Jonathan Riboud - Portfolio

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JONATHAN RIBOUD ARCHITECTURE &

GRAPHISME

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JONATHAN RIBOUD TRIANGLE DE PENROSE EDITO

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Entre Art et Science, la Forme se nourrie de son sens.

Le Triangle de Penrose Figure géométrique d’illusion d’optique à trois branches : L’Homme, l’Art et l’Architecture.


collaboration avec JSArchitectes - Lyon


MODELISATION BIM

Logements et équipements + Rendu post production

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DESIGN SUR MESURE DESSIN ET CONSULTATION

LYON - 2016 7


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collaboration avec le collectif la fuite


DISTORSION

FESTIVAL DES CABANES - FESTIV’ART

Collectif LA FUITE - Mention spéciale 2016 9


DISTORSION Une cabane dans la vallée des prières Faverges - haute savoie

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Aménagement collaboratif d’un café associatif La Pirogue Grenoble - quartier Argouges - Janvier 2016

Co-Conception & Co-fabrication

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de mobiliers a partir de matériaux de réemploi


Projet d’aménagement

Collectif La Fuite - Janvier 2016 pour l’ Association La Pirogue

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L’Arche

Projet de fin d’étude ENSA Grenoble Avec Margot Bernardi - 2015 15


L’arche,

une architecture, outil de la matérialisation d’un cosmopolitisme ignoré par trois nations voisines Appréhender un territoire transfrontalier en architecture, c’est se confronter à une situation transfrontalière spécifique à Bâle Nord. Ce territoire en pleine mutation, où jeu d’acteurs et jeu d’échelle se mêlent, impose de porter une intention particulière à des dimensions complémentaires à l’architecture, qu’elles soient économiques, politiques et surtout sociales. Avant de faire naître des concepts urbains d’envergure européenne comme ceux que le laboratoire de l’IBA met en place depuis 2010, il est nécessaire de s’interroger sur des enjeux locaux, telle que l’organisation des pratiques urbaines transfrontalières actuelles qui forgent toute la dynamique du site.

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À l’inverse des masters plans évoqués dans le récit, la stratégie développée prend appui sur les particularités nationales au profit d’une ambition trinationale. Celle-ci n’exclut pas la possibilité de travailler une singularité dans la proposition urbaine et architecturale à travers un programme établi à partir d’une ressource locale et d’une mise en valeur du patrimoine portuaire. Cette proposition, qui n’est sans doute pas l’unique solution, donne à voir autrement les enjeux du développement urbain d’un territoire transfrontalier, tout en s’intéressant à la notion du temps fondamentale dans la pensée de projet de haute envergure. Le temps, qui aujourd’hui met en évidence toute l’appropriation et l’évolution des modes de vie possibles rattachés à un contexte, auquel bon nombre de professionnels en architecture sont confrontés.

Mémoire consultable à cette adresse : http://issuu.com/jonathanriboud/docs/riboud_bernard_web


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LE PARKING DAY & CIE

Fantaisie Urbaine Initiée par des Travaux Étudiant Collectif La Fuite - Association 1901 - 2016

Un collectif d’étudiants créé en Juin 2014, ayant pour seuls buts de se rassembler pour créer, de mutualiser des idées, des envies, des projets et de les concrétiser dans notre école d’architecture comme au dehors. Aujourd’hui Association loi 1901, le collectif La Fuite est acteur et agitateur d’événements participatifs et de médiation pour requestionner les potentiels de nos espaces au service du bien commun.


Concours ĂŠtudiant remportĂŠ



CREDITS : MELODY BURTHE - GRENOBLE


CREDITS : LA FUITE - Assemblage en atelier


huboat la maison flottante Le Concept Le concept de l’ «HUBOAT» vient du regroupement des mots «hub» qui signifie plateforme d’échange et «boat» le bateau en anglais. Notre vision de la «maison flottante de demain» s’apparente à une structure modulable permettant d’ouvrir l’accès à un confort, à l’énergie, au traitement des déchets et à bien d’autres applications en lien avec la mer (stockage de matériel sports et loisirs, module de désalinisation en mer, traitement des eaux usées et des eaux de pluies...). Eu égard aux multiples déplacements imposés par la vie actuelle, cette nouvelle forme d’habitation nous parait être l’avenir. Les différentes propositions sont ciblées par rapport aux besoins d’habitats qui peuvent exister aujourd’hui.

