pour un portrait de jean-baptiste sécheret J’ai connu le peintre et graveur Jean-Baptiste Sécheret
ocres, chiriquiennement métaphysiques, de La Valletta,
entre 1984 et 1986, quand il était à la Casa Velázquez,
la capitale maltaise. Et bien entendu des vertigineuses
mais en 1989, quand Berggruen montra à Arco quelques
visions new-yorkaises, dont certaines (L’heure bleue :
un de ses monotypes de la Sierra. En 1992 j’écrivis
immense déploiement de très belle peinture !) sont
dans A B C sur son “monde mystérieux” d’entonnoirs,
montrées ici, ainsi que des vues du Léman à Lausanne,
de têtes de poissons et de villes exposés dans une
ou, retour sur la proche banlieue parisienne,
galerie madrilène (Bárcena & Berggruen) qui n’existe
de Gennevilliers.
plus. En 1994, ma La ronde des jours s’enrichit d’un
2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 77 × 69 cm
levée du jour sur l’upper west side, n e w yo r k 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75,8 × 69,5 cm
l a t o u r p l e y e l e n c o r e d e b o u t, gennevilliers 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 68 × 76 cm en couverture
l ’ h e u r e b l e u e , n e w yo r k
2016 – 2018 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 209 × 250 cm état intermédiaire (détail)
La Normandie, terre de ses ancêtres, inspire
frontispice à l’eau-forte par le peintre, une image
également Sécheret : voir ici cette vision des cheminées
des tours de Saint-Sulpice, si huysmaniennes,
du Havre, au fond d’une vue du bord de mer d’un
contemplées de chez James Lord. Jean Clair fut
Trouville au charme désuet. En 2013, il a su exprimer,
le présentateur du volume, chez Lambert-Rouland,
avec des accents noirs, la très provinciale mélancolie
où nous étions entourés de visions d’un Paris réduit
de Brive-la-Gaillarde, dans ses lithographies pour
par le peintre au ciel, et au sommet des bâtiments.
Mémoire des murs, livre de Pierre Bergounioux,
Vues qui, ainsi que sa lithographie d’une Notre Dame
né là-bas. Plus au Sud, en 2014, il a exposé au Musée
enneigée, lui assurent une place parmi les grands
Goya de Castres, s’attaquant au lustre de La Junte des
“chroniqueurs en images” de la ville de Meryon
Philippines, un des chef-d’œuvres du peintre espagnol
et Atget…
qui y sont conservés, loin des grandes routes…
Au fil des années, nous nous sommes vus à Paris
p ro f i l du p i e r r e , n e w yo r k
Je me souviens aussi de quelques paysages urbains
dans le contexte madrilène. Curieusement, non pas
juan manuel bonet
bien sûr (surtout pendant les quatre années où j’y vécus), dans son atelier de la Cité des Artistes, rue Ordener, ou à l’Institut Cervantes, mais aussi à Madrid, où il revient fréquemment s’entretenir
Jean-Baptiste Sécheret
De Gênes à New York
avec Antonio López García, un de ses phares. Fouquet, Poussin, Chardin, Corot, Degas, Seurat, Bonnard, Vuillard, Vallotton, Morandi, Hopper : autres phares qui ont illuminé le cheminement de ce dévorateur d’histoire de la peinture. Si Chardin et Morandi l’ont aidé dans son approche de la nature morte, Poussin et Corot l’ont poussé vers l’Italie, d’où il a rapporté des tableaux de pini romani et certaines impressionnantes estampes de la capitale, ainsi que des vues de Brindisi ou du port industriel
Galerie Jacques Elbaz
de Gênes, ici même exposées… En Espagne, en plus
+33 (0)6 49 01 66 35
de la Sierra de Guadarrama et de la Sierra Nevada,
+33 (0)6 43 32 71 70
il a peint la capitale, ses fades quartiers populaires, ainsi que Tarragone, si romaine.
contact@galeriejacqueselbaz.com www.galeriejacqueselbaz.com
pour un portrait de jean-baptiste sécheret J’ai connu le peintre et graveur Jean-Baptiste Sécheret
ocres, chiriquiennement métaphysiques, de La Valletta,
entre 1984 et 1986, quand il était à la Casa Velázquez,
la capitale maltaise. Et bien entendu des vertigineuses
mais en 1989, quand Berggruen montra à Arco quelques
visions new-yorkaises, dont certaines (L’heure bleue :
un de ses monotypes de la Sierra. En 1992 j’écrivis
immense déploiement de très belle peinture !) sont
dans A B C sur son “monde mystérieux” d’entonnoirs,
montrées ici, ainsi que des vues du Léman à Lausanne,
de têtes de poissons et de villes exposés dans une
ou, retour sur la proche banlieue parisienne,
galerie madrilène (Bárcena & Berggruen) qui n’existe
de Gennevilliers.
