, cette exposition a été successivement montée dans les locaux de l’antenne de l’IMA dans la région Nord-pas-de-Calais, à Tourcoing, puis à la Sorbonne Abu Dhabi. Le parcours s’organise en trois thématiques permettant de balayer l’ensemble des disciplines scientifiques développées dans le monde arabe entre le VIIIe et le XVe siècle. Des panneaux signalétiques, maquettes, vidéos, fac-simile bilingues franco-arabes organisent ce parcours. Pour l'antenne IMA Nord-pas-de-Calais, des oeuvres originales issues de la collection permanente de l’IMA (art islamique et art contemporain) complétaient la présentation.

LÉGENDE // CRÉDIT : © S.D 155


L'IMA en région Nord-pas-de-Calais

L’IMA est présent en région Nord-pas-de-Calais depuis 2011, et une antenne de l’IMA a été inaugurée à Tourcoing fin 2012. Depuis, une programmation riche et pluridisciplinaire a été mise en place, au sein même de l’antenne de l’IMA, ou en lien avec de nombreuses structures partenaires de la région parmi lesquelles, le musée de la Piscine de Roubaix, le Grand Mix de Tourcoing, l’université de Lille 1, le conservatoire de Roubaix ou encore La Condition Publique. Expositions, concerts, débats, cours de langue arabe, ateliers éducatifs, c’est un public de plus en plus nombreux et fidèle qui vient découvrir toutes les facettes de l’IMA en région Nord-pas-de-Calais.

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Quelques temps forts depuis 2012 : c L’exposition « Un art secret » dans les locaux de l’antenne de l’IMA ; c Le Trio Joubran au Stubnitz à Dunkerque ; c Les ateliers « Contes des Mille et Une Nuits » ; c « Kithara » à l’Église de Landrecies ; c « Dont’panik » avec le rappeur Médine et c La rencontre avec le chercheur Pascal Boniface au Grand Mix à Tourcoing.

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes L’IMA hors les murs

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LÉGENDES // a. Article «Tourcoing et la métropole» dans La voix du Nord b. L’IMA investira, dès le mois de septembre 2016, l’ancienne école de natation de la Cité du Broutteux dans la région Nord-pas-de-Calais. Vue de l’intérieur. CRÉDIT : Emmanuel Ducoulombier

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3 SEPT 15 Date : 17/2 cle : p.35 rti Page de l'a

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ARABE DU MONDE LINSTITUT EATOURCOING S'ENRACIN , Le 22 septembre ir s élu la c les é Nord cuter de réuniront pour dis tourquennois se ne de l'Institut du monde en nt l'avenir de l'a artier de tallée dans le qu arabe (IMA), ins ans. Un groupement is tro l'Union depuis être signé pour que l'IMA ne d'intérêt public va antenne et surtout qu'il ple soit plus une sim e-ville. En 2012, l'IMA ntr ce en le tal ns tif de s'i n avec pour objec s'installe à l'Unio Paris, le dialogue des à prôner, comme fait sens à Tourcoing e civilisations. L'idé , mais c'est une première. aix comme à Roub s et responsables de l'IMA , élu Avec prudence ne phase de préfiguration. décident alors d'u niel Percheron, le président Da Et si ça marche, néral, promet des travaux. gé (PS) du conseil 2014, si tout le monde est Oui mais voilà, en que la phase de e d'accord pour dir un succès, pour poursuivre préfiguration a été besoin de plus de visibilité, a son projet, l'IMA ger. Après quèlques na et donc de démé A va déménager dans ) l'IM soubresauts, (... natation de la rue de ole éc ne ien nc l'a Tourcoing. ns le centre de Gabriel-Péri, da

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3 SEPT Date : 17/2 cle : p rti Page de l'a LÉGENDES // a. Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe lors du Conseil Municipal extraordinaire de création du Groupement d’Intérêt Public de l’antenne régionale de l’Institut du monde arabe à Tourcoing, le 22 septembre 2015. b. L’IMA investira, dès le mois de septembre 2016, l’ancienne école de natation de la Cité du Broutteux dans la région Nord-pas-deCalais. Vue de l’extérieur. CRÉDIT : © Emmanuel Ducoulombier c. Article dans l’Humanité


IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes L’IMA hors les murs

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L’IMA se métamorphose à Tourcoing

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Le mardi 22 septembre, l’Institut du monde arabe a marqué son enracinement à Tourcoing sur le long terme. Les Tourquennois et l’ensemble des habitants de la Région Nord-pas-de-Calais pourront profiter d’un équipement exceptionnel et découvrir le monde arabe dans toute sa diversité très prochainement. L’IMA investira dès le mois de septembre 2016 l’ancienne école de natation de la Cité du Broutteux, bâtiment remarquable et historique du centre-ville qui sera réhabilité spécialement pour accueillir toutes les activités de l’établissement.

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LÉGENDE // Vernissage de l’exposition-spectacle «Oum Kalsoum» à Montpellier. CRÉDIT : Samuel Duplaix

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Hommage à Oum Kalsoum 17 mai 2015 - 30 juin 2015

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En guise d'introduction à l'exposition,

Kawkab El Sharq, un superbe ensemble qui réunit les meilleurs musiciens de l'Orchestre de l'Opéra du Caire, est venu spécialement pour marquer le 40e anniversaire du décès de la cantatrice égyptienne à l'Opéra-Comédie à Montpellier.

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Dans le cadre du Festival Arabesques 2015, une exposition était consacrée à la « Dame » d’exception égyptienne, Oum Kalsoum, dont le chant a rayonné sur le monde arabe et au-delà tout au long du XXe siècle. L’Institut du monde arabe a célébré sa mémoire du 17 juin au 2 novembre 2015 à Montpellier, via des photographies, des séquences sonores et audiovisuelles, des documents, des objets, des costumes. Des œuvres de plasticiens contemporains – dans lesquelles son image est récurrente –, étaient également présentées aux yeux du public : Sarah Baydoun, Jihan Ammar, Albert Antoun et Katia Boyadjian, Dodi Tabbaa, Jiri Votruba, et bien d’autres se sont prêtés au jeu de l’interview pour accompagner leurs œuvres, partager leur amour pour Oum Kalsoum avec les visiteurs et ainsi expliciter leurs démarches individuelles.

