Ce week-end, la clinique ferme ses urgences

Santé La polyclinique de Reims-Bezannes fermera ses urgences ce week-end

Une semaine après une grève inédite qui a mis à l’arrêt sa maternité, l'établissement hospitalier privé a annoncé la fermeture de ses urgences, pendant deux jours, par manque d'effectif.

La polyclinique Reims-Bezannes a annoncé, ce mercredi, dans un communiqué, qu’elle était « contrainte de fermer provisoirement son service d’urgences du samedi 13 novembre, à 9 h, au lundi 15 novembre, à 9 h. » L’établissement privé de santé justifie cette décision sans précédent par un manque d’effectif, alors qu’un urgentiste est en arrêt maladie et que d’autres seront en poste dans des établissements de la région, le week-end prochain. « Dans un contexte national de sous-effectif chronique, les médecins urgentistes libéraux de la polyclinique éprouvent de grandes difficultés à recruter des médecins pour assurer la complétude de leur planning de garde », annonce la polyclinique. Il est donc demandé aux patients de s’orienter vers la clinique Reims-Courlancy, le CHU de Reims, l’hôpital Auban-Moët d’Épernay et le centre hospitalier de Châlons. L'établissement précise qu’un accueil infirmier est mis en place afin d’orienter vers les autres établissements les patients qui se présenteraient malgré tout à Bezannes. Une décision qui fait suite à la fermeture tout aussi inédite de la maternité de la polyclinique, du jeudi 4 au mercredi 10 novembre, suite à un mouvement de grève des sages-femmes, de gynécologues-obstétriciens et de pédiatres de la polyclinique. Conséquence de cet arrêt, les ser-

La colère des sages‐femmes de la polyclinique s'exprime par des banderoles. © l'Hebdo du Vendredi

vices hospitaliers publics du territoire ont été engorgés, comme celui d’Épernay. « Il y a eu une surcharge d’activité, la maternité était quasiment Les patients redirigés pleine le week-end dernier, raconte cette praticienne sparnacienne. On s’est organisé pour dévers Épernay et Châlons gager des salles, obtenir du matériel supplémentaire et faire venir une troisième sagefemme de garde. » L’hôpital Auban-Moët a « récupéré » sept patientes qui auraient dû accoucher à Bezannes. Pourtant, les sages-femmes d’Épernay étaient, elles aussi, en grève, suivant un mouvement national décrété au mois d'octobre. Elles continuent néanmoins d'assurer la prise en charge des patientes, sur réquisition de la préfecture. Cette dernière a d’ailleurs mis en garde au moment de la fermeture de la maternité de Bezannes : « Les établissements de santé sont tenus à la continuité de leur mission de service public au service des patients accueillis. Des personnels sont réquisitionnés par l’autorité préfectorale. Ne pas respecter ces réquisitions est un délit, qui fait l’objet d’un signalement systématique au procureur de la République. » Ce même mercredi, du côté de Bezannes, les sages-femmes de l’établissement ont annoncé « la reprise de l’activité », malgré des négociations qui n’ont pas abouti. « Nous refusons catégoriquement les fausses propositions qui nous ont été exposées par la direction. À chaque gain nous étant opposée une perte, nous ne pouvons considérer que la moindre négociation n’a pu débuter malgré nos efforts », déclarent-elles dans un communiqué. Les professionnelles de santé se sont remises au travail pour « le bien de [leurs] patientes » et pour tous les collègues qui les ont soutenues, tout en assurant : « Nous nous battrons encore ». La polyclinique de Reims-Bezannes nous précise que la fermeture des urgences « n'a pas de corrélation avec ce sujet » des sages-femmes en grève.

Simon Ksiazenicki

Solidarité Une journée pour mieux comprendre les exilés

Organisé chaque année depuis 2017, le prochain Festival des solidarités de Reims se tient du 12 au 28 novembre avec comme objectif, « de donner aux citoyens de tout âge l'envie d’agir pour un monde juste, solidaire et durable ». Une dizaine d'évènements sont au programme de cette édition : conférence-débat, projection, disco soupe, atelier d'écriture, théâtre et concerts. Durant ces deux semaines d'animations, une journée sera notamment consacrée à la problématique des migrants, dès ce samedi 13 novembre, à la maison de quartier Le Flambeau. « On préfère parler d'exilés », corrige Fabien, membre de Sövkipeu, le collectif rémois qui vient en aide à ces personnes dans le besoin échouant à Reims. Actuellement, ils sont d'ailleurs quelques-uns à vivre sous des tentes installées dans le parc Saint-John Perse : une famille et deux personnes isolées originaires d'Albanie. « Nous sommes là pour leur trouver de quoi dormir et pour les orienter et les aider dans leurs démarches administratives, car à la différence des Afghans, Syriens ou encore Lybiens qui, en tant que réfugiés, bénéficient d'aides de la part des services de l'Etat, ceux que nous aidons, le plus souvent des personnes venant d'Europe de l'Est, ne sont pas pris en charge. » Lors de cette journée thématique, les bénévoles de Sövkipeu, accompagnés de leurs homologues châlonnais de l'association Hésope, évoqueront ainsi comment ils aident ces exilés. Et pour mieux comprendre le destin de ces personnes qui fuient leur pays, trois écrivains viendront aussi partager leurs expériences : Stéphane Rosière, auteur de « Frontières de fer. Le cloisonnement du monde » (Ed. Syllepses), Philippe Cuisset pour « Miranda » (Ed. Kyklos) et Tomas Junior pour « Resistência desobediênca e consciencia civica » (Ed. Autografia). Un temps d'échange ouvert à tous.

