Ce week-end, la Banque alimentaire collecte
La grande collecte nationale de la Banque alimentaire, qui mobilise chaque année plus de 130 000 personnes, se tiendra du vendredi 25 au dimanche 27 novembre. Dans la Marne, les bénévoles et salariés en gilet orange se ront présents dans plus de 80 magasins pour recueillir des denrées diverses et variées (café, huiles, vinaigres, sucre, farine, plats cuisinés, confitures, biscuits, céréales, conserves, légumes secs…). Premier réseau d'aide ali mentaire en France qui approvisionne ses grands partenaires que sont la Croix-Rouge, le Secours populaire et Les Restos du cœur, la Banque ali mentaire sert chaque année 264 millions de repas pour 2,2 millions de bé néficiaires. Au moins 7 millions de Français sont concernés par la précarité alimentaire. Infos : 03 26 08 18 47 et ba510.collecte@banquealimentaire.org
Les Marnais invités à déposer les armes !
+346 %
ÉDITO
de Simon Ksiazenicki, journalisteCovid au pays des cocos
Du 25 novembre au 2 décembre, le ministère de l’Intérieur or ganise une opération d’abandon simplifié d’armes à l’État. Si la France compte près de 5 millions de détenteurs légaux d’armes, on estime qu’au moins 2 millions de Français détien draient sans titre des armes, principalement de chasse ou issues des Première et Seconde Guerres mondiales, le plus souvent acquises par héritage. Par cette opération, les détenteurs de bonne foi se voient donc offrir la possibilité de s'en dessaisir simplement ou de les conserver légalement. Dans le départe ment de la Marne, deux sites de collecte sont ouverts durant cette période, de 9 h à 17 h : le commissariat de Châlons et la brigade de gendarmerie de Ville-en-Tardenois. Infos : 03 26 26 11 89 ou marne.gouv.fr/Prendre-un-rendezvous-en-ligne/Prefecture-de-la-Marne
Nelson Monfort attendu à l'Arena
C'est en pourcentage l'augmentation de la mortalité des arbres (en volume) constatée entre 2011 et 2021 dans la région Grand Est, selon les résultats 2022 de l'inven taire forestier fournis par l'Institut national de l'infor mation géographique et forestière (IGN). C'est 294 points de plus que la moyenne nationale : ce qui fait de la région la plus touchée en la matière. Cette hausse spectaculaire est principalement due aux crises sani taires liées à des conditions climatiques à la fois diffi ciles pour les arbres, telles que les sécheresses, et propices aux insectes xylophages qui mangent les branches, les troncs ou les racines des arbres morts ou vivants. L'inventaire de l'IGN révèle également que la superficie des forêts dans le Grand Est, qui recouvre aujourd'hui 31 % du territoire, soit presque 2 millions d'hectares (34 % au niveau national, soit 17 millions d'hectares), n'a augmenté que de 8 %, contre 21 % pour l'ensemble des régions françaises.
C’était à prévoir, malgré les coups de semonce légi times et les menaces de boycott brandies à l’encontre de la 22e Coupe du Monde, l’événement foot plané taire continue de faire tourner beaucoup de têtes et de prendre de la place. Mais pas au point de phago cyter le reste de l’actualité et d’éclipser certains sujets préoccupants. Celui-ci, même les contempteurs du ballon rond auraient préféré ne pas en entendre par ler : le coronavirus. D'aucuns pensaient avoir tourné la page et beaucoup ignorent sans doute que la re crudescence des contaminations entraîne l’Europe vers une 9e (!) vague pandémique. Alors que l'hiver arrive à grands pas, les virus saisonniers viennent se superposer à notre vieil ami. La flambée de bronchio lite, couplée à la précocité de la grippe, fait craindre à un engorgement des urgences, une histoire sans fin… Si la situation est inquiétante, elle ne le sera ja mais autant qu’en Chine. Tandis que beaucoup de pays ont retrouvé, trois ans après l’apparition du virus, une vie à peu près normale, 1,4 milliard de Chinois vivent encore au rythme des confinements brutaux décrétés par Pékin. Sept mois après les Shan ghaïens, 22 millions de Pékinois subissent des me sures sanitaires strictes depuis quelques jours. À Zhengzhou, au centre du pays, une révolte a éclaté dans la plus grande usine d’iPhone au monde, un im mense site industriel rassemblant 200 000 travail leurs (soit autant que Reims compte d’habitants !), qui réclamaient un assouplissement des restrictions im posées depuis plusieurs semaines. Réponse des au torités : 6 millions de personnes confinées ! Et selon la banque japonaise Nomura, 207 millions de Chi nois continuent de subir des mesures d'empêchement à divers degrés… Le pays fait certes face à un rebond épidémique, mais avec 30 000 cas quotidiens dans une population aussi importante, on est encore bien loin des 465 000 tests positifs recensés en France, le 18 janvier dernier, en pleine cinquième vague, qui n’avait déclenché que de modestes mesures coerci tives. Surtout, l'empire du Milieu fait face à une cou verture vaccinale insuffisante et vraisemblablement à une injection moins efficace, la technologie à ARN messager n’ayant pas encore été approuvée par les autorités locales. On se demande bien comment les antivax français, si prompts à clabauder contre la supposée dictature dans notre pays, regardent l’exemple chinois.
Il n'y a pas que des concerts ou des spectacles au programme de la grande salle rémoise : la preuve mardi 29 novembre avec la venue du journaliste sportif Nelson Monfort. Icône du sport pour ses interviews au bord des terrains, il est l'invité de 8/9 Adjan, un réseau professionnel qui se réunit deux fois par mois dans des lieux d'exception autour d'une personnalité du monde sportif. Début septembre, 8/9 Adjan avait ainsi invité Philippe Candelero lors de la Foire de Châlons. Infos : adjan.fr
- distribution@lhebdoduvendredi.com
Parution le vendredi matin - Imprimé par l’imprimerie de L’Union C.P.P.A.P 1225 Q 94414
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La vente du palais de justice annulée
Approuvée il y a près de deux ans, la cession de l'édifice sparnacien à la société Fayat a été abrogée. Le grand groupe de BTP, qui prévoyait d'y construire un complexe hôtelier, jette l'éponge, vraisemblablement en raison de la conjoncture.
On pensait le projet de transformation de l’ancien palais de justice d’Épernay en un hôtel sur de bons rails, mais il a finalement fait long feu. Une fois de plus. Lors du conseil municipal du 14 novembre dernier, les élus ont entériné l’abandon du projet de réhabili tation de l’ensemble immobi lier par la société Fayat Promotion, comme l’avaient fait leurs homologues du conseil départemental de la Marne, deux mois plus tôt. La parcelle avant de 1 270 m², propriété du département, et les 1 860 m² restants, détenus par la ville d’Épernay, se re trouvent donc une nouvelle fois sur le marché. Pourtant, les premières tractations remontent à loin. Début 2019, après de longs pourparlers, la ville avait trouvé un accord avec la société AZA,
qui exploite la Villa Eugène, l’hôtel 5 étoiles de l’avenue de Champagne. Celle-ci avait finale ment jeté l’éponge, faute de financements et d’autorisations, et c’est son associé de l’époque, la société Somifa, promoteur immobilier et filiale du Groupe Fayat, 4e groupe de BTP français, qui avait repris la main, deux ans plus tard. Le pro moteur avait détaillé son projet auprès de la mu nicipalité, soit un complexe hôtelier 4 étoiles de 60 chambres, comportant un restaurant, une pis cine, un spa et un parking souterrain de 29 places. À l’époque, le maire Franck Leroy s’était réjoui de cette transaction, face à une opposition scep tique quant au prix de vente du bien, inférieur aux estimations. « Quand on a l’opportunité d’avoir un investisseur qui est prêt à acheter, investir et créer des emplois alors qu’on n’a aucune pers pective pour ces bâtiments an ciens dont nous aurions dû supporter la dégradation, c’est plutôt une bénédiction ! », avait-il répondu aux élus de gauche. La Somifa avait émis une offre financière de 1,5 M€ pour acquérir l'ensemble de l'édifice, dont un tiers aurait dû revenir à la ville d’Éper nay.
