VOTRE AVENIR COMMENCE ICI
L’histoire vraie des Dragon Ladies de Reims sur M6
En ce mois d’Octobre Rose, campagne annuelle au profit de la lutte contre le cancer du sein, les Dragon Ladies de Reims sont mises à l’honneur dans le film « Le Souffle du dragon ». Réalisé pour M6 par Stéphanie Pillonca, le tournage a eu lieu cet été à Reims, principalement aux Régates Rémoises et sur le canal. « Le Souffle du dragon » raconte l’histoire vraie du premier équipage rémois de Dragon Boat. Aujourd'hui répandue dans toute la France, cette pra tique permet aux femmes atteintes d'un cancer du sein de pagayer en groupe dans une embarcation à tête de dragon. Grâce aux mouvements, elles se musclent en douceur, combattent la maladie et préviennent la récidive. Le film, qui a bénéficié du soutien de Reims, du Grand Reims et du Grand Est, sera projeté en avant-première au cinéma Opéraims ce lundi 10 oc tobre, à 20 h, en présence du scénariste Clément Koch, et le lendemain, mardi 11 octobre à 21 h 10 sur M6. Cette soirée se prolongera avec un débat en présence des actrices et des vraies protagonistes de l'histoire et la diffusion d'un documentaire racontant cette aventure rémoise.
Le ministre Stanislas Guerini à Châlons
Dans la continuité des annonces sur le plan de sobriété énergétique du gouvernement, Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, est de passage à Châlons, ce vendredi 7 octobre, pour un déplacement consacré au déploie ment des mesures concernant les administrations publiques et leurs agents. A son programme est prévu un arrêt à La Veuve, sur le site de l’incinérateur de déchets, pour aborder les thématiques de l’énergie renouvelable et du réseau de chaleur dé ployé à l’échelle de Châlons. Le ministre réunira ensuite à la préfecture les chefs de service de l’État et les ambassadeurs sobriété. Chaque bâtiment public sera, en effet, doté d’un ambassadeur sobriété chargé de s’informer des nouvelles actualités liées au plan, d’informer les agents sur les bonnes pratiques et de s’assurer de la mise en œuvre des mesures par les agents. L’Etat entend réduire de 10 % sa consommation d’énergie.
Bref, Kyan Khojandi raconte ses souvenirs de Reims
Né en 1982 à Reims, l'humoriste Kyan Khojandi s'offrira une belle soirée de retrouvailles avec « son » public, le 19 janvier à l'Arena, avec son spectacle « Une Bonne soirée ». Pour l'occasion, le créateur de la série « Bref » a publié une vidéo dans laquelle il raconte, avec humour, ses souvenirs de la cité des sacres. 2 minutes 13 de nostalgie qui éveilleront sans doute quelques souvenirs émus aux quadra' et aux autres, à l'évocation des bus jaune et noir de la Tur, de la boite de nuit L'Échiquier, des rendez-vous devant le « Théâtre » ou en core de La Boîte à piles. À voir sur la page Facebook de l'artiste.
Ils se coupent du monde
Quel sens donner aux annonces faites par les plus grandes municipalités françaises de ne pas diffuser les matches de la Coupe du Monde, qui se tiendra du 20 no vembre au 18 décembre au Qatar ? Certains esprits retors sont passés à côté du geste cavalier, estimant qu’il était un peu tard pour se réveiller et, surtout, que le prétexte était trop beau pour réaliser de précieuses économies d’énergie. Pourtant, la décision est louable, étant donné le constat im placable : ce Mondial au Qatar a tout d’une aberration. C’est un désastre humain, environnemental et sportif an noncé. Son attribution ubuesque en 2010 est toujours sous le coup d’investigations des autorités judiciaires améri caines, françaises et britanniques. Sa préparation a néces sité la construction de six stades climatisés de 40 000 places destinés à devenir des coquilles vides qui aurait entraîné la mort de plusieurs milliers d’ouvriers, accueillis dans des conditions déplorables. Son déroulement même, en au tomne, dans un pays cinq fois plus petit que le Grand Est et deux fois moins peuplé, sans aucune tradition footballis tique, ni perspective d'essor populaire local, est absurde. Son hôte, un État où les droits des femmes et des minorités sont régulièrement bafoués, devrait poser un cas de conscience à tous ceux qui y participeront. Or, sur ce dernier point, il suffit de regarder la situation de la Russie et de la Chine, où se sont déroulés les derniers Mondial de foot et Jeux olympiques, pour se convaincre que la Fédération in ternationale de football (Fifa), comme le Comité interna tional olympique (CIO), font peu de cas de ce détail. Mais pour les passionnés de ballon rond, plus que pour les mu nicipalités, le dilemme sera de taille. Engager un boycott tout personnel aux finalités insignifiantes pour ne pas se compromettre avec un tournoi où l'ahurissant côtoie le ré voltant, ou bien s’accommoder, une fois de plus, de cette dérive du foot business poussée à l’extrême, pour vivre le frisson d’une phase finale qui ne se déroule que tous les quatre ans ? Malheureusement, ils ne sont pas au bout de leurs peines. Avec l’attribution des Jeux asiatiques d’hiver de 2029 à l’Arabie Saoudite, où les chutes de neige sont aussi fréquentes que les tempêtes de sable dans nos contrées, il y a fort à parier que cette Coupe du monde qatarie ne sera pas la dernière absurdité sportive du siècle.
À Reims, un plan de sobriété pour accélérer la transition énergétique
Invitée comme toutes les collectivités, mais aussi les entreprises et les ménages, à réduire sa consommation d'énergie cet hiver, pour éviter les délestages et les coupures, la cité des sacres a établi une feuille de route qu'elle juge « réaliste et réalisable ».
Il n'est pas question de seulement passer l'hiver, mais de poursuivre nos efforts. » Avant de dresser la liste des mesures prises par la ville, Arnaud Robinet tient à rappeler que « réduire la consommation d'énergie était déjà une priorité S'il s'agit de répondre évidemment aux enjeux du moment, cela s'inscrit dans un plan de transition plus vaste. » À ses côtés, Catherine Vautrin, présidente du Grand Reims, assure quant à elle « ne pas avoir attendu cet hiver pour engager la collectivité vers l'excel lence environnementale ». L'élue fait référence à la stratégie bas carbone mise en place par la communauté urbaine et qui a pour objectif de diminuer de 22 % les émissions de gaz à effet de serre d'ici
2030. Un but à atteindre qui passe par une ré duction globale de 14 % de la consommation d'énergie sur l'ensemble du territoire du Grand
Reims et dans le même temps par l’augmenta tion de la part des énergies renouvelables dans la production. À l'échelle du pays, l'enjeu est immense. Le gouvernement entend faire bais ser en deux ans la consommation totale d’éner gie de 10 % par rapport à celle de 2019. Une nécessité à la fois pour faire face à un risque inédit de pénuries d’électricité et de gaz au cours de l’hiver, lié à la crise énergétique pro voquée par la guerre en Ukraine, mais aussi une première étape plus structurante pour atteindre l’objectif de 40 % d’économie, seuil indispen sable à atteindre pour espérer parvenir à la neu tralité carbone en 2050.
Les crèches et les écoles pas concernées À Reims, la conjoncture actuelle entraine donc son lot de mesures, qualifiées par Arnaud Robinet « d'exceptionnelles, sans verser dans la caricature ou se lancer dans un concours Lépine ubuesque de la mesure économe. Nous avons écarté toutes les fausses idées, comme supprimer les illuminations de Noël ». La cité des sacres ne sacrifiera donc pas ses festivités de décembre, mais va tout de même les adapter à la situation, avec une extinction prévue à 22 h en semaine et à 23 h le week-end. Tradi tionnellement allumées tôt le matin, les déco rations resteront aussi cette année éteinte à l'heure de prendre le chemin de l'école ou du boulot. De même qu'on ne touche pas à Noël, le maire de Reims a annoncé que rien ne chan gerait dans les crèches et les écoles, car « il est hors de question que les enfants soient des va riables d'ajustement ». Ce sera aux parents, au moins à ceux travaillant au sein des collectivi tés rémoises, de s'acclimater. La température dans les bureaux et les ateliers va être abaissée, tandis que leur temps de chauffage sera réduit d'une heure le matin et d'une heure le soir. Tous les établissements gérés par la ville sont aussi amenés à s'adapter, à l'image des musées dont l'amplitude horaire d'ouverture au public de vrait être réduite. Dans les piscines munici
pales, les températures de l'air et dans les bas sins doivent être réduites de 2 °C à Orgeval, aux Thiolettes et à Louvois. Celle de Talleyrand sera fermée. « À la différence des autres pis cines, Talleyrand n'est pas raccordée au réseau de chaleur, justifie le maire de Reims, mais on va en profiter pour mener des travaux qui y étaient programmés plus tard dans l'année ». Le chauffage dans les gymnases va également diminuer de 2 °C, cela se traduit par une tem pérature qui va passer de 19 à 17 °C dans les vestiaires, et de 14 à 12 °C sur les terrains. L'éclairage public en première ligne L'autre grosse variable d'ajustement est celle de l'éclairage public. « Nous menons actuellement une concertation avec les 143 maires du Grand Reims, indique Catherine Vautrin. Sur les 69 s'étant déjà prononcés, 52 ont choisi d'étein dre l'éclairage public entre 22 h et 5 h et 11 au tres d'abaisser son intensité. » C'est cette dernière option qui a été choisie à Reims. « Cela se faisait déjà de minuit à 5 heures, mais nous allons l'avancer à 22 h ». Pour les monu ments historiques, leur temps d'éclairage va être réduit, avec une coupure une heure plus tôt, soit 22 h en semaine et minuit le week-end, ce qui représente 25 % d’économies. Quant au Luchrone, qui brille habituellement de jour comme de nuit, il doit être éteint en journée. Dans les zones d'activités, l'idée est d'éteindre à partir de 21 h, « sauf autour des entreprises où il est indispensable ». Concernant les com merces, Arnaud Robinet a pris soin de rappeler qu'il existait une loi. Celle-ci stipule que les en seignes lumineuses et les vitrines doivent être éteintes entre 1 heure et 6 heures du matin lorsque l'activité signalée a cessé. L'éclairage des locaux professionnels, ainsi que celui de leur façade, doit lui aussi être éteint au plus tard une heure après la fin de leur occupation. « Nous travaillons avec eux pour leur rappeler leurs obligations et ils ont tout intérêt à le faire, car ils sont aussi touchés par les augmentations du prix de l'énergie », précise le maire. Moins consommer pour éviter le blackout, c'est-à-dire une coupure généralisée de l'approvisionne ment en électricité, est donc le but ultime, car malgré les efforts en termes de consommation, les dépenses d'énergie vont continuer d'aug menter. À l'échelle de la communauté urbaine rémoise, la facture d'électricité se monte à 9,2 M€ en 2022, soit 1,1 M€ de plus que prévu. Et pour l'an prochain, la collectivité table sur une dépense de l'ordre de 10 M€. Une hausse mesurée si l’on en croit Catherine Vau trin, « car nous sommes restés avec l'opérateur historique quand d'autres agglomérations ont fait d'autres choix et voient actuellement leur facture doubler, voire tripler. ».