Le parc Saint‐John Perse à Reims accueille régulièrement des « exilés » aidés par le collectif Sövkipeu. © l'Hebdo du Vendredi

Coronavirus Retour du masque pour tous à l'école

Le masque revient alors que les élèves des écoles primaires marnaises avaient pu l'ôter depuis le 3 octobre dernier. En effet, cette décision était motivée le taux d'incidence départemental, qui devait être inférieur au seuil de 50 pour 100 000 habitants durant au moins cinq jours consécutifs. C'était le cas dans la Marne et ça l'est d'ailleurs toujours actuellement, avec un taux d'incidence de 36 dans le département en date du mercredi 10 novembre (75 au niveau national), certes en hausse depuis quelques jours. Sauf que la reprise épidémique observée en France A partir du lundi 15 novembre, le masque est de nouveau obligatoire dans toutes les écoles de la Marne. © DR a modifié la règle. « Dans ce contexte de reprise épidémique, il nous faut redoubler de vigilance, a déclaré Emmanuel Macron lors de son allocution mardi soir. Tous les assouplissements un moment envisagés seront donc reportés pour conserver les règles actuellement en vigueur. Même si je sais combien cela est difficile, le port du masque à l'école sera donc pour le moment maintenu. » Le ministère de l'Éducation a ainsi fait savoir, que le port du masque sera obligatoire pour tous les élèves dans tout le pays, en France métropolitaine comme en Outre-mer, à partir du lundi 15 novembre. En tout début de semaine, le masque était redevenu obligatoire pour les écoliers dans 40 départements à l'occasion de la rentrée des vacances de la Toussaint. En ajoutant ceux qui n'avaient jamais abandonné cette mesure, 61 départements étaient concernés.

Syndicalisme Une nouvelle feuille de route pour la CGT

La CGT de la Marne dresse le bilan des cinq années passées et vient d'élaborer la feuille de route qui accompagnera les trois prochaines. Outre les sujets nationaux, comme les retraites ou le pouvoir d'achat des salariés, elle continuera à défendre des dossiers locaux, notamment dans le champagne et le transport.

Les 4 et 5 novembre, le congrès de l'Union départementale de la CGT a réuni une centaine de personnes à Saint-Memmie. Elle compte actuellement environ 6 400 syndiqués dans la Marne, contre 7 100 en 2016, lors du dernier congrès. « Beaucoup de fermetures d'entreprises ont eu lieu, analyse Sabine Duménil, réélue secrétaire générale de l'Union à l'unanimité. On confirme toutefois notre première place en matière de représentativité au niveau du département. On doit encore renforcer notre ancrage et retisser des liens pour travailler ensemble, avec toutes les structures de la CGT. » Autre enjeu de taille : rallier la jeunesse. « C'est d'autant plus difficile depuis trois ans, puisque l'Unef n'est plus organisée dans la Marne. » A l'heure du bilan, le syndicat pointe bien sûr du doigt le contexte difficile lié à la crise sanitaire, mais aussi les réformes successives des années passées. « Nous avons néanmoins remporté

Les adhérents ont entonné « L'Internationale » le poing levé pour clore le congrès de la CGT. © l'Hebdo du Vendredi

plusieurs victoires en faveur des salariés, rappelle Béatrice Le Perrun, secrétaire de la CGT 51. La Boulangerie de l'Europe à Reims par exemple, ou encore la société Trëma à Tinqueux. La lutte intersyndicale a permis de préserver 150 lits menacés par la restructuration du CHU. On a pu aider les salariés de Brico Dépôt à imposer leurs revendications. » La feuille de route actée pour les trois

ans à venir place l'emploi au top des priorités. Avec un grand E. « Ça passe aussi par la défense de l'assurance chômage, de la Mobilisations les 18 et 24 novembre, à Reims sécurité sociale, des retraites, dixit Sabine Duménil. La mobilisation et à Châlons nationale du 2 décembre vise à augmenter les pensions, mais cette question du pouvoir d'achat, ou plutôt du reste à vivre, préoccupe également les salariés. » Parmi les dossiers marnais suivis de très près : la maison de champagne GH Martel à Magenta, dont plusieurs salariés sont en grève depuis le 5 octobre, ainsi que les transports urbains rémois Citura. « On arrive à 98 % de grévistes, estime Béatrice Le Perrun, elle-même conductrice au sein du réseau. On se mobilisera le 18 novembre lors du prochain conseil communautaire, pendant lequel les élus du Grand Reims voteront la résiliation du contrat passé avec Mars. On a toujours dénoncé ce contrat, mais on s'interroge surtout sur l'après. Une nouvelle délégation se profile. On s'y oppose, car cela reviendrait, une fois de plus, à confier à une société privée la gestion d'un service qui se veut public. On demande une régie en direct. » La CGT appelle également au rassemblement le 24 novembre à Châlons pour soutenir Sabine Duménil, convoquée au tribunal correctionnel suite à sa mise en examen pour injure publique à l'encontre de la responsable départementale de la Direction du travail. « Au-delà de l'action en justice menée contre Sabine, c'est la liberté syndicale qu'on attaque, glisse Marie Buisson, membre de la confédération nationale de la CGT et présente au congrès. On criminalise nos actions. Sans compter toutes les pressions exercées sur nos secrétaires de sections ou les représentants des salariés. » Certains viendront en témoigner pour l'occasion.