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-La maison autonome en mer, à partager, à louer, -Le ponton habité dans une crique, -La péniche le long d’un quai, une autre manière de résider à l’intérieur de grandes villes. Une force d’adaptabilité, la modularité et la rapidité de mise en oeuvre du concept permet de contenter toutes les tranches de population en fonction de leurs envies leurs contraintes ou leur moyens. La maison que nous proposons n’est pas un habitat à plan fixe. Dans la proposition mis en avant sur la planche, chaque module est optimisé en fonction de ses occupants.


HUBOAT

CONCOURS ÉTUDIANT BENETEAU

Collaboration avec Matthieu Sabatier

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Ainsi sur cet «huboat» il existe plusieurs déclinaisons d’habitat : Le module optimisé de 40 pouces (6 trames représenté ci-dessus) est agencé pour la vie d’un couple dans un espace total de 22,5m2. Les espaces intérieures se développent selon la multiplication de la trame structurelle qui couvre environ 3m2 (jusqu’à six trames). Une plus grande famille peut s’approprier plusieurs branches du huboat ou sa totalité en multipliant le nombre de module et leur taille.

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De même le duplex permet de dépasser la surface de plancher contrainte par la dimension du conteneur de 40 pouces. L’empilement demande cependant plus d’intervention pour la mise en oeuvre. La mise en oeuvre Chaque module est transportable dans un conteneur (40’). Il se place sur une barge flottante dès sa mise à l’eau. Ensuite, il est tracté par un remorqueur ou le bateau du propriétaire vers l’anneau central du «huboat». Cet anneau pourrait en réalité s’apparenter à une bouée de mouillage plus perfectionnée. En effet il permet de répartir la distribution entre les modules tout comme la technicité à bord (eau, déchets, linges, stockage...). Notre vision Le HUBOAT par sa flexibilité et la promesse de subvenir aux nouveaux modes d’habitats répond parfaitement aux exigences de la maison flottante de l’avenir. JONATHAN RIBOUD & MATTHIEU SABATIER


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2 TEMPS

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2 TEMPS 3 MOUVEMENTS Tencin - Grésivaudan

Master 1 - ENSA Grenoble

MOUVEMENTS


deux générations, trois équipements du fixe au plus mobile

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PROBLÉMATIQUE Dans cette perspective, nous avons décidé de travailler un projet à l’échelle de la mobilité en partant de la commune de Tencin, reprenant des problématiques qui s’étaient établis en fin d’analyse : Quel futur rôle donner à Tencin dans ce système urbain multi polaire? La mobilité est-elle l’élément d’impulsion de la vallée ? Quels équipements publics à projeter à cette échelle ? Nous avons fait un choix quant aux grands thèmes qui étaient ressorti de notre analyse, en alliant dans notre réflexion la mobilité et le manque de services, toujours dans un contexte d’intercommunalité. Ces variables nous ont permis de travailler autour de la problématique suivante : Comment rendre possible le travail d’une intercommunalité à travers une

mobilité de services ? La volonté n’est pas de faire un équipement singulier à Tencin, mais de réaliser des équipements au service d’une mobilité pour qu’ils soient rentables dans ce milieu péri urbain, tout en offrant une plus-value au contexte dans lesquels ils vont s’insérer et être employés.



PROGRAMME

De part les entretiens effectué lors de l’arpentage avec les habitants, nous avons fait le choix de nous intéresser aux jeunes ménages avec enfant, qui la plupart du temps s’installent dans le nouveau tissu pavillonnaire de Tencin, et les personnes âgées, ou handicapés qui ne sont pas en condition de se déplacer souvent en voiture. Le programme propose donc, une crèche mobile, des services de soins à domicile, un bassin de rééducation, une salle de motricité (ou de gym douce) et un ludobus.

ARCHITECTURE

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L’enjeu en alliant service et mobilité, est de concevoir un projet support d’une identité urbaine, tout en le faisant rayonner à l’extérieur. La mobilité évoque également une part de projet quelque part personnalisable pour Tencin.

Le design de services se matérialise à un moment donné à travers une architecture qui doit leur permettre d’être fonctionnel, sans pour autant laisser entrevoir les différentes contraintes, soit le caractère négatif d’une architecture de l’urgence.



