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Lettre ouverte à Jano
Paule Kiénert
À NOUVEL AN, JANO DEVIENT PLAN-PLAN
Alors que les passages à la nouvelle année sous les cotillons, cravate autour de la tête et baisers de meilleurs vœux alcoolisés, ne nous enchantaient guère, voilà que Jano a totalement inversé la vapeur…
Cher Jano, On ne regrette pas forcément les premiers de l’an à l’AlkaSeltzer, mais de là à faire un footing à 7 heures du matin le premier janvier, il y a peut-être un juste milieu à trouver! Au fil des ans, le 31 décembre a perdu de son panache au point d’arriver à une coupette sur notre plateau-télé (devant un programme ô combien enrichissant!) et à attendre les douze coups de minuit en baillant pour aller se coucher après un chaste baiser. Alors, c’est sûr, le lendemain, on est en pleine forme et on ne change rien! Vous avez même le toupet d’aller courir et de nous faire culpabiliser dans notre non prise de bonnes résolutions! Mais voyez-vous, ça commence à nous manquer de ne même pas sentir passer la nouvelle année! Alors sans forcément aller jusqu’au petit jour - ni jusqu'à la gueule de bois, un repas plus élaboré, une tenue de fête, de la musique, quelques pas de danse et… des paillettes, Jano, on veut des paillettes! Vous êtes d’accord, on essaie de rajeunir un peu pour cette fin d’année?
Droit de réponse
Chère Janette, Vous avez tellement essayé de nous calmer, que vous avez réussi. Le mieux pour que vous arriviez au dosage de festivité souhaité, c’est encore que vous organisiez la soirée. À vous le choix du menu, des amis et de la playlist. Pour notre part, on suit le mouvement et on décale notre footing au 2 janvier! Jean-Christophe, ancien fêtard, alias Jano