Le Plan de sobriété du territoire du Grand Reims doit permettre de diminuer, sur un an, la consommation de gaz de 8 % et d'électricité de 21 %. Et la présidente du Grand Reims de conclure positivement : « La situation actuelle nous conduit à agir plus rapidement, en prenant de bonnes habitudes qu'il faudra conserver. »
Trafic de drogue : pour la députée RN, Arnaud Robinet « plane »
Depuis son élection dans la 2e circonscription de la Marne, la députée du Rassemblement national AnneSophie Frigout fait parler d'elle au gré de sorties médiatiques sur des sujets particulièrement cli vants. En août dernier, elle s'atta quait ainsi à la Zone à faibles émissions mobilité (ZFEM) de Reims qu'elle qualifiait de « folie ». Dans la foulée, elle lan çait une pétition contre ce dispo sitif destiné à améliorer la qualité de l'air et obligatoire dans toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants d'ici 2025. Et comme promis, elle a déposé, le 20 septembre, une proposition de loi visant « à supprimer les ZFEM ». Cette fois, l'élue sort du bois suite à un article publié dans « Le Journal du Dimanche », le 2 octobre, intitulé « Reims, Cambrai, Dijon, Angers, Nantes... Ces villes rongées par la drogue ». Selon l'Office anti-stupéfiants (Ofsat), organe qui pilote la lutte antidrogue, la cité des sacres ferait partie des 20 villes françaises comptant le plus de points de deal. Dans un communiqué de presse, Anne-Sophie Frigout attaque donc directement de nouveau le maire de Reims, jugeant que « le trafic prend une ampleur sans précédent à Reims ». Elle estime qu' « Arnaud Robinet plane quand il se range derrière l'extrême gauche pour réclamer la légalisation du cannabis ». La députée, qui prône « des moyens policiers plutôt que du laxisme », accuse ainsi le maire de Reims « d'avoir baissé les bras ». La députée RN conclut en indiquant son intention d'interpeller le ministre de l'Intérieur « pour alerter sur la gravité de la situation à Reims ».
J.D40 Millions d'automobilistes à Reims contre la ZFE
L'association 40 Millions d'automobilistes lance un tour de France à la rencontre des automobi listes touchés par les Zones à faibles émissions (ZFE). Son président et son délégué général effectueront les déplacements dans toutes les grandes métropoles « touchées par les ZFE ». Leur première étape a lieu ce samedi 8 octobre à Reims qui dispose d'une ZFE depuis septembre 2021. L'association compte y compiler des témoignages « pour montrer aux élus les effets dévastateurs des ZFE sur la mobilité de chacun ». En effet, pour cette association, les ZFE constituent « une bombe à retardement sociale » et elle entend donc tout faire « pour faire prendre conscience au gouvernement de la nécessité de la désamorcer ». Elle soutient évidemment la proposition de loi déposée à l'Assem blée nationale par la députée RN de la 2e circonscription de la Marne, Anne-Sophie Frigout, visant à supprimer le principe les ZFE. Pour rappel, une ZFE est une zone urbaine dont l'accès est réservé aux véhicules les moins polluants. A Reims, elle concerne le secteur du centre-ville et l'autoroute urbaine, de Tinqueux à Cormontreuil. Mis en place dans plus de 200 agglomérations en Europe, ce dispositif a pour objectif de diminuer la pollution routière de l'air et indirectement de développer l'usage des transports en commun.
La député RN Anne‐Sophie Frigout, élue en juin dans la 2e circonscription de la Marne. © l'Hebdo du VendrediLe collège rémois Maryse Bastié a inau guré, jeudi dernier, un mémorial en l’hon neur de l’aviatrice dont il porte le nom. Installée au niveau de l'entrée de l'établis sement, il s'agit d'une dérive d’avion réali sée et pensée grâce au concours des services du département de la Marne, de l’armée de l’air, des équipes du collège et bien sûr de ses élèves. Passionnée d'avia tion depuis son plus jeune âge, Maryse Bastié (1898-1952) est célèbre pour ses aventures aériennes, avec dix records inter nationaux de distance et de durée. Ce fut également une pionnière en matière d'égalité entre les femmes et les hommes, signant en 1933 l'appel de l'Union fran çaise pour le suffrage des femmes et s'en gagent auprès de Louise Weiss, journaliste et féministe, lors des élections législatives de 1936. Entrée au service de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut aussi la première femme promue au grade de commandeur de la Légion d’hon neur pour fait de guerre.
Citura se mobilise pour Octobre Rose
En plus de faire rouler une rame de tram way aux couleurs d'Octobre Rose, Citura propose à ses clients inscrits sur sur CITUR’Avantage d'offrir leurs points de fi délité et d'ainsi faire grimper la « cagnotte Octobre Rose ». Si l’objectif des 900 000 points est atteint d'ici au 31 octobre, Trans dev Reims, exploitant du réseau Citura, s’engage à verser la somme de 5 000 € à la Ligue Contre le Cancer de la Marne.
Reims labellisée 100 % EAC
Jeudi 6 octobre, la ville de Reims est l’une des premières de France à avoir reçu le label 100 % EAC ou Education artistique et culturelle. Délivré par le ministère de la Culture, il distingue les collectivités enga gées dans un projet visant le bénéfice d'une
éducation artistique et culturelle de qualité pour tous les jeunes de leur territoire. Ce label est attribué pour une durée de cinq ans renouvelables.
Semaine Bleue à Reims : les inscriptions ouvertes à partir du 10 octobre
La ville de Reims participe, du 17 au 30 oc tobre, à l’événement national « la Semaine bleue », dédié aux seniors, retraités et per sonnes âgées. Au programme : des ate liers, des visites et des activités pour découvrir la ville et profiter de la vie, dans des domaines aussi variés que la culture, le sport ou le numérique. Le programme complet peut être téléchargé ou feuilleté depuis le site internet de la ville (reims.fr), mais il est aussi disponible en version im primée à l’hôtel de ville et dans les mairies de proximité. Si tous les rendez-vous sont gratuits, il est nécessaire pour y participer de s'inscrire en amont. Ouvertes à partir du lundi 10 octobre, les inscriptions se font par téléphone au 03 26 79 03 84, du lundi au vendredi, de 9 h à 13 h et de 14 h à 17 h.
Fête foraine sur le parvis de la basilique Saint-Remi
La fête foraine de la Saint-Remi se poursuit jusqu'au 23 octobre, sur le parvis de la ba silique Saint-Remi. Il s’agit d’un événement orienté vers le public des enfants avec les attractions suivantes : jeu de tir, boutiques de confiseries, appareils automatiques, un casino, un manège enfantin, un stand de pêche aux canards et des auto-tampon neuses pour les plus jeunes. Les horaires varient en fonction des jours. Les lundis, mardis, jeudis et vendredis, la fête ouvre de 16 h 30 à 20 h, tandis que les mercredis, samedis et dimanches, elle accueille le pu blic de 14 h 30 à 21 h. Exceptionnellement, en raison de la tenue du Run in Reims, le dimanche 16 octobre, la fête foraine débu tera à 16 h 30.
Cinq étoiles pour la Caserne Chanzy Ouvert depuis 2019 au pied de la cathé drale de Reims, la Caserne Chanzy vient d'obtenir de la part de l'agence de dévelop pement touristique Atout France sa cin quième étoile, soit le nombre maximum d'étoiles pour un hôtel. Une distinction qui lui permet de rejoindre quatre autres éta blissements de luxe implantés dans la cité des sacres et ses environs : le Domaine les Crayères à Reims, l'Assiette Champenoise à Tinqueux, le Château de Sacy et le Royal Champagne à Champillon.
Le défi énergétique de l'Urca
Face à la flambée des coûts de l'énergie, l'Université de Reims Champagne-Ardenne se dotera prochainement d'un plan de sobriété. Elle entend baisser sa consommation énergétique de 40 % d'ici à 2050.