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HABITER UN PARC CULTIVE

Lama - Haute-Corse

Licence 3 - ENSA Grenoble

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LE GRAND TERRITOIRE, HABITER UN PARC CULTIVE RE-INTERPRETER LA CULTURE OLEICOLE

LAMA – HAUTES CORSE Le site est une parcelle de cinq hectares aux

lelimites grand de laterritoire vallée et du village.

Il est au bout d’un ancien chemin muletier parcourant la crête, qu’empruntaient autrefois les villageois pour se rendre à leur labeur. ATELIER MARTY L’axe de circulation départemental donne de la valeur à la parcelle. 3EME ANNÉE est au cœur des échanges entre la vallée et LAMA – HAUTESElle CORSE la montée vers le village. Le site est une parcelle de cinq hectares aux limites de la vallée et du village. Il est au bout d’un ancien chemin muletier parcourant la crête, qu’empruntaient Le projet doncà leur s’inscrire ce circulation point autrefois les villageois pour sevarendre labeur. dans L’axe de d’articulation entre le village et le territoire. départemental donne de la valeur à la parcelle. Elle est au coeur des échanges du Le lien à travers projetdans « ce entre la vallée et la Comment montée verscréer le village. projet va donc ce s’inscrire habiter un parc cultivé », entre HABITAT, PARC, point d’articulation entre le village et le territoire. CULTURE. Comment créer du lien à travers ce projet « habiter un parc cultivé », entre MEZO-LOCALE HABITAT, PARC, ECHELLE CULTURE.

habiter un parc cultivé

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L’analyse du site suivant les données sitologiques ÉCHELLE MEZO-LOCALE a faitlesémerger bandes. L’analyse du site suivant données trois sitologiques a fait émerger trois bandes. En effet la géographie est structurante, sitetrois En effet la géographie est structurante, le site peut être considéré le selon peut être considéré selon trois parties. parties. Ces trois bandes sont différentes en termes de géographie, de climat, Cesdonc troisinfluer bandes sont des différentes en termes de d’ambiance. Elles vont chacune programmes géographie, de climat, d’ambiance. différents. L’enjeu principal du projet réside dans la volonté de re dynamiser EllesLama vont est donc despopulation. programmes l’économie du village. un influer village chacune qui perd en L’enjeu différents. est de ramener des activités à l’année et des jeunes. Ce projet s’inscrit dans la continuité programmatique des 9 projets présentés sur l’ensemble du village. L’enjeu principal du projet dans ladevolonté La dynamique économique sera lancée par la réside revalorisation la culture de redynamiser l’économie du village. patrimoniale oléicole et viticole. Ces deux cultures forment la symbiose Lama est un du village qui perd population. hybride de l’équilibre économique parc. Cette activitéenannuelle est assurée L’enjeu est de ramener des activités à l’année et par un centre de formation. des jeunes. Pour développer l’équilibre du projet, des logements étudiants assurent le Ce Enfin projet s’inscritde cette dans la appelle continuité logement des étudiants. la pérennité activité à d’autres logements toutefois plus durable, c’est-à-dire des logements collectifs et individuels groupés sur la crête qui domine le parc et le reste de la vallée. Le projet s’inscrit dans un contexte patrimonial omniprésent. Le système d’implantation dans la pente en corse va être porteur du projet. Les restanques, utilisées en ce lieu pour la culture hiérarchise le terrain et influe une certaine structure paysagère et même une promenade. L’architecture respectueuse de ces principes existants est guidée. Elle développe un langage architectural


pluriel autour de ces murets de pierre selon les trois bandes géographiques et programmatiques. Trois langages pour un même principe : S’ÉLANCER, vers le ciel pour habiter le muret et dialoguer avec le grand paysage ; S’IMMISCER dans le parc et l’oliveraie pour instruire, et SE CONFONDRE dans l’ambiance végétale et la promenade du parc pour se loger. Il y a une gradation depuis le projet de la crête jusqu’au projet de logement. La topographie, la hauteur, la végétation, la matérialité sont les éléments clés et sujets à cette évolution. Quand les logements sur la crête sont haut et en épaisseur, les logements étudiants finissent par disparaître et se fondre dans le paysage. ÉCHELLE MICRO-LOCALE Ces trois bandes géographies sont donc la base de la partition du programme. La bande sèche habitée se situe sur l’éperon rocheux. Habiter la crête s’inscrit dans une continuité urbanisée avec le village qui tend à rejoindre la vallée. Le langage architectural se développe autour de ce vecteur ; tenir la crête tout

