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Un hôtel haut de gamme au Sernam
Entreprise Gros contrat pour ASI Group
Immobilier Près de l'Arena, l'hôtel de luxe ouvrira en 2024
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Dernier représentant de l'histoire aéronautique rémoise, ASI Group a annoncé en ce début d'année la signature d'un très important contrat avec la Direction générale de l’armement (DGA). S'étalant sur une durée de 13 ans, il porte sur l’acquisition d’avions Beechcraft 360 ER pour lesquels l’entreprise marnaise va assurer toute l’ingénierie afin de les modifier selon les besoins de la DGA. Fabrication des équipements à intégrer, installation du matériel, qualification, certification, livraison et forEn plus d’un site à Prunay, ASI Group dispose d’un local à Vatry, inauguré en septembre dernier. © l'Hebdo du Vendredi mation des équipages font partie de ce contrat qui comprend également le maintien, dix ans durant, en condition opérationnelle des appareils. Fondée en 2010 par des ex-salariés de Reims aviation industries, ASI Group est constituée de deux entités : ASI Innovation, dont le siège est à Reims, et ASI Aviation. La première est spécialisée dans le développement et les intégrations de systèmes simples ou complexes sur tous types d’aéronefs. La seconde a en charge le développement de l'avion F406, dont la production anciennement basée à Prunay a déménagé en 2014 aux États-Unis, dans les usines de Continental Motors, une filiale du géant chinois AVC associé d'ASI Innovation dans le rachat du site situé près de Reims, alors propriété du groupe GECI International et menacé de liquidation judiciaire. Pour ASI Group, qui emploie aujourd'hui une soixantaine de salariés, ce marché signé avec la DGA, « de plusieurs dizaines de millions d’euros, marque donc un tournant dans une politique de développement appelée à aller crescendo ». L'entreprise, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 19 millions d'euros en 2019, espère ainsi faire deux fois mieux dès l'an prochain et générer « une petite dizaine d’emplois supplémentaires en permettant de développer l’activité du centre d’intégration et de maintenance récemment inauguré sur l’aéroport international de Paris-Vatry et en contribuant au maintien de l’activité ingénierie à Prunay ».
J.D
ENBREF
Dans les cartons depuis plusieurs mois, le projet consistant à construire un hôtel haut de gamme au pied de l'Arena est désormais dévoilé. Le groupement porté par Nacarat, le groupe FIC et Nord-Est Aménagement Promotion ont annoncé avoir signé avec Alboran, société spécialisée dans l’investissement et la L'ensemble immobilier de 8 000 m² a été conçu par le cabinet gestion hôtelière qui d'architecture rémois Haïku. © Architecte : Agence Haïku compte près de 20 hôtels en France, dont deux à Reims, pour la réalisation d’un hôtel Radisson. L'établissement sera construit au sein d'un ensemble immobilier mixte de 8 000 m². Conçu avec le cabinet d’architecture rémois Haïku, celui-ci se composera de cellules d’activités et de commerces le long d'un mail piétonnier, de surfaces de bureaux de 4 000 m² et donc d'un établissement hôtelier sous l'enseigne Radisson. D’une surface d’environ 4 000 m², il proposera 102 chambres, dont des suites familiales, et abritera un restaurant, une salle de fitness, des salles de réunion et séminaire, mais aussi un espace de coworking au dernier étage du bâtiment donnant sur un rooftop avec vue sur la ville et sa cathédrale. Une diversité des usages qui doit répondre, selon les porteurs du projet, « aux enjeux de ce nouveau quartier, capable d’agréger des fonctions économiques, touristiques, de loisirs, culturelles et sportives ». La livraison de l'hôtel, mais aussi des commerces et bureaux attenants, est espérée dans un peu plus de deux ans.
Le repas des seniors reprogrammé le 14 mai
Les personnes qui s’étaient inscrites pour le repas initialement prévu en janvier, mais annulé en raison de la crise sanitaire, sont automatiquement inscrites pour le 14 mai. Un courrier va leur être adressé par le Centre communal d’action sociale (CCAS). Rappelons que ce repas des seniors est financé par la ville de Reims et organisé par le CCAS avec l’appui de bénévoles dont ceux de l’ORRPA. Le jour J, Lio, les Forbans et Michelle Torr se produiront sur scène. Infos auprès de l’ORRPA au 03 26 88 40 86 ou 03 26 88 99 78.
