Après quatre mois de fermeture, la piscine
Talleyrand rouvre au public p. 4
Après quatre mois de fermeture, la piscine
Talleyrand rouvre au public p. 4
Les Galeries
Lafayette de Reims épargnées par la tourmente p. 4
Encore quelques jours pour donner son avis sur la marche à Reims p. 4
Un Reims revanchard face à Toulouse p. 16
Avec le leader de Forever Pavot, en concert à la Carto p. 17
L'écrivain Maxime
Chattam, invité de Reims Polar p. 18
Lieu atypique de la vie culturelle rémoise, Saint-Ex se présente comme un espace d’accueil et d’échanges des pratiques numériques et des cultures digitales. Centre associatif à l’énergie communicative, il permet de vivre ensemble l’expérience de l’art visuel et technologique de façon joyeuse !
A deux pas de la rue Vesle et du centre de Reims, le secteur de Courlancy séduit de plus en plus pour son dynamisme, ses commerces et son offre de services et de loisirs de grande qualité.
Les événements se vivent même hors les murs et dynamisent la vie de quartier
Le petit voisin de la Comédie de Reims est un cœur battant du quar-tier Courlancy qui résonne dans toute la cité des sacres. Avec son nom pop, Saint-Ex réveille la culture en proposant aux habitants un espace de vie, de rencontres et de jeu autour des pratiques numériques. Débordante d’idées, l’antre du digital produit et diffuse son art sous toutes ses formes et pour tous les sens. Alors de la technologie jugée froide ou impersonnelle pas de trace ici, bien au contraire !
Première Maison de quartier rémoise créée en 1947 et installée depuis 1971 esplanade André Malraux, son adresse actuelle, Saint-Ex a gardé sa vocation éducative initiale et son envie de partager des moments vrais avec le plus grand nombre, en toute liberté.
Saint-Ex, la place du libre-échange
Ouvert sur la ville et sur la vie, ce tiers-lieu dynamique fourmille d’idées et de rendez-vous fédérateurs. Pour les simples curieux, étudiants, ingénieurs en recherche et développement, artistes, Saint-Ex est une place de confluence, une agora où se rencontrent le grand public et les créateurs d’outils numériques, d’œuvres immersives et de réalité virtuelle. A l’image de son bar éphémère dans le hall, tout est en accès libre et invite chacun à s’approprier l’espace, à tester les installations, à échanger librement avec l’équipe et les artistes.
Autour de la thématique de saison qu’est l’amour du sport, la programmation est riche d’expérience et de découverte. D’ateliers pour les petits et les grands en expositions protéiformes, en passant bien sûr par l’événement annuel phare de la nuitnumérique le 15 avril, appropriez-vous le média numérique, sans peur, dans un esprit chaleureux d’interaction. Apprenez à créer, interagissez avec les autres et les œuvres, apprivoisez les outils qui vous entourent, et le plus important, amusez-vous. Saint-Ex est fait pour ça !
Les prochains rdv :
- nuitnumérique le samedi 15 avril
- expocollective du 21 mars au 10 juin
Entrée libre
Séparé de l'hyper-centre par le pont de Vesle, le quartier Courlancy jouit d'une situation quasi idéale au cœur de Reims. Une position géographique renforcée par une forte présence des transports en commun (bus, tram et train) et la proximité immédiate de l'autoroute urbaine qui irrigue l'ensemble de l'agglomération rémoise. Malgré ces nombreux atouts, Courlancy n'a cependant pas, ces dix dernières années, soit depuis le boom du tramway, bénéficié du dynamisme affiché par d'autres secteurs de la ville comme Clairmarais, Sernam ou Boulingrin. Il faut dire que le quartier n'avait pas forcément besoin d'un coup de pouce supplémentaire de la municipalité, tant il est déjà particulièrement bien doté en termes d'équipements publics (lire par ailleurs). Avec le stade Auguste-Delaune, la Comédie de Reims, le centre culturel numérique Saint-Ex, le parc Léo-Lagrange ou encore la présence de deux cliniques, Courlancy possède en effet de nombreuses structures qui rayonnent sur toute la ville et même bien au-delà.
