L'Hebdo du Vendredi Épernay 525

du A U Q U O T I D I E N S U R w w w. l h e b d o d u v e n d r e d i . c o m ÉDITION

É P E R N AY n ° 5 2 5 d u 7 a u 1 3 f é v r i e r 2 0 2 0

Municipales

Un musée dans la campagne

DÉVELOPPEMENT

DURABLE

Le concept de micro-forêt urbaine séduit Épernay p. 6

COMMERCE

La première bouquinerie d'Épernay ouvre ses portes p. 7

FOOTBALL

Le Stade de Reims à Strasbourg pour confirmer p. 11

SPECTACLES

Prévue en mars prochain, l'ouverture du musée du vin de Champagne et d'archéologie régionale d’Epernay se mêle à la campagne des municipales. La gauche réclame son report tandis que le maire Franck Leroy dénonce « une polémique stérile ». p. 4

Rap et hypnose au Millesium p. 12

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Les travaux du musée s’invitent dans la campagne Le timing de la réouverture du musée, prévue en mars prochain, à quelques jours des élections municipales, interroge le candidat de gauche, Jean-Paul Angers, qui réclame un report. Le maire Franck Leroy assure que tout est légal et espère que les travaux seront terminés à temps.

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récipitation incompréhensible », comme l’affirme le candidat de gauche, Jean-Paul Angers, ou « polémique stérile », comme lui répond le maire sortant, Franck Leroy ? Toujours est-il que le débat est lancé. C’est l’homme de gauche, à la tête de la liste Épernay en commun, qui a lancé un pavé dans la mare en soulevant une question que d’aucuns se posent : la réouverture du musée du vin de Champagne et d’archéologie régionale va-t-elle se télescoper avec les élections municipales, prévues les 15 et 22 mars prochains ? « Cela fait plus de 20 ans que le musée archéologique attendait une réouverture. Tout le monde est d’accord pour indiquer que nous ne sommes plus à une semaine ou un mois près », estime Jean-Paul Angers qui a, dans un communiqué, exhorté le maire sortant à retarder l’ouverture du musée, prévue pour le mois de mars.

Pour le conseiller municipal d’opposition des Radicaux de gauche, « le maire envisage une inauguration à la veille des élections municipales. La ficelle est un peu grosse », déplore-t-il.

Initialement envisagée en décembre dernier, l’ouverture du musée d’Épernay a été retardée pour des raisons indépendantes de la volonté des architectes, artisans et ouvriers qui œuvrent autour du château Perrier depuis mai 2018. « La découverte de poussière de plomb et des opérations de désamiantage complémentaires ont retardé le chantier, répète, depuis un an, le maire Franck Leroy. On n’a pas retardé le chantier exprès, on a pris trois mois de retard qui nous ont coûté 450 000 €. Ce retard est justifié. » Son opposant estime qu’une « ouverture précipitée, pour des raisons uniquement électorales, est déraisonnable » et « [s’]interroge sur la légalité d’une telle démarche ». Jean-Paul Angers prévient le premier édile : « L’inauguration sera-telle inscrite dans les comptes de campagne du maire sortant ? En tous cas, nous ne manque-

Le musée du vin de Champagne et d’archéologie régionale sera‐t‐il prêt en mars ? En tout cas, le maire y croit… © l'Hebdo du Vendredi

cune polémique. On ne profitera pas de cette rons pas de solliciter l’appréciation de la commission nationale des comptes de campagne en inauguration pour vanter le maire et son cas d’inauguration précipitée. » Réponse de équipe. » Franck Leroy : « C’est Outre les considérations léun faux problème, une Trois mois de retard gales qui pourraient être soulevées en période prépolémique stérile puisque « justifiés » électorale (lire par ailleurs), c’est parfaitement autorisé cette inauguration pose surd’inaugurer une réalisation qui se termine en période électorale. De tout la question de l’achèvement des travaux. mémoire, on avait inauguré la maison des arts Jean-Paul Angers croit savoir que « les entreet de la vie associative en 2014 (en février), prises et les salariés qui interviennent sur le avant les élections, et ça n’avait engendré auchantier sont sous pression et doivent accélérer

Que dit le code électoral ?

Pendant la période électorale, si une inauguration est organisée mais qu’elle n’est pas l’occasion de mettre une candidature en exergue, qu’elle ne fait l’objet d’aucune exploitation électorale, qu’elle n’est pas fixée à une date anticipée par rapport à l’achèvement des travaux, alors elle peut, en principe, être regardée comme liée à l’exercice du mandat de l’élu concerné et non comme un instrument de propagande électorale du candidat. Les dépenses engagées à cette occasion ne constitueraient alors pas des dépenses électorales.

En revanche, si l’inauguration qui a lieu pendant la période électorale est avancée par rapport à la fin des travaux, revêt un caractère de propagande électorale, est l’occasion de mettre en valeur un élu sortant ou son équipe, il appartient au candidat d’intégrer le coût de cet événement dans son compte de campagne. Le maire sortant doit être particulièrement attentif au contenu de cette manifestation, aux thématiques abordées, qui pourraient être proches de celles de la campagne électorale, au risque d’exploitation électorale de la manifestation et à la façon dont les conditions d’organisation de cette manifestation seront perçues, notamment par les concurrents du maire candidat ou par d’éventuels requérants. (Source : « Le Courrier des maires et des élus locaux » et la commission nationale des comptes de campagne).

les cadences. » Franck Leroy répond que « dans tous les marchés publics auxquels souscrit la ville, il y a des délais à tenir, c’est normal qu’il y ait une pression. Quand on a une vingtaine d’entreprises qui travaillent sur un chantier comme celui-ci, chacun doit respecter son timing sinon, tout le monde prend du retard. » Son concurrent estime aussi que la situation « pousse à prendre des risques et à bâcler les derniers travaux » et qu’il faut, au contraire, « assurer des conditions de sécurité normales pour éviter tout accident du travail » en reportant l’ouverture du musée. Le maire l’assure, pas question de prendre le moindre risque. « La question n’est pas l’élection mais la sécurité et le respect du patrimoine. On n’a pas fait un bâtiment à 22 M€ pour bâcler le travail ou l’inaugurer à la va-vite. » Le premier édile n’a de toute façon pas toutes les clés en main. L’architecte du projet et l’architecte des bâtiments de France doivent prochainement proposer au maire un calendrier de fin des travaux et une fois le chantier terminé, c’est la commission de sécurité qui donnera son feu vert et, in fine, une date d’ouverture. Le dossier est donc loin d’être clos.

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Ça bouge du côté d'Aÿ-Champagne

Cindy Demange abat ses premières cartes

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a campagne est véritablement lancée pour Cindy Demange, la conseillère municipale d'opposition du Rassemblement national, à la tête de la liste Ensemble pour le Renouveau d’Épernay. Les 35 candidats, dont une moitié encartée au RN, ont été trouvés et la liste est donc complète en vue du scrutin du 15 mars prochain. « J’ai réuni des salariés, des ouvriers, des artisans, du per- La candidate du Rassemblement national a présenté sonnel médical, des retraités, ses huit premiers colistiers, vendredi dernier. des mères au foyer et des chômeurs, c’est une liste qui n’est pas élitiste, c'est un panel représentatif des Sparnaciens », assure Cindy Demange qui a présenté, vendredi dernier, ses huit premiers colistiers et une partie de son programme, devant une trentaine de sympathisants.

Parmi les grandes lignes de son projet, la candidate veut installer « des consultations citoyennes », sous la forme d’une application mobile, renforcer la vidéosurveillance dans certains quartiers, créer une brigade de police intercommunale pour aider les villages qui n’ont pas de police municipale, revoir la programmation du Salmanazar, « qui actuellement s’adresse plutôt aux plus de 50 ans », et créer un marché de Noël à la place du village féérique, « qui n’a pas été à la hauteur cette année ».

Discrète sur les thèmes chers au parti de Marine Le Pen que sont l'identité nationale, le patriotisme et l'immigration, l'élue municipale et régionale assure avoir été « très libre vis-à-vis du RN » pour élaborer son programme. Concernant l'immigration, qui « ne sera pas une thématique prépondérante de [sa] campagne », la candidate réclame néanmoins « plus de transparence car on parle très peu des migrants à Épernay ». Elle estime que « la situation reste à surveiller ».

S.K

EN BREF Sébastien Durançois n'y retournera pas Avec 18,14 % des voix obtenues lors du second tour des élections municipales de 2014 à Épernay, Sébastien Durançois, à la tête de la liste du Front national, était le second homme de ce suffrage. Ce score lui a permis d’intégrer le conseil municipal avec deux autres élus du FN, un parti qu’il a quitté à deux jours du second tour de la présidentielle, en 2017, déçu par « l’amateurisme » de Marine Le Pen et la gestion du parti au niveau local. Finalement, au cours de son mandat de 6 ans comme élu municipal et communautaire, on l'aura peu entendu prendre la parole en séance publique, où sa présence se sera étiolée au fil des années. Dans le journal municipal « ELJ », la dernière tribune mensuelle offerte à son groupe Épernay d'abord est d'ailleurs restée vide... M. Durançois nous a confié que ses nouvelles fonctions professionnelles ne lui permettent plus « d’avoir le temps et l’assiduité nécessaires que demande un mandat d’élu ». Et de conclure : « Nous verrons dans 6 ans. »

Franck Leroy se dévoile à sa permanence et sur Facebook...