Près de deux ans plus tard, le géant du BTP a fi nalement jeté l’éponge. Trop complexe ? Trop coûteux ? « La cession du palais de justice est
abandonnée par la société qui avait le projet de l’acheter. Ce projet durait depuis un certain temps et on n’avait plus trop de nouvelles depuis de longs mois », a sobrement com menté Franck Leroy, face aux élus. Devant les interrogations des conseillères communistes Sarah Deplanque et Hélène Perrein, le premier édile est un peu ren tré dans les détails. « Le groupe Somifa portait le projet depuis un certain temps, mais je pense que les conditions de faisabilité économique ne sont pas réunies pour qu’un projet voie le jour. La conjoncture est problématique et les coûts n’ont fait que renchérir à cause de la crise. » Cela peut-il être préjudiciable au grand projet de la municipalité, la transformation de l’esplanade Charles-de-Gaulle en un jardin public ? Négatif, répond le maire, qui assure que cette anicroche pourrait se transformer en atout. « Aujourd’hui,
Les autres projets du Jard maintenus
la vue depuis le palais de justice n’est pas des plus heureuses. Quand on aura le jardin public en face, ça va changer la percep tion qu’on peut avoir du palais de justice et je suis persuadé qu’on aura de nouveaux investisseurs à ce moment-là. » Autour du futur parc urbain, un ensemble hôtelier de 111 cham bres doit prochainement voir le jour, entre le bal lon captif et la rue Eugène-Mercier. Si l’on en croit les différentes communications faites par Bouygues Immobilier, le constructeur, et le groupe rémois Pingat, son futur exploitant, ce projet-là est sur de bons rails et l’ouverture a d’ores et déjà été annoncée pour 2024. À ce mo ment-là, où en sera le projet de cession du palais de justice d’Épernay ?
Simon Ksiazenicki« Un risque d’arrêt de certains secteurs
Au moment d’aborder l’abandon du projet de réhabilitation du palais de justice, les élus d'opposition communistes en ont profité pour faire part de leurs inquiétudes. « Dans la conjoncture actuelle, d’autres investisseurs vont-ils jeter l’éponge et remettre en cause des projets structurants, comme la construction d’un hôtel et de logements sur le Jard ou sur le projet des Berges de Marne ? N’est-il pas temps de revoir la copie et de penser Épernay autrement que pour les touristes et les investisseurs ? », s’est interrogée Sarah Deplanque.
Parmi les projets cités, elle faisait référence à l’ensemble immobilier de standing de 50 logements qui doit sortir de terre sur le terrain qui jouxte la sous-préfecture. Le promoteur lillois Sigla Neuf, qui a acquis le terrain, aurait dû démarrer les travaux en avril. « Aujourd’hui, la promotion immobilière pri vée est fortement impactée par la crise, a justifié Joachim Verdier, adjoint au maire en charge de l’ur banisme. Mais les endroits les plus stratégiques et séduisants, comme la poche du Jard, resteront attractifs. On n’est pas trop inquiet là-dessus. » L’explosion des coûts des matériaux et de l’énergie seraient responsables du retard de ce projet.
« La reprise économique de 2021 avait déjà entraîné une hausse des coûts, mais la guerre d’Ukraine a totalement désorganisé les choses, a ajouté le maire, Franck Leroy. On vit une période particulière qui entraîne des difficultés dans toutes les villes. Il y a des renoncements, des retards, des différés de certains marchés, parce que les prix sont délirants. Il y a un risque d’arrêt de certains secteurs, en at tendant que les choses se régulent. » Sollicitée, la société Sigla Neuf n’a pas donné suite.
Déserté depuis des années, le palais de justice d'Épernay avait trouvé un acquéreur, qui a fini par abandonner son projet de réhabilitation. © l'Hebdo du VendrediBientôt des places moins chères et plus nombreuses sur le Jard
Les élus d'Épernay ont acté le passage en « zone verte » du stationnement temporaire sur l'esplanade Charles-de-Gaulle et la réouverture d'une partie de la poche du Jard.
Depuis le mois de juin, l’esplanade Charles-de-Gaulle d’Épernay est chamboulée par les travaux du futur parking souterrain qui doit être livré à l’été 2024. Un projet de 400 places qui doit permettre de transférer le stationne ment, actuellement aérien et peu esthétique, en sous-sol. Jusqu’à présent, malgré le dé marrage du chantier, il reste des véhicules garés sur le Jard, du côté des rues JeanChandon-Moët (190 places) et EugèneMercier (90 places) la ville ayant souhaité maintenir une offre de stationnement public sur des zones provisoires. Classées en « zone rouge », soit le tarif le plus cher, il s’avère qu’elles sont peu utilisées. « En de hors du prix onéreux, le manque d’informa tion pèse sur la désaffection de ce parking », a déploré Sarah Deplanque, l’élue d’opposition, lors du dernier conseil
municipal. « Peu de gens savent qu’on peut encore se garer sur le Jard », a renchéri sa consœur, Hélène Per rein.
Pour une fois, le maire, Franck Leroy, était
d’accord avec les deux conseillères com munistes, au moment de présenter une déli bération qui va per mettre d’appliquer un tarif « zone verte » à ces zones provisoires
de stationnement. « L’objectif sur ce rap port est de changer la tarification du par king du Jard, compte tenu du fait que les travaux n’ont pas débuté sur tous les chan tiers, a expliqué le maire d’Épernay, qui a également indiqué qu’une signalétique pro visoire serait installée afin d’informer le public de l’existence de ce stationnement temporaire.
Autre nouveauté, la « poche du Jard », si tuée dans la rue Eugène-Mercier, sera tem porairement rendue aux véhicules. La construction de l’ensemble immobilier de standing comprenant 50 logements a pris beaucoup de retard, en raison, selon le maire, de la hausse du coût des matériaux.
« La société Sigla Neuf tardant à construire, on lui a demandé l’autorisation de stationner des véhicules sur son empla cement, a révélé Franck Leroy. On va pou voir rouvrir des places, ce qui va soulager le stationnement de tous celles et ceux qui viennent en centre-ville. » À l’approche des fêtes de Noël, la nouvelle devrait ravir les commerçants.
Simon KsiazenickiUne patinoire moins gourmande ?
Face à la hausse du coût de l'énergie, les Vitrines et la ville ont décidé de réduire la durée des festivités de Noël, qui démarrent le 2 décembre, mais aussi d'être plus attentives aux consommations de la patinoire.