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IV.4. Un nouvel ĂŠlan pour des cours de langue et de civilisation arabes

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Au cours des 2 dernières années, le Centre de Langue et de Civilisation arabes a retrouvé un vrai rôle au service de la mission inscrite dans les statuts de l’IMA : Favoriser « une meilleure connaissance de la langue et de la culture arabes ». Les cours dispensés à l’IMA connaissent un franc succès, tout particulièrement auprès du « jeune public », de 5 à 18 ans. Le spectacle de fin d’année 2015 en a été un témoignage touchant. Grâce aux améliorations logistiques

(dématérialisation bureautique, nouvelle salle de professeurs, projet de refonte des espaces), au renouvellement pédagogique (recrutement de nouveaux enseignants formés à la didactique des langues), à l’élaboration d’un nouveau manuel pour débutants en harmonie avec le Cadre Commun Européen de Référence pour les Langues (CECRL), à la multiplication des ateliers pédagogiques et à la modernisation de sa revue pédagogique Al-Moukhtarat, le Centre de Langue et de Civilisation arabes de l’IMA est en passe de devenir la référence d’un enseignement laïc attractif, par sa situation unique au sein d’un environnement culturel arabe, particulièrement actif depuis deux ans. La publication du manuel AHDÂF constitue une première, non seulement pour les Éditions DIDIER, notre coéditeur, spécialiste de l’apprentissage des langues, mais également pour la méthode adoptée, qui s’appuie sur les recommandations du Cadre européen des langues tout en privilégiant une communication vivante avec le monde arabe contemporain.

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LÉGENDE // Démonstration de calligraphie, Abdallah Akkar. Centre de Langue et de Civilisation de l'IMA, stand n° 116, à la 33ème édition du salon Expolangues, Parc des expositions, Porte de Versailles du 5 au 7 février 2015, Paris. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA 163


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LÉGENDES // a. ExpoLangues, inauguration du Salon Centre de Langue par Jack Lang accompagné de Nada Yafi, directrice du Centre de Langue de l'IMA et de Christophe Barbier, directeur de la rédaction de l'Express, 5 fevrier 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Démonstration de calligraphie. CRÉDIT : © IMA

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Une nouvelle formule pour des cours de langue et de civilisation arabes

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Le rayonnement du Centre de Langue de l'IMA s’est, par ailleurs, affirmé à travers une participation plus active à des événements extérieurs tels que le salon Expolangues, la Semaine des cultures étrangères (FICEP), et autres manifestations culturelles ainsi que par sa politique résolue de partenariats ( Université de Jussieu, AEFE, ALECSO, CLEP et enfin les centres culturels dans les pays arabes ) pour l’organisation de séjours linguistiques. Une « Fête de la langue arabe » est désormais prévue en décembre, pendant une semaine, autour de la « Journée internationale de la langue arabe » célébrée par l’UNESCO le 18 décembre. Au programme : ‘speak-dating’, rencontres, café littéraire, concert, parcours du musée, soirée poésie et actions éducatives autour de la langue arabe. Enfin, le Centre de Langue dispense un enseignement qui prépare au Diplôme de Compétence en Langue (DCL), pour lequel il est également centre d’examens. Il se donne actuellement les moyens pour devenir Organisme certificateur pour la langue arabe en France, en mettant au point un diplôme officiel de langue arabe.

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L’ouverture de cours de langue arabe au sein de l’antenne de l’IMA dans la région du Nord-pas-deCalais poursuit cette volonté de favoriser une meilleure connaissance de la langue et de la culture arabes partout en France

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Une nouvelle formule pour des cours de langue et de civilisation arabes

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LÉGENDES // a. 13 juin 2015. Spectacle des élèves du Centre de Langue et de Civilisation Arabes, «Sésame ouvre toi». Mme Nada Yafi, directrice du CLCA présentant le spectacle devant la classe éveil 1 de Halimé Al Khalil. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Couverture (recto / verso) AHDÂF - Méthode d’arabe / Niveau A1 du CECRL, IMA édition.

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IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes

IV.5. …Et des actions éducatives

Sous la responsabilité de Radhia Dziri.

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Les Actions éducatives de l’Institut du monde arabe ont pour ambition de sensibiliser à la culture et la civilisation arabes et de mieux les faire connaître. Elles ne s’adressent pas exclusivement au jeune public (scolaire, centre de loisirs et individuel) mais, également, aux familles, au public adulte (enseignants, public des associations socioculturelles, champ social). Elles participent également au rayonnement de l'IMA avec les expositions pédagogiques itinérantes, la bibliothèque itinérante et des actions auprès des publics empêchés. Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

La programmation est centrée principalement sur la période scolaire de septembre à la mi-juillet

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LÉGENDE // Spectacle de la conteuse Nezha Lakhal Chevé, salle du Haut Conseil, le 17 janvier 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA 169


Les activités pour le public scolaire sont diversifiées : 23 animations et ateliers différents, 4 classes culturelles sur un format de une à trois journées, 5 visites et activités dans le cadre des inter-musées (Orsay, MAHJ, Archives nationales, Palais de la Découverte-Universciences, Château de la Renaissance d’Ecouen, Collège des Bernardins). Elles ont la particularité de faire découvrir la richesse de la culture et de la civilisation du monde arabe du point de vue des arts (calligraphies, enluminures, musiques) ou d’un point de vue linguistique de manière tout à la fois ludique et pédagogique. Dans leur conception, elles s’emploient à répondre, principalement, aux attentes des enseignants en proposant des sujets en liaison avec les programmes scolaires comme la découverte de l’islam - culture et civilisation -, dans une démarche historique et laïque, ou la question de l’eau dans le monde arabe. Dans leur mise en œuvre, elles s’appuient sur les ressources de l’IMA : le musée, les expositions, les concerts, la médiathèque jeunesse et la bibliothèque.

