L'Hebdo du Vendredi Châlons 593

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LES 16 ET 17 OCTOBRE

Rue des Lombards

Le chantier enfin lancé

Dossier p. 9 à 15

SAINT-MARTIN-SUR-LE-PRÉ

La sécurité des piétons pose question p. 6 SOCIAL

Près de 200 manifestants à Châlons p. 8 INTERVIEW

Daniel Auteuil, d’acteur à chanteur p. 17 EXPOSITION

Retardé de plus de deux ans à cause de procédures engagées à son encontre, le chantier qui s'ouvre à l'angle des rues Gobet-Boisselle et des Lombards ne s'achèvera que fin 2022. Et le bâtiment que prévoit de construire Nov'Habitat n'est pas du goût de tout le monde... p. 4

L'armée vue par Depardon aux Beaux-arts p. 18

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édité par la SARL BMDR Editions Journal hebdomadaire gratuit d’information locale Siège social : 195, rue du Barbâtre à Reims

Tél. 03 26 36 50 13

Rédaction : redaction@lhebdoduvendredi.com Publicité : publicite@lhebdoduvendredi.com Newsletter : newsletter@lhebdoduvendredi.com Directeur de la publication : Frédéric Becquet - fb@lhebdoduvendredi.com Edition Reims : Julien Debant, chef des éditions - julien.debant@lhebdoduvendredi.com Edition Châlons : Sonia Legendre - sonia.legendre@lhebdoduvendredi.com Edition Epernay : Simon Ksiazenicki - simon.ksia@lhebdoduvendredi.com Service commercial : Emilie Fressancourt - emilie.fressancourt@lhebdoduvendredi.com Fanny Chrapkiewicz - fanny@lhebdoduvendredi.com Infographiste : Anne Rogé - Community Management : Dixie Bonnette Administration : Martine Bizzarri - martine.bizzarri@lhebdoduvendredi.com Responsable diffusion : Alexandre Percheron - distribution@lhebdoduvendredi.com Parution le vendredi matin - Imprimé par l’imprimerie de L’Union C.P.P.A.P 1225 Q 94414 Provenance du papier : Suéde.

Les papiers utilisés sont certifiés PEFC/FSC. Taux de fibres recyclées : supérieur à 70%.

Orelsan à l'Arena de Reims en 2022 L’Arena de Reims n’est pas encore ouverte, mais elle connaît déjà quelques noms d’artistes qui se produiront sur sa scène, en 2022. À Iggy Pop, Sexion d’Assaut et Julien Doré, il faut désormais ajouter Orelsan. Le rappeur a dévoilé l’ensemble des dates de sa tournée, qui démarrera le 15 janvier, dans sa ville natale, à Caen, et celle-ci passera par Reims, le 26 mars. Orelsan était déjà venu à La Cartonnerie, en 2012, et plus récemment à La Magnifique Society, il y a trois ans. Tarifs : 40 à 65 €.

Infos : orelsan.show

Plus de 12 500 entrées au festival War on Screen Ce chiffre reste à consolider, mais le 9e festival international de cinéma War on Screen a comptabilisé plus de 12 500 entrées à Châlons, Suippes et Mourmelon en l'espace de six jours.

Mieux que l'édition passée – environ 8 000 entrées – qui s’était déroulée en jauge limitée, même si le record de billetterie s'établit à plus de 20 000. Parmi les films distingués au palmarès du jury international : « Olga » d'Elie Grappe (mention spéciale) et « En route pour le milliard » de Dieudo Hamadi (grand prix). Sans oublier les prix du public, attribués cette année à « L'homme qui a vendu sa peau » de Kaouther Ben Hania et à « Free Fall » d'Emmanuel Tenenbaum. Rendez-vous en 2022 pour fêter les dix ans de l'événement.

Une Sparnacienne décorée de la Légion d'honneur En janvier dernier, la Sparnacienne Delphine Chapelot apprenait faire partie des 1 229 nouveaux décorés de la Légion d’honneur, en raison de son engagement pendant la crise sanitaire. Dès le mois de mars 2020, cette responsable du bureau d’études de l’entreprise Chantelle Lingerie, qui possède un site à Épernay, avait créé une association pour répondre à la pénurie de blouses pour les soignants. Grâce à un partenariat tissé avec les Lions Club d’Épernay et de Châlons, les équipes des Blues du cœur avaient ainsi pu fabriquer 4 000 surblouses et 20 000 kits prêts à être assemblés par les apprentis couturiers du département.

Delphine Chapelot se verra remettre, ce samedi matin, la précieuse croix de chevalier, au sein du site Chantelle d’Épernay. © DR

La campagne pour la présidentielle a à peine commencé qu’elle rivalise déjà avec la précédente en matière d’indigence.

Une pauvreté qui doit autant aux candidats qu’au traitement journalistique qui leur est consacré. Les prétendants pouvant espérer jouer un rôle dans ce suffrage suprême apparaissent soit comme usés par plusieurs années de combat politique, soit comme incapable de proposer un vrai modèle de société crédible. Certains cumulent même ces deux tares. Aucune tête vraiment nouvelle n’émerge du débat… sauf une, qui semble obnubiler de nombreux médias. Passer sa journée devant CNews et/ou BFM-TV est une expérience que je ne conseille à personne. Surtout en ce moment, où le nom d’Éric Zemmour est omniprésent. Le polémiste d’extrême droite n’est pas encore candidat qu’il concentre l’attention de façon totalement démesurée. On glose beaucoup sur les réseaux sociaux en matière d'influence sur le débat public, mais la bonne vieille télévision n’a pas dit son dernier mot. Les stars des réseaux que sont Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan et François Asselineau sont quasiment inexistants dans le débat présidentiel, malgré leurs millions de vues en ligne, tandis que Zemmour n’en finit plus de grimper dans les sondages à la faveur de sa surexposition télévisuelle. L’audience multiplicatrice apportée à chaque prise de parole du candidat putatif, reprise, commentée, disséquée, lui permet de glaner chaque jour des points dans les sondages. Lesquels sont devenus des programmes politiques à part entière. « Votez pour moi, je suis le mieux placé dans les sondages, peu importe qui je suis et ce que je propose. » Et plutôt que de les remettre en perspective, les médias commandent toujours plus d'enquêtes qu’ils pourront commenter à l'infini afin d’alimenter un storytelling (manière de raconter une histoire), une tension narrative, à la manière d’une course de petits chevaux ou d’un championnat de foot.

On ne s’intéresse plus qu'aux personnes, aux histoires, et tant pis pour l'essentiel : le programme et la vision pour la France.

Quid du logement, de la répartition des richesses, de la santé, de l’Europe, du nucléaire, de la lutte contre les discriminations ?

Espérons que ces sujets soient abordés avant le mois d’avril.

Il ne faudrait pas que les Français concluent à la vacuité de l’offre politique.

Arnaud Robinet au Havre pour soutenir Édouard Philippe Depuis qu’il a été contraint de quitter Matignon, le 3 juillet 2020, Édouard Philippe fait beaucoup parler de lui. Le week-end dernier, le maire du Havre a ainsi adressé une vidéo aux militants de La République en marche, réunis en campus à Avignon, dans laquelle il annonçait « prendre des initiatives politiques, le 9 octobre, au Havre ». L’ancien Premier ministre devrait donc lancer, ce samedi, son propre mouvement, mais qui ne sera pas concurrent du parti présidentiel, selon Édouard Philippe lui-même, qui souhaite « l’élargissement de la majorité et du socle électoral du président ». Pour preuve, il pourra compter sur le soutien du maire de Reims et ancien des Républicains, Arnaud Robinet, qui nous a confirmé qu’il serait bien dans la ville normande, ce week-end. En mai dernier, le premier édile rémois avait accueilli dans sa ville Édouard Philippe lors d'une séance de dédicaces. Les deux élus, qui se disent « amis », avaient montré une vraie proximité.

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Centre-ville

Plus d'un an de travaux devant Saint-Alpin Après deux ans et demi de procédures, le chantier vient de débuter à l'angle des rues Gobet-Boisselle et des Lombards.

Il s'opérera jusqu'en décembre 2022. Objectif de Nov'Habitat : démolir le bâtiment existant puis en édifier un nouveau, comprenant quatre logements et une cellule commerciale.

D

epuis une semaine déjà, les entreprises s'affairent face à l'église Saint-Alpin, devant le bâtiment sis au 12 rue des Lombards qui se prolonge sur plusieurs mètres rue Gobet-Boisselle. D'ici la fin du mois de novembre, il aura disparu. Tout comme les graffs et autres monstres colorés qui le recouvrent actuellement, ce qui n'est pas pour déplaire à certains (lire par ailleurs). « Il était trop vétuste pour qu'on puisse le réhabiliter, dixit Alain Marjolet, directeur général de Nov'Habitat, le maître d'ouvrage. Quitte à démolir, nous avons fait le pari d'une architecture contemporaine. L'idée étant de revitaliser le cœur de ville et d'y faire revenir des habitants en leur proposant des appartements modernes, performants sur le plan thermique et phonique, qui répondent aux besoins d'aujourd'hui. » Imaginé par le cabinet châlonnais Eudes Architec-

La démolition du bâtiment situé rues des Lombards et Gobet‐Boisselle interviendra fin octobre. © l'Hebdo du Vendredi

ture, le futur immeuble se composera d'une cellule rejean, qui apporte tout son charme à cette rue piécommerciale d'environ 100 m2 au rez-de-chaussée, tonne. Côté Lombards, en revanche, la façade, de dont les vitrines seront également visibles côté couleur plus foncée, risque d'en surprendre plus Gobet-Boisselle. Il comprendra aussi quatre T2 d'un. « C'est un projet validé par l'Architecte des bâtiments de France, rapallant de 49 à 64 m2, réStructure métallique partis sur deux étages et pelle Morgan Laherte, à la dotés de loggias d'environ et persiennes sur rails direction du patrimoine de 7 m2. Un petit luxe en hyNov'Habitat. On a veillé à percentre, qu'il sera possible de s'offrir moyennant retrouver tous les codes du centre-ville : les meun loyer de 270 à 360 euros hors charges. « On nuiseries, une symétrie parfaite avec le bâtiment reste sur du logement social, précise l'instigateur. du numéro 14, un alignement des vitrines, etc. La Le bâtiment sera plus sobre rue Gobet-Boisselle structure métallique ouverte donnera une autre pour faire le lien avec l'existant. » On pense norythmique à l'ensemble. Elle est faite de persiennes tamment aux poutres et aux briques apparentes, sur rails, que les gens pourront faire glisser en aux pavés et surtout à la boutique d'antiquités Pierfonction de la luminosité. »

Le curage intérieur se poursuivra pendant trois semaines, avant le lancement de la démolition. Une dalle en béton installée temporairement devant l'édifice permet aux camions d'évacuer les matériaux tout en protégeant le sol. Le chantier est volontairement cantonné, mais il bloque l'accès à Gobet-Boisselle via la rue des Lombards. « On fera tout pour perturber le moins possible l'activité des commerces alentour et pour que le tout soit livré avant Noël 2022 », assure le maître d'ouvrage.