En ce mois d’octobre, 24 000 étudiants de l’Université de Reims ChampagneArdenne (Urca) ont repris le chemin des salles et des amphithéâtres. Avec des ins criptions encore en cours, ils devraient être, au final, plus de 27 500, soit une baisse de 3,7 % des effectifs par rapport à l’année dernière. « Pour la deuxième année consécutive, les étudiants seront un peu moins nombreux, cela correspond à la baisse de la démographie dans l’ensemble de l’académie », a expliqué Guillaume Gellé, lors de la conférence de presse consacrée à la rentrée universitaire. Mais ce n’est pas vraiment ce point qui retient l’attention du président de l’Urca. Comme pour beaucoup de dirigeants, la crise énergétique fait partie de ses préoccupations majeures. « Ce sera l’année du challenge de l’énergie », a-t-il lancé. La problématique est de taille pour l'Urca. Avec 119 bâtiments et 265 000 m² de patrimoine bâti, ses dépenses énergétiques sont importantes. De 3,4 M€ en 2019, elles ont représenté 3,6 M€ l’année sui
vante et au moins 5,1 M€ pour 2022. « Nous serons, en 2023, à 8,5 M€ C’est un sujet im portant. »
Le président de l’Urca présentera très prochai nement un plan de sobriété, avec comme ob jectif d’atteindre, dans deux ans, une réduction de 10 % de la consommation d’énergie par rapport à 2019 (année de référence sans le covid) et de la baisser de 40 % d'ici à 2050.
Le principal défi consistera à maintenir la re cherche, « une de nos missions fondamen tales », appuie le président de l’Urca, très gourmande en énergie. « Sur le campus Mou lin de la Housse, 60 % de l’énergie est dédiée aux bâtiments de recherche ». Si « les écogestes du quotidien serviront à faire de belles économies », des projets de longue haleine doivent également permettre à
l’Urca de faire baisser la facture. On peut citer, par exemple, l’Ilot des savoirs, à Châlons, qui regroupera très prochainement l’IUT et l’Inspé (formation des enseignants) sur un site neuf, plus performant et plus adapté que les anciens. Ou la livraison du nouveau pôle santé de Reims, prévue en décembre prochain, re groupant les unités de médecine, de pharmacie et d’odontologie(à la rentrée 2023). « Depuis 2016, 167 M€ de travaux immobiliers ont été engagés. Nous poursuivrons la rénovation des bâtiments », a promis le président de l'Urca.
Simon KsiazenickiLe paquet sur la bioéconomie
Le président de l’Urca, Guillaume Gellé, l’a assuré : « Dans moins de dix ans, nous serons la référence en bioéconomie. » Pour rappel, la bioé conomie englobe l'ensemble des activités de pro duction et de transformation de la biomasse (forestière, agricole et aquacole), à des fins de pro duction alimentaire, de matériaux biosourcés ou d'énergie. Cela fait plusieurs années que l’univer sité de Reims est en pointe dans ce domaine et cela s'est matérialisé, cet été, par la réussite dans un appel à projet doté de près de 22 M€, sur dix ans. Une enveloppe qui permettra, notamment, la créa tion d’Exebio, institut international et interdiscipli naire en bioéconomie durable qui accueillera, à terme, 500 chercheurs du monde entier.
D ÉVELOPPEMENT DURABLELe Grand Reims dévoile le traitement de vos déchets
Ce samedi 8 octobre, le centre de tri Trivalfer ouvre ses portes à tous les curieux qui souhaitent voir et comprendre comment sont trai tés et valorisés les déchets produits par les habitants de Reims et des com munes limitrophes. Que se passe-t-il une fois le premier tri effectué à la mai son ? Toute la journée, de 10 h à 12 h et de 13 h à 18 h, l'ensemble du site situé dans la zone industrielle de la Pompelle sera accessible au grand public. Chaque année, environ 12 500 tonnes de dé chets y transitent. Les visiteurs pourront découvrir les opérations réalisées jusqu’à la mise en balle des déchets qui prennent ensuite le chemin de l'usine de revalorisation. Ce sera l'occasion de mieux comprendre l'importance de l’intervention humaine pour que le processus soit optimal. D’où la nécessité de trier correctement à la maison. Cette activité, pilotée par le Grand Reims, profite en effet aussi bien à l'environnement qu'au porte-monnaie de la collectivité, donc des usagers. En effet, de la qualité du tri des déchets par les habitants en amont dépend celle de leur va lorisation.
Visites en langue des signes
Des agents du centre Trivalfer seront présents pour répondre à toutes les questions. Pour les malen tendants, deux visites avec un interprète en langue des signes se tiendront à 11 h et 14 h. A noter qu'un concours est également organisé pour gagner un vélo fabriqué à partir de canettes métalliques recyclées ou un lot zéro déchet.
Le Grand Reims va tester le covoiturage incitatif
Courant novem
bre, les habitants de trois secteurs ruraux du Grand Reims bénéficieront d'une nou velle offre de transport : le covoiturage. Ce nou veau service va être testé durant 18 mois sur trois axes : la D20, de Boultsur-Suippe à Warmeri ville, la RN 51, de Warmeriville à Reims, et, la D 980, de Ville-en-Tar denois à Tinqueux. Cha cune sera ponctuée de plusieurs arrêts fixes. Par exemple, la ligne Boult-sur-Suippe-Warmeriville en comptera un à Bazancourt, afin de permettre de rejoindre la gare TER. « L'objectif est d'offrir un accès à Reims plus facile et plus économique depuis les communes alentour, explique Laurent Py, directeur des mobilités et des transports au Grand Reims. À l'image du transport à la demande que nous avons lancé en mai dernier, nous pensons que le covoiturage est l'une des so lutions. La problématique est qu'il est plus difficile à mettre en place sur de courtes que de longues distances d'où le dispositif incitatif imaginé par la collectivité. » Il le sera à plus d'un titre. Tout d'abord, les conducteurs, inscrits via une application numérique dédiée lancée le 24 octobre prochain, seront indemnisés à hauteur 1 € par trajet, dans la limite d’un aller-retour par conducteur et par jour, « pour créer une communauté de conducteurs », en plus du prix payé par les passagers (de 0,5 à 1,5 € selon le trajet). Les personnes intéressées pour voyager avec ce service devront patienter quelques semaines supplémentaires, le temps que l'offre globale de covoiturage soit suffisante. Ils auront d'ailleurs la ga rantie de trouver un départ et un retour aux heures de pointe, dans le cas où aucun conducteur n'est disponible au bout de 15 minutes d'attente à un arrêt. « Ils seront alors pris en charge par le Grand Reims », assure le technicien du Grand Reims. Cette garantie pour l'usager, comme l'indemnité de 1€ pour les conducteurs, ne s'appliquera que sur les liaisons entre Warmeriville-Reims et Ville-enTardenois-Tinqueux : la ligne Boult-sur-Suippe-Warmeriville étant considérée en premier lieu comme génératrice « de liens solidaires ». Une chose est sûre, il y a un potentiel pour le covoiturage dans ces secteurs, en particulier le long des RN 51 et D 980 qui voient respectivement circuler 4 000 et 9 000 pendulaires au quotidien, sachant que la plupart sont seuls dans leur voiture.
D ÉVELOPPEMENT DURABLE
La Ferme Rémoise en fête
Ce samedi 8 octobre, de 10 h à 20 h, la Ferme Rémoise, association dédiée à la revalorisation des espaces urbains inoccupés en les transformant en espaces agricoles, ouvre les portes de son site rémois. Installée sur la friche Saint-Charles (21 Ter, rue Saint-Charles), dans le cadre d'une convention avec la ville de Reims et le Grand Reims, elle y mène depuis le mois de novembre 2020 diverses expé rimentations d'agriculture ur baine. Lors de cette journée, l'association invite le grand public à venir parler d'agroéco logie et de souveraineté alimen taire avec des acteurs du territoire, via des ateliers pra tiques et diverses animations.
Au programme : atelier jardinage naturel (9 h à 12 h et 14 h à 17 h), atelier initiation au maraîchage (10 h à 12 h), fresque de l'alimentation (10 h à 13 h), atelier permaculture (14 h à 15 h
sur l'agriculture
Les grands projets de Bollinger
La maison de champagne installée à Aÿ, prestigieuse, mais d'ordinaire discrète, a dévoilé un grand projet qui lui permettra d'améliorer son outil de production et surtout s'ouvrir un peu plus à l'œnotourisme.
Célèbre dans le monde entier pour être le champagne préféré de James Bond, Bollinger adopte néanmoins le credo des agents secrets : la discrétion. Pour fêter ses 200 ans, en 2029, la maison familiale et indépen dante (la famille Bollinger est toujours majoritaire au conseil d’administration du groupe homonyme) va cette fois déroger un peu à ses habitudes. Elle vient ainsi de dévoiler ses grands projets, tous établis autour de son siège historique d’Aÿ.
Chez les amateurs de vins, Bollinger est notam ment connu pour ses 180 hectares de vignes, mais aussi pour la vinification sous bois de ses meil leurs crus, grâce à 4 000 fûts. Une quantité im pressionnante qui l’oblige même à être la seule maison de champagne à disposer d’une tonnel lerie propre, associée à son cellier. Mais la maison agéenne entend aller encore plus loin en augmen tant sa capacité de vinification à 5 000 fûts de 228 litres, soit « la plus grande capacité de vinifica tion sous bois de la Champagne », assure Bollin ger. Elle rénovera et agrandira son chai (lieu où se déroule la vinification) d’Aÿ, situé boulevard du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, qui sera doté de grandes baies vitrées donnant sur les vignes.
À noter que ce site est d'ores et déjà accessible à la visite.