plus. En 1994, ma La ronde des jours s’enrichit d’un
2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 77 × 69 cm
levée du jour sur l’upper west side, n e w yo r k 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75,8 × 69,5 cm
l a t o u r p l e y e l e n c o r e d e b o u t, gennevilliers 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 68 × 76 cm en couverture
l ’ h e u r e b l e u e , n e w yo r k
2016 – 2018 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 209 × 250 cm état intermédiaire (détail)
La Normandie, terre de ses ancêtres, inspire
frontispice à l’eau-forte par le peintre, une image
également Sécheret : voir ici cette vision des cheminées
des tours de Saint-Sulpice, si huysmaniennes,
du Havre, au fond d’une vue du bord de mer d’un
contemplées de chez James Lord. Jean Clair fut
Trouville au charme désuet. En 2013, il a su exprimer,
le présentateur du volume, chez Lambert-Rouland,
avec des accents noirs, la très provinciale mélancolie
où nous étions entourés de visions d’un Paris réduit
de Brive-la-Gaillarde, dans ses lithographies pour
par le peintre au ciel, et au sommet des bâtiments.
Mémoire des murs, livre de Pierre Bergounioux,
Vues qui, ainsi que sa lithographie d’une Notre Dame
né là-bas. Plus au Sud, en 2014, il a exposé au Musée
enneigée, lui assurent une place parmi les grands
Goya de Castres, s’attaquant au lustre de La Junte des
“chroniqueurs en images” de la ville de Meryon
Philippines, un des chef-d’œuvres du peintre espagnol
et Atget…
qui y sont conservés, loin des grandes routes…
Au fil des années, nous nous sommes vus à Paris
p ro f i l du p i e r r e , n e w yo r k
Je me souviens aussi de quelques paysages urbains
dans le contexte madrilène. Curieusement, non pas
juan manuel bonet
bien sûr (surtout pendant les quatre années où j’y vécus), dans son atelier de la Cité des Artistes, rue Ordener, ou à l’Institut Cervantes, mais aussi à Madrid, où il revient fréquemment s’entretenir
Jean-Baptiste Sécheret
De Gênes à New York
avec Antonio López García, un de ses phares. Fouquet, Poussin, Chardin, Corot, Degas, Seurat, Bonnard, Vuillard, Vallotton, Morandi, Hopper : autres phares qui ont illuminé le cheminement de ce dévorateur d’histoire de la peinture. Si Chardin et Morandi l’ont aidé dans son approche de la nature morte, Poussin et Corot l’ont poussé vers l’Italie, d’où il a rapporté des tableaux de pini romani et certaines impressionnantes estampes de la capitale, ainsi que des vues de Brindisi ou du port industriel
Galerie Jacques Elbaz
de Gênes, ici même exposées… En Espagne, en plus
+33 (0)6 49 01 66 35
de la Sierra de Guadarrama et de la Sierra Nevada,
+33 (0)6 43 32 71 70
il a peint la capitale, ses fades quartiers populaires, ainsi que Tarragone, si romaine.
