VOTRE AVENIR COMMENCE ICI
L’histoire vraie des Dragon Ladies de Reims sur M6
En ce mois d’Octobre Rose, campagne annuelle au profit de la lutte contre le cancer du sein, les Dragon Ladies de Reims sont mises à l’honneur dans le film « Le Souffle du dragon ». Réalisé pour M6 par Stéphanie Pillonca, le tournage a eu lieu cet été à Reims, principalement aux Régates Rémoises et sur le canal. « Le Souffle du dragon » raconte l’histoire vraie du premier équipage rémois de Dragon Boat. Aujourd'hui répandue dans toute la France, cette pra tique permet aux femmes atteintes d'un cancer du sein de pagayer en groupe dans une embarcation à tête de dragon. Grâce aux mouvements, elles se musclent en douceur, combattent la maladie et préviennent la récidive. Le film, qui a bénéficié du soutien de Reims, du Grand Reims et du Grand Est, sera projeté en avant-première au cinéma Opéraims ce lundi 10 oc tobre, à 20 h, en présence du scénariste Clément Koch, et le lendemain, mardi 11 octobre à 21 h 10 sur M6. Cette soirée se prolongera avec un débat en présence des actrices et des vraies protagonistes de l'histoire et la diffusion d'un documentaire racontant cette aventure rémoise.
Le ministre Stanislas Guerini à Châlons
Dans la continuité des annonces sur le plan de sobriété énergétique du gouvernement, Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, est de passage à Châlons, ce vendredi 7 octobre, pour un déplacement consacré au déploie ment des mesures concernant les administrations publiques et leurs agents. A son programme est prévu un arrêt à La Veuve, sur le site de l’incinérateur de déchets, pour aborder les thématiques de l’énergie renouvelable et du réseau de chaleur dé ployé à l’échelle de Châlons. Le ministre réunira ensuite à la préfecture les chefs de service de l’État et les ambassadeurs sobriété. Chaque bâtiment public sera, en effet, doté d’un ambassadeur sobriété chargé de s’informer des nouvelles actualités liées au plan, d’informer les agents sur les bonnes pratiques et de s’assurer de la mise en œuvre des mesures par les agents. L’Etat entend réduire de 10 % sa consommation d’énergie.
Bref, Kyan Khojandi raconte ses souvenirs de Reims
Né en 1982 à Reims, l'humoriste Kyan Khojandi s'offrira une belle soirée de retrouvailles avec « son » public, le 19 janvier à l'Arena, avec son spectacle « Une Bonne soirée ». Pour l'occasion, le créateur de la série « Bref » a publié une vidéo dans laquelle il raconte, avec humour, ses souvenirs de la cité des sacres. 2 minutes 13 de nostalgie qui éveilleront sans doute quelques souvenirs émus aux quadra' et aux autres, à l'évocation des bus jaune et noir de la Tur, de la boite de nuit L'Échiquier, des rendez-vous devant le « Théâtre » ou en core de La Boîte à piles. À voir sur la page Facebook de l'artiste.
Ils se coupent du monde
Quel sens donner aux annonces faites par les plus grandes municipalités françaises de ne pas diffuser les matches de la Coupe du Monde, qui se tiendra du 20 no vembre au 18 décembre au Qatar ? Certains esprits retors sont passés à côté du geste cavalier, estimant qu’il était un peu tard pour se réveiller et, surtout, que le prétexte était trop beau pour réaliser de précieuses économies d’énergie. Pourtant, la décision est louable, étant donné le constat im placable : ce Mondial au Qatar a tout d’une aberration. C’est un désastre humain, environnemental et sportif an noncé. Son attribution ubuesque en 2010 est toujours sous le coup d’investigations des autorités judiciaires améri caines, françaises et britanniques. Sa préparation a néces sité la construction de six stades climatisés de 40 000 places destinés à devenir des coquilles vides qui aurait entraîné la mort de plusieurs milliers d’ouvriers, accueillis dans des conditions déplorables. Son déroulement même, en au tomne, dans un pays cinq fois plus petit que le Grand Est et deux fois moins peuplé, sans aucune tradition footballis tique, ni perspective d'essor populaire local, est absurde. Son hôte, un État où les droits des femmes et des minorités sont régulièrement bafoués, devrait poser un cas de conscience à tous ceux qui y participeront. Or, sur ce dernier point, il suffit de regarder la situation de la Russie et de la Chine, où se sont déroulés les derniers Mondial de foot et Jeux olympiques, pour se convaincre que la Fédération in ternationale de football (Fifa), comme le Comité interna tional olympique (CIO), font peu de cas de ce détail. Mais pour les passionnés de ballon rond, plus que pour les mu nicipalités, le dilemme sera de taille. Engager un boycott tout personnel aux finalités insignifiantes pour ne pas se compromettre avec un tournoi où l'ahurissant côtoie le ré voltant, ou bien s’accommoder, une fois de plus, de cette dérive du foot business poussée à l’extrême, pour vivre le frisson d’une phase finale qui ne se déroule que tous les quatre ans ? Malheureusement, ils ne sont pas au bout de leurs peines. Avec l’attribution des Jeux asiatiques d’hiver de 2029 à l’Arabie Saoudite, où les chutes de neige sont aussi fréquentes que les tempêtes de sable dans nos contrées, il y a fort à parier que cette Coupe du monde qatarie ne sera pas la dernière absurdité sportive du siècle.
Le Viti Vini veut écrire une nouvelle page
Quatre ans après sa dernière édition, le salon viti-vinicole d'Épernay revient du mardi 11 au vendredi 14 octobre, au Millesium. Dans un contexte hors du commun, les acteurs de la filière espèrent tourner définitivement la page du covid pour relever d'autres défis.
Quelques semaines après la fin d’une vendange exceptionnelle en Cham pagne, les acteurs de la filière viti cole et vinicole se réuniront pendant quatre jours, au Millesium, sans doute pour partager quelques bonnes nouvelles. Le 12e salon Viti Vini, qui se tiendra du 11 au 14 octobre, quatre ans après la dernière édition, sera assurément celui de l’après-crise sanitaire. « Les ventes sont bonnes, les vignerons et les maisons se sont extraits de la crise du covid », confirmait récemment Christophe Labruyère, président du Club des entrepreneurs champenois, orga nisateur historique du Viti Vini. Et les pre mières estimations de la profession lui donnent raison : les 325 millions de bouteilles,
évoquées à la fin du mois de juillet, pourraient même être dépassés au moment de faire les comptes de cette année 2022. En revanche, les incertitudes sont parfois un peu plus nombreuses pour les entreprises connexes, qui fournissent consommables, ma tériels et services nécessaires à la production de raisin et de vin, en raison du contexte de crise énergétique et de tension sur les matières premières. Elles répondront néan moins présentes à l’appel du Viti Vini, avec 200 exposants annoncés sur les 15 000 m² ré servés pour l’occasion, à l’intérieur et à l’ex térieur du Millesium. Les emplacements affichent complet depuis la fin du mois de juin. « La profession champenoise est rassu rée par les ventes et la vendange, on espère désormais des capacités d’investissement dans nos structures, car les entreprises connexes souffrent grandement de pénuries et de la hausse des coûts, avait également expli qué Christophe Labruyère, président de Gal lorema, une entreprise de Sillery qui commercialise des engins de manutention et des solutions de stockage. On attend un sou tien du vignoble pour nous aider à rebondir. »
Le Viti Vini devrait être, encore une fois, un terrain de business.
Mais pas seulement. Le salon sera aussi placé sous le signe de l’innovation, notamment à tra vers la troisième édition du Jardin des nouveau tés, au sein duquel 18 exposants présenteront des projets innovants, sélectionnés par le jury de l’événement. L’œnotourisme ne sera pas en reste, avec Vini Trip, un salon dans le salon qui doit accueillir une trentaine de prestataires. Enfin, l’emploi et la formation seront égale ment au cœur du salon, grâce à la Passerelle des métiers à l’emploi qui présentera les métiers de la vigne et du vin, les formations pour y accéder
« La situation est un peu plus claire »
et les nombreuses offres disponibles (lire éga lement page 12). Sans oublier des moments de convivialité, particulièrement sous le chapiteau du pôle gastronomie, où une nocturne se tiendra le jeudi soir. Différentes propositions gour mandes y seront aussi accessibles durant quatre jours. « On veut rendre le salon le plus convi vial possible pour faire oublier la crise du covid », a expliqué Christophe Labruyère. Près de 15 000 visiteurs sont attendus pour cette 12e édition du Viti Vini.
Simon KsiazenickiPrincipal concessionnaire agricole et viticole de la Champagne, l'entreprise Ravillon sera présente sur le salon Viti Vini. Son PDG, Philippe Ravillon, se réjouit de la reprise de l’activité champenoise, qui coïncide avec celle de son activité : « C’est assez intéressant de voir que sur les 15 dernières années, les ventes de bouteilles et de matériel viticole se suivent très précisément. » Après un arrêt brutal en 2020, en raison de la crise sanitaire, la remontée fut très forte, l’année suivante. « Sur un marché total de 150 enjambeurs, on a vendu 90 appareils neufs, mais les ventes avaient chuté de moitié en 2020. » Et ce, malgré les difficultés d’approvisionnement des matières premières et des composants venus d’Asie, liées au redémarrage postcovid. Sans oublier, depuis le début de l’année 2022, la crise énergétique. « Le groupe Exel Industries (basé à Épernay), notre principal constructeur d’enjambeurs, a mieux assuré ses livraisons que ses concurrents en anticipant les commandes, quand certains annonçaient des délais de deux ans !, se souvient le chef d'en treprise. La situation était encore floue il y a quelques mois, maintenant, elle est un peu plus claire. On sait que les délais se sont allongés, mais ça devient la norme. » En général, il fallait trois mois pour recevoir une machine. Aujourd’hui, mieux vaut en compter au moins six. « À nous de proposer des solutions alternatives à nos clients, en cas de panne et de réparation. » En 2021, la production française d’agroéquipements a aug menté de 15 %, à 5,5 milliards d’euros, un niveau sans précédent historique. Soit le même chiffre d’affaires que celui des expéditions de bouteilles de champagne.