Sonia Legendre

Sécurité routière Le couac des voitures-radars privées est résolu

En circulation depuis le 1er octobre pour renforcer les contrôles de vitesse sur les routes marnaises, les voitures-radars banalisées dites « externalisées », c'est-à-dire conduites par des agents d'opérateurs privés payés par l'Etat, utilisent un système embarqué de laser nouvelle génération et sillonnent les zones les plus accidentogènes du département. Seul bémol, plusieurs La préfecture assure que les voitures‐radars privées prennent usagers ont été verbalisés désormais en compte les différences de vitesse maximale pour avoir dépassé la vitesse autorisée. © l'Hebdo du Vendredi limite autorisée (VLA) de 80 km/h sur des tronçons où elle avait été relevée à 90 km/h par le conseil départemental. A tort, donc. Dans un communiqué de presse, la préfecture de la Marne évoque « une erreur de procédure dans les opérations techniques préalables de calcul de la base des VLA » et assure qu'une mise à jour de cette base de données, réalisée le 15 octobre, « a corrigé automatiquement le problème. » Le Centre automatisé de constatation des infractions routières, à Rennes, devrait rapidement procéder à la régularisation des amendes erronées et au remboursement des citoyens concernés. Ils sont également invités à se rapprocher de l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions pour contester leurs contraventions. De son côté, l'association 40 millions d'automobilistes dénonce « la situation ubuesque » résultant du passage aux 80 km/h. « Plus personne ne sait à quelle vitesse rouler. Cela change d'un type de voie à l'autre et au gré des décisions des conseils départementaux. » Elle craint d'autres dysfonctionnements à venir et milite pour un retour généralisé aux 90 km/h. En 2020, la Marne a déploré 403 accidents routiers corporels, dont 29 mortels.

Les TER de l'ex-Champagne-Ardenne à l'arrêt

Lundi 8 novembre, la CGT cheminots initiait une grève sur les TER (trains express régionaux) de l'ancienne Champagne-Ardenne pour dénoncer les conditions de travail et la dégradation du service proposé aux usagers. Le syndicat, qui souhaite rallier les citoyens à cette cause, évoque dans un communiqué de presse « des conditions de voyage inhumaines » constatées le 29 octobre à bord d'un train surchargé au départ de Paris, « obligeant » le conducteur à refuser de faire circuler le train. « Pire, les contrôleurs et le conducteur se font encercler et insulter par des voyageurs excédés d’une situation qui dure depuis de trop nombreuses années et qui s’empire depuis des mois », relate ensuite le document. Pointer du doigt les comportements et les réactions des usagers qui se voient priver de ce service public, tout en les invitant à soutenir ceux qui sont à l'origine de cette grève, c'est plutôt audacieux.

Commerce - Reims Le Furet du Nord a ouvert aux Galeries Lafayette

Depuis le mercredi 10 novembre, la ville de Reims compte une librairie de plus. Il s'agit de l'enseigne centenaire Le Furet du Nord. Mais plutôt que d'avoir pignon sur rue, la boutique a choisi de s'installer dans les murs des Galeries Lafayette. Une première pour le Furet du Nord qui ne passe pas inaperçu dans la mesure où elle n'occupe pas un simple corner, mais tout un étage ! En l'occurrence, il s'agit du 3e et dernier du grand magasin. « Une collaboration qui permet aux visiteurs de vivre une expérience créative et enrichissante, dans la plus grande librairie rémoise présente à ce jour », estime l'enseigne dans un communiqué. Sur 1 200 m2, elle assure ainsi proposer 35 000 références de livres, ainsi que des vinyles, de la papeterie, des jeux et des jouets.1

A Reims, la librairie du Nord occupe le dernier étage des Galeries Lafayette. © DR

Basket-ball Betclic Elite (8e j.) : Dijon (13e) - Champagne Basket (9e) Se remettre la tête à l'endroit

Après sa déroute à domicile face à Boulogne-Levallois, Châlons-Reims enchaîne avec un déplacement, vendredi soir, dans l'antre d'une autre équipe européenne, Dijon.