Le quartier Courlancy est irrigué par le tramway depuis 2011. © l'Hebdo du Vendredi
SAINT-EX Chaussée Bocquaine Esplanade André Malraux51100 Reims
03 26 77 41 41
www.saintex-reims.com
Services, commerces, transport : Courlancy a tout pour plaire
Le projet immobilier Rives de Vesle, en cours de construction, et celui des Berges du canal, programmé d'ici 2025, devraient accentuer l'image très urbaine de ce secteur, tout en renforçant cet attrait grandissant auprès des Rémois et de nouveaux habitants. « La population du quartier se rajeunit, confirme Jérémy Ramires, gérant de l'agence Laforêt, située avenue de Paris et donc aux premières loges pour observer l'évolution du secteur. Il y a d'un côté le renouvellement naturel et de l'autre un
nouveau public, pas forcément intéressé il y a encore quelques années, mais qui aujourd'hui regarde Courlancy différemment, grâce au tramway bien sûr, mais surtout aux grands projets en cours et à venir. » Conséquence, comme dans tous les quartiers dynamiques entourant le centre de Reims, cela se traduit également par une transformation progressive des commerces. « Rien que dans les six mois qui viennent, l'avenue de Paris va accueillir un restaurant japonais haut de gamme et un bar à vins », indique le gérant de Laforêt. Forcément, les prix des logements, qui n'ont jamais été bon marché dans le coin, se rapprochent de plus en plus de ce qui se fait de l'autre côté du canal. « Ce n'est pas donné, comme tout Reims en fait, fait remarquer Jérémy Ramires. Pour les appartements, il faut compter entre 200 000 et 250 000 € pour un 80 m² dans l'ancien. Pour les maisons, les prix varient beaucoup selon les prestations et l'état du bien, sachant qu'une majorité d'acheteurs ne veut pas s'embêter avec de gros travaux. » Il y a peu, une maison sans cachet particulier de 125 m² située rue MartinPeller, avec un extérieur de 50 m², mais sans garage, s'est échangée pour 250 000 €. « C'était plutôt une bonne affaire, mais il y avait aussi 80 000 € de travaux à prévoir en plus. » Non loin de là, cette autre demeure datant des années 1940 de 140 m² avec terrasse, plus 90 m² de jardin et un garage, le tout habitable de suite, a trouvé preneur pour 520 000 €. Dans le marché du neuf, les tarifs sont aussi élevés qu'ailleurs et il faut compter sur un prix du m2 moyen compris entre 3 500 et 4 000 €. Et bien plus encore pour certains biens d'exception, comme ces lofts d'une superficie de 150 à 200 m², avec terrasse ou petit jardin, construits à l'abri des regards, sur le site de l'ancien garage BMW qui donnait avenue de Paris. Prix de vente affiché : 750 000 €. « Aujourd'hui, on trouve de tout dans le quartier Courlancy, résume le gérant de Laforêt. Des petites maisons, mais aussi beaucoup de studios créés pour les étudiants de Neoma et de l'université. Si les prix stagnent désormais, après une hausse à la sortie du covid, l'impact de l'arrivée des Parisiens est aussi plus significatif. Grâce au télétravail, ils trouvent à Courlancy tous les services d'une grande ville, tout en découvrant les plaisirs d'une campagne toute proche qui plait de plus en plus ».
Julien DebantCourlancy peut s'enorgueillir d'accueillir plusieurs sites dont le pouvoir d'attraction dépasse largement les frontières du quartier et même de la ville.
Parc Léo-Lagrange
Conçu en 1978 par le paysagiste Jacques Sgard, LéoLagrange est le plus grand parc urbain de Reims et de loin le plus fréquenté. S'articulant autour d'un plan d'eau, il a bénéficié ces dix dernières années de multiples aménagements, dont la construction d'un skate park (2014), d'une piste de pumptrack (2019) et d'un nouvel espace de jeux pour les plus jeunes (2021).
La Comédie de Reims
jusqu'à 20 000 spectateurs. Quant à son nom, il a été choisi après la Seconde Guerre mondiale, en mémoire d'Auguste Delaune, un sportif normand mort sous la torture de la Gestapo le 13 septembre 1943.
Porte de Paris
Le bâtiment du CIS de Champagne est un phare du quartier Courlancy. Hébergeant à l’origine les étrangers, le Centre International de Séjour s’est depuis développé en proposant des salles de réunion et des activités pour l’accueil des groupes. Un véritable lieu de vie que vous veniez de loin... ou en voisin !