Les Vitrines d’Épernay, qui organisent les animations de Noël en partenariat avec la ville, l’ont promis : cette année, en raison du contexte énergétique, l’associa tion de commerçants sera « très vigilante afin que les coûts d’exploitation n’explosent pas, notamment concernant l’électricité », dixit Laurent Barthélémy, son président. D’abord, la durée des festivités a été réduite à 32 jours, au lieu des six semaines habituelles. « D’un commun accord avec la ville, on a souhaité maintenir cet événement, car il est attendu chaque année par les commerçants et les Sparnaciens pour animer le centre-ville d’Épernay », estime le président des Vitrines. Ensuite et surtout, la patinoire de 450 m², qui
cerne la fontaine de la place Hugues-Plomb depuis maintenant plus de 20 ans, fera l’objet d’une surveillance étroite. Depuis quelques jours, l’entreprise alsacienne Synerglace, leader européen de l’installation et la location de patinoires, et les services de la ville s’activent afin que l’équipement soit prêt pour le 2 décembre, jour de l’inauguration d’Épern’Neige, le village qui accueillera di verses attractions et animations. Pendant un mois, la patinoire sera gérée par les équipes des Vitrines qui recevront une préparation par ticulière de la part de ce prestataire. « Il y aura une formation plus aboutie sur la gestion de la glace et du groupe frigorifique, semblable à celle qu’on dispense aux professionnels des patinoires fixes, afin d’amé liorer la gestion énergétique de la patinoire, nous ex plique Grégory Fage, res ponsable Île-de-France chez Synerglace. S’il pleut par exemple, il n’y aura pas d’intérêt à arroser ou augmenter la puissance du groupe frigorifique pour faire de la glace supplémentaire. » L’épaisseur de la piste, habituellement d’en
Soirée fripe à Mareuil-sur-Aÿ
viron 10 cm, sera également divisée par deux pour demander moins d’efforts au groupe fri gorifique et ainsi réduire sa consommation. Si certains s’étonnent que la patinoire soit conservée en cette période de sobriété énergétique contrainte, l’em ployée de Synerglace entend relativiser la consommation électrique de l’équipement. Il l'estime à 20 000 kW, l’équivalent d’une maison de 100 m² chauffée à l’électricité pendant un an. « À peu de choses près, une patinoire de
É VÉNEMENT500 m², qui va accueillir près de 10 000 per sonnes pendant un mois, consomme autant qu’un foyer de quatre personnes. Par rapport au lien social, à l’animation et à la dynamique commerciale que ça apporte, le coût est très modeste », estime Grégory Fage. Malgré tout, l’entreprise, qui installe 300 pa tinoires éphémères chaque année, devrait être victime du contexte puisqu’elle s’attend à une baisse de 30 % des commandes, cet hiver.
Simon KsiazenickiLes Habits de lumière cherchent des grosses têtes
C’est l’une des pre mières animations que l’on peut obser ver aux Habits de lumière, lorsqu’on accède à l’ave nue de Champagne par la place de la République. De puis maintenant plus de dix ans, l’hôtel de ville d’Éper nay est le théâtre d’un spec tacle son, vidéo et lumière, appelé mapping vidéo, tou jours très apprécié des par ticipants.
La jeune association Zéro déchet Grande Vallée de la Marne revient avec un événement grand public autour de la récup', ce jeudi 1er décembre. De 19 h à 21 h, l’asso et ses par tenaires investiront la Maison de Mareuil pour un « apéro shopping seconde main » qui proposera une expo, un apéro, une vente de vêtements et un défilé de mode. Pour l’occasion, trois boutiques du cru ont été conviées : La Frip’Unique et La P'tite Saperie d’Épernay et Me mento Sally d’Aÿ. « Cette manifestation conviviale regroupera des acteurs de la vente de vê tements de seconde main et les participants retrouveront de très belles pièces soigneusement sélectionnées, explique l’association. L'objectif est de sensibiliser à l'impact de la « fast fashion » (mode éphémère), donner des pistes pour vivre beaucoup plus durablement avec ses vêtements et mettre en avant trois boutiques locales de seconde main. Tout cela dans une am biance conviviale. »
L’événement s'inscrit dans le cadre de la Semaine européenne de la réduction des déchets et la campagne « Rien de neuf », organisée par l'association Zérowaste France, dont l’asso est une antenne locale. Selon plusieurs études et enquêtes, les conséquences de la « fast fashion » sont désastreuses, tant écologiquement que socialement. La consommation annuelle de 130 milliards de vêtements serait responsable de 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre, soit environ 2 % des émissions mondiales, sans compter le maintien des inégalités entre pays producteurs et consommateurs.
En 2019, la ville s’était at taché les services de la so ciété canadienne Graphics eMotion pour réaliser l'une de ces fresques lumineuses, sur le château Perrier. « C’était une expérience incroyable », s'est souvenu Julien Abril, président de la société basée à Montréal, apparu en visioconférence lors de la récente présentation du pro gramme des Habits de lumière. Cette fois-ci, c'est la façade de l’hôtel de ville qui a été confiée à Graphics eMotion. Le spectacle imaginé par l'équipe canadienne reviendra sur l'histoire de ce bâtiment emblématique d'Épernay, construit vers 1858 par l'architecte de la gare Montparnasse, Victor Lenoir, pour la famille Auban-Moët. Cette date est d’ailleurs le nom retenu pour ce mapping vidéo qui intégrera éga lement des artistes circassiens issus du Centre national des arts du cirque de Châlons. En amont des deux soirées festives des 9 et 10 décembre, la société spécialisée dans ces pro jections immersives invite les habitants à envoyer des photos afin de compléter une mosaïque de portraits qui sera projetée dans des bulles rappelant la célèbre boisson locale, pendant la phase d’attente entre les spectacles. Les Sparnaciens et les autres ont jusqu’au vendredi 2 dé cembre pour envoyer leurs plus belles trombines sur le site dédié (habitsdelumiere.fr).
Les photos seront intégrées au mapping vidéo projeté sur l'hôtel de ville. © Ville d'Épernay
Parmi les pistes pour réduire la consommation, l'épaisseur de la glace, qui sera divisée par deux. © l'Hebdo du VendrediUne glace plus fine, notamment
Nouvelle procédure pour la chaufferie de Bernon
C’est un contretemps re grettable qui va ralentir le déploiement d’un projet ambitieux pour la ville d’Épernay. Le 9 septembre dernier, la municipalité convo quait un conseil municipal ex ceptionnel afin de valider le changement de délégataire pour la gestion du réseau de chaleur urbain, situé sur les hauteurs du quartier Bernon, et son transfert du gaz vers la bio masse. Le contrat passé avec Dalkia, filiale du groupe EDF, arrivait à son terme et c’est fi nalement l’entreprise Idex qui avait séduit les élus grâce, no tamment, à son intention d’ali menter l’équipement à 95 % en bois local et d'étendre le réseau à 9 kilomètres afin de raccorder de nouveaux sites et clients.
Las ! L’entreprise Dalkia, perdante, « a déposé un recours précontractuel devant le juge des référés et a obtenu gain de cause », a fait savoir le maire, Franck Leroy, lors du dernier conseil municipal. En cause, « un problème de forme ». Dans son projet, Idex avait imaginé « d’installer une chaudière de moindre capacité à Bernon, mais de faire appel, en dépannage, à des chaudières existantes, à l’hô pital et au Millesium », a expliqué le premier édile. Or la société parisienne a obtenu un accord de principe des deux entités, mais le juge des référés a estimé que c’est un contrat en bonne et due forme qui aurait dû être signé, d’où sa décision.
Lors du prochain conseil municipal, le 12 décembre, le maire d’Épernay proposera aux élus de classer sans suite la délégation de service public et de relancer la procédure. Idex et Dalkia devraient à nouveau proposer leurs services afin de devenir le délégataire de la chaufferie de Bernon pour les 24 années à venir. S.K
Quatre jeunes « timbrés » marnais sacrés champions de France Fin octobre dans l'Allier, Inès Gilbaut, Boris Matry, Nathanaël et Antonin Saintot, membres des associations philatéliques champenoise et sparnacienne, ont été distingués pour leurs collections de timbres au championnat de France de philatélie jeunesse. Ces passionnés âgés de 8 à 14 ans sont revenus avec quatre médailles (grand vermeil, grand argent et ar gent) ainsi que le titre de champion de France individuel, attribué à Boris. Une première pour la Marne.