Le deuxième grand projet de Bollinger est d’or dre œnotouristique. Comme beaucoup d’autres concurrentes, la maison fondée en 1829 a décidé de renforcer son offre et de belle manière. L’autre site d’Aÿ, sis au 16, rue Jules-Lobet, où demeu rait l’emblématique Elisabeth Bollinger, qui di rigea la maison de 1941 à 1971, sera dédié à l'accueil des visiteurs. Une boutique, des salles de dégustation et une salle à manger privée y se ront aménagées. Un peu plus loin, rue de la Charte, la résidence Dueil deviendra prochaine ment un hôtel de 20 chambres, doté d’un restau rant et d’un espace bien-être avec piscine. Salles
de réunion et grande salle de réception (pour 200 personnes) complèteront cet ensemble de 22 000 m², dont les travaux, débutés cet été, s’achèveront en 2026.
Une petite révolution, donc, pour cette maison emblématique de la Champagne, souvent citée comme l’une des plus prestigieuses, notamment à l’étranger. Il était logique qu’elle s’ouvre, à son tour, sur le monde.
Une charte verte pour 2029
Alors que l’ensemble de la profession est engagé dans une transformation de son modèle, les grandes maisons rivalisent d’annonces pour présenter un modèle plus vert que vert. Bollinger également, en dévoilant « huit engagements pour 2029 », avec, en ligne de mire, la certification B Corp, un label reconnu à l’international et considéré comme l’un des plus complets en matière de RSE. Parmi ses objectifs : passer à 30 % la surface de biodiversité, remplacer 100 % des intrants pétrochimiques par des produits biosourcés, réduire le poids des bou teilles de 7 %, réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40 %, réduire la consommation d’eau et la production de déchets de 10 %, supprimer le fret aérien en 2025 ou encore accompagner ses li vreurs de raisins vers la certification viticulture du rable en Champagne.
Dernières visites des anciens ateliers SNCF d'Épernay
Journées
Le futur d’Épernay doit s’écrire à l’emplacement des anciens ateliers de maintenance ferroviaire de la SNCF, situé derrière l'actuelle gare. C’est sur ce site de 12 hectares que l'équipe municipale du maire Franck Leroy projette de faire construire le quartier Berges de Marne, dans les dix années à venir. Logements, bureaux, espaces verts, maraîchage, bars, restaurants, activité de loisirs… Beaucoup de pistes sont actuellement à l’étude pour que ce site, qui pourrait accueillir 1 000 à 1 500 Sparnaciens, soit la vitrine de l'Épernay de demain.
En attendant la première étape de ce réaménagement, qui débutera en janvier 2023 avec le désamian tage et la déconstruction de certains bâtiments, la ville organise trois visites sur le site, les samedi 8 octobre, à 14 h et 16 h, et dimanche 9 octobre, à 11 h. Ces visites de 1 h 30 seront animées par Pierre Guy, écrivain spécialiste de l’histoire du chemin de fer à Épernay, et Géraldine Perrodin, architecte à la ville d’Épernay, qui raconteront la vie de cet ancien site industriel et les perspectives de dévelop pement futur dans le cadre du projet Berges de Marne.
En septembre 2018, une première balade, organisée dans les anciens ateliers de la SNCF, avait ren contré un franc succès. La ville précise donc que cette fois, d’autres horaires seront proposés en cas de forte affluence.
4 Réservation obligatoire : developpementurbain@ville-epernay.fr
S.KUn mois après les Journées eu ropéennes du patrimoine, le groupe LVMH, propriétaire de nombreuses marques emblématiques du luxe français, préfère, comme chaque année, organiser ses propres journées portes ouvertes à une date ul térieure. Ainsi, la cinquième édition des « Journées particulières LVMH » se déroulera du vendredi 14 au dimanche 16 octobre, dans 95 lieux de 57 mai sons, à travers quinze pays. Dans la Marne, les maisons Krug, Veuve Clicquot, Ruinart, Mercier et Moët & Chandon ouvriront leurs portes, sur ré servation. Si la très grande majorité des visites nécessite de s'inscrire en amont, certains sites propo seront des rendez-vous découvertes en accès libre sans inscription. C'est notamment le cas de la Maison de champagne Veuve Clicquot qui ouvrira les portes de ses principales adresses situées dans le Grand Reims : l'hôtel du Marc et ses crayères historiques à Reims, et le Manoir de Verzy. « C’est une invitation unique pour découvrir des lieux exceptionnels qui appartiennent à notre patrimoine culturel et inno vent depuis la création de la Maison en 1772 », déclare Jean-Marc Gallot, président-directeur général de Veuve Clicquot. Pour la première fois, les visiteurs pourront découvrir l'hôtel du Marc (18, rue du Marc) construit entre 1840 et 1846, à travers un parcours inédit (départ toutes les 20 minutes vendredi de 16 h à 19 h, samedi et dimanche de 10 h à 18 h). Du côté de la butte SaintNicaise (1, rue Albert Thomas), la Maison ouvrira ses crayères, un dédale de 24 km creusé à 24 mètres de profondeur (départ toutes les 20 minutes vendredi de 16 h à 19 h, samedi et dimanche de 10 h à 18 h). Enfin, le manoir de Verzy (10, rue Ernest Graingault), propriété de la maison depuis plus d'un siècle, offrira notamment aux visiteurs une vue imprenable depuis la Montagne de Reims (départ toutes les 20 minutes vendredi de 16 h à 19 h, samedi et dimanche de 10 h à 18 h).
J.D
Infos
Pour s’installer à l’Arena, le Champagne Basket doit convaincre Châlons
Présenté en grande pompe aux élus de Châlons Agglo, le projet « sport et art » du Champagne Basket vise à structurer l'équipe féminine du club au sein d'un tiers-lieu innovant et accessible à tous. L'ancienne caserne Chanzy est pressentie pour cette implantation, espérée à l'horizon 2025. Reste à convaincre les collectivités.
C'est un projet évoqué il y a deux ans déjà et qui, à l'époque, n'avait clairement pas séduit les élus châlonnais. D'abord parce qu'il prévoyait de repositionner l'équipe mascu line du Champagne Basket sur le bassin rémois, et donc de délaisser le palais des sports Pierre de Coubertin au profit d'autres salles, ensuite parce qu'il était perçu comme une sorte de compensa tion imaginée par le club pour préserver les sub ventions allouées jusqu'ici par Châlons Agglo. Depuis, le Champagne Basket a peaufiné sa copie et intégré la nécessité d'une logique territo riale d'ensemble et d'un espace partagé, ouvert à
tous les publics. « L'avenir du club tiendra à l'hy bridation de ses activités et à sa manière de se réinventer, a introduit Grégoire Lefebvre, direc teur général du club, lors d'une présentation dé taillée du concept « sport et art » aux élus communautaires, jeudi dernier. C'est un nouveau modèle que nous souhaitons déployer à l'horizon 2025, en créant une entité juridique pour gérer les deux sections féminine et masculine de haut niveau. » Si les matches de l'équipe pro mascu line se recentreront bien à Reims, au complexe
René-Tys et à l'Arena, le club mise sur Châlons pour implanter et faire monter en puissance l'équipe féminine. Avec un pôle matches à Cou bertin, également pressenti pour la coupe de France des garçons, qui pourrait accueillir à terme 16 rencontres, dont les playoffs de la Ligue féminine puis la coupe d'Europe, contre 10 actuellement. Sous réserve d'atteindre l'objec tif ambitieux que se fixe le Champagne basket, à savoir porter Les Pétillantes en première division d'ici deux, voire trois ans. « Nous visons aussi les 2 300 spectateurs par match et l'augmentation de 80 % du budget des filles, précise Grégoire Lefebvre. Il a déjà évolué de 15 % grâce à la mu tualisation de nos ressources. » Autre composante de cette feuille de route : l'aménagement d'un tiers-lieu, idéalement dans l'ancien quartier militaire Chanzy, où se dessine une vaste réhabilitation orchestrée par l'agglomération. Il com prendra le pôle de vie et de per formance des joueuses, mais aussi des services en tout genre et une programmation événemen tielle artistique, en complément de ce qui se fait actuellement sur le territoire. Sachant qu'entre la Comète, le Capitole, le Palc, Furies, Musiques sur la ville et toutes les propositions associatives, l'offre locale foisonne déjà. « L'idée, c'est de faire vivre et d'animer ce futur quartier, explique l'ins tigateur. En créant du lien avec les fonctionnaires qui y travailleront, les sco laires, les associations, et en l'ouvrant vers l'extérieur.
Les jeunes ne s'enferment plus deux heures dans une salle pour voir du sport ou un spectacle. Il faut qu'ils puissent piocher ce qu'ils veulent dans un panel élargi de choses à faire. » Au menu, par exemple : un restaurant, une galerie d'art, un es pace de coworking, des boutiques commerciales et artisanales, des masterclasses sportives et des rencontres autour du break dance ou des arts mar tiaux. « 90 % des locaux seront accessibles à tous. On aimerait y intégrer une salle de muscu lation et de balnéothérapie, des studios de répé tition, un laboratoire de recherche et développement avec l'Urca, des espaces dédiés au e-sport et aux pratiques amateurs, etc. » Sur le papier, le projet vend du rêve. Mais il
faudra encore en convaincre plus d'un pour le concrétiser. D'autant qu'il représente un budget estimé à 8,5 millions d'euros TTC, avec toutefois six créations d'emplois à la clé. Le club aura re cours à l'emprunt et compte sur 1,5 million d'ap port privé pour le financer. Les fonds régionaux et européens seront également sollicités. « Les matches à Reims serviront à financer cette partie châlonnaise, dixit Grégoire Lefebvre. D'autres villes ou agglomérations moyennes, comme Bourges, Mont-de-Marsan et CharlevilleMézières, ont fait le pari du basket féminin. Châlons est une terre de basket, quoi qu'on en dise, et possède déjà un puissant réseau de par tenaires développé par le CCRB (ndlr : Cham pagne Châlons Reims Basket à l'époque). On pense que la présence du féminin lui offrira un rebond pour fédérer d'autres potentiels partenaires. » Côté calendrier, l'équipe féminine pourrait s'installer en juin 2025. « Beaucoup de discus sions devront encore être engagées, a prévenu Floriana Paindavoine, conseillère communau taire et adjointe au maire de Châlons en charge du sport. La ville de Reims sera elle aussi autour de la table. C'est un projet qui a beaucoup évolué, qui nous semble ambitieux et positif pour le ter ritoire. Ceci étant, on a besoin de garanties, notamment sur le fait que le pôle de vie et de per formance des Pétillantes restera bien à Châlons. »
Le Champagne Basket s'y engage par la voix de son directeur général : « Les joueuses habiteront sur place, assure-t-il. À rai son de deux entraînements par jour, ce serait dif ficile autrement. On le prévoira dans les contrats signés avec le club. » De son côté, le président de Châlons Agglo, Jacques Jesson, a salué l'initiative tout en rappelant que l'idée d'un tiers-lieu à Chanzy figurait déjà parmi les piliers de sa réha bilitation. Et qu'une enveloppe d'environ 6 mil lions d'euros avait été fléchée sur ce dossier. Subtile façon d'ouvrir le champ des possibles...