Quatre ans après sa dernière édition, le Viti Vini revient au Millesium pour une 12e édition. © l'Hebdo du VendrediFibre, 4G, Toujours plus de débit dans la Marne.
Marc Arnold, Directeur des relations régionales pour Bouygues Telecom, fait le point pour nous sur le déploiement des réseaux fibre et 4G de l’opérateur dans la Marne.
Pourquoi développer les réseaux Bouygues Telecom sur notre territoire de la Marne ?
M.A. : Depuis la crise sanitaire, nos besoins en connexion se sont amplifiés. Une bonne connexion, des échanges fluides, une latence réduite… Tout cela passe par l’amélioration de nos réseaux. Avec le soutien de nos partenaires, nous participons à la transition du réseau cuivre ADSL vers la fibre optique. Nous continuons à travailler pour offrir la meilleure connexion aux habitants de la Marne.
Que va-t-on y gagner, concrètement ?
M.A. : D’abord, du confort ! Avec la fibre chez soi, toute une famille peut se connecter en même temps sans coupure.
On peut appeler, télétravailler, partager des photos ou des vidéos sur plusieurs appareils sans aucun souci. Et en déplacement, c’est indispensable de pouvoir se connecter partout grâce à de bons réseaux mobiles.
Et que proposez-vous aux habitants de la Marne pour bien en profiter ?
M.A. : Le plus intéressant aujourd’hui est de combiner une box et un forfait mobile. C’est plus simple en terme de gestion. Et surtout, plus avantageux côté budget. Nos conseillers sont là pour vous faire découvrir le forfait mobile et l’offre fibre la plus adaptée à chacun.
Dans la Marne
92% des foyers éligibles à la fibre Bouygues Telecom 99% du territoire couvert en 4G
Profitez du très haut débit, et
en réunissant vos
visites des anciens ateliers
d'Épernay
Que pensent les Sparnaciens de leur ville et leur agglo ?
La consultation dure jusqu'au 26 octobre.
PxHere
L
e futur d’Épernay doit s’écrire à l’emplacement des anciens ateliers de maintenance ferroviaire de la SNCF, situé derrière l'actuelle gare. C’est sur ce site de 12 hectares que l'équipe municipale du maire Franck Leroy projette de faire construire le quartier Berges de Marne, dans les dix années à venir. Logements, bureaux, espaces verts, maraîchage, bars, restaurants, activité de loisirs… Beaucoup de pistes sont actuellement à l’étude pour que ce site, qui pourrait accueillir 1 000 à 1 500 Sparnaciens, soit la vitrine de l'Épernay de demain.
En attendant la première étape de ce réaménagement, qui débutera en janvier 2023 avec le désamian tage et la déconstruction de certains bâtiments, la ville organise trois visites sur le site, les samedi 8 octobre, à 14 h et 16 h, et dimanche 9 octobre, à 11 h. Ces visites de 1 h 30 seront animées par Pierre Guy, écrivain spécialiste de l’histoire du chemin de fer à Épernay, et Géraldine Perrodin, architecte à la ville d’Épernay, qui raconteront la vie de cet ancien site industriel et les perspectives de dévelop pement futur dans le cadre du projet Berges de Marne.
En septembre 2018, une première balade, organisée dans les anciens ateliers de la SNCF, avait ren contré un franc succès. La ville précise donc que cette fois, d’autres horaires seront proposés en cas de forte affluence.
4 Réservation obligatoire : developpementurbain@ville-epernay.fr
S.K
La ville d’Épernay et Épernay agglo Champagne ont annoncé s'engager « dans une démarche d’amélioration de leur relation à l’usager ». Les deux collectivités souhaitent ainsi « optimiser les interactions entre les services publics et les habitants ». Pour ce faire, une consultation a été mise en place afin de recueillir les avis et les suggestions des citoyens, qui peuvent remplir ce questionnaire en ligne jusqu'au mercredi 26 octobre. Les sondés sont invités à répondre à des questions, à cocher des cases ou à donner des notes concernant les différentes compétences exercées par les deux collectivités. D'une durée de moins de 10 minutes, le questionnaire est entièrement anonyme, les don nées récoltées sont stockées dans un espace sécurisé et ne sont utilisées que dans le cadre de cette dé marche. Il sera également possible de participer à cette enquête en remplissant un formulaire en version papier lors des permanences qui se tiendront dans différents lieux d'Épernay : mercredi 5 octobre, de 14 h à 17 h, à la Maison des arts et de la vie associative ; jeudi 6 octobre, de 8 h 30 à 12 h, à la Mairie accueil ; samedi 8 octobre, de 10 h à 12 h 30, à la médiathèque Simone-Veil ; mardi 11 octobre, de 8 h 30 à 12 h 30, à la Mairie de quartier ; samedi 15 octobre, de 10 h à 12 h 30, à la médiathèque Daniel-Rondeau.
S.K
4 Infos : epernay.fr
Des
bouchers belges au lycée Stéphane-Hessel
Émotion pour la fermeture du Camaïeu d'Épernay
uropéen convaincu, Stéphane Hessel n'aurait pas renié le projet qui va se dérouler au sein du lycée d’Épernay qui porte son nom. Du lundi 10 au vendredi 14 oc tobre, sept jeunes Belges en formation « techniques de boucherie » à l’école Athe neum de Dixmude seront accueillis au sein de l’éta blissement sparnacien pour un projet d’échange. Ils se ront associés aux élèves français du CAP « assistant(e) technique en milieux familial et collectif », formant aux métiers d’agents de cantine, de ménage, ou de maison de retraite, pour des travaux communs. « Notre cuisine pédago gique permettra notamment aux élèves de cuisiner ensemble », se réjouit Jean-François Humbert, di recteur délégué aux formations du lycée Stéphane-Hessel. Les Belges s’offriront également des visites de caves, d’Avize Viti Campus ou encore du lycée Gustave-Eiffel de Reims et seront logés à Sté phane-Hessel, labellisé « internat d’excellence - résidence Monde » qui vise à développer des projets d’ouverture linguistique et culturelle. Ce programme, qui devrait conduire les jeunes Sparnaciens vers la Belgique au printemps, en fait partie. « L’idée est de valoriser ce CAP en ouvrant nos jeunes à d’autres cultures, en les faisant travailler avec d'autres étudiants et en leur offrant des perspectives de formation et d’emploi, explique Olivier Leloux, le proviseur du lycée d’Épernay. Ces expériences nouvelles sont destinées à accrocher les élèves. » « Les jeunes se sont montrés très réactifs aux pre miers cours de flamand et aux échanges en visioconférence », se félicite Marie Choquet, présidente d’Épernay-Jumelages, associée de près à cette aventure. Dans une formation qui connaît pas mal de décrochage, de l’absentéisme et où les voyages sont peu fréquents, ce projet doit offrir d’autres pers pectives aux élèves. S.K
E
Comme les 510 au tres enseignes du même nom en France, la boutique d’habil lement Camaïeu d’Épernay a fermé ses portes le samedi 1er octobre, suite au pro noncé de la liquidation judi ciaire de la chaîne fondée en 1984. Dans la rue SaintThibault, l’enseigne va visi blement laisser un grand vide dans le cœur de nom breuses sparnaciennes. En témoignent les dizaines de messages affichés sur la de vanture du commerce : des petits mots touchants et unanimes qui côtoient ceux de l’ancienne responsable, Aurélie Delette, en boutique depuis 22 ans : « Merci pour votre soutien, vos messages, vos attentions. Je n’oublierai rien. Tout va me manquer si fort. » Deux ans après la reprise de la marque par la Financière immobilière bordelaise (FIB), cette liquidation envoie au chômage 2 600 salariés, y compris ceux du siège social et de l’entrepôt de Roubaix (Nord). Dont trois à Épernay.
BREFLe forum Ambition climat d'Épernay s'intéresse à l'eau
Depuis plusieurs années, l’agglomération d’Épernay déploie Ambition climat 2025, un grand programme d’actions qui doit servir à engager tout le territoire dans la transition énergétique. Pour la cinquième année, un événement grand public lui sera associé : le forum Ambition climat, organisé par l’agglo et l’association Terre avenir. Du mercredi 12 au vendredi 21 octobre, le public pourra participer à plusieurs évé nements autour des ressources en eau : ex positions, ateliers, rencontres, visites… La participation à certains rendez-vous né cessite une inscription préalable. Infos : epernay-agglo.fr
Braderie d'automne dans les rues du centre-ville d'Épernay
L’association de commerçants Les Vitrines d’Épernay et leurs adhérents organisent leur braderie d’automne, ce lundi 10 octo bre, de 9 h à 18 h, dans le centre-ville d’Épernay. Les commerçants déploieront des stands devant leur boutique et les cha lands pourront faire de bonnes affaires avant l’hiver.