Inscriptions dans les centres de loisirs d'Épernay
À l’occasion des vacances de Noël, la ville d’Épernay accueillera les enfants dans ses centres de loisirs, du lundi 19 au vendredi 30 décembre. Les 2-5 ans seront accueillis dans les locaux de la Maison des parents et de l’enfant (chemin de la Source) et les 6-12 ans à la Maison pour tous (39, avenue de Middelkerke). Les inscriptions seront ouvertes à partir du mardi 29 novembre, à la Maison pour tous, sur rendez-vous, au 03 26 55 00 01 ou mpt.administratif@ville-epernay.fr. Infos : epernay.fr
LOGEMENT
Démolition et réhabilitation rue du Moulin Brûlé
Il y a du nouveau dans la rue du Moulin Brûlé, une artère qui ceinture le centre-ville d'Épernay. Quelques années auparavant, dans un ensemble de bâtiments allant du 7 au 11, l’association Ac cueil Saint-Vincent de Paul y avait un foyer pour personnes démunies, un vestiaire (friperie) et louait un local à l’Entraide alimentaire et sa vingtaine de bénévoles. Face aux coûts d’entretien et à la baisse des recettes, l’Accueil Saint-Vincent de Paul a été contraint de vendre, en 2019, son patrimoine. Le malheur des uns a fait le bonheur des autres, en l'occurrence du bailleur social Le Foyer rémois qui y a démarré un projet immobilier en avril dernier. La démolition des bâtiments aux numéros 7 et 9 est en train de se terminer, tandis que le grand ensemble situé au coin de la rue de Nommois sera prochainement réhabilité, à l’extérieur comme à l’intérieur. Il sera transformé en un immeuble neuf de 18 logements, du T2 au T5, sur trois étages, intégrant autant de places de stationnement : huit sous le bâtiment et dix dans la cour. Aucun calendrier n’a été communiqué pour le moment. « La consul tation pour la construction a été reportée à une date ultérieure », explique Le Foyer rémois, pour qui « le projet n’est pas retardé en l’état. » Moins présent à Épernay que Plurial Novilia et ses 3 400 biens, Le Foyer rémois compte tout de même 265 logements et porte un autre projet de 38 logements dans l’avenue Paul-Chandon.
S.KLe réveil de la maison Abelé
C HAMPAGNELes vignes se parent de roses
Créée en 2017 par la Mission Coteaux Mai sons et Caves de Champagne, chargée de faire vivre l’inscription sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco, l’opération d'embel lissement « Déclarez votre flamme au vignoble, offrez-lui des roses ! » revient pour une sixième édition. À l’occasion de la semaine du 21 novembre, période de la Sainte-Catherine (25 novembre), une soixan taine de villages de l'appellation Champagne vont bénéficier de 4 800 rosiers, offerts par le mécénat de la CSGV (Coopérative du Syndicat général des vignerons), qui seront plan tés aux quatre coins de la région. À l'issue de cette sixième opération, ce sont environ 23 000 plants qui auront été semés.
E NTREPRISE
Sparflex intègre le leader mondial Crealis
Longtemps possédé par le groupe espagnol Freixenet, le champagne Abelé 1757 a été racheté par Nicolas Feuillatte en 2019. Depuis, la maison rémoise entend sortir de son sommeil.
La maison de champagne Abelé 1757 est un peu, selon la formule éculée, une belle endormie. Autrefois connue sous le nom de Henri Abelé, du nom de l’arrière-arrière-petitfils de son fondateur, le Liégeois Théodore Van der Veken, la marque fait partie de ces grands noms associés au champagne et à Reims, mais qui reste néanmoins « une maison confiden tielle », des mots même de sa directrice générale, Marie Gicquel.
Celle-ci est arrivée au sein la cinquième plus an cienne maison de la Champagne en 2019, au mo ment où la marque vivait un grand bouleversement : son rachat par le Centre vini cole - Champagne Nicolas Feuillatte. Après 35 années passées sous le giron du roi des cavas catalans Freixe net, le champagne Henri Abelé est devenu Abelé 1757 et entend bien s’offrir une seconde jeunesse. « On était détenu par un groupe étranger qui n’investissait pas et la marque faisait partie du paysage, sans retrouver ses lettres de noblesse, analyse Marie Gicquel. Le changement de pro priétaire et de direction a permis de définir une stratégie et une orientation différentes. Les am bitions sont à la hauteur de l’histoire de la mai son Abelé. »
Vieillissant, le bâtiment rémois de la rue de Sil lery, occupé depuis la Seconde Guerre mondiale, a fait l’objet d’une réfection de ses bureaux qui s’est achevée au moment de la dernière ven dange. Le jeune chef de caves héraultais Étienne Eteneau a, lui aussi, pris ses fonctions en 2019, non sans apporter sa touche personnelle, après avoir mis la main sur une riche vinothèque, dans
laquelle
1929. « On a fait des choix en cave par rapport à l’image globale de la maison que l'on voulait re définir, explique-t-il. Il se trouve que Freixenet aimait la sucrosité du champagne, on s’est libéré de l’emprise du cava pour redéfinir les dosages, notamment. »
Les 27 hectares d’approvisionnement (la maison ne possède aucune vigne) permettent de tirer, sur place, 330 000 bouteilles chaque année, distri buées exclusivement chez les cavistes, cafés, hô tels et restaurants. En France et en Espagne, évidemment, mais aussi dans quelques pays d’Asie et en Australie. Sa directrice espère pro chainement se retrouver sur les tables étasu niennes et japonaises, grosses consommatrices de bulles champenoises. « Pour l’instant, la ré partition des ventes est de 60 % en France et 40 % à l’export, mais on aimerait augmenter l’in ternational », révèle Marie Gicquel. « On veut développer la maison tout en restant dans cet en vironnement rémois, la production devra donc être limitée, ajoute le chef de caves. Pour le mo ment, on n’a pas l’ambition de développer de visite œnotouris tique, car le site s’y prête peu. »
Le nouveau souffle apporté par le rachat de la maison par Nicolas Feuillatte ne signifie pas la mise sous tutelle d’Abelé 1757. Le négociant restera indépendant, avec ses propres livreurs, ses propres caves, sa cuverie, ses ré seaux de distribution, et continuera de siéger à l’Union des maisons de Champagne. « Il y a des synergies avec Nicolas Feuillatte, mais on est en totale autonomie, assure la directrice générale de la maison Abelé 1757. On est sur un fort posi tionnement sélectif qui fait qu’on ne veut pas se retrouver partout, mais plutôt faire des choix qualitatifs. ». Une sorte de joyau pour Nicolas Feuillatte, marque la plus consommée en France, notamment grâce à sa forte présence dans la grande distribution.
Simon KsiazenickiProductrice de coiffes, de muse lets, de capsules et d’étiquettes pour les cham pagnes et vins efferves cents, la société Sparflex de Dizy s'est rapprochée, en 2020, de l’Italien En oplastic pour donner nais sance au leader mondial du bouchage et surbouchage dans l’univers du vin. Le nom de ce nouveau masto donte n'était pas encore ar rêté, jusqu'au 16 novembre dernier. Le groupe a dévoilé son
mérat rassemble désormais
E NSEIGNEMENTSUPÉRIEUR
Vente aux enchères de flacons de prestige
La Maison de ventes Chativesle, à Reims, accueil lera, le vendredi 2 dé cembre, la traditionnelle vente aux enchères de champagnes, vins et spi ritueux de la licence professionnelle com merce international des vins et spiritueux. À l’occasion de cette 11e édition, les étudiants de l’Université de Reims et d’Avize Viti Campus ont rassemblé 110 lots d'exception, issus de prestigieux vignobles français et étrangers. Avec quelques curiosités, telles un Palmer de 1961, un magnum de Lanson de 1990, un magnum de Bollinger R.D. de 2004, un Château d'Yquem millésime 2007 ou encore un Clos
missaire-priseur
interencheres.com. Rendez-vous à partir de 19 h.
Fin de la grève à la Scapest
Mobilisés depuis le 9 novembre, les salariés grévistes de la Scapest, près de Châlons, ont obtenu une revalorisation de leurs revenus de 2 % et une prime de 1 000 euros suite aux négociations menées entre la direction et les syndicats.
