ACHETER OU FABRIQUER SOI-MÊME

Afin de déterminer quels seront les produits les plus adaptés, prenez le temps de vous poser, et d’estimer vos besoins. Je vous conseille pour cela, la bonne vieille « check-list » sur laquelle vous pourrez reporter :

▪ le nombre de périphériques (claviers, préamplis, etc) ▪ faire un croquis rapide de l’agencement idéal de votre pièce ▪ le positionnement de vos moniteurs ▪ l’emplacement des prises électriques ▪ la consommation électrique de vos périphériques ▪ etc.

Autres points importants : prévoyez toujours une marge de sécurité afin d’anticiper sur l’avenir de votre home-studio. En effet, rien ne dit que votre configuration ne sera pas amenée à évoluer dans le temps. Certes, vous ne pourrez jamais repousser les murs de votre pièce, mais se laisser 3 ou 4 unités de plus par exemple dans vos racks, est loin d’être une mauvaise idée.

Une bonne ventilation c’est essentiel !

Bien trop souvent, les périphériques sont rackés les uns sur les autres, parfois au détriment des voies de ventilation qui sont ainsi obstruées, et qui font montrer en température les composants internes. Quelques règles de bon sens pourraient par exemple, vous éviter de devoir prématurément vous passer de vos bécanes préférées, car tombées en panne. Pour cela, prévoyez autant que possible, de laisser un espace suffisant entre deux éléments (1 unité suffit en général). Qui dit ventilation implique aussi un positionnement intelligent de vos racks (cet exemple est d’ailleurs valable pour n’importe quel appareil électrique ou électronique). Evitez de coller vos racks / ordinateurs contre le mur pour que la dispersion calorifique puisse se faire de façon optimale. Nos appareils sont susceptibles de dégager beaucoup de chaleur, et tout le monde le sait, la chaleur c’est l’ennemi absolu ! Alors prenez de bonnes résolutions, et vos périphériques seront opérationnels pour encore longtemps !

Ici je vais vous parler du câblage de façon générale (je ne vais pas rentrer dans des considérations de qualité car cela pourrait faire l’objet d’un article entier). Combien d’entre nous ont empilé les multi-prises les unes sur les autres pour parvenir à brancher leurs périphériques préférés ? Tout le monde ! :) Mais pour des raisons de sécurité, vous vous doutez bien que ce genre de « montage » est à proscrire et ce pour plusieurs raisons (risque d’incendie, etc). Pour cela, je vous conseil de vous rendre sur le lien suivant, lequel vous permettra de faire une évaluation précise de vos besoins en respectant les règles les plus essentielles de sécurité : http://www.helpconfort.com/ nombre-maximal-appareils-electriques/

En gardant à l’esprit qu’une bonne ventilation permettra de préserver sur le long terme vos périphériques, pensez également à structurer votre câblage. En effet, pour favoriser la circulation d’air, mieux vaut organiser vos fils électriques, optiques, réseaux, etc, afin que cela puisse se faire de façon optimale. N’hésitez donc pas à investir quelques euros dans des colliers Rilsan en plastique par exemple, et ainsi regrouper et organiser votre câblage de façon intelligente. Je vous conseille également d’étiqueter votre câblage, car le jour ou vous aurez besoin d’y apporter des changements, vous serez bien content de ne pas perdre un temps fou à savoir qui fait quoi, et qui est branché à telle ou telle machine.

Vous êtes prêts ? C’est parti ! :)

Après ce laborieux travail effectué, vous allez désormais pouvoir choisir le mobilier idéal pour votre home-studio ! Nous allons envisager deux cas de figure afin de pouvoir cibler au mieux vos besoins. Mais avant tout, sachez qu’en fonction de vos attentes, cela risque de vous coûter un peu d’argent (voir beaucoup, suivant votre niveau d’exigence). Partons du principe que vous souhaitiez investir dans du mobilier prêt à l’emploi. De nombreux acteurs proposent quantité de produits, tous plus ou moins onéreux en fonction des prestations offertes. Voici une première liste, (non exhaustive), des fabricants les plus sérieux :