contact@galeriejacqueselbaz.com www.galeriejacqueselbaz.com
fin de journée sur le port de gênes (diptyque) 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 70 cm (chaque)
la tour-de-peilz, i à v
l au sa n n e , i à v
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, vue depuis la lanterna (diptyque) 2017 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 68 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, v u e d e p u i s l e c o l u m bu s, i à v i l e s t h e r m e s da n s l a b ru m e , ro m e 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 69,5 cm
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
les thermes vus du forum, rome 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75 × 67 cm
v u e s u r l e h av r e , t r o u v i l l e 2006 – 2019 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 130 × 122 cm
fin de journée sur le port de gênes (diptyque) 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 70 cm (chaque)
la tour-de-peilz, i à v
l au sa n n e , i à v
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, vue depuis la lanterna (diptyque) 2017 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 68 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, v u e d e p u i s l e c o l u m bu s, i à v i l e s t h e r m e s da n s l a b ru m e , ro m e 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 69,5 cm
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
les thermes vus du forum, rome 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75 × 67 cm
v u e s u r l e h av r e , t r o u v i l l e 2006 – 2019 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 130 × 122 cm
fin de journée sur le port de gênes (diptyque) 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 70 cm (chaque)
la tour-de-peilz, i à v
l au sa n n e , i à v
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, vue depuis la lanterna (diptyque) 2017 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 68 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, v u e d e p u i s l e c o l u m bu s, i à v i l e s t h e r m e s da n s l a b ru m e , ro m e 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 69,5 cm
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
les thermes vus du forum, rome 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75 × 67 cm
v u e s u r l e h av r e , t r o u v i l l e 2006 – 2019 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 130 × 122 cm
fin de journée sur le port de gênes (diptyque) 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 70 cm (chaque)
la tour-de-peilz, i à v
l au sa n n e , i à v
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, vue depuis la lanterna (diptyque) 2017 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 68 cm (chaque)
l e p o rt d e g ê n e s, v u e d e p u i s l e c o l u m bu s, i à v i l e s t h e r m e s da n s l a b ru m e , ro m e 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 76 × 69,5 cm
2017 pastel sur papier vergé du x v i i i e siècle 13,3 × 32 cm (chaque)
les thermes vus du forum, rome 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75 × 67 cm
v u e s u r l e h av r e , t r o u v i l l e 2006 – 2019 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 130 × 122 cm
pour un portrait de jean-baptiste sécheret J’ai connu le peintre et graveur Jean-Baptiste Sécheret
ocres, chiriquiennement métaphysiques, de La Valletta,
entre 1984 et 1986, quand il était à la Casa Velázquez,
la capitale maltaise. Et bien entendu des vertigineuses
mais en 1989, quand Berggruen montra à Arco quelques
visions new-yorkaises, dont certaines (L’heure bleue :
un de ses monotypes de la Sierra. En 1992 j’écrivis
immense déploiement de très belle peinture !) sont
dans A B C sur son “monde mystérieux” d’entonnoirs,
montrées ici, ainsi que des vues du Léman à Lausanne,
de têtes de poissons et de villes exposés dans une
ou, retour sur la proche banlieue parisienne,
galerie madrilène (Bárcena & Berggruen) qui n’existe
de Gennevilliers.
plus. En 1994, ma La ronde des jours s’enrichit d’un
2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 77 × 69 cm
levée du jour sur l’upper west side, n e w yo r k 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75,8 × 69,5 cm
l a t o u r p l e y e l e n c o r e d e b o u t, gennevilliers 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 68 × 76 cm en couverture
l ’ h e u r e b l e u e , n e w yo r k
2016 – 2018 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 209 × 250 cm état intermédiaire (détail)
La Normandie, terre de ses ancêtres, inspire
frontispice à l’eau-forte par le peintre, une image
également Sécheret : voir ici cette vision des cheminées
des tours de Saint-Sulpice, si huysmaniennes,
du Havre, au fond d’une vue du bord de mer d’un
contemplées de chez James Lord. Jean Clair fut
Trouville au charme désuet. En 2013, il a su exprimer,
le présentateur du volume, chez Lambert-Rouland,
avec des accents noirs, la très provinciale mélancolie
où nous étions entourés de visions d’un Paris réduit
de Brive-la-Gaillarde, dans ses lithographies pour
par le peintre au ciel, et au sommet des bâtiments.
Mémoire des murs, livre de Pierre Bergounioux,
Vues qui, ainsi que sa lithographie d’une Notre Dame
né là-bas. Plus au Sud, en 2014, il a exposé au Musée
enneigée, lui assurent une place parmi les grands
Goya de Castres, s’attaquant au lustre de La Junte des
“chroniqueurs en images” de la ville de Meryon
Philippines, un des chef-d’œuvres du peintre espagnol
et Atget…
qui y sont conservés, loin des grandes routes…
Au fil des années, nous nous sommes vus à Paris
p ro f i l du p i e r r e , n e w yo r k
Je me souviens aussi de quelques paysages urbains
dans le contexte madrilène. Curieusement, non pas
juan manuel bonet
bien sûr (surtout pendant les quatre années où j’y vécus), dans son atelier de la Cité des Artistes, rue Ordener, ou à l’Institut Cervantes, mais aussi à Madrid, où il revient fréquemment s’entretenir
Jean-Baptiste Sécheret
De Gênes à New York
avec Antonio López García, un de ses phares. Fouquet, Poussin, Chardin, Corot, Degas, Seurat, Bonnard, Vuillard, Vallotton, Morandi, Hopper : autres phares qui ont illuminé le cheminement de ce dévorateur d’histoire de la peinture. Si Chardin et Morandi l’ont aidé dans son approche de la nature morte, Poussin et Corot l’ont poussé vers l’Italie, d’où il a rapporté des tableaux de pini romani et certaines impressionnantes estampes de la capitale, ainsi que des vues de Brindisi ou du port industriel
Galerie Jacques Elbaz
de Gênes, ici même exposées… En Espagne, en plus
+33 (0)6 49 01 66 35
de la Sierra de Guadarrama et de la Sierra Nevada,
+33 (0)6 43 32 71 70
il a peint la capitale, ses fades quartiers populaires, ainsi que Tarragone, si romaine.