Candidat à sa réélection au poste de maire d'Épernay, Franck Leroy a inauguré, mercredi, sa permanence. Installée au 21, rue du Professeur Langevin, celle-ci sera ouverte du mardi au vendredi, de 17 h à 19 h, et les samedis, de 10 h à 12 h. En parallèle, il révèle, sur Facebook, ses 34 colistiers, un par un, et une partie de son programme, avec chaque jour des propositions sur un thème (la pratique du vélo, les initiatives participatives, la jeunesse, l’environnement…).

...et obtient le soutien de l’UDI Comme il l'avait annoncé en octobre dernier, le parti de centre droit l’Union des démocrates et indépendants (UDI) soutient officiellement le maire sortant Franck Leroy dans sa quête d’un quatrième mandat municipal consécutif à Épernay. La formation présidée par Jean-Christophe Lagarde, fondée par Jean-Louis Borloo en 2012, n’est pas rancunière puisque le premier édile sparnacien a pourtant quitté l’UDI, il y a trois ans. À Reims, le parti de centre droit a choisi de soutenir le maire sortant Arnaud Robinet, membre des Républicains (LR).

Les habitants du bourg auront le choix entre trois listes, le 15 mars. © l'Hebdo du Vendredi

À un peu plus d'un mois du scrutin, trois listes mènent campagne dans la commune. Chacune à sa manière fait connaître ses propositions, via des réunions, des tracts et les réseaux sociaux.

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a liste Agir ensemble pour l’avenir d’Aÿ-Champagne, menée par l’actuel adjoint au maire Jean-François Rondelli, donnera trois réunions publiques, une dans chaque commune. La première est prévue ce jeudi 6 février, à 18 h 30, à la salle des fêtes de Bisseuil, la seconde aura lieu à Mareuil-sur-Aÿ, le mercredi 12 février, à 18 h 30, à la maison de Mareuil, tandis que la troisième se déroulera à Aÿ, le jeudi 5 mars, à 18 h 30, à la salle des fêtes. L’occasion pour le candidat de présenter une partie de son équipe et les grandes orientations de son programme, tout en échangeant avec le public. S’il est élu, Jean-François Rondelli entend « tout axer sur le quotidien des gens », « faire entendre autre chose que le développement touristique » et « apaiser les tensions nées du regroupement des trois communes », notamment.

De leur côté, le maire sortant Dominique Lévêque et sa liste Aÿ-Champagne, Poursuivons la dynamique, commencent à se dévoiler sur Facebook. Comme prévu, les maires délégués de Mareuil-sur-Aÿ et de Bisseuil, Christian Drouin et Thierry Bouyé, accompagnent le maire sortant, comme l’adjointe Patricia Mehenni, qui devait initialement conduire cette liste. Ses membres ont choisi d'organiser des « réunions de voisins » plutôt que des réunions publiques, dans le but de « permettre à toutes personnes de pouvoir s'exprimer sans crainte, dans une configuration de

proximité ». Elles auront lieu dans les quartiers de la Tour, du Centre-ville, du boulevard Pierre-Cheval et de l'avenue Victor-Hugo. D’autres seront organisées à Mareuil-sur-Aÿ et Bisseuil. Sur les réseaux sociaux, l’élu sortant met en avant son bilan et promet quelques projets comme la mise en place d’un budget participatif, l’installation de caméras de vidéoprotection (réclamée sur les réseaux sociaux depuis plusieurs mois) ou encore la création d’espaces verts et de parkings.

Novice en politique, le vigneron Philippe Brun, à la tête de la liste Aÿ-Champagne Nouvelle donne, a commencé à distribuer des tracts qui présentent son projet. Celuici prévoit, entre autres, de mieux entretenir le domaine public, d’installer des caméras aux entrées et sorties de village, de renforcer la police municipale, de sécuriser les passages piétons ou encore de créer des micro-crèches. Deux autres tracts, sur la politique d’urbanisme et de travaux et concernant le milieu associatif et périscolaire verront prochainement le jour. « Nous approfondirons nos propositions et répondrons aux questions que nos projets ne manqueront pas de susciter en débat public, début mars. Lancer des réunions publiques avant d’avoir exposé un projet prouve l’impréparation de nos adversaires », assure Philippe Brun.

Simon Ksiazenicki 4 Infos : chaque liste dispose d’un compte ou d’une page Facebook à son nom.

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Société

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Développement durable

Un projet de forêts dans la ville à Épernay La micro-forêt urbaine, une méthode mise en place par un botaniste japonais, a le vent en poupe et Épernay s'apprête également à planter plusieurs de ces îlots de verdure et de fraîcheur dans le courant de l'année.

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a création d’une micro-forêt urbaine au cœur de la cité a été le projet le plus plébiscité par les Sparnaciens lors du dernier budget participatif et la ville d’Épernay a décidé de reprendre l’idée à son compte. Le service municipal des espaces verts planche ainsi sur le repérage de petites parcelles, à travers la ville, qui permettraient de recréer des micro-forêts urbaines. Un concept actuellement à l'étude à Toulouse, lancé à Pau ou à Nantes et au cœur de la campagne pour les élections municipales à Paris.

Cette méthode a été imaginée par le botaniste Akira Miyawaki, spécialiste mondial de la restauration d’une végétation naturelle dans les milieux dégradés, tels les villes, le péri-urbain ou les zones industrielles. La méthode Miyawaki consiste a recréer des poumons verts à l’intérieur des villes ou de reforester en zones rurales, en replantant une forêt native à partir de plantes locales indigènes. Elle nécessite, notamment, de planter un grand nombre de graines d’essences natives et diversifiées ainsi

Une micro‐forêt urbaine peut être installée sur une petite surface, à partir de 100 m2. © Illustration l'Hebdo du Vendredi

qu’une plantation aléatoire et très dense pour de 100 à 3 000 m2. La méthode du botaniste nippon est souvent résucopier le mécanisme naturel des forêts, qui préfèrent Trouver des terrains mée par ces trois chiffres : fois plus rapide, 30 fois la diversité à la monoculadéquats à Épernay 10 plus dense, 100 fois plus ture. L’idée est de planter de biodiversité qu’une beaucoup, trois à cinq arbres au mètre carré, sur des petites surfaces, forêt traditionnelle.

Après plantation, un suivi est nécessaire : les jeunes arbres doublent leur taille en une année, et ce, tous les ans, la forêt est entièrement autonome et n’a plus besoin d’entretien après 3 ans, une canopée fermée est atteinte en 5 ans et une forêt adulte en 20 ans. Tout cela dans le but de rafraîchir les lieux de vie urbains grâce à l’ombre des arbres, l’augmentation de l’humidité et la purification de l’air par le stockage du CO2. « Le projet de micro-forêt urbaine a remporté le plus de votes lors du budget participatif et a fait naître l’idée de l’étendre à d’autres lieux d’Épernay, explique Jonathan Rodrigues, adjoint au maire en charge du développement durable. Maintenant, il faut trouver des terrains et des endroits où les planter. » En plus de ce projet qui en est à ses balbutiements, l’agglomération d’Épernay prévoit également, dans le cadre de son plan Ambition climat 2025, de planter, d’ici cinq ans, 100 000 arbres et haies sur le territoire de l’agglo, dont 20 000 dans la capitale du champagne. Il faudra au moins cela pour endiguer le réchauffement climatique qui pourrait faire augmenter la température moyenne de la Terre de 1,5 à 6° C, d’ici 2100.

Simon Ksiazenicki

Commerce

La nouvelle vie du Bois Joli

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l n’aura fallu que quelques mois au célèbre restaurant Le Bois joli, situé le long de la D951, sur les hauteurs de la Montagne de Reims, pour trouver un repreneur. En liquidation judiciaire en octobre dernier, l’ancienne auberge de la moitié du XXe siècle a rapidement retrouvé des couleurs grâce au nouveau gérant, Dominique, et son équipe de sept personnes, ravis de pouvoir démarrer avec un établissement Le restaurant a rouvert ses portes il y a une semaine avec une entièrement rénové, il y a peu, nouvelle équipe à sa tête. © l'Hebdo du Vendredi par les anciens gérants. Doté d’une belle expérience dans la haute gastronomie, ce sympathique chef a voulu imposer, dès son ouverture, le 29 janvier, son credo : « convivialité, bonne humeur, détente. » « L’objectif n’est pas de concurrencer le Royal Champagne mais de proposer une cuisine généreuse et soignée, au sein d’un lieu accueillant et chaleureux. On veut apporter une ambiance décontractée et pas quelque chose de trop guindé », explique le nouveau chef. La carte doit également répondre à cet esprit, avec un menu à 15 € le midi et à 24 € le soir.

En plus des 130 couverts de la partie restaurant, l’espace bar a aussi vocation à se développer, grâce à des animations musicales et gourmandes qui seront assurées tous les jeudis, vendredis et samedis. Sans oublier un après-midi dansant par mois et, au retour des beaux jours, le déploiement d’une terrasse de 80 places et d’un grand barbecue. Une proposition différente qui doit permettre d’éviter les écueils qu'a connus l’ancien Bois joli. « Avec 17 000 véhicules qui circulent chaque jour entre Reims et Épernay et un grand parking pour accueillir les bus et les touristes, il y a un beau potentiel », estime Dominique. En tout cas, la concurrence est réduite dans le secteur.

S.K

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Société

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EN BREF

Commerce

La bouquinerie itinérante se fixe Après un an et demi passé au volant d'une librairie itinérante de livres d'occasion, deux amies ouvrent, ce vendredi, Escale en bord de page, une bouquinerie en centre-ville d’Epernay.