Pas de pause pendant les festivités de cette fin d'année en cœur de ville, donc ? « Cela ne ferait que prolonger la durée des travaux. On a déjà attendu la fin de la saison estivale pour démarrer et ne pas impacter le Saint-Alp'. Si on ralentit la cadence, on risque de décaler la construction au printemps, alors qu'elle est prévue en décembre. On garde le lien avec les commerçants du quartier, ils peuvent nous contacter si besoin. »

Sonia Legendre 180 000 euros pour acheter l'immeuble à démolir L'opération globale avoisine 1,7 million d'euros, dont 180 000 euros pour l’acquisition de l'immeuble à démolir, daté de la première moitié du XVIIIe siècle, 200 000 euros pour les études et les frais de maîtrise d'oeuvre, et 1,3 million pour les travaux. Les collectivités et le programme national « Action cœur de ville » ont apporté leur pierre à l'édifice.

Nouvelle Catalaunie toujours opposée au projet

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ans surprise, Nouvelle Catalaunie se positionne vent debout contre le projet de Nov'Habitat. Pour rappel, elle avait déposé en 2019 un recours, d'abord gracieux, ensuite administratif, à son encontre. Une erreur de procédure pointée du doigt par les avocats de la mairie de Châlons a précipité le désistement de l'association, mais son président, Bruno Malthet, n'en demeure pas moins catastrophé par les plans du bailleur. Il va même, dans le dernier numéro du Petit Catalaunien Illustré, jusqu'à titrer un article « Bientôt, une M... devant Saint-Alpin ». En filigrane, il fait le lien entre la couleur de l'excrément et celle du futur bâtiment. « C'est ce qu'ils appellent de la peau de girafe, explique-t-il. Ce n'est ni plus ni moins qu'une fausse façade qui masque les balcons, composée d'un agglomérat de

La façade sombre du futur bâtiment, face à l'église Saint‐Alpin, inquiète l'association Nouvelle Catalaunie. © Eudes Architecture

plusieurs matières très sombres. Je ne comprends pas qu'on puisse faire ce genre de choses, qui plus est avec l'accord d'un Architecte des bâtiments de France. D'autant que l'expertise réalisée en amont

par le cabinet d'études ne concluait pas à la démolition de l'existant et préconisait de renforcer sa structure. » En 2019, Nov'Habitat s'était engagé à redessiner la façade pour préserver davantage son

aspect historique. Statu quo. « On remplit notre rôle de lanceur d'alerte. Le seul point positif, c'est la disparition des fresques d'art urbain qui enlaidissent la rue Gobet-Boisselle. » L'association s'interroge également sur les bornes en pierre de type chasse-roues situées dans cette rue et demande au bailleur de les conserver. Lors d'une conférence de presse, le maître d'ouvrage l'a confirmé : ces éléments seront nettoyés et réintégrés, comme prévu dans le permis d'aménager. « Même chose pour les caves voûtées en craie typiquement champenoises qui se trouvent sous le bâtiment qu'on démolira, détaille le directeur général, Alain Marjolet. Elles seront consolidées en décembre pour supporter le nouveau bâtiment. » Nouvelle Catalaunie y sera attentive.

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Forum – Vallée Saint-Pierre

Contentieux électoral

Le Conseil d'Etat contraint Alan Pierrejean à la démission

Le bien-être pour lutter contre le cancer

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i l'association Actions croisées œuvre tout au long de l'année pour accompagner les patients, mais aussi leurs proches et leurs aidants, le forum « Cancer et bienêtre » reste un temps fort qu'elle organise avec ses partenaires à l'occasion d'Octobre rose depuis huit ans déjà. Sa particularité ?

Il s'ouvre à tous, qu'on soit concerné, de près, de loin ou pas Le 8e forum d'Actions croisées abordera le cancer et le bien‐être par la maladie et propose, en par la danse, la musique ou encorela sophrologie. © DR plus de l'aspect préventif, d'aborder le cancer à travers le bien-être. « Le centre socio-culturel et les habitants de la Vallée SaintPierre se joignent à nous cette année, annonce Jérôme Sicard, le président d'Actions croisées. Ils cuisineront des gâteaux pour les vendre au profit de l'association. Nous échelonnerons également nos ateliers sur différentes plages horaires pour permettre au plus grand nombre d'y participer. » Au programme, notamment : de la sophrologie, de la marche nordique ou encore des rencontres autour de la beauté et de la nutrition. « Deux kinésithérapeutes présenteront aussi une pratique visant à améliorer le processus de cicatrisation et une intervenante abordera les bienfaits de la médiation artistique, parfois peu connue, mais très intéressante dans l'accompagnement de la maladie. » Pour la deuxième édition, des avocats du barreau de Châlons viendront partager, bénévolement, leurs conseils en matière de droit, d'aides, de retour à l'emploi, etc. Et parce que le bien-être passe aussi par la musique et la danse, l'après-midi sera ponctué d'un concert de blues puis d'un voyage au cœur des rythmes d'Afrique concocté par l'association Arabesk. « On veut surtout faire de ce rendez-vous un moment convivial, de partage, de joie et de sourires. » Belle philosophie.

Sonia Legendre 4 Forum « Cancer et bien-être », dimanche 10 octobre de 10 h à 18 h au centre socio-culturel

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n avril dernier, le tribunal administratif de Châlons, saisi par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, rendait sa décision concernant Alan Pierrejean, candidat à la dernière élection municipale. En cause : le non-dépôt, à l'époque, de son compte de campagne dans les conditions et les délais prescrits par la loi.

En l'absence de justification de sa part, il a fait l'objet d'une sanction d'inéligibilité pour une durée de 18 mois. Le Conseil d'Etat vient de confirmer ce verdict. Alan Pierrejean, est donc déclaré démissionnaire d'office de ses mandats de conseiller municipal et communautaire. L'annonce a été officialisée auprès de l'assemblée municipale par le maire de Châlons, Benoist Apparu, ce jeudi 7 octobre.

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Octobre rose

Les monuments de Châlons s'illuminent

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omme tous les ans, les édifices emblématiques de Châlons s'illuminent de rose pour relayer l'opération Octobre rose, consacrée à la lutte contre le cancer du sein et au dépistage. Et cette année, un nouveau monument rejoint l'hôtel de ville et la porte Sainte-Croix : la passerelle du grand Jard, récemment rénovée. Plusieurs animations s'inviteront à Châlons jusqu'à la fin du mois. © Teddy Picaudé Photographe On citera notamment le forum « Cancer et bien-être » ce dimanche (lire par ailleurs) et des ateliers solidaires à la piscine olympique le 17 octobre de 8 h à 12 h 30. Une participation de 4 euros supplémentaires sera proposée aux nageurs puis reversée à la Ligue contre le cancer.

de la Vallée Saint-Pierre (1, rue Jean-Sébastien Bach). Entrée libre, pass sanitaire obligatoire.

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Circulation - Saint-Martin-sur-le-Pré

Une association alerte la mairie sur la sécurité des piétons Une association de riverains tire la sonnette d'alarme quant à la sécurité des piétons route de Louvois, à Saint-Martin-sur-le-Pré.

Elle demande à la municipalité d'étendre la zone 30 en vigueur sur toute la traversée du village.

Mais la mairie a d'autres plans.

jusqu'ici réservée aux voitures. « Nous prévoyons aussi d'installer des panneaux « Cédez le passage » pour remplacer les priorités à droite et de tester le rétrécissement ponctuel de la chaussée grâce à des écluses pour limiter la vitesse. » Puis de déplorer l'absence de Frédérique Gauttier à la réunion publique tenue lundi 4 octobre. « On a pu présenter ce projet à une centaine d'habitants, dont plusieurs membres de l'association, et même le faire évoluer de façon constructive grâce aux arguments des riverains. Si elle était venue, elle nous aurait fait part de ses suggestions. » Dont acte.

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ne manifestation était organisée ce jeudi 7 octobre route de Louvois pour dénoncer le danger encouru par les piétons de part et d'autre de cette voie. En cause, le comportement de certains automobilistes, malgré l'instauration d'une zone 30 aux abords des commerces. « Théoriquement, les piétons sont prioritaires sur l'ensemble de cette zone, dixit Frédérique Gauttier, la présidente de l'association Qualité de vie à SaintMartin-sur-le-Pré. Mais les gens ne respectent ni cette priorité, ni la limitation de vitesse : voitures, camions, véhicules d'auto-écoles, motos, etc.