Une « petite » victoire diront certains, pour une mobilisation inédite, diront d'autres. Ce mardi 22 novembre, après deux semaines de grève, de débrayage par rotation et de négociations, un accord était signé entre la direction de la Scapest, centrale d'approvi sionnement des magasins E.Leclerc du Grand Est, et les représentants syndicaux. Aux 2 % d'augmen tation salariale déjà actés en octobre, s'ajoute ainsi une prime de 1 000 euros dite « de par tage de la valeur » (anciennement « prime Ma cron »). « C'est la fin du conflit, annonce Mohamed Benkhemmassa, délégué CGT. Les
Filtrages du site
2 % sont acquis dès maintenant, alors qu'on aurait pu les toucher en 2023 seulement. Le directeur s'est aussi engagé à faire évoluer cette revalorisation en s'alignant sur l'infla tion. On avait débrayé huit jours en 2016 lorsque le site était encore à Recy. De mé moire, la dernière grève de cette ampleur, c'était en 1998. On avait gagné plusieurs primes. Une sacrée avancée à l'époque. » Les discussions n'ont pas été des plus sereines, comme le confie un autre salarié, parfois ac compagnées de la menace de l'assignation, mais plusieurs arguments ont pesé en faveur des employés. À commencer par l'union de la CGT et de FO, tout un symbole pour la Sca pest. « C'est même du jamais-vu, dixit le dé légué FO du personnel, Olivier Alves. La direction a fini par nous écou ter. Elle sait qu'elle a besoin de nous et ne souhaitait pas voir le conflit se durcir. On est un peu plus apaisé grâce à cet accord, même s'il y a des déçus. » Notamment ceux qui souhaitaient obtenir jusqu'à 4, voire 5 % de hausse de sa laire, comme demandé initialement par les re présentants. Côté stratégie, les filtrages des camions arrivant sur la plateforme logistique
de Saint-Martin-sur-le-Pré ont fait leur effet. « Nos entrepôts sont pleins et on sait que plu sieurs sites sont en attente de livraison, glisse un préparateur de commande. Ça a ralenti l'approvision nement. A l'approche de Noël, c'est vite problématique. » Les syndicats estiment qu'environ 60 % du personnel a participé à la grève sur ces deux dernières semaines. « Nous étions 300 le 17 novembre sur 520 salariés, chiffre la CGT. Et pour la première fois, même les gens dans les bureaux sont sortis. » Les grévistes n'ont pas fédéré que les anciens. L'un d'eux vient de si
gner un CDI à la Scapest, après plus d'un an d'intérim. « J'ai fait ce choix pour me rap procher de ma famille, assure-t-il. Aujourd'hui, je touche en moyenne 1 600 euros nets avec deux enfants à nourrir et l'essence qui ne cesse d'augmenter. Nos revendications étaient saines, justes et nécessaires. Je reste mitigé, mais l'accord conclu est quand même positif. » L'entreprise a repris à plein régime ce mer credi 23 novembre, non sans une pointe d'amertume ici ou là.
Sonia Legendre S ANTÉLes médecins appelés à faire grève les 1er et 2 décembre
Piloté par une vingtaine de praticiens et soutenu par plusieurs syndicats, le collectif « Médecins pour demain », d'abord né d'un groupe Facebook, a trouvé écho auprès d'environ 8 500 mé decins, sur plus de 220 000 généralistes et spécialistes que compte la France. Il appelle la pro fession – libérale comme salariée - à faire grève et à fermer les cabinets jeudi 1er et vendredi 2 décembre. Sa principale revendication, à l'heure où les négociations conventionnelles 2023 s'annoncent difficiles : augmenter, toutes spécialités confondues, le tarif des consultations pour le fixer à 50 euros. Cette mesure permettrait, selon les instigateurs du mouvement, de « s'aligner sur le coût moyen des consultations en Europe et de l'indexer sur l'inflation » tout en gagnant en indépendance face aux for faits imposés par la Caisse d'assurance maladie. Le collectif précise également que ce tarif n'a fait l'objet d'aucune revalorisation depuis sept ans et évoque un besoin de « retrouver une médecine hu maine avec plus de temps pour les patients », de « pouvoir investir dans plus de moyens » et de « re donner envie aux jeunes médecins de s'installer. »
Sonia LegendrePARTENARIAT
Reims se rapproche de la ville ukrainienne de Tchernihiv
Lundi 21 novembre, les élus rémois, Arnaud Robinet et Catherine Vautrin en tête, ont reçu en mairie Oleksandr Lomako, secrétaire du conseil municipal de Tchernihiv, cité ukrainienne d'un peu moins de 300 000 habitants située à 130 km de Kiev. Cette visite s'inscrit dans le cadre du futur partenariat qui doit unir les deux villes en 2023. A cette occasion, une lettre d’intention détaillant les premiers axes de ce rapprochement a été signée. Plusieurs pistes de coopération ont été identifiées dans les domaines de la culture et des arts, de l'enseignement supérieur, des services publics, du travail de mémoire et de la jeunesse. Les bases d'une coopération semblent d'ailleurs particulièrement bien avancées dans ce dernier domaine. En effet, la collectivité rémoise souhaite en priorité accueillir des adolescents de Tchernihiv pendant les vacances scolaires, « afin de contribuer à leur épanouissement personnel, hors du contexte de la guerre, par la participation à des programmes culturels, sportifs, artistiques ouverts aux jeunes Rémois ». Ce partenariat fait suite aux aides financières, d'un montant de 243 000 euros, votées par la ville de Reims et la communauté ur baine du Grand Reims au bénéfice de l'Ukraine, au mois de mars dernier.
« Nos revendications étaient justes et nécessaires », un salarié gréviste
jardinet. Offrant Séjour - Salle à manger - Cuisine - 3 chambressalle de douches. Grenier. Classe énergie G Réf. 4267 Prix : 179.000 euros
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BASKET-BALL
PRO
Djordje Milosevic et Marquis Jackson en missionC'est déjà l'heure des retrouvailles pour Djordje Milosevic et Marquis Jack son qui affrontent, ce vendredi 25 no vembre sur le parquet de Châlons, leur ancien club, Evreux (14e). En effet, si cet été, le Champagne Basket a fait principale ment ses courses à Nancy (Vent, Keita et Skara), il n'a pas négligé non plus les rayons de la ville normande. C'est chez cet habitué de la Pro B que le club champenois est donc allé chercher Djordje Milosevic et Marquis Jackson. Les deux joueurs, qui effectuaient alors leurs premiers pas en France, y ont réa lisé une très belle saison, tant au niveau col lectif (vainqueur de la Leaders Cup et 5e de la saison régulière), qu'au niveau individuel. En championnat, le Serbe tournait en moyenne à 15,6 points pour une évaluation de 16,3. De son côté, l'Américain compilait 14,2 points pour une évaluation de 15,4. Logiquement très attendus dans la Marne, ils tardent pourtant tous les deux à trouver leurs marques, chacun pour des raisons diffé rentes. Moins utilisé cette année (25,5 mi nutes contre 31,8 minutes), Djordje Milosevic aligne 10,2 points pour 8,4 d'éva luation. Contrairement à la saison dernière, où le joueur était l'arme offensive numéro 1, au Champagne Basket, il doit encore s'habi tuer à son nouveau rôle au sein d'un effectif plus riche, tout en faisant davantage d'efforts
en défense. Pour Marquis Jackson, la donne est différente. Après une préparation promet teuse, il s'est blessé avant même le coup d'envoi de la Pro B. Après cinq semaines d'arrêt, il a enfin joué son premier match de championnat, le week-end dernier, partici pant largement à la victoire étriquée aux dé pens de l'Alliance Sport Alsace (57-52). Pour son retour, l'arrière a terminé meilleur
T
J.D
EN BREF
En déplacement sur le terrain du Feytiat Basket, samedi dernier, les filles du Champagne Basket se sont inclinées sur le score de 65-52. Un score logique qui reflète le classement actuel des deux équipes en LF2 : une première place pour les joueuses du Feytiat, partagée avec leurs homologues de Charnay, et une 9e pour les Marnaises, à égalité avec Mon deville et Calais. Après six journées de championnat, seules les jeunes du Centre Fédéral, toujours à la recherche de leur première victoire, ont fait moins bien que le Champagne Basket Féminin. Elles se ront d'ailleurs leurs prochaines adver saires. Ce sera le 3 décembre à Paris.
