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Le meilleur du breaking bientôt à l'Arena

Nouveau sport olympique au programme de Paris 2024, le breaking sera à l'honneur le 30 avril prochain à l'Arena de Reims, à l'occasion de la finale du championnat de France.

Né à New York dans les années 70 et issu de la culture hip-hop, le breaking a acquis depuis ses lettres de noblesse. Sportive et artistique, la discipline se caractérise par son aspect acrobatique et ses figures qui mettent en valeur la vitesse d'exécution, la force physique et la créativité. Dès les années 1990, des battles sont organisées sur l’ensemble du globe, participant au développement du breaking, d'abord au sein des communautés hip-hop de chaque pays, puis progressivement auprès du grand public. Un succès populaire qui se traduira en 2024 par son apparition au programme des Jeux Olympiques de Paris. La compétition rassemblera les 32 meilleurs représentants mondiaux (16 filles et 16 garçons). Pays hôte des JO, la France est assurée de pouvoir présenter deux athlètes, tout en espérant que d'autres gagnent leur ticket lors des compétitions internationales.

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Cette quête passera par Reims le 30 avril

C ONCERTS prochain, à l'occasion de la tenue de la finale du championnat de France de breaking : une opportunité saisie par la municipalité grâce au Rémois Ismaël Taggae, champion du monde de la discipline en 2003 et créateur du Studio 511, une école dédiée aux danses urbaines ouverte depuis 2016 et qui accueille aujourd'hui plus de 1 200 élèves.

Reims sur la route JO de Paris

« C'est une grande fierté d'avoir pu faire rayonner cette discipline qui m'a permis de grandir et de mieux me connaître, confie Ismaël Taggae. Il y a encore une quinzaine d'années, les danses urbaines étaient connotées quartier. Aujourd'hui, c'est une discipline artistique

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