In'y a pas de honte à perdre à la maison face au leader. Même l'armada monégasque a plié contre Boulogne-Levallois, invaincu en championnat depuis sa défaite inaugurale au Mans. Mais il y a la manière et force est de constater qu'elle a fait défaut au Champagne Basket, balayé sur le score de 105 à 71 par une formation qui avait pourtant joué à 3 000 kilomètres de là 48 heures plus tôt. Après le match, l'entraîneur Cédric Heitz, lucide sur les carences de son équipe, accusait le coup : « On savait cette équipe difficile à manœuvrer, mais être à ce niveau-là, après un rendez-vous épique en Russie, c'est une sacrée performance. Hormis les 17 premières minutes où on est dans le match, qui se termine par trois erreurs défensives, l'écart se fait et il y a une cassure. Le groupe a semblé se désunir, dans le sens où on n'a pas été dans l'exécution de ce qu'on a travaillé à l'entraînement. J'en suis le premier responsable. Peut-être que nous avons manqué de rigueur durant la semaine et qu'il y a eu un excès de confiance. Je ne referai pas cette erreur, car la pauvreté technique qu'on a proposée ce soir a été pathétique. » Touché, mais pas coulé, le Champagne Basket doit rebondir immédiatement. Cependant, la destination du weekend n'est pas idéale. C'est en Bourgogne, sur le parquet de Dijon que Jessie Begarin et ses coéquipiers se doivent de réagir pour ne pas tomber dans une spirale infernale. En comptant le match face à Boulogne-Levallois, Châlons-Reims reste en effet sur trois défaites de rang en championnat. La JDA, désormais entraînée par Nenad Markovic, présente le même bilan que l'union marnaise

4 Dijon - Champagne Basket, vendredi 12 novembre, à 20 h 30, à Dijon. Prochain match à domicile, Champagne Basket - Limoges, vendredi 19 novembre, à 20 h, à Reims.

Ecrasés par Boulogne‐Levallois, Jessie Begarin et ses partenaires doivent réagir, vendredi soir, à Dijon. © l'Hebdo du Vendredi

Amandine Miquel, l'entraîneuse rémoise. © Stade de Reims

(3 victoires et 4 défaites), en ayant perdu également face au leader de Betclic Elite, mais aussi face Monaco et l'Asvel, avec en plus un calendrier alourdi par la Basket-ball Champions League. A Dijon, Cédric Heitz pourra compter sur le renfort d'Elijah Brown (26 ans, 1,93 m), débarqué en début de semaine en tant que pigiste médical de Jean Salumu, blessé au genou et forfait contre Boulogne-Levallois. Après un cursus universitaire complet, suivie d'une seule année dans l'antichambre de la NBA, Elijah Brown a débuté sa carrière sur les parquets européens en 2018, sous les couleurs de la formation lituanienne de Dzukija Alytus (17 matches avec une moyenne de 14,3 points, 2,7 rebonds et 2,2 passes décisives). Une première expérience plutôt réussie qui lui permet de rejoindre l'année suivante la deuxième division italienne, au sein du club de Rieti (15 matches à 14,7 pts, 4,5 rbs et 2,9 pds).

Ces deux dernières saisons, l'Américain a évolué en deuxième division espagnole, d'abord brièvement avec Breogán (2 matches à 10,5 pts, 2 rbs et 3,5 pds), lors d'une année stoppée par l'épidémie de covid, puis Oviedo (26 matches à 13,6 pts, 3 rbs et 2 pds). En L'Américain Elijah Brown en renfort acceptant l'offre du Champagne Basket, le joueur américain gravit une marche supplémentaire avec l'espoir, pour lui comme pour sa nouvelle équipe, de rééditer ses performances affichées lors des exercices précédents.

Julien Debant Coupe de France : Châlons-Reims vise les 8es à Vichy-Clermont

Sitôt la rencontre à Dijon joué, le Champagne Basket devra rapidement se tourner vers un autre challenge, du côté de l'Auvergne. Le club marnais est, en effet, attendu sur le parquet de Vichy-Clermont, actuel 10e de Pro B, mardi 16 novembre, dans le cadre des 16es de finale de la Coupe de France. Au tour précédent, Châlons-Reims s'était qualifié chez un autre pensionnaire de Pro B, Lille (81-71).

Deux Pétillantes en sélection nationale

Le championnat de Ligue Féminine 2 fait relâche ce week-end, en raison de la tenue de deux matches de l'équipe de France comptant pour les qualifications à l’EuroBasket 2023, face à l'Ukraine et la Lituanie. Victorieuses de leur dernière rencontre de championnat, samedi dernier à Calais (74-68), les joueuses du Champagne Basket féminin sont donc au repos. Enfin, pas toutes, puisque Victoria Majekodunmi a rejoint l'équipe de France 3X3 et Maaja Breaths, la sélection estonienne. Le prochain match de championnat des Pétillantes est programmé le samedi 20 novembre, avec la réception de l'Union Sportive La Glacerie.

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Football D1F (8e j.) : Reims - Dijon

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Rebond attendu pour les Rémoises

En difficulté en début de saison après ses rencontres face aux cadors du championnat, le Stade de Reims a remonté la pente en s’imposant à Issy-les-Moulineaux (1-3), puis en renversant une équipe de Bordeaux mieux armée qu’elle (5-2). Mais avant la trêve, les Rouge et Blanche ont chuté sur la pelouse de Fleury (1-0), l’équipe en forme de ce début de saison. À l’issue de cette rencontre, l’entraîneuse rémoise Amandine Miquel avait annoncé que ses joueuses commençaient à fatiguer, après une fenêtre internationale parfois éprouvante. Presque deux semaines se sont écoulées depuis cette défaite et les Rémoises auront à cœur de rebondir, ce samedi, lors de la réception de Dijon, un adversaire du même calibre, qu’elles pourraient dépasser au classement en cas de victoire.