Tennis Pro A féminine : bons débuts pour Cormontreuil
L'équipe du Cormontreuil Tennis Club a parfaitement lancé ses championnats de France Interclubs de Pro A féminine. Le week-end dernier, elle a dominé le TC Paris, remportant quatre des six ren contres disputées. Un premier succès col lectif qui permet au club cormontreuillois d'assurer quasiment son maintien en Elite. Dimanche 27 novembre, il tentera de confirmer ses bons débuts sur les ins tallations d'Eaubonne (Val d'Oise), vain queur de son côté de Clermont-Ferrand (5-1).
S.K
marqueur de l'union marnaise avec 13 points en seulement 23 minutes. Des débuts encou rageants que le joueur US doit confirmer maintenant contre Evreux. 4 Champagne Basket - Evreux, vendredi 25 novembre, à 20 h, à Châlons. Le Serbe Djordje Milosevic retrouve vendredi soir Evreux, club où il évoluait l'an dernier. © l'Hebdo du VendrediThierry Lhermitte et le grand pardon
Simon Wiesenthal est un personnage central de la mémoire de la Shoah. Déporté dans plusieurs camps polonais à partir de 1941, il survécut aux mauvais traitements infligés par les nazis jusqu’à la libération du camp de Mauthausen par l’armée américaine, le 5 mai 1945. Malgré ses 41 kg et le traumatisme subi, Wiesenthal s’attacha dès les premiers jours de sa nouvelle vie à traquer les instigateurs du génocide, mais surtout à porter la parole de ceux qui n’étaient plus là. Cela aboutit, notamment, à la fondation, en 1977, à Los Angeles, du centre Simon-Wiesenthal, qui œuvre pour la pré servation du souvenir de la Shoah.
Huit ans plus tôt, le Polonais publiait « Fleurs de soleil », dans lequel il racontait un événement mar quant de sa vie. « En juin 1942, à Lviv, dans d'étranges circonstances, un jeune SS à l'agonie m'a confessé ses crimes pour, m'a-t-il dit, mourir en paix après avoir obtenu d'un Juif le pardon, racontait Wiesenthal. J'ai cru devoir lui refuser cette grâce. Obsédé par cette histoire, j'ai décidé de la raconter et à la fin de mon livre, je pose la question qui, aujourd'hui encore, en raison de sa portée politique, philosophique ou religieuse, mérite réponse : ai-je eu raison ou ai-je eu tort ? ».
Ce texte puissant sur le pardon, Thierry Lhermitte lui donne vie sur les planches. Un seul-en-scène dans lequel l’acteur, par écran vidéo interposé, dia logue avec plusieurs grandes voix historiques. Déjà brillant dans l’adaptation du best-seller « Inconnu à cette adresse », qui raconte la montée du nazisme à travers
amis, le célèbre acteur brille à nouveau dans cette pièce poignante.
S.K A RCHÉOLOGIELa Champagne au temps des dinosaures
Quelques pièces issues de l’ère du Cénozoïque, débutée il y a 66 millions d’années. © l'Hebdo du Vendredi
Le musée et le cinéma Le Palace s’associent une nouvelle fois afin de croiser les regards sur l’archéologie. Cette fois-ci, c’est un film culte qui sera proposé le dimanche 27 novembre, à 17 h, au Pa lace : Jurassic Park. Sorti en 1993, le premier volet de cette saga, réalisé par Steven Spielberg, a été un carton commercial à sa sortie, son influence culturelle et technologique s’est révélée immense et le film a changé radi calement la vision des dinosaures chez le grand public. Il a sans doute, également, fait naître quelques vocations chez les paléontologues d’au jourd’hui… Une semaine plus tard, le dimanche 4 décembre, à 10 h 45 et 14 h 15, c’est le musée qui proposera une visite guidée, autour des collec tions paléontologiques présentes au château Perrier. Les participants pour ront découvrir les différentes espèces qui peuplaient la Champagne, du Jurassique au Paléogène. Indépendants, les deux événements sont payants.
S.K4 « Fleurs de soleil », mardi 29 novembre, à 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat. Tarifs : 14 à 36 €. Infos : lesalmanazar.fr
Agenda
SPECTACLES
MARDI 29 NOVEMBRE
« FLEURS DE SOLEIL » - LE SALMANAZAR
Dans ce seul-en-scène, Thierry Lhermitte porte avec force la parole du rescapé de la Shoah, devenu chasseur de nazi, Simon Wiesenthal. À partir de 14 ans.
À 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Durée : 1 h 15. Tarifs : 14 à 36 €. Infos : lesalmanazar.fr
DIMANCHE 4 DÉCEMBRE
DISNEY SUR GLACE - LE MILLESIUM
Rejoignez Mickey et ses amis dans le spectacle Disney sur Glace La Grande Aventure au Millesium !
À 10h15 et 14h, Le Millesium, Épernay. Tarifs : 29 à 58 € Infos : lemillesium.com
CONCERTS
SAMEDI 26 NOVEMBRE
« SOUS LE CIEL D’HAUTVILLERS »
HAUTVILLERS
La chorale Alta Vive Voix organise un spectacle musical avec des mélodies célèbres des années 1940 aux années 1960 et une mise en scène originale de Grégory Meldray, le chef de chœur.
À 20 h 30, salle des fêtes, Hautvillers. Entrée libre.
DIMANCHE 27 NOVEMBRE
QUATUOR
AKILONE - ÉPERNAY
Ces jeunes musiciennes forment un quatuor à cordes élégant et généreux, dont la vision poétique et profonde leur a permis de remporter le prestigieux 1er prix du concours international de Bordeaux.
À 16 h 30, salle Odile-Kopp, 1, avenue de Middelkerke, Épernay. Tarifs : 6 et 10 €. Réservation : 06 76 61 83 91 et concertsdepoche.com
MERCREDI 30 NOVEMBRE AUDITIONS DU MERCREDI - ÉPERNAY
Les élèves de l’École intercommunale de musique d’Épernay et de sa région se produisent gratuitement lors d’une audition, ouverte au public.
À 18 h, Maison des arts et de la vie associative, Épernay. Gratuit. Infos : 03 26 53 32 95
JEUDI 1ER DÉCEMBRE
MARC COPPEY - LE SALMANAZAR
Considéré comme l’un des plus importants violoncellistes de sa génération et présent dans les plus grands festivals du monde entier, Marc Coppey interprètera « Les Suites pour violoncelle seul » de Bach.
À 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dor ziat, Épernay. Durée : 1 h 30. Tarifs : 9 à 25,50 € Infos : lesalmanazar.fr
4 « Jurassic Park », dimanche 27 novembre, à 17 h, cinéma Le Palace. Tarif : 6 € ; Visite guidée, dimanche 4 décembre, à 10 h 45 et 14 h 15, musée d’Épernay. Tarif : 3, 4 et 5 €.
sistor), jouets, petit mobilier en bois, bicyclette ou ordinateur avec les bénévoles de l’association. Un seul objet par personne. De 9 h à 12 h 30, salle polyvalente de Belle Noue, rue de la Guadeloupe, Épernay. Infos : 07 83 06 51 05 et repaircafe51@gmail.com
ATELIER FUROSHIKI
MÉDIATHÈQUE D’ÉPERNAY
Venez découvrir une très ancienne technique japonaise d’emballage et donnez une seconde vie à vos tissus.
De 14 h à 17 h, médiathèque Daniel-Rondeau, 4, rue GabrielFauré, Épernay. Entrée libre. Infos : mediatheque.epernay.fr
GALA DE BOXE AMATEUR - ÉPERNAY
Le Boxing Club Epernay organise un gala de boxe amateur. Quatorze combats seront à l’affiche.