Grâce à la formation continue, il est possible d'améliorer ses compétences ou d'acquérir de nouvelles connaissances professionnelles, que l'on soit salarié ou non. Zoom sur trois dispositifs efficaces.
Validation des acquis de l’expérience
La VAE (validation des acquis de l’expé rience) permet à toute personne, qui jus tifie d’au moins un an d’expérience en rapport direct avec la certification visée, de faire reconnaître officiellement ses compétences (professionnelles, associa tives, bénévoles, syndicales...) et d’obte nir un diplôme, un titre ou une certification sans avoir à suivre nécessai rement une formation. Les diplômes vont du CAP au niveau master et ont la même valeur que s’ils avaient été obtenus par la voie de la formation. Cela permet de faire reconnaître ses compétences et de les transformer en un niveau de qualification permettant d’accéder à une formation d’un niveau supérieur ou de s’inscrire à un concours, dans le but de changer d’em ploi ou d’évoluer professionnellement. Les personnes intéressées par la dé marche VAE doivent prendre contact avec le Centre de conseil sur la validation des acquis de l’expérience, qui dispose de nombreux relais sur le territoire (Pôle em
ploi, Mission locale, Apec…). Ensuite, selon la certification, le demandeur de VAE présente son projet devant un jury qui prendra une décision de validation to tale, partielle ou d’un refus de validation.
De la définition du projet jusqu’aux épreuves de validation devant le jury, l’en semble de la démarche dure entre huit et douze mois.
Infos : vae.gouv.fr
Compte personnel de formation
Le compte personnel de formation (CPF) est utilisable tout au long de la vie active
et en période de chômage pour suivre une formation qualifiante, certifiante ou une VAE. Le CPF est alimenté automati quement, en euros, au début de l'année qui suit l'année travaillée. Pour les salariés à temps plein et à mi-temps et les travail leurs indépendants dont la durée de tra vail a été supérieure à la moitié de la durée légale (1 607 heures), 500 € sont crédités pour chaque année de travail, jusqu'à 5 000 € maximum. Pour les sala riés peu ou pas qualifiés, le montant an nuel est majoré à 800 € et plafonné à 8 000 €. Les heures consacrées à la forma
tion pendant le temps de travail donnent lieu au maintien de la rémunération. Chaque personne dispose d’un espace personnel sécurisé lui permettant de consulter son crédit et de trouver une for mation.
Infos : moncompteformation.gouv.fr
Projet de transition professionnelle
Le projet de transition professionnelle (PTP), anciennement connu sous le nom de congé individuel de formation (Cif), permet au salarié de s'absenter de son poste pour suivre une formation destinée à changer de métier ou de profession. Pour en bénéficier, le salarié doit justifier d'une activité d'au moins deux années, dont une dans la même entreprise. Le tra vailleur doit adresser une demande écrite d'autorisation d'absence à son employeur qui, en retour, ne peut pas s'opposer au départ en formation. En revanche, il peut différer la demande de 9 mois maximum, si celle-ci peut avoir des conséquences préjudiciables pour l'entreprise. L'em ployeur a 30 jours pour répondre au sala rié. Passé ce délai, l'autorisation est considérée comme accordée. Lorsque le PTP est réalisé sur le temps de travail, le salarié bénéficie d'un pourcentage de son salaire moyen de référence. Lorsqu'il est inférieur ou égal à 3 357,90 €, la rémuné ration est complète.
Le salon
de Reims, c’est samedi
Magazine et site de ré férence sur l'orienta tion et les métiers, l'Etudiant, en partenariat avec la ville de Reims et le Grand Reims et avec le soutien du mi nistère de l'Enseignement supé rieur, organise la cinquième édition de son salon dans la cité des sacres. Il aura lieu le samedi 8 octobre, de 9 h à 17 h, au Centre des congrès de Reims. Si l'entrée est gratuite, une ins cription individuelle via le site internet du salon est obligatoire. Cet événement est l'oc casion de s'informer sur les modalités d'inscription, les différents cursus et les débouchés en échangeant directement avec les acteurs locaux de l'enseignement supérieur. Université de Reims-Champagne-Ardenne, Sciences Po, Neoma Business School, Agro ParisTech, CentraleSupélec, Institut Catholique de Paris (ICP), Ecole Supérieure d’Ingé nieur (ESI), Ecole Supérieure d’Arts et Design (ESAD), Haute École de Joaillerie, Mediaschool, Campus Eductive... l'offre rémoise est particulièrement riche, si toutes les possibilités d'études ou presque sont présentées (commerce, gestion, communica tion, art, ingénieurs sciences et techniques, international, santé, social, sport...). A noter que cinq conférences thématiques, animées par un journaliste de la rédaction de l'Etu diant, complètent cette journée : « Zoom sur les formations du développement durable et de la transition écologique » (10 h), « Suivre des études scientifiques et technolo giques » (11 h), « Les études de santé à l’université » (11 h 30), « Les études de santé à l'université » (14 h) et « Economie, gestion, management : quelles études pour quels profils ? » (15 h).
4 Salon de l'Etudiant, samedi 8 octobre, de 9 h à 17 h, au Centre des congrès de Reims. Entrée gratuite, mais inscription individuelle obligatoire sur letudiant.fr.
Un professeur particulie
Leader du soutien scolaire, Anacours a son agence à Reims depuis janvier 2021. Son gérant Cédric Roualet mise sur les affinités entre élèves et enseignants pour réussir, ensemble.
r chez soi
A
u-delà du cours particulier, c’est un véritable service personnalisé que propose Anacours. Evaluation des besoins de chaque élève et accompagnement adaappté sont les maîtres mots de ce réseau d’agences que Cédric Roualet a rejoint il y a un an et demi.
dxadànDu soutie scolaire l’aide e au u deevoirs, en diiflé
passant par des stages intensifs et la prépaan auxratio x concours postbac avec cours particuliers en classes préparatoires, Anacours s’intéresse au bien-être et à la progression des élèves de tous niveaux de la primaire aux études supérieures. « On offre à chaque enfant une solution éducative adaptée aux enjeux de la scolarité moderne », explique Cédric Roualet. Tous les domaines scolaires sont donc concernés, des plus classiques aux plus spécialisés, et ce, avec des professeurs rnsàparticuliers disponible à Reims, Epe naay et Chalons.
aaMais l réussite de l méthode repose essentiellement sur une adéquation professeur-élève. A la fois conseiller pédagogique
et responsable d d’agence comme entre accueil des soins et suivi pe d’une part, séle sur le niveau de tionnel pédagogi lll
u recrutement, un directeur Cédric Roualet se partage familles, diagnostic des bersonnalisé de chaque élève ction des enseignants basée compétence et un bon relaque d’autre part. Il fait donc lil
profmentnaatturelle le lien entre les feesseurs et les élèves, afin de créer les tandems gagnants qui font le succès d’Anacours.
« tutrlAccommppagnerl’élèèvegaraantiitsaré ssitee, conclut le gérant de l’agence rémoise. Je tire satisfaction en proposant à l’élève le « bon enseignant », celui qui le mettra en confiance, lui donnera envie d’apprendre et avec qui il partagera une belle expérience de vie. Réciproquement, je souhaite que l’enseignant prenne du plaisir à voir évoluer efficacement l’élève qu’il s’est vu confier.
✔ Anacours
g »
33 boulevard de la Paix, Reims
Tel. 03 51 25 51 37
Site : www.anacours.com
La formation et l'emploi au cœur du salon Viti Vini
La Digitale Académie, un tremplin pour les jeunes
Grand rendez-vous consacré aux pro fessionnels de la vigne et du vin, le salon Viti Vini fera son retour au Mil lesium d’Épernay, du mardi 11 au vendredi 14 octobre. Empêché par la crise sani taire en 2020, ce rendezvous régional bisannuel, qui rassemble habituelle ment 15 000 visiteurs, es père redémarrer du bon pied, dans un contexte particulier, où se côtoient rebond spectaculaire des ventes de champagne et crises énergétique et environnementale. Sans oublier les difficultés de recrutement, un point que la Passerelle des métiers à l'emploi, temps fort du Viti Vini, se propose de résoudre en partie. « Notre objectif principal est de mettre en avant les formations, les métiers et l’emploi, du pied de vigne jusqu’à la valorisation de la bouteille de champagne », explique Aurélie Henry, chargée de projet à la Maison de l'emploi et des métiers d’Épernay et sa région, qui anime la structure. Sur cet espace de 600 m², tous les publics en recherche d’information pourront être accueillis, des collégiens jusqu’aux salariés en reconversion. Un par cours de démonstration permettra de présenter plus d’une cinquantaine de métiers liés à la vigne et au vin, et les formations qui vont avec, puis il sera possible de consulter et répondre aux offres d’emploi déposées par quelques-uns des 200 ex posants du salon. « On dispose d’environ 150 offres de stage, d’alternance, de CDD et de CDI, dans des domaines très variés : mécanique, comptabilité, ingénierie, ro botique... », énumère Aurélie Henry. Tous les CV recueillis durant le salon seront compilés dans un « book » et transmis aux entreprises. 4 Infos et inscription : 03 26 54 85 85 et ahenry@mdem-epernay.fr
Emploi et formation sont au cœur de la Passerelle des métiers.