Du rugby pour les femmes atteintes d'un cancer
Les Com’battantes, équipe féminine de rugby pour les femmes atteintes d’un can cer affiliée au Rugby Épernay Champagne, propose, durant tout le mois d’octobre, un accès libre à ses entraînements qui se dé roulent les mardis et jeudis, à 18 h 15, au stade Paul-Chandon d'Épernay (allée de Cumières). Les interventions seront adap tées au public et tourneront autour de jeux avec ballon, sans placage. À noter qu’à l’occasion d’Octobre rose, le pôle anima tion seniors de la ville d’Épernay organise également des animations (randonnée, pièce de théâtre et débat, ateliers marche active et bien-être, interventions de profes sionnels de santé et soirée rose), du samedi 8 au vendredi 14 octobre.
Infos : 03 26 54 54 19 et epernay.fr
Collecte de sang à Épernay
L’Établissement français du sang organise une collecte le mardi 11 octobre, de 10 h 30 à 13 h et de 14 h 30 à 18 h 30, au Palais des fêtes (parc Roger-Menu). Pour faire un don, il est nécessaire de se munir de sa pièce d'identité, de ne pas venir à jeun, d’être en bonne santé, âgé de 18 à 70 ans, de peser au moins 50 kg, de ne pas avoir été en contact étroit avec un cas confirmé de covid-19 au cours des 15 jours précédant la collecte et d’attendre 14 jours après l’arrêt des symptômes en cas de contamination.
Infos et prise de rendez-vous : dondesang.efs.sante.fr
Emmaüs change de disque à Tours-sur-Marne
Les compagnons et les amis d'Emmaüs de Tours-sur-Marne organisent une vente spé ciale consacrée aux disques vinyles, ce sa medi 8 octobre, de 14 h à 17 h 30, dans leurs locaux du 6, rue Saint-Antoine. Un grand choix de styles musicaux sera à re trouver, avec des prix fixés à 3 € pour les 33 tours et 1,50 € pour les 45 tours. Comme chaque deuxième samedi du mois, les rayons mercerie et rétro seront également ouverts. Infos : 03 26 58 61 81.
La ville d'Épernay propose six missions en service civique
La ville d’Épernay est à la recherche de Sparnaciens, âgés de 16 à 25 ans, pour six missions de service civique, d’une durée de huit mois, à raison de 24 heures de tra vail par semaine, payées 600,94 € par mois. La municipalité recherche des postes d’ambassadeurs enfance-jeunesse, jeu nesse, jumelages et culture internationale, actions familiales et socioculturelles, transi tion écologique et numérique. Les missions seront présentées à l'occasion d'une réu nion, le vendredi 14 octobre, à 18 h, à la Maison des arts et de la vie associative (parc Roger-Menu).
Infos : 03 26 53 54 62/63, pij@ville-epernay.fr et epernay.fr
E NSEIGNEMENTSUPÉRIEUR
Le défi énergétique de l'Urca
Face à la flambée des coûts de l'énergie, l'Université de Reims Champagne-Ardenne se dotera prochainement d'un plan de sobriété. Elle entend baisser sa consommation énergétique de 40 % d'ici à 2050.
En ce mois d’octobre, 24 000 étudiants de l’Université de Reims ChampagneArdenne (Urca) ont repris le chemin des salles et des amphithéâtres. Avec des ins criptions encore en cours, ils devraient être, au final, plus de 27 500, soit une baisse de 3,7 % des effectifs par rapport à l’année dernière. « Pour la deuxième année consécutive, les étudiants seront un peu moins nombreux, cela correspond à la baisse de la démographie dans l’ensemble de l’académie », a expliqué Guillaume Gellé, lors de la conférence de presse consacrée à la rentrée universitaire. Mais ce n’est pas vraiment ce point qui retient l’attention du président de l’Urca. Comme pour beaucoup de dirigeants, la crise énergétique fait partie de ses préoccupations majeures. « Ce sera l’année du challenge de l’énergie », a-t-il lancé. La problématique est de taille pour l'Urca. Avec 119 bâtiments et 265 000 m² de patrimoine bâti, ses dépenses énergétiques sont importantes. De 3,4 M€ en 2019, elles ont représenté 3,6 M€ l’année sui
vante et au moins 5,1 M€ pour 2022. « Nous serons, en 2023, à 8,5 M€ C’est un sujet im portant. »
Le président de l’Urca présentera très prochai nement un plan de sobriété, avec comme ob jectif d’atteindre, dans deux ans, une réduction de 10 % de la consommation d’énergie par rapport à 2019 (année de référence sans le covid) et de la baisser de 40 % d'ici à 2050.
Le principal défi consistera à maintenir la re cherche, « une de nos missions fondamen tales », appuie le président de l’Urca, très gourmande en énergie. « Sur le campus Mou lin de la Housse, 60 % de l’énergie est dédiée aux bâtiments de recherche ». Si « les écogestes du quotidien serviront à faire de belles économies », des projets de longue haleine doivent également permettre à
Les grands projets de Bollinger
La maison de champagne installée à Aÿ, prestigieuse, mais d'ordinaire discrète, a dévoilé un grand projet qui lui permettra d'améliorer son outil de production et surtout s'ouvrir un peu plus à l'œnotourisme.
Célèbre dans le monde entier pour être le champagne préféré de James Bond, Bollinger adopte néanmoins le credo des agents secrets : la discrétion. Pour fêter ses 200 ans, en 2029, la maison familiale et indépen dante (la famille Bollinger est toujours majoritaire au conseil d’administration du groupe homonyme) va cette fois déroger un peu à ses habitudes. Elle vient ainsi de dévoiler ses grands projets, tous établis autour de son siège historique d’Aÿ.
Chez les amateurs de vins, Bollinger est notam ment connu pour ses 180 hectares de vignes, mais aussi pour la vinification sous bois de ses meil leurs crus, grâce à 4 000 fûts. Une quantité im pressionnante qui l’oblige même à être la seule maison de champagne à disposer d’une tonnel lerie propre, associée à son cellier. Mais la maison agéenne entend aller encore plus loin en augmen tant sa capacité de vinification à 5 000 fûts de 228 litres, soit « la plus grande capacité de vinifica tion sous bois de la Champagne », assure Bollin ger. Elle rénovera et agrandira son chai (lieu où se déroule la vinification) d’Aÿ, situé boulevard du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, qui sera doté de grandes baies vitrées donnant sur les vignes.
À noter que ce site est d'ores et déjà accessible à la visite.
Le deuxième grand projet de Bollinger est d’or dre œnotouristique. Comme beaucoup d’autres concurrentes, la maison fondée en 1829 a décidé de renforcer son offre et de belle manière. L’autre site d’Aÿ, sis au 16, rue Jules-Lobet, où demeu rait l’emblématique Elisabeth Bollinger, qui di rigea la maison de 1941 à 1971, sera dédié à l'accueil des visiteurs. Une boutique, des salles de dégustation et une salle à manger privée y se ront aménagées. Un peu plus loin, rue de la Charte, la résidence Dueil deviendra prochaine ment un hôtel de 20 chambres, doté d’un restau rant et d’un espace bien-être avec piscine. Salles
l’Urca de faire baisser la facture. On peut citer, par exemple, l’Ilot des savoirs, à Châlons, qui regroupera très prochainement l’IUT et l’Inspé (formation des enseignants) sur un site neuf, plus performant et plus adapté que les anciens. Ou la livraison du nouveau pôle santé de Reims, prévue en décembre prochain, re groupant les unités de médecine, de pharmacie et d’odontologie(à la rentrée 2023). « Depuis 2016, 167 M€ de travaux immobiliers ont été engagés. Nous poursuivrons la rénovation des bâtiments », a promis le président de l'Urca.
Simon KsiazenickiLe paquet sur la bioéconomie
Le président de l’Urca, Guillaume Gellé, l’a assuré : « Dans moins de dix ans, nous serons la référence en bioéconomie. » Pour rappel, la bioé conomie englobe l'ensemble des activités de pro duction et de transformation de la biomasse (forestière, agricole et aquacole), à des fins de pro duction alimentaire, de matériaux biosourcés ou d'énergie. Cela fait plusieurs années que l’univer sité de Reims est en pointe dans ce domaine et cela s'est matérialisé, cet été, par la réussite dans un appel à projet doté de près de 22 M€, sur dix ans. Une enveloppe qui permettra, notamment, la créa tion d’Exebio, institut international et interdiscipli naire en bioéconomie durable qui accueillera, à terme, 500 chercheurs du monde entier.
de réunion et grande salle de réception (pour 200 personnes) complèteront cet ensemble de 22 000 m², dont les travaux, débutés cet été, s’achèveront en 2026.
Une petite révolution, donc, pour cette maison emblématique de la Champagne, souvent citée comme l’une des plus prestigieuses, notamment à l’étranger. Il était logique qu’elle s’ouvre, à son tour, sur le monde.
Simon KsiazenickiUne charte verte pour 2029
Alors que l’ensemble de la profession est engagé dans une transformation de son modèle, les grandes maisons rivalisent d’annonces pour présenter un modèle plus vert que vert. Bollinger également, en dévoilant « huit engagements pour 2029 », avec, en ligne de mire, la certification B Corp, un label reconnu à l’international et considéré comme l’un des plus complets en matière de RSE. Parmi ses objectifs : passer à 30 % la surface de biodiversité, remplacer 100 % des intrants pétrochimiques par des produits biosourcés, réduire le poids des bou teilles de 7 %, réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40 %, réduire la consommation d’eau et la production de déchets de 10 %, supprimer le fret aérien en 2025 ou encore accompagner ses li vreurs de raisins vers la certification viticulture du rable en Champagne.