À 19 h 30, hall des sports Pierre-Gaspard, Épernay. Tarifs : 10 et 12 €
SAMEDI 26 ET DIMANCHE 27 NOVEMBRE
EXPOSITION DE LEGO - DORMANS
CINÉMA
VENDREDI 25 NOVEMBRE
« LES NUITS DE MASHHAD » - LE PALACE
Le Palace et le Cercle d’amitié franco-marocain d’Épernay rendront hommage à l’Iranienne Masha Amini lors d’une soirée où sera diffusé le film « Les Nuits de Mashhad », un thriller sur fond de féminicides, suivi d’un échange avec Sabah Labcir, avocate en droit pénal, Fatima-Ezzahra Pappalardo, psychologue-chercheur, et Jamileh Nedai, cinéaste. À 20 h, cinéma Le Palace, Épernay. Durée : 1 h 56. Entrée libre. Infos : le-palace.fr
LUNDI 28 NOVEMBRE
OPÉRA : « SALOMÉ » - LE PALACE
Une version ultra-moderne de l’opéra de Richard Strauss, dans laquelle la princesse de Judée, Salomé, s’entiche de Jochanaan, prophète tenu prisonnier par son beau-père, le roi Hérode. Captation en direct de l’Opéra national de Paris.
À 19 h 30, cinéma Le Palace, Épernay.
Durée : 1 h 40. Tarifs : 18 et 25 €
LOISIRS
VENDREDI 25
NOVEMBRE LES APÉROS DE LA HALLE - ÉPERNAY
Un rendez-vous gourmand qui propose d’associer un brasseur, un producteur de champagne et un producteur de jus de fruits à des commerçants de bouche du marché.
De 18 h à 20 h, halle Saint-Thibault, Épernay. Consommations payantes. Infos : 03 26 53 54 68.
SAMEDI 26 NOVEMBRE BRICOLAGE AU REPAIR CAFÉ - ÉPERNAY
Venez réparer vos objets, petit électro ménager (four à micro-ondes, fer à repasser, tran-
L’association Festibriques organise une exposition de pièces de Lego. Jeux, tombola et restauration sur place.
De 10 h à 17 h, salle des fêtes, 2, avenue de Paris, Dormans. Tarif : 5 €, gratuit pour les moins de 3 ans. Infos : 06 46 16 89 69
DIMANCHE 27 NOVEMBRE
SALON DU JOUET ANCIEN - OGER
Le salon du jouet ancien se tiendra dans les pressoirs Launois d’Oger. Exposition de jeux, jouets, machines à sous, jeux de bar de collection...
De 8 h à 17 h, pressoirs Launois, zone d’activité d’Oger. Tarif : 3 €. Infos : 06 86 51 45 76.
Infos : le-palace.fr
MARDI 29 NOVEMBRE
« LA FEMME DU FOSSOYEUR » - LE PALACE
Guled et Nasra, un couple amoureux vivant dans les quartiers pauvres de Djibouti, doit réunir l’argent nécessaire pour l’opération de leur fils, Guled. La soirée se poursuivra par un verre de l’amitié et un échange avec les membres d’Épernay Jumelages, Fassol et Yenega. À 20 h 30, cinéma Le Palace, 33, boulevard de la Motte, Épernay. Tarif : 6 € Infos : le-palace.fr
Les briques, c'est chic !
Elle fête, cette année, ses 90 ans, mais elle n’a pas pris une ride.
La marque Lego, numéro un mondial du jouet, a encore réalisé, en 2021, des résultats historiques, avec 1,78 milliard d’euros de bénéfices. Le petit monde de la brique n’a jamais été aussi dynamique et de plus en plus de passionnés se réu nissent pour des événements dédiés au jouet danois.
Ce sera le cas ce week-end, à Dormans, où l’association Festibriques organisera une exposition au sein de la salle des fêtes de la commune.
Plus d’un millier de personnes sont attendues dans cet espace de 500 m², où ils pourront y admirer les plus belles pièces et les plus impressionnants dioramas Lego.
Créée dans l'Yonne en 2008, Festibriques organise des événements semblables un peu partout en France. Ce sera le quatrième à Dormans, quatre ans après la dernière édition. « Au départ, on pensait s’adresser aux collectionneurs, mais on s’est vite rendu compte qu’on attirait, à 90 %, un public po pulaire et familial », explique l'Agéen Jean-Gérald Villari, secrétaire de l'association. Pour satisfaire cette assistance de néophyte, un atelier de construction libre, avec des centaines de briques, sera ac cessible pour les petits, mais aussi les plus grands. « C'est très sympa de voir toutes les générations qui se réunissent pour partager de bons moments », se réjouit l'organisateur. Sans oublier une quinzaine d’exposants qui proposeront des pièces détachées et de vieux modèles introuvables dans le commerce. Il y en aura pour les goûts.
4 Exposition 100 % Lego, samedi 26 et dimanche 27 novembre, de 10 h à 17 h, salle des fêtes, 2, avenue de Paris, Dormans. Tarif : 5 €, gratuit pour les moins de 3 ans. Infos : 06 46 16 89 69
C HARABIA F ESTIVAL - R EIMSPlace aux nouveaux talents
S.K
Chiner
SAMEDI 26 NOVEMBRE
CORMONTREUIL - MARCHÉ DE NOËL
10 h à 20 h - Salle polyvalente, boulevard d'AlsaceLorraine
CRAMANT – MARCHÉ DE NOËL 10 h à 19 h - Salle des fêtes
RECY – VIDE-POUSSETTES 8 h à 13 h - Salle des fêtes
REIMS - MARCHÉ DE NOËL 10 h à 17 h - Maison de quartier Trois Piliers, 29, rue Pongivart
ST-MARTIN-D'ABLOIS - MARCHÉ DE NOËL 10 h à 18 h - Salle des fêtes
TRIGNY - MARCHÉ D'HIVER FÉÉRIQUE 14 h à 19 h - Salle des fêtes
VANDIÈRES - BOURSE AUX CAPSULES 8 h à 17 h - Entrée : 2€ - Salle des fêtes
VILLERS-MARMERY - MARCHÉ DE NOËL 35 exposants, ateliers créatifs, présence d'Artisans du monde et concert. 14 h à 21 h - Salle des fêtes
DIMANCHE 27 NOVEMBRE
AVIZE – MARCHÉ DE NOËL
10 h à 19 h - Château Desbordes, Rempart du Nord
LA VEUVE – BOURSE AUX VÊTEMENTS & JOUETS 9 h à 16 h - Salle des fêtes
OGER - SALON DU JOUET ANCIEN 8 h à 17 h - Entrée : 3€ - Pressoirs Launois
Cinéma
Après avoir accueilli les Souchon, père et fils, Bir kin ou Disiz, à chaque fois dans la grande salle de la Car tonnerie, le Charabia Festival change de registre et propose aux spectateurs rémois de découvrir ou redécouvrir la talentueuse re lève de la chanson française. Des noms moins connus, forcément, qui se présentent trois jours durant dans le joli théâtre du Manège. Sacrée révélation féminine aux dernières Victoires de la musique et Grand prix Sacem de la chan son de l’année pour « Voilà », Barbara Pravi est attendue la pre mière sur les planches, le jeudi 1er décembre (première partie Chien Noir), pour y dévoiler son premier album « On n’enferme pas les oiseaux ». Le lendemain, vendredi 2 décembre, Aloïse Sauvage prendra la suite (première partie Oete). Chanteuse, actrice, danseuse, au trice, circassienne, elle est une artiste insatiable. Révélée par son EP Jimy et le tube À l’horizontale, pour lequel elle a été nommée aux Victoires de la musique 2019, elle pro pulse avec son album « Dévorantes » une musique intense, mêlant chanson, pop et hiphop. Enfin, le samedi 3 décembre, place à Alexis HK (première partie Coline Rio). Reconnaissable à sa plume aiguisée, son humour distancié et son flow urbain, il est l’un de ceux qui réinventent la chanson française de manière décalée. Avec son septième album, intitulé « Bobo Playground », l’auteur-compositeur-interprète proposera un concert, en touré de quatre musiciens complices et mis en scène par Vincent Dedienne. J.D
4 Barbara Pravi + Chien Noir, jeudi 1er décembre, à 20 h 30. Complet. Aloïse Sauvage + Oete, vendredi 2 décembre, à 20 h 30. Tarifs : 6 à 23€. Alexis HK + Coline Rio, samedi 3 décembre, à 20 h 30. Tarifs : 6 à 23€.