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en allant chercher de la hauteur dans un dialogue avec l’échelle du site. Le rapport à la géographie est primordial, il est au point culminant du projet vers la vallée et la mer. L’architecture génère des parcours et des vues. Le mouvement du corps dans l’espace est sujet à capter des vues sur le paysage. Les cheminements en accord avec la topographie accompagnent le passage vers le logement. Son architecture se fond dans le parc. S’IMMISCER. Il tisse des relations entre les différents éléments du parc par sa position centrale. Il est le coeur du projet. Il est à la fois brutale de face et ouvert et invitant le long des murets. Son langage joue sur l’inscription aux murets, l’insertion, et la tension. Il ne dépasse pas des oliviers mais est visible par l’automobiliste. Son architecture se fragmente pour inviter le corps à se mouvoir. Chaque passage invite à une prise de vue, qui invite ellemême à avancer une nouvelle fois. Le cheminement « intérieur » au centre se déploie dans le parc et à travers l’oliveraie vers les logements étudiants. Les logements étudiants sont regroupés par équipe de trois, et disposent de


sales communes ou ils peuvent mutualiser certains usages (laver son linge, se rassembler, acheter…, salles d’eau, de restauration, de repos…). SE CONFONDRE Dans le respect du site et du système patrimonial existant, l’architecture vient se développer dans une optique d’agrément. Comment intégrer une architecture dans un système paysager existant ?

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En ce terme elle tend à se confondre dans le paysage pour respecter l’ambiance végétale qui domine cette partie du parc. L’architecture se meut à partir des murets de pierre qui dessine la topographie du terrain. Pour se confondre, l’architecture s’enterre à partir de la base de ces murets. Ce devient non Le positionnement des logements est donc cadrer par ses éléments structurants. plus l’assise mais le pilier de S’ELANCER. Murs et murets sont la base de cette l’architecture. architecture qui tend à s’élever. Le travail des épaisseurs des façades au Nord permet Le système de logement un usage agréable en été. Les pièces d’eau assurent un espaces tampon a l’ouest. Au sud les façades brise-soleil de bois fonctionne grâce à la permettent de tamiser la lumière et de se protéger de la chaleur. Le reste des espaces promenade générée par les se décline parallèlement à ces murs pour s’inscrire dans l’élancement du site. L’enjeu murets. Depuis le centre de bioclimatique réside dans cette dualité : capter en hiver au maximum, et protéger ; ventiler en été. formation on se laisse guider L’épaisseur des murs joue sur l’inertie thermique de la pierre. à travers le parc jusqu’à son Les usages varient selon les temporalités : terrasses, solarium, jardin, patios, loggias… Ils peuvent être mis en commun par les logement entre les plantations compacteurs sur les parcelles, intégrant une pratique durable au sein du programme. en pousse. Les jardins publics Le Parc public est au cœur de la parcelle. Il est au point d’articulation entre la crête ne sont pas loin, de l’autre habitée et la bande cultivée de l’oliveraie. Il agrémente la promenade paysagère côté du chemin. Les chemins du parc, depuis le centre de formation jusqu’aux logements. Son aménagement vise une mixité d’usages, sont multiples mais mènent entre espaces de pic-nic, jardins secs, et gradins, le parc peut se placer dans la tous au bas du parc, jusqu’au dynamique existante du festival du cinéma et accueillir des projections extérieures, etc… point d’eau, dernier espace Le Centre de formation est à la limite du d’agrément au bout de la parc et de la bande cultivée. Il est le support des techniques et des savoirs faires patrimoniaux sur la culture hybride promenade. En définitive ce projet maintient une volonté forte de préserver les qualités du site. Il aspire à s’insérer la culture et les principes architecturales patrimoniaux à travers une pluralité de langage architectural, de la crête au parc cultivé. L’enjeu est garanti : Préserver la culture locale tout en proposant un renouveau. 56

« L’olivier embrassé par la vigne, renaîtra de ces cendres tel un phœnix… »


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ANALYSE SYSTEMIQUE / SIG GRENOBLE - ATELIER LOirET Licence 3 - ENSAG

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STRATEGIES

SITOLOGIQUES

ECHELLE MESO-LOCALE

CONTEXTE SITOLOGIQUE CLIMATOLOGIE ZONE D’ENSOLEILLEMENT PERMANENTE

ZONE D’OMBRE PERMANENTE

VENTS D’HIVER

VENTS D’ETE

BIOLOGIE ESPACES VEGETALISES PRIVES

ESPACES VEGETALISES PUBLICS

ARBRES EXISTANTS

ARBRES A PLANTER

ILOTS DONT LES JARDINS PARTICIPENT AUX CORRIDORS BIOLOGIQUES

FACADES A VEGETALISER

MISE EN PLACE DE LA TRAME VERTE PAR CREATION ET REAMENEGMENT DE PARCS ET LIAISONS VERTES.