Soyons chauvins et commençons par la société française MODSON. Ce fabricant est un acteur plutôt récent sur le marché du mobilier de studio / home-studio (son activité a débuté en 2012), et son catalogue est aussi bien quantitatif que qualitatif. La quasi totalité des besoins seront couverts, et quand bien même ça ne serait pas le cas, sachez que la société peut également faire du sur mesure. Les prix commencent à 699€ pour un meuble standard pour home-studio (modèle ACE), et peuvent aller jusqu’à 2690€ et même plus. Si le prix pourrait vous paraître prohibitif, il est globalement dans la moyenne de ses concurrents. L’ergonomie, le design, et les prestations proposées ne vous feront surement pas regretter votre investissement.

La société française KEODA a vu le jour en 2000, puis a été transférée en Pologne en 2006 (concurrence oblige ?). Son catalogue couvre lui aussi tous les besoins, et propose également du sur mesure si votre demande n’est pas satisfaite par les produits de son catalogue. Les tarifs varient évidemment en fonction des prestations et des finitions demandées. Comptez sur un budget de 1500€ voir beaucoup plus, en fonction du mobilier recherché.

Le fabricant américain ARGOSY est en quelque sorte la référence mondiale en terme de mobilier de studio / home-studio. Son catalogue propose de nombreuses déclinaisons d’un même modèle (nombre d’unités rackables, tiroir coulissant ou non, supports de moniteurs ou pas, etc). En plus de cela, certains produits sont dédiés à du matériel en particulier. Par exemple, si vous avez la chance de posséder une D-Control de chez AVID, vous serez certainement très heureux de savoir que du mobilier lui est entièrement consacré. Les prix vont de 1000$ environ pour le modèle « Opus », à plusieurs milliers de dollars pour une station DUAL 15KL (2600$ environ). De nombreuses options peuvent être ajoutées comme des racks sur roulettes, des supports d’écrans LCD (pratique pour libérer de la place et y mettre une surface de contrôle ou autre).

Chez Output (célèbre éditeur de banque sons et d’instruments virtuels), on a décidé de se diversifier et de se lancer dans le mobilier home-studio. Cet outsider, a proposé récemment le meuble « Plateform » (c’est son nom), tout premier produit d’une gamme qui devrait s’agrandir si le succès est au rendez-vous. Bien que proposant une finition nettement moins aguichante que la concurrence, le tarif est à l’avenant et plutôt compétitif (549$). Pour ceux qui ne possèdent pas un choix pléthorique de périphériques, c’est un premier investissement qui pourrait s’avérer très intéressant.

La société ZAOR est elle aussi plutôt jeune sur le créneau (elle a été fondée en 2013 par le pianiste Michele Zullo). Elle a su proposer dès le début de son activité des produits modulaires, et capables de répondre à quasiment tous les besoins. Là aussi, le sur mesure est envisageable, et la qualité de fabrication aussi bien que le choix des finitions sont à la hauteur. En terme de tarification, les prix restent particulièrement contenus. Vous pourrez par exemple vous offrir le modèle « Miza 88XL », offrant 12 unités 19 pouces pour vos racks, une tablette coulissants sous le plateau principal pour y mettre un clavier de 88 notes, des passages de câbles un peu partout, etc, pour moins de 1000€. Jetez y un oeil ou deux, vous verrez il y a de quoi faire !

Dernier fabricant de notre sélection : Studio Desk. La société basée en Slovénie propose une belle variété de meubles / accessoires / etc, qui satisferont aussi les fans de design (la finition est vraiment superbe). En effet, c’est une particularité des produits de cette marque, on soigne aussi bien l’ergonomie que le look. Vous pourrez sélectionner les finitions de votre choix à des prix plutôt raisonnables vu la qualité des prestations offertes. Comptez dans les 1300€ pour un meuble proposant 18 unités pour y loger vos racks, un plateau d’une largeur suffisante pour y accueillir un clavier de 88 notes, deux supports orientables pour vos moniteurs, etc.

Notre sélection s’arrête là même si d’autres références existent (nous ne pourrons pas toutes les citer dans cet article). Si vos finances ne vous permettent pas un tel niveau de dépenses, voyons quelles sont les alternatives qu’ils nous restent, afin envisager un agencement de notre espace musicale dans un budget nettement plus réduit.