Grâce à la formation continue, il est possible d'améliorer ses compétences ou d'acquérir de nouvelles connaissances professionnelles, que l'on soit salarié ou non. Zoom sur trois dispositifs efficaces.
Validation des acquis de l’expérience
La VAE (validation des acquis de l’expé rience) permet à toute personne, qui jus tifie d’au moins un an d’expérience en rapport direct avec la certification visée, de faire reconnaître officiellement ses compétences (professionnelles, associa tives, bénévoles, syndicales...) et d’obte nir un diplôme, un titre ou une certification sans avoir à suivre nécessai rement une formation. Les diplômes vont du CAP au niveau master et ont la même valeur que s’ils avaient été obtenus par la voie de la formation. Cela permet de faire reconnaître ses compétences et de les transformer en un niveau de qualification permettant d’accéder à une formation d’un niveau supérieur ou de s’inscrire à un concours, dans le but de changer d’em ploi ou d’évoluer professionnellement. Les personnes intéressées par la dé marche VAE doivent prendre contact avec le Centre de conseil sur la validation des acquis de l’expérience, qui dispose de nombreux relais sur le territoire (Pôle em
ploi, Mission locale, Apec…). Ensuite, selon la certification, le demandeur de VAE présente son projet devant un jury qui prendra une décision de validation to tale, partielle ou d’un refus de validation.
De la définition du projet jusqu’aux épreuves de validation devant le jury, l’en semble de la démarche dure entre huit et douze mois.
Infos : vae.gouv.fr
Compte personnel de formation
Le compte personnel de formation (CPF) est utilisable tout au long de la vie active
et en période de chômage pour suivre une formation qualifiante, certifiante ou une VAE. Le CPF est alimenté automati quement, en euros, au début de l'année qui suit l'année travaillée. Pour les salariés à temps plein et à mi-temps et les travail leurs indépendants dont la durée de tra vail a été supérieure à la moitié de la durée légale (1 607 heures), 500 € sont crédités pour chaque année de travail, jusqu'à 5 000 € maximum. Pour les sala riés peu ou pas qualifiés, le montant an nuel est majoré à 800 € et plafonné à 8 000 €. Les heures consacrées à la forma
tion pendant le temps de travail donnent lieu au maintien de la rémunération. Chaque personne dispose d’un espace personnel sécurisé lui permettant de consulter son crédit et de trouver une for mation.
Infos : moncompteformation.gouv.fr
Projet de transition professionnelle
Le projet de transition professionnelle (PTP), anciennement connu sous le nom de congé individuel de formation (Cif), permet au salarié de s'absenter de son poste pour suivre une formation destinée à changer de métier ou de profession. Pour en bénéficier, le salarié doit justifier d'une activité d'au moins deux années, dont une dans la même entreprise. Le tra vailleur doit adresser une demande écrite d'autorisation d'absence à son employeur qui, en retour, ne peut pas s'opposer au départ en formation. En revanche, il peut différer la demande de 9 mois maximum, si celle-ci peut avoir des conséquences préjudiciables pour l'entreprise. L'em ployeur a 30 jours pour répondre au sala rié. Passé ce délai, l'autorisation est considérée comme accordée. Lorsque le PTP est réalisé sur le temps de travail, le salarié bénéficie d'un pourcentage de son salaire moyen de référence. Lorsqu'il est inférieur ou égal à 3 357,90 €, la rémuné ration est complète.
Le salon
de Reims, c’est samedi
Magazine et site de ré férence sur l'orienta tion et les métiers, l'Etudiant, en partenariat avec la ville de Reims et le Grand Reims et avec le soutien du mi nistère de l'Enseignement supé rieur, organise la cinquième édition de son salon dans la cité des sacres. Il aura lieu le samedi 8 octobre, de 9 h à 17 h, au Centre des congrès de Reims. Si l'entrée est gratuite, une ins cription individuelle via le site internet du salon est obligatoire. Cet événement est l'oc casion de s'informer sur les modalités d'inscription, les différents cursus et les débouchés en échangeant directement avec les acteurs locaux de l'enseignement supérieur. Université de Reims-Champagne-Ardenne, Sciences Po, Neoma Business School, Agro ParisTech, CentraleSupélec, Institut Catholique de Paris (ICP), Ecole Supérieure d’Ingé nieur (ESI), Ecole Supérieure d’Arts et Design (ESAD), Haute École de Joaillerie, Mediaschool, Campus Eductive... l'offre rémoise est particulièrement riche, si toutes les possibilités d'études ou presque sont présentées (commerce, gestion, communica tion, art, ingénieurs sciences et techniques, international, santé, social, sport...). A noter que cinq conférences thématiques, animées par un journaliste de la rédaction de l'Etu diant, complètent cette journée : « Zoom sur les formations du développement durable et de la transition écologique » (10 h), « Suivre des études scientifiques et technolo giques » (11 h), « Les études de santé à l’université » (11 h 30), « Les études de santé à l'université » (14 h) et « Economie, gestion, management : quelles études pour quels profils ? » (15 h).
4 Salon de l'Etudiant, samedi 8 octobre, de 9 h à 17 h, au Centre des congrès de Reims. Entrée gratuite, mais inscription individuelle obligatoire sur letudiant.fr.
Un professeur particulie
Leader du soutien scolaire, Anacours a son agence à Reims depuis janvier 2021. Son gérant Cédric Roualet mise sur les affinités entre élèves et enseignants pour réussir, ensemble.
r chez soi
A
u-delà du cours particulier, c’est un véritable service personnalisé que propose Anacours. Evaluation des besoins de chaque élève et accompagnement adaappté sont les maîtres mots de ce réseau d’agences que Cédric Roualet a rejoint il y a un an et demi.
dxadànDu soutie scolaire l’aide e au u deevoirs, en diiflé
passant par des stages intensifs et la prépaan auxratio x concours postbac avec cours particuliers en classes préparatoires, Anacours s’intéresse au bien-être et à la progression des élèves de tous niveaux de la primaire aux études supérieures. « On offre à chaque enfant une solution éducative adaptée aux enjeux de la scolarité moderne », explique Cédric Roualet. Tous les domaines scolaires sont donc concernés, des plus classiques aux plus spécialisés, et ce, avec des professeurs rnsàparticuliers disponible à Reims, Epe naay et Chalons.
aaMais l réussite de l méthode repose essentiellement sur une adéquation professeur-élève. A la fois conseiller pédagogique
et responsable d d’agence comme entre accueil des soins et suivi pe d’une part, séle sur le niveau de tionnel pédagogi lll
u recrutement, un directeur Cédric Roualet se partage familles, diagnostic des bersonnalisé de chaque élève ction des enseignants basée compétence et un bon relaque d’autre part. Il fait donc lil
profmentnaatturelle le lien entre les feesseurs et les élèves, afin de créer les tandems gagnants qui font le succès d’Anacours.
« tutrlAccommppagnerl’élèèvegaraantiitsaré ssitee, conclut le gérant de l’agence rémoise. Je tire satisfaction en proposant à l’élève le « bon enseignant », celui qui le mettra en confiance, lui donnera envie d’apprendre et avec qui il partagera une belle expérience de vie. Réciproquement, je souhaite que l’enseignant prenne du plaisir à voir évoluer efficacement l’élève qu’il s’est vu confier.
✔ Anacours
g »
33 boulevard de la Paix, Reims
Tel. 03 51 25 51 37
Site : www.anacours.com
La formation et l'emploi au cœur du salon Viti Vini
La Digitale Académie, un tremplin pour les jeunes
Grand rendez-vous consacré aux pro fessionnels de la vigne et du vin, le salon Viti Vini fera son retour au Mil lesium d’Épernay, du mardi 11 au vendredi 14 octobre. Empêché par la crise sani taire en 2020, ce rendezvous régional bisannuel, qui rassemble habituelle ment 15 000 visiteurs, es père redémarrer du bon pied, dans un contexte particulier, où se côtoient rebond spectaculaire des ventes de champagne et crises énergétique et environnementale. Sans oublier les difficultés de recrutement, un point que la Passerelle des métiers à l'emploi, temps fort du Viti Vini, se propose de résoudre en partie. « Notre objectif principal est de mettre en avant les formations, les métiers et l’emploi, du pied de vigne jusqu’à la valorisation de la bouteille de champagne », explique Aurélie Henry, chargée de projet à la Maison de l'emploi et des métiers d’Épernay et sa région, qui anime la structure. Sur cet espace de 600 m², tous les publics en recherche d’information pourront être accueillis, des collégiens jusqu’aux salariés en reconversion. Un par cours de démonstration permettra de présenter plus d’une cinquantaine de métiers liés à la vigne et au vin, et les formations qui vont avec, puis il sera possible de consulter et répondre aux offres d’emploi déposées par quelques-uns des 200 ex posants du salon. « On dispose d’environ 150 offres de stage, d’alternance, de CDD et de CDI, dans des domaines très variés : mécanique, comptabilité, ingénierie, ro botique... », énumère Aurélie Henry. Tous les CV recueillis durant le salon seront compilés dans un « book » et transmis aux entreprises. 4 Infos et inscription : 03 26 54 85 85 et ahenry@mdem-epernay.fr
Emploi et formation sont au cœur de la Passerelle des métiers.