Même les trottinettes électriques s'y mettent ! » Et le panneau lumineux qui rappelle régulièrement la présence de cette zone 30 n'empêche pas les excès. « On alerte la municipalité sur cette problématique depuis août 2020. Des compteurs de véhicules ont été mis en place, mais ça ne règle rien. Il y a une semaine, parce qu'elle a eu vent de notre manifestation, la mairie a installé des plots rouge et blanc au milieu de la voie. Ils réduisent l'espace sur la

Sonia Legendre La présidente de l'association Qualité de vie à Saint‐Martin‐sur‐le‐Pré dénonce le non‐respect de la priorité aux piétons en zone 30. © l'Hebdo du Vendredi

chaussée avec la piste cyclable et les vélos se re30 à toute la traversée de Saint-Martin. » portent sur les trottoirs de peur d'être fauchés par Ce que n'envisage pas le maire de la commune, Jacques Jesson. « Nous effectuons actuellement la les voitures. » Autre bémol soulevé par l'association : les ralentisseurs aménagés l'an passé dans la remise en conformité des ralentisseurs dans la zone industrielle. « Il faut les emprunter à 10 km / zone industrielle et allons expérimenter, d'ici début h sous peine d'abîmer novembre, plusieurs disDes expérimentations positifs destinés à sécuson véhicule. Beaucoup préfèrent passer par le pour sécuriser le secteur riser davantage ce secteur. » Une signalisavillage pour gagner du temps. » Des passages piétons supplémentaires tion au sol avec des pictogrammes pour rappeler permettraient-ils d'apaiser la circulation ? « Il y en la priorité aux piétons, par exemple, mais égalea déjà à chaque intersection, reconnaît Frédérique ment le réaménagement en épi du stationnement à Gauttier. Il faut surtout qu'on intègre cette notion proximité des commerces et l'utilisation de la de priorité des piétons et qu'on élargisse la zone contre-allée pour les piétons et les cyclistes,

15 % des véhicules respectent la zone 30 route de Louvois Les données des compteurs de véhicules et de vitesse installés dans le village sont rendues publiques sur le site de la mairie. Et Jacques Jesson tempère : « en avril dernier, le nombre moyen de véhicules sur la route de Louvois s'élevait à 3 600 le mercredi, 2 500 le samedi et 1 800 le dimanche. 15 % des conducteurs roulaient à moins de 30 km/h et 92 % à moins de 50 km/h. La proportion des véhicules dépassant les 80 km/h n'est « que » de 0,02 %. Si les automobilistes roulent à plus de 30 km/h, mais que dans le même temps, ils respectent les piétons, c'est moins dérangeant à mon sens. »

EN BREF Acalmi livre ses premiers paniers culturels L'Association culturelle, artistique, locale, militante et inspirée (prononcer Acalmi) organise la toute première remise des fameux paniers « P'tit Vrac », comme vecteur-récepteur d'art et de culture. Au menu : des produits de saison concoctés par les talents locaux, dont le fruit des ventes sera intégralement reversé aux artistes, mais également un concert, la bouquinerie solidaire de Lire et Délires en stock, des vinyles et des instruments de musique d'occasion à chiner librement, etc. Rendez-vous ce vendredi 8 octobre de 18 h à 21 h à la Cantine du 111 (avenue de Paris). Accès libre, sur présentation d'un pass sanitaire.

Contact : acalmi@mail.fr.

Le spectacle de Lynda Lemay reporté en mars Programmé ce samedi 9 octobre au Capitole, à Châlons, le nouveau spectacle « La vie est un conte de fous » de l'auteure-compositrice et interprète Lynda Lemay (lire son interview dans l'Hebdo du vendredi 24 septembre) se voit finalement reporté au jeudi 24 mars 2022 à 20 h, même endroit. La production évoque « des raisons techniques indépendantes de sa volonté » pour justifier ce changement de dernière minute et précise que les billets déjà réservés restent valables pour la nouvelle date. Infos : www.lecapitole-en-champagne.fr.

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Enseignement supérieur

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Le campus In&Ma ouvrira début 2022

La Mission locale se mobilise pour les jeunes

n 2019, les Instituts de promotion industrielle (IPI) de Châlons et d'Albi fusionnaient pour donner naissance à une nouvelle marque et une nouvelle école privée consulaire, baptisée In&Ma. Avec à la clé la construction d'un campus dit « 4.0 » à Châlons, quartier Saint-Dominique, qui devrait accueillir entre 300 et 340 étudiants à l'horizon 2025. « Contre 192 actuellement, chiffre Ferry Déjà bien sorti de terre, le futur campus In&Ma accueillera les Quenet, le directeur général apprenants début février au plus tard. © l'Hebdo du Vendredi d'In&Ma. Aménager un tel concept en plein cœur de ville et en seulement deux ans, c'était un véritable challenge. On l'a relevé de façon partenariale. » Y compris pour son montage financier, puisque les Chambres de commerce, l'Etat, la Région, la Ville et l'Agglo de Châlons se partagent un investissement global estimé à plus de 8 millions d'euros, par le biais notamment du CRSD et du programme « Action cœur de ville ».

Attendu début février au plus tard, ce futur écrin imaginé par l'agence Omada Architectes vend du rêve : plus de 2 100 m2 de bâti, 18 salles, un amphithéâtre de 220 places, des écrans géants interactifs et une part belle à la digitalisation. Sans oublier les toits-terrasses et leur vue imprenable sur Châlons. « Il intégrera également un lab lean manufacturing et une notion de tiers-lieu, grâce à des espaces dédiés au travail de groupe et à l'expérience apprenante. On souhaite apporter à cet outil pédagogique et innovant une vocation d'ouverture à nos entreprises partenaires, dont 45 % sont nouvelles cette année, ainsi qu'aux acteurs de l'enseignement supérieur. » Deux cursus supplémentaires compléteront prochainement les filières d'ingénierie d'affaires et de management industriel de l'école.

Sonia Legendre

Sécurité routière

La police sensibilise les usagers vulnérables

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as moins de douze policiers étaient missionnés au centreville de Châlons, ce mercredi, pour mener une opération spécifique auprès des usagers dits « vulnérables ». Les cyclistes, mais aussi les deux-roues motorisés, les piétons, les personnes en skateboard ou en roller, etc. « Tous ceux qui n'ont pas de protection, contrairement aux voitures », résume Sa- Les forces de l'ordre ont rappelé aux usagers les règles du Code mira Alouane, sous-préfète de la route. © l'Hebdo du Vendredi et directrice de cabinet de la préfecture de la Marne. Sont également concernées les trottinettes, classiques comme électriques, ces dernières connaissant un envol dans la ville-préfecture depuis le déploiement d'une flotte d'environ cent modèles en libre-service. De quoi augmenter les comportements à risque ? « Pas forcément, nuance la sous-préfète. Mais proportionnellement, plus les usagers sont nombreux, plus les accidents augmentent. » En 2020, sur 403 accidents corporels déplorés dans la Marne, 122 impliquaient des personnes vulnérables. Et du 1er janvier au 21 septembre 2021, le département comptait déjà 68 accidents corporels impliquant un piéton.

S'ils avaient d'abord une vocation pédagogique, les contrôles réalisés sur place se sont accompagnés de quelques verbalisations, notamment à l'encontre d'un cycliste empruntant le rond-point à contresens. « Vélos et trottinettes confondus, le port d'un casque audio ou d'oreillettes constitue une infraction et peut faire l'objet d'une amende de 35 euros », rappelle le commissaire Monroche, chef de la circonscription châlonnaise de sécurité publique. Même tarif pour le transport d'un passager ou le fait de rouler sur le trottoir. Quant au défaut d'assurance, obligatoire pour les trottinettes, il peut coûter jusqu'à 3 750 euros.

S.L

n écho à la Semaine nationale des Missions locales, du 13 au 22 octobre, l'équipe de l'arrondissement de Châlons et ses partenaires ont concocté un programme riche de découvertes et de rencontres pour les jeunes de 16 à 25 ans. Et si la Mission locale les accompagne tout au long de leur parcours sur les questions d'orientation professionnelle, de formation et de recherche d'emploi, elle est aussi un précieux conseiller en matière de santé, de logement, d'accès Les 16‐25 ans pourront participer à de nombreux événements et aux droits, de mobilité et de ateliers du 13 au 22 octobre. © Mission locale de Châlons lutte contre la précarité. Plus encore en cette période de rentrée « post-Covid ». Parmi les événements proposés : des permanences de l'Armée de terre (sur rendez-vous, les 13 et 20 octobre), des ateliers de préparation à l'entretien d'embauche (le 13 octobre), une excursion au Viteff d'Epernay pour en savoir plus sur les métiers viticoles (du 12 au 15), une réunion sur la formation d'assistante maternelle au Greta de Châlons (le 14), des rencontres avec une psychologue (sur rendez-vous, le 18 octobre), des ateliers sophrologie (les 14 et 22) ou encore une sensibilisation aux écogestes pour sauver la planète (le 21 octobre à Sainte-Ménehould).

S.L 4 Programme complet sur la page Facebook « @MLChalons ».

Contact : 03 26 68 54 02, contact@ml-chalons.fr.

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Marne

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Manifestation

Course à pied

Privé, public, mêmes combats

Dimanche, c'est Run in Reims

Si la dernière édition en 2019 avait été pluvieuse, ce dimanche, le soleil devrait accompagner les coureurs. © ASO ‐ Run in Reims 2019

A

nnulé l'an dernier, le Run in Reims fait son grand retour dans la cité des sacres ce dimanche 10 octobre pour sa 6e édition. Comme d’habitude, plusieurs parcours et distances sontproposés : 10 km, semi-marathon et marathon. Au départ de la rue Libergier, les coureurs auront l’occasion de redécouvrir la ville à travers son patrimoine et ses paysages viticoles jusqu’à la ligne d’arrivée située boulevard Lundy. Si l'édition 2019 avait enregistré 14 000 inscrits, à quelques jours de l'événement, ils ne sont pour l'instant que 8 000 à avoir réservé leur dossard. Comme chaque année, tout au long des parcours et aux abords, des restrictions de circulation et de stationnement sont mises en place. À noter, une nouveauté en ce qui concerne les mises en fourrière. Elles sont réalisées par la police municipale, si bien que les contrevenants devront donc se rendre à l’Hôtel de police municipale (57, rue Ernest Renan) afin d’obtenir une main levée de leur véhicule avant de se rendre au garage Autoclub dépannage, situé 8 rue Marcel Dassault à Tinqueux.

