Santé publique 7 la prévention

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La prévention

Quelques notions générales. Je vous ai déjà parlé dans les séances précédentes de santé, maladies, les attentes de la société. Donc on peut dire que la prévention : tt le monde en parle plus ou moins, c’est dans la société d’aujourd’hui une attente extrêmement forte : une attente de protection. Une attente de renforcement des capacités individuels ou des capacités collectives à résister : à des événements fâcheux. Pour ne qui nous concerne ici résister nous allons parler résister au événement fâcheux pour la santé. Mais on va parler de prévention pour tout ce qui serait désagréable ou potentiellement dangereux pour tous ou pour chacun. Une espèce d’atmosphère dans la quel nous baignons touts. Ceci étant le désire ou le sentiment de prévention, ou la demande (ressenti, exprimé …) de prévention, on va ce demander à quel moment elle va s’exercer le plus fort ? C’est évidement devant l’accident. Sur le thème : plus jamais ça ! Mais on le verrait aussi qd il s’agit de prévenir la guerre. C’est également : ça n’aurai pas du arriver ! De plus en plus que croit nôtre société, et qui croie que c’est au Hommes (à l’organisation, à la société, au politiques, au responsables), on croit que c’est à eux de nous protéger. Dc évidement qd arrive un accident, on va toujours chercher le fautif, le fautif ça peut être soit même, mais le fautif (sur tout sur les risques pas très connues ou encore inconnus, (je terminerai tt à l’heur sur le principe de précaution)) c’est un fautif extérieur. Je vous l’ai peut être dit dans les première séances, autre foie il y avait un vielle adage médicale qui disait : « l’homme propose et Dieu dispose ». Dans une société encore religieuse on pouvez menacer que même le hasard, la faute, le fait qu’on ce soit mal pris que tt ça c’était écrit. Et au fond il n’y avait pas de responsabilités humaines organisées. On ne demandé ni des dommages et intérêt ni des réparations. Aujourd’hui le monde à changé. Dc devant l’accident plus jamais ça ! Et le modèle de prévention, le plus efficace qu’on convoque même devant à la conférence des doyens des facultés de médecine, ou des gens qui essai d’organiser la santé publique que ce soit pour l’enseigner ou pour la mettre en œuvre. On évite de plus en plus souvent des pilotes d’avions, et plus exactement les responsables de la sécurité ds le monde de l’aviation, puisqu’ils sont un peut le modèle de la capacité à réponde aux accidents. A chaque fois qu’il y a un accident, on analyse d’une part ce qui aurai pu ce passer, et en suite on va analyser longuement les chaine des déterminants qui sont souvent les conjonctions de tt petit éléments qui s’additionnent sans que se soit forcément une faute caractérisé qui a fait l’accident. C’est sur ce model qu’on réfléchie de plus en plus aujourd’hui.

En matière de responsabilité


Lorsqu’il y a un accident, et que la prévention est male faite, qui est responsable ? Dans la vie ordinaire, si vous fait un accident. Qui est responsable de payer les réparations de votre corps, de payer les dégâts fait aux autres, de payer si la personne se trouve dans l’incapacité de travailler, entièrement dépendante, qui va payer pour elle tout au long de ça vie ? Ce pose, dès qu’il va s’agir de prévention, la responsabilité de l’accident lorsque la prévention n’a pas bien marché. On y ai habituée, puisqu’on le vois qd on a un accident de voiture, on va chercher le responsable. Mais que veut dire responsabilité ? ça veut dire essentiellement qui va payer !? Que ce soit payer ac la souffrance de sont corps, ça c’est pour celui qui est blessé. Mais que ce soit payer pour les réparations, l’argent, les indemnités. Dans certain cas c’est des responsabilités individuelles : celui qui fume ou qui boit plus que la dose (comme tt, qd les doses sont importantes ça devient toxique) si il ce retrouve malade ou abimé, ai ce qu’il peut dire que c’est à cause des autres, ou ai ce qu’il peut dire que c’est cause de luimême ? Là on est dans la zone des comportements individuels, et si on en faisait une prévention on dirait qu’on est tts sur la prévention des conduites risques individuels. Ceci étant ça n’est pas forcément de la responsabilité individuel. Il y a des risques qui sont collectifs. Si on vie dans une région du monde particulièrement pollué pour des raisons diverses, c’est collectif. Et la responsabilité individuelle à elle seul ne peut pas assumer la prévention. Chose que je vous ai déjà dite sur le mythe de la prévention. Si la prévention était totale. Prévention des accidents, prévention du vieillissement. Ce qui fait partie et de l’illusionne et de la déception fondamentale qlq soit les progrès. Donc si la prévention était totale, si le soin pouvait tt soigner : donc l’homme deviendrait immortel. Dc c’est un état d’esprit de se point de vue là. D’apret tt ce que je vien de raconter. On peut dire que la prévention serai un objectif globale et un état d’esprit. Cet état d’esprit est fait ac quoi ? • Il y a des éléments tt à fait objectif, il y a des choses qu’on peut réellement améliorer, prévenir, empêcher de survenir.

Et puis l’Utopie, je vous l’ai déjà dit, Thomas more, utopos : le lieu de nulle part. c’est le lieu qui serait le lieu merveilleux mais qui n’existe pas.

Sur les sens du mot prévention. Les divers sens du mot prévention en français : •

Pré venir : avant que ce soit venue. Donc c’est l’idée d’empêcher qlq chose de fâcheux. Prévenir, càd que c’est situer av que sa ne vienne.si on prend le sens du mot le plus littérale.

Prévention ac l’idée d’une annonce. C’est ce savoir populaire bien ancien : un homme avertieen vaux deux. Mais c’est ce qu’on va toujours trouver pour chercher du renseignement, pour chercher des éléments que les autres ne connaitrai pas encore. Et que celui qui en


connaitrait le plus, sur ce qu’il va venir (notamment qd il y a une décision à prendre par rapport au autres) ait plus fort que ce lui qui ne le sais pas. •

Un point de que j’appellerais « un préjugé négatif ». Dans le français d’aujourd’hui on n’emplois pas beaucoup cette expression, mais on dit ou on disait « avoir de la prévention contre … ». on peut dit qd vous être mal reçue qlq part ont dira « on t’a dit des choses contre moi ? » Et autre foie on aurait pue dire : « ai ce que vous avez était prévenue contre moi ? ». La prévention est donc un préjugé négatif concernent soit un évènement qd c’est un accident ou une maladie. Mais ça peut être un préjugé négatif concernent un groupe, une personne, une idée … On va trouver différentes tonalités. Ça va renvoyer tout de même toujours : être prévenu pour être plus fort en cas de danger. Que ce qui est désigné est qlq chose de fâcheux, que ce soit une personne, un accident, un évènement.