Installée à Châlons il y a trois ans sous l'égide d'Alméa Formations, la Digitale Académie propose aux 16-30 ans d'accéder à plus de 1 000 formations allant du BTS au Master et dispensées en ligne par les universités ou les orga nismes de l'enseignement à distance. D'abord héber gée au ThincLab Châlons, elle loue depuis l'an passé un espace au sein des Arts et Métiers et vient de re cruter une « coach » pour renforcer l'accompagnement des jeunes. Car qui dit formation à distance, dit aussi autonomie et rigueur. « On construit les emplois du temps ensemble, sachant qu'une présence entre 16 et 25 heures par semaine reste obligatoire », explique Virginie Jama, la responsable du dispositif. Les cursus choisis vont du commerce au social, en passant par l'informatique, la comptabilité, les langues ou la communication, et semblent avoir trouvé leur public. « Notamment les déçus de Parcoursup ou les ba cheliers qui rencontrent des problèmes de mobilité. On fait aussi office de tremplin pour ceux qui commencent ici puis réintègrent un établissement ensuite. » Si ses nouveaux locaux lui offrent une jauge de 34 places, la Digitale Académie compte à ce jour 16 inscrits. « Ils seront potentiellement une trentaine d'ici la fin des inscrip tions en novembre », estime la référente. Récemment, les élus de Châlons Agglo ac taient le renouvellement d'une subvention de 20 000 euros pour soutenir l'école en 2022 et 2023. Avec un objectif : accueillir 45 jeunes en 2024. Si ce cap est atteint, la question d'un autre déménagement pourrait se poser. Des discussions sont en cours pour rejoindre les bâtiments de l'ex-IPI, mais rien n'est acté pour l'heure. 4 Infos : 03 26 69 25 85 et digitaleacademie@almea-formations.fr
Ambiance studieuse dans les locaux de la Digitale Académie, installée depuis un an aux Arts et Métiers de Châlons. © l'Hebdo du Vendredi
De Paris à
elle quitte un
Ancienne commerciale dans le plus grand groupe hôtelier d'Europe, Léa Claverie-Wolter est revenue dans la Marne pour lancer son entreprise de décoration d'intérieur. Un projet réfléchi et un aboutissement personnel.
Quitter le salariat et la vie pari sienne pour revenir fonder son entreprise dans sa région natale était auparavant un cliché qui est en train de devenir une réalité tangible pour bon nombre de personnes. C’est le cas de Léa Claverie-Wolter, Châlonnaise de naissance, qui a profité de la crise sanitaire pour chan ger de vie professionnelle… et personnelle. Diplômée de l’ESC Troyes, une école de commerce qui prépare notamment aux mé tiers de l’hôtellerie, la jeune femme suit en suite un joli parcours qui la mène jusqu’à des établissements de luxe en Provence, à Monte-Carlo et à Paris. Elle rejoint finale ment le plus grand groupe hôtelier euro péen, en tant que commerciale, et fait sa vie dans la capitale. « J’avais toujours dit ‘Jamais Paris !’ et j’y ai finalement passé presque quatre ans, sourit la Marnaise. Et puis, le covid est arrivé, je suis restée confi née à Paris, c’était compliqué. »
Avant la crise sanitaire, l’idée de se reconvertir trottait déjà dans la tête de
groupe pour créer sa boîte
aussi une grande curiosité et aller plus loin que la formation pour être opérationnelle dès la création d’entreprise. » Ce sera chose faite en avril dernier, après plusieurs péripéties administratives. Si elle obtient bien une aide de la région (chèque CREA), c’est auprès de Pôle emploi que les choses se compliquent. « Je n’ai pas eu de res sources pendant huit mois », se souvientelle. Finalement, de commission en commission, elle fait valoir le bien-fondé de son projet, récupère ses droits au chômage et obtient un accompagnement au moment de sa création d’entreprise (Acre). « Heu reusement, j’ai pu compter sur le soutien de mes parents. »
Léa Claverie-Wolter, mais jongler avec une formation et un emploi à plein temps s’est révélé impossible. « C’est quelque chose qui a toujours été présent dans ma vie et dans ma famille, c’était évident qu’il fallait que je fasse ce métier un jour. J’avais déjà essayé de suivre une formation de décora trice d’intérieur, mais au niveau des horaires et de l’organisation, c’était difficile. » Anticipant les différentes étapes de son projet, la jeune femme le prépare minutieu sement. Elle trouve une formation en dé coration d'intérieur et en design d'espace
auprès de l’École d’arts appliqués à dis tance (EDAA), basée à Reims, puis démis sionne en décembre 2020 et retourne vivre chez ses parents, à Fagnières. « J’ai dû faire pas mal de concessions, après être partie de la maison pendant dix ans ! Mais je vou lais revenir près de ma famille, faire un re tour aux sources », image Léa Claverie-Wolter. Elle suit son cursus entièrement à distance avec assiduité, afin d’être prête en un an. « Il n’y a pas de partiels, on travaille à son rythme, il faut donc de la rigueur. Il faut
Les premiers clients du Studio LCW arrivent en août. Léa Claverie-Woltier s'adresse à des particuliers, pour des projets de vie ou de l’événementiel, mais aussi à des profes sionnels, petites maisons de champagne, hôtels ou gîtes, comme un clin d’œil à sa première activité. Lancée sur de bons rails et désormais installée à Épernay, la Mar naise de 29 ans se réjouit aujourd’hui d’avoir suivi son instinct. « Ça n’a pas été fa cile, je l’ai fait par étapes, mais j’avais besoin d’un nouvel épanouissement. Ç’a été un coup de tête, mais réfléchi », s'amuse-t-elle.
Simon Ksiazenicki 4 Infos : studiolcw.com, sur Facebook et Instagram
Les métiers d'aujourd'hui et de demain au salon Emploi & Formation
Time to move, LE rendez-vous pour bouger à l'international
Mercredi 12 octo bre, le Caveau de Castelnau à Reims accueille la 13e édi tion du salon Emploi & Formation, anciennement dénommé Avenir & Car rières, de 9 h à 18 h, sans interruption. Il s'adresse aussi bien aux jeunes (col légiens, lycéens ou étu diants) qu'aux adultes déjà en poste ou en re cherche d'emploi, lesquels pourront y trouver un large éventail de forma tions, grâce à la participa tion d'une quarantaine d'entreprises (SNCF, Vivescia, Pillaud Matériaux, Lidl, Aldi, Plurial Novilia...) venues recruter de nouveaux collaborateurs. En effet, cette année, le cœur du salon est dédié à l’orientation, s'intéressant notamment à la recherche de la formation la plus adaptée avant d’entrer dans le monde professionnel et s'interrogeant sur les métiers de demain. Trois conférences sont également au programme sur l’intelligence artificielle, les grands secteurs d’activité innovants et parcoursup. Animations et ateliers complètent cette journée où les visiteurs sont invités à se munir de leur curriculum vitae. L'an dernier, le salon a réuni environ 600 offres d'emploi et rassemblé 2 100 visiteurs.
Cette année, le cœur du salon est dédié à l'orientation. © Ville de Reims
4 Salon Emploi & Formation, mercredi 12 octobre, de 9 h à 18 h, au caveau de Castelnau, 9, rue Gosset à Reims. Entrée libre. Infos : salon-emploi-formation.fr
Dans le cadre de la campagne eu ropéenne Time to move, le centre info jeune Grand Est de Reims organise son tra ditionnel forum dédié à la mobilité internatio nale, mercredi 19 octo bre. De 13 h à 18 h, au stade Delaune, ce ren dez-vous, ouvert à tous les jeunes (lycéens, étu diants, apprentis, de mandeurs d’emploi et salariés), permet de faire le point sur les opportu nités pour vivre une ex périence à l'étranger. Ce forum permettra ainsi d'échanger avec une trentaine d'organismes spécialisés dans la mobilité internationale : Erasmus+, vo lontariat européen, VIE/VIA, étudier & travailler au Canada, etc. C'est donc l'occa sion de poser toutes les questions sur les différentes possibilités d'étudier, travailler, faire un stage ou un volontariat à l’international. Mais Time to move, ce n’est pas qu’un simple espace d’informations, c’est aussi, un moment pour découvrir des his toires inspirantes, pratiquer des langues étrangères ou encore participer à des ani mations (escape game et jeux linguistiques) et partager des infos pour voyager autrement.
Mercredi 19 octobre, ce rendez-vous dédié à la mobilité internationale fêtera sa 6e édition. © DR
4 Forum Time to move, mercredi 19 octobre de 13 h à 18 h, au stade Auguste Delaune, Reims. Entrée libre. Infos : info-jeunes-grandest.fr
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Tu es en terminale
maths, physique, chimie, SVToption
Expert...
peux postuler sur Parcoursup ESIREIMS
entrer directement
cycle préparatoire
l’école
Le parcours d'une Châlonnaise pour devenir sapeur-pompier
Comptable de métier, Emeline Joseph s'est préparée pendant un an au concours de sapeur-pompier professionnel. Elle l'a manqué de peu, mais aspire toujours à s'engager pour sauver des vies, en tant que pompier volontaire.