Temple du théâtre, la Comédie de Reims est née en 1966. A cette époque, elle s'appelait La Maison de la culture André Malraux. Pensée à l'origine comme un lieu de diffusion culturelle pluridisciplinaire, elle a vu passé de grands noms du théâtre, dont le plus célèbre n'est autre que Robert Hossein, qui y restera de 1971 à 1978.
Saint-Exupéry
Voisine de la Comédie de Reims depuis 1971, le centre culturel Saint-Exupéry, rebaptisé depuis Saint-Ex culture numérique, est aujourd'hui un lieu d’expérimentation, de transmission, de création et de diffusion artistiques dédié aux arts numériques et à l’innovation technologique.
Planétarium
Marquant l'entrée de Reims pour les voyageurs en provenance de la capitale depuis la fin du XVIIIe siècle, la Porte monumentale de Paris fut d'abord installée rue de Vesle, avant d'être déménagée une première fois avenue de Paris en 1847, puis une seconde fois sur les basses promenades en 1949. Ses piliers de pierre sont toujours en place de part et d'autre de l'avenue de Paris.
Eglise Sainte-Geneviève Comptant parmi les édifices religieux les moins connus de Reims, l'église Saint-Geneviève, située rue Cazin, mérite le détour. Dans un style romano-byzantin, elle a été construite de 1875 à 1877 sur les plans de l'architecte Ernest Brunette. Peu endommagé durant la Première Guerre mondiale, le monument se caractérise notamment par son entrée dotée d'un escalier à double révolution.
Coulée verte
Le CIS depuis le ciel rémois. ©C.I.S. de Champagne
Le C.I.S. de Champagne surplombe le calme et familial quartier Courlancy. Le Centre International de Séjour de Reims complète le triangle des lieux de vie avec la Comédie de Reims et le centre Saint-Ex. Si bien sûr sa vocation première est l’hébergement de courts séjours pour les groupes, le C.I.S. de Champagne propose depuis son agrandissement en 2000, des espaces à louer et à vivre, de nuit comme de jour.
Côté nuit, le grand bâtiment renferme 79 chambres d’un à quatre lits pour l’accueil de séminaires, scolaires, sportifs, d’amis ou de familles. Une solution pratique pour visiter Reims et ses alentours grâce à sa position géographique idéale à deux pas du centre-ville, des lieux culturels, proche des transports et des gares de Reims et de Bezannes. C’est également une bonne idée pour les Rémois qui souhaitent recevoir toute leur famille sans devoir pousser les murs !
Côté jour, le C.I.S. de Champagne cache des bureaux à louer et surtout 13 salles de réunion, dont 2 salles de conférences, équipées (vidéoprojecteurs, paperboard, matériel de visio). Elles bénéficient toutes également de la lumière naturelle, de la vue sur la verdure et de l’accès à une terrasse extérieure.
Un lieu de vie, de jour et de nuit
Pour des réunions en petit comité comme des séminaires ou des événements d’une centaine de personnes, la location est simple. Disponible à la demi-journée, à la journée, voire à la semaine. Il y a le service restauration qui s’occupe de la pause-café, le self et le service à l’assiette. Pour l’autonomie, il est possible de louer l’espace ‘petite cuisine’. Le C.I.S. a tout prévu, vous n’avez plus qu’à lancer les invitations !
Créé à l'origine au sein de l'ancien collège des Jésuites, le planétarium de Reims a été reconstruit le long de l'avenue Charles-de-Gaulle en 2013. Il est le second à avoir ouvert ses portes en France, en 1980, après celui du Palais de la découverte à Paris. Il offre toujours l'occasion aux petits et grands de partir en voyage dans le monde des étoiles et des planètes.
Stade Auguste-Delaune
Presque aussi célèbre que la cathédrale, le stade Auguste-Delaune est un autre emblème de la ville. Hôte du Stade de Reims, sa première version remonte aux années 1930. Reconstruit de 2004 à 2008, il peut accueillir
Si la promenade verte traverse aujourd'hui l'agglomération rémoise sur 18 km, longeant le canal de l'Aisne à la Marne, son cœur, de loin sa partie la plus fréquentée, se situe entre les ponts de Venise et Vesle, offrant aux habitants du quartier Courlancy un espace de détente complémentaire du parc Léo-Lagrange.