Conférence : « Quel bilan après deux années de crise sanitaire ? »
Jeudi 3 février, à 19 h à la médiathèque Jean Falala, dans le cadre de son cycle de conférences citoyennes, le Centre de recherche droit et territoire (CRDT) de l’Université de Reims Champagne-Ardenne (Urca) invite le grand public à débattre de la pandémie de covid-19 avec plusieurs spécialistes de la médecine et du droit.
Le Secours populaire recherche des « familles de vacances »
En France, un enfant sur trois ne part pas en vacances. Pour aider les foyers les plus défavorisés et permettre aux enfants de vivre des vacances dignes de ce nom, le Secours populaire recherche des familles bénévoles pouvant accueillir, en juillet ou en août, un enfant pendant quinze jours. Et pas besoin d’habiter au bord de la mer ou d’avoir une maison avec piscine pour être « famille de vacances ». Le plus important, c'est d'avoir du cœur et du temps pour offrir un peu de joie et de bonheur. Contact : Anne-Marie Duriez au 03 26 79 12 08 ou annemarie.duriez@spf51.org
Festival Turbo Film : les inscriptions sont ouvertes
Organisé par le S.U.A.C.(Service universitaire d’Action culturelle de l’Université de Reims Champagne-Ardenne), le Festival Turbo Film vise à promouvoir la réalisation de courts-métrages en région Grand Est, en France et au-delà, et à découvrir les futurs talents de la jeune création cinématographique. La prochaine édition, la 10e, se déroulera les 5 et 6 mars prochains à Reims. Les participants, obligatoirement étudiants, seront invités à réaliser un film court de moins de 5 minutes en 24 heures. Pour s'inscrire, gratuitement, rendez-vous sur turbofilmfestival.univ-reims.fr jusqu'au 27 février. À noter que la diffusion des films, en salle et sur la chaîne YouTube de l'Urca, est prévue du 9 au 17 mars, et la remise des prix le 19 mars.
Vie étudiante : le « student pass » est disponible
Le Grand Reims, en partenariat avec l’entreprise Student Pass, lance une carte dédiée aux jeunes de moins de 26 ans permettant de leur faire bénéficier davantage auprès de différents partenaires sur le territoire. Imaginée par des étudiants pour les étudiants, cette carte nominative est à souscrire sur studentpassreims.fr au tarif de 5 € par an, après déduction de la participation du Grand Reims à hauteur de 50 %. Elle donne accès à plus de 150 réductions et illimitées valables notamment dans des restaurants, bars et boutiques. Elle est utilisable à Reims et Lille et les étudiants pourront profiter d’un maximum de bons plans dans plus de 120 établissements partenaires. À terme, cette carte devrait aussi inclure des bons plans culturels.