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LÉGENDE // Le 12 mai 2015, l’opération «Hip-Hop pour les détenus» de la prison de Fresnes consistait en un cycle de découverte des cités arabes d’hier et d’aujourd’hui, la rédaction de textes par les détenus qui se sont exprimés sur des photos du monde arabe sélectionnées dans le fonds de la Photothèque de l’IMA. Au programme : visite de l’exposition «Hip-Hop, du Bronx aux rues arabes» et un atelier graffitis sur le parvis. CRÉDIT : © IMA

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Paroles de deux jeunes filles en visite à l’IMA...

Eulalie, 10 ans et Néruja, 13 ans, reporters d’un jour pour Le Monde des ados, 7 octobre 2015.

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sais certaines fables comme “L’ours et le Dans la seconde pa constatent la popul À leur grande surpr La Fontaine s’en est « L’Institut du monde reprenant même ce ainsi le cas de “La t arabe, c’est le seul intelligentes, ces his endroit àbreux Paris écrivains, où tu illu verras mis à l’honneur verdict d’Eulalie et Néruja est la diversité, l’histoire sans appel : « Ce et l’art d’une région du qui est bien avec monde que connais cestufables, c’est peut les peut-êtrequ’on mal. Outre les raconter à notre expositions temporaires façon après avoir comme «vu Paroles de ! » l’exposition

bêtes » ou « Les mystères d’Osiris », tu pourras admirer de nombreux objets du quotidien vieux de plusieurs siècles et des œuvres d’art contemporaines. Pour terminer sa visite, rien ne1,vaut unFossés bon thé à la rue des Saint-Bernard Place Mohammed V menthe à déguster au519e38 38 75005 Paris • Tél. 01 40 étage. Vue imprenable Toutes les infos sur surwww.imarabe.org Paris garantie ! »

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Des projets marquants du service des actions éducatives de l’IMA, réalisé grâce au mécénat du groupe Casino : L’exposition pédagogique itinérante « Un musée pour tous » cpermettant de découvrir différents aspects des arts graphiques, des objets et de la musique du monde arabe.

Le calendrier « Le temps en partage » qui met en perspective les ccalendriers hébraïque, chrétiens (julien et grégorien) et musulman qui fonctionnent pour le premier sur un système luni-solaire, les seconds, solaire et le troisième, lunaire ; promenade entre le Marais et la Rive gauche, du Musée d’art et d’histoire du judaïsme, à l’Institut du monde arabe et le Collège des Bernardins.

à l’éducation des princes. Deux chacals doués de parole, Kalîla et Dimna, en sont les héros. L’exposition interroge et formule des critiques, parfois vives, contre certaines pratiques du pouvoir.

De nouveaux partenariats

Avec les villes de Bondy (L’art de l’enluminure), Grigny, Bobigny, Nanterre et Plaisir dans la région Ile-de-France ; avec Riyadh, Le Caire, Doha et Casablanca dans le monde arabe. Au total, 7175 élèves ont participé aux différentes actions éducatives de septembre à juin 2015.

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En partenariat avec la BNF, l’exposition « Paroles de bêtes c(à l’usage des princes) » présente l’œuvre d’Ibn Al-Muqaffa’, destinée

LÉGENDE // Eulalie (10 ans) et Néruja (13 ans), reporters d’un jour pour Le Monde des ados, 7 octobre 2015. Coordination par le service des actions éducatives de l’IMA.

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Au sujet du travail fait par le service des Actions éducatives de l’Institut du monde arabe et le Collège Anatole France de Casablanca dans le cadre de la manifestation « Le Maroc Contemporain » : Trois classes de collégiens (niveaux cinquième et quatrième) ont participé à l’illustration des textes de l’exposition itinérante pédagogique « Le Maroc, une histoire raconté par les arts ». Les textes étaient rédigés par Moulim El Aroussi, le commissaire général associé de l’exposition « Le Maroc Contemporain ». Le collège a assuré l’édition d’un livre regroupant toutes les illustrations des élèves (75 élèves).

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LÉGENDE // Illustration de Fatima Aijou, tirée du livret «Le Maroc Contemporain. Une histoire racontée par les arts» qui fait suite à l’exposition itinérante pédagogique «Une histoire du Maroc racontée par les arts». CRÉDIT : © LoftArtGallery

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Dans le cadre du protocole « Culture et prison », l’IMA élabore depuis 2009 des projets en direction des personnes placées sous-main de justice rattachées à des établissements pénitentiaires. Ces partenariats peuvent prendre la forme de conférences et ateliers artistiques en prison, l’accueil à l’Institut du monde arabe de personnes détenues dans le cadre de permissions de sortir ou la formation des personnels de l’administration pénitentiaire et de la protection judiciaire de la jeunesse.

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Une action ambitieuse en milieu pénitentiaire

Placées sous la responsabilité de Radhia Dziri, ces activités ont pu se conclure par l’accueil de détenus à l’IMA et la réalisation de la magnifique exposition « Cousu main ». LÉGENDE // Christiane Taubira, garde des Sceaux et Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe, ont signé, le 12 mars 2015, une convention de partenariat entre la direction de l’Administration pénitentiaire et l’Institut du monde arabe. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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Le service des Actions éducatives s’est notamment déplacé à la maison d’arrêt de Fresnes dans le cadre d’un cycle d’ateliers et conférences portant sur l’écriture. Les personnes détenues participantes ont également pu se déplacer à l’IMA pour participer à des ateliers en lien avec l’exposition « Hip-Hop, du Bronx aux rues arabes ». À la maison d’arrêt des femmes de Versailles, l’action culturelle a été particulièrement ambitieuse. Plusieurs mois, vingt-six lundis, entre dix et quinze femmes détenues ont participé à un atelier, pour en savoir plus sur le monde arabe puis ensuite apprendre à confectionner des vêtements somptueux.