Le lycée polyvalent Stéphane-Hessel d’Épernay ouvre ses portes au public, ce samedi 8 février, de 8 h 30 à 12 h. Les sites Godart Roger (8, rue Godart-Roger) et Léon Bourgeois (29, avenue de Champagne) présenteront leurs formations. Infos : 03 26 53 30 55, 03 26 55 26 94 et lycee-hessel.fr.

Un livret de recettes pour la Montagne de Reims

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e commerce de livres anciens et d’occasion existe depuis des siècles mais l’importance prise ces dernières années par le commerce de seconde main a donné une idée à Camille et Anne-Sophie, deux Sparnaciennes passionnées de littérature. À l’été 2018, elles ont lancé Escale en bord de page, une bouquinerie itinérante qui allait sillonner les routes du bassin sparnacien pour offrir une deuxième vie à des milliers de livres. En parallèle, les jeunes femmes lançaient une gamme d’accessoires faits main autour du livre, qui rencontrait, elle aussi, le succès. « Ça a pris une belle ampleur mais on était bloqué avec notre camion et on n’était pas vraiment à notre place sur les marchés, explique Camille, ancienne libraire. On voulait un atelier pour nos créations mais aussi un lieu de vie pour apporter de la proximité aux gens. » C’est ainsi qu’Escale en bord de page a posé ses amarres au 16, rue du Docteur Verron, à la place d’une bijouterie qui a récemment baissé le rideau.

Grâce à « une belle offre commerciale » pour ce local récemment rénové et malgré « des services de la ville pas très réceptifs », Camille et AnneSophie ouvriront, ce vendredi, à partir de

Portes ouvertes au lycée Stéphane-Hessel

Le Parc naturel régional de la Montagne de Reims a lancé une collecte auprès des habitants dans le but de créer un livret de recettes de cuisine du territoire.

Réponse souhaitée avant le samedi 15 février.

Infos : e.renoir-sibler@parc-montagnedereims.fr.

Pour tout savoir sur les métiers du bâtiment

Anne‐Sophie et Camille ont posé leurs valises (et leurs livres !) rue du Docteur Verron. © l'Hebdo du Vendredi

14 heures, la première bouquinerie d’Épernay.

Au programme, 2 500 à 3 000 livres d’occasion issus de dons, quelques ouvrages neufs édités par de petites maisons ou autoédités, des accessoires pour livres faits main mais aussi, ponctuellement, un club de lecture, des dédicaces, des lectures pour enfants, des ateliers de création… « Pour les beaux jours, on continuera la bouquinerie itinérante sur des événements ponctuels, comme des festivals, détaille Anne-Sophie. On tiendra à jour un calendrier en boutique et sur internet. » Sur les réseaux, Escale en bord de page a d'ail-

Premiers coups de pelle pour le Burger King

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haque jour, depuis le début de l'année, des milliers d'automobilistes ont pu constater le démarrage d'un grand chantier du côté de l'entrée Nord d'Épernay. La petite maison isolée le long du giratoire de l’allée de Cumières a disparu et ce sont désormais des travaux de terrassement qui vont bon train sur ce terrain de 3 500 m2, qui accueillera, d’ici le 15 juin prochain, un restaurant Burger King. Comme dans les quelque 300 établisse- L'ouverture du fast food est prévue pour la mi‐juin. ment BK (prononcez « bikey ») © l'Hebdo du Vendredi de France, celui-ci sera doté d’un parking et d’un drive et devrait permettre de créer 50 emplois. « Ce projet est une bonne chose pour la vie à Épernay et pour ce quartier d’entrée de ville qui était un peu triste et qui va reprendre un coup de jeune », assure, logiquement, l’homme à la tête de ce projet, Éric Dujourd'hui, un entrepreneur marnais multi-franchisé.

Ce septième BK de la Marne se retrouvera à quelques encablures de son meilleur ennemi, McDonald’s.

Une situation assez courante. « On a le même cas de figure à Murigny et Cormontreuil. Au début, il y a toujours une petite baisse (moins de 15 % d’activité la première année, selon McDonald’s) mais ensuite, McDonald’s reprend toujours très rapidement sa place de leader mondial incontesté du fast-food. Les gens aiment bien varier et je ne suis inquiet ni pour nous, ni pour McDonalds », explique Éric Dujourd’hui, qui se réjouit de pouvoir accueillir prochainement, dans son futur établissement, les joueurs de foot du Racing club Épernay Champagne et leurs proches, dont le stade Paul-Chandon se trouve à un jet de pierre. Il faut dire que l’entrepreneur sparnacien n’est autre que… le président du Racing !

S.K

leurs réussi à fédérer une communauté de près de 9 000 membres. « Le marché de la seconde main a pris une belle ampleur et les gens ont même pris l’habitude de nous rapporter des livres qu’ils nous avaient achetés. C’est une démarche solidaire, qui peut parfois même devenir amicale, qu’on retrouve dans le milieu du livre », se réjouit Camille. Rendez-vous dès ce vendredi aprèsmidi – « Il y aura des bonbons et des gâteaux ! », s’amusent les deux amies – pour retrouver cet esprit convivial.

Simon Ksiazenicki

L’agence Pôle emploi d’Épernay et la maison de l’emploi et des métiers organisent une animation autour des métiers du bâtiment avec la présence de différents acteurs du secteur qui seront présents pour apporter des informations et répondre aux différentes questions.

Le rendez-vous aura lieu ce mardi 11 février, de 13 h 30 à 16 h 30, à l’agence Pôle emploi, 2, rue Marcel-Paul à Épernay.

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Média

Un vaisseau amiral pour L'Union et Champagne FM

Conçu par l'architecte Philippe Zulaica, le « Rossel Media Factory » accueillera environ 200 collaborateurs. © Thiénot Ballan Zulaica architectes

À Reims dans la zone Colbert, le groupe de presse belge Rossel fait construire un nouveau siège pour ses titres champenois. Baptisé Rossel media factory, sa livraison est attendue à la fin de l'année.

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l y a des pierres plus symboliques que d'autres. Celle posée cette semaine par les dirigeants du groupe Rossel, accompagnés pour l'occasion par quelques élus locaux, l'est à double titre. D'abord parce que le chantier a débuté il y a déjà plusieurs mois, mais surtout parce que ce projet doit permettre au pôle Est médias du

Au vu de l'avancée du chantier, Daniel Picault, directeur général de Rossel Est médias, a posé, lundi, une brique très symbolique. © l'Hebdo du Vendredi

groupe, qui compte dans ses rangs, en plus de séparent les premiers coups de crayons de l'ouL'Union et de Champagne FM, les titres L'Arverture, prévue en fin d'année. Ce qui n'arrive jadennais, L'Est éclair et Libération Champagne, mais. » Avec une superficie d'environ 2 000 m2, le Rossel media factory représente un investissed'entrer dans une nouvelle ère. Adossé à l'imprimerie, ce bâtiment présente trois caractéristiques ment de 4 millions d'euros. Il accueillera les équipes de la rédaction, des particulières selon son arcommerciaux et des admichitecte Philippe Zulaica.

Des espaces pour le nistratifs du journal « Premièrement, il faut y public et des startups L'Union, ainsi que celle trafaire cohabiter différents vaillant pour la radio supports d'information : journal papier, web, radio et demain, peut-être, Champagne FM, soit environ 200 collaborateurs, télé. Ensuite, sur un plan environnemental, nous aujourd'hui répartis sur plusieurs sites à Reims. avons réutilisé des matériaux des constructions Conçu comme un lieu de travail et de vie, ce nouexistantes afin d'éviter le gaspillage. Enfin, il y a veau siège doit être le symbole de la stratégie du les délais, très courts, puisque moins de trois ans groupe. « Nous sommes à un moment de l'histoire

où il faut nous réinventer », assure ainsi Daniel Picault, directeur général de Rossel Est médias.

Et pour négocier au mieux ce virage, marqué par la révolution digitale et la part grandissante de l'information sur les supports numériques au détriment du papier, ce futur siège se veut donc ouvert au maximum sur l'extérieur, tant d'un point de vue architectural que fonctionnel. En plus des salles et bureaux dédiés aux rédactions, le siège pourra ainsi recevoir le public pour des conférences, forums ou concerts. De même, un espace de 200 m2 est également prévu pour accueillir des startups, « pour se nourrir les uns les autres et impulser les innovations ».

Julien Debant

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Numérique

Profession : écrivaine publique Les habitants peuvent désormais être accompagnés dans leurs démarches en ligne grâce à des permanences proposées à Reims, Epernay et Châlons. Rencontre avec Marie Bellecave, l'une des cinq écrivaines publiques missionnées sur ce service.