Et si on regarde maintenant non pas dans un dictionnaire scientifique mais dans les mots ordinaires de la vie, puisqu’on ce sert dans la plus part du temps au moins dans nos disciplines en santé publique, en action sociale. C’est souvent en médecine on ce sert des maux de tt le monde. Donc il faut toujours comprendre ou avoir dans l’oreille ce que ça signifie pour tt le monde. Et ensuite savoir que l’usage personnel qu’on en fait, l’usage technique, professionel n’est pas forcément l’usage des autres. Dc la différence est qu’il y a entre hors pensée (pas sur de ce mot si vous trouvez c’est à 12m 26, merci de prévenir J) et voir qu’il y a différentes acceptions.

La définition de la prévention sanitaire et sociale serai l’ensemble d’actions volontaires, (donc si ça vient tt seul ce n’est pas de la prévention on va en reparler) destinées à empêcher la survenue ou l’aggravation ou les séquelles d’évènement fâcheux pour la santé. Et tout à l’heur qd je vous parlé de l’incidence, de la prévalence, ou bien de des trois niveaux de préventions (le classique : primaire, secondaire et tertiaire). On va retrouver le même enchainement : •

empêcher la survenue, càd empêcher les nouveau cas et ça sa sera baisse de l’incidence.

Empêcher l’aggravation : c’est de la prévention secondaire. On va dépister précocement.

Et empêcher les séquelles, c’est ce qu’on appel la prévention tertiaire, c’est empêcher les complications ou les effets négatifs liée à qlq chose. Et qui vont être la suite des premiers évènements.

En suite l’objectif globale de tt ça (je ne sais pas si c’est un objectif globale mais enfin c’est implicite) : de quoi s’agit-il ?

Il s’agit d’obtenir ou de maintenir en bonne santé ou la bonne santé pour un homme normale. Evidemment on ne va pas faire de la prévention sur le model : qu’on considèrerait


qu’être normale est un accident, et que ce qu’il faut c’est que tout le monde soit super géniale. Donc on va avoir comme toujours une espèce de moyenne de ce qui nous parait normale, soit pour tenir un individu normal, soit une bonne santé ou une collectivité qui serait normale, lors avant d'aller vers des éléments qui son plus de la méthodologie je continu a vous faire un peut des remarques sur la signification globale de la prévention,

On retrouve dans le vieux serment d'Hippocrate avec les fille d'Esculape Hygie et panacée on trouve hygiène donc la santé donc chose très ancienne si on se demande au fond se sa va porté la prévention ou se qu'il faut pour qu'elle fonction et notamment pour comprendre pourquoi alors que certaine personne ou certain groupe sociaux sont parfaitement informer aujourd’hui de ce qu'ils font ils en ont conscience des problèmes que sa peut représenté ou des risque a terme pour leurs santés pourquoi est-ce que des gens s'expose et ne se protége pas donc évidemment .

On va voir se que j'appelle signification symbolique, il y a globalement le souci de soi-même donc s'occuper de soi , rester en bonne santé . On va le trouver dans des textes très ancien que se soit des texte : religieux, philosophe . La prévention c-a-dire empêcher que des chose négative arrive va rejoindre l'idée qu'il y a le devoir de s'occuper de soi même , le devoir de rester en santé mais sa va rentrer aussi dans une attitude globale qui notamment va prendre en compte l'estime de soi si on le prend a titre très individuel pourquoi est-ce que quelqu'un qui ne s'estime pas voudrais empêcher les maladies , voir la mort d'arriver et la c'est toute les questions difficile qu'on a considéré de lors que les gens sont en très grande difficulté social prenant ici dans un pays comme la France, Les gens dans la rue qui veulent d'abord un toit , manger et la prévention , le souci de la santé et bien loin après ils vivent totalement au jours le jours sans se projeté dans l'avenir. Si vous n'attendez aucun avenir , vous n'attendez ni d'être mort ni d'être vivant et si vous pensez que personne ne vous aime pourquoi resté vivant . Donc pourquoi celui qui ne s'aime pas, prendrait il soi de lui ? Un question très simple. Ensuite il y a dans les signification de la prévention surment ce que j'appellerais le signe du souci des autres . Alors la je raconte très rapidement une expérience , sur la prévention des drogues et de la toxicomanie en milieu lycéen notamment on réuni des groupes : de parents ,de journalistes,de soignants demandant a tous : mais d'ou savait vous que c'est pas bien la drogue? On se rend compte que c'est depuis l'enfance ou depuis l'adolescence et quelque soit le métier qu’ont soit toxicomane que l'ont soit soignants parents journalistes ou soi même un jeune ou ce qui font l'opinion pratiquement tout le monde c'est fait sont préjugées sa vision à l'avance a peu prés de la même manière pas beaucoup de différence et puis donc un groupe de jeune avec des lycéen qui étais lycéen de paris et lycéen de banlieue a moment donner je leurs demande : à votre avis tous ces gens qui s'occupe de vous qui vous raconte des trucs que veulent t'ils ? Pourquoi ils le font ? Et a se moment la des moqueries ; ils ne comprennent rien ; a notre âge vous n'avez pas la même expérience que nous ,et je leurs dis


est ce que vous préféreriez qui ne fassent pas la prévention et de manier unanime tous qu'il faut continué a s'occuper d'eux et avec cet argument il sont ridicules , il n'y connaissent rien mais s'il s'occupe de nous sa prouve qu'il s'intéresse a nous qu'on a une valeur , Si on a un souci de prévention cela veut dire que l'on tient a elle .

Si on demande ce que signifie le projet de santé de ces pop on va retrouver souci des autres et témoignages de la valeurs qui leurs est accordés , D'ailleurs plus une pop est aimée ou précieuse il y'aura plus effort de prévention , augmentation des efforts pour qu'elle soit bien et moins une pop est aimé moins il y'a aura prévention et souci de son bien être , La prévention signe de générosité collective ,: volontaire , il faut la vouloir la porter il faut supporter également de na pas y arriver, La prévention c'est aussi une démarche collective, c'est aussi un risque d'égoïsme collectif puisque la prévention peut choisir d'avantager un groupe de pop par rapport a un autre, par ex mise a distance des groupes marginaux, ça va être avec la grippe la mise a distance des personnes contagieuse ex toxicomanie des lois du code de la santé réprimant très sévèrement ces comportement dangereux pr les autres,

Coupure de journal sur l'interdiction d'entré dans pays pr patient séropositif dans le monde 2006, 11 pays interdits aux voyageurs séropositif, « pr les séropositif ou malade du sida voyager ,n’est pas une entreprise simple 11 pays interdisent leurs entrée » , on voit que c'est une mesure illusoire considérer comme prévention destinés a intérêt collectif de la pop qui interdit entrés a ceux qui serait dangereux pour elles , donc ce sont plus des mesures pour l'intérêt majoritaire que dans l'intérêt de personne qui voudraient entré pour raisons diverses et quii vont etre maltraité, On est dans une situation ou on donne priorité a son groupe d'appartenance, ce qui n'est pas en soi incompréhensible.