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Temps forts 2015

bâtisse d’Orient et d’Occident, visite exclusive de l’IMA cpourUne Paris face cachée : L’IMA caché est une invitation à passer

de l’autre côté des moucharabiehs et d’expérimenter le parcours architectural du bâtiment de Jean Nouvel et architecture studio comme une expérience inédite. Accès par une porte dérobée, une lampe torche à la main…

musiques actuelles : Une audition et vingt ateliers plus ctard,Ateliers les musiciens – amateurs et professionnels confondus –, ont

A l’initiative du service régional de l’UNSS Versailles et de la cDAAC (Rectorat de Versailles), le festival Paris Hip Hop et l’Institut du monde arabe ont organisé une journée exclusive consacrée à la danse hip hop en milieu scolaire dans le cadre de l’exposition « Hip Hop du Bronx aux rues arabes » qui a permis de valoriser aussi bien l’exposition de l’IMA et les actions éducatives organisées tout au long de l’année avec le monde scolaire. 450 jeunes étaient présents lors de cette rencontre exceptionnelle !

LÉGENDES // a. Le Festival Paris hip-hop, UNSS - DAAC du 2 Juillet 2015. CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA b. Atelier grafitti-customisation, 14 juin 2015. Dans le cadre l’exposition «HIP-HOP, du Bronx aux rues arabes», l’IMA propose aux petits et aux grands de s’initier au Street-art. Un graffeur "le H" invite à customiser un petit objet. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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découvert les principes de la musique arabe et analysé les musiques patrimoniales sous la conduite du musicien Qaïs Saadi. Ils ont revisité des classiques (Marcel Khalifé, l’Orchestre national de Barbès, Ziad Rahbani, Tawfiq Farroukh ou Gnawa Diffusion) en y intégrant leurs pratiques habituelles (musique classique, jazz, rock, musiques africaines, sud-américaines ou balkaniques…). Grâce au soutien de la Caisse des dépôts et de l’Institut du monde arabe, ces jeunes musiciens âgés de 18 à 30 ans, ont présenté le fruit de leur travail à l’occasion d’un concert exceptionnel dans la salle du Haut conseil de l'IMA. Le flûtiste Magic Malik était l'invité d'honneur de la représentation finale ; il les a accompagnés tout au long de la performance.

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LÉGENDES // a. «La France s’engage», une journée riche en échanges ! CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Publication d’un livret «Abécédaire de la Danse hip Hop» en coédition Institut du monde arabe et la Médiathèque des cultures urbaines RStyle.

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Workshop Rap avec Viktor Coup?K, « l’Histoire du hip-hop cdansée » et atelier graffiti customisation avec Rsbooking. Publication d’un livret « Abécédaire de la danse hip-hop » cen coédition Institut du monde arabe et la Médiathèque des Cultures Urbaines RStyle.

Publication du livret de l’exposition « Paroles de bêtes c(à l’usage des princes). Les fables de Kalila et Dimna».

François Hollande a dévoilé les noms des 15 nouveaux lauréats pour le dispositif « La France s’engage », en présence de Najat Vallaud-Belkacem et de Patrick Kanner à l’Institut du monde arabe, le lundi 22 juin 2015. Ce dispositif a pour but de valoriser des actions citoyennes qui répondent aux problématiques rencontrées par la société au quotidien. Depuis 2014, le Fonds d’expérimentation pour la jeunesse (FEJ) soutient le changement d’échelle et l’essaimage des initiatives lauréates. Il est doté de 50 millions d’euros en partenariat avec Total. Douze projets ont été sélectionnés par le président lui-même, et trois autres par les internautes ; Un Prix spécial a été accordé à un des heureux finalistes par les deux ministres attachés à cette mission.

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« La France s’engage » : Une journée riche en échanges et en cremerciements ! Pour une 3ème édition, le président de la République,

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arts de l'islam 182

L'art du tissage


IV. Un lieu de rencontres artistiques et de transmission de la langue et de la civilisation arabes Et des actions éducatives

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Une politique de promotion massive

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L’IMA assure la promotion de ses actions éducatives dans divers espaces : au Maghreb des livres où l’établissement dispose d’un espace d’animation pour le jeune public (Hôtel de Ville de Paris), à Spectaculaire (sur le quai de la Loire à Paris, avec des animations), à Kidexpo (Porte de Versailles) avec des animations, aux Rendez-vous de l’Histoire de Blois, au Forum des relais du champ social (Macval Vitry-sur-Seine), au Forum des loisirs scolaires (Cité des Sciences) et auprès des intervenants du CLC à Expolangues (Porte de Versailles) avec des animations. Ainsi que dans différents salons auxquels participe le service des Relations avec les publics : le Salon des seniors et le Forum des loisirs culturels.

LÉGENDE // Publications éducatives de l’IMA : «Arts de l’islam», «Cuisine marocaine des petits chefs» et «Une anthologie des poésies arabes». (Éditeur T. Magnier / IMA)

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V. Un soutien fort de l’Etat français et une visibilité confirmée dans le monde arabe

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...invité surprise, à la fête de la musique en juin 2014 et 2015 ! 186


V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Personnalités du monde

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Depuis janvier 2013, plusieurs personnalités politiques du gouvernement français se sont rendues à l’Institut du monde arabe : le Président de la République François Hollande est venu six fois, notamment pour l’inauguration de l’exposition « Hajj, le pèlerinage à la Mecque » ; il avait profité de cette occasion pour remettre à l’établissement un coran manuscrit qui lui avait été offert par le professeur Nasser D. Khalili en personne, le plus important prêteur de l’exposition. Il s’est aussi joint, en invité surprise, à la fête de la musique en juin 2014 et 2015 ; il a d’ailleurs reçu un accueil triomphal quand il est monté sur le podium en compagnie de Jack Lang !