Cliniques des Bleuets et Courlancy
L'ouverture de la polyclinique Reims-Bezannes en 2018 ferait presque oublier qu'il existe toujours deux cliniques dans le quartier Courlancy. Ouvert depuis 1973, Reims-Courlancy, situé avenue Charles-de-Gaulle, est toujours un établissement pluridisciplinaire, tandis qu'aux Bleuets, sur l'avenue de Paris, les activités sont axées sur le recouvrement des capacités fonctionnelles et la récupération d’une bonne qualité de vie des personnes touchées par une pathologie invalidante.
Parce que le C.I.S. de Champagne c’est avant tout une petite équipe de 13 personnes qui veille à tout. Ils sont l’âme de ce grand bâtiment, où vous croisez des membres d’une formation de Qi Gong, des touristes brésiliens, une classe de collégiens. Avec le même sens du service, ils vous organisent des activités, des visites de musée ou de cave, vous conseillent toujours avec le sourire.
Carrefour de rencontres, le C.I.S. de Champagne est géré par une association indépendante qui n’a pas oublié sa vocation sociale. Il est d’ailleurs affilié à deux réseaux. Ethic Etapes d’abord, un label national pour l’hébergement dans un esprit solidaire et responsable, et UNAT Grand-Est qui œuvre depuis plus de 30 ans pour le « droit aux vacances pour tous ».
Poussez la porte, le C.I.S. c’est le sens de l’accueil en trois lettres… de noblesse.
CIS DE CHAMPAGNE
21 chaussée Bocquaine, 51100 Reims 03 26 40 52 60 www.cis-reims.com
Des lieux incontournables pour s'aérer, se cultiver et se soigner
L’entreprise rémoise JCT Elect est spécialisée dans les installations électriques sur mesure, la rénovation et la mise aux normes électriques de l’habitat. Un savoir-faire transmis de père
C'est presque tout un quartier qui sort actuellement de terre sur le site de l'ancien garage Renault du pont de Vesle. Commencé il y a un peu plus d'un an, le vaste chantier devrait être achevé d'ici fin 2024. Visite.
Depuis 1991 et la création par son papa de l’entreprise JCT Elect, Nathalie a repris le flambeau de main de maître. Cette fille d’artisan électricien courageux a de qui tenir. Elle qui se chargeait surtout du côté administratif est devenue gérante de la société en 2006 et l’a tenue seule jusqu’en 2011. Depuis, elle est accompagnée dans l’aventure de son mari Sébastien. Diplôme d’électricien en poche, lui a pris en main toute la partie technique et commerciale. Une bonne entente à la vie comme à la ville pour un duo qui parle d’une seule voix du bonheur qu’ils ont de travailler en-semble auprès des Rémois, particuliers et professionnels.
Depuis le quartier de Courlancy, Nathalie et Sébastien rayonnent dans toute la Marne, épaulé de Lilian leur chef de chantier et Laurent leur technicien. Ensemble, ils assurent les installations électriques sur mesure pour l’intérieur et l’extérieur des habitations : interrupteurs, prises électriques, tableaux de répartition, radiateurs, sèche-serviettes, chauffe-eau... Une variété d’interventions que JCT Elect réalise toujours avec la rigueur et la sympathie qui caractérisent ce couple d’artisans. « On s’adapte aux besoins des clients, on écoute, on accompagne, explique Nathalie. On est proche de nos clients. » Concernant les chantiers, elle poursuit : « On ne travaille qu’avec des marques françaises comme Thermor pour tout ce qui est chauffage ce qui peut aboutir à un remboursement partiel de la pose et HAGER pour les installations électriques. »
La relation de confiance est au cœur de leur activité. Ils la cultivent notamment en s’entourant d’autres artisans qui peuvent être amenés à travailler en complémentarité sur des chantiers particu-liers. Un partenariat entre différents corps de métiers avec la constitution du Cercle Confort Habi-tat de la Marne structuré par Synerciel, le réseau national d’entreprises agréées dont JCT Elect fait partie depuis 5 ans. Une réelle volonté pour Nathalie et Sébastien de s’inscrire dans la lutte contre les déperditions énergétiques grâce à des rénovations durables.