EXTANSION DES CORRIDORS BIOLOGIQUES VERS LES RIPISYLVES DU DRAC

GEOLOGIE HAUTEUR DE LA NAPPE PHREATIQUE - DE 3 M : DIFFICULTÉ TECHNIQUES POUR CONSTRUIRE DES NIVEAUX SOUTERRAINS

CONTEXTE ANTHROPOLOGIQUE HISTOIRE

ELEMENTS HISTORIQUES A VALORISER

ORGANISATION URBAINE

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PARCELLES

LOGEMENTS

EQUIPEMENTS PUBLICS

EQUIPEMENTS PUBLICS A RESTAURER

LIEUX DE CULTE

LIEUX DE CULTE A CREER

COMMERCE EXISTANT

COMMERCE A IMPLANTER

ARTISANAT EXISTANT

ARTISANAT A IMPLANTER

ESPACES VEGETALISES PUBLICS

POSITIONNEMENT ET ATTRACTIVITE PORTES DU QUARTIER A REAMENAGER

COUPE A-A RUE NICOLAS CHORIER ECH. 1/200

MORPHOLOGIE

1.7

REAMENAGEMENT DE LA RUE NICOLAS CHORIER

2.3

1.5

5.0

1.5

REAMENAGEMENT DE LA RUE MARX DORMOY

+

REAMENAGEMENT DE LA RUE D’ALEMBERT RUE BLANCHES TRAITER FACADES ET SOLS AVEC MATERIAUS CLAIRS POUR ELARGIR VISUELLEMENT ET MINIMISER L’ECRASEMENT PAR LE VERCORS. SERVITUDES PIETONNES A CREER OU A RENFORCER

COUPE B-B RUE MAX DORMOY ECH. 1/200

VOIES A CREER LORS DE LA DISPARITION DE L’USINE

1.5 1.0

BATIMENTS INSALUBRES

5.0

1.0 0.5

PERCEPTIONS PARC SONORE, CREATION D’UN ESPACE VEGETAL DE DEAMBULATION LIE ET OUVERT SUR LE PARCPARMENTIER, INSERTION DE CELLULES SONORES DIFFUSANT DE LA MUSIQUE THERAPEUTIQUE. PROMENADE VERTE, CONTINUITE VISUEL ET MATERIEL PONCTUEE D’OEUVRES D’ART SUR

LE THEME DE LA NATURE

RUPTURE DE LA TEXTURE DE LA RUE NICOLAS CHORRIER PIETONNISATION DE LA PLACE ST BRUNO ET DE SES ABORDS, HOMOGENEISATION DES TEXTURES AU SOL REPERE VISUEL EXISTANT

REPERE VISUEL NOCTURNE A CREER, CHEMINEE BELVEDERE

CHANGEMENT DU REVETEMENT DES ARCHES

DISPOSITION DE MOBILIER PHONO-ABSORBANT

VEGETALISATION MASSIVE DE LA RUE NICOLAS CHORRIER

AMBIANCE MARAIS, CANAL, UTILISATION DE PLANTES LACUSTRES

AFIN DE LIMITER LA REVERBERATION

DIMINUTION OU AUGMENTATION DE L’INTENSITE LUMINEUSE PRECONISATIONS ARCHITECTURALES EN RAPPORT AVEC LES UNITÉS D’AMBIANCE ESPACE DE CREATION RAPPORT AU SOL: RDC en relation avec l’espace public; permettre l’instalation d’activités et d’artisanats. Les rendre porreux et visibles (vitrines). MATERIAUX/COULEURS: Mettre en rapport avec les activités artisanales (textiles, cuir, métal...) GABARITS/IMPLANTATION: Uniformiser les hauteurs, avoir le répondant de chaque coté de la rue. R+4 à R+6 en moyenne.