contact@galeriejacqueselbaz.com www.galeriejacqueselbaz.com
pour un portrait de jean-baptiste sécheret J’ai connu le peintre et graveur Jean-Baptiste Sécheret
ocres, chiriquiennement métaphysiques, de La Valletta,
entre 1984 et 1986, quand il était à la Casa Velázquez,
la capitale maltaise. Et bien entendu des vertigineuses
mais en 1989, quand Berggruen montra à Arco quelques
visions new-yorkaises, dont certaines (L’heure bleue :
un de ses monotypes de la Sierra. En 1992 j’écrivis
immense déploiement de très belle peinture !) sont
dans A B C sur son “monde mystérieux” d’entonnoirs,
montrées ici, ainsi que des vues du Léman à Lausanne,
de têtes de poissons et de villes exposés dans une
ou, retour sur la proche banlieue parisienne,
galerie madrilène (Bárcena & Berggruen) qui n’existe
de Gennevilliers.
plus. En 1994, ma La ronde des jours s’enrichit d’un
2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 77 × 69 cm
levée du jour sur l’upper west side, n e w yo r k 2018 – 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 75,8 × 69,5 cm
l a t o u r p l e y e l e n c o r e d e b o u t, gennevilliers 2019 pigments et colle sur papier du Bhoutan 68 × 76 cm en couverture
l ’ h e u r e b l e u e , n e w yo r k
2016 – 2018 pigments et colle sur papier marouflé sur toile 209 × 250 cm état intermédiaire (détail)
La Normandie, terre de ses ancêtres, inspire
frontispice à l’eau-forte par le peintre, une image
également Sécheret : voir ici cette vision des cheminées
des tours de Saint-Sulpice, si huysmaniennes,
du Havre, au fond d’une vue du bord de mer d’un
contemplées de chez James Lord. Jean Clair fut
Trouville au charme désuet. En 2013, il a su exprimer,
le présentateur du volume, chez Lambert-Rouland,
avec des accents noirs, la très provinciale mélancolie
où nous étions entourés de visions d’un Paris réduit
de Brive-la-Gaillarde, dans ses lithographies pour
par le peintre au ciel, et au sommet des bâtiments.
Mémoire des murs, livre de Pierre Bergounioux,
Vues qui, ainsi que sa lithographie d’une Notre Dame
né là-bas. Plus au Sud, en 2014, il a exposé au Musée
enneigée, lui assurent une place parmi les grands
Goya de Castres, s’attaquant au lustre de La Junte des
“chroniqueurs en images” de la ville de Meryon
Philippines, un des chef-d’œuvres du peintre espagnol
et Atget…
qui y sont conservés, loin des grandes routes…
Au fil des années, nous nous sommes vus à Paris
p ro f i l du p i e r r e , n e w yo r k
Je me souviens aussi de quelques paysages urbains
dans le contexte madrilène. Curieusement, non pas
juan manuel bonet
bien sûr (surtout pendant les quatre années où j’y vécus), dans son atelier de la Cité des Artistes, rue Ordener, ou à l’Institut Cervantes, mais aussi à Madrid, où il revient fréquemment s’entretenir
Jean-Baptiste Sécheret
De Gênes à New York
avec Antonio López García, un de ses phares. Fouquet, Poussin, Chardin, Corot, Degas, Seurat, Bonnard, Vuillard, Vallotton, Morandi, Hopper : autres phares qui ont illuminé le cheminement de ce dévorateur d’histoire de la peinture. Si Chardin et Morandi l’ont aidé dans son approche de la nature morte, Poussin et Corot l’ont poussé vers l’Italie, d’où il a rapporté des tableaux de pini romani et certaines impressionnantes estampes de la capitale, ainsi que des vues de Brindisi ou du port industriel
Galerie Jacques Elbaz
de Gênes, ici même exposées… En Espagne, en plus
+33 (0)6 49 01 66 35
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