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epuis le début de l'année, cinq écrivaines publiques sont missionnées par le Conseil départemental à Reims, Epernay et Châlons pour aiguiller les usagers dans leurs démarches administratives numériques. Et uniquement numériques. « On pense parfois qu'on écrit des livres, mais ce n'est pas le cas, sourit Marie Bellecave, qui se partage entre les bibliothèques et les centres socio-culturels châlonnais. Nous sommes là pour guider les gens, pour leur faciliter les choses. » Pas question d'effectuer lesdites démarches à leur place, donc. « Le maître-mot, c'est l'accompagnement vers l'autonomie. Ils doivent ensuite pouvoir se débrouiller seuls. » De même, les sessions shopping sur la toile, la rédaction de lettres de motivation ou de CV et les réseaux sociaux ne figurent pas au programme. « On peut les conseiller pour la création d'une adresse e-mail par exemple, d'un compte personnel sur les sites institutionnels comme Pôle emploi, la Caisse d'assurance familiale ou la Sécurité sociale. On peut aussi les aider à déclarer un changement de situa-

Marie Bellecave aiguille les usagers châlonnais dans leurs démarches en ligne. © l'Hebdo du Vendredi

tion sur le site des impôts. Je me réfère très souvent au portail service-public, c'est un peu ma baguette magique. Les simulateurs et les aides en ligne sont également de précieux outils vers lesquels on oriente les citoyens. » Tout en les incitant à explorer par eux-mêmes les sites qu'ils découvrent, pour mieux se les approprier.

Marie Bellecave alterne entre ses permanences d'accueil du public et des périodes d'immersion au

sein des structures partenaires. De quoi les connaître davantage et maîtriser leurs outils numériques.

Particularité à Châlons, la municipalité propose un « espace citoyen » accessible depuis le web, qui permet de nombreuses e-démarches. « La création des cartes « Familles » et les inscriptions scolaires, notamment. Plus globalement, c'est un métier au cœur de l'humain, qui nécessite d'être à l'écoute, bienveillante et dans l'empathie. Pourquoi pas en-

visager, dans un second temps et en lien avec les équipes, des ateliers thématiques à destination des administrés. Nous avons aussi un rôle à jouer en matière de prévention et de sensibilisation. » Certains sites publicitaires proposent en effet de réaliser des démarches moyennant finance, alors qu'elles s'avèrent tout bonnement gratuites sur les portails officiels. Ce service sera expérimenté pendant trois ans dans la Marne.

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Société

Du 7 au 13 février 2020>> www.lh ebdoduve ndre di. c o m

Préfecture

Le préfet Denis Conus salue la Marne À 64 ans, après quatre années dans la Marne, le préfet Denis Conus rejoint la capitale pour de nouvelles missions.

Il a vivement salué celles et ceux qu'il a pu rencontrer sur le territoire, ainsi que leur état d'esprit.

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our la 17e fois dans sa carrière, Denis Conus s'est dirigé vers de nouvelles aventures professionnelles. « Beaucoup pensent que je suis en retraite parce que j'ai l'âge pivot », sourit-il. Ce 3 février, il prenait ses fonctions de directeur adjoint à l'Institut des hautes études de la défense nationale (IHEDN). Tout en restant préfet à disposition. « J'ai quitté Paris il y a treize ans. Ma femme et mes enfants y vivent toujours. Le métier de préfet est un métier passionnant et très prenant. » Les quatre dernières années ont donc été intenses. « Avant d'arriver sur ce poste, je connaissais la cathédrale de Reims, Valmy, l'importance de l'agriculture et des militaires. J'ai découvert bien d'autres choses ensuite. » A commencer par la filière champagne, illustrée par ses nombreuses rencontres avec les viticulteurs. Car le représentant de l'Etat attache beaucoup d'importance aux liens tissés avec

national des arts du cirque (Cnac), dont il est fan, ainsi que la venue d'Emmanuel Macron sur les camps militaires de Mourmelon et Suippes, en 2018. « Tout le gratin de l'Armée de terre était là ! Je me rappelle aussi du très grand froid qui régnait. Quand je suis monté dans la voiture du président pour revenir à Châlons, il y faisait très chaud ! » D'un naturel curieux et authentique, Denis Conus ne s'interdit pas les challenges. On le revoit à bord d'un bateau en carton (!), aux côtés de Benoist Apparu, lors de la course insolite organisée par les Pelles châlonnaises, l'an dernier. « Pourquoi un préfet devrait-il s'interdire ces choses-là ? C'était un événement très sympa. Et le fait de le partager avec le maire de la ville-préfecture, ça avait du sens. On s'est donc retrouvé à deux dans ce petit bateau fragile. Le point positif, c'est qu'on a à peu près la même taille et qu'on n'est pas trop gros ! » En revanche, il n'a pas participé à la course en fûts de bière Denis Conus a été le préfet de la Marne pendant quatre ans. © l'Hebdo du Vendredi proposée par le stand Valmy à la foire. « J'y ai toutefois assisté. Conus aurait pu concou« les hommes et les femmes du territoire. J'ai réussites exceptionnelles. » rir, pas le préfet. » Il compte aussi des événe- En lien constant avec les acteurs du terriaussi découvert le tempéraments d'envergure, dont il a toire, les forces de l'ordre et de sécurité, il a ment des Marnais. Des gens Trois visites sérieux, bosseurs, honnêtes et fallu assurer la sécurité. Les oeuvré sur bien d'autres sujets phares tels présidentielles Habits de Lumière d'Epernay, que la sécurité routière, la nouvelle carte inentreprenants. Parfois un peu trop discrets, voire modestes. le marché de Noël de Reims, tercommunale ou encore les violences faites Il existe pourtant dans ce département des sans oublier la foire de Châlons. « Nous aux femmes. « Un véritable fléau, concèdeavons eu entre 80 et 100 visites officielles en t-il. Le grenelle déployé dans la Marne a féquatre ans, dont trois visites présidentielles déré énormément de monde. Les victimes et deux du Premier ministre. C'est très rare ! n'osent pas toujours porter plainte. Le deDans d'autres départements, voir de la société, c'est de on est plutôt sur deux ou leur dire : « vous n'êtes pas Course de bateau seules, nous sommes là trois visites par an. » Et lorsqu’on lui demande pour vous aider. » Ce sont en carton avec quelle inauguration l'a le aussi des faits extrêmement Benoist Apparu plus touché, il cite sans hétraumatisants pour les ensiter celle de la Duduchofants. » Puis de souhaiter thèque, à Châlons. « Cabu, c'est Châlons. Et bon vent au territoire : « La Marne a des Châlons, c'est Cabu. C'est un lieu magni- atouts. Il faut le faire savoir ! » fique, émouvant, qui montre le génie et l'immense talent de Cabu et qui montre à quel Sonia Legendre point assassiner un homme comme lui est une ignominie absolue. » Parmi les souvenirs qu'il évoque à l'heure de 4 Retrouvez l'intégralité de ce portrait ce nouveau départ : les spectacles du Centre sur www.lhebdoduvendredi.com.

Pierre N'Gahane prend sa place

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ierre N'Gahane prenait officiellement ses fonctions de préfet ce lundi 3 février. Chevalier de l’ordre national de la Légion d'honneur et diplômé d'un doctorat en sciences de gestion, il a longtemps œuvré dans le domaine universitaire avant de rejoindre l'administration et de multiplier les expériences : préfet délégué à l'égalité des chances en région ProvenceAlpes-Côte d'Azur, préfet des Le nouveau préfet de la Marne a notamment été référent du Alpes-de-Haute-Provence, des Grand débat national. © l'Hebdo du Vendredi Ardennes puis de la Charente.

En 2013, il était nommé secrétaire général du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation. Dernier poste en date, celui de coordinateur du Grand débat national auprès du gouvernement. « Je lisais une dizaine de rapports chaque semaine, en lien permanent avec les préfets et les élus, précise-t-il. Le terrain m'importe beaucoup. J'ai l'habitude de travailler en confiance pour permettre aux collaborateurs d'être en responsabilité, de prendre parfois des risques pour relever les défis. Et je reste persuadé que la bonne humeur fait de bonnes choses. » Fervent opposant à l'agribashing, Pierre N'Gahane sait les enjeux qui se dessinent sur le territoire marnais. Notamment en matière de sécurité routière. En 2019, 39 personnes sont décédées sur les routes du département. « La prévention est indispensable. Mais il faut aussi, de temps en temps, taper du poing sur la table pour que les conducteurs imprudents lèvent le pied. » Autre challenge à relever : l'accueil, à Châlons, des fonctionnaires parisiens rattachés aux Finances publiques. « Nous n'avons pas d'information précise quant au nombre d'agents concernés. Il faudra les convaincre de quitter Paris pour s'installer ici. » D'un naturel constructif, le représentant de l'Etat entend mener les missions qui lui incombent « dans l'intérêt des citoyens, pour faire en sorte qu'ils sentent que les choses bougent. » Dans le bon sens, idéalement.

S.L

Morceaux choisis de la dernière cérémonie de Denis Conus l « Je connaissais déjà le champagne avant d'arriver dans la Marne, mais pas comme je le connais aujourd'hui. Je l'honorais moins ! »

« Dans d'autres départements, on a deux ou trois visites officielles par an, préparées un mois à l'avance.

Ici, on peut en avoir deux en dix jours ! Le pompon, c'était le ministre de l'Education nationale. On nous a prévenus le dimanche à minuit pour organiser sa venue le mardi ! »

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l « Quand j'étais en poste en Haute-Loire, l'altitude moyenne était de 1000 mètres. La première fois que j'ai entendu parler de la montagne de Reims, je me suis dit : « une montagne ? » En fait, c'est 230 mètres. »

« Si on prenait les rémunérations des élus par rapport au nombre d'heures travaillées, croyez-moi, il y aurait de quoi saisir l'inspection du travail ! »

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« Si j'ai bien compté, je suis le 64e préfet de la Marne depuis 1800. Je suis resté quatre ans. Bon, je n'ai pas battu le record de Bourgeois de Jessaint : lui est resté 38 ans. »

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l « Le premier concours, je ne l'ai pas eu. J'ai eu le deuxième, mais avec l'intention de ne pas faire une carrière administrative. Je suis resté parce que j'ai eu de très bon chefs. »

« Certains pensent qu'un préfet, ça bouge tout le temps. Vous êtes gentils, mais nous ne sommes pas des ordinateurs ! Quatre ans, c'est une vraie tranche de vie. »

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« Vos atouts sont nombreux dans la Marne. Ayez confiance et faites un peu les malins ! »

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Sport

Du 7 au 13 février 2020 >> w w w. l h e b d o d u ve n d re d i. c o m

Football L1 (24e j.) : Strasbourg (9e) - Reims (7e)

Le Stade de Reims maîtrise le turn over Pas épargné par les blessures et les suspensions depuis le début de l'année, le club champenois doit se résoudre à faire tourner son équipe ces dernières semaines.