Journée portes ouvertes à l'Université de Reims
Samedi 29 janvier, de 9 h 30 à 17 h, l'ensemble des campus de l'Université de Reims Champagne-Ardenne (à Reims, Châlons, Charleville et Troyes) vous donnent rendez-vous toute la journée. Les services de l’orientation et d’accompagnement des étudiants seront également présents pour guider les futurs lycéens ou étudiants dans leur cursus universitaire. Dans le cadre d’un partenariat avec le Crous, les lycéens et leurs parents auront la possibilité de visiter les chambres étudiantes, de 10 h à 16 h, grâce à l’ouverture des résidences universitaires situées à Reims (Évariste Galois, Les Facultés et Paul Fort), et bénéficieront de conseils sur le logement ou les bourses. La campagne de demande de bourse de l’enseignement supérieur et de logement dans les résidences Crous est, en effet, ouverte depuis le 20 janvier, et ce, jusqu’au 15 mai. Pour les élèves de terminale et les étudiants de Champagne-Ardenne, le Crous de Reims est leur interlocuteur bien que le dossier social de l’étudiant se fasse à l'adresse suivante : messervices.etudiant.gouv.fr Infos : univ-reims.fr/jpo et crous-reims.fr/bourse/
Rendez-vous bientôt au salon Studyrama
Les futurs bacheliers et étudiants (de Bac à Bac +5) en quête d’une formation pour la prochaine rentrée ont rendez-vous samedi 5 février au Centre des congrès de Reims. De 10 h à 17 h, ils pourront se renseigner gratuitement sur plus de 300 formations pour compléter leur parcours, se spécialiser ou se réorienter. De même, Universités, IUT, IAE, lycées, écoles de commerce et d’ingénieurs, écoles de métiers et CFA viendront y proposer leurs programmes en alternance de Bac à Bac +5, dans des domaines aussi variés que le commerce, le tourisme, l’agroalimentaire, l’industrie, les sciences ou la communication. Infos : www.studyrama.com
Lutte contre les discriminations La ministre au chevet des LGBT à Reims
De passage à Reims lundi, la ministre déléguée Élisabeth Moreno a apporté son soutien à l’association rémoise Exaequo, qui œuvre depuis 25 ans pour les droits des personnes LGBT.
C’est une invitée de marque qu'a reçu, lundi, dans ses locaux de la rue du Jard, l'association rémoise Exaequo, qui lutte sans relâche, depuis 26 ans, pour défendre les droits des personnes LGBT. Élisabeth Moreno, ministre déléguée en charge de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances, est venue dire tout le bien qu’elle pense de la structure rémoise, aux bénévoles et à son président. « Recevoir la ministre, c’est une belle reconnaissance du travail et de l’implication des bénévoles de l’association », s'est réjoui Samuel Tarcy. « Nous sommes dans un pays où l’immense majorité des personnes LGBTQI+ (lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et autres variantes) vivent une vie normale, mais d’autres peuvent subir des moqueries, des railleries, voire des agressions qui peuvent conduire à la mort », a déploré la ministre déléguée. Le souvenir de Paula Migeon, victime d’un meurtre à caractère transphobe, le 7 avril dernier, à Reims, a ainsi été évoqué. « Personne ne devrait mourir pour ce qu'il ou
La ministre déléguée Élisabeth Moreno et Samuel Tarcy, président de l'association Exaequo. © l'Hebdo du Vendredi
elle est, personne ne devrait avoir à justifier son orientation sexuelle », a ajouté la membre du gouvernement. La ministre a également tenu à souligner que l’évolution des mentalités allait dans le bon sens, rappelant notamment le chemin parcouru depuis 1982 (année retenue pour ce qu’on appelle improprement la « dépénalisation » de l’homosexualité en France). Samuel Tarcy est allé dans le sens d’Élisabeth Moreno, mais n’a pas hésité, non plus, à dire son inquiétude. « On commence à avoir cette visibilité dans la société, mais elle n’est pas sécurisée, estime le président de l’association. Dans certains milieux, comme en zone rurale, dans les quartiers ou chez les seniors, c’est encore très compliqué. Il y a beaucoup d’insultes, de stigmatisations et parfois même d’agressions. » Créée en 1996, Exaequo aide les personnes LGBT à vivre mieux et accueille régulièrement des victimes de discrimination. Comme ce jeune homme mis à la porte de chez lui en raison de son homosexualité, le matin même de cette rencontre. Pour faire évoluer les mentalités, Exaequo mise notamment sur ses interventions dans les établissements scolaires de la région afin de sensibiliser aux discriminations et aux LGBTphobies. Mais là encore, rien n’est simple. « On ne peut pas répondre à toutes les demandes des collèges et lycées, car on manque de ressources humaines, déplore cette bénévole. Il faudrait qu’on professionnalise l’association et pour cela, il faut des moyens. » La ministre a répondu. « J'ai demandé à la Dilcrah (délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT) de lancer un appel à projets pour aider les associations LGBT. Remontez-nous vos projets, nous pourrons les financer : 80 % du budget de mon ministère est mis dans des associations comme les vôtres. » Et la ministre de faire également la promotion de son Plan national d’actions pour l’égalité des droits, contre la haine et les discriminations antiLGBT+, lancé à sa prise de fonction en 2020. Soit 42 actions concrètes comme l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, entrée en vigueur l'an passé, ou la délictualisation de la thérapie dite « de conversion », adoptée mardi dernier.