Installée à Châlons il y a trois ans sous l'égide d'Alméa Formations, la Digitale Académie propose aux 16-30 ans d'accéder à plus de 1 000 formations allant du BTS au Master et dispensées en ligne par les universités ou les orga nismes de l'enseignement à distance. D'abord héber gée au ThincLab Châlons, elle loue depuis l'an passé un espace au sein des Arts et Métiers et vient de re cruter une « coach » pour renforcer l'accompagnement des jeunes. Car qui dit formation à distance, dit aussi autonomie et rigueur. « On construit les emplois du temps ensemble, sachant qu'une présence entre 16 et 25 heures par semaine reste obligatoire », explique Virginie Jama, la responsable du dispositif. Les cursus choisis vont du commerce au social, en passant par l'informatique, la comptabilité, les langues ou la communication, et semblent avoir trouvé leur public. « Notamment les déçus de Parcoursup ou les ba cheliers qui rencontrent des problèmes de mobilité. On fait aussi office de tremplin pour ceux qui commencent ici puis réintègrent un établissement ensuite. » Si ses nouveaux locaux lui offrent une jauge de 34 places, la Digitale Académie compte à ce jour 16 inscrits. « Ils seront potentiellement une trentaine d'ici la fin des inscrip tions en novembre », estime la référente. Récemment, les élus de Châlons Agglo ac taient le renouvellement d'une subvention de 20 000 euros pour soutenir l'école en 2022 et 2023. Avec un objectif : accueillir 45 jeunes en 2024. Si ce cap est atteint, la question d'un autre déménagement pourrait se poser. Des discussions sont en cours pour rejoindre les bâtiments de l'ex-IPI, mais rien n'est acté pour l'heure. 4 Infos : 03 26 69 25 85 et digitaleacademie@almea-formations.fr
Ambiance studieuse dans les locaux de la Digitale Académie, installée depuis un an aux Arts et Métiers de Châlons. © l'Hebdo du Vendredi
De Paris à
elle quitte un
Ancienne commerciale dans le plus grand groupe hôtelier d'Europe, Léa Claverie-Wolter est revenue dans la Marne pour lancer son entreprise de décoration d'intérieur. Un projet réfléchi et un aboutissement personnel.
Quitter le salariat et la vie pari sienne pour revenir fonder son entreprise dans sa région natale était auparavant un cliché qui est en train de devenir une réalité tangible pour bon nombre de personnes. C’est le cas de Léa Claverie-Wolter, Châlonnaise de naissance, qui a profité de la crise sanitaire pour chan ger de vie professionnelle… et personnelle. Diplômée de l’ESC Troyes, une école de commerce qui prépare notamment aux mé tiers de l’hôtellerie, la jeune femme suit en suite un joli parcours qui la mène jusqu’à des établissements de luxe en Provence, à Monte-Carlo et à Paris. Elle rejoint finale ment le plus grand groupe hôtelier euro péen, en tant que commerciale, et fait sa vie dans la capitale. « J’avais toujours dit ‘Jamais Paris !’ et j’y ai finalement passé presque quatre ans, sourit la Marnaise. Et puis, le covid est arrivé, je suis restée confi née à Paris, c’était compliqué. »
Avant la crise sanitaire, l’idée de se reconvertir trottait déjà dans la tête de
groupe pour créer sa boîte
aussi une grande curiosité et aller plus loin que la formation pour être opérationnelle dès la création d’entreprise. » Ce sera chose faite en avril dernier, après plusieurs péripéties administratives. Si elle obtient bien une aide de la région (chèque CREA), c’est auprès de Pôle emploi que les choses se compliquent. « Je n’ai pas eu de res sources pendant huit mois », se souvientelle. Finalement, de commission en commission, elle fait valoir le bien-fondé de son projet, récupère ses droits au chômage et obtient un accompagnement au moment de sa création d’entreprise (Acre). « Heu reusement, j’ai pu compter sur le soutien de mes parents. »
Léa Claverie-Wolter, mais jongler avec une formation et un emploi à plein temps s’est révélé impossible. « C’est quelque chose qui a toujours été présent dans ma vie et dans ma famille, c’était évident qu’il fallait que je fasse ce métier un jour. J’avais déjà essayé de suivre une formation de décora trice d’intérieur, mais au niveau des horaires et de l’organisation, c’était difficile. » Anticipant les différentes étapes de son projet, la jeune femme le prépare minutieu sement. Elle trouve une formation en dé coration d'intérieur et en design d'espace
auprès de l’École d’arts appliqués à dis tance (EDAA), basée à Reims, puis démis sionne en décembre 2020 et retourne vivre chez ses parents, à Fagnières. « J’ai dû faire pas mal de concessions, après être partie de la maison pendant dix ans ! Mais je vou lais revenir près de ma famille, faire un re tour aux sources », image Léa Claverie-Wolter. Elle suit son cursus entièrement à distance avec assiduité, afin d’être prête en un an. « Il n’y a pas de partiels, on travaille à son rythme, il faut donc de la rigueur. Il faut
Les premiers clients du Studio LCW arrivent en août. Léa Claverie-Woltier s'adresse à des particuliers, pour des projets de vie ou de l’événementiel, mais aussi à des profes sionnels, petites maisons de champagne, hôtels ou gîtes, comme un clin d’œil à sa première activité. Lancée sur de bons rails et désormais installée à Épernay, la Mar naise de 29 ans se réjouit aujourd’hui d’avoir suivi son instinct. « Ça n’a pas été fa cile, je l’ai fait par étapes, mais j’avais besoin d’un nouvel épanouissement. Ç’a été un coup de tête, mais réfléchi », s'amuse-t-elle.
Simon Ksiazenicki 4 Infos : studiolcw.com, sur Facebook et Instagram
Les métiers d'aujourd'hui et de demain au salon Emploi & Formation
Time to move, LE rendez-vous pour bouger à l'international
Mercredi 12 octo bre, le Caveau de Castelnau à Reims accueille la 13e édi tion du salon Emploi & Formation, anciennement dénommé Avenir & Car rières, de 9 h à 18 h, sans interruption. Il s'adresse aussi bien aux jeunes (col légiens, lycéens ou étu diants) qu'aux adultes déjà en poste ou en re cherche d'emploi, lesquels pourront y trouver un large éventail de forma tions, grâce à la participa tion d'une quarantaine d'entreprises (SNCF, Vivescia, Pillaud Matériaux, Lidl, Aldi, Plurial Novilia...) venues recruter de nouveaux collaborateurs. En effet, cette année, le cœur du salon est dédié à l’orientation, s'intéressant notamment à la recherche de la formation la plus adaptée avant d’entrer dans le monde professionnel et s'interrogeant sur les métiers de demain. Trois conférences sont également au programme sur l’intelligence artificielle, les grands secteurs d’activité innovants et parcoursup. Animations et ateliers complètent cette journée où les visiteurs sont invités à se munir de leur curriculum vitae. L'an dernier, le salon a réuni environ 600 offres d'emploi et rassemblé 2 100 visiteurs.
Cette année, le cœur du salon est dédié à l'orientation. © Ville de Reims
4 Salon Emploi & Formation, mercredi 12 octobre, de 9 h à 18 h, au caveau de Castelnau, 9, rue Gosset à Reims. Entrée libre. Infos : salon-emploi-formation.fr
Dans le cadre de la campagne eu ropéenne Time to move, le centre info jeune Grand Est de Reims organise son tra ditionnel forum dédié à la mobilité internatio nale, mercredi 19 octo bre. De 13 h à 18 h, au stade Delaune, ce ren dez-vous, ouvert à tous les jeunes (lycéens, étu diants, apprentis, de mandeurs d’emploi et salariés), permet de faire le point sur les opportu nités pour vivre une ex périence à l'étranger. Ce forum permettra ainsi d'échanger avec une trentaine d'organismes spécialisés dans la mobilité internationale : Erasmus+, vo lontariat européen, VIE/VIA, étudier & travailler au Canada, etc. C'est donc l'occa sion de poser toutes les questions sur les différentes possibilités d'étudier, travailler, faire un stage ou un volontariat à l’international. Mais Time to move, ce n’est pas qu’un simple espace d’informations, c’est aussi, un moment pour découvrir des his toires inspirantes, pratiquer des langues étrangères ou encore participer à des ani mations (escape game et jeux linguistiques) et partager des infos pour voyager autrement.
Mercredi 19 octobre, ce rendez-vous dédié à la mobilité internationale fêtera sa 6e édition. © DR
4 Forum Time to move, mercredi 19 octobre de 13 h à 18 h, au stade Auguste Delaune, Reims. Entrée libre. Infos : info-jeunes-grandest.fr
L'armée recrute de jeunes volontaires
Début 2017, le Service militaire volontaire (SMV) accueillait ses premières recrues à Châlons. Depuis, près de 800 jeunes de 18 à 25 ans se sont engagés dans ce cursus de huit mois imaginé par l'armée, mêlant formation militaire, insertion professionnelle et savoir-être.