Comme beaucoup de jeunes, Emeline Joseph a suivi le cursus classique des métiers de la comp tabilité. D'abord un bac pro, puis un BTS et une licence. Dès la fin de ses études en 2017, elle décroche un poste dans un cabinet d'expertise à Fère-Champe noise avant de rejoindre Châlons, sa terre natale. « J'ai toujours eu des affinités avec les chiffres, explique-t-elle. L'avantage de la compta, c'est qu'on trouve facilement du travail dans ce domaine. » Assez vite, la lassitude des journées passées au bureau, assise derrière l'écran, la rattrape. De nature altruiste, la jeune femme avait déjà songé à devenir pompier. « Mon papa a été ambulancier smuriste à l'hôpital de Châlons pendant 40 ans. J'admi rais ce qu'il faisait au quotidien pour aider les gens, même si ce n'est pas un métier facile. Lorsque je lui ai parlé de mon projet, il a été surpris, et aussi content de m'avoir transmis cette fibre. »
sapeur-pompier professionnel. « Les dates d'inscription tombaient justement à ce moment. J'ai réussi les épreuves écrites en novembre, qui portaient sur des ba siques en français et en mathématiques. » Les épreuves physiques et sportives, en février de cette année, se sont avérées plus compliquées malgré les aptitudes de la can didate. Elle projette de participer au Raid Amazones 2023 avec le collectif « Les 4'Elles marnaises » et s'en traîne quasiment tous les jours dans différentes disci plines : natation, vélo et course à pied. « L'épreuve de natation consistait à parcourir 50 mètres en moins d'une minute. Je l'ai validée en 43 secondes. Le parcours sui vant devait s'effectuer avec une charge de 20 kg environ sur le dos. J'ai manqué de force dans les bras pour la barre de traction et je n'ai pas pu accéder à la dernière épreuve de course et d'endu
Trop peu de candidatures féminines
En 2021, Emeline quitte son emploi et se lance dans la préparation du concours d'admission à la formation de
Depuis avril, Emeline a retrouvé un poste dans la comptabilité du côté de Vitry. Elle garde son projet en tête, mais vise désormais, au moins dans un premier temps, le statut de sapeur-pompier volontaire. « Ce qui ne signifie pas bénévole, souligne-t-elle. On est rémunéré et on intervient selon nos disponibilités, sous forme de gardes et d'astreintes. Avec les mêmes missions que celles des professionnels. D'ailleurs, les pros comme les volontaires étaient sur le pont lors des incendies de fo rêts. » Quant aux risques du métier, elle ne les appré hende pas outre mesure. « Ils font partie de notre
Emeline Joseph espère un jour s'engager auprès des sapeurs-pom piers professionnels. © DR
engagement. Lorsqu'ils interviennent pour éteindre un feu ou porter secours à des personnes, les pompiers n'y pensent pas. Ce qui est sûr, c'est qu'ils manquent de vo lontaires et en particulier de candidatures féminines. Les mentalités évoluent, mais il y a encore bien plus d'hommes que de femmes chez les pompiers. » A ceux qui envisageraient une reconversion professionnelle, elle conseille de « bien se renseigner et de foncer. On se dit souvent que ce n'est pas le bon moment, alors qu'il suffit de s'en donner les moyens. » Peu importe la voie choisie.
Au sein de l’académie de Reims, le GIP FCIP, ou Groupement d’intérêt public de la formation continue et de l’insertion professionnelle, est une structure qui propose des formations pour tous, tout au long de la vie, en partenariat avec les acteurs du territoire.
Formation initiale et continue, apprentissage, validation des acquis de l’expérience, formation de formateurs et reconversion professionnelle font l’apanage de l’organisme de formation GIP FCIP. Derrière ce sigle obscur se trouve un réseau lumineux de conseillers territoriaux prêts à aider les personnes à se réaliser. « Nos services sont présents sur toute l’académie de Reims comprenant la Marne, l’Aube, la Haute-Marne et les AdU
A r d ennes. U n vaste territoire contrasté entre centres urbains et milieux ruraux, explique Thierry Périn, directeur du GIP FCIP. Ce maillage nous permet d’agir au
plus près des besoins propres à chaque territoire.
»
A la croisée de ces besoins, le GIP FCIP coordonne donc la co-construction de projets de formation entre le grand public et les acteurs économiques et institutionnels de la région. Ainsi, les personnes en recherche d’emploi, les salariés, les indépendants, les apprentis peuvent trouver un partenaire pour se former ou monter en compétences là où ils vivent. « Nous travaillons avec les entreprises, les collectivités, les lycées, le pôle emploi, le Conseil régional et les GRETA, ajoute Thierry Périn. Nous offrons une presrt taation de service public su l’ensemble du mtntterritoire, e où l’enjjeu es d’accomppagner tmle retour à l’empploi e soutenir les entreprises en difficulté de recrutement autour de projets sur-mesure. » Trouver sa place, construire sa vie, aller de l’avant sont des ambitions que les équipes du GIP réalisent avec et pour tous. Faisant coïncider intérêts écoij
nomiques, conjectures sociales et moyens structurels, Ils réunissent les personnes aux emplois qui leur correspondent d’où qu’elles viennent, quelles qu’elles soient.
C’est pourquoi le groupeme également aux lycéens avant l’école, avec ou sans qualific blic en situation de handicap avec l’association Différent e « Nos conseillers s’adaptent à lui redonner confiance, c’est lldi
nt s’intéresse qu’ils quittent ation, au puen partenariat t Compétent. chacun pour ça qui compte
où des animations ont permis de présenter leurs actions. Un savoir-faire à faire savoir !
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GIP FCIP
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vraiment
t », conclut le directeur. Ce qui compte aussi, c’est que la mission du GIP soit connue du grand public qu’il peut aider concrètement, comme avec sa présence sur la Foire de Châlons dernièrement
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Gare à la dégringolade
Avec une seule victoire en neuf rencontres et un nouveau nul frustrant concédé à Troyes, le Stade de Reims se retrouve en plein doute avant de recevoir le géant parisien, samedi.
Un air de déjà vu. C'est le sentiment qui habitait les supporters du Stade de Reims, dimanche soir, après le quatrième nul concédé par leur équipe, sur la pelouse du voisin troyen (2-2), alors qu'elle menait encore à la 90e minute. Il faut dire que cela faisait plus d'une demi-heure que les Rouge et Blanc évoluaient à dix contre onze après l'exclusion de leur maître à jouer, Junya Ito, pour un vilain tacle. Une habitude, pour les Rémois, qui ont subi, au stade de l'Aube, leur sixième carton rouge en seulement neuf rencontres.
Le plan de jeu minimaliste du club marnais lui avait certes permis de mener malgré une pos session indigente (32 %) et deux fois moins de passes échangées que leur adversaire, mais à force de subir, en infé riorité numérique, le scénario s'est finalement répété et les Rémois sont encore passés à côté de leur seconde victoire. Logique, quand on ajoute à ce carton rouge un but « donné » aux
Troyens par Yehvann Diouf, auteur d'une énorme bévue pour sa deuxième titularisation dans les buts rémois... « On est venu avec un plan de jeu assez clair, différent des dernières semaines, qui a permis de mettre Troyes en difficulté. Mais c’est très frustrant parce qu’on commet les mêmes erreurs depuis le début de la saison », a déploré Will Still, l'entraîneur adjoint ré mois, en conférence de presse. Cette équipe, talentueuse à certains postes, réussira-t-elle à
échapper aux quatre dernières places à l'issue de la saison en pratiquant le même football que celui développé à Troyes ? Les prochaines semaines donneront les premiers éléments de réponse.
Le Stade de Reims prend la pose
Néanmoins, samedi prochain, la réception du leader, le Paris Saint-Germain, n'offrira sans doute aucune indication claire sur la suite de la saison du Stade de Reims. L'écart semble tellement grand entre les deux formations que l'équipe d'Oscar Garcia, privée d'Ito, donc, n'aura certainement pas d'autre choix que d'ap pliquer une stratégie peu ou prou identique à celle déployée à Troyes. Face à la constella tion de stars parisiennes, les partenaires d'An dreaw Gravillon, pas passé loin de son premier but dans l'Aube, devront surtout défendre. Et ils devront bien le faire pendant 90 minutes, s'ils veulent espérer quoi que ce soit. Terminer à onze ne serait également pas du luxe. Pour le moment, ils ne sont pas en core parvenus à réaliser ce premier défi, tandis que le second ne s'est produit qu'à trois re prises. Il faut une première à tout...
Simon Ksiazenicki4 Reims - Paris SG, samedi 8 octobre, à 21 h, au stade Auguste-Delaune et sur Canal + Sport
Après l’Opéra, l'an passé, le Stade de Reims a choisi, cette année, le musée Saint-Remi comme cadre de sa photo of ficielle pour la saison 2022-2023. Si, sur le terrain, la dynamique est maussade, avec un nouveau nul concédé à Troyes et une 17e place au classement, dans la somp tueuse salle capitulaire de l'abbaye SaintRemi, les sourires étaient de mise sur les visages des partenaires invités et des joueurs, malgré une longue attente de ces derniers. Un seul membre du club man quait à l’appel, l’entraîneur Oscar Garcia, reparti en Espagne pour des raisons personnelles. Le résultat de cette séance de shooting sera dévoilé dans les prochains jours, tout comme celle réalisée avec l'équipe féminine du Stade de Reims.