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LÉGENDE // Fête de la musique le 21 juin 2014 CRÉDIT : Alice Sidoli © IMA

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V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Personnalités du monde

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LÉGENDES // a. Fête de la musique 2015. Soirée sur invitation, visite du président François Hollande. Choral improvisée par la chanteuse Camille avec le président de la république et Jack Lang. b. Edwy Plenel, écrivain, journaliste, co-fondateur du site internet Médiapart, auteur entre autres de «Pour les musulmans» (éd. La Découverte, 2014), les Jeudis de l’IMA du 18 septembre 2014. c. Louise Bourgoin lors de l’inauguration de l’exposition «Desdémone, entre désir et désespoir» le 25 mars 2015.

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Le président de la République François Hollande a salué la foule présente sur le parvis de l’IMA pour clôturer la Fête de la musique en beauté, pour la 2ème année consécutive ! Par ailleurs, il a chanté un court instant sur la terrasse de l’IMA en petit comité, en compagnie de Jack Lang et d’Emmanuelle Béart, sous la houlette de la chanteuse Camille.

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CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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Un soutien fort...

Le Premier ministre Manuel Valls, s’est rendu quatre fois à l’IMA notamment à l’occasion d’un événement exceptionnel pendant l’exposition « Le Maroc Contemporain » : la remise des Insignes de l’ordre du Trône par la princesse Lalla Meryem au nom de son frère le Roi du Maroc à trois personnalités religieuses, Michel Dubost, l’Evêque d’Evry, Khalil Merroun, Recteur de la mosquée d’Evry et Michel Serfaty, Rabbin de Ris-Orangis. Cette cérémonie, qui suivait de quelques jours les attentats de Charlie Hebdo, témoignait de la solidarité du Maroc. Également, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius et la garde des Sceaux Christiane Taubira qui est une habituée des activités, petites et grandes, de l’IMA ; elle a participé au Printemps des poètes en récitant sur la scène de l’auditorium de l’IMA des poèmes d’Aimé Césaire et a participé à l’avant-première du film « Moi Nojoom, 10 ans divorcée ». Elle était également présente lors de la clôture de l’exposition « HIP-HOP, du Bronx aux rues arabes » et a participé à la block party sur le parvis ! Najat Vallaud-Belkacem, Bernard Cazeneuve, Fleur Pellerin, Daniel Cohn Bendit sont venus visiter les expositions. D’autres personnalités françaises ont été présentes lors des dernières rendez-vous de l’IMA : l’ancien ministre de la santé et de l’emploi, Jack Ralite, l’ancien ministre des affaires extérieures et les anciens ministre des affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner et Hubert Védrine.

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V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Personnalités du monde

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LÉGENDES // a. Jack Lang et le prince Albert de Monaco lors de sa visite à l’exposition «Osiris, mystères engloutis d’Égypte», mardi 3 novembre 2015. b. Élisabeth Guigou et Guillaume Pepy, président de la SNCF lors de l’inauguration de l’exposition «Il était une fois l’Orient-Express», le 3 avril 2014. c. Valery Giscard d’Estaing en visite, pour la première fois, à l’Institut du monde arabe. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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LÉGENDES // a. Le 10 oct 2014, Peter Garrett, musicien, chanteur australien et leader du mythique groupe de rock «Midnight Oil» en visite à l’IMA ! c. Visite de Mme Lung Ying-tai, ministre de la Culture de Taiwan et de l’artiste Daniel Buren CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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LÉGENDES // a. Gérard Jugnot le 13/06/2013. b. Jack Lang et Jamel Debbouze CRÉDIT : © IMA c. Le sociologue et philosophe Edgar Morin et son épouse lors de la soirée VIP de la Fête de la musique. d. Le réalisateur Bertrand Blier et l’actrice Josiane Balasko lors de l’élévation au grade de commandeur des Arts et des Lettres de Mme Josiane Balasko par Jack Lang. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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c LÉGENDES // a. Jean Claude Casadesus, soirée du journal Le Point, exposition «Le Maroc Contemporain», le 16 octobre. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Quincy Jones a été élevé au rang de commandeur des Arts et des Lettres en septembre 2014 à l’IMA. Réunion quelques semaines auparavant entre le président de l’IMA, Jack Lang, Quincy Jones, Charles Aznavour et Lenny Kravitz. c. Le créateur de mode belge Dries Van Noten a été décoré de l’ordre national des Arts et des Lettres par le président de l’IMA, Jack Lang. Début juillet 2015. CRÉDIT : © IMA

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V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Personnalités du monde

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Quincy Jones a été élevé au rang de commandeur des Arts et des Lettres en septembre 2014 à l’IMA. Réunion quelques semaines auparavant entre le président de l’IMA Jack Lang, Quincy Jones, Charles Aznavour et Lenny Kravitz. Le créateur de mode belge Dries Van Noten a été décoré de l’ordre national des Arts et des Lettres par le président Jack Lang début juillet 2015. Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

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V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Rencontres avec des personnalités politiques du monde arabe

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Des personnalités politiques des gouvernements arabes ont confirmé leur

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LÉGENDES // a. Son Altesse Royale la princesse Lalla Meryem préside la cérémonie de remise de décorations royales aux personnalités suivantes : Mr Khalil Merroun, doyen de la mosquée d’Evry, Mr Michel Serfaty, rabbin de Ris Orangis et Mr Michel Dubost, évêque d’Evry, le 1er février. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. 20 septembre 2015, Le président Jack Lang voyage à Tanger avec le président de la République, François Hollande. Rencontre avec le roi Mohammed VI. c. Visite du Premier ministre libanais Mr Tammam Salam à l'IMA, le 11 décembre 2014. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

large soutien apporté à l’Institut du monde arabe à l’occasion de visites privées ou officielles et de rencontres particulières. Parmi eux l'ancien président tunisien Moncef Marzouki et l'ancien Premier ministre tunisien Mehdi Jooma, l’émir du Qatar, Son Altesse Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani, le Premier ministre libanais Tammam Salam, l’ancien Premier ministre de Libye Ali Zeidan, le président de l’union des Comores Ikililou Dhoinine, la vice-présidente de la Fondation Al-Walid Ben Talal Leïla El Solh, l’émir de Charjah Son Altesse Cheikh Sultan Bin Muhammad Al Qasimi, le ministre de la Culture du Gouvernement turc Ömer Celik, le ministre de la Culture du Gouvernement palestinien Anwar Abu Eisheh.