J.D

La mobilisation du 5 octobre (ici, à Châlons) a réuni bon nombre de secteurs, publics comme privés. © l'Hebdo du Vendredi

L

a manifestation intersyndicale (CGT, FO, FSU et Solidaires) organisée ce mardi 5 octobre a fédéré plus d'un millier de personnes dans la Marne, dont environ 600 à Reims, 200 à Epernay et 200 à Châlons. Pas assez de l'avis de Fabien Renault, le secrétaire général CGT de l'union locale châlonnaise. « On voit se multiplier les licenciements, les plans sociaux et les rachats d'entreprises par des requins de la finance. On devrait tous se sentir concernés. » La mobilisation a toutefois le mérite d'avoir réuni un large panel de professions et d'entreprises, secteurs public et privé confondus : industrie, cheminots, fonction hospitalière, grande distribution, énergie, finances publiques, etc. Et si elle reposait principalement sur des revendications nationales, à commencer par la revalorisation des salaires, elle a également mis en exergue des problématiques marnaises. On pense notamment aux usines Poreaux et Pastural, rachetées par la holding Mutares et présentes dans le cortège. « Revaloriser le Smic, c'est indispensable mais ce n'est pas suffisant, dixit le représentant de l'union départementale de la CGT, Sébastien Marquis.

Après deux ans de Covid, les entreprises qui font du bénéfice versent encore des dividendes à leurs actionnaires. Elles devraient plutôt les redistribuer aux salariés qui sont en première ligne pour créer leur richesse. » Autres sujets évoqués en cette rentrée syndicale : les réformes de la retraite et de l'assurance-chômage. « Si l'on veut réduire la dépense publique, il faut trouver des recettes à mettre en face. L'Etat a tout fait pour que les entreprises survivent pendant la crise.

Aujourd'hui, elles doivent aussi contribuer au financement de sa dette. »

Sonia Legendre

Manifestation

Les sages-femmes sont montées à Paris

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eux semaines après un mouvement de grève très suivi, des centaines de sagesfemmes, venues de toute la France, se sont rassemblées, jeudi matin, à Paris, pour manifester et réclamer, entre autres, plus de moyens humains et l’évolution de leur statut. Parmi elles, 123 maïeuticiennes issues de l’ancienne région Champagne-Ardenne 123 sages‐femmes champardennaises se sont retrouvées avaient fait le déplaceà la capitale. © l'Hebdo du Vendredi ment, quittant Reims tôt dans la matinée en car. La revalorisation salariale mensuelle de 183 € nets, proposée par le ministre de la Santé, Olivier Véran, à la mi-septembre, n’a pas suffi à apaiser la colère d’une profession qui réclame une sixième année d’étude, la création d’un statut médical spécifique et de réviser les décrets de périnatalité de 1998, lesquels déterminent, notamment, les effectifs dans les établissements de santé.

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Un plan à 1,4 milliard contre le chômage Le gouvernement a présenté, le 27 septembre, un énième plan pour l'emploi, orienté vers la formation, à 1,4 milliard d'euros.

Le montant reste théorique, car salariés, demandeurs d'emploi et entreprises devront désormais s'emparer de ces dispositifs.

E

n 1993, François Mitterrand, au crépuscule de sa vie politique et humaine, déclarait : « Contre le chômage, on a tout essayé. » Pourtant, chaque président tente, depuis, d’apporter sa pierre à l’édifice de la lutte contre le chômage. Et le gouvernement Castex ne fait pas exception.

D’un côté, celui-ci vient de serrer la vis avec la mise en œuvre de la réforme de l’assurance-chômage, au 1er octobre dernier, qui durcit les conditions d’indemnisation des demandeurs d’emploi.

Selon le Premier ministre, cette réforme « va permettre d’encourager le retour à l’emploi tout en favorisant des contrats moins précaires qu’aujourd’hui », et ce, malgré l’opposition des syndicats et une étude de l’Unédic (l'association qui gère l’assurance-chômage) qui prévoit qu’au moins 1,15 million de demandeurs d’emploi vont voir leur allocation diminuer de 17 % en moyenne. De l’au-

Pôle emploi proposera aux 800 000 chômeurs de très longue durée un « parcours de remobilisation ». © l'Hebdo du Vendredi tre, le gouvernement entend sortir charge désormais aux entreprises, aux le carnet de chèques avec un plan à travailleurs et aux demandeurs d’emploi de se saisir de cette 1,4 milliard d’euros enveloppe maximale. pour investir dans Un « parcours de trois dossiers jugés Au moment de présenter remobilisation » majeurs : la reconverce « plan de réduction pour les chômeurs des tensions de recrutesion des salariés, la ment », le 27 septembre formation des demandeurs d’emploi et l'accompagnement dernier, le Premier ministre a dressé un des chômeurs de longue durée. Un constat : « La reprise est là, plus vigoumontant qui reste hypothétique, car reuse que ce que les experts atten-

daient, et le taux de chômage est revenu à son niveau le plus bas depuis douze ans. Pour autant, les employeurs peinent à pourvoir les emplois vacants, mais aussi à trouver des salariés qui correspondent à leurs besoins. » C’est donc pour résoudre cette situation que l’État « va débloquer 600 M€ pour permettre aux PME de moins de 300 salariés de former 350 000 personnes supplémentaires », selon Jean Castex.

En plus, « 560 M€ supplémentaires seront fléchés pour former 1,4 million de demandeurs d’emploi en 2022 », notamment vers les métiers en tension.

Cela correspond, selon la Banque de France, à 300 000 emplois dans l’hôtellerie-restauration, le BTP, l’industrie, la santé, les transports, la logistique et le commerce. Enfin, le Premier ministre promet que les 800 000 demandeurs d’emploi de très longue durée (plus de 2 ans) se verront proposer, d’ici fin 2022, un « parcours de remobilisation » par leur agence Pôle emploi, soit « un diagnostic personnalisé et un plan d’actions qui prend en compte l’ensemble des difficultés de la personne : sociales, de santé, professionnelles ». Enfin, un employeur qui offrira un contrat de professionnalisation à un chômeur de longue durée se verra remettre une aide de 8 000 €.

journeés

Nocturne Vendredi 14 janvier 17h-20h

PORTES OUVERTES Lycée 13 Route d’Oger 51190 Avize

Journées portes ouvertes & Vino'folies Vendredi 18 mars 17h-20h Samedi 19 mars 9h-13h

Matinales Samedi 21 mai 9h-13h

CFA-CFPPA 61 Avenue de Mazagran 51190 Avize

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Les aides aux entreprises prolongées

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’an dernier, dans le cadre du plan France Relance, le gouvernement de Jean Castex avait promis 6,5 milliards d’euros pour favoriser l’emploi des jeunes, à travers le plan « 1 jeune, 1 solution ». Le Premier ministre et son équipe avaient, alors, identifié trois axes : encourager l’embauche des jeunes par les entreprises, orienter et former vers des métiers d’avenir et accompagner L'État aide financièrement les entreprises qui embauchent des les jeunes éloignés de l’em- apprentis. © l'Hebdo du Vendredi ploi. Pour encourager les entreprises, l’État avait imaginé une récompense de 5 000 € pour le recrutement d’un alternant de moins de 18 ans et de 8 000 € pour un apprenti majeur. Grâce à ce coup de pouce, le gouvernement espérait voir 330 000 alternants recrutés, en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation.

Lundi 6 septembre, lors d'un discours au salon Global Industrie de Lyon, le Premier ministre Jean Castex a annoncé le succès de sa politique. « Le plan a permis à 2 millions de jeunes d'être embauchés en CDI ou en CDD de plus de 3 mois, à près d'un million d'entre eux d'être accompagnés ou en parcours d'insertion. Je me réjouis que plus de 500 000 contrats d'apprentissage ou d'alternance aient été signés. C'est un record historique. » Il a également annoncé que les aides, déjà prolongées une première fois jusqu’au 31 décembre, le seraient à nouveau jusqu'au 30 juin 2022.

Une annonce qui a satisfait la Fédération française de la formation professionnelle, saluant « les résultats de ce soutien à l’alternance, qui a permis de dépasser les 500 000 apprentis pour la première fois en 2020, malgré la crise ».

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VOUS VOULEZ REJOINDRE LE MONDE DE LA PROPRETÉ ?

Le « hub des compétences » du Cnam prend son envol à Châlons

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ttendu à Châlons depuis un an, le fameux « hub des compétences » du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) a pris ses quartiers miseptembre rue Nicolas Durand.

Il rejoindra fin 2022 les anciens bâtiments d'In&Ma, mais permet d'ores et déjà d'accéder, notamment en visio, au catalogue national du Cnam qui compte environ 300 formations, cours du soir et autres modules intra-entreprises. « Ce Un bac +1 « assistant informatique » pourrait ouvrir fin octobre sont principalement des cursus au Cnam de Châlons. © Cnam production – S. Villain tertiaires et techniques, ouverts à un large public, explique Cathy Hauprich-Pira, responsable territoriale de l'antenne.

Les jeunes, les demandeurs d'emploi, les salariés ou les chefs d'entreprises, etc. On établit avec nos auditeurs un plan de formation individualisé. » Côté finances, l'équipement bénéficie d'un coup de pouce de 170 000 euros de la Région Grand Est et d'un soutien de 325 000 euros de la part de Châlons Agglo, échelonné jusqu'en 2023. Il espère former 160 personnes d'ici quatre ans pour pouvoir s'autofinancer. D'où le travail de réseau qui s'engage, visant à co-construire, avec les acteurs du territoire, une offre de formation adaptée au bassin châlonnais. Une première session de bac + 1 « assistant informatique » pourrait ouvrir en présentiel fin octobre, sous réserve qu'elle fédère au moins six candidats. Ce qui n'est pas encore le cas. « Elle s'adresse aux jeunes bacheliers. Dès lors que leur projet est validé par la Mission locale, Pôle emploi ou Cap emploi, ils peuvent la suivre avec le statut de stagiaire de la formation professionnelle. » Et accessoirement, prétendre à une rémunération allant de 500 à 685 euros.