Autres notion dans signification symbolique, Il s'agit de l'inflation imaginaire du risque , on l’a déjà vu avec la spirale sans fin des besoins , le fait que l'on s'imagine toujours que l'on risques quelque chose, il y'aura sans arrêt quelques chose qui n'existé pas avant kon les découvres. Diminution de la tolérance collective lié au risque notre société a beaucoup de mal a d'admettre lorsqu'il découvre un pb ou la possibilité d'un risque d'admettre qu'il n’existe pas de solution soit il faut y mettre l'argent recherche ou politique font leurs travaills , Il y'a quelques dizaines d'années on imaginé pas que des patient pourraient porter plainte contre des médecins ou état car ils étaient malades aujourd’hui c'est complètement rentrer dans l'imaginaire venu d'un modèle nord américaine , quand quelque chose ne va pas on porte plainte, au lieu de subir, c'est le hasard de la vie, il y'a diminution de la tolérance, Cependant, c'est ambivalent , s'il y'a une diminution de la tolérance au risque relatif , il y'a une très grande tolérance a prise de risque individuel et notamment dans les conduite a haut risque ;


sport a haut risque , on considère comme des héros des gens qui ont étaient a la limite de la survie , On a des modèle populaire de prise de risque qui peuvent conduire au décès : en montagne , se promener seul sur la mer ce que ne faisait pas les générations précédente et même temps il y'a une tolérance collective , Idée très forte , il y'a pas de prévention sans discipline soit individuelle ou collective, Quand on parle d'action volontaire destinés , ce sont des actions qui vont proposer ou impose de se retenir , ce que l’on aurait fait spontanément ou guidé par l'envie ou le plaisir On va être contraint et retenu ex conduite auto vitesse limité , ceinture ne pas boire et pourtant c'est tellement agréable de boire , bien mangé au cours d’un voyage ou chez des amis. Il faut une discipline individuelle , où elle sont personnellement responsable .soit on a une position plus (d’origine européenne d’origine protestante) ,l’homme fait aussi bien qu’il peu mais il n’a pas la force c’est donc la contrainte collective qui doit agir sur les indv par exemple : pour l’alcool , contrainte collective donc le but est de protégé tt le monde . L’idée des éducateurs de santé dans pays latin ou à la fr ca doit être une discipline indv mais l’instant d’après ceux qui respecte la discipline se sent en danger par ceux qui ne respecte pas donc il appartient au grp social de les menacés. Au début du sida il y a de nombreuses campagnes qui été sur ce thème, on parle de la sexualité lorsque il y a un danger pour la santé on parle de prévention. « Couvre-toi avant d’entrer »c’est une discipline indv pour se protégé soi, et protégé les autres (discipline collectives). Ceux qui contamine les autres soit ils n’ont pas été attentif ds la prévention, soit le sachant délibérément il y a tjrs une bascule entre les 2.

Des outils épidémiologiques pour agir en prévention : Quel est le problème ? Et pour qui ? Reste la question central dans l’ex couvre toi avant de sortir le quel est le problème ? Est ce que le problème est pour celui qui est contaminé ou bien ce qui peuvent l’être ce n’est pas tjrs simple. Il faut tjrs identifié ce que l’on veut prévenir. Quand on a identifié l’existence d’un problème fâcheux ex maladie infectieuse est-ce que c’est les malades eu même qu’on va prévenir, les morts, les accidents, les handicapes et a quel nivo agir ? Donc On cherche a prévenir les manifestations d’un risque, qu’est ce que un risque ? Le risque dans le langage courant risqué quelque chose ex risqué de tombé, ou le jeune sans casque sur un scooter .SI le scooteur traverse une route, on lui dit qu’il a prit un risque de ce tué, cependant le risque ne c’est pas manifesté mais il y a une forte probabilité d’avoir un accident. Dc ce qui définit le risque c’est le quelque chose qui n’a pas encore eu lieu mais qui pourrait arriver. Le risque c’est une probabilité d’apparition d’un événement fâcheux pour la santé. En épidémiologie le risque n’est pas positif c’est le risque de blessure, accident par ex, c’est une situation péjoratif.


Comment on connait cette probabilité, par ex le risque d’accident d’avion, il faut évidemment avoir identifié l’évènement comme possibilité, donc il faut que les avions existe et qu’il est eu des accidents. Pour le VIH, il a d’abord fallu l’identifié avant de calculé les risques. Ils font donc que l’événement existe. Pour le scooter l’accident n’a pas eu lieu mais s’il continue il a bcp plus de risque que cela arrive, tant qu’il n’a pas eu d’accident ca reste un risque, mais une fois qu’il a eu lieu donc le faite est la ,100% de chance ,1/1 ,donc le risque est égale à 1 à 100%.