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LÉGENDES // a. 22 avril 2014, le président de la République François Hollande et Nasser David Khalili, collectionneur d'art iranien basé à Londres, lors de l'inauguration de l’exposition «Hajj, le pèlerinage à la Mecque». b. 28 mai 2015, signature d'une convention entre l'IMA et les musées marocains. Le président Jack Lang et Mr Mehdi Qotbi. c. 25 avril 2013, visite de Mme Leila El Solh, ancien ministre du Gouvernement libanais et actuellement vice-présidente de la Fondation Al-Walid Ben Talal pour le Liban à l’IMA. e. 3 juin 2015, le président Jack Lang a reçu Mr Adel Al-Joubeir, ministre des Affaires étrangères d’Arabie Saoudite pour une rencontre et une visite de l'IMA et du musée. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA d. Jack Lang avec Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne, octobre 2015. CRÉDIT : Thaer Ghanayem © IMA

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LÉGENDES // a. Visite du ministre du Tourisme libanais, Michel Pharaon, le 29 mai 2015. b. Visite du Dr. Bader Hamad Al Essa, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur du Koweit le 3 novembre 2015 à l’IMA. c. Visite du Premier ministre palestinien, Rami Hamdallah, le 10 septembre 2015. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA d. Le président de la République Béji Caïd Essebsi a reçu, le 11 août 2015, au palais de Carthage, l’ancien ministre français et actuel président de l’Institut du monde arabe, Jack Lang.

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Vendredi 16 octobre 2015, Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe, et Elias Sanbar, ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO, ont conclu un partenariat en vue de la création du Musée national d’art moderne et contemporain de Palestine. Une centaine d’œuvres d’art données par des artistes contemporains, principalement français, vont constituer les bases de la collection du futur musée. De nombreuses nouvelles donations sont en cours et l’IMA assurera provisoirement la garde de cette collection, qui pourra faire l’objet d’expositions temporaires. L’établissement apportera par ailleurs tout son appui à la création et au développement du musée, notamment en matière d’ingénierie culturelle. Ce partenariat se veut également un geste de soutien à la création d’un État palestinien.

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LÉGENDES // a. Partenariat en vue de la création du Musée national d’art moderne et contemporain en Palestine. b. Elias Sanbar, ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO et Jack Lang, président de l’IMA. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA c. Article du journal Actualité Juive Hebdo

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« La France dans le monde arabe »

Un Festival de tous les savoirs, 1ère édition Présidé par Jack Lang et Latifa Lakhdar

Le 13 février 2015, le président de l’Institut du monde arabe Jack Lang, a présidé aux côtés du ministre tunisien de la Culture, Mme Latifa Lakhdar, la séance d’ouverture d’un festival particulier initié par l’université ouverte Al Jamia El Maftouha. Cette initiative qui s’appuie sur un réseau d’universitaires et de militants des droits de l’Homme a pour objectif la diffusion en français et en arabe d’une culture ouverte comme antidote à toutes les incompréhensions et les obscurantismes. //////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Les journées de Tunis

Le grand jeu de la démocratie Les Forums du Nouvel Obs l 15 - 16 juin 2015 Après Bruxelles, Athènes, Strasbourg, Le Havre, l’hebdomadaire français Le Nouvel Obs, a organisé un nouveau forum spécial à Tunis en juin 2015, en présence de nombreuses personnalités politiques et économiques tunisiennes et françaises pour discuter de la situation politique actuelle en Tunisie et tout particulièrement de la démocratie. Parmi les intervenants français : Pascal Boniface (Géopolitologue, fondateur et directeur de l’Institut de Relations internationales et stratégiques), William Bourdon (Avocat spécialiste des droits de l’Homme), Jean Daniel (Fondateur éditorialiste Le Nouvel observateur ), Bertrand Delanoë (Maire de Paris - 2001 / 2014, Harlem Désir (Secrétaire d’État aux Affaires Européennes), Selma Elloumi, Bernard Guetta (Éditorialiste à France-Inter, spécialiste des relations internationales), Bernard Kouchner (Ministre des Affaires Étrangères et Européennes - 2007 / 2010, Jack Lang (Président de l’Institut du monde arabe, ancien ministre de la Culture et de l’Éducation nationale), Hervé Morin (Député, président du nouveau centre, ministre de la Défense - 2007 / 2010, Pascal Picq (Paléoanthropologue, maître de conférences du Collège de France), Plantu (Dessinateur à Le Monde, président de Cartooning for Peace), Guy Sitbon (Journaliste, écrivain), David Thomson (Grand reporter à RFI, auteur de Français jihadistes) et Eric Woerth (Député, ministre du Budget - 2007 / 2010). 206


V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Festivals & Forums

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Forum économique algéro-français 1ère édition l 15 - 16 juin 2015

Ce rendez-vous a réuni 300 chefs d’entreprise, professionnels et responsables d’institutions économiques des 2 pays parmi lesquels des opérateurs économiques issus de la communauté algérienne en France. Amar Bendjamâa, ambassadeur d’Algérie à Paris, Arnaud Montebourg, ancien ministre de l’Industrie, Tokia Saïfi, ancienne ministre et député européenne, Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe (IMA) et Jean-Claude Volot, conseiller spécial du Medef faisaient parti des personnalités politiques présentes à cet événement.