Avec une réussite certaine.

Q

uand la Ligue de football professionnel a dévoilé la composition du Stade de Reims pour affronter Nice, mercredi, aux alentours de 18 heures, beaucoup ont été surpris par le onze concocté par l’entraîneur rémois, David Guion. Le milieu à trois qui avait fait des merveilles à Angers (1-4), quatre jours plus tôt, et le jeune attaquant malien de 18 ans, El Bilal Touré, buteur surprise en Anjou, laissaient leur place, notamment au revenant Mathieu Cafaro, blessé à une cuisse depuis le début du mois de janvier, et à la recrue néerlandaise Kaj Sierhuis. Finalement, les deux joueurs auront connu une triste soirée, vaincus dès la 10e minute par une blessure au quadriceps droit pour le premier et une douleur à l’ischio-jambier gauche pour le second. Destin cruel… Malgré ce coup du sort, le Stade de Reims a finalement réussi un match cohérent qui lui a valu de partager les points avec les Niçois. « On a subi deux blessures très tôt dans le match qui nous enlèvent des cartouches et ont forcé les entrants à se mettre rapidement au diapason alors qu’ils sont entrés presque à froid, analysait l’adjoint

Mercredi soir, face à Nice, la recrue néerlandaise Kaj Sierhuis, blessée, a dû quitter ses partenaires après seulement dix minutes de jeu. © l'Hebdo du Vendredi

Stéphane Dumont, entraîneur d’un soir Avec un effectif plus large qu’en début de dans le cadre de sa formation au brevet saison, où la compo d’équipe était quasiment inamovible, David d’entraîneur professionnel Guion et son staff ont désde football (BEPF). Il y a un peu de frustration car quand Moreto Cassama ormais plus de possibilités et ils l’ont montré lors de on fait un match quasiment se fait sa place abouti comme celui-ci, on a ces dernières rencontres.

Moreto Cassama en est un envie de prendre les trois points mais on se console rapidement en se exemple probant. Le milieu de poche disant qu’on a fait les choses qu’il fallait (1,65 m, 63 kg), formé au Sporting Portugal en se créant des occasions et en mettant à et à Porto, a profité de ses trois titularisamal notre adversaire. » tions en cinq rencontres pour soulager un

Basket-ball Jeep Elite (22e j.) : Nanterre (7e) - Châlons-Reims (12e)

Simon Ksiazenicki 4 Strasbourg - Reims, dimanche 9 février, à 17 h, au stade de la Meinau et sur beIN Sports.

EN BREF

Double périple pour le CCRB

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e Champagne Châlons-Reims Basket a, comme au match aller, joué les yeux dans les yeux avec Lyon-Villeurbanne, samedi dernier à René-Tys. Mais encore une fois, la défaite a conclu ces 40 minutes (6668), malgré une évaluation collective favorable aux joueurs marnais (74 contre 67). Cette rencontre a aussi été marquée par les premiers pas du nouvel américain Khalif Wyatt, auteur de 7 points et 3 rebonds en 15 minutes.

Un baptême plutôt discret alors que l'habituel titulaire du poste est poussé vers la sortie. Nic Moore, qui affiche 11 points et 3,1 passes décisives de moyenne depuis le début de la saison, Les joueurs du CCRB vont devoir se serrer les coudes sur les parquets n'a en effet pas joué une seule minute de Nanterre et Monaco. © l'Hebdo du Vendredi du match. C'est dans ces conditions que Châlons-Reims se prépare à vivre un double déplacement périlleux en l'espace de quatre jours. Samedi 8 février, l'équipe entraînée par Cédric Heitz joue chez son meilleur ennemi Nanterre. En difficulté en début de saison, la formation de Pascal Donadieu, qui a perdu au match aller face au CCRB (98-91), a depuis redressé la barre pour s'installer dans le top 8 de la division. Mardi 11 février, rendez-vous est pris cette fois sur la Côte d'Azur pour y défier l'armada monégasque, 2e du classement et leader de son groupe en Eurocup. En championnat, l'équipe de Monaco est invaincue sur son parquet depuis plus d'un an et une défaite en novembre 2018 contre Levallois.

J.D 4 Prochain match à domicile : Châlons-Reims - Limoges, vendredi 28 février à Châlons.

Alaixys Romao fatigué et offrir un registre différent dans le cœur du jeu. « Il fallait trouver de l’enthousiasme et de la fraîcheur à un moment où nous en manquions. Moreto nous apporte son audace et ses qualités techniques lui permettent de bien ressortir le ballon », a récemment confirmé David Guion, en conférence de presse. Devant aussi, les attaquants et ailiers ont pas mal tourné ces derniers temps. La méforme d’Anastasios Donis, frappante face à Metz (0-1), il y a deux semaines, a forcé le technicien rémois à sortir de son chapeau le jeune El Bilal Touré. Et le Malien l’a remercié en marquant, face à Angers, lors de sa première titularisation. Quatre jours plus tard face à Nice, Dereck Kutesa et surtout Nathanaël Mbuku ont apporté des choses intéressantes en suppléant rapidement les deux blessés précités (Sierhuis et Cafaro). « Ils ont su répondre présents, estimait Stéphane Dumont. C’est une bonne nouvelle, il y a de l’émulation. On voit que tout le monde a sa chance et surtout, que les joueurs la saisissent. » Dimanche aprèsmidi à Strasbourg (9e), le Stade de Reims (7e) affichera encore un onze différent de celui de Nice. Avec quelle réussite ? Aux entrants de la provoquer.

Football D1F : du lourd avant la Coupe pour les Rémoises Le week-end dernier, l’équipe féminine du Stade de Reims s’est brillamment qualifiée pour les quarts de finale de la Coupe de France en disposant de l’équipe de deuxième division CA Paris 14 (0-8). Avant d’affronter Guingamp (D1F) en quart de finale, le 16 février, les Rémoises (9es) ont rendez-vous avec le championnat et une belle équipe de Montpellier (4e), ce samedi 8 février, à 14 h 30, au stade Louis-Blériot.

Basket-ball LF2 : Reims se remet la tête à l'endroit En pause ce week-end, en raison de la tenue du tournoi qualificatif pour les Jeux Olympiques qui se déroule à Bourges, avec bien sûr en lice l'équipe de France féminine, le championnat de LF2 reprendra ses droits le 15 février. Reims (2e) se déplacera à cette occasion sur le parquet de Chartres (8e). En attendant, l'équipe rémoise profite de cette trêve pour se remettre physiquement et surtout mentalement de la défaite subie à domicile, le week-end dernier, lors du match au sommet face à Aulnoye (68-70). Un premier échec cette saison à la maison, alors que René-Tys affichait complet.

Roller hockey Élite : difficile déplacement pour les Bombardiers Après deux roustes logiques subies face à Villeneuve-la-Garenne puis Rethel, l’équipe de roller hockey d’Épernay se déplace chez un nouvel adversaire redoutable, les Yéti’s de Grenoble (3e), ce samedi 8 février, 19 h 30. Avec seulement deux victoires, les Bombardiers (8es) restent sous la menace des 9es et avant-derniers, les Corsaires de Paris XIII.

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Sorties

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Concert - Le Millesium

Spectacle - Le Millesium

Ninho, du rap et des chiffres

Messmer l'hypnotiseur s'empare des cinq sens

lus d’un milliard de vues sur Youtube. Voilà qui pourrait résumer la brève mais déjà fulgurante carrière du jeune Ninho. Originaire de l’Essonne, le rappeur de 23 ans n’a pas de temps à perdre. Depuis la sortie de « M.I.L.S » (Maintenant ils le savent), sa quatrième mixtape, en 2016, les bons chiffres s’enchaînent. Son premier disque, « Comme prévu », n’a mis que 7 mois à décrocher trois disques de platine (plus de 300 000 ventes) Le jeune rappeur de l'Essonne compte déjà et le second, « Destin », paru en 62 singles d'or... © Fifou mars dernier, a déjà connu le même... destin. Le moindre de ses sons fait un carton sur les plateformes de streaming et il est ainsi le premier rappeur français a avoir dépassé la barre des 50 singles d’or.

Inséparable de sa casquette et de ses lunettes de soleil, Ninho rappe depuis qu’il a 13 ans. Brillant freestyleur, il raconte son quotidien au quartier, ses activités illicites mais aussi l’envers du décor, avec des textes forts. Il sait également exploiter le bon filon du rap dansant, de l’afrotrap, qui séduit notamment les jeunes femmes. Cause ou conséquence de son succès, Ninho a également réussi de nombreuses collaborations avec les meilleurs rappeurs du game : Sofiane, Lacrim, MHD, Nekfeu, SCH, Jul, Soprano, Niska… Ninho est même annoncé prochainement avec l’un des rappeurs les plus bankables du moment : le Belge Damso. Inutile de dire que si ce morceau devait voir le jour, il ne tarderait pas à offrir, au rappeur du 91, un nouveau single certifié.