Il y a 30 ans on ne parler pas sida pcq sa n’existait pas, on ne connaissait pas, sa a apparut au début des 80’s dc faut il que l’événement existe ? Ensuite il faut voir par rapport à cet événement si on est touché ou pas. L’adolescent qui traverse le carrefour arrivait de l’autre côté, est ce que le risque c’est manifesté ? Non. Est-ce qu’il a plus de chance que la moyenne de la population d’avoir un accident si il continu ? Il a des centaines de chance d’avoir un accident grave que s’il ne le faisait pas. Mais tant que ce n’est pas arrivé, il a tjr le risque. Si l’accident à lieu est ce que c’est encore un risque ? Le fait est là, on est dans le 100% de chance, on est devant l’événement arrivé. On ne va plus convoquer la prévention, mais le SAMU, le système de soin. Dc si l’individu est atteint de la maladie ou d’accident, le risque est égal à 1 ou 100%. Comment évaluer cette probabilité ? Le risque, qui est une probabilité, s’estime à partir de l’évaluation d’un gd nb de situations, donc un gd nb de maladie ou d’individu. S’il s’agit du risque de maladie, quelle est la probabilité que j’ai tels ou tels maladie ? A titre individuel on ne peut pas le dire. Si il y en a un qui ait la tuberculose, ex l’année der, et que ce soit diagnostiquer, parce que tant que ce ne l’est pas on ne le sait pas ; c’est un cas extrêmement rare avec plein de mesure avec la DDASS pour les gens qui sont tout autour. Quel est la probabilité pour que nous soyons touchés par la tuberculose ? De 1/10000 de 1/100000, c’est relativement faible, si nous arrivons dans un pays ds lequel il y a une prévalence de tuberculose beaucoup plus importante, si on vit au milieu de gens déjà contaminé, dans des conditions difficiles, si on est ds un gpe de gens qui mettent des mois pour être diagnostiquer, la probabilité va être bcp plus imptt. Pr sa il va falloir faire des observations en très gd nb et ce pendant plusieurs années. On a des enquêtes épidémiologiques, et on a (système nord américain) des gde assurance privée qui assure les personnes en faisant payer des primes d’assurance. Sur des dizaines de millions de gens, on sait qu’en fonction de tels critères : l’âge, conditions de vie, du milieu, du niveau d’éducation, les gens st vaccinées pas vaccinés, qu’ils ont tels maladie ou qu’ils ne l’ont pas eu, qu’ils aient tels fragilité ds leurs famille ; avc une série de tables on va prévoir d’une manière qui n’est pas a 100% pr un gpe de probabilité. Les jeunes conducteurs, les gens qui ont eu des accidents, vt payer des primes qui st plus élevé. Vous acheter une assurance, ou bien c’est une boite privé qui va faire des bénéfices, ou une mutuelle qui ne cherche pas à faire de bénéfice mais qui veut équilibrer, on va vs proposer de payer +chers qd vs êtes une population qui a plus de chance de faire d’accidents. On fait payer –chers qd vs appartenez a une catégorie qui fait –d’accidents. Les jeunes conducteurs, en fonction des marques de voiture


achetés « des bolid pr la frime » ou d’autres qui st plus sages, en fonction du métier, en fonction de la présence de la voiture ds un garage ou pas, en fonction d’un niveau d’attention en « bon père de famille», qui fait qu’on va payer –chers. En observant un seul ind ou un petit gpe d’individus, on ne peut pas calculer le risque sur un seul. On a des personnes qui st extrêmement exposé et qui ne manifesterons jamais des maladies. Ainsi, pr le tabac, certain ont fumé tte leur vies, et un centenaire vs dit j’ai fumé et bu tte ma vie c’est ce qui m’a tenu en bonne santé, on ne peut pas extrapoler un seul cas. Ceux qui ont cette conduite a risque vt prendre l’ex de ce cas et sen justifier, c’est tt le débat entre une vision moyenne statistique qui ne ressemble a aucun cas particulier. Comment identifier les risques ? Observation et comptabilisations des manifestations. Qui fait sa ? Ou bien c’est un constat médical des pathologies existantes. On va décrire, on va classifier, on va faire apparaitre les circonstances de contaminations, si on parle du paludisme : on va demander si c’était au cours d’un voyage, ramener de quels manières, de quels pays. On va constater l’existence des accidents, les compter, de travail, de la route. Pour les accidents de travail, on voit que dans tels usine ou dans tels métiers il y a tels accidents de travail particulier. On va dire que ds tels endroit il y a plus de risques, l’endroit est mal organiser, il faut bien constater. Ensuite on va faire des mesures épidémiologiques. J’ai ma consultation à l’hôpital Avicenne et je vois un certain nb de maladie particulière, mais c’est un constat individuel. Donc j’ai un constat médical montrant qu’il y a tels maladie et ensuite je vais chercher un système qui donne une photographie bcp plus moyenne et pas seulement une consultation. Si vs êtes le spécialiste d’une maladie rare, et vs dites ts les gens que je vois ont cette maladie, si vs raconter sa à lé TV on pourra penser que cette maladie est extrêmement fréquente. Si on dit moi j’ai une consultation particulière et ts les gens de la région je les vois mais ils st très peu nbreux, déjà c’est une autre approche pr mesurer et c’est l’épidémiologie qui permettra de le faire. En épidémiologie, L’incidence et la Prévalence, qui sont les deux entrées principales. L’incidence, désigne le nb de nouveaux cas, trois notions : •

Les nouveaux cas,

Période donnée en gle une année. Si on parle des nouveaux cas de gens qui meurent d’une maladie extrêmement dangereuse on peut dire chaque semaine on a tans de nouveaux cas. Si c’est une maladie qui tue en trois jours on va dire chaque jours on a tans de nouveaux cas. •

Définir la population dont il s’agit, si je dis j’ai 12 nouveaux cas chaque année, a quel niveau ? Mondial, du pays…

La prévalence, c’est à un moment donné, le nombre de cas existant dans une population donnée. Ce nb de cas qui existent, il y a bien un moment ou ils ont étés des nouveaux cas. Imaginons une maladie qui dure 10 ans, si vs dites combien j’ai de nouveaux cas cette année, vs allez avoir une incidence de nouveaux cas chaque année. Mais si vs dites combien de cas existe en matière de


prévalence, vous allez compter le nb de nouveaux cas de l’année ou vs êtes, mais si la maladie dure 10 ans, vous allez avoir des vieux malades dont certain st malades depuis 2 à 10 ans. Qd c’est une maladie à évolution très lente, qui va durer des années, la différence entre le nb de nouveaux cas= L’incidence, et la Prévalence est très important. Si vous avez une maladie qui dure quelques jours, le syndrome grippal, vous n’avez pas d’anciens malades depuis plusieurs années. Vous allez avoir entre le nb de nouveaux cas sur une semaine et le nb de cas existant sur la semaine, par ex, ils vont plus ce superposé en matière d’incidences et de prévalence. Si c’est une maladie dt on guéri complètement, quelques jours après on est plus dedans, si on en meurt en quelques heures on est plus dedans non plus. Donc Incidence= nb de nouveaux cas pour une période donnée et pour une population donnée. Prévalence= nb de cas présent à un moment donnée dans une population donnée. Facteurs de risque, la différence c’est qu’avec incidence et prévalence nous comptabilisions des cas. Cad les situations ou le risque c’est manifester. Vous avez une probabilité d’avoir un accident, lorsque l’accident a eu lieu sa devient un cas. La probabilité d’attraper une bronchite, qd on a une bronchite c’est un cas de bronchite, on va compter le nb de nouveaux cas ou bien leur prévalence. On change de monde avec le facteur de risque, sa n’est pas la manifestation, c’est ce qui va venir favoriser le risque.