Simon Ksiazenicki
Politique Jacob VRP de Pécresse dans la cité des sacres
Amoins de trois mois de la présidentielle, il ne ménage pas sa peine pour soutenir Valérie Pécresse. Après les Pyrénées-Orientales, l’Aude et l’Hérault la semaine passée, Christian Jacob, président des Républicains, était à Cormontreuil, mercredi soir, pour animer une réunion publique de soutien à la candidate choisie par ses militants. Devant une salle des Phéniciens comble (plus de 150 personnes), dont plusieurs élus locaux comme la Christian Jacob, salle des Phéniciens de Cormontreuil, le 26 janvier dernier. © l'Hebdo du Vendredi députée Valérie Beauvais et les sénateurs Françoise Férat et René-Paul Savary, Jacob a fait du Jacob. Apprécié à droite pour sa personnalité consensuelle et son esprit rassembleur, le député de Seine-etMarne n’a été ni extravagant, ni enflammé dans sa manière de soutenir Valérie Pécresse ou de taper sur Emmanuel Macron. Il a été méthodique. Le président des Républicains a fustigé le bilan du président sortant et « sa gestion calamiteuse des finances publiques », avec « 100 milliards de dette supplémentaire en 3 ans », les réformes non abouties de la SNCF et des retraites ou encore « le bordel qu’il nous a mis avec les Gilets jaunes ». Et de lancer, à ceux qui peinent à trouver des différences entre La République en marche et Les Républicains : « Si c’est ça la droite, ce n’est pas la mienne ! ». Jacob a également vanté les propositions de sa candidate, telles que la fin des 35 heures, le relèvement de l'âge de la retraite, un plan à 5 milliards par an pour la sécurité ou encore le rétablissement de la peine plancher et la maîtrise de l’immigration. Un programme de droite, en résumé. Valérie Pecresse aura l'occasion de le détailler prochainement, lors de son grand meeting au Zénith de Paris, prévu le 13 février. « Tous les Marnais sont les bienvenus ! », a lancé Jacob.
Politique La venue de Marine Le Pen à Reims contestée
La candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, est attendue au parc des expositions de Reims, le samedi 5 février, pour organiser sa convention présidentielle, un grand meeting qui doit marquer la dernière ligne droite avant le premier tour de l'élection, le dimanche 10 avril. Un rendez-vous qui n'est pas du goût du collectif Cancel1516, rassemblement d'organisations associatives, syndicales et politiques, qui appelle à manifester ce jourlà, à 13 h 30, au départ du Un collectif appelle à manifester « contre les idées et pratiques d'extrême droite ». © l'Hebdo du Vendredi parc Léo-Lagrange, « contre les idées et pratiques d'extrême droite ». Les organisateurs précisent que la manifestation, déclarée en préfecture, « se veut familiale, festive et conviviale. Le parcours sera totalement indépendant du congrès politique de Marine Le Pen pour éviter tout débordement. »
ENBREF
Inscriptions sur les listes électorales
L’année 2022 est ponctuée de scrutins importants. Pour prendre part à la vie démocratique, il est nécessaire de s’inscrire sur les listes électorales. Cette démarche peut être effectuée jusqu’à cinq semaines avant chaque élection. Pour l’élection présidentielle (10 et 24 avril), la date limite est fixée au 2 mars sur service-public.fr et au 4 mars dans les mairies.
