PORTFOLIO KEVIN MARK
m. aRCH \\ m.sC.du
newgardencity
Quelles solutions pour la banlieue? Ce projet questionne sur la densité et comment valoriser l’espace publique. A la répétition de maisons fades et homogènes, le projet oppose 16 cellules d’habitation toutes différentes et dont les limites foncières sont abstraites pour revaloriser l’enchevêtrement des relations entre voisins. L’architecture offre une diversité de typologie pour une diversité de besoins et remet l’espace central à la collectivité. Le succès de cet espace étant tributaire de l’accès à un espace privatif de qualité, le projet comporte plusieurs patios et terrasses afin de combler ce besoin de l’homme d’avoir un espace qui lui est propre.
REz
1er
vitrine
L’existant consiste en une façade XIX, un mur mitoyen (vestige d’une ancienne chapelle médiale) et d’un bâtiment moderne au centre de la parcelle (en recul par rapport aux murs). Je propose de conserverser la structure morderne mais de percer les dalles afin de retrouver l’atmosphère gothique et d’avoir un regard sur le patrimoine. Un toit créant des rayons de lumière est rajouté et sert de prolongement vers le paysage urbain bordelais. Le musée est une circulation fluide autour d’une trame transcendant l’histoire.
Photos maquette
Plan DU RDC
REndu / Entree de nuit
Qu’est-ce que la bibliothèque? Ne serait-ce pas un lieu de passage de la connaissance. Comment le savoir matériel ou virtuel passe à la connaissance pure. Une bibliothèque n’est-elle pas un coffre protégé et des espaces ouverts pour acquérir le savoir. Comment souligner ce transfert de sens. Comment la matière vient expliciter cette relation par le passage de la lumière?
COupe B-B
Une bibliothèque n’appartient-elle pas à sa communauté ? En ce sens, celle-ci pourrait retransmettre une expérience significative du quartier. Ainsi, la volumétrie reprend l’image d’un quartier dit statique versus deux volumes dynamiques représentant la présence d’importantes infrastructures routières et ferroviaires.
REndu / volume enfant
DETAIl - Atrium
REndu / Hall d’entrée
DETAIl - Corniche
elevation et coupe du mur ‘‘trombe’’
sublimer Le concept directeur est la sublimation. De la même manière dont le raisin se transforme en vin, le paysage est sublimé, de l’état solide à l’état liquide. Solidement ancré, le volume commence à se détacher pour finir sa course dans la Meuse. Il en va de même pour les ouvertures qui sont plus généreuses en fin de parcours (aboutissement sur un belvédère). La topographie du site contribue au processus d’élaboration du vin, le liquide passe d’une cuve à l’autre, d’étape en étape, d’un volume à un autre. Lieu : Yvoir, Belgique
Passerelle - Visiteurs
Rampe au sol - travailleurs
DEgustation
Fermentation
Emboutaillage
Grappage
Concept
modulor
Éclectisme. Scarification. Laideur urbaine. Espaces gangrenés d’une ville en mal de renouveau. La vie urbaine, disparate et dissipée, exsude son déficit d’un organe revitalisant pour canaliser ses circulations, pour combler le vide spéculatif. Organique, dynamique, différentiel, la ville doit être métaphorisée : une transcendance de la forme urbaine s’impose. Le passage du flux doit devenir attrait et mouvement, élément remarquable d’un urbanisme en renouvellement. L’organe s’ouvre, s’élève, se module, mais respire, d’un souffle vertigineux englobant. L’immeuble se module dans la ville, il est module.
?
GUESS
Guess who... Il s’agit du jeu de société culte où l’on doit deviner l’identité mystère parmi une multitude. Or, voila la nouvelles angoisse de l’architecte. L’individu-type moderne n’est plus, il est maintenant multiple, post-moderne. Peut-on alors encore parler d’habitat générique, qui convient à tous? Il en va de même pour un programme qui évolue sans cesse. Face à l’inertie du bâti, il y existe la multiplicité et la temporalité des modes et des besoins. La polyvalence, la rationnalité technique qui la permet et l’ouverture sont les clés d’une plannifcation architecturale contemporaine.
tRAvERsE
Traverse est une réflexion sur la mise en valeur des unités paysagères à révéler. Ainsi, la planification d’un TOD dans un contexte péri-urbain de la rive-sud devient l’occasion de valoriser et de rendre accessible ces paysages parfois banals parfois exceptionnels mais toujours participative d’une identité unique et locale. D’une nouvelle polarité urbaine, le marcheur est séduit par la contemplation d’une succession des paysages inédits.