Facteur de risque : c'est ce qui va venir favorisé le risque. Pour que un evenement facheux a lieu il faut qu'il est associé a un certain nbr de facteur.

Exemple : les incendies d'habitation. L'événement fâcheux est l'incendie. Ques ce qu'il fait qu'il y ai plus ou moins de chance que brûle une maison? C'est évidemnt que si c'est une maison en bois et qu'il n'est pas ignifugé. Si dans cette maison on ce chauffe avec du feu de bois sans que ça soit un foyer ouvert. Si il y a un éclairage a la bougie, si les gens qui y habitent sont svt en état d'ivresse et s'endorment en laissant la bougie ou d'autres choses qui st a proximité du feu. On peut addition est voir qu'il y a plus de risque que la maison brule qui si elle est en béton. Si il n y a jms un feu, si le chauffage est électrique ... il y a donc moins de facteurs de risques. Pour une maladie ou un accident c'est la même chose. Si on prend la tuberculose. Si on vie ds un milieu social où il n y pas un seul cas de tuberculose et si on ne rencontre jms de germe. Personne n'est porteur de germe et que c'est des contaminations inter humaine il y a extrêmement peu de chance de l'attrapé. Ceci etant que ce n'est jms des chances a 0. Par contre si l'on vie ds un milieu où il y a baucoup de facteurs de risques, d'autres malades, des conditions de vie difficile, des gens pas vaccinés, des gens qui ne st pas éduqués en santé et qui ne savent même pas que la maladie existe et qu'ils mettent ds années a observer leurs symptômes. Il y a beaucoup plus de chance de l'avoir. Comment on va définir un facteur de risque? C'est une variable qui est susceptible de modifier la probabilité d'apparition d'un événement fâcheux.


Comment on va identifier les facteurs de risques? Pour que l'on puisse identifier les facteurs de risques il faut déjà que l'on connaisse le risque. Prenons un accident par exemple. Lorsque un accident a lieu on annalyse l'accident. On va voir ce qu'il c'est passé. La route etait humide, c'etait la nuit, je voyais pas bien et j'ai étais éblouie et il y a eu l'accident. On ce rent compte que sur 10, 100, 1000 accidents lorsque c'est la nuit, c'est moyer et lorsque c'est la nuit on a beaucoup plus de chance d'avoir d'accident que lorsque c'est le jour, sol sec etc ... Donc sur un grd nombre on va dire que la nuit, moyer, ébouissement augmente la probabilité d'accident. On va d'une part prendre conscience, le mesurer et si éventuellment si on fait la prévention, on va prendre des mesures diverses pour amélioré certains facteurs. On poura pas jouer sur la pluie, la nuit, on poura jouer sur les mode d'éclairage des voitures pour que ça éblouisse moins de l'autre coté, on poura jouer sur les pneux, la formation des conducteurs, on poura jouer sur l'interdiction de conduire pour des personnes qui st particuliérement fragiles pour les troubles de la vision. On va faire facteur de risque par facteur de risque pour diminuer les impactes et a ce moment là diminuer le nbr d'accidents.

On fait des enquêtes rétrospectives et notamment sur les risques qd ils st manifestés et dans quel condition. Ensuite on va analyser les causes directes et les conditions où le risque s'est manifesté. Tt ça pour connaitre ses causes et lorsque l'on les connaient on va essayer de les empêchés. Puisque l'objectif de prévention sa va être de diminuer les facteurs de risque. Si je ne veux pas que l’accident arrive je vais essayé autant que possible de diminuer les facteurs qui cause l'accident. Si je n'aie aucun facteurs a un mmt donné a ce mmt là je n'aurais aucun accident. Si des facteurs reviennent ou si j'ai des nouveaux a ce mmt là les accidents vt recommancer. Comment on vérifie et mesure l'impacte d'un facteur de risque? On va prendre l'exemple du tabac. Il a fallut des dizaines et des dizaines d'années pour que l'on admette qu'il y avait une corrélation entre l'usage du tabac et certaines formes de maladies, dt les cancer de poumons des fumeurs. Pdt des années tt une séries de débats ce tient pour savoir si il y a une corrélation. Il y a d'un coté ceux qui voit les cancers des poumons st très très svt ce st des fumeurs qui le présentent. Mais il y a des gens qui fument tte leur vie et qui n'ont pas de cancer des poumons et il y a des gens qui n'ont jms fumé et qui l'ont. Comment va t'on s'en sortir? C'est plutôt chez les anglais que les enquêtes ce st fait duré extrêmement lgt. Comment faire admettre que même si certains fument tte leur vie et n'ont pas de cancers de poumons et d'autres ont des cancres lier au tabac et a tel pts que l'on peut ce demander que si l'orsque l'on a commencer a établir des corrélations (= la force d'un lien dans les causalités) on a puit ce demander en Angleterre à l'époque si ce qui causé les cancers de poumons c'est le fait que les gens fument et là il y avait une corrélation extrêmement forte entre fumer et cancer. Ou bn est ce que c'est les raisons pour lesquelles les gens fument qui entraîné les cancers des poumons. Puisque lorsque l'on fume c'est parce que l'on est stressé, dc on est nerveux et que l'on est capable être dépendant, ainsi de suite ... Tjs des questions qui st incertaines puisqu'il y a des cancers chez des gens qui n'ont jms fumé et que certains qui ont tjs fumé n'ont pas de cancer. Mais l'lorsque l'on regarde les chiffres d'un pays comme la France. Il y a quelques années un gdr réunion a la Sorbonne sur


la question de la drogue et de la toxicomanie et empécher la toxicomanie a l'école. Lazarus pense que en affirment l'interdiction ds un programme de prévention c'est un peu contre productif. Quoi qu'il en soit on a un exposé sur l'espérence de vie ds la population selon que les gens fumment ou non. On nous montre différents planches et on fait apparaitre le nbr de gros fumeurs en France est extémement faible après 65 ans. Comment cela ce fait il? Après 65 ans plus de la moitier des gros fumeurs st déjà mort. Pour être sur il va faloir que l'on compare sur les points d'ombre. Comparer entre une popultaion exposé a un facteur de risque (ex les gens qui fument) et une population non exposé (ceux qui ne fument pas). Si l'on voit que sur plusieurs milliers de personnes les gens qui st éxposé au tabac on beaucoup plus fréquement des cancers du poumons que les gens qui ne st pas dit tt exposé au tabac. On poura dire que les non exposé on un risque beaucoup moins elevé que les exposé. Là dessus on va pensé et vérifier l'impacte du facteur de risque. M'empéche que il y a une autre considération a voir c'est ce que l'on appele le risque naturel.