ESPACE LUISANT RAPPORT AU SOL: Prévoir RDC pouvant accueillir des commerces. MATERIAUX/COULEURS: Minéralité (pierre, crépis...) et couleurs chaudes (jaunes, oranges, rouges, ocres) Distinguer les RDC au niveau des matériaux. GABARITS/IMPLANTATION: Hauteur inférieure à celle de l’église pour garder sa visibilité dans le quartier (point de repère); R+4 R+5 en moyenne.

ESPACE SEQUENCES RAPPORT AU SOL: Prévoir continuité pietonne du niveau de sol, des RDC mixtes (commerces, activités, logements). Limiter les barières physiques (clotures, haies...) MATERIAUX/COULEURS: Couleurs vives et/ou nuances naturelles (terre, vert, orange...); et matériaux naturels (terre, bois, pierre et forte présence du végétal). GABARITS/IMPLANTATION: Typologie qui favorise l’ensolleillement et la place du végétal. Implantation “organique” qui viendrais cadrer, jalonner le cheminement tout restant largement ouvert et perméable sur les espaces végétalisés et aquatiques.

ESPACE INTIME VERDOYANT RAPPORT AU SOL: Conserver notions d’intimités tout laissant voir du végétal depuis la rue. Eviter les RDC entiers de garages. MATERIAUX/COULEURS: Privilégier matériaux hétéroclites mais simples et/ou en raport avec l’histoire du quartier (brique, bois pierre, crépis...) GABARITS/IMPLANTATION: Conserver les diversités d’implantations ouvrières et garder le rythme du découpage parcellaire en façade Densifier: au sol (tout en gardant une forte présence du végétal) ; en hauteur (en restant dans le gabarit ouvrier: R+3 max.)

ESPACE VIBRANT RAPPORT AU SOL: Prévoir des RDC mixtes (équipements en rapport avec le son, activités, ou logements). MATERIAUX/COULEURS: Utilisation de matériaux phoniques ou aphoniques (réverbérants ou isolants acoustiques), facades évoquant la musicalité (ex: Xénakis) GABARITS/IMPLANTATION: Inventer des formes en rapport avec l’ambiance de foisonnement perceptif et d’originalité a générer avec des batiments signaux qui viendraient enrichir la déambulation par exemple.

LIMITES Besoin de cohérence des gabarits en fonction de la largeur des axes adjacents. Sur le long terme, cours Jean Jaures, prévoir l’augmentation des gabarits moyen (tendres vers ceux de Joseph Vallier: R+8 et plus). A la transition entre les limites et l’intérieur du quartier prévoir une décroissance progressive des hauteurs pour effectuer la suture.

FLUX CHEMINEMENT PIETON A CREER LIGNE DE TRAM EXISTANTE LIGNE DE BUS EXISTANTE

LIGNE DE BUS PROLONGER

ARRET EXISTANT

ARRET A CREER

CARRE BERRIAT ENSAG 2012 L3S5 LOIRET STRATEGIES SITOLOGIQUES 1.1000

MARIA ALECU - LOISE BEHAGHEL - LEA BLANC - REMY BORDET - GABRIEL BREMOND - MARION BRIERE - JULIE BRUN - SARA CARADEC - HUGO CHEVALLIER - JEAN BAPTISTE CLOT - LINA DAHEL - CAMILLE DEPUYDT - RHITA EL HAJRAOU - THOMAS GACHET - THOMAS GHELFI - RAPHAELLE GONZALEZ - GUILLAUME GROS - LAURA GUERIN - CAMILLE LACAILLE - FLORENT MEILLAND - ANDREA PAFUNDI - SOLINE MOGIER - JONATHAN RIBOUD - LOU RODET - LAURA SANTATO - MARIANNE VALET - MAATI ZOUITINA

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0

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200

500

1:1000

3M -


33M M

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B B

B B

++

++

33M M --

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AA AA -33M M M - - 33M

++

++

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33M M

--


EME ANNÉE 3 

 AGON  



CONTEXTE PHYSIQUE ANALYSE SYSTÉMIQUE DU SITE, BIOLOGIE AMENAGEMENT JARDIN COLLECTIF RUE RASPAIL-TRAVERSE ÎLES chaque DES famille par un  CONFORTER CORRIDOR BIOLOGIQUE l’extérieur. ÉCHELLE MICRO-LOCALE.