Cette conscience environnementale, ils la concrétisent aussi en ajoutant deux nouvelles branches à leur activité. Ainsi, l’obtention de la mention RGE « Reconnu Garant de l’Environnement » leur permet de valoriser leur savoir-faire en installation de chauffage et VMC et d’être référencés comme professionnels de la rénovation énergétique. D’autre part, JCT Elect a obtenu la qualifica-tion IRVE, une certification délivrée aux électriciens qui suivent une formation spécifique pour l’installation des bornes de recharge pour véhicules électriques.
Bien dans leur époque, le couple à l’énergie débordante développe son entreprise en son âme et conscience. L’avenir de JCT Elect n’a pas fini de s’éclairer !
Démarré en décembre 2021, le chantier doit être totalement terminé au plus tard en janvier 2025. © l'Hebdo du Vendredi
Les grues sont courantes dans le ciel rémois. Cependant, pouvoir en observer six exemplaires à l'œuvre simultanément sur un même un site demeure beaucoup plus rare. C'est ce spectacle inédit qui se déroule sous les yeux des Rémois et des visiteurs de passage, transitant par le quartier Courlancy ou par l'autoroute urbaine toute proche. En action depuis un peu plus d'un an, les engins pivotent ainsi toute la journée, participant à la réalisation du plus important chantier de construction privé en cours dans l'agglomération rémoise : le projet Rives de Vesle. Dans les cartons depuis près de 15 ans, il vise à redynamiser tout un secteur, en l'occurrence celui de Courlancy, en offrant au centre-ville une extension et une entrée digne de ce nom. Mené par la société Quartus, Rives de Vesle ne se contente pas d'ajouter au paysage de la cité des sacres un ou deux immeubles de plus, mais bien un ensemble de constructions qui en fait presque un quartier à part entière. L'investissement consenti est d'ailleurs à la mesure du projet : plus de 100 M€. Pour ce budget, le groupe de gestion immobilière aménage trois hectares de terrain situés tout près de la Comédie de Reims, dont une grande partie a longtemps été occupée par la concession automobile Renault, qui a déménagé depuis au sein de la Cité automobile, dans la zone d'activités Farman. Imaginé par l'architecte-urbaniste rémois Jean-Michel Jacquet, Rives de Vesle entend proposer un lieu de vie où se mêlent les générations et les usages, le tout dans
Un tiers d'espaces verts
Des logements pour plus de 1 000 habitants
un cadre riche en espaces verts. Sur ce dernier point, la promesse a été faite de conserver le patrimoine végétal existant le long de la Vesle. Formant une barrière naturelle vitale avec la voie Taittinger toute proche, il devrait être complété par de nouvelles plantations et occuper, au final, un tiers du site, soit un hectare. Mais qui dit nouveau quartier, dit surtout nouveaux logements, commerces et services. L'état actuel du chantier, pourtant bien avancé, ne laisse pour l'instant rien deviner. Sans surprise, la part la plus importante du bâti sera dédiée à l'habitat, du studio au T5, avec 440 appartements en accès libre et 100 autres dits « intermédiaires », c'est-à-dire bénéficiant de loyers plafonnés, inférieurs aux prix du marché. A ces constructions, s'ajoutent un hôtel de 147 chambres, sous la marque Holiday Inn, et une résidence pour les seniors comprenant 84 logements. En revanche, la résidence étudiante, initialement prévue, a disparu de la programmation. Rives de Vesle offrira au total une capacité d'accueil de plus de 1 000 habitants. Concernant les activités commerciales, installées en rez-dechaussée, boutiques, restaurants et services s'étaleront sur 4 000 m². L'ensemble s'articulera autour d'une nouvelle rue et d'un espace piétonnier et paysager. Les premières livraisons sont attendues dans un an, tandis que la totalité du projet devrait être achevée entre fin 2024 et début 2025.
Créé en 1963 par M. Serge Larose, SOPALOR est spécialisée depuis 60 ans dans la distribution de produits de peinture, de revêtements de sol et de revêtements muraux pour les particuliers, professionnels et collectivités. L’entreprise familiale mise sur le conseil personnalisé et la qualité professionnelle.