Une chose est nommé facteur de risque si le risque est plus important que le risque naturel qui est le risque chez les non exposées

Ex : En chirurgie on avait le plus grand nombre de cas en France et en 7 ans il a vu qu'un seule cancer du poumon chez une personne non fumeuse Par contre on c que chez les non fumeurs ou notamment dans des région ou il existe une radioactivité plus importante, aux fonction de sensibilisation familiale, aux risques que nous connaissons pas encore il existe sur l'ensemble des cancer du poumon 3,4 % de personnes qui n'ont jamais fumées

Donc on peut pas dire le tabagisme est le seul facteur de cancer du poumon on peut pas le dire c'est trop simple je peut dire sur 100 cancers du poumon 96 st liés au tabac et 4 % ne st pas liés au tabac. Donc ce que j'ai appelé cause naturel par rapport au tabac c'est le nombre des non fumeurs qui ont le cancer du poumon.

(Schéma État de santé) l'État de santé est la résultante d'ensemble de facteur tt ces facteur convergé avec


Prenons l'exemple du Niveau de scolarisation supposons qu'il st très faible par exemple les maladie transmissible les gens ne st pas formé il s'expose aux risque bcp plus que les gens qui savent cette ignorance est donc quelque chose de très négatif pr leur santé. Si je fait de la prévention, évidemment on augmente leur niveau d'éducation, notamment d'éducation à la santé de tel sorte que les gens connaissant le problème connaissant comment sa se transmet éventuellement pr eux même ou leurs enfants apprennent a se protéger

On inverse alors les flèches mon objectif sera d'agir en prévention par rapport au niveau de scolarisation, Je vais faire une éducation soit de façon individuel soit auprès d'un groupe, des personnes plus exposées que d'autres a un problème ou éventuellement on le fait a tt le monde par l'école, on augmente leurs niveaux d'éducation par rapport a un problèmes posés, et réduire les facteurs de risques et donc la maladie. typiquement dans le sida les personnes qui ne savent pas se protéger seront plus exposées. Mais ce n'est pas simple d'accepter les données surtout dans des conduites qui ont avoir avec la sexualité, quand dans bcp de pays l'accueil au début était le sida est la maladie des blanc c une moral de colonisateur c pour nous faire peur et reprendre du pvr qu'ils nous explique cette maladie. On voit bien que l'éducation ce n'est pas seulement qqch auquel les gens font confiance cela peut être qq fois une confrontation entre la culture de celui qui éduque, l'intérêt de celui qui vient faire l'éducation en disant c pr limité les dépenses de la sécurité sociale, on est pas sur que le massage soit entendu sincèrement pr l'intérêt des personnes.


D'autre part les âges où on a besoin de prévention ne sont pas les mêmes la Prévention : Maximum pdt l'enfance, Moindre pd Le Soin : Maximum en fin de vie, moindre pdt l'enfance (Schémas 2 triangles)

En permanence on croise soin et prévention et soin et il faut savoir qu'une bonne partie des mission de prévention notamment sur certaines maladie sont confiées au système de soin Sil il y a des facteurs de risque il y a aussi des facteurs protecteurs

Facteurs protecteurs: Ex : Une population non vacciné par rapport a une maladie qu'on peut prévenir par la vaccination est un facteur de risque. On pourrait dire que la vaccination est un « facteur protecteur » mais en faite on a pas vraiment l'inverse quelque soit le risque le risque 0 n'existe pas.


La notion de causalité: Comment identifier qu'un facteur de risque est la cause d'une maladie donnée ? Renvoi à l'idée de facteur et à a cause Pr cela il faut accepter l'idée qu'il y a un lien entre la cause et l'effet, accepter par exemple qu'il y a un lien entre tabagisme et cancer du poumon Il faut qu'il y est un certain nombre de critères 1.Il faut il y est une constance de l'association par exemple si on vous injecte du venin certain meurt certain ne meurt pas mais dans tous les cas il y a un trouble grave de la santé, donc une cause le venin un association trouble de santé, il y aura tjr une personne qui résistera. 2.Force de l'association, a chaque fois il existe un lien très fort 3.Une cohérence chronologique, il faut d'abord être mordu avant d'être malade 4.Relation de dose à effet, marche plus ou moins selon les circonstance mais en gros l'effet augmente quand la dose augmente 5.Accort avec les connaissances scientifiques et médicales lorsqu'on va dire il existe un maladie de l'enfant qui est lié a une anomalie génétique ou bien une intoxication de la mère pdt la grossesse cela c ce que va dire la médecine. Si on dit il a une anomalie par ce que la mère est partie regarder la lune un soir de pleine l'une ou qu'elle a levé les yeux sur un autres homme durant sa grossesse les gens peuvent le croire mais dans ce qu'on appelle la causalité en SP Relation des doses à effets Ca marche + ou – selon les circonstances, l’effet augmente lorsque la dose augmente. Il faut tt de même qu’il y aie un accord ac les connaissances scientifiques et médicales. Qd on va dire il y a une anomalie de l’enfant liée à une maladie génétique= ce que va dire la médecine, si on dit il y a une anomalie de l’enf pck la mère est sortie regarder la lune un soir de clair de lune, ou bien pck elle a levé les yeux sur un autre homme pdt la grossesse, les gens peuvent le croire mais évidemment ds ce qu’on considère comme la causalité en SP, on va penser que c’est en accord ac les croyances, et nn ac les connaissances scientifiques. Il faut ensuite qu’il y aie un cohérence ac l’histoire naturelle de la maladie, on est ds le fait que la maladie a un déroulement différent. Une fois qu’on ns a montré ça, l’objectif général de la prévention, en fonction des situations données, est de réduire les facteurs de risques auxquels des pop ou personnes st exposées. La prévention est de diminuer des facteurs de risques. En sachant que ces facteurs de risque peuvent être modifiés= on peut agir sur eux, par ex les conduites individuelles, conso alcool, tabac=


modifiable par chacun, ou par un petit gpe social, ou bien éventuellement par une organisation collective (par ex interdit de fumer ds tel endroit). L’absence des vaccinations va être le facteur de risque qui est modifiable, si j’ai une pop nn vaccinée, pr une maladie qui existe encore est telle, que les gens nn vaccinés peuvent sit en être atteint soit en mourir, là je peut agir dessus. Les accidents liés à des imprudences, je peut éventuellement agir dessus en modif les conduites et savoirs de l’environnement. Par contre il peut y avoir des facteurs nn modifiables, qui st par ex l’âge, le sexe, par ex ils ont une fragilité soit par rapport à telle infection soit par des facteurs de risques à des infections liées au sexe. Le climat, on ne peut empêcher l’été ou l’hivers, par contre on peut faire que collectivement ns apprenions à ns protéger ctre les variations climatiques.