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S.K 4 Ninho, samedi 8 février, 20 h, Le Millesium, Épernay. Tarifs : 36 et 47 €. Infos : lemillesium.com.

epuis 2007 et la tournée de son premier spectacle, l’artiste québécois Messmer s’est imposé comme le spécialiste de l’hypnose mais également comme un véritable showman. Aussi bien à la télévision, avec l’émission « Star sous hypnose », diffusée depuis 2014, que sur scène, avec désormais quatre spectacles qui ont séduit plus d’un million de spectateurs en Avec « Hypersensoriel », l'hypnotiseur canadien livre Europe et au Canada. son quatrième spectacle. © Eric Myre Ce dimanche 9 février, sur la scène du Millesium d’Épernay, l’hypnotiseur livrera « Hypersensoriel », un spectacle démarré en 2017.

Dans ce nouveau show, « Le Fascinateur » se targue de mettre à profit les cinq sens du public à travers de nouvelles expériences et aventures scéniques. Comme lors de chacun de ses spectacles, l’hypnotiseur canadien invitera une vingtaine de personnes à monter sur la scène du Millesium. Après avoir « éliminé » les spectateurs les moins réceptifs à l’hypnose qui pourraient gâcher la fête, il fera parler ses talents sur ses « cobayes », prêts à s’envoler ou se transformer en rock star. La nouveauté de ce spectacle, c’est l’apparition de la réalité virtuelle qui permet à Messmer de faire voyager le public un peu plus loin, à la découverte de ses cinq sens.

S.K 4 « Hypersensoriel » de Messmer, dimanche 9 février, à 16 h 30, Le Millesium, Épernay.

Tarifs : 44,50 à 64 €. Infos : lemillesium.com.

Chiner

À venir CONCERTS SAMEDI 8 FÉVRIER NINHO - LE MILLESIUM

SPECTACLES DIMANCHE 9 FÉVRIER HYPNOSE : MESSMER - LE MILLESIUM

Le jeune rappeur originaire de l’Île-de-France multiplie, depuis 2016, les succès en solo et surtout en collaboration avec d’autres rappeurs. À 20 h, Le Millesium, Épernay. Tarifs : 36 et 47 €.

Le célèbre artiste hypnotiseur canadien Messmer reviendra pour la seconde fois en autant d’années à Épernay avec un nouveau spectacle, « Hypersensoriel ». À 16 h 30, Le Millesium, Épernay. Tarifs : 44,50 à 64 €.

DIMANCHE 9 FÉVRIER OFFENBACH : CONCERT-SPECTACLE - ÉPERNAY

MARDI 11 FÉVRIER THÉÂTRE : « JULES CÉSAR » - LE SALMANAZAR

Infos : lemillesium.com.

Infos : lemillesium.com.

Dans cette tragédie, William Shakespeare interroge sur l’action politique et l’exercice destructeur du pouvoir. La compagnie Mangeront-ils ? revisite ce classique encore d’actualité avec sobriété et efficacité. À 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, place Mendès-France, Épernay. Durée : 1 h 30. Tarifs : 9 à 25,50 €.

JEUDI 13 FÉVRIER [SH] SHERLOCK HOLMES, SON DERNIER COUP D’ARCHET - AŸ

La soprano Raquel Camarinha rend hommage à Offenbach aux côtés du grand pianiste Yoan Héreau et du génial violoncelliste Henri Demarquette. Un projet porté par l’association Les Concerts de poche qui œuvre pour apporter des spectacles de grande qualité dans des lieux parfois éloignés des pratiques culturelles. À 16 h, salle Odile-Kopp, 1, avenue de Middelkerke, Épernay.

Tarif : 5 et 10 €. Infos : 06 76 61 83 91 et concertsdepoche.com.

JEUDI 13 FÉVRIER « LE VIOLON ET LE MERVEILLEUX » LE SALMANAZAR

Ancien membre de l’Orchestre de l’Opéra de Paris, puis soliste de l’Orchestre national de France, Patrice Fontanarosa offre à tout un chacun le plaisir de découvrir la musique classique des Berlioz, Saint-Saëns, Debussy… À 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, place Mendès-France, Épernay. Durée : 1 h 10 avec entracte. Tarifs : 9 à 25,50 €.

La compagnie des Ô revisite la mort de Sherlock Holmes, une fin soigneusement préméditée par le plus célèbre des détectives. À 19 h, MJC d’Aÿ, 5, rue de la Liberté. Durée : 1 h 10. Tarifs : 5 et 8 €.

CONFÉRENCES SAMEDI 8 FÉVRIER RENCONTRE AUTOUR DE LA REVUE « APULÉE » - L’APOSTROPHE

Rencontre avec Hubert Haddad, rédacteur en chef de la revue de littérature et de réflexion « Apulée », dont l’ambition est de parler du monde d’une manière décentrée, nomade et investigatrice, avec pour premier espace d’enjeu l’Afrique et la Méditerranée. À 17 h, librairie l’Apostrophe, 15 bis, rue Saint-Thibault, Épernay.

Entrée libre. Infos : apostrophe-epernay.fr.

LOISIRS SAMEDI 8 FÉVRIER LOTO - DIZY

L’association des parents d’élèves de Dizy organise un loto.

À gagner, notamment, un robot multicuiseur, une tablette tactile, un téléviseur, une caméra… À 19 h, salle des fêtes, 256, rue du Colonel Fabien, Dizy.

Infos : 07 67 60 39 96.

SAMEDI 8 FÉVRIER SOIRÉE SOLIDAIRE - ÉPERNAY

L’association Épernay-Jumelages organise une soirée solidaire pour la ville jumelle de Fada N’Gourma, touchée le 14 janvier dernier par un attentat. À 20 h, palais des fêtes, parc Roger-Menu, Épernay. Entrée libre.

DU VENDREDI 14 AU DIMANCHE 16 FÉVRIER SALON : VOYAGES ET SAVEURS - REIMS

Reims events a regroupé trois de ses salons (Tourismez-vous ?, Du Bon et du Goût et le Salon du Chocolat) pour en proposer un plus grand autour de la thématique : Et si on se faisait plaisir ?

Ven de 11 h à 21 h, sam de 10 h à 19 h et dim de 10 h à 18h Entrée : 5€ (gratuit pour les moins de 16 ans) Parc des expositions, Reims DU MERCREDI 19 FÉVRIER AU DIMANCHE 1 MARS GIANT PARK - REIMS

SAMEDI 8 FÉVRIER CORMONTREUIL - VIDE-POUSSETTES

9h-16h - Salle polyvalente, boulevard d'Alsace Lorraine DIMANCHE 9 FÉVRIER BAZANCOURT BOURSE TOUTES COLLECTIONS 8h-17h - Entrée : 1,5€ - Salle Michel Prevoteau MARCILLY-SUR-SEINE - BOURSE TOUTES COLLECTIONS 8h-18h - Salle Virgile Henry,

Un parc d’attractions indoor géant à destination des enfants.

rue du Fossé de Braux

Tous les jours de 11 h à 18 h (dès 10 les mercredis, samedis et dimanches) - Tarifs : adulte € , enfant 12,5€ (gratuit pour les moins de 3 ans) - Parc des expositions, Reims

9h-18h - Face à l'église

CINÉMA SAMEDI 8 FÉVRIER AVANT-PREMIÈRE : « DIVORCE CLUB » - LE PALACE

Après 5 ans de mariage, Ben découvre que sa femme le trompe. Abattu, il croise le chemin de Patrick, lui aussi divorcé. Bientôt rejoints par d’autres, les fêtards ébauchent les premières règles du Divorce club. En présence du réalisateur Michaël Youn et de l’acteur François-Xavier Demaison. À 19 h, cinéma Le Palace, 33, boulevard de la Motte, Épernay.

Durée : 1 h 59. Tarifs : 5 à 9,50 €. Infos : le-palace.fr.

MONTMORT-LUCY - VIDE-MAISON REIMS - VIDE-GRENIERS

7h30-17h30 - Salle Goulin, 6, rue de la Neuvillette REIMS - MARCHÉ AUX LIVRES

8h-17h - Halles du Boulingrin

MARDI 11 FÉVRIER REIMS - BOURSE AUX VÊTEMENTS

9h-16h - Service du vêtements, 19-25, rue du Jard

DIMANCHE 16 FÉVRIER EPERNAY - VIDE-GRENIERS A partir de 7h

Esplanade Charles de Gaulle

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Sorties

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Concert - Le Salmanazar

EN BREF « Jules César », victime des intrigues politiques

Le virtuose du violon

Frédéric François attendu au Leclerc de Dizy

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ans le petit monde artistique, le nom de Fontanarosa fait autorité. Il y a les parents, Annette et Lucien, deux artistes peintres parisiens reconnus du XXe siècle, et les enfants, Frédérique la pianiste, Renaud le violoncelliste et celui qui nous intéresse ici, Patrice, le violoniste. Aujourd’hui âgé de 77 ans, il est l’un des plus illustres représentants français de l’instrument à cordes frottées qui a brillé au sein du trio familial, le bien nommé Trio Fontanarosa, en tant que membre de l'Orchestre de Patrice Fontanarosa, l'un des plus illustres violonistes de notre l'Opéra de Paris, puis en qualité de époque. © Caroline Doutre violon solo dans l'Orchestre national de France. En parallèle, Patrice Fontanarosa a mené une carrière de professeur au Conservatoire de Paris et a régulièrement siégé dans le jury des plus grands concours internationaux. Surtout, il donne, depuis les années 1980, des spectacles qui dépoussièrent le répertoire classique et rendent celui-ci au grand public, hors des salles de concert traditionnelles. « Qui mieux que la musique peut faire vibrer les cœurs ? S'ils en ont envie, nul besoin de s'y connaître, il suffit de se laisser porter. Artiste, ta raison d'être ne se justifie que par ta capacité à faire aimer », exhorte Patrice Fontanarosa. Avec « Le Violon et le merveilleux », lui et sa pianiste de fille, Stéphanie, inviteront le public sparnacien à un parcours musical inspiré des contes et légendes, sur les traces de célèbres musiciens que sont Schumann, Berlioz, SaintSaëns, Debussy. Le spectacle d’un grand virtuose qui n'a pas oublié de rester accessible.