Des étudiants en charge du projet Zi Artistes 2
En 2017, l'association
Le Service militaire volontaire a déjà formé près de 800 jeunes sur le bassin châlonnais depuis 2017. © 1RSMV
« Notre taux d'insertion vers l'emploi et la formation s'élève à près de 80 % en moyenne, chiffre l'adjudant-chef Anthony, responsable de la cellule « re crutement-orientation-inser tion ». Il est de 90 % pour la dernière session. Ces jeunes viennent chercher un cadre chez nous. Ils sont en inter nat à la caserne et peuvent y rester le week-end s'ils le souhaitent. » À condition de respecter les règles qui s'imposent pour une vie sereine en communauté : réveil à 6 heures du matin, nettoyage quotidien des chambres et des espaces partagés, ac tivité physique régulière, extinction des feux à 22 heures. Les stagiaires assurent aussi des missions citoyennes, comme l'entretien de lieux de mémoire. « Ils appren nent beaucoup sur eux. Le SMV leur permet de préparer et de passer l'examen du permis de conduire, tout en suivant une formation professionnelle dans un rayon de 40 km autour de Châlons. » En lien avec les entreprises du territoire, plusieurs filières leur sont proposées : sécurité et prévention, logistique, bâtiment, vente, photovol taïque, etc. L'industrie rejoindra bientôt ce panel. « Cette formation multitechnique comprend la conduite de ligne, la soudure, la maintenance ou encore la robotique. » Les inscriptions sont d'ores et déjà ouvertes pour la prochaine promotion, attendue début 2023.
4 Contact : 06 07 35 17 77, 1rsmv-chalons.recrutement.fct@def.gouv.fr.
67 % des entreprises prévoient de recruter des
d'entre elles
marché
transition
tension
l'écoute
ZI Port Sec La Hus selle, présidée par Olivier Stroh, lançait le pro jet Zi Artistes dans le but d’embellir et valoriser le long mur de béton qui pré domine dans le paysage de cette zone industrielle ré moise et située près de la Cartonnerie. Résultat ? Une succession de graffs s'éta lant sur 800 m2 réalisés par plusieurs dizaines de street-artistes. Cinq ans se sont écoulés depuis, le temps de donner une suite à ce projet artistique sans équivalent dans la cité des sa cres. Et ce sont les étudiants du Campus Eductive Reims qui se sont vus confier cette mission. Dans le cadre de leur cursus, ils vont travailler sur les besoins du projet en communication, marketing, événementiel, design et management. Au total, environ une centaine d'entre eux sont concernés. Se positionnant en tant que véritable agence de communication répartie en quatre pôles (production graphique, commu nication, événementiel et sponsoring), les étudiants doivent ainsi préparer le projet de A à Z : retravailler son identité, communiquer sur celui-ci grâce aux réseaux so ciaux, au print et aux médias, construire son budget et donc séduire partenaires et mécènes. Baptisée sobrement Zi Artistes 2, cette nouvelle édition doit faire inter venir 80 graffeurs venus des quatre coins du monde, lors d'un événement ouvert au grand public le 10 juin 2023 et ainsi créer une galerie d'art à ciel ouvert sur le thème de la musique, en lien direct avec la zone industrielle et son quartier qui accueille aujourd'hui plusieurs établissements œuvrant dans ce domaine : la Cartonnerie, Césaré, le Shed, le Lieu et l'Arena.
La première édition de Zi Artistes s'est tenue à Reims en 2017 dans le secteur du Port Sec. © portsec.fr
4 Infos : reims.eductive.fr et portsec.fr
Se préparer, c'est choisir de mieux valoriser son parcours
es en
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concours
peux postuler
Tu es en terminale
maths, physique, chimie, SVToption
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peux postuler sur Parcoursup ESIREIMS
entrer directement
cycle préparatoire
l’école
Le parcours d'une Châlonnaise pour devenir sapeur-pompier
Comptable de métier, Emeline Joseph s'est préparée pendant un an au concours de sapeur-pompier professionnel. Elle l'a manqué de peu, mais aspire toujours à s'engager pour sauver des vies, en tant que pompier volontaire.
Comme beaucoup de jeunes, Emeline Joseph a suivi le cursus classique des métiers de la comp tabilité. D'abord un bac pro, puis un BTS et une licence. Dès la fin de ses études en 2017, elle décroche un poste dans un cabinet d'expertise à Fère-Champe noise avant de rejoindre Châlons, sa terre natale. « J'ai toujours eu des affinités avec les chiffres, explique-t-elle. L'avantage de la compta, c'est qu'on trouve facilement du travail dans ce domaine. » Assez vite, la lassitude des journées passées au bureau, assise derrière l'écran, la rattrape. De nature altruiste, la jeune femme avait déjà songé à devenir pompier. « Mon papa a été ambulancier smuriste à l'hôpital de Châlons pendant 40 ans. J'admi rais ce qu'il faisait au quotidien pour aider les gens, même si ce n'est pas un métier facile. Lorsque je lui ai parlé de mon projet, il a été surpris, et aussi content de m'avoir transmis cette fibre. »
sapeur-pompier professionnel. « Les dates d'inscription tombaient justement à ce moment. J'ai réussi les épreuves écrites en novembre, qui portaient sur des ba siques en français et en mathématiques. » Les épreuves physiques et sportives, en février de cette année, se sont avérées plus compliquées malgré les aptitudes de la can didate. Elle projette de participer au Raid Amazones 2023 avec le collectif « Les 4'Elles marnaises » et s'en traîne quasiment tous les jours dans différentes disci plines : natation, vélo et course à pied. « L'épreuve de natation consistait à parcourir 50 mètres en moins d'une minute. Je l'ai validée en 43 secondes. Le parcours sui vant devait s'effectuer avec une charge de 20 kg environ sur le dos. J'ai manqué de force dans les bras pour la barre de traction et je n'ai pas pu accéder à la dernière épreuve de course et d'endu
Trop peu de candidatures féminines
En 2021, Emeline quitte son emploi et se lance dans la préparation du concours d'admission à la formation de
Depuis avril, Emeline a retrouvé un poste dans la comptabilité du côté de Vitry. Elle garde son projet en tête, mais vise désormais, au moins dans un premier temps, le statut de sapeur-pompier volontaire. « Ce qui ne signifie pas bénévole, souligne-t-elle. On est rémunéré et on intervient selon nos disponibilités, sous forme de gardes et d'astreintes. Avec les mêmes missions que celles des professionnels. D'ailleurs, les pros comme les volontaires étaient sur le pont lors des incendies de fo rêts. » Quant aux risques du métier, elle ne les appré hende pas outre mesure. « Ils font partie de notre
Emeline Joseph espère un jour s'engager auprès des sapeurs-pom piers professionnels. © DR
engagement. Lorsqu'ils interviennent pour éteindre un feu ou porter secours à des personnes, les pompiers n'y pensent pas. Ce qui est sûr, c'est qu'ils manquent de vo lontaires et en particulier de candidatures féminines. Les mentalités évoluent, mais il y a encore bien plus d'hommes que de femmes chez les pompiers. » A ceux qui envisageraient une reconversion professionnelle, elle conseille de « bien se renseigner et de foncer. On se dit souvent que ce n'est pas le bon moment, alors qu'il suffit de s'en donner les moyens. » Peu importe la voie choisie.
Au sein de l’académie de Reims, le GIP FCIP, ou Groupement d’intérêt public de la formation continue et de l’insertion professionnelle, est une structure qui propose des formations pour tous, tout au long de la vie, en partenariat avec les acteurs du territoire.
Formation initiale et continue, apprentissage, validation des acquis de l’expérience, formation de formateurs et reconversion professionnelle font l’apanage de l’organisme de formation GIP FCIP. Derrière ce sigle obscur se trouve un réseau lumineux de conseillers territoriaux prêts à aider les personnes à se réaliser. « Nos services sont présents sur toute l’académie de Reims comprenant la Marne, l’Aube, la Haute-Marne et les AdU
A r d ennes. U n vaste territoire contrasté entre centres urbains et milieux ruraux, explique Thierry Périn, directeur du GIP FCIP. Ce maillage nous permet d’agir au
plus près des besoins propres à chaque territoire.
»
A la croisée de ces besoins, le GIP FCIP coordonne donc la co-construction de projets de formation entre le grand public et les acteurs économiques et institutionnels de la région. Ainsi, les personnes en recherche d’emploi, les salariés, les indépendants, les apprentis peuvent trouver un partenaire pour se former ou monter en compétences là où ils vivent. « Nous travaillons avec les entreprises, les collectivités, les lycées, le pôle emploi, le Conseil régional et les GRETA, ajoute Thierry Périn. Nous offrons une presrt taation de service public su l’ensemble du mtntterritoire, e où l’enjjeu es d’accomppagner tmle retour à l’empploi e soutenir les entreprises en difficulté de recrutement autour de projets sur-mesure. » Trouver sa place, construire sa vie, aller de l’avant sont des ambitions que les équipes du GIP réalisent avec et pour tous. Faisant coïncider intérêts écoij
nomiques, conjectures sociales et moyens structurels, Ils réunissent les personnes aux emplois qui leur correspondent d’où qu’elles viennent, quelles qu’elles soient.
C’est pourquoi le groupeme également aux lycéens avant l’école, avec ou sans qualific blic en situation de handicap avec l’association Différent e « Nos conseillers s’adaptent à lui redonner confiance, c’est lldi
nt s’intéresse qu’ils quittent ation, au puen partenariat t Compétent. chacun pour ça qui compte
où des animations ont permis de présenter leurs actions. Un savoir-faire à faire savoir !