Une réunion d'information dédiée à ce cursus se tiendra le mardi 12 octobre à 15 h dans les nouveaux locaux du Cnam (sur réservation).

4 Infos : cnam-grandest.fr.

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Hôtels-restaurants : vers une augmentation des salaires ?

L'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) a annoncé, cette semaine, qu'elle souhaitait entre autres choses augmenter les salaires de la profession de 6 à 9 % au niveau national. Elle estime à 400 le nombre de recrutements nécessaires dans les hôtels et restaurants de la Marne.

L

es propositions « coup de poing » de l'Umih relayées ce mardi 5 octobre par les médias nationaux ne sont pas passées inaperçues. Et pour cause, ce syndicat patronal souhaite une revalorisation de 6 à 9 % des salaires, hors dimanches travaillés, mais également l'instauration d'un treizième mois et d'un week-end libre au moins une fois par mois. Objectif : préserver l'emploi et séduire de nouvelles recrues, qui se raréfient de plus en plus dans la profession. En particulier du côté des jeunes. « On se heurte à de nombreux départs de salariés, concède Joël Oudin, qui préside de l'Umih de la Marne depuis 21 ans. Certains se réorientent vers d'autres métiers ou d'autres postes, parfois avec des horaires plus restreints. Ils aspirent à avoir leurs dimanches ou leurs jours fériés, comme c'était le cas pendant le Covid. » Plusieurs réunions ont été organisées avec les acteurs marnais de l'emploi pour s'em-

à condition qu'elle soit exemptée des charges, car elle augmentera de fait notre masse salariale. Au-delà de l'effet d'annonce, on a besoin de préciser les choses. » A suivre.

Défiscalisation des pourboires et tickets-restaurant Les hôteliers et restaurateurs se heurtent à des difficultés de recrutement sans précédent, dans la Marne comme ailleurs. © l'Hebdo du Vendredi parer de la problématique des recrutesoir, par exemple. Encore faut-il avoir les ments. « On a aussi demandé à nos adhéeffectifs suffisants pour cela. Les salaires rents de nous faire part de leurs besoins. n'ont pas été revalorisés depuis fort longtemps. A l'époque, les serveurs étaient réAujourd'hui, on recherche plus de 200 salariés au niveau départemental. Mais il munérés au service et récupéraient environ s'agit uniquement des réponses qu'on a pu 12 % du montant de l'addition, hors TVA. Ça leur assurait un obtenir. Sans se tromper, on peut esminimum sur leur Bientôt une prime caisse. Puis ça a été timer ce besoin à d'intéressement interdit par le gou400 personnes, tous métiers confondus. » exemptée des charges ? vernement. Le 13e mois serait une exQuant aux annonces nationales, le porte-parole reste prudent. cellente chose. Il faudrait même qu'il soit « On doit remettre complètement en cause non imposable pour les salariés. » Autre notre modèle si l'on veut garder nos salasuggestion syndicale : la mise en place riés et attirer les jeunes. En leur évitant d'une prime d'intéressement à l'horizon d'enchaîner les services du midi puis du 2022. Jouable dans la Marne ? « Bien sûr,

Depuis 1936, la loi impose aux restaurateurs d'assurer les repas de leurs salariés. Ce qui implique des charges supplémentaires pour les employeurs.

L'Umih propose donc de supprimer cette obligation et de la remplacer par l'attribution de titres-restaurant. « C'est un sujet dont on parle depuis plus de vingt ans, souligne Joël Oudin. Ça leur permettrait de manger où ils veulent, y compris chez leur patron, et sans aucune charge, ni pour eux, ni pour nous. Mais avouez tout de même que c'est un comble : donner des tickets-restaurants à nos salariés pour qu'ils puissent manger chez nous... » Même scepticisme concernant la fameuse défiscalisation des pourboires versés par carte bleue, promise par l'Etat pour 2022. « Citez-moi un exemple de serveur qui déclare ses pourboires en fin d'année ! Là encore, c'est un effet d'annonce. »

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Le salon de l'Etudiant de Reims en approche

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agazine et site de référence sur l'orientation et les métiers, l'Etudiant, en partenariat avec la ville de Reims et le Grand Reims et avec le soutien du ministère de l'Enseignement supérieur, organise la quatrième édition de son salon dans la cité des sacres. Il aura lieu le samedi 16 octobre, de 9 h à 17 h, au Centre des congrès de Reims. La situation sanitaire ayant laissé peu de place l'an dernier à la recherche d'informations, les réformes récentes du lycée et du bac encourageant les jeunes à se renseigner plus tôt sur leur poursuite d'études, cet événement est l'occasion de s'informer sur les modalités d'inscription, les différents cursus et les débouchés en échangeant directement avec les acteurs locaux de l'enseignement supérieur.

Entrée gratuite, mais inscription obligatoire Toutes les possibilités d'études à Reims sont présentées (commerce, gestion, communication, art, ingénieurs sciences et techniques, international, santé, social, sport...). A noter que cinq conférences thématiques, animées par un journaliste de la rédaction de l'Etudiant, complètent cette journée : « Zoom sur les formations du développement durable et de la transition écologique » (9 h 30), « Suivre des études scientifiques et technologiques » (10 h 30), « BTS, DUT, licence pro, bachelor : pour quel diplôme opter ? » (11 h 30), « Les études de santé à l'université » (14 h) et « Economie, gestion, management : quelles études pour quels profils ? » (15 h).

Enfin, parce que la crise sanitaire n'est pas encore derrière nous, pour accéder au salon, les étudiants doivent au préalable s'inscrire obligatoirement via le site letudiant.fr.

4 Salon de l'Etudiant, samedi 16 octobre, de 9 h à 17 h, au Centre des congrès de Reims. Entrée gratuite, mais inscription obligatoire sur letudiant.fr (pass sanitaire obligatoire).

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EN BREF

Une Rémoise lauréate du prix Jeunes talents pour les femmes et la science

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epuis l’existence du prix Nobel en 1901, seules quatre femmes ont obtenu cette distinction en physique (sur 219 récompensés) et sept en chimie (sur 188 récompensés). Une misère, symbole que dans le domaine des sciences, les femmes sont très sous-représentées. Autre chiffre édifiant, en Europe, seulement 14 % des hautes fonctions académiques en science sont exercées par des femmes. Quant à la France, elle ne fait pas mieux.

Ainsi, dans les études et les professions de recherche, on ne compte que 36 % de femmes en doctorat, 26 % en écoles d'ingénieurs et 28 % parmi les chercheurs. Afin de faire naître des vocations et briser une sorte de plafond de verre, la fondation L'Oréal a créé, il y a 15 ans, le prix Jeunes talents L'OréalUnesco pour les femmes et la science. Il récompense des chercheuses dont les travaux contribuent à bâtir un monde meilleur, durable et plus résilient. Cette année, parmi les 35 jeunes

La Rémoise Alice Marcotte fait partie des 35 scientifiques récompensées cette année. © Jean-Charles Caslot – Fondation L’Oréal femmes distinguées et récompensées par une dotation allant de 15 000 à 20 000 € figure une Rémoise : Alice Marcotte. Agée

de 26 ans, elle est née et a grandi à Reims, élevée par deux parents professeurs de lettres et fréquentant notamment le col-

Première rentrée rémoise pour La Catho

lège Université et le lycée JeanJaurès. Après le bac, elle a poursuivi ses études en classe préparatoire de maths-physique au lycée Louis-le-Grand à Paris, puis a intégré l'Ecole polytechnique. Elle a ensuite fait un master 2 de physique à l'Ecole Normale Supérieure, toujours à Paris. Elle y poursuit actuellement sa troisième année de doctorat, étudiant la nanofluidique, une branche de la nanophysique. Ses recherches visant à concevoir des membranes performantes constituées de millions de pores minuscules, adaptées à la filtration, pourraient à terme s'avérer précieuses pour garantir un plus large accès à l’eau potable face aux dérèglements climatiques.

Alice Marcotte estime que « les femmes scientifiques apportent une diversité de points de vue et d’intérêts nécessaires à une recherche inclusive », convaincue qu’être une femme, dans la vie comme en science, ne devrait pas être un handicap.

L’Institut Catholique de Paris a inauguré, vendredi 17 septembre, son campus rémois, le premier en région, qui s’est installé dans la maison diocésaine Saint-Sixte. Vénérable établissement privé fondé en 1875, La Catho compte 10 000 étudiants sur son campus parisien et donc 120 de plus grâce à son établissement rémois, dont 80 % sont originaires de l’Aisne, les Ardennes, l’Aube ou la Marne. En cette première rentrée, trois licences ont ouvert en sciences sociales, en sciences de l’éducation et en information-communication.

L’objectif est d’arriver à 1 000 étudiants à la rentrée 2026.

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Animateur sportif, pourquoi pas vous ?

REIMS

C

haque année, la Fédération française Sports pour tous forme près de 700 stagiaires en France – dont environ 80 dans le Grand Est – pour leur permettre d'obtenir le Certificat de qualification professionnelle (CQF) « Animateur de loisir sportif ». Sur l'année 20202021, son taux de réussite s'élevait à 97 %, sachant qu'il constitue le premier niveau Le certificat « Animateur de loisir sportif » permet d'intervenir dans d'un diplôme multisports et de nombreuses structures. © Fédération française Sports pour tous qu'il s'adresse à toute personne souhaitant exercer le métier d'animateur sportif, toutes activités et tous types de structures confondus. Seuls prérequis pour se lancer : être majeur et pouvoir justifier d'une pratique sportive régulière, soit au moins 140 heures sur les trois dernières années. Ce qui ne nécessite donc pas d'être classé dans la catégorie compétition. Deux options de ladite certification sont proposées par le Comité régional Sports pour tous : les activités gymniques d'entretien et d'expression (AGEE), ainsi que les jeux sportifs et d'opposition (JSJO). Elles sont dispensées au centre de formation de Bazeilles, dans les Ardennes, à plus d'une heure de Reims. A noter, les inscriptions sont possibles jusqu'au 19 octobre pour l'option AGEE et jusqu'au 4 novembre pour les JSJO. Et si ces cursus restent payants - compter tout de même 1 960 euros pour y accéder -, ils ouvrent droit aux dispositifs de financement relatifs à la formation professionnelle : compte personnel ou congé individuel de formation, contrat de professionnalisation, organismes paritaires collecteurs agréés, pôle emploi, missions locales pour les moins de 25 ans, etc.