S.K 4 « Le Violon et le merveilleux » de Patrice Fontanarosa, jeudi 13 février, à 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, place Mendès-France, Épernay. Durée : 1 h 10, avec entracte.

Tarifs : 9 à 25,50 €. Infos : lesalmanazar.fr.

Théâtre - Médiathèque

Récits émouvants de réfugiés sparnaciens

L

a compagnie de théâtre Le Diable à 4 pattes, toujours animée par l'ambition de créer du lien social entre les professionnels du théâtre et les habitants du territoire, mène un nouveau projet au cœur des quartiers prioritaires d'Épernay. Avec Récits de vie, une dizaine d’étrangers habitant la capitale du champagne ont ainsi participé à un atelier d'écriture de 20 heures qui a permis de récolter des tranches de vie de ces personnes issues Ces ateliers d'écriture menés à Épernay ont permis à certains d’horizons divers. « À partir de réfugiés de découvrir la langue française. © Le Diable à 4 souvenirs extrêmement simples, pattes nous sommes arrivés à des textes très émouvants qui racontent des choses très belles, très intenses », décrit Bernard Weber, dramaturge qui a pris sous son aile ces auteurs en herbe dont le français n’est pas la langue maternelle. En témoignent notamment une Australienne et une Portugaise, installées depuis plusieurs années dans notre pays, mais aussi des réfugiés d'Azerbaïdjan, d'Angola, d'Éthiopie ou de Syrie, arrivés il y a seulement quelques mois.

Ces derniers ont tous quitté leur pays natal contre leur gré, comme ce jeune garçon, chassé de Côte d’Ivoire par un assassin qui menaçait sa famille. Quand Bernard Weber a demandé au groupe de raconter son meilleur ou son pire voyage, certains ont parlé de leur émerveillement devant La Mecque ou les rues de Paris. Mais le jeune Ivoirien, lui, s'est souvenu de sa traversée de l’Afrique de l’Ouest, de la Libye et de la Méditerranée, dans des conditions forcément délétères. « On sent de la nostalgie vis-à-vis de tout ce qu'ils ont dû quitter mais ils sont restés très pudiques sur les raisons de leur départ », explique Bernard Weber. Des « Récits de vie » qui seront restitués par des comédiens du Diable à 4 pattes ce jeudi 13 février, à partir de 15 h, à la médiathèque Simone-Veil d’Épernay.

S.K

Si l’on retient surtout des ides de mars de 44 avant Jésus-Christ l’assassinat de Jules César dans la Curie de Pompée, il y a beaucoup à dire sur ce complot fomenté par plusieurs sénateurs romains.

C’est cet épisode décisif de l'Antiquité occidentale que réveille William Shakespeare, en 1599, lorsqu’il écrit « Jules César », une tragédie qui condense, en une seule journée, les prémices et les conséquences de ce coup de force. Ce texte explore également les jeux politiques et l’exercice du pouvoir et reste donc véritablement d’actualité. À travers une mise en scène économe et sombre, exhumant avec justesse cette journée des dupes, la compagnie de théâtre rémoise Mangeront-ils ? s’est emparée avec force de cette histoire, qu'elle présentera sur la scène du théâtre Gabrielle-Dorziat d'Épernay, ce mardi 11 février, à 20 h 30. Durée : 1h 30.

Tarifs : 9 à 25,50 €.

L’hypermarché E. Leclerc de Dizy accueillera, ce samedi 8 février, à partir de 14 h 30, le chanteur Frédéric François, au sein de son espace culturel. Il dédicacera son nouveau best-of « L’Album anniversaire », sorti le 31 janvier dernier, ainsi que son précédent disque, « Juste un peu d’amour ». Depuis ses débuts en 1966, le natif de Sicile a composé 350 chansons en quatre langues et vendu plus de 15 millions de disques.

Emmaüs Tours-sur-Marne sort le champagne Les compagnons et les amis d'Emmaüs de Tours-sur-Marne organisent une grande vente consacrée aux objets qui évoquent le raisin et/ou le champagne (déco, pratique, collection…), ce samedi 8 février, de 14 h à 17 h 30, dans leurs locaux du 6, rue Saint-Antoine. Comme chaque deuxième samedi du mois, les stands mercerie et rétro seront ouverts à la vente. Infos : 03 26 58 61 81.

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Sorties

Du 7 au 13 février 2020 >> www.lh ebdoduve ndre di. c o m

Cinéma - Épernay

Humour - Châlons

Michaël Youn et François- Franck Dubosc, Xavier Demaison au Palace éternel show-man

L

e cinéma d’Épernay continue de fêter son centenaire en proposant une toute nouvelle soirée exceptionnelle au public sparnacien.

Après avoir accueilli le réalisateur Michel Hazanavicius et l’actrice Bérénice Béjo dans le cadre de la projection de leur dernier film, « Le Prince oublié », Le Palace a convié, ce samedi 8 février, à 19 h, l’équipe de la comédie « Divorce club ». Son réa- Arnaud Ducret et François‐Xavier Demaison lisateur, Michaël Youn, sont à l'affiche de « Divorce club ». © DR ainsi que l’un des acteurs principaux, François-Xavier Demaison, seront présents à Épernay pour échanger avec le public avant la diffusion du film.

Celui-ci raconte l’histoire de Ben (Arnaud Ducret), un quadragénaire qui découvre, après 5 ans de mariage, que sa femme le trompe. Abattu et seul, il invite Patrick (François-Xavier Demaison), un ami divorcé qui, lui, profite à fond de son célibat, à emménager chez lui. Ensemble, ils vont fonder le Divorce club, sur le modèle du Fight club mais avec plus de fête et moins de bagarre, et seront bientôt rejoints par toute une tribu de quadragénaires fêtards.

Derrière ce synopsis un peu simpliste semble se cacher une histoire déjantée et originale puisque « Divorce club » a décroché le grand prix du festival du film de comédie de l’Alpe d’Huez et le prix du jury presse des Globes, le mois dernier. Le film sortira en salles le 25 mars.

S.K

4 « Divorce club » en avant-première, samedi 8 février, à 19 h, cinéma Le Palace,

O

n se souvient de ses débuts dans Les petites annonces, aux côtés d'Elie Semoun, et de Patrick Chirac, qu'il a incarné avec maestro dans la trilogie de Camping. Depuis, il a multiplié les rôles, les collaborations artistiques et les spectacles, jusqu'à réaliser son premier film, Tout le monde debout, l'année passée. Franck Dubosc a soufflé sa 56e bougie en novembre, mais il n'a perdu ni son bagout, ni son humour. Encore moins son amour de la scène. Intitulé « Fifty-fifty » en clin d'oeil au cap des cinquante ans, son dernier - et cinquième - one-man- Sur scène, Franck Dubosc évoque avec sincérité et humour show fait un carton. La recette du son quotidien de papa quinquagénaire. © Carole Bellaiche succès ? Il aborde sans tabou et avec beaucoup de sincérité sa vision du temps qui passe. L'apparition des rides, les enfants qui grandissent, les visites chez le proctologue, etc. Et s'il se revendique volontiers « jeune papa poule », Dubosc n'oublie pas le personnage qu'il a créé et fait évoluer : un éternel séducteur au sourire ravageur, un brin frimeur, jamais vulgaire. Ou alors très rarement. Mais pour ce nouvel opus, le comédien « chouchou » des Français s'est clairement inspiré de son quotidien. La vie, la vraie. Il évoque ses enfants, son épouse et ses proches.

C'est donc un moment à la fois drôle et introspectif qu'il partage, pour le plus grand bonheur avec son public.

Sonia Legendre

4 Franck Dubosc, « Fifty-fifty », samedi 8 février à 20 h, Capitole en Champagne Tarifs : de 39 à 49 € – Infos : www.lecapitole-en-champagne.fr.

33, boulevard de la Motte, Épernay. Tarifs : 5 à 9,50 €. Infos : le-palace.fr.