Touché par le
jouera finalement
Alors que le Cham pagne Basket avait deux matches à jouer cette semaine pour le compte de la Leaders Cup, mardi sur le parquet de l'Elan Chalon et vendredi à domicile face à l'Al liance Sport Alsace, son calen drier s'est subitement allégé. La faute au covid qui se rappelle aux mauvais souvenirs de l'équipe marnaise. Plusieurs joueurs étant contaminés, trois au minimum, les deux rencon tres ont été logiquement reportées. Finalement, la réception de l'Alliance Sport Alsace a été décalée au dimanche 9 octobre à 19 h, au complexe René-Tys de Reims. Quant au déplacement à Chalonsur-Sâone, il a été repoussé au mardi 11 octobre, soit quatre jours seulement avant le coup d'envoi du championnat de Pro B qui verra Châlons-Reims jouer un choc contre Orléans. Ce sera le samedi 15 octobre, à 15 h 15, à Châlons.
Alsace,
SORTIES
C ONFÉRENCE
Daniel Rondeau, sa vie, ses œuvres
Illustre journaliste, diplomate et écrivain, élu à l'Académie française en juin 2019, Daniel Rondeau n'a pour autant jamais oublié ses ra cines et revient régulièrement en Champagne, à la rencontre de ses habitants. Pour la première fois depuis son ouverture, le musée d'Épernay accueil lera l'académicien, ce mercredi 12 octobre, à 18 h, pour une rencontre intitulée« Une vie, trois patries », durant laquelle il reviendra sur son parcours d’écrivain, sur ses nombreux engagements et sur ses missions de diplomate, ainsi que sur ses trois identités. Champenoise, car il est né au Mesnil-surOger. Méditerranéenne, par ses écrits et son passé d'ambassadeur de France à Malte. Et enfin euro péenne, en raison de son attachement viscéral au Vieux Continent. La conférence sera suivie d’une séance de dédicaces, en partenariat avec la librairie L’Apostrophe. S.K
4 « Daniel Rondeau, une vie, trois patries », mercredi 12 octobre, à 18 h, musée d'Épernay, 13, avenue de Champagne. Gratuit. Réservation : 03 26 55 03 56 et billetterie.musee@ville-epernay.fr
C ONCERT - L A C ARRÉ B LANCGustine, version intime
Deux jours après sa soirée célébrant l'ouver ture de sa saison, la salle de spectacle de Tinqueux accueille un concert événement avec à l'affiche Gustine. L'artiste rémoise, révélée au grand public grâce à son passage dans l'émission The Voice, est de retour avec sa voix et sa harpe qu’elle met au service d’un répertoire renouvelé qui s'accom mode parfaitement avec la scène. Chanteuse et har piste, donc, mais aussi pianiste, compositrice et productrice de musiques électroniques, Gustine pos sède un parcours musical aussi riche que varié. Au Carré Blanc, entourée de deux musiciens, elle par tagera avec le public les titres de deux de ses trois mini-albums Aquatism et Exotism. 4 Gustine, vendredi 8 octobre, à 20 h 30, au Carré Blanc, Tinqueux. Tarifs : 5 à 18 €. Infos : le-carreblanc.fr
Agenda
LOISIRS
SAMEDI 8 OCTOBRE
RANDONNÉE - DIZY
L’association Véronèse, qui œuvre pour la stérilisation des chats errants, organise sa 13e randonnée avec des par cours de 6, 12 et 18 km.
Départ à partir de 8 h, médiathèque, 261 rue du Vieux Château, Dizy. Tarifs : 4, 5 et 6 €
Infos : 06 01 73 53 17 et joelle.pierron@free.fr
BÉBÉS JOUEURS, SPÉCIALE MONTESSORI
Venez partager un moment ludique avec votre petit de moins de 3 ans. De 10 à 12 h, médiathèque Simone-Veil, Épernay.
Inscription obligatoire : mediatheque.epernay.fr
SAMEDI 8 ET DIMANCHE 9 OCTOBRE
LIRE PERCHÉ DANS L’ARBRE - GERMAINE
Salon du livre, spectacles, expositions autour de la thématique des arbres et de la forêt, avec des auteurs et illustrateurs.
À Germaine, accès gratuit au salon du livre et aux expositions, spectacles, ateliers et conférence payants. Infos et réservations : lireperchedanslarbre.com
DIMANCHE 9 OCTOBRE
FÊTE DE LA POMME - POURCY
Le Parc naturel régional de la Montagne de Reims organise
Un docu qui ne vous prend pas pour des truffes
Al’occasion de la Semaine du goût, le cinéma Le Pa lace et l’association Éper nay jumelages s’associent le temps d’une soirée alliant découverte ci nématographique et dégustation de produits italiens. C’est d’abord « Chasseur de truffes » (2020, 1 h 24), film inscrit dans la sélection of ficielle du Festival de Cannes en 2020, qui sera proposé. Ce docu mentaire tourné dans le Piémont suit un petit groupe d’anciens, ac compagnés de leurs fidèles chiens, lancés sur les traces de la truffe d’Alba, l'ingrédient le plus cher au monde. En filigrane, ils luttent pour protéger leurs traditions et leurs savoirs ancestraux. À l'issue de cette projection, les membres d’Épernay jumelages proposeront des mets italiens et un moment de convivialité.
4 « Chasseur de truffes », vendredi 14 octobre, à 19 h, cinéma Le Palace, Épernay. Tarif : 6 €. Infos : le-palace.fr
EN BREF
Le plein d'activités pour les tout petits
Ce n’est pas la première fois que les médiathèques d’Épernay proposeront des activités à destination des petits. Mais cette fois-ci, les établissements sparnaciens vont consacrer, durant les trois prochains mois, un cycle entier aux fameux « 1 000 premiers jours ». Une programmation spécialement concoctée pour les enfants de 0 à 5 ans, avec des expositions, des spectacles, des ateliers, des jeux, des expériences senso rielles et, pour les papas et les mamans, des temps d’échanges et de rencontres. Et comme toujours dans les médiathèques d’Épernay, ces rendez-vous seront gratuits. Infos et inscription : mediatheque.epernay.fr
la fête de la pomme. Au programme : un marché de pro ducteurs et d’artisans locaux, des dégustations, des anima tions et des ateliers pour enfants, un spectacle familial, des stands sur la biodiversité et l’alimentation durable... De 12 h à 18 h, Maison du Parc, chemin de Nanteuil, Pourcy. Gratuit. Infos : parc-montagnedereims.fr
LOTO - ÉPERNAY
Les bénévoles de l’Unité Croix-Rouge d’Épernay organisent un loto. Bons d’achat de 30 à 500 € à gagner.
À 13 h, salle Odile-Kopp, 1, avenue de Middelkerke, Épernay. Tarifs : 4 € le carton, 14 € les quatre, 20 € les six. Réservation : 06 35 25 17
RUGBY : ÉPERNAY - SUCY
Le Rugby Épernay Champagne reçoit le Rugby club Sucy dans le cadre de la 3e journée du championnat de Fédérale 3.
À 15 h, stade Paul-Chandon, allée de Cumières, Épernay. Payant.
SAMEDI 8 ET DIMANCHE 9 OCTOBRE
MARCHÉ ARTISANAL - AŸ
Les Europuces de Châlons, c'est ce week-end et c'est gratuit
Historiquement organisées à Reims, les Europuces dé balle pour la première fois au Capitole et réunit 65 exposants
spécialisés dans la brocante, les anti quités, les objets de collection et le vintage. « Installer notre manifesta tion à Châlons, c'est un pari, souligne Pascal Valleise, dirigeant de la société Artcom, qui chapeaute l'événement. Les acteurs châlonnais ont été d'une aide précieuse. On espère que les vi siteurs, y compris ceux de Reims, se ront au rendez-vous. On a d'ailleurs choisi de rendre l'entrée gratuite, contre six euros d'habitude, pour faciliter leur venue. » Les étals répartis sur 6 000 m2 proposeront une multitude de choses à chiner, pour tous les goûts et toutes les bourses. « Les Europuces, c'est un peu la caverne d'Ali Baba, sourit l'instigateur. On aura des jouets, de la BD, des vêtements, des cartes postales, des chapeaux et des sacs, de la verrerie art déco, de la dentelle, etc. Sans oublier le mobilier de toutes les époques. » Du classique au design des années 70, en passant par l'art industriel ou le style des 50's. Les curieux pourront également dénicher des raretés insolites, comme des luminaires fabriqués à partir de matière recyclée, du matériel scientifique, de la déco en plaque émaillée, etc. « L'un des exposants fait du relooking avec d'anciens postes TSF à lampes datés des années 30. Il y intègre des enceintes connectées, ce qui permet d'écouter les radios du monde entier avec une qualité de son d'aujourd'hui, tout en valorisant ces superbes objets. » La crise n'a, semble-t-il, pas eu raison des amateurs de chine, et c'est heureux. « Ils partagent leur passion, s'échangent des tuyaux et se font plaisir. On sait toujours ce dont on a besoin, jamais ce qu'on va trouver. » La magie des puces.
Sonia Legendre
4 Europuces, samedi 8 octobre de 14 h à 18 h et dimanche 9 octobre de 9 h à 17 h, Capitole, 68, avenue du Président-Roosevelt, Châlons. Entrée libre – Infos : europuces.com.