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Organisé par la Chambre Algérienne de Commerce et d’Industrie (CACI), dirigée par Mohamed Laid Benamor, en collaboration avec le Forum des Chefs d’Entreprises (FCE), la 1ère édition du Forum économique algéro-français s’est tenue à l’Institut du monde arabe à Paris. Il s’est conclu en direction d’un partenariat "bénéfique" entre l’Algérie et la France espérant ainsi booster la coopération entre les deux pays grâce à une nouvelle dynamique d’investissement.

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V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Ca s’est passé à l’IMA

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Nous sommes tous Charlie

LÉGENDES // a. Soutien à l’artiste street art Combo sur le parvis de l’Institut du monde arabe. Collage «Coexist» sur la façade de l’établissement. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA b. Photo de l’ensemble du personnel de l’IMA. CRÉDIT : Joel Saget © IMA

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Suite aux tragiques événements de ce début d’année, le message « Nous sommes tous Charlie » est affiché en lettres rouges de trois mètres de haut, en arabe et en français, à l’initiative bénévole du galeriste Mehdi Ben Cheikh, sur toute la hauteur de la façade du parvis de l’Institut du monde arabe. Le street artist Combo, victime d’agressions dans les rues de Paris suite à son message sur la coexistence des religions en février 2015, a également collé et distribué des affiches devant l’IMA à Paris, avec le soutien de l’établissement.

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Prix Nobel de la Paix, réception en l’honneur du quartet tunisien (UGTT, UTICA, LTDH et l’Ordre des avocats) à l’IMA

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Le lendemain, le Président de la République François Hollande a reçu les représentants du quartet à l’Elysée.

« Nous avons été honorés d’avoir été reçus par le président de la République française, c’est un message très fort, la reconnaissance de la paix » a déclaré Ouided Bouchamaoui, présidente de l’UTICA (organisation patronale). « Nous avons évoqué plusieurs sujets avec le président de la République française » a-t-elle ajouté : « ...du terrorisme, de tout ce qui est investissements, de la sécurité. Il y a le soutien et le partenariat de la France avec la Tunisie, espérons que les Français viennent visiter la Tunisie ». Ouided Bouchamaoui a également remercié « ...les investisseurs français qui ont cru en notre pays, qui sont restés dans notre pays... » qu’elle a invités « ...à investir beaucoup plus parce que nous cherchons un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises françaises ». Source : TV5 Monde 210

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V. Un soutien fort de l’État français et une visibilité confirmée dans le monde arabe Ca s’est passé à l’IMA

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LÉGENDE // a. Réception en l’honneur du quartet tunisien (UGTT, UTICA, LTDH et l’Ordre des avocats) à l’IMA, jeudi 15 octobre. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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La Tunisie est « un modèle et un symbole. Le prix Nobel de la Paix 2015 est décerné au peuple tunisien et à tous les peuples qui cherchent à se libérer », a affirmé le président de l’Institut du monde arabe Jack Lang qui recevait à Paris le quartet lauréat du Nobel de la Paix 2015 le jeudi 15 octobre 2015. Le quartet a été honoré pour le dialogue national qu’il a mené ces dernières années dans le pays qui a vu naître le Printemps arabe.

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VI. L’IMA digital

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...le dÊploiement d’une offre culturelle en ligne sur le monde arabe

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VI. L’IMA digital.

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Soutenu par la Fondation Orange, l’IMA propose également au public en situation d’handicap ou empêché un accès facilité et mieux adapté à ses collections par la mise à disposition de l’application IMACCESSIBLE dans le musée, réalisée en partenariat avec l’association Interface Handicap. LÉGENDE // Soirée du vernissage de l’exposition «Le Maroc Contemporain». Un visiteur testant les lunettes Oculus Rift. CRÉDIT : Thierry Rambaud © IMA

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L’activité de la chaine IMA.TV sur YouTube et les projets numériques réalisés autour des expositions illustrent la volonté de l’Institut à proposer des ressources en ligne sur le monde arabe – captation des rencontres et débats de l’IMA, réalisation de portraits d’artistes, production de webdocs sur la scène artistique actuelle ou sur le patrimoine ancien – offrant des clés de compréhension du monde arabe au grand public, de plus en plus nombreux à suivre l’activité de l’IMA sur ses réseaux sociaux. Parmi les nouveaux projets numériques 2015 réjouissants : le jeu vidéo MEDELIA (disponible sur iOS et Play Store) invite les enfants de 7 à 11 ans à partir à la découverte de la Méditerranée médiévale ; le portail QANTARAMED s’enrichit de nouvelles vidéos documentaires et de plusieurs centaines de photos du patrimoine de Jordanie, du Liban et de l’Egypte ; la plateforme In Hop permet de prolonger l’expérience de visite de l’exposition « Hip Hop, du Bronx aux rues arabes » à travers un parcours ludique.

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Pour aller plus loin dans sa dimension digitale et l’accompagner dans la refonte de son site internet,

l’IMA a intégré à son équipe chargée de la médiation numérique, sous la responsabilité de Yannis Koikas, des Innovation makers d’Altran (leader mondial du conseil en innovation et ingénierie avancée) pour une durée de 18 mois. Ce mécénat de compétences s’inscrit dans la volonté du président Jack Lang d’accompagner une offre de services innovants au carrefour de la culture et des nouvelles technologies et de positionner l’IMA comme un acteur culturel de premier plan sur le web. Par cette initiative, Altran France poursuit le développement de sa politique de solidarité et de mécénat, qui se caractérise par un soutien continu à l’innovation, à l’éducation et à la culture, et devient Grand mécène de l’Institut du monde arabe. Cet engagement fort constitue le mécénat de compétences le plus important réalisé à ce jour par Altran France en termes de durée d’engagement (18 mois), et le premier mécénat de compétences sur un projet numérique pour l'Institut du monde arabe.