S.K

4 Reims - Dijon, samedi 13 novembre, à 14 h 30, au stade Louis-Blériot.

L1 : au chaud pendant la trêve

C'est un point qui a fait beaucoup de bien aux Rémois, à les entendre à l'issue du match face à Monaco (0-0), dimanche dernier. Le spectacle n'était pas au rendez-vous, mais après les deux gifles reçues face à Troyes (1-2) et à Bordeaux (3-2), il fallait stopper l'hémorragie. « C’est bien de prendre un point dans notre situation, contre une équipe forte comme Monaco. Avant la trêve internationale, c’est bon pour le moral », analysait Wout Faes. Seizièmes, les Rémois iront à Strasbourg (8e) le dimanche 21 novembre.

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Festival - Littérature La lecture Au fil des ailes

Le festival littéraire itinérant organisé par Interbibly, désormais dénommé Au fil des ailes, est de retour du 12 au 27 novembre, partout dans la région.

Association de coopération entre les acteurs du livre et du patrimoine écrit, installée à Châlons, Interbibly pilote deux actions phares dont l'ambition est de valoriser la création littéraire contemporaine : un cycle de rencontres avec des lycéens et un festival littéraire répondant désormais au doux nom de Au fil des ailes. « Si l'identité du festival a changé, notre objectif reste le même, explique Amandine Rigollet d'Interbibly, avec cette volonté d'aller toujours à la rencontre des publics éloignés de la lecture, en milieu scolaire, dans les centres sociaux, mais aussi dans les prisons. » Le festival Au fil des ailes, qui se tient cette année est l'exemple de cet engagement, proposant des rencontres avec des auteurs en bibliothèques, programmées partout dans la région, entre le 12 et le 27 novembre. « Ce festival, c'est d'abord un moment de partage, avec des auteurs qui partent sur les routes, faisant étapes dans les grandes villes, mais aussi en milieu rural. Et c'est aussi un événement populaire et accessible, gratuit et ouvert à tous, qui vise à mieux faire connaître le métier d'écrivains et leurs œuvres. » Au total seize auteurs participent à cette 6e édition. Des femmes et des hommes qui viennent de partout, d'Europe, d'Asie, d'Afrique. « Des auteurs confirmés, mais aussi de jeunes talents qui viennent parler de voyage, d'adaptation et de leurs expériences », détaille Manon Saint Marc de l'association Interbibly. Parmi les têtes d'affiche au rendez-vous cette année : Serge Joncour, dont le dernier ouvrage « Nature humaine » a obtenu le Prix Fémina en 2020, et Magyd Cherfi, membre du groupe Zebda et auteur remarqué ces dernières années, notamment pour « Ma part de Gaulois

» et « La part du Sarrasin ». Terre de naissance d'Interbibly, la Marne est évidemment gâtée en rendez-vous. La quinzaine du festival s'ouvre ce vendredi 12 novembre, lors d'une soirée organisée à Reims, au sein de la médiathèque Jean-Falala (entrée libre). Lors de ce temps fort, quatre auteurs sont invités au côté de Bernard Magnier, conseiller littéraire d'Interbibly : Julien Delmaire, Chabia Chaïbi-Loueslati, Eddy L. Harris et Elisa Shua Dusapin. Ensuite, le festival partira sur les routes du Grand Est. Par exemple, Serge Joncour, « qui ne visitera aucune grosse ville, mais que de petites bibliothèques », est attendu le jeudi 18 novembre (19 h), à la médiathèque Aragon de SaintBrice-Courcelles. Magyd Cherfi, lui, s'arrêtera notamment du côté d'Aÿ, mardi 16 novembre (20 h 30), pour une lecture concert à la MJC. L'auteure de BD Marzena Sowa visitera l'Aube, les Ardennes et les Vosges, Les membres d'Interbibly, l'association qui pilote le festival mais aussi la Marne, via un passage par la Au fil des ailes. © l'Hebdo du Vendredi médiathèque Laon-Zola de Reims, le vendredi 26 novembre (19 h). Catherine Blondeau, qui est aussi directrice du théâtre Le Grand T à Nantes, sera, elle, à la bibliothèque Pompidou de Châlons, le mercredi 24 Soirée de lancement à Reims novembre (18 h). Au total, plus de 50 ren contres avec le public sont programmées. -

Rencontre BD - Pompidou Chadia Loueslati, ou l'art de croquer la vie

Ses parents l'auraient plutôt imaginée juriste, mais l'ont toujours accompagnée dans sa démarche artistique. Aujourd'hui scénariste et illustratrice BD, Chadia Chaïdi-Loueslati raconte son histoire dans Famille nombreuse et Nos vacances au bled, parus chez Marabout et Marabulles. Accueillie par le festival Au fil des ailes d'Interbibly, elle partagera volontiers son parcours et son univers avec le public. « Plus jeune, le seul endroit où je L'auteure et illustratrice BD Chadia Loueslati, invitée du festival Au fil des ailes. © Astrid di Crollalanza pouvais sortir était la bibliothèque, confie l'auteure. J'ai commencé par l'écriture, le dessin est venu bien plus tard. » Elle se revendique aussi autodidacte et transmet aux jeunes son expérience, notamment lors de ses interventions auprès des scolaires. « J'ai beaucoup appris toute seule. C'est un cheminement long, mais aussi très formateur. Les seules barrières qu'on peut rencontrer sont celles qu'on s'impose. » Avec un humour à toute épreuve, Chadia aborde grâce à la BD une multitude de sujets. « Hormis la politique et la religion, sourit-elle. Je préfère me concentrer sur l'humain. Je suis issue d'une famille nombreuse, j'ai eu envie d'écrire sur cela pour rendre hommage à mes parents. J'évoque nos liens entre la Tunisie et la France et mes souvenirs d'enfance, à travers les yeux d'une petite fille de six ans. » D'ores et déjà, elle planche sur deux projets dont Fumée, attendu en avril. « J'en suis la scénariste. C'est un roman graphique qui parle de la cigarette et plus globalement, de l'addiction, mais sans texte. Mon père était allophone, j'aurais aimé le mettre entre ses mains. » Une sorte de conte drôle et macabre que chacun s'appropriera comme il l'entend et qui illustre, s'il en était besoin, l'importance des images.