accès dire

 ARBRES Elle est, avec  les coursives, un e PROJET EN BINÔME LEGENDE   sociabilisation, d’activités entre v & ANTHROPOLOGIQUE   devient aussi un pour l    terrain       de    jeux    HISTOIRE     L’entrée sur la loggia par un perron INTERPRETATION     DU TRACE          HISTORIQUE DU CANAL  niveau permet une mise à distance p (PETIT DRAGON)  LA CARTE DES STRATÉGIES SITOLOGIQUES le vis-à-vis mais c’est surtout un espa ORGANISATION URBAINE   appropriable propice à la renco PARCELLES   _ ~ 0m 5 . L’analyse contextuelle à dégager des axiomes de voisins.  +3 6         LOGEMENTS projets notamment en lien avec l’implantation,   0m      0  .        JARDINS     PRIVATIFS     +9 LOGEMENTS les usagers et le programme.      PARCELLE D’INTERVENTION              La typologie de logement du T Ce projet de 11 logements se  TOITURES EN à TUILESBerriat        d’offrir    extérieu  s’efforce des espaces    ATELIER LOIRET caractérise par la volonté d’allier les qualités de           1 2 3 TOITS PLATS prolongement des de vie int   espaces     EME   _ l’habitat individuel et les avantages sociaux et ~  3 .00m ANNÉE COMMERCES EXISTANTS   sont différenciés et entrent dans un      +14 économiques du collectif. 48   d’unités d’usages plus qu’une simpl ACTIVITÉS ARTISANALES      CONTEXTE PHYSIQUE                    (Plan 1.400 ci-contre) intérieur/extérieur.   GARAGES PRIVÉS                        SITE             MURS AVEUGLES        ÉQUIPEMENTS       ET  ATTRACTIVITÉ  POSITIONNEMENT    & ANTHROPOLOGIQUE     L’analyse                  dans       la continuité  micro-locale s’inscrit                                              PÔLE                      DYNAMIQUE L’étude socio-comportementale des de l’étude~_ des stratégies sitologiques dégagées                          à conduit le programme à intégrer  par l’analyse globale du «Carré Berriat». CHEMINEMENT ECOLE             _     ~                   l’angle destiné   des en multiple à lagarde La  parcelle d’intervention, dans de la rue PROMENADE DE QUARTIER           sortie      de   l’école, et une laverie comm   Raspail et de la Traverse des SENS ÎlesAUTOMOBILE est issue de DOUBLE       proposons de déplacer un café exi      des ateliers la démolition des Compagnons de         SENS UNIQUE      appuyer notre dynamique sociale.       s’intègre         France. dans un contexte urbain    Elle          CIRCULATION VÉLOS                                                                                    est   par desDES données       qui    déterminé  CONCENTRATION FLUX              ouvrier         AMENAGEMENT                                 _  juridiques,  ~ + physiques etanthropologiques et qui MORPHOLOGIE                                   STRATEGIE DU RYTHME OUVRIER (8M) genèse du projet.      vont conditionner    la     L’aménagement urbain tisse ces rela         L’étude du quartier a orienté le programme LIMITE GABARIT +14M le projet et le contexte.   vers avec en âge    un    les   primo-accédants              enfant           La GABARIT piétonne est favorisé   LIMITE +9M  circulation                           d’aller l’école àcontinuité proximité. du sol et le dispositif de rale    +6M       à  primaire        LIMITE  GABARIT                                                                    automobiles.   des L’objectif étant de             GABARIT    +3.5M                     LIMITE                                    ambiance de placette, pour offrir un  VERTICALE           RUE                LIMITES HAUTEURS GABARIT     +            lieu  de         vie sociale au micro-quartier.                             _  ~ STYLE PLACETTE lllllllllllll AMENAGER            L’enjeu    de  concilier l’habitat individuel et collectif               OMBRES PAR TRANCHES HORAIRES   concrétise par le concept de la rue verticale.         se                    PERCEPTION                          De la rue publique et partagée, la rue verticale   lllllllllllll ‘ESPACE INTIME VERDOYANT’                        IDENTIFIÉ COMME UNITÉ        permet le parcours à travers les             d’étendre    D’AMBIANCE. RESPECTER LES               PRECONISATIONS   ÉTABLIES        LORS DES           jusqu’à chez soi, comme une ré                        logements     PHASES     D’ANALYSES PRECEDENTES. +                          40              interprétation de l’entrée individuelle pour                            +   