Cirque – Châlons

Cinéma LE PALACE 33, boulevard de la Motte - Épernay - 03 26 51 82 42 Du 7 au 11 février 2020 #JESUISLÀ ven 14:30, 18:00, 20:45 sam 14:00, 16:00, 18:00, 20:15 dim 17:30, 20:00 lun 14:30,

18:00, 20:45 mar 14:30, 18:00, 20:45 1917 sam 18:00, 22:15 (VO) dim 10:30, 17:30 (VO) lun 14:30 mar 20:30 BAD BOYS FOR LIFE ven 18:00, 20:30 sam 14:00, 16:30, 19:45 dim 14:45, 20:00 lun 18:00, 20:30

mar 14:30, 18:00 BIRDS OF PREY ET LA FANTABULEUSE HISTOIRE DE HARLEY QUINN ven 14:30, 18:00, 20:30 sam

14:15, 17:00, 22:00 dim 10:30, 14:45, 17:30, 20:00 lun 14:30, 18:00, 20:30 mar 14:30, 18:00, 20:30 DIVORCE CLUB sam 19:30 DUCOBU 3 ven 14:30, 18:00, 20:45 sam 14:00, 20:30, 22:30 dim 10:45, 14:30, 16:30, 18:30, 20:30

lun 16:00, 20:45 mar 18:00, 20:45 JE VOUDRAIS QUE QUELQU'UN M'ATTENDE QUELQUE PART sam 22:30 dim 14:30, 16:30 mar

18:00 L'ESPRIT DE FAMILLE ven 20:30 sam 16:15 dim 10:30, 20:45 lun 18:00 LA BATAILLE GÉANTE DE BOULES DE NEIGE 2 : L'INCROYABLE COURSE DE LUGE sam 16:00,

18:15 dim 14:30 lun 18:00 mar 16:00 LA VOIE DE LA JUSTICE ven 14:30 sam 22:15 lun 20:30 LE LION ven 18:00 sam 14:00, 20:15 dim 10:45, 18:30 lun 14:30 mar 14:30, 20:45 LE VOYAGE DU DR DOLITTLE ven 18:00, 20:30 sam 14:15, 17:45, 20:00, 22:15 dim 10:30, 14:45,

16:15, 18:30, 20:45 lun 14:30, 18:00, 20:30 mar 18:00, 20:30 SAMSAM sam 14:15, 16:00 dim 10:45, 14:30 THE GENTLEMEN ven 14:30, 18:00, 20:30 sam 17:00, 19:45, 22:00 dim 16:15, 18:30, 20:45 lun

14:30, 18:00, 20:30 mar 14:30, 18:00, 20:30

Expédition inédite dans les airs

A

ttention : furieux lurons à l'horizon ! Ce vendredi, les inventeurs du collectif Flying Frenchies débarqueront au centreville de Châlons. Avec, dans leur vieux bus, des inventions aussi ingénieuses que farfelues. Leur mission ? Préparer leur toute première expédition vers l'espace à bord du « Spaciair ». « Déjà, on va essayer de décoller, confie Anicet Leone, « acrobatair » attitré de la compagnie. C'est un pari complètement fou. Il faudra qu'on trouve les solutions nécessaires et qu'on fasse plusieurs tests avant le grand départ. On a donc besoin de l'imagination des enfants, de leur vision utopique et de leur brin de folie. » Evidemment, il reste beaucoup d'inconnues à l'équation pour l'heure. Combien de temps Le « Tomatair », un concept improbable par les durera le voyage ? La navette fabriquée à cet effet Flying Frenchies. © Bruno Lavit sera-t-elle assez robuste pour assurer un retour sur Terre ? Seule certitude, le Palc laisse carte blanche à ces acolytes pour la nouvelle édition des « 400 coups », que viendront ponctuer plusieurs temps forts. Une session ciné, des concerts électro-rock et oniriques, le spectacle du collectif La Bascule (coréenne, sinon rien), etc. Sans oublier les entraînements spatiaux ouverts à tous, indispensables pour sélectionner celles et ceux qui partiront en mission. « On éprouvera leur courage, leur feeling avec l'air et le vent, l'écoulement des fluides dans leurs corps. » Et une multitude de concepts faits maison seront testés en direct : la « Catairpulte » (ou catapulte humaine), le « Tomatair », une cabine permettant de transporter des vivres, voire quelques êtres vivants, le « Sauvequitombe » pour un atterrissage en douceur (si atterrissage il y a) ou encore le « Cordolien », pour traverser une vallée sans toucher le sol. L'expérience durera dix jours. Elle promet quelques frayeurs et une bonne dose d'exaltation...

4 Les 400 coups, du 10 au 16 février, place de la République et salle Rive gauche. Accès libre (5 € pour le spectacle du 12 février) – Infos : 03 26 65 90 06, billetterie@lepalc.

S.L

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Loisirs

Du 7 au 13 février 2020 >> www.lh ebdoduve ndre di. c o m

L’horoscope

Météo

BÉLIER du 21.03 au 20.04

BALANCE du 23.09 au 22.10

Vous irez dans une direction qui vous plaira et ne voudrez rien changer de votre programme. Le secteur affectif profitera d’une tendance générale favorable à votre épanouissement.

Le secteur professionnel sera à l’avant-plan et vous devrez y consacrer beaucoup d’attention. Cela pourrait vous conduire vers des changements affectifs et relationnels positifs.

TAUREAU du 21.04 au 20.05

SCORPION du 23.10 au 22.11

Sous l’influence astrale, vous joignez l'utile à l'agréable en étant performant. C’est une période riche de perspectives diverses et positives favorisant les négociations à long terme.

La semaine vous permettra de « remettre les pendules à l’heure » avant de régler des questions en suspens. Côté cœur : faites preuve d’audace, mais pas de témérité.

GÉMEAUX du 21.05 au 21.06

SAGITTAIRE du 23.11 au 22. 12

C’est le moment d'explorer de nouvelles pistes et d’élargir votre horizon. Les opportunités à saisir ne feront pas défaut, mais encore faudra-t-il éviter les miroirs aux alouettes…

La période sera belle et vous permettra de négocier positivement les questions nécessitants vos réponses tant affectives que professionnelles. Ayez conscience de votre force.

CANCER du 22.06 au 22.07

CAPRICORNE du 23.12 au 20.01

La semaine s’annonce chargée, au sens où il faudra vous atteler à préparer le terrain en vue de changements à venir. Côté cœur, Vénus vous aidera à briller de tous vos feux.

La semaine vous donnera de multiples occasions de vous réjouir et de (re)trouver une pleine confiance. Vous évoluerez sur des bases professionnelles plus solides !

LION du 23.07 au 22.08

VERSEAU du 21.01 au 19.02

Pendant une bonne partie de la semaine, vous serez confronté(e) à des situations et des décisions qu’il vous faudra parfois subir, sans nécessairement qu’elles répondent à vos attentes.

Au plan professionnel, vous pourriez avoir du fil à retordre. Une bonne raison de rester en alerte.

Côté cœur, agissez avec suffisamment de discernement, sans risques inutiles.

VIERGE du 23.08 au 22.09

POISSON du 20.02 au 20.03

Une semaine au cours de laquelle vous aurez intérêt à rassembler vos énergies plutôt qu’à les disperser. Ne vous arrêtez pas en si bon chemin, vous vivrez des expériences enrichissantes.

Posez-vous les bonnes questions quant aux moyens de parvenir à vos fins. Vous ne devriez pas connaître d’importantes secousses, mais pas non plus de gratifications particulières.

Benoît Melvhille

Vendredi

Dimanche

Samedi

0° 9°

5° 10°

Lundi

6° 10°

7° 9°

Qualité de l’air Vendredi

Samedi

Dimanche

Bonne

Bonne

Bonne

La CLCV vous informe Les exceptions au droit de rétractation En cas d’achat à distance (par internet, par téléphone ou par voie postale), le consommateur bénéficie d’un droit de rétractation de 14 jours. Il existe cependant une liste d’exceptions qui comprend notamment les biens confectionnés à votre demande, les biens détériorables ou périssables rapidement, les prestations d’hébergement, de transport, de restauration et de loisirs devant être fournis à une date ou selon une périodicité déterminée… Le vendeur doit informer l’acheteur de l’existence ou de l’absence de droit de rétractation avant la conclusion de la commande.

CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com

Pour la

FRANCK DUBOSC 08/02/20

NINHO 08/02/20

MESSMER 09/02/20

LES IRISH CHANSONNIERS CELTIC DES 2 ÂNES 07/03/20 13/02/20

LES CHEVALIERS DU FIEL 20/03/20

THE DIRE STRAITS EXPERIENCE 24/03/20

HOLIDAY ON ICE 24/03/20 25/03/20

DADJU 27/03/20

ÂGE TENDRE 28/03/20

LA VOIE DE JOHNNY 04/04/20

JEAN-LOUIS AUBERT 04/04/20

ONE NIGHT OF QUEEN 20/09/20

IRISH CELTIC 20/11/20

LE PLUS GRAND STARS 80 CABARET DU 03/12/20 MONDE 17/12/20 28/11/20

VÉRONIC DICAIRE 05/12/20

JARRY 10/12/20

DISNEY EN CONCERT 13/12/20

GOSPEL POUR 100 VOIX 12/02/21

GAD ELMALEH 06/03/21

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VITAA & SLIMANE 24/03/21

LES BODIN’S 25, 26, 27 ET 28/11/21

LE CAPITOLE Châlons-en-Ch.

LE MILLESIUM Epernay

Réservations : Points de ventes habituels dont l’Office de Tourisme d’Epernay, Carrefour, Fnac, Leclerc, Cultura…

Billetterie Collectivités, Associations et Groupes : 03 26 26 66 44

68, avenue du Président Roosevelt 51000 Châlons-en-Champagne Tél. 03 26 65 50 00 - www.lecapitole-en-champagne.fr

Avenue du Général Margueritte BP 80175 - 51205 Epernay Cedex Tél. 03 26 56 95 00 - www.lemillesium.com

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