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Basket-ball Betclic Elite (3e j.) : Pau-Orthez (8e) - Champagne Basket (1er)

Départ canon pour le Champagne Basket !

Avec deux victoires lors des deux premières journées, le club champenois déjoue les pronostics. Une entame de championnat quasi idéale, que le Champagne Basket espère poursuivre, samedi soir, sur le parquet de Pau-Orthez.

l'aborder sans se mettre une pression trop excessive sur les épaules. Cédric Heitz devra toutefois trouver les mots pour éviter un éventuel relâchement de ses joueurs et, en même temps, prévenir tout excès de confiance.

J.D 4 Pau-Orthez - Champagne Basket, samedi 9 octobre, à 20 h, à Pau, à suivre sur lnb.tv.

Prochain match à domicile, Châlons-Reims - Le Portel, vendredi 15 octobre, à 20 h, à Reims.

L

a Ligue nationale de basket vient de dévoiler les budgets des clubs évoluant en Betclic Elite. Sans surprise, le Champagne Basket apparaît tout en bas ou presque de ce classement dominé par Monaco (14 M€) et l'Asvel (15 M€). Le club champenois possède ainsi un budget de 4 M€, surpassant seulement Le Portel (3,4 M€) et Fos-sur-Mer (2,9 M€). Avec une puissance financière aussi modeste, le Champagne Basket est donc classé par les observateurs parmi les équipes dont le seul objectif est le maintien. Une logique que tout club rêve de bousculer.

Après deux journées de championnat jouées, la formation entraînée par Cédric Heitz n'en est pas encore là, mais elle a surpris son monde en dominant très largement deux autres formations promises au bas de tableau. A leur éclatante victoire inaugurale sur le parquet du promu Fos-surMer (88-58), Jessie Begarin et ses coéquipiers ont ajouté à leur tableau de chasse, mardi soir à Châlons, Roanne (105-84). Grâce à ses deux très larges succès, l'équipe champenoise apparaît tout

Les Pétillantes en appel à Nantes-Rezé

A l'image ici de Scottie Reynold (7 points et 10 passes) face à Roanne, le Champagne Basket a parfaitement lancé sa saison. © l'Hebdo du Vendredi

en haut du classement sportif : le seul qui priétaires américains, rêve de retrouver son lustre compte... en fin de saison. Cet excellent départ des années passées. Battus d'entrée à domicile par une forte équipe de Bourgn'est pas pour autant une promesse pour l'avenir. Le Des débuts parfaits en-Bresse (71-79), les Palois ont su rebondir lors de plus dur commence. Cédric leur déplacement à Cholet Heitz et ses hommes vont en effet devoir confirmer leurs bonnes dispositions (77-80) et auront donc à cœur de montrer leurs individuelles et collectives. Le premier test est progrès à leurs supporters. Le voyage s'annonce programmé samedi du côté de Pau, face à une périlleux, mais le Champagne Basket, fort de ses bons débuts, a gagné sur le terrain le droit de formation qui, avec l'aide de ses nouveaux pro-

Désireuses de jouer les premiers rôles cette saison, les filles du Champagne Basket étaient allées vaincre d'entrée Aulnoye (64-73). Cependant, elles n'ont pas su enchaîner en se faisant surprendre, samedi dernier à domicile, lors de la réception de Strasbourg. Battues 60-70, les joueuses entraînées par Julien Pincememin se doivent de rebondir immédiatement, à l'occasion de leur déplacement à Nantes-Rezé, samedi 9 octobre. Les Déferlantes présentent le même bilan que les Pétillantes, avec une défaite face à Mondeville (5273) et une victoire face au Pôle France (71-42).

Quant au prochain match à la maison, il est programmé le samedi 16 octobre (à 20 h, à RenéTys), avec la venue de Chartres..

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L’effervescence culturelle

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Interview - Daniel Auteuil

« J'ai eu envie de chanter mes émotions » Le célèbre comédien aux deux César présentera, sur les planches du théâtre Gabrielle-Dorziat d'Épernay, son premier spectacle musical, « Déjeuner en l'air ».

D'Arles, où Daniel Auteuil réside, l'acteur nous raconte comment il s'est transformé en chanteur.

Racontez-nous la genèse de ce spectacle musical, « Déjeuner en l’air »…

Il y a trois ou quatre ans, j’ai retrouvé tout à fait par hasard un recueil de poèmes de Paul-Jean Toulet que ma mère m’avait dédicacé. « Pour Dany, mon fils chéri », avait-elle écrit, il y a très longtemps. Je ne l’avais jamais lu. En découvrant ces poèmes et en redécouvrant cet auteur que je connaissais à peine, j’ai eu envie de chanter mes émotions au lieu de les dire. Au fond, la poésie est souvent mise en musique : Léo Ferret et Jean Ferrat ont chanté Apollinaire, Aragon ou Baudelaire. C’est d’ailleurs par cette forme-là que j’ai été initié à la poésie, par la chanson.

Après tout ce temps, c’était là, en moi.

Vous aviez déjà sorti deux 45 tours en 1985. Avez-vous toujours rêvé d’être chanteur ?

Je suis né dans ce milieu-là, mes parents étaient chanteurs d’opéra, à chaque fois qu’il fallait un enfant pour chanter, on me choisissait. Quand

Daniel Auteuil ouvre la saison du Salmanazar en chanson avec « Déjeuner en l’air ». © Stéphane Kerrad

j’étais jeune acteur, j’ai aussi fait des comédies musicales. Mais avec ce spectacle, je me suis plus mis à la musique qu’à la chanson. Je n’aurais pas fait un disque si quelqu’un m’avait apporté des chansons écrites, je n’aurais pas été légitime. Le fait que ce soit mes textes et mes musiques et l’opportunité de faire découvrir un auteur peu connu, tout ça m’a porté. Je suis quelqu’un qui, dans la limite de ses possibilités, met en pratique ses rêves.

musiques, théâtre et patrimoine dans la Marne

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Après avoir chassé le fermier, les animaux de la ferme réorganisent le quotidien dans l’espoir d’une vie meilleure. L’utopie du partage semble alors possible dans cette ferme. Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres.

• dimanche 10 octobre 11h et 16h • Fagnières, Maison de la Chasse et de la Nature THÉÂTRE DE MARIONNETTES tout public à partir de 3 ans

Vous Voulez rire ? C

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Et si chaque espèce pouvait plaider sa cause ?

De l’asticot au loup, en passant par l’homme, le constat est sans appel : l’herbe semble décidément toujours plus verte dans le pré du voisin !

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Comment avez-vous écrit ce spectacle ? Quel a été l’accueil jusqu’ici ?

Ces dernières années, sur les tournages, entre Je l’ai présenté en juillet dernier, aux Francofodeux prises, j’écrivais des textes. Un, puis deux, lies, et l’accueil a été très bon. Cette tournée aurait puis une vingtaine et tout à coup, j’ai eu envie dû avoir lieu l’an dernier, mais voilà, la première d’en faire un spectacle. Au départ, c’était un a lieu cette année. Il y aura d’autres versions. Je exercice personnel et puis, vais me promener en j’ai mêlé mes propres France et ce qui est bien « Je suis né dans le écrits à ceux de Paul-Jean avec ce spectacle, c’est milieu de la chanson » qu’il est évolutif. Tant que Toulet, d’Apollinaire, de Victor Hugo, de Musset ça plaira et tant que ça me pour raconter quelque chose qui mêle mon hisplaira, je me baladerai avec. toire personnelle à celle de ces auteurs. Un jour, j’ai eu le culot de le présenter sur scène. C’était Quel regard portez-vous sur l’avenir il y a 2 ans et tout a été stoppé par le covid… du cinéma ?

Le cinéma continuera à vivre, car on aura touComment avez-vous vécu le début jours besoin et envie d’aller ensemble dans une salle, de rire ou de pleurer coude à coude, de voir de la pandémie ?

C’est peut-être à cause de mon caractère dramasur grand écran la vision de metteurs en scène tatique, mais il y avait une espèce de sentiment de lentueux. Pour nous, les acteurs, quoi qu’il arrive, se dire que peut-être plus jamais nous ne pouril y aura toujours du travail, car il faut nourrir les rions revivre comme avant. Rappelez-vous, au chaines et les plateformes. J’ai récemment fait un départ, on n’avait aucune perspective ! C’est téléfilm qui s’appelle « Le Mensonge », diffusé assez rare d’être confronté à cela quand on a une sur France 2, et il n’y avait pas de différence avec vie à peu près normale et heureuse. Professionle cinéma. On exerce notre métier avec des gens nellement, j’ai attendu que ça se passe, tout en compétents, c’est juste le format qui change. Pour travaillant chez moi, à écrire des textes, des muvivre, il faut s’adapter. siques. J’étais avec ma famille, j’étais bien. J’ai redécouvert des priorités, au fond, comme beauFaire ce spectacle musical, est-ce un coup de personnes, je pense. nouveau défi après votre riche carrière cinématographique ?

Comment a été composée la partie J’ai fait du théâtre toute ma vie, je jouais encore « Le Malade imaginaire » récemment (à partir de musicale de votre spectacle ?