Une partie de l’équipe rémoise de Sopalor autour de M.Soldi. © L’Hebdo du vendredi
Au cœur du quartier Courlancy, territoire rémois verdoyant et familial, Sopalor a depuis longtemps trouvé sa place, la société fait partie intégrante de ce quartier pavillonnaire et animé à deux pas du centre-ville.
Habitants, administrations, artisans et entrepreneurs font appel à l’expertise de l’équipe rémoise pour concevoir et réaliser à leurs côtés les travaux et projets d’embellissement, leurs références y sont très nombreuses.
Sous la Responsabilité de M. Soldi, une équipe de conseillers spécialisés est à votre disposition sur leur site rémois de plus de 1000 m2 sis au 21 rue de Courlancy. Parmi la gamme très étendue de produits, Sopalor vous conseillera sur les bons choix, pour faire de chez vous du beau de manière durable.
Faire du beau de manière durable
Ce savoir-faire reconnu depuis 60 ans n’a cessé d’évoluer avec les tendances du design contemporain et les innovations techniques. Les préoccupations légitimes de la clientèle concernant la sécurité et la santé sont au cœur du devoir de l’entreprise familiale.
Ainsi, Sopalor travaille avec des marques françaises très attachées à la qualité des produits et au respect de l’environnement.
Il est à noter, que des innovations sont également à découvrir grâce à des nouveautés peu connues comme les peintures thermo-isolantes qui permettent de conserver la chaleur en hiver et la fraîcheur en été, un gain intéressant en cette période de crise énergétique.
Toute l’équipe de SOPALOR REIMS sera heureux de vous accueillir en vous apportant aides et conseils personnalisés dans vos travaux de finitions.
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Dans le quartier familial de Courlancy, un restaurant concentre toutes les envies d’une bonne table sans prétention, avec une grande idée du partage. C’est la touche de Jean-Marc Oro, le gérant depuis 2006.
De bons produits, des plats maison et de la convivialité… En salle comme en cuisine.
Le projet des Berges du canal ambitionne la reconquête du vaste espace situé entre les ponts Vesle et Venise, pour en faire un nouveau lieu de vie au bénéfice des habitants. Mais qui implique aussi la disparition complète du pont Charles-de-Gaulle.
Créé en 1996, Le Petit Basque est un restaurant qui a apporté le soleil de sa cuisine dans la cité des sacres. Depuis 27 ans, la petite salle de 50 couverts régale les Rémois de tout âge et de tout horizon. De sa paëlla reconnue des débuts, la carte s’est agrandie à des plats traditionnels français toujours avec une touche d’originalité. S’ajoutent la chaleur des épices, des saveurs parfumées et des classiques de la région dont il emprunte le nom évidemment comme l’incontournable gâteau basque ou l’Axoa, ce haché de veau mijoté au poivron et piment d’Espelette.
La chaleur de la cuisine diffuse ses bonnes ondes jusqu’aux convives qui viennent aussi bien manger de bonnes choses que partager un moment convivial, tous ensemble. C’est la volonté de Jean-Marc, cuisinier depuis 1998 dans cet établissement qu’il a repris en 2006.
A son contact, l’ambiance chaleureuse est réellement l’ingrédient essentiel du Petit Basque au grand cœur.
De la créativité et de la bonne humeur
De ses Ardennes natales, Jean-Marc a rapporté la générosité, dans ses assiettes d’une part, comme entre les gens qui l’épaulent chaque jour et ceux qui partagent un repas fait de ses mains.
La satisfaction semble être le moteur de ce restaurateur au sourire communicatif. Il passe du temps à aller voir ses tables, à connaître ses clients en parlant avec eux. Il échange aussi énormément avec son équipe qu’il considère comme une famille. Une jolie relation de travail où la confiance créée des liens de fidélité. Ainsi son chef cuisinier est entré comme pré-apprenti il y a 20 ans. Avec ce jeune chef formé à la maison, il concocte d’ailleurs chaque semaine trois nouveautés à la carte, pour surprendre et (se) faire plaisir.
Jean-Marc écoute ses collaborateurs, Loïc, Angie, Florian, Florine et Maxence. Du stagiaire au chef, chacun apporte ses références, son identité dans cette cuisine ouverte sur la bonne humeur. Et cela se retrouve dans la sélection de produits de qualité cuisinés maison. Des terrines rustiques, des fritures de poissons frais, des paëllas généreuses, des plats en sauce réconfortants, le tout assaisonné d’une pointe de créativité.
