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La nature et les résultats des mesures des rejets radioactifs et non radioactifs de l’installation dans l’environnement

Actuellement l’installation ITER ne rejette pas d’effluents radioactifs gazeux ou liquides. Seuls des rejets chimiques, essentiellement industriels et sanitaires (activités de bureau et de construction) sont réalisés.

Les informations relatives aux effluents chimiques sont transmises aux administrations compétentes via les rapports mensuels et annuels.

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Pour information, en 2020, la consommation annuelle d’eau potable sur le chantier ITER (en provenance du Centre CEA de Cadarache) était d’environ 27 100 m3 pour l’ensemble du site ITER. La consommation d’eau brute provenant du Canal de Provence a été d’environ 49 600 m3 et celle du fioul s’est élevée à environ 330 m3 .

En 2020, une augmentation de la consommation en eau potable de 20% environ, est observée. Ceci s’explique par une augmentation des activités liées à la construction et à l’installation des composants dans les bâtiments. De plus, des points de distribution d’eau potable ont été mis en place sur le chantier afin de permettre le lavage fréquent des mains dans le cadre de la gestion de la pandémie de Covid-19. L’augmentation notable de consommation d’eau brute en 2020 (de l’ordre de 80%) est liée au tests d’étanchéité des bassins des futures tours aéro-réfrigérantes de l’installation ITER qui ont nécessité environ 26 000 m3 d’eau brute. Quant à la consommation en fuel, elle est stable.

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