Sonia Legendre

Ce week-end

SPECTACLES

VENDREDI 12 NOVEMBRE

THÉÂTRE – CACAHUÈTE

Une soirée caritative et théâtrale au profit de l’association Art contemporain 51. Pour l’occasion, la compagnie châlonnaise Les cœurs de planches interprétera la pièce « Cacahuète », de et avec Didier Noël, accompagné sur scène par Magalie Moulanier et Brigitte Serouart. À 20 h, salle Pelloutier (place de Verdun) – Tarif : 10 euros (ouverture des portes dès 19 h 30). Infos : page Facebook « ARTC51 ».

DU VENDREDI 12 AU DIMANCHE 14 NOVEMBRE

NUIT DU CIRQUE

Acrobatie, danse circassienne, jonglage, voltige, théâtre, etc. La Nuit du cirque promet encore de belles rencontres artistiques avec les compagnies, dont celle de Rasposo, à qui le Palc confie une carte blanche pour l’occasion... Du vendredi au dimanche, salle Rive gauche (15, rue de Fagnières) et grand Jard de Châlons – Tarif unique : 5 euros Programme complet et billetterie sur lepalc.fr.

DIMANCHE 14 NOVEMBRE

CONTES ET BIÈRES

Le collectif Ek’sa Mouss partagera ses Brassées d’histoires avec le grand public à l’issue du brunch de la Cantine du 111, en rires et en chansons ! À 14 h 30, Cantine du 111 (avenue de Paris) Accès libre (formule brunch à 10 euros dès 12 h sur réservations au 03 26 26 65 03). Infos : lacantinedu111.org.

CONCERTS

VENDREDI 12 NOVEMBRE

HOMMAGE À BRASSENS

L’orchestre châlonnais de variétés Trio rend hommage à Georges Brassens et revisite les plus beaux morceaux de ce poète, en clin d’oeil au centenaire de sa naissance. À 18 h 30, bibliothèque Pompidou – Gratuit, inscriptions au 03 26 26 94 26 ou sur bm.chalonsenchampagne.fr.

Julien Debant

4 Au fil des ailes, du vendredi 12 au samedi 27 novembre. Programmation complète sur interbibly.fr

du Choeur de Radio France revisitent Les Vêpres de Sergueï Rachmaninov. À 16 h, collégiale Notre-Dame-en-Vaux - Tarifs : de 11 à 29 euros Infos : la-comete.fr.

CONFÉRENCES

SAMEDI 13 NOVEMBRE

LES RENDEZ-VOUS DE LA SACSAM

Prochaines thématiques abordées par les conférenciers de la Sacsam : le monument Léon Bourgeois à Châlons (à 14 h 30, par Bruno Malthet) puis les monuments aux morts de 1870 (à 15 h 30, par Elisabeth Lecuyer). À partir de 14 h 30, salle de Malte (7, rue du Lycée) Entrée libre – Infos : academie.chalons.free.fr.

QUE FAIRE AU JARDIN AVANT L’HIVER ?

La Société horticole de Châlons accueille le conférencier Francis Scholtes et ses bons conseils sur les thématiques suivantes : les plantes bulbeuses à floraison printanière, l’allium et les travaux à réaliser au jardin avant l’hiver. À 14 h 30, espace Roger-Bertrand de Saint-Martin-sur-le-Pré Tarif : 5 euros (gratuit pour les adhérents) Inscriptions au 03 26 68 01 62.

LOISIRS

VENDREDI 12 NOVEMBRE

APÉRO GOURMAND SOUS LES HALLES

Une rencontre gourmande concoctée par la bière Chat Long et ses partenaires. De 18 h à 20 h, sous les halles du marché couvert – Accès libre (produits en vente à déguster sur place).

SAMEDI 13 NOVEMBRE

VISITE ACCOMPAGNÉE NOTRE-DAME DE L’EPINE

En lien avec l’ouvrage qu’il a publié sur l’histoire de la basilique et qu’il dédicacera pour l’occasion, Jean-Baptiste Renault propose une visite-conférence i ntitulée « Autour de Notre-Dame de L’Epine : la vie d’un village au XIXe siècle ». À 14 h 30, devant le parvis de la basilique de l’Epine Accès libre.