Le Petit Basque a trouvé la bonne recette au cœur du quartier Courlancy qui a conservé, comme lui, son ambiance familiale et son esprit village. Une adresse où on vient et on revient avec plaisir comme on partagerait un repas chez des amis.
Si cette vue n'est pas contractuelle, voici à quoi devrait ressembler le secteur en 2025, une fois le pont démoli. © Ville de Reims
C'est sans doute l'un des plus grands projets menés actuellement par la ville de Reims. A l'image des Promenades, celui des Berges du canal promet un bouleversement majeur dans un secteur largement dévolu aux voitures jusqu'alors et qui n'a pratiquement pas évolué depuis près de 40 ans. Porté par le duo Robinet-Vautrin, le dossier est aujourd'hui dans les mains du groupement d'experts Anma-Mutablis qui a donc pour mission de réaménager le port, où sont aujourd'hui à quai quelques péniches, et de créer un nouvel espace de vie sur un secteur d'une superficie de 11 hectares, allant du Centre des congrès au pont de Venise. La métamorphose promet d'être spectaculaire. « On n’a pas souvent, dans une vie d'élu, l'occasion de présenter des projets de cette ampleur, car c'est un choix qui engage notre territoire pour de nombreuses années », a d'ailleurs déclaré la présidente du Grand Reims, Catherine Vautrin, lors de la présentation du projet, juste avant Noël. Les objectifs de ce réaménagement sont clairs : donner davantage d'ampleur au port actuel, réduire la place dévolue aux automobilistes, tout en favorisant l'usage des modes doux et anticiper la mutation de la traversée urbaine qui doit devenir un boulevard urbain en 2028, date à laquelle la concession de la Sanef prendra fin. Si on ne peut évidemment pas reprocher à la municipalité de vouloir « créer un nouveau lieu de vie convivial, îlot de fraîcheur pour tous les habitants », dixit Arnaud Robinet, le choix de gagner de l'espace en faisant disparaître dans sa totalité le pont Charles-deGaulle divise une grande partie des habitants du Grand Reims. Les élus en ont bien conscience, mais justifient cette décision, études à l'appui. Selon les chiffres donnés par la ville, il est actuellement emprunté en moyenne par un peu moins de 10 000
« Un choix qui engage notre territoire pour de nombreuses années »
véhicules par jour (6 000 depuis le centre-ville et 3 000 depuis Courlancy), alors qu'il a été construit pour en voir passer 50 000. « Aujourd'hui, ce pont interpelle par sa démesure par rapport aux flux d'automobilistes, a insisté le maire de Reims. Lors de sa construction, il était au cœur du projet de circulation Rotival qui a été stoppé dans les années 1970. Il n'est utilisé qu'à 20 % de sa capacité et n'est pas configuré pour accueillir les piétons et les cyclistes en toute sécurité ». En outre, fragilisé par le temps qui passe, l'ouvrage présente des problèmes d'étanchéité, malgré des travaux menés en 2005, et nécessiterait « des coûts d'entretien exorbitants ». Quant aux conséquences de cette démolition sur la circulation automobile, la ville estime que le pont de Venise et l'autoroute urbaine, qui doit bénéficier d'une nouvelle sortie en direction du quartier Courlancy au niveau de l'échangeur Reims-centre, pourront absorber les usagers de Charles-de-Gaulle. Le développement du plan vélo, la mise en place des lignes de bus à haut niveau de service (BHNS) à partir de 2025 et la liaison du boulevard des Tondeurs à l'autoroute A34, doivent aussi contribuer à cette réorganisation des flux à l'échelle de l'agglomération.
A la place du pont Charles-de-Gaulle, une passerelle réservée aux piétons et aux cyclistes, longue d'environ 250 mètres et surplombant l'autoroute urbaine ainsi que le canal, doit être construite. La réalisation de l'ensemble du projet est espérée courant 2025, pour un budget qui reste à affiner. Si on sait que la démolition du pont et la construction de la passerelle coûteront respectivement 5 et 10 M€, l'enveloppe dédiée aux aménagements des espaces publics, sur lesquels les habitants auront prochainement leur avis à donner, n'est pas encore finalisée.
J.D