Les niveaux de prévention. Il y a en 3 :  La prévention primaire, une pop en bnne santé reste en bnne santé. On ne va pas être ds l’espace médical, les gens en bnne santé n’ont pas besoin de soin, les gens en bnne santé ont besoin que l’environnement + conditions de vie leur permette de rester en bnne santé. C’est une prévention qui est plus politique.

 La prévention secondaire : en blouse blanche, car elle va faire un dépistage précoce pr un diagnostic précoce et pr un traitement précoce. Si on dit diagnostic et traitement on est évidemment ds un espace médical, d’où le « en bouse blanche ».  La prévention tertiaire : éviter les récidives, éviter l’inadaptation entrainées par une maladie ou un accident. On est ap l’accident, ap la maladie , elle est arrivée on l’a soignée, et on essaye de faire que ça n’entraine pas trop de csq négatives pr l’avenir. La prévention c’est la position de l’OMS ac cette distinction classique primaire, secondaire, tertiaire qui est svt l’objet un peu de controverse.

Prévention primaire : En prenant un élément un peu plus méthodologique, elle comprend ts les actes destinés à diminuer l’incidence, d’une maladie ds une pop, dc à réduire le risque d’apparition de nouveaux cas. Maintenir une pop en bnne santé, c’est faire qu’il n’y aie ps de nvx cas de maladies de cette pop. Cmt on s’y prend ? les gens st en bnne santé dc on ne les soigne pas, sur qoi v-t-on pouvoir agir ? La vaccination = typiquement une action de prévention primaire puisqu’on vaccine les gens en bnne santé, et si on se fait vacciner on va remplir un papier et si on est actuellement malade, on nous soignera et on ns vaccinera ensuite. Si on boit de l’eau qui n’est pas potable, en mettant de l’eau potable telle que les gens ne sont pas intoxiqués, ou telles que les gens n’attrapent pas de microbes


et parasites, uniquement ac l’eau potable ds les villes ou ds des zones en dvt, on transforme incroyablement l’état de santé de la pop et notamment la mortalité des petits enfants. Si on améliore les conditions d’habitat, si on augmente les ressources financières des pers pr qu’ils puissent manger correctement, se vêtir correctement, autant d’actions par lesquelles on va améliorer la santé. Ces actions vont-t-elles dépendre du nbre des médecins ? D’infirmières, ou des quantités de médoc ? Evidemment nn, elles vont dépendre de l’organisation sociale au sens large du terme. Ce qui veut dire que la prévention primaire agit sur les conditions de vies, c’est dc de l’action politique, au sens général du terme, c’est l’organisation, la gestion de la cité, des intérêts individuels, collectifs, c’est l’opposition entre les gpes sociaux.

Prévention secondaire : Def= Comprend ts les actes destinés à diminuer la prévalence (= le nbre de cas) d’une maladie ds une pop. Dépistage précoce et traitements des 1eres atteintes. Qu’est-ce que le dépistage ? une mesure individuelle ou collective qui est un examen médical, dont l’objectif, est de diagnostiquer une maladie qui est infraclinique cad qui ne présente pas encore de signes cliniques, tels que la personne puisse le ressentir, ou tels qu’elle le sache. Dc on va faire un examen qui révèle une maladie, qui n’a pas encore de signes, l’intérêt est que cette maladie une fois révélée va pvr être traitée précocement. Si on prend un ex de maladie comme la tuberculose, on peut être atteint de cette maladie pdt des semaines voire mois et ça ne se voit pas, la maladie avance, si on prend une forme de tuberculose pulmonaire, telle que en toussant on contamine les autres, l’intérêt du dépistage précoce est double : d’une part l’intérêt pr la personne, traitée précocement a plus de chances de s’en sortir ss trop de pb , mais en même temps si on soigne qq1 qui tousse sur les autres, ce qq1 est un facteur de risque, pr ceux qui st encore en bnne santé. Dc en soignant celui qui contamine les autres, on a un double impact, prévention secondaire pr lui-même, et prévention primaire pck on diminue un des facteurs de risques, qui menace la pop en bnne santé. Ms cette prévention secondaire se fait en bouse blanche, ds le cadre du secret médical, diagnostic+ traitement rentrent ds le système de soins, et évidemment la société ouvre plus facilement son compte. Pck si on fait du dépistage, et qu’on entend les gens dire « je suis mal logé, j’ai ceci et cela » nous on le prendra comme des facteurs de risques, et ds son cabinet en bouse blanche le médecin ou l’infirmière ne peut pas agir sur les conditions de vie, dc évidemment la société s’imagine tjr que c’est le dépistage qui va protéger alors qu’en réalité, c’est pas le dépistage, lorsque les parents demandent que ds les lycées et collèges on fasse ss arrêt des prélèvements d’urine pr savoir si les jeunes prennent un produit interdit , on fait des prélèvement éventuellement ds les égouts sortant du lycée, et une fois qu’on a dépisté qu’est-ce que ça change ? Ns on répond aux asso de parents, on peut tjr dépister mais ce qui compte c’est qu’ils n’en prennent pas, ce qui compte éventuellement, à supposer qu’il y ait des zones tt à fait contre productives ds la prise des produits, les raisons pr lesquelles ils en prennent sont les raisons sur lesquelles il faut travailler, ce n’est pas en épinglant et en sanctionnant ceux qui en prennent qu’on va changer qqchose sur une habitude collective.