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VI. L’IMA digital.

In Hop est une plate-forme numérique créée par le service de la médiation numérique et l’école E-art sup ; celle-ci permettait aux internautes de créer des chorégraphies, tester leur culture arabe hip-hop et découvrir leur identité hip-hop entre autres.

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Quelques projets à venir :

LÉGENDES // a. Visuel du jeu intéractif Médélia, IMA 2015. b. La plateforme In Hop enrichie de contenus de l’exposition «Hip Hop, du Bronx aux rues arabes» à travers un parcours ludique ; ci-contre captures écran du site internet www.inhop.fr.

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c Un web doc « Vous avez dit Arabe ? » (Mars 2016). Une plateforme digitale « Les Jardins » en lien c avec l’expo « Les Jardins arabo-musulmans » (Avril 2016).

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VI. L’IMA digital.

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Depuis l’arrivée de son nouveau président Jack Lang, l’Institut du monde arabe est devenu un acteur reconnu et très apprécié sur la scène artistique parisienne. Élu « Marque Culturelle Européenne de l’année 2014 », l’établissement compte aujourd’hui une multitude de partenaires culturels en France et dans le monde : la Comédie-Française, le Louvre, le théâtre de la Ville, le théâtre de Saint-Denis, la RMN - Grand Palais, la Maison européenne de la photographie, la Bibliothèque de la Fondation du Roi Abdul Aziz (Casablanca), la Fondation nationale des musées du royaume du Maroc et Bozar de Bruxelles. Sans oublier, Google Cultural Institute qui permet à l’IMA de faire connaitre ses activités et ses ressources par l’intermédiaire d’une e-vitrine exceptionnelle depuis 2011.

LÉGENDE // Coucher de soleil à travers un moucharabieh de l’IMA. CRÉDIT : © IMA

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Conclusion et demain… Toutes ces avancées techniques et culturelles énoncées n’auraient jamais pu aboutir sans les aides spécifiques des partenaires commerciaux et financiers de l’Institut qui lui sont toujours aussi précieuses depuis le début des divers projets entrepris en janvier 2013. Alors l’Institut du monde arabe tient à les remercier pour leurs participations généreuses et leur confiance qui lui permettent de viser encore plus haut et encore plus loin dans ses projets artistiques et humains.

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Conclusion et demain…

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Les événements tragiques de ce début d’année 2015 ne font que renforcer sa volonté d’agir pour favoriser les échanges culturels, la communication et la coopération entre la France et le monde arabe car il est de son devoir, en tant qu’acteur reconnu sur la scène artistique parisienne, de poursuivre la promotion du dialogue entre l’Occident et l’Orient et ainsi espérer une rencontre plus noble et respectueuse entre ces deux civilisations.

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Deux événements exceptionnels à venir à l’IMA. Biennale des photographes du monde arabe 1ère édition

c 12 novembre 2015 - 17 janvier 2016

La Maison européenne de la photographie et l’Institut du monde arabe s’unissent pour lancer un nouveau rendez-vous artistique : la Biennale des photographes du monde arabe. Ce projet collectif présentera une série d’expositions dans différents lieux jalonnant le parcours pédestre entre la MEP et l’IMA, parmi lesquels la Galerie Photo 12, la Galerie Basia Embiricos, la Galerie Binôme, La Cité Internationale des Arts, le Square Barye / Pointe de l’Ile St Louis, la Mairie du IVe et Graine de Photographe.

Les jardins arabo-musulmans

c Printemps 2016

L’Institut du monde arabe présentera au printemps 2016 une exposition exceptionnelle consacrée aux jardins arabo-musulmans dont le commissariat sera assuré par l’historienne et archéologue Sylvie Depondt. Pour l’occasion, un jardin éphémère exceptionnel d’environ 2000 m2 sera créé sur le parvis de l’IMA, en plein cœur du Paris historique et à quelques minutes de la cathédrale Notre Dame. En présentant cette exposition inédite sur les jardins arabo-musulmans, l’Institut du monde arabe participera au débat sur l’avenir des grandes métropoles, quelques mois après la Conférence Paris Climat 2015 qui se déroulera du 30 novembre au 11 décembre 2015.

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Conclusion et demain… Demain

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Et d’autres encore à consulter sur le site de l’IMA www.imarabe.org Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

LÉGENDES // a. Visuel de l’affiche de la première Biennale des photographes du monde arabe contemporain. Photo de Wafaa Samir, série «Ramadan» (Égypte, 2013). b. Anamorphose des Jardins arabo-musulmans, conçue par François Abélanet pour l’exposition programmée à l’IMA au printemps 2016. c. Dessin de Plantu.

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Président Jack Lang Secrétaire général David Bruckert

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BROCHURE Coordination Catherine Lawless, assistée d’Alexandra Jupillat

Conception graphique Habiba Gharbi Impression JJ Production

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Le renouveau de L’Institut du monde arabe 2013 c 2015

Crédits photographiques Thierry Rambaud Alice Sidoli Joel Saget Thaer Ghanayem Kestu Productions Emmanuel Ducoulombier Christine Delpal Seb Jawo Photographies Sylvain Gripoix Sébastien Calvet Christoph Gerigk Matthieu Rater Kampucheaphoto Farida Brechemier Fabrice Cateloy Emmanuel Pujol David Hanau Samuel Duplaix

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Institut du monde arabe 1, rue des Fossés Saint-Bernard, place Mohammed V 75005 Paris Tél. + 33 (0)1 40 51 39 30

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Communication / Service de Presse Tél. + 33 (0)1 40 51 39 64/39 82

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www.imarabe.org

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LÉGENDE PHOTO // Parvis de l'Institut du monde arabe © IMA


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