FOODSCAPE
collaborateurs || Marie-Camille Richard, Léa Gagnon
Roof system and corresponding daylight factor
ITERATION and systems
Fall sunligh hours
Winter wind protection
Walkthewalk
Walk The Walk est une proposition multidisciplinaire d’étudiants en design urbain, en urbanisme et de gestion immobilière pour le centre-ville d’Atlanta lors du concours internationnal ULI 2016. Autant la qualité des aménagements et des milieux de vie que la rentabilité du projet sur un phasage de 10 ans font parties des critères. La conception du projet qui a duré 2 semaines comprend près de 2 500 unités d’habitations, 1 400 000 p.c. de bureaux, etc pour un total de 500 millions en coûts de construction. Walk the walk offre une alternative de mobilité, de connectivité et de milieu de vie.The Walk est un nouvel axe marchable sans voiture connectant les différents quartiers et pôles avec le réseau du mètro. Ce nouvea lien à l’échelle humaine crée une urbanité renouvelée axé sur les transports actifs. Walk the walk, quand les actions suivent les intentions.
collaborateurs|| Mélanie trottier, Mathieu Avarello, Eve Renaud-ROy, Florian POix
phase 1
phase 2
phase 3
nouvelle tour et mĂŠtro - PLace des Spectacles
Weaving an alternative pattern for a vibrant community
Sortie du tunnel sous l’autoroute - Vers the walk
Ambiance - the walk
installations
Placette de la Nef (Québec, 2015) D’abord un projet du collectif le Banc, j’ai pu participé à la mise en place du mobilier, du verdissement et de la peinture. Mon implication auprès du conseil de quartier a permis le financement de l’installation et du soutien administratif et logistique de la Ville de Québec. DECK (SPOT, 2015) En collaboration avec l’Atelier Guy et plusieurs autres étudiants, le DECK se voulait une véritable piscine de sable entourée de gradins. Après un workshop de conception de 24h, l’équipe a entièrement construit en deux semaine au début de l’été 2015. Réalisé avec un budget de 500$ et plusieurs commandites, l’installation ludique a été réalisée avec plus de 1000 palettes et a connu un réel succès en terme d’appropriation.
Another hair in the wall (UdeM, 2011) Sur un mur terne et opprimant, dont seules les marques de décoffrage s’offrent à la vue du passant, une soudaine extension capillaire et colorée surgit du béton brut. Comme si la folie jusqu’alors captive dans le mur avait enfin l’opportunité de s’échapper. Stationnement à vélos (Québec 2016) C’est en tant que coordonnateur du comité innovation et avec l’aide d’un petit groupe d’étudiants que nous avons pu faire une première à Québec : remplacer pas une, mais bien deux cases de stationnement dédiées aux voitures au profit d’une installation temporaire. Art urbain, agriculture urbaine et mobilité durable s’exprime en toute simplicité dans ce long mobilier modulaire. L’installation a été appréciée au point où la communauté a décidé de le prendre en charge pour les prochaines années.
Sympathique place ouverte à tous
SPOT
Suite à ma participation lors de la première édition à l’été 2015, je me suis impliqué dans l’organisation de l’édition 2016 du SPOT. Pendant l’année scolaire, une dizaine d’étudiants et moimême avons planifiés le retour de la place publique éphémère dans le quartier Saint-Sauveur. Notre dut: redonner vie à un stationnement municipal en plein coeur d’un quartier résidentiel en manque d’espaces verts. Après 9 mois de travail afin de mettre sur pied nos partenariats, l’exécution d’une charrette et d’un workshop, 16 jours intensifs nous ont permis de construire 7 installations uniques. Avec l’aide de firmes d’architecture associées et une centaine d’étudiants de l’École d’architecture de ULaval, nous avons démontré notre expertise pour transformer des lieux banals et passer de l’idée à l’action. Les 11 semaines de l’édition 2016 ont été un réel succès tant médiatique que populaire par l’appropriation spontanée des résidents. Mon rôle en tant que coordonnateur administratif était d’assurer la gestion générale de l’équipe, de nos ententes, de la comptabilité et du budget
Charrettes | Laureat
Seuil littéraire D’un corridor auparavant anonyme et encombré, Seuil littéraire se projette vers l’extérieur. Il devient une invitation à y entrer. L’appel se transforme grâce à l’anamorphose en perspective linéaire continue donnant une nouvelle profondeur à l’espace. L’espace au sol est libéré permettant maintenant à l’observateur de scruter les publications qui sont mises en valeur. L’ambiance y est enveloppante par la présence du bois et presque ludique grâce aux parois adaptables. Arrive enfin l’espace de bureau ouvert où le public se sent invité par la présence d’un lieu couvert, le seuil.
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Montant verticaux en bois + ancrage
Lattes en contreplaqué peinturées Support de métail et contreplaqué
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LAMPESKISSE La face cache de l’objet? L’esquisse! Derrière tout objet se cache une itération infinie d’idées, d’alternatives et de fantasmes utopiques. Derrière la simplicité de l’objet finie se cache un labyrinthe de chemins sinueux aboutissant à nombreux culs de sac, nous obligeons à revenir sur nos pas. Derrière l’objet se cache les esquisses soigneusement conservées dans le moleskine sacré du concepteur. Lorsqu’Il aura trouvé l’Idée, c’est dans son carnet que l’esquisse prend forme et se développe. Le dessin est la face bidimensionnelle cachée de l’objet, la pensée constructive en latence. Ainsi, de quelques feuilles de papier esquissé dans un carnet léger que l’on tribale en tout lieu, l’idée se déploie et LAMPESSKINE illumine. Sur une table ou suspendu, elle module l’ambiance du lieu aux besoins de son propriétaire.
CONTACT KEVIN MARK
kevin.mark04@gmail.com 514 241 5651 248, rue du Roi Québec (QC), G1K 2W4