DIY ? « Juste fais-le ! :) »

Le DIY est de plus en plus à la mode ces derniers temps, et fera certainement appel à vos talents de bricoleurs pour parvenir à vos fins. Pendant que j’y pense, savez-vous ce que l’abréviation « DIY » veut dire ? Et bien ce sont 3 mots distincts dont les initiales ont été reprises (Do It Yourself = Fais-le toi-même). C’est bien souvent faute de liquidités que l’on se tourne vers le « système D ». Mais attention, loin d’être une solution au rabais, si vous avez « des mains en or », et l’outillage adéquat, vous pourriez réaliser de véritables merveilles !

L’espace de travail principal.

Un certain nombre d’entre vous auront le réflexe de se tourner vers leur magasin de bricolage préféré pour y acheter un plan de travail. Proposé à des dimensions variées, et à un tarif plutôt bon marché, il pourra faire office de « première pierre » et être un bon début pour profiter d’une surface à l’esthétique soignée. Si vous optez pour cette solution, n’hésitez pas à choisir une épaisseur qui sera suffisante pour supporter le poids des matériels qui y reposeront. Attention, n’allez pas pour autant tomber dans l’excès et vous procurer un plan de travail qui aura l’épaisseur d’une plaque de marbre (20mm devrait suffire largement). Le choix du support va être également très important, car de lui dépendra la stabilité de votre meuble. Les tréteaux sont bien souvent des éléments de choix pour la stabilité qu’ils apportent, mais aussi pour leur prix plutôt « friendly ». Gros inconvénients par contre : ils ne sont pas réglables en hauteur. Dans ce cas, préférez des pieds métalliques qui vous donneront une amplitude de quelques dizaines de millimètres, afin d’ajuster l’ensemble en hauteur (après tout, le confort c’est important).

Si vous possédez un clavier de commande MIDI, il serait peut-être judicieux d’envisager de le placer sous votre plateau principal. Pour cela, procurez vous des glissières adaptées aux poids cumulés du plateau qui servira de support, et de celui du clavier lui-même. Encore une fois, du médium (MDF) devrait suffire (pensez à choisir une épaisseur adaptée afin de garantir la solidité de l’ensemble). En plus d’être fonctionnel, le plateau coulissant libèrera la surface de votre plateau principal, lequel pourra accueillir en complément, une surface de contrôle (Mackie Control, Avid Control Mix, Korg nanoKontrol, etc), mais aussi les incontournables clavier / souris !w

Mon écran ? Il est là ou je veux !

Toujours par souci d’espace, et si votre écran LCD est compatible VESA, sachez que vous pourrez le suspendre à un bras articulé. Encore une fois, on n’y pense pas forcément, mais le gain de place et de productivité en seront encore améliorés. Certains modèles plus onéreux permettent également d’en cumuler un certains nombres (jusqu’à 6 au total). Pour les fans de simulateur de vol, ou de boursicotage à domicile, croyez moi, vous serez aux anges. Sachant qu’en MAO, il est très fréquent de travailler sur 2 écrans minimum, c’est le genre d’investissement que vous ne regretterez pas de sitôt !

Le petit plus …

Si vous disposez d’une ribambelle de matériels en tous genres, la quantité d’alimentations électriques, de jack et autres pourraient transformer la partie non visible de votre espace de travail en véritable forêt vierge ! Rappelez vous, une meilleure organisation permet une meilleure circulation de l’air, et donc un meilleur refroidissement de tout ce petit monde (vous y compris lol). Pensez donc à investir quelques euros dans quelques passe-câbles qui vous permettront de structurer l’ensemble.