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EXPERTISE Tableaux Anciens & Modernes SUCCESSIONS et débarras complet

06 08 51 16 30 2 rue Gambetta CHÂLONS

Exposition – Prieuré de Vinetz Quand la musique et l'art résonnent à l'unisson

Tous élèves du peintre Carlos Sablón, qu'on ne présente plus à Châlons, 24 artistes du collectif Art contemporain 51 ont choisi la musique comme thème d'inspiration pour la 7e édition de leur salon pictural. Soit une cinquantaine d'œuvres au total, dont beaucoup se répondent, qui illustrent la diversité des techniques – compositions mixtes, acrylique, huile, aquarelle, etc. - et des esthétiques explorées par ces créateurs. Ils abordent parfois la musique à travers les portraits de celles et ceux qui la font vibrer, couchant sur la toile l'osmose entre l'instrument et l'humain. Ils lèvent aussi le voile sur les divinités et autres muses nées de leur imagination débordante. Certains partagent leur vision hyperréaliste ou au contraire surréaliste de la chose musicale, tandis que d'autres embarquent les visiteurs dans des paysages enneigés, aux confins d'une forêt enchanteresse et même jusqu'en Afrique, rappelant à notre bon souvenir que la musique, qu'elle soit rock, jazz, électro, classique, country ou encore baroque, possède depuis la nuit des temps un don précieux : celui de dépasser les barrières, langagières, culturelles, géographiques, pour rassembler les peuples. On découvre également au fil de cette exposition des scènes de vie, des personnages poétiques et pétillants, quelques jolis clins d'œil à des icônes telles que Freddie Mercury et Barbara. Et si l'on tend l'oreille, nul doute qu'on puisse percevoir le rythme, la sensibilité et toute la musicalité dont sont imprégnées ces œuvres.

S.L

4 Salon pictural « Réflexions et tendances », jusqu'au 18 novembre au prieuré de Vinetz, visible tous les jours de 13 h à 18 h. Accès libre.

Les artistes se sont inspirés de la musique pour composer leurs œuvres. © l'Hebdo du Vendredi

À venir

SPECTACLES

MARDI 16 NOVEMBRE

DANSE ET CINÉMA – DU BOUT DES DOIGTS

Dans un théâtre miniature sublimé par des effets cinématographiques, Gabriella Iacono et Gregory Grosjean redonnent vie, grâce aux chorégraphies qu’ils interprètent de leurs doigts, à l’histoire de la danse et ses grands mouvements, des années 30 à aujourd’hui. Comédies musicales, hip-hop, ballet, rock, etc. À 20 h 30, la Comète – Tarifs : de 6 à 24 euros Infos : la-comete.fr.

JEUDI 18 ET VENDREDI 19 NOVEMBRE

THÉÂTRE – FRACASSE

Jean-Christophe Hembert adapte à la scène le roman de Théophile Gautier et fait appel à ses comparses de la série Kaamelott (Jacques Chambon, Thomas Cousseau, Eddy Letexier et Loïc Varraut) pour faire renaître cette fresque épique, comique et poétique. À 20 h 30, la Comète – Tarifs : de 6 à 24 euros Infos : la-comete.fr.

Expositions

JUSQU’AU JEUDI 18 NOVEMBRE

SALON PICTURAL RÉFLEXIONS ET TENDANCES

Conçue par le peintre Carlos Sablón et ses élèves, la 7e édition de ce salon pictural réunit une cinquantaine d’œuvres, d’univers et de disciplines sur la thématique de la musique. Tous les jours de 13 h à 18 h, abbaye de Vinetz – Entrée libre.

JUSQU’AU LUNDI 7 FÉVRIER

RAYMOND DEPARDON : 1962-1963, PHOTOGRAPHE MILITAIRE

Cette exposition lève le voile sur les clichés du réalisateur et journaliste Raymond Depardon, lorsqu’il était photographe militaire. Déjà à vingt ans, il possédait un don incroyable

CONCERTS

DIMANCHE 21 NOVEMBRE

ACCORDÉON CLUB CHÂLONNAIS

En clin d’oeil à la Sainte-Cécile, l’Accordéon club de Châlons présente un programme musical et coloré sous la baguette de Roland Bouverot. À 15 h, auditorium Pelloutier (maison des syndicats, place de Verdun) – Tarif : 12 euros Billetterie sur place ou chaque jeudi et vendredi de 15 h 30 à 17 h à la Cité Tirlet.

LOISIRS

DIMANCHE 21 NOVEMBRE

HALLE DES ARTS

Rendez-vous avec les créateurs et artisans locaux en cœur de ville. Sculptures, peintures, bijoux, accessoires de mode, céramiques, etc. Une pléiade d’oeuvres et d’objets originaux s’expose pour l’occasion. De 10 h à 18 h 30, sous les halles du marché couvert Entrée libre.

pour l’instantané et pour capturer les scènes de vie, les regards et les expressions des soldats. Tous les jours sauf le mardi, musée des Beaux-arts et d’archéologie - Tarif : 4 euros.

JUSQU’AU DIMANCHE 20 FÉVRIER

VIVE LES COMÉDIENS !

Cette nouvelle exposition de la Duduchothèque illustre avec tendresse tout l’amour que portait Cabu au théâtre et aux comédiens. Elle donne à découvrir plus de 150 dessins, en partenariat avec la Comédie Française, et valorise l’esprit et le coup de crayon incomparable de Cabu. Du mercredi au samedi, de 14 h à 18 h, Duduchothèque – Entrée libre.