Le fait que ce spectacle soit devenu très abouti, 2019, dont il est également le metteur en scène), c’est ma rencontre, par hasard, avec Gaëtan Rousje n’ai jamais arrêté de côtoyer les planches. sel. Je lui ai montré une preC’est cette rencontre avec un mière version filmée, à deux Il reste des places ! auteur qui m’a donné envie guitares, et je lui ai ensuite d’écrire ces textes. C’est ce demandé qu’il fasse les orque j’avais déjà envie de chestrations, ce qui a donné la version sur scène faire étant jeune homme. Ce qui est nouveau, actuelle avec un guitariste et un pianiste. Malheuc'est la musique. Je ne sais pas si c’était un rêve reusement, quand j’ai senti que le spectacle était de chanter, en tout cas, c’est un rêve de le vivre. prêt, on a été arrêté par le covid. Comme une frustration, j’ai demandé à en faire un album (« Si Propos recueillis vous m'aviez connu »), ce qui fait qu’on a fait un par Simon Ksiazenicki peu les choses à l’envers, le disque est sorti avant le spectacle, la version filmée est née avant d’être 4 « Déjeuner en l'air », dimanche 10 octobre, jouée en public. Au départ, mon désir était de proà 17 h, théâtre Gabrielle-Dorziat, place Mendèsmener ce spectacle en France et je suis ravi de France, Épernay. Durée : 1 h 30. pouvoir enfin le faire et de revoir des gens dans Tarifs : 14 à 36 €. Place encore disponible des fauteuils, comme ce sera le cas à Épernay. au 03 26 51 15 99. Infos : lesalmanazar.fr

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Exposition – Musée des Beaux-arts

Depardon, un autre regard sur l'armée Connu pour son parcours de réalisateur et ses multiples César, Raymond Depardon possède également un sacré talent pour la photographie. L'exposition qui se dévoile à Châlons rassemble une série de clichés pris en 1962 et 1963 pour l'armée.

C

'est une autre facette du réalisateur, scénariste, journaliste et même artiste plasticien Raymond Depardon que donne à explorer la nouvelle exposition du musée des Beaux-arts de Châlons, conçue par l'Établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (ECPAD) à partir de ses archives. En tant que photographe militaire, il a capturé plus de 2 000 images pour le compte du journal de l'armée Blend 5/5, qui deviendra, au lendemain de la guerre d'Algérie, le magazine hebdomaLes scènes de vie et les portraits photographiés par Depardon illustrent le quotidien des soldats. daire Tam (Terre air mer). « Seuls 130 de ses © l'Hebdo du Vendredi / Raymond Depardon clichés ont été publiés, précise Florine Rouvroy, médiatrice culturelle aux musées notamment auprès des civils et des potentielles d'une caserne et un moment de convivialité municipaux. Celui-ci est inédit et visible ex- recrues que constituaient les jeunes, il a su pré- entre les militaires, rejoints par leurs épouses. server un regard humaniste sur De passage à Mourmelon-le-Grand pour clusivement à Châlons. Il repréles portraits, les scènes de vie, couvrir une manœuvre franco-britannique, sente un appelé du 37e Régiment Maestro les expressions et autres situa- Raymond Depardon en a profité pour photod'infanterie en train de s'exercer du Rolleiflex tions insolites qu'il photogra- graphier les échanges entre les officiers, dont à l'art du croquis, en 1962 à phiait. Ici, des soldats tout le général Massu, châlonnais d'origine. « Pour Sarrebourg. » Car si Depardon répondait aux commandes de l'armée pour sourires découvrant les joies du Salon de la petite anecdote, il ne voyait jamais ses phoillustrer ses stratégies de communication, l'agriculture, plus loin, les portes ouvertes tos mises en pages avant qu'elles ne soient pu-

Ce week-end CONFÉRENCES SAMEDI 9 OCTOBRE L’ÉPUISEMENT PARENTAL

L’association Grandir ensemble propose une rencontre conviviale pour aborder un sujet crucial : l’épuisement parental. À 10 h 30, médiathèque Gulliver (rue du Docteur Calmette) Accès libre.

LOISIRS VENDREDI 8 OCTOBRE PATRIMOINE - CHÂLONS INSOLITE

Une nouvelle visite accompagnée pour découvrir la ville autrement, pendant la pause méridienne. À 13 h, rendez-vous sur le parvis de l’Hôtel de ville (place Foch) Accès libre.

VENDREDI 8 ET SAMEDI 9 OCTOBRE BRADE-LIVRES À POMPIDOU

Près de 5 000 ouvrages (livres, CD et DVD, vinyles) pour petits et grands issus des fonds des bibliothèques seront bradés pour l’occasion.

De 18 h à 20 h vendredi et de 10 h à 18 h samedi, bibliothèque Pompidou – Entrée libre (réservations conseillées sur bm.chalonsenchampagne.fr).

DIMANCHE 10 OCTOBRE HALLE DES ARTS

Rendez-vous avec les créateurs et artisans locaux en cœur de ville : sculptures, peintures, bijoux, accessoires de mode,

bliées. Il travaillait avec le modèle argentique Rolleiflex. » Modèle qui a d'ailleurs révélé le talent de Doisneau ou encore Capa, et que Depardon utilisera en mai 2012 pour tirer le portrait officiel du président de la République, François Hollande à l'époque.

Du haut de ses vingt ans, Depardon partageait déjà à travers ses clichés son sens de l'humour, son regard de cinéaste et un sacré don pour l'instantané, comme en témoigne ce parachutiste immortalisé juste avant le grand saut. Il possédait également un souci affûté du détail pour la composition et le cadrage, la gestion des lumières et des lignes d'horizon, l'interprétation. « En observant de plus près ce portrait d'une laborantine en poudrerie, on peut remarquer la fleur qui se trouve sur une table, au second plan. Elle apporte une note de sensibilité, de poésie à l'ensemble. Et ce n'est certainement pas un hasard, connaissant la subtilité de Depardon. » Faute d'avoir pu participer au vernissage de l'exposition, l'artiste partage sa vision du métier de photographe et ses souvenirs militaires dans une vidéo dédiée.

Une pépite à voir absolument.

Sonia Legendre 4 Exposition « Raymond Depardon : 1962/1963, photographe militaire », jusqu'au 7 février au musée des Beaux-arts de Châlons (tous les jours, sauf le mardi).

Tarif : 4 euros (gratuit chaque premier dimanche du mois).

À venir céramiques, etc.

De 10 h à 18 h 30, sous les halles du marché couvert Entrée libre.

CORRIDA DE SAINT-MEMMIE

Une course solidaire en faveur des enfants du Vietnam, avec trois parcours de 1, 3 ou 8,8 km dans la commune de Saint-Memmie.

Départs à partir de 10 h 30 à Saint-Memmie (près de la mairie) Tarifs : de 3 à 10 euros (pass sanitaire obligatoire).

Inscriptions en ligne uniquement : cocaa-chalons-athle.fr.

CINÉMA SAMEDI 9 OCTOBRE CINÉ-ATELIER SUR LA TERRE DES DINOSAURES

En clin d’oeil à la Fête de la science, le cycle d’animations « Minéraux et fossiles, témoins du passé » se poursuit avec la projection du documentaire « Sur la terre des dinosaures », suivie d’ateliers créatifs.

SPECTACLES JEUDI 14 OCTOBRE ONE MAN SHOW – JARRY

Jarry dévoile son nouveau spectacle en tête à tête avec lui-même, sans tabou et avec beaucoup de tendresse. À 20 h, Capitole en Champagne Tarif unique : 38 euros - Infos : lecapitole-en-champagne.fr.

MARDI 12 ET MERCREDI 13 OCTOBRE DANSE – BYGONES

Une expérience surprenante entre danse, théâtre et marionnettes, portée par la compagnie canadienne Out Innerspace Dance Theatre. À 20 h 30, la Comète - Tarifs : de 6 à 24 euros Infos : 03 26 69 50 99, la-comete.fr.

DU JEUDI 14 AU SAMEDI 16 OCTOBRE ARTS DU CIRQUE LOW COST PARADISE

À 14 h, bibliothèque Pompidou – Gratuit, inscriptions au 03 26 26 94 26 ou sur bm.chalonsenchampagne.fr.

Le Cirque Pardi ! partage son univers haut en couleurs, en musiques et en acrobaties sous un chapiteau spécialement installé au Jard.

DIMANCHE 10 OCTOBRE CINÉ-APÉRO ITALIEN – PARFUM DE FEMME

À 20 h 30 jeudi et vendredi, à 17 h samedi, grand Jard Tarifs : de 5 à 14 euros Infos : 03 26 65 90 06, billetterie@lepalc.fr.

En partenariat avec l’association La Comitiva, le cinéma de la Comète propose une rencontre autour du film de Dino Risi, réalisé en 1974, puis un apéritif italien. À 17 h 30, cinéma de la Comète - Tarif : prix d’une place + 3 euros pour l’apéritif italien – Contact : cinema@la-comete.fr.

CONFÉRENCES SAMEDI 16 OCTOBRE LES RENDEZ-VOUS DE LA SACSAM

Prochaines thématiques abordées par les conférenciers de

la Sacsam : le général champenois François du Hamel (par Jean-Jacques Gauny) puis l’ancienne collégiale Notre-Dame-en-Vaux à l’époque romaine (par Alain Villes). À partir de 14 h 30, salle de Malte (7, rue du Lycée) Entrée libre – Infos : academie.chalons@free.fr.

LOISIRS MERCREDI 13 OCTOBRE JEU DE PISTE SUR LES PAS DES DINOSAURES

Petits et grands sont invités à se glisser dans la peau d’un paléontologue pour retracer l’ère des fossiles et des dinosaures. À 14 h, départ à la bibliothèque Pompidou, arrivée au musée des Beaux-arts Gratuit, inscriptions au 03 26 26 94 26 ou sur bm.chalonsenchampagne.fr.

VENDREDI 15 OCTOBRE MARCHÉ NOCTURNE À FAGNIÈRES

Le nouveau marché d’automne de Fagnières s’ouvre en version nocturne, avec les producteurs et les artisans locaux. Au menu : dégustations de saison et convivialité.