Prévention tertiaire :


Def = comprend tout les actes destinés à faire diminuer la prévalence donc le nombre de cas d’incapacités chroniques, de récidives, d’invalidités et on va s’en sortir avec la stratégie de réadaptation : exemple un travailleur manuel qui se casse le bras ou la main, vous lui réparez sa fracture mais vous le rééduquez pas alors son bras marche plus ou ses doigts marchent plus. La personne ne pourra plus exercer son métier et cela sera une catastrophe pour elle si elle ne pourra rien faire d’autre car elle n’a rien appris d’autre. Donc on fera une réadaptation ou une réinsertion professionnelle et sociale. Les gens se sentent casser dans leur vie ou dans leur tête et donc on va essayer avec eux une réinsertion…

Il y a des limites à tous cela :

Analyse de certaines insertions en prévention

On dit par exemple qu’il faudrait un dépistage systématique en matière HIV. Cela se rediscute. Est-ce que cela protège la population contre la diffusion de la maladie. Oui et non. On dit qu’il y a à peu près en France, je sais plus si c’est 15 000 ou 40 000, je ne sais plus le nombre, de personnes séropositives HIV et qui ne le savent pas. Ces personnes qui ne le savent pas, si un jour elles sont très malades, elles vont être prises par les systèmes de soins, on va faire le diagnostic et on va les soigner. Ceci étant, en attendant, elles contaminent les autres. En l’occurrence, de bonne foi ou de semi bonne foi, ne pas se faire dépister peut être une manière de dire : « je sais bien que je risque mais bon… ». Cela c’est le débat en France.

Dans d’autres pays où ils n’existent aucun traitement anti viraux : vous faites le dépistage et vous lui dites qu’il est malade. Qu’est ce que ça va gagner ? Le marquage social de cette maladie est tel que les personnes sont exclues et vont être chassées donc pour ces personnes, ce n’est pas un bénéfice. Est-ce que ça va les soigner ? Est-ce que ça va les amener à ne pas contaminer les autres ? On en a eu des problèmes éthiques qui ont durer des années sur la question de faire seulement un dépistage si on avait ensuite aucune solution à proposer au patient car le dépistage est un marquage de la maladie, on va les laisser différent car vous allez chez le médecin assez content de la vie, enfin jusqu’à un certain point puisque vous allez chez le médecin, et en sortant vous apprenez que vous avez une maladie qui est mortelle. Rien à changer, l’équilibre physiologique est resté le même, vous n’êtes pas plus malade qu’avant mais la vie d’avant et après est complètement et profondément modifié par l’annonce après le dépistage. Donc c’est pour cela que la question du dépistage n’est pas si simple et peut poser des questions éthiques fortes.

Le principe de précaution


Quelques notions :

D’où cela vient ce principe de précaution ?

Arrive début des années 1980, dans les débats internationaux à propos de l’environnement. C’est l’environnement qui fait émerger ce concept de principe de précaution. Dans les années 1990, notamment dans la Communauté Européenne, il y a un certain nombre de précisions et on fait apparaître des principes, sur lesquelles nous sommes encore, que d’une part il va falloir corriger un certain nombre de probabilités de risques environnementaux alors que nous savons pas forcément à quoi ils sont dues avec le principe du pollueur payeur c'est-à-dire celui qui pollue, c’est celui qui paie. Et puis, c’était toute une question des savants disent par exemple pour les OGM : cela peut être mauvais pour la santé mais on en est pas sur. Donc est ce que le responsable politique doit prendre une mesure de protection de la santé de la population pour un facteur de risque mais dont on est pas sur qu’il soit un facteur de risque, c’est toute la question qui est posé. Donc est ce que sous prétexte que l’on n’est pas sur, on n’a pas de certitude que l’on doit rien faire en sachant que dès que l’on en a parlé si quelques années après apparaît ou apparaissent des accidents, celui qui en a pu faire quelque chose qui était l’Etat chez nous n’ayant rien fait, c’est lui qui sera condamnée.

Donc les principes de précaution, en France, c’est un rapport demandé en 1999 au premier ministre. Il fait apparaître les notions à retenir :

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La prévention s’attache à contrôler les risques avérés c'est-à-dire les accidents, les maladies donc les choses que nous connaissons et que l’on peut mesurer c'est-à-dire qu’elle est l’événement et il s’agit d’un événement particulier et on a regardé ces facteurs de risques et donc la prévention c’est d’agir sur les facteurs de risques d’événement que nous connaissons. La précaution c’est autre chose. Elle vise à limiter des risques encore hypothétiques ou potentiels. Elle vise à contrôler des risques que nous connaissons. La précaution serait de limiter des risques qui sont une hypothèse, dont nous ne sommes pas sûr. Donc la précaution se distingue de la prévention du fait qu’elle opère dans une zone d’incertitude. Si nous en sommes sûr, ce ne serait plus de la précaution mais de la prévention. Ceci étant et c’est tout ce qui fait la question du bon sens et du poids de l’opinion, c’est que le principe de précaution laisse subsister un doute ou un risque résiduel et on va dire que c’est acceptable, il faut accepter qu’il y a un risque que la société supportera.


Exemple : loi en matière de délinquance que le code pénal condamne. Depuis l’année dernière est sorti une loi sur le principe de précaution dite loi de rétention de sûreté. En quoi s’agit il ? Une personne vient de sortir de prison après 15 ans de prison pour délit sexuel… Lorsqu’ils vont sortir de prison, ils ont payé leur dette comme on dit et ils sortent. Un malade mental qui a commis un acte agressif est hospitalisé dans l’hospitalisation d’office comme on dit et va sortir et se retrouver vivant comme tout le monde dans la ville. Or on s’est mis dans la tête que ces gens qui ont fait leur peine et éventuellement soigner peuvent garder un potentiel de dangerosité. Au titre de la protection de la société on peut dire : est il normal que quelqu’un qui a été dangereux sorte alors qu’il peut être encore dangereux ? Dans notre loi, il faut qu’un acte soit commis pour être puni. Lorsqu’il est puni, on s’en souvient et puis c’est fini. Là on dit autre chose, on parle de personnes qui ne sont pas de nouveaux criminels, qui n’ont pas passer à l’acte mais qui pourrait passer à l’acte et donc c’est pour cela que l’on a inventer un système si la loi s’applique dans quelques années puisqu’il fallait 15 ans de latence : les gens sortent, les experts psychiatriques ou psychologues disent qu’ils sont incapables de faire une prédiction mais seront obligés de faire une prédiction et si on pense que cette personne est encore potentiellement dangereux, on les garde sous clés. Mais combien de temps ? Si c’est un principe de précaution, on les garderait tant qu’ils sont encore dangereux voir un petit peu. Si il n’y a pas un risque 0 et qu’on les libère, l’Etat sera condamné. Donc on voit bien que par principe de précaution, si une personne est encore dangereuse potentiellement, on les garderait sous clé toute leur vie. L’application du principe de précaution lorsque c’est sur un polluant, un environnement, un OGM… cela se discute mais quand c’est appliqué sur une personne et que cela vient limiter soit les libertés individuelles ou soit ouvrir la psychochirurgie c'est-à-dire les opérations irréversibles pour les rendre incapables, le principe de précaution devient préoccupant.


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