Cinéma

MEGA CGR MAJESTIC

2 Rue A. Fresnel - Châlons Du vendredi 12 au mard 16 novembre 2021 BARBAQUE Ven, Dim : 16h00 | 18h00 | 20h00 | 22h00 Sam, Lun : 14h00 | 16h00 | 20h00 | 22h00 Mar : 15h35 | 17h30 | 20h10 | 22h05 DUNE Tous les jours : 21h30 EIFFEL Ven, Sam, Dim : 11h00 | 15h30 | 17h40 | 20h00 Lun, Mar : 13h15 | 15h30 | 17h40 | 20h00 HALLOWEEN KILLS Ven, Dim : 20h00 | 22h10 Sam : 18h05 | 22h10 Lun : 18h00 | 20h10 | 22h20 Mar : 18h00 | 22h15 ILLUSIONS PERDUES Ven, Sam, Dim : 17h40 Lun, Mar : 14h45

LA FAMILLE ADDAMS 2 UNE VIREE EN ENFER

Ven, Sam, Dim : 10h40 | 13h30 | 15h30 Lun : 10h40 | 16h00 Mar : 10h40 | 13h50 LAST NIGHT IN SOHO Tous les jours : 18h00 | 21h00 LE LOUP ET LE LION Ven, Dim : 10h50 | 15h45 | 17h30 Sam : 10h50 | 13h30 | 15h20 Lun : 10h50 | 15h20 Mar : 10h50 | 17h30 LE TRESOR DU PETIT NICOLASVen, Sam, Dim : 11h00 | 13h50 | 16h00 Lun : 11h00 | 13h50 Mar : 11h00 | 15h50

L'EQUIPE DE SECOURS, EN ROUTE POUR

L'AVENTURE ! Ven, Sam, Dim : 11h00 LES ETERNELS Ven : 10h40 | 13h45 | 21h00 Sam : 13h45 | 16h45 | 20h15 | 21h00 Dim : 13h45 | 20h15 | 21h00 Lun : 10h40 | 13h45 | 16h45 | 17h50 | 20h15 Mar : 13h45 | 16h45 | 20h00 | 20h15 | 21h00 LES ETERNELS - 3D Ven : 16h45 | 20h15 Sam : 10h40 Dim : 10h40 | 17h00 Lun : 21h00 Mar : 10h40 | 17h50 LUI Dim : 14h00 | 18h10 | 22h15 Ven : 14h00 | 18h10 | 22h10 Sam : 18h00 | 20h15 | 22h15 Lun : 15h50 | 18h00 | 22h15 Mar : 13h45 | 16h00 MOURIR PEUT ATTENDRE Ven, Sam, Dim : 15h00 | 18h10 | 21h20 Lun, Mar : 11h00 | 15h00 | 18h10 | 21h20

OUPS ! J'AI ENCORE RATE L'ARCHE…

Ven, Sam, Dim : 13h30 Lun, Mar : 11h00 RON DEBLOQUE Ven, Sam, Dim : 10h50 | 13h40 | 15h50 Lun, Mar : 10h50 | 13h40

SAM LE POMPIER ET LES MYSTERIEUX SUPER-

HEROS Ven, Sam, Dim : 10h40 | 13h30 Lun, Mar : 10h40 SI ON CHANTAIT Ven, Dim, Mar : 10h50 | 13h20 | 15h30 | 19h30 Sam, Lun : 10h50 | 13h20 | 17h30 | 19h30 VENOM LET THERE BE CARNAGE Ven, Dim : 13h30 | 17h50 | 20h00 | 22h00 Sam : 15h45 | 17h50 | 20h00 | 22h00 Lun, Mar : 13h30 | 15h40 | 17h50 | 20h00 | 22h00

LA COMÈTE

5 Rue des Fripiers - Châlons Du vendredi 12 au jeudi 18 novembre 2021 FIRST COW VOST Ven 12 : 18h Sam 13 : 16h

ILLUSIONS PERDUES Ven 12 : 20h15 LA FRACTURE Sam 13 : 20h15 Lun 15 : 14h30 Jeu 18 : 18h. Séance en version SME LES OLYMPIADES Mer 17 : 18h LE PARDON VOST Mer 17 : 20h15 COMPARTIMENT N°6 VOST Jeu 18 : 20h15

EN FAMILLE CINÉ-CONTE LE QUATUOR À CORNES, LÀ-

HAUT SUR LA MONTAGNE - DÈS 4 ANS Mer 17 : 16h La séance est suivie par une lecture de contes. En partenariat avec les médiathèques de la Ville de Châlons-en-Champagne.

NOS RENDEZ-VOUS REPRISE PALMARÈS WAR ON SCREEN

EN ROUTE POUR LE MILLIARD VOST Sam 13 : 18h15 OLGA VOST Dim 14 : 16h

LITTLE PALESTINE, JOURNAL D’UN SIÈGE

VOST Dim 14 : 20h15

AVANT-PREMIÈRE

MADRES PARALELAS VOST Dim 14 : 18h

CINÉ-DÉBAT

L’ÉTAT DU TEXAS CONTRE MELISSA VOST Lun 15 : 20h15 Suivie d’un échange avec Sandrine Ageorges-Skinner, de l’ONG Ensemble Contre la Peine de Mort.