En ce qui concerne la fabrication d’un ou plusieurs racks (indépendants ou fixes sur votre plateau principal), de nombreux tutos pullulent sur la toile, et permettent aux plus débrouillards, de façonner leurs caissons à roulettes en 2 temps 3 mouvements (et pour une somme relativement modique) ! Important : pensez à bien prendre en considération la profondeur de vos racks pour choisir un plateau aux mesures adéquates. Côté choix de la matière première, le bois reste sans conteste meilleur marché, et offre une bonne solidité / stabilité dans le temps. Préférez question rapport qualité / prix, du bois MDF (Medium Density Fiberboard). Il s’agit tout simplement de panneaux de fibres à moyenne densité que vous pourrez faire découper dans le magasin de bricolage de votre choix pour trois fois rien, et aux dimensions requises. Ces panneaux sont dits « de process » car fabriqués à partir de fibres de bois et d’un liant synthétique qui lui assure une belle robustesse. On l’utilisera pour plusieurs raisons : son homogénéité dans les 3 dimensions, son prix (plutôt économique), sa résistance au feu, sa coupe parfaite et qui ne laisse pas de bavures, la possibilité de le peindre, où de le vernir avec un très bon rendu final. En ce qui concerne les autres éléments qui constitueront notre rack, de nombreux revendeurs (français et européens), proposent toutes les pièces métalliques nécessaires pour n’avoir plus qu’à les visser sur le matériau de votre choix. Côté finitions, plusieurs options s’offrent à vous : peinture mate, vernis, laque,ou encore le Tolex au rendu très classe (comme celui des amplis Fender ou Marshall par exemple). Bref, tous les délires sont quasiment envisageables. On trouve du Tolex ou du simili cuir à des prix plutôt raisonnables, et la pose ne vous demandera pas de compétences spécifiques (de nombreux tutoriels vous expliqueront la marche à suivre).

Et si on faisait le notre ?

Voyons comment appréhender la fabrication d’un rack simple à roulettes. Côté mesures, il vous faudra respecter certaines côtes spécifiques pour pouvoir y insérer vos périphériques rackables. Nous allons partir sur un petit rack offrant 14 unités. Les mesures intérieures de notre rack devront faire 485mm (soit 19,1 pouces). Partant de là, la hauteur intérieure pour 14 unités devra être de 567mm. La profondeur sera de plus ou moins 607mm, afin d’y accueillir des périphériques ayant une profondeur certaine. En respectant ces dimensions, libre à vous d’envisager de doubler ses valeurs (pour un rack double par exemple).

En utilisant du bois MDF de 10mm d’épaisseur, pensez à rajouter 2x 10mm (chaque panneau latéral de votre rack faisant également de 10mm d’épaisseur) pour le plateau supérieur. Pour le plateau inférieur, n’hésitez pas à utiliser une épaisseur plus importante (elle supportera un poids conséquent lorsque ce votre rack sera plein. Vous

n’êtes pas équipés en matériels de bricolage ?

Qu’à cela ne tienne, demandez au rayon découpe du bois du magasin ou vous irez vous approvisionner de faire toutes vos découpes. Moyennant 1€ environ le coup de scie circulaire, vous devriez vous en sortir à moindre coût ! ;) En ce qui concerne l’assemblage de vos différents éléments, je vous conseille un assemblage à lamelles. Il s’agit de petites pièces de bois qui viendront s’insérer dans des rainures que vous aurez préalablement réalisées sur vos panneaux MDF. Une petite machine sera nécessairement pour réaliser vos rainures, mais gageons que dans votre entourage, quelqu’un pourra certainement vous en prêter une ;) Une fois faites, déposez-y à l’intérieur de la colle à bois, puis insérez-y une lamelle. Les panneaux pourront ainsi s’emboiter les uns dans les autres. L’utilisation de serres joints est indispensable pour maintenir un niveau de serrage suffisant.

Petit plus : l’ajout à votre construction d’une traverse en bois n’est pas négligeable (par exemple une chute d’une épaisseur de 20mm et de 3 ou 4 centimètres de haut). Elle viendra se positionner à l’intérieur de votre rack, afin de garantir un niveau de rigidité supérieur.