ENTITES

UNITÉ D’USAGE

ESPACE INTÉRIEUR

ESPACE EXTÉRIEUR

USAGES

CIRCULATIONS

SE PARER

ACCES PIÉTON ACCES VÉLO

ACCES VOITURE

SE PREPARER

TOBOGGAN

ESPACE INTIME

RELATIONS

MISE A DISTANCE (VISUELLE / PHONIQUE)

CONTIGUITÉ / PROXIMITÉ

SENSIBLES / PSYCHOLOGIQUE

SÉQUENCE D’AMBIANCES

BIOLOGIE

AMENAGEMENT JARDIN COLLECTIF

CONFORTER CORRIDOR BIOLOGIQUE ARBRES

HISTOIRE

INTERPRETATION DU TRACE HISTORIQUE DU CANAL (PETIT DRAGON)

ORGANISATION URBAINE PARCELLES

LOGEMENTS



JARDINS PRIVATIFS

PARCELLE D’INTERVENTION TOITURES EN TUILES TOITS PLATS

COMMERCES EXISTANTS ACTIVITÉS ARTISANALES



GARAGES PRIVÉS MURS AVEUGLES

POSITIONNEMENT ET ATTRACTIVITÉ PÔLE DYNAMIQUE

CHEMINEMENT ECOLE

PROMENADE DE QUARTIER

DOUBLE SENS AUTOMOBILE

SENS UNIQUE

CIRCULATION VÉLOS

CONCENTRATION DES FLUX



MORPHOLOGIE



STRATEGIE DU RYTHME OUVRIER (8M) LIMITE GABARIT +14M



LIMITE GABARIT +9M LIMITE GABARIT +6M

LIMITE GABARIT +3.5M

LIMITES HAUTEURS GABARIT

AMENAGER STYLE PLACETTE



   

   





    



OMBRES PAR TRANCHES HORAIRES

PERCEPTION ‘ESPACE INTIME VERDOYANT’ IDENTIFIÉ COMME UNITÉ D’AMBIANCE. RESPECTER LES PRECONISATIONS ÉTABLIES LORS DES PHASES D’ANALYSES PRECEDENTES.



SE DETENDRE

   38                                        

38


m

.50

+3

m

.00

+9

0m

+14

.00m

m .00 +9

+3.

50m

+14.0

+6.00m


communication visuelle - club de nutrition privĂŠ

50


IDENTITE VISUELLE COMMANDE PRIVEE Lyon - Millau


- communication visuelle UNE IDENTITÉ L’association Grenobloise de Parkour se charge de l’organisation d’un événement nationale. Il s’agit d’un rassemblement des associations française de Parkour durant un week-end à Grenoble, sous la tutelle de la Fédération de Parkour (FPK). UNE IMAGE Pour véhiculer l’image de ce rassemblement, les adhérents de ce sport porteront un tee-shirt sur lequel sera floqué un logo, symbole de cet événement. C Images de projets propriété de L ‘AGP

87

52

LE COLLAGE Le parkour est l’art du déplacement, en tous milieux. Pour monter l’image je me suis intéressé aux symboles urbains qui ponctuent la ville de Grenoble. Ils sont pour la plupart des repères d’espaces propices à cette pratique. Le collage redonnent une identité forte et rapide à comprendre de la ville de Grenoble. Nous pourrons reconnaître la tour Perret, les trois

tours, le kiosque du jardin de ville, le tram, les boules et un mur contrefort de la bastille. La production visuelle du logo s’est accompagnée de produits dérivés. Affiches, t-shirt pour les participants, pour le grands public, guide de parcours dans la ville, etc... Ces éléments sont visibles dans le portfolio et sur le site internet. LE WEEKEND de la FEDERATION DE PARKOUR 2014 RENCONTRE INTERNATI0NALE INITIATION AU PARKOUR STRUCTURES

SOIREE LUDIQUE BUVETTES

Prochainement

T SHIRT DE L EVENEMENT

sur

Décembre 2013 à A l’Arcade SAmedi 07 L’EquipE

IMPRIMERIE DE L’ILE VERTE - 04 76 21 60 04

VOREPPE

Pour le TÉLÉTHON 2013 Démonstration de l’Art du déplacement en milieu urbain

dE

VorEppE

Et

L’AGp

NE PAS JETER SUR LA VOIE PUBLIQUE AssociAtion Grenoboise de PArkour

partir de 14h30


LOGO SUR MESURE

PARTENARIAT + ‘‘Traceur’’

Grenoble - AGP - 2014 53


54


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