ONFÉRENCES - C ENTREDESCONGRÈSTEDxReims : le grand retour
Chiner
VENDREDI 7 OCTOBRE
FISMES - BOURSE AUX VÊTEMENTS & PUÉRICULTURE
18 h à 20 h - Salle des fêtes, rue de la Huchette
SÉZANNE - BRADERIE DU SECOURS
POPULAIRE
9 h à 18 h - Prétoire, Cours d'Orléans
SAMEDI 8 OCTOBRE
REIMS – BOURSE AUX VÊTEMENTS
A partir de 8 h 30 – Service du vêtements, 19 et 25, rue du Jard
BOURGOGNE-FRESNES
PUCES DES COUTURIÈRES
9 h à 17 h - Salle de la Buissonnière, place de la Mairie
CHÂLONS - EUROPUCES
Antiquités, objets design, etc.
14 h à 18 h - Entrée libre
Au Capitole-en-Champagne
FISMES - BOURSE AUX VÊTEMENTS ET PUÉRICULTURE
9 h à 17 h - Salle des fêtes, rue de la Huchette
SÉZANNE
BRADERIE DU SECOURS POPULAIRE
9 h à 18 h - Prétoire, Cours d'Orléans DIMANCHE 9 OCTOBRE
ATHIS - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
AUMÉNANCOURT - VIDE-POUSSETTES
8 h 30 à 12 h - 14, rue Désiré Sarazin
CHÂLONS - EUROPUCES
Antiquités, objets design, etc.
9 h à 17 h - Entrée libre - Au Capitole-en-Champagne
CHÂLONS - VIDE-GRENIERS & BRADE-LIVRES
8 h à 17 h - Esplanade du Verbeau
CORMICY - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
COURCY - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
LES-GRANDES-LOGES - VIDE-POUSSETTES
8 h à 16 h - Salle des fêtes
LIVRY-LOUVERCY - VIDE-POUSSETTES
8 h à 13 h - 6, rue de la Renaissance
MAGENTA - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Parking groupe Anatole-France
REIMS - MARCHÉ AUX LIVRES
8 h à 17 h 30 - Halles du Boulingrin
SÉZANNE - BRADERIE DU SECOURS
POPULAIRE
9 h à 18 h - Prétoire, Cours d'Orléans
ST-BRICE-COURCELLES – BOURSE TOUTES COLLECTIONS
9 h à 17 h 30 – Entrée libre – Salle des fêtes
ST-ÉTIENNE-SUR-SUIPPE - VIDE-MAISON
9 h à 18 h - 18, rue du Château
TOURS-SUR-MARNE - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
DU MERCREDI 12 AU SAMEDI 22 OCTOBRE
REIMS - BRADERIE DE VÊTEMENTS
14 h à 18 h (sauf le dimanche) - Foyer protestant, 22, rue Camille Lenoir
Les réservations sont ouvertes pour le TEDxReims prévu le 1er décembre prochain.
E.Sokol
Après deux ans de silence forcé, la soirée TEDxReims revient le jeudi 1er décembre avec toute la puissance que peuvent avoir les grands retours sur scène. En effet, les conférences TEDx Reims sont, depuis leur première apparition en 2013, toujours très attendues. Et cette année, c’est inédit, c’est au Centre des Congrès que le rendez-vous est donné pour écouter les sept intervenants d’ores et déjà annoncés et qui réfléchiront sur le thème choisi cette année : Influence(s). Au programme, donc, Patricia Chaira, grande reporter de guerre et romancière, Hervé Berthonneau, coach, Richard Matis, professeur et président national de Gynécologie sans frontières, Jérôme Lavillat, publicitaire de l’agence Romance, Mamouz, journaliste, productrice et instragrameuse, Alix Pelletreau, membre du réseau Éspérance Banlieue et Jérémy Stempflin, président de l’association Marcher pour respirer. Chacun à leur lumière explorera l’influence, sous un angle ou un autre, pour mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Seule contrainte, universelle à toutes les conférences TED, ils n’auront pas plus de 18 minutes pour s’exprimer, durée considérée comme le temps moyen d’attention optimale pour une audience classique. Minutée, chaque intervention va donc à l’essentiel et captive, à chaque fois, par son condensé d’informations utiles et surprenantes. Les réservations sont ouvertes, et les places partent vite, même si, cette année, la jauge attendue peut atteindre les 700 spectateurs.
Influence(s), jeudi 1er décembre à
tedxreims.fr
Centre des congrès, Reims.
Cinéma
LE PALACE 33, boulevard de la Motte - Épernay - 03 26 51 82 42 Du 7 au 11 octobre 2022
NOVEMBRE ven 14H30 - 20H30 sam 14H30 - 17H30 20H30 dim 14H40 - 17H40 20H30 lun 14H30 - 17H30 20H30 mar 14H30 - 20H30
DRAGON BALL SUPER ven 14H20 - 20H45* sam 14H2017H20* 20H45 dim 10H45 - 14H20 17H20* - 20H20 lun 17H20 - 20H20* mar 17H20* - 20H20
SMILE ven 14H10 - 17H10 20H45 sam 14H10 - 17H10 20H45 dim 14H10 - 17H10 20H20 lun 17H10 - 20H20 mar 14H1020H20
L’ORIGINE DU MAL ven 17H10 - 20H20 sam 14H10 - 20H20 dim 17H10 - 20H20 lun 14H10 - 20H20 mar 14H10 - 17H10 COUP DE THÉÂTRE ven 14H20 - 20H30* dim 10H45 - 17H30* lun 20H30* mar 14H20
JUMEAUX MAIS PAS TROP ven 17H20 - 20H30 sam 14H2020H30 dim 10H45 - 14H20 20H30 lun 14H20 - 17H20 mar 14H20 - 17H20 20H30
SANS FILTRE ven 14H10 - 20H* sam 14H* - 17H 20H* dim 14H - 17H* 20H* lun 14H1020H* mar 17H* - 20H*
VACANCES ven 14H30 dim 20H30 lun 17H30 mar 20H30
LE SIXIÈME ENFANT ven 14H30 - 17H20 sam 17H20 dim 11H lun 14H30 - 20H30 mar 14H30 - 17H30
UNE BELLE COURSE ven 17H30 sam 17H30 dim 10H45 - 14H30 lun 14H30 mar 17H3020H30
KOATI dim 11H
DON’T WORRY DARLING ven 17H10* lun 14H20* - 17H10 mar 17H10
REVOIR PARIS ven 17H20 lun 17H20 mar 14H30
TAD L’EXPLORATEUR sam 17H30
KRYPTO sam 14H30 dim 14H30
LES MINIONS 2 dim 11H
TOP GUN : MAVERICK sam 20H20 dim 17H10
*VOST
Météo
C’est une semaine pleine de surprises ! Sous l’action de la nouvelle Lune, vos pro positions se multiplieront et vos projets auront toutes les chances de se concrétiser. Osez innover !
Vous voulez garder le sourire et préserver votre énergie positive ? Une seule solution : une hygiène de vie irréprochable. Oubliez les exci tants en tous genres, ils vous feraient couler à pic.
Bonne nouvelle, le tandem Jupiter-Vénus en signe ami vous réserve de belles pro messes. Côté cœur, l’amour et plaisir se rencontreront pour votre plus grande joie.
Dans l'ensemble, une bonne semaine vous attend malgré un pied de nez de la nouvelle Lune. Qui trop embrasse mal étreint, sou venez-vous de cet adage !
L’accent est mis sur votre vie relation nelle. Il s’agira de soigner vos relations sociales et de coopérer davantage avec vos collègues qui n'hésiteront pas à vous renvoyer l'ascenseur.
De nombreuses questions d’ordre pratique vous occuperont, ce qui laissera relativement peu de disponibilité pour le secteur affectif… Veillez à ne pas aller trop vite en besogne.
N'hésitez pas à vous lancer dans des projets de grande envergure. Ne laissez pas dor mir vos bonnes idées, mais appliquez-les et défen dez-les avec conviction.
Stop ou encore ? Continuer en choisissant la sécurité, ou prendre le risque de tout changer ? Ne cherchez pas à contrôler la situation de A à Z, et mieux vaut éviter toute forme d’excès.
Vous vivrez une semaine studieuse et parfois même laborieuse, histoire de vous perfec tionner. Votre vie privée vous apportera beaucoup de satisfactions, mais des dépenses en trop aussi.
Aujourd’hui, confrontez vos attentes à la réalité la plus crue possible si vous voulez mettre toutes les chances de voir vos projets aboutir en ne laissant personne vous en détourner.
Votre vie professionnelle s’annonce plus li néaire que la période précédente. En effet, vous allez lever le pied et prendre du recul, tout particulièrement dans vos relations.
Votre meilleur atout sera votre confiance en vous, ne cédez pas aux provocations et ne baissez pas les bras. Votre créativité sera au beau fixe si vous écoutez votre intuition ! Benoît Melvhille
Qualité de l’air
La CLCV vous informe
L’usage paisible des lieux
L’usage paisible des lieux consiste pour le locataire à ne pas porter atteinte à la jouis sance des autres occupants de l’immeuble ou à faire un usage du logement autre que celui prévu dans le contrat (exercer une activité professionnelle alors que le bail prévoit uniquement une occupation à titre d’habitation principale) (article 7 b loi n° 89-462 du 6 juillet 1989). C’est aussi sur le fondement de l’obligation de jouissance paisible que la responsabilité du bailleur est engagée pour les actes accomplis par des personnes avec lesquelles il est lié juridiquement, par exemple pour les troubles de voisinage occasionnés par un autre de ses locataires.
CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com