REIMS - MARCHÉ DES ARTISANS D'ART 10 h à 18 h - Halles du Boulingrin
REIMS – SLOW ET VINYLE MARKET 10 h à 18 h - L'Occasion Café, 188, rue de Vesle
ST-MARTIN-D'ABLOIS - MARCHÉ DE NOËL 10 h à 18 h - Salle des fêtes
TRIGNY - MARCHÉ D'HIVER FÉÉRIQUE 10 h à 18 h - Salle des fêtes
VILLERS-MARMERY - MARCHÉ DE NOËL
35 exposants, ateliers créatifs, présence d'Artisans du monde et concert. 10 h à 18 h - Salle des fêtes
JEUDI 1ER DÉCEMBRE
BEZANNES - MARCHÉ DE NOËL 16 h à 20 h - Cours Christian-Lange
DU JEUDI 1ER AU VENDREDI 30 DÉCEMBRE
REIMS - MARCHÉ DE NOËL 150 chalets, royaume des enfants, etc. Promenades Jean-Louis Schneiter et esplanade Porte de Mars
LE PALACE
33, boulevard de la Motte - Épernay - 03 26 51 82 42
Du vendredi 25 au 29 novembre au 2022
LES NUITS DE MASHHAD ven 20H*
LE TIGRE QUI S’INVITA... dim 10H45
ENZO LE CROCO dim 14H45
JURASSIC PARK dim 17H
OPÉRA - SALOMÉ lun 19H30*
LA FEMME DU FOSSOYEUR mar 20H*
BONES AND ALL ven 14H15 - 17H15* 20H30* sam 14H15 - 17H15* 20H30* dim 14H1517H30* 20H30* lun 14H15 - 20H30* mar 14H15 - 20H30*
ARMAGEDDON TIME ven 14H15* - 17H15 20H50 sam 14H15 - 20H50* dim 17H45 - 20H30* lun 14H15 - 17H* mar14H15* - 17H15 20H30*
EO ven 14H30* sam 17H30* dim 10H45* - 17H45* lun 14H30* mar 20H30*
LES MIENS ven 14H30 - 17H30 20H50 sam 17H30 - 20H50 dim 10H30 - 14H30 20H30 lun 14H30 - 17H30 20H30 mar 14H30 - 20H30
RESTE UN PEU ven 14H30 - 17H30 sam 17H30 - 20H50 dim 14H30 - 20H30 lun 14H3017H30 20H30 mar 14H30 - 17H30
CLOSE sam 14H30 dim 10H45 lun 17H30 mar 17H30
LES FEMMES DU SQUARE ven 17H15 sam 14H30 dim 20H20 lun 17H15 mar 14H30
UNE ROBE POUR MRS. HARRIS dim 14H30 mar 17H15
AMSTERDAM sam 20H30 lun 20H20
BLACK PANTHER 2 ven 14H - 20H sam 14H - 17H 20H dim 10H30 - 14H 20H lun 14H - 20H mar 14H - 20H
COULEURS DE L’INCENDIE ven 17H15 - 20H30 sam 17H15 - 20H30 dim 14H15 - 20H20 lun 14H15 - 20H20 mar 20H20
PÉTAOUCHNOCK mar 17H30
LA CONSPIRATION DU CAIRE ven 17H15* lun 17H15* mar 17H15*
MASCARADE mar 20H30
BLACK ADAM sam 14H15 dim 17H30
SIMONE ven 14H15 dim 17H30 mar 14H15
LE PETIT NICOLAS sam 17H30 dim 17H30
SAMOURAÏ ACADEMY sam 14H30 dim 10H30
NOVEMBRE lun 17H30 mar 17H30
L’ORIGINE DU MAL dim 10H30
*VOST
L’horoscope Météo
BÉLIER du 21.03 au 20.04
Vous n'aurez guère l'occasion d'être au calme. En effet, vous risquez d'être très sol licité(e) pour du conseil, notamment au niveau pro fessionnel et affectif…. Restez disponible.
TAUREAU du 21.04 au 20.05
La période vous verra affronter avec rési lience des changements, vous en ressortirez plus décidé(e) et motivé(e) que jamais à tenir votre ligne. Attention toutefois à l'effet cocotte-minute.
GÉMEAUX du 21.05 au 21.06
Aujourd’hui, vous conjuguez sens de l'action et esprit d'initiative. Côté affectif, l'atmosphère de bonne camaraderie régnante favorisera la nais sance d’amitié sur la base d'une connivence amicale.
CANCER du 22.06 au 22.07
Une semaine où il faudra vous écono miser pour durer, car vous marquerez un peu le pas. Prenez le temps de peser le pour et le contre de vos choix, notamment dans le domaine af fectif.
LION du 23.07 au 22.08
A vouloir à tout prix satisfaire votre en tourage, vous risquez de vous coller une pression d'enfer... et de rugir à la moindre remarque. Prenez donc les choses un peu plus à la légère !
VIERGE du 23.08 au 22.09
Aujourd’hui, tout ira de mieux en mieux : vos amitiés devraient d'abord vous requinquer, puis la pression diminuera sur le plan professionnel, avec davantage de travail collaboratif.
BALANCE du 23.09 au 22.10
La semaine sera à hue et à dia, vous n'au rez pas toujours une appréciation juste des situations. Attention donc à ne pas promettre plus que vous ne puissiez tenir.
SCORPION du 23.10 au 22.11
Votre vie amoureuse, si elle a été soumise à des tensions récemment, connaîtra une cer taine accalmie. Vous recevrez proportionnellement à ce que vous aurez donné.
SAGITTAIRE du 23.11 au 22.12
C’est une semaine faite pour vous poser et recharger vos batteries. Prenez le temps de la réflexion pour peser le pour et le contre des nou velles options qui se présenteront à vous.
CAPRICORNE du 23.12 au 20.01
Au plan professionnel, les situations se flui difient, vous aurez de belles opportunités à saisir. Côté cœur, vous vous retrouverez sur la même longueur d'ondes que l'être aimé.
VERSEAU du 21.01 au 19.02
Débordant(e) d’énergie, ouvrez-vous à tous les courants, car les opportunités ne man queront pas ?! Côté cœur, si vous placez la barre trop haut, vous risquez d'aller au conflit.
POISSONS du 20.02 au 20.03
Vous aurez l’énergie nécessaire pour sur monter les épreuves sur votre route. Toutefois, vous risquez d’être plus éparpillé(e) et moins rigoureux(se) qu'à l'accoutumée, mais plus créatif(ve) !
Benoît MelvhilleQualité de l’air
La CLCV vous informe
Le Nutriscore
Le Nutriscore est un logo apposé en face avant des emballages qui informe sur la qualité nutritionnelle des produits sous une forme simplifiée et complémentaire à la déclaration nutritionnelle obligatoire (fixée par la réglementation européenne). Il est basé sur une échelle de 5 couleurs du vert foncé au orange foncé associées à des lettres allant de A à E pour optimiser son accessibilité et sa compréhension par le consommateur. Le logo est attribué sur la base d’un score prenant en compte pour 100 gr ou 100 ml de produit, la teneur : - en nutriments et aliments à favoriser (fibres, protéines, fruits, légumes, légumi neuses, fruits à coques, huile de colza, de noix et d’olive), - en nutriments à limiter (énergie, acides gras saturés, sucres, sel).
Après calcul, le score obtenu par un produit permet de lui attribuer une lettre et une couleur. (source Santé Publique France).
CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com
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