Patrimoine L'État au chevet de la cathédrale
Les échafaudages ont fait leur retour au niveau du chevet de la cathédrale de Reims. Près de dix ans après une première campagne de restauration menée au même endroit. Cette fois, l'intervention vise à améliorer l'état sanitaire général de l'édifice, notamment par la réfection des couvertures et de la restauration de la statuaire. Dans les détails, cela concerne les maçonneries, dans leurs parties hautes, la sculpture décorative, marquée par de nombreux manques, et la couverture en plomb dont l'accrochage sera amélioré par l'ajout d'une feuille de cuivre afin de prolonger sa tenue dans le temps. Quant aux vitraux figuratifs, datés autour de 1240 et qui ont résisté à deux guerres mondiales, ils nécessitent « une révision ». En attendant le début effectif de ce chantier, ses préparatifs, débutés le 17 janvier, devraient se poursuivre jusqu'à la fin février. Après la dépose d'un portail d'accès au jardin Entre-deux, puis l’installation en cours des clôtures et bungalows, ce sera au tour des échafaudages d'être montés. Cela se fera en deux étapes : la première installation, située au droit du chevet, culminera à 45 mètres de hauteur et permettra l'accès aux fenêtres hautes, tandis que la seconde, d'une hauteur de 30 mètres, permettra la pose d'un parapluie au-dessus du déambulatoire et des chapelles. D'un montant de près de 1,5 million d'euros, ce chantier, majoritairement réalisé par des entreprises implantées dans le département de la Marne, est financé par l'État dans le cadre du plan Cathédrale, lui-même issu du plan de relance de l'économie, et placé sous la maîtrise d'ouvrage de la direction régionale des affaires culturelles et sous la maîtrise d'œuvre de Marie-Suzanne de Ponthaud, architecte en chef des monuments historiques. Sa durée est estimée à un an.
Au chevet de la cathédrale, le montage du chantier vient tout juste de débuter. © l'Hebdo du Vendredi
J.D
ENBREF Un collectif rémois lance un concours national de photo
Il y a tout juste un an était lancé à Reims un concours de poésie, à l'initiative des Rémois Gérard Lemarié et Benoît Mignaux. Fort du succès de cette première, le duo, avec le soutien du champagne Taittinger, de l’Union et de Mennesson photo, remet le couvert, mais cette fois avec un concours de photographie. Son thème : le banc ! Toutes les personnes intéressées sont invitées à participer en envoyant leurs meilleurs clichés à concourslebanc@gmail.com, d'ici au 25 mai prochain. Attribués par un jury de professionnels, le premier prix sera récompensé par 4 000 €, le deuxième par 2 000 € et les trois suivants par 500 €. A noter que les plus belles photos seront tirées en grand format pour être affichées dans les halls d'accueil de quelques immeubles de Reims, comme l'ont été les plus beaux poèmes l'an dernier.
Nuit des étoiles au planétarium
La deuxième édition de la Nuit des étoiles d’hiver, organisée à l’échelle nationale par l’association française d’astronomie, se tiendra le samedi 29 janvier prochain. A Reims, rendez-vous au planétarium, de 14 h à 18 h et de 20 h à minuit, pour des séances et des ateliers, mais aussi une soirée d’observation et la promesse d’une belle découverte du ciel d’hiver, qui, à travers ses nébuleuses et ses amas d’étoiles, raconte les moments les plus spectaculaires de l’histoire de l’univers. Infos et réservations : 03 26 35 34 70.
Débat public sur l'avenir des transports en commun rémois
Alors que le Grand Reims a résilié le contrat signé avec Mars, la société concessionnaire des transports publics de l'agglomération rémoise, un collectif composé des forces écologistes et de gauche propose un débat public sur ce sujet en visioconférence, samedi 29 janvier, de 16 h à 18 h. Pour l'occasion, le collectif, qui prône un retour à une gestion publique, a invité les vice-présidents au transport des agglomérations de Strasbourg (Alain Jund), de Montpellier (Julie Frêche) et de Clermont-Ferrand (Cyril Cineux). A suivre en direct via le lien suivant : facebook.com/events/297785289044569?r ef=newsfeed
La stratégie bas-carbone du Grand Reims se dessine sur internet
Expliquer les enjeux, la méthodologie, le plan d’action et les projets de la stratégie bas-carbone, tel est le rôle du nouveau site web bas-carbone.grandreims.fr, accessible aux internautes depuis le 20 janvier. Avec ce site, le Grand Reims entend permettre aux citoyens de co-construire la stratégie bas-carbone de demain, notamment en offrant aux habitants la possibilité de partager leurs idées en matière de transition écologique.