Placement des rails

Il est conseillé de fixer les rails latéraux (ceux qui serviront à fixer vos périphériques), légèrement en retrait du bord. Envisagez de laisser un petit centimètre, voir plus si vous estimer cela nécessaire. N’hésitez pas à prendre votre temps et à bien repérer les endroits ou vous viendrez visser vos rails. Attention à la visserie utilisée, car de ce critère dépendra la robustesse de la fixation de vos rails (autant bien y réfléchir avant que l’irréparable n’arrive). Concernant le choix du fournisseur, Adam Hall est un fournisseur bien connu et qui commercialise à des prix relativement modestes, des kits parfaitement adaptés à ce genre de réalisation.

Détournez un objet de son utilité première !

Pour les bricoleurs ne souhaitant pas y laisser tout leur temps, sachez qu’il est possible de faire du « Hacking » de mobilier existant. Oui oui, c’est le terme à la mode employé sur la toile ! Le but : partir sur une base existante (très souvent une création de chez Ikea), et de le customiser en fonction de ses besoins. Un site internet entier s’est spécialisé dans l’exercice, et propose entre autres, des réalisations de workstations plus ou moins bien réussies.

Quelques soient vos besoins, vous trouverez toujours une solution pour que le mobilier puisse accueillir dans les meilleures conditions, votre matériel chèrement acquis. Comme nous avons pu le voir, certaines solutions peuvent être particulièrement onéreuses en fonction des prestations demandées. Reste qu’avec un peu d’huile de coude, quelques outils, et du bon sens, vous pourriez également réaliser à moindre coût, le meuble de vos rêve. Certes il va vous falloir prendre le temps de la réflexion afin de ne pas « vous louper ». Reste qu’une fois votre meuble, rack ou autres achevés, vous en tirerez non seulement la plus grande satisfaction, mais aussi faire de sacrées économies ! Petit bonus, vous pourrez également vous exclamer devant vos ami(e)s : « c’est moi qui l’ai fait ! ». Croyez-moi, vous susciterez l’admiration ! ;-)

Liens utiles:

Simili cuir: Leobert Tobolski Frères: http://www.leobert-tissus-paris.fr/ Tolex: Kingeshop : http://www.nos.kingeshop.com/Grill-Cloth-Tolex-cbnaaaaaa.asp Tube-Town : http://www.tube-town.net/ttstore/Tolex-entoilage/Tolex:::111_119.html

Pièces pour Racks: https://www.adamhall.com/shop/fr-fr/flight-case/

FREEWARE

Dans chaque numéro nous allons vous proposer un produit (instrument virtuel, plug-in audio / Midi, etc) disponible gratuitement sur la toile. Attention aux préjugés concernant les freewares car vous pourriez être agréablement surpris! Certains d’entre eux mériteraient largement d’être payants ;)

AMPLE SOUND

AMPLE PERCUSSION CLOUDRUM

NOTRE FREEWARE DU MOIS EST PLUTÔT ATYPIQUE, AVEC UN INSTRUMENT QUE VOUS NE RISQUEZ PAS DE CROISER TOUS LES JOURS : UN TONGUE DRUM. PROPOSÉ PAR L’ÉDITEUR AMPLE SOUND, CE DERNIER A ÉTÉ PRÉSENTÉ À L’OCCASION DES FÊTES DE NOËL ! PROFITONS-EN POUR DÉBALLER NOTRE CADEAU ET VOIR CE QU’IL NOUS RÉSERVE;-)

AMPLE PERCUSSION

CLOUDRUM

Spécifications :

instrument virtuel dédié au Tongue Drum.

Compatibilité :

MAC / PC

Formats supportés :

VST / Audio Unit / AAX Mac

Tarif : gratuit. C’est quoi le Tongue Drum ?

Un bonne partie d’entre nous se demandera ce qu’un Tongue Drum pourra être. C’est une question légitime, tant l’instrument est plutôt rare et donc méconnu. Pour faire simple, le Tongue Drum fait partie de la famille des percussions mélodiques comme le Hand Drum par exemple.

Il est réalisé généralement à la main et confectionné à partir d’une feuille d’acier inoxydable, bien que d’autres matériaux puissent être utilisés. Pour en jouer, on utilisera principalement ses doigts mais d’autres auront recours à des baguettes. L’instrument se positionne soit sur les cuisses soit sur un support matelassé (à la convenance de chacun). L’étendue sonore de l’instrument varie suivant les modèles.