De 17 h à 21 h, place de la mairie à Fagnières (4, rue du Général Dautelle) Accès libre.

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Spectacle - Fagnières

Cinéma MEGA CGR MAJESTIC 2 Rue A. Fresnel - Châlons Du vendredi 8 au mardi 12 octobre 2021 BABY BOSS 2 : UNE AFFAIRE DE FAMILLE

Sam, Dim : 11h00 | 16h40 Ven, Lun, Mar : 11h00 BAC NORD Dim : 17h50 | 20h00 | 22h10 Lun : 15h40 | 17h50 | 20h00 | 22h10 Ven, Mar : 13h40 | 17h50 | 20h00 | 22h10 Sam : 15h40 | 20h00 | 22h10 BOITE NOIRE Ven, Dim, Mar : 13h50 | 16h30 | 19h15 | 21h50 Sam, Lun : 11h00 | 13h50 | 16h30 | 21h50 CANDYMAN Sam, Dim : 13h45 | 15h45 | 19h45 | 22h00 Ven, Lun, Mar : 13h45 | 15h45 | 17h45 | 19h45 | 22h00 CETTE MUSIQUE NE JOUE POUR PERSONNE

Ven, Dim, Mar : 11h00 | 13h30 | 15h45 | 17h40 Sam, Lun : 11h00 | 13h30 | 15h45 | 19h40 DELICIEUX Tous les jours : 11h00 DUNE - VO Ven : 14h00 Sam, Mar : 21h00 Dim : 11h00 Lun : 14h00 | 18h00 DUNE Ven : 11h00 | 17h00 | 18h00 | 20h00 | 21h00 Sam, Mar : 11h00 | 14h00 | 17h00 | 18h00 | 20h00 Dim : 14h00 | 17h00 | 18h00 | 20h00 | 21h00 Lun : 11h00 | 17h00 | 20h00 | 21h00 LE LOUP ET LE LION Dim : 13h45 LE TRESOR DU PETIT NICOLAS Dim : 11h00 L'ORIGINE DU MONDE Ven, Dim, Mar : 15h45 Lun : 13h40 Sam : 17h50 MOURIR PEUT ATTENDRE Sam : 10h45 | 14h30 | 20h00 | 21h00 Ven : 10h45 | 14h30 | 17h45 Dim : 10h45 | 14h30 | 16h45 Lun : 10h45 | 17h45 | 20h00 | 21h00 Mar : 14h30 | 20h00 | 21h00 MOURIR PEUT ATTENDRE - VO Sam, Mar : 16h45 Ven, Dim : 20h00 Lun : 14h30 | 16h45 MOURIR PEUT ATTENDRE - 3D Sam : 17h45 Ven : 16h45 | 21h00 Dim : 17h45 | 21h00 Mar : 10h45 | 17h45 PAW PATROL - LE FILM - LA PAT PATROUILLE Sam,

Dim : 11h00 | 13h45 | 17h45 Ven, Lun, Mar : 11h00 POURRIS GATES Ven, Dim, Mar : 11h00 | 13h40 |

15h40 | 19h50 Sam, Lun : 11h00 | 13h40 | 15h40 | 17h40 SHANG-CHI ET LA LEGENDE DES DIX ANNEAUX Sam : 11h00 | 14h00 | 19h15 | 21h50 Ven, Lun, Mar : 11h00 | 13h50 | 19h15 | 21h50 Dim : 11h00 | 19h15 | 21h50 STILLWATER Lun : 13h50 | 16h30 | 19h10 | 21h50 Ven, Mar : 11h00 | 13h50 | 16h30 | 21h50 Sam : 13h50 | 19h10 | 21h50 Dim : 13h50 | 21h50

LA COMÈTE 5 Rue des Fripiers - Châlons Du vendredi 8 au jeudi 14 octobre 2021 LES AMOURS D’ANAÏS Ven 8 : 18h Lun 11 : 14h30. Séance avec sous-titrage sourds et malentendants. Jeu 14 : 20h15 TOUT S’EST BIEN PASSÉ Ven 8 : 20h15 Sam 9 : 18h Jeu 14 : 18h DUNE VOST Sam 9 : 20h15 Lun 11 : 20h15 L’AFFAIRE COLLECTIVE VOST Dim 10 : 20h15 LES INTRANQUILLES Mer 13 : 18h LE SOMMET DES DIEUX Animation – Dès 12 ans Mer 13 : 20h15 EN FAMILLE LA TRAVERSÉE - DÈS 11 ANS Sam 9 : 16h Mer 13 : 16h CINÉ-ATELIER LA VIE DE CHÂTEAU - DÈS 7 ANS Dim 10 : 16h NOS RENDEZ-VOUS CINÉ-APÉRO ITALIEN PARFUM DE FEMME VOST Dim 10 : 17h30 Séance suivie d’un apéro italien organisé par l’association La Comitiva.

Tarif : 3€

Des marionnettes et un grand bol d'humour au Mont-Choisy

P

our sa prochaine escale, le festival de spectacles familiaux Itinéraires a nommé... la Maison de la chasse et de la nature, à Fagnières.

Confortablement installés dans l'écrin verdoyant du Mont-Choisy, petits et grands sont ainsi invités, ce dimanche, à partager l'univers rocambolesque et intimiste des Frères Duchoc. Ces deux auteurs, compositeurs et interprètes possèdent également un sacré talent en matière de bricolage. A partir de matériaux récupérés, ils fabriquent eux-mêmes toutes leurs marionnettes et le castelet au cœur duquel elles évoluent. Avec la complicité du plasticien et illustrateur Les Frères Duchoc et leurs drôles de marionnettes s'installeront Christian Voltz, dont l'univers gra- au Mont‐Choisy ce dimanche. © Compagnie des Frères Duchoc phique a joliment inspiré le spectacle « Vous voulez rire ? ». Cette création pleine d'humour, imaginée sous la forme d'un bestiaire, convoque une multitude d'animaux venus plaider leur cause dans un théâtre populaire. Chacun à leur manière, ils abordent des notions telles que le vivre ensemble, la tolérance et embarquent le public dans une aventure très poétique, un brin philosophique. Chouette moment en perspective, à partager sans modération !

Sonia Legendre 4 « Vous voulez rire ? », par la compagnie des Frères Duchoc, dimanche 10 octobre à 11 h et 16 h, Maison de la chasse à Fagnières (lieu-dit du Mont-Choisy, RD 5). Tarif : 7 euros (gratuit pour les moins de 16 ans). Réservations au 03 26 69 40 89 ou sur www.marne.fr.

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L’horoscope

Météo

BÉLIER du 21.03 au 20.04

BALANCE du 23.09 au 22.10

Cette semaine, le secteur affectif ne sera pas celui qui sera le plus en avant, mais il ne vous en réserve pas moins de satisfactions. Au bout du compte, l’amour vous donnera des ailes…

La voie devant vous est désormais dégagée et le temps de la reconstruction est arrivé ! Quelque peu laborieuse encore au début, mais cela pourra évoluer rapidement.

TAUREAU du 21.04 au 20.05

SCORPION du 23.10 au 22.11

Le changement est au programme et c’est à pas mesurés qu’il faudra avancer. Vous devrez clôturer certaines affaires en suspens. Ce qui vous ouvrira de nouvelles possibilités.

La semaine vous donnera des occasions de vous distraire, mais cela pourrait facilement s’entendre aussi dans le mauvais sens du terme, s’agissant de la gestion de vos finances.

GÉMEAUX du 21.05 au 21.06

SAGITTAIRE du 23.11 au 22. 12

Votre signe sera le plus favorisé de la période et cela vous permettra de réaliser de belles avancées, mais ne laissez pas trop de questions en suspens qui pourraient vous rattraper.

Les difficultés ont renforcé votre résistance et rien (ou presque !) ne semble en mesure de vous atteindre. Vous bénéficierez d’appuis dans les moments où vous en aurez besoin.

CANCER du 22.06 au 22.07

CAPRICORNE du 23.12 au 20.01

Les astres vous inviteront à faire des choix. Vous devrez user de beaucoup de tact et de diplomatie en cas de conflits. L’issue pourra être positive, tout dépendra de vos réactions.

Une belle intensité sera au rendez-vous au cours de cette semaine, qui devrait d’ailleurs se confirmer au fil du temps. Que ce soit en amour ou au travail, donnez-vous sans compter.

LION du 23.07 au 22.08

VERSEAU du 21.01 au 19.02

Aujourd’hui, la question de votre vocation se posera de façon assez aiguë et vous aurez donc intérêt à vous concentrer plutôt qu’à vous disperser : un défi d’envergure pour vous !

Vous ne manquerez pas de rigueur et de discipline dans vos entreprises, mais veillez à ne pas adopter une attitude trop austère, qui finirait par exclure les moindres petits plaisirs !

VIERGE du 23.08 au 22.09

POISSONS du 20.02 au 20.03

Une semaine de défi et d’action : vous aviez besoin de nouveaux repères. Ce sera comme un levier qui se débloquera enfin et vous pourrez ainsi à nouveau aller de l’avant !

Une semaine relativement calme, mais certaines questions fondamentales devraient commencer à se profiler : dans cette perspective, des réorganisations seront nécessaires.

Benoît Melvhille

Vendredi

Dimanche

Samedi

6° 18°

7° 18°

Lundi

4° 16°

5° 14°

Qualité de l’air Vendredi

Samedi

Dimanche

Moyenne

Moyenne

Moyenne

La CLCV vous informe Les charges locatives sur les jardins privatifs Les locataires disposant d’un jardin privatif doivent en faire l’entretien courant, notamment des allées, des pelouses et des massifs. Ils doivent procéder à la taille, l’élagage, l’échenillage des arbres et des arbustes. Ils doivent si nécessaire remplacer les arbustes, ainsi que réparer et remplacer les installations mobiles d’arrosage (décret n° 87-712 du 26 août 1987).

CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com