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GIP FCIP
i
vraiment
t », conclut le directeur. Ce qui compte aussi, c’est que la mission du GIP soit connue du grand public qu’il peut aider concrètement, comme avec sa présence sur la Foire de Châlons dernièrement
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Sur une parcelle de 308 m², offrant un potentiel de 250 m² habitables. Volumes à exploiter, possibilité de 5-6 chambres au total et SDB et/ou SDD sur chaque niveau. Façade avec cachet. Jardin clos sur l'arrière de la maison, de bonne superficie. Cave - Chauffage central au gaz. Honoraire Charge vendeur - Classe Energie: En cours
MAISONS
Gare à la dégringolade
Avec une seule victoire en neuf rencontres et un nouveau nul frustrant concédé à Troyes, le Stade de Reims se retrouve en plein doute avant de recevoir le géant parisien, samedi.
Un air de déjà vu. C'est le sentiment qui habitait les supporters du Stade de Reims, dimanche soir, après le quatrième nul concédé par leur équipe, sur la pelouse du voisin troyen (2-2), alors qu'elle menait encore à la 90e minute. Il faut dire que cela faisait plus d'une demi-heure que les Rouge et Blanc évoluaient à dix contre onze après l'exclusion de leur maître à jouer, Junya Ito, pour un vilain tacle. Une habitude, pour les Rémois, qui ont subi, au stade de l'Aube, leur sixième carton rouge en seulement neuf rencontres.
Le plan de jeu minimaliste du club marnais lui avait certes permis de mener malgré une pos session indigente (32 %) et deux fois moins de passes échangées que leur adversaire, mais à force de subir, en infé riorité numérique, le scénario s'est finalement répété et les Rémois sont encore passés à côté de leur seconde victoire. Logique, quand on ajoute à ce carton rouge un but « donné » aux
Troyens par Yehvann Diouf, auteur d'une énorme bévue pour sa deuxième titularisation dans les buts rémois... « On est venu avec un plan de jeu assez clair, différent des dernières semaines, qui a permis de mettre Troyes en difficulté. Mais c’est très frustrant parce qu’on commet les mêmes erreurs depuis le début de la saison », a déploré Will Still, l'entraîneur adjoint ré mois, en conférence de presse. Cette équipe, talentueuse à certains postes, réussira-t-elle à
échapper aux quatre dernières places à l'issue de la saison en pratiquant le même football que celui développé à Troyes ? Les prochaines semaines donneront les premiers éléments de réponse.
Le Stade de Reims prend la pose
Néanmoins, samedi prochain, la réception du leader, le Paris Saint-Germain, n'offrira sans doute aucune indication claire sur la suite de la saison du Stade de Reims. L'écart semble tellement grand entre les deux formations que l'équipe d'Oscar Garcia, privée d'Ito, donc, n'aura certainement pas d'autre choix que d'ap pliquer une stratégie peu ou prou identique à celle déployée à Troyes. Face à la constella tion de stars parisiennes, les partenaires d'An dreaw Gravillon, pas passé loin de son premier but dans l'Aube, devront surtout défendre. Et ils devront bien le faire pendant 90 minutes, s'ils veulent espérer quoi que ce soit. Terminer à onze ne serait également pas du luxe. Pour le moment, ils ne sont pas en core parvenus à réaliser ce premier défi, tandis que le second ne s'est produit qu'à trois re prises. Il faut une première à tout...
Simon Ksiazenicki4 Reims - Paris SG, samedi 8 octobre, à 21 h, au stade Auguste-Delaune et sur Canal + Sport
Après l’Opéra, l'an passé, le Stade de Reims a choisi, cette année, le musée Saint-Remi comme cadre de sa photo of ficielle pour la saison 2022-2023. Si, sur le terrain, la dynamique est maussade, avec un nouveau nul concédé à Troyes et une 17e place au classement, dans la somp tueuse salle capitulaire de l'abbaye SaintRemi, les sourires étaient de mise sur les visages des partenaires invités et des joueurs, malgré une longue attente de ces derniers. Un seul membre du club man quait à l’appel, l’entraîneur Oscar Garcia, reparti en Espagne pour des raisons personnelles. Le résultat de cette séance de shooting sera dévoilé dans les prochains jours, tout comme celle réalisée avec l'équipe féminine du Stade de Reims.
Touché par le
jouera finalement
Alors que le Cham pagne Basket avait deux matches à jouer cette semaine pour le compte de la Leaders Cup, mardi sur le parquet de l'Elan Chalon et vendredi à domicile face à l'Al liance Sport Alsace, son calen drier s'est subitement allégé. La faute au covid qui se rappelle aux mauvais souvenirs de l'équipe marnaise. Plusieurs joueurs étant contaminés, trois au minimum, les deux rencon tres ont été logiquement reportées. Finalement, la réception de l'Alliance Sport Alsace a été décalée au dimanche 9 octobre à 19 h, au complexe René-Tys de Reims. Quant au déplacement à Chalonsur-Sâone, il a été repoussé au mardi 11 octobre, soit quatre jours seulement avant le coup d'envoi du championnat de Pro B qui verra Châlons-Reims jouer un choc contre Orléans. Ce sera le samedi 15 octobre, à 15 h 15, à Châlons.
Alsace,
Basculez dans le cirque de la Sociale K
Pour sa première date de la saison, le Manège, haut lieu rémois du spectacle en mouvement, jonglant habilement entre la danse et le cirque, a choisi In Bilico. Traduit en français, cela si gnifie « Entre deux », « au bord du gouffre » ou « à la vie à la mort ». Tout un programme pour cette pièce dans laquelle le monde semble prêt à basculer. Créée par la compagnie Sociale K, In Bilico est un spectacle en apesanteur qui invite les spectateurs à multiplier les points de vue afin de les aider à prendre la mesure du déséquilibre permanent qui les entoure. Ainsi, dans une esthétique contemporaine rythmée par une musique électro, la Sociale K use du langage circassien sur une struc ture rotative spécialement imaginée pour cette création. C'est dans ce décor que trois fildeféristes, ac compagnés d'un musicien, qui vont illuminer la piste du vénérable cirque de Reims, telle une métaphore autour de l'équilibre et de ses enjeux. Des artistes que le public du Manège est d'ailleurs invité à rencontrer, une fois cette grande première achevée, lors d'un moment de pratique ludique et convivial autour de leur univers.
J.D4 In Bilico, vendredi 14 octobre, à 19 h, au cirque de Reims. Tarifs : 3 à 28 €. Infos : manege-reims.eu
L IVRE
A lire et à relier point à point
En mai dernier, les éditions rémoises Fulbert First dévoilaient leur nou velle collection « Révélati•••n ». Di rigée par Nathalie Sejean, celle-ci propose aux lecteurs de ralentir le temps en devenant acteurs de leurs lectures et en entrant même dans l’écriture. Avec le premier titre « Il Pa raît Que Tu Veux Changer Le Monde », les curieux ont pu découvrir et s’initier à ce nou veau concept : les pages de gauche sont écrites et à lire, les pages de droite sont en points à relier et donc… à relier pour être ré vélées. Avant même de commencer, les pages de droite uniquement, lues les unes à la suite des autres, ont un sens. Une fois les pages de gauche reliées, le sens se nuance et le propos complet apparaît. Le livre a été tiré à 300 exemplaires pour la première édition et, atteignant la rupture de stock, a été ré édité.
Depuis, la collection continue de faire son chemin et a dévoilé, ces dernières semaines, « Tout Lâcher », le deuxième titre, signé par Marion Séclin, comédienne, scénariste et réalisatrice. Cette fois, c’est dans son écriture manuscrite que les lecteurs vont entrer par les points à relier, au fil d’un texte qui explore la force des failles humaines. La première édition de ce livre atteint les 1 500 exemplaires dont une bonne partie est déjà partie en prévente, depuis le 19 septembre dernier, sur internet. Mais le livre sort officiellement ce vendredi 7 octobre en librairie et l’élan est pris : la directrice de collection évoque même un planning éditorial déjà ficelé à l’horizon de janvier 2024.
« Tout Lâcher », second livre de la collection « Révélati•••n » aux éditions Fulbert First sort en librairie ce vendredi 7 octobre. © l'Hebdo du Vendredi
4 « Tout Lâcher », de Marion Séclin, aux éditions Fulbert First. Sortie officielle le 7 octobre. 32 pages. 13€ Infos : www.fulbertfirst.com
J.DTEDxReims : le grand retour
Après deux ans de silence forcé, la soirée TEDxReims revient le jeudi 1er décembre avec toute la puissance que peuvent avoir les grands retours sur scène. En effet, les conférences TEDx Reims sont, depuis leur première apparition en 2013, toujours très attendues. Et cette année, c’est inédit, c’est au Centre des Congrès que le rendez-vous est donné pour écouter les sept intervenants d’ores et déjà annoncés et qui réfléchiront sur le thème choisi cette année : Influence(s). Au programme, donc, Patricia Chaira, grande reporter de guerre et romancière, Hervé Berthonneau, coach, Richard Matis, professeur et président national de Gynécologie sans frontières, Jérôme Lavillat, publicitaire de l’agence Romance, Mamouz, journaliste, productrice et instragrameuse, Alix Pelletreau, membre du réseau Éspérance Banlieue et Jérémy Stempflin, président de l’association Marcher pour respirer. Chacun à leur lumière explorera l’influence, sous un angle ou un autre, pour mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Seule contrainte, universelle à toutes les conférences TED, ils n’auront pas plus de 18 minutes pour s’exprimer, durée considérée comme le temps moyen d’attention optimale pour une audience classique. Minutée, chaque intervention va donc à l’essentiel et captive, à chaque fois, par son condensé d’informations utiles et surprenantes. Les réservations sont ouvertes, et les places partent vite, même si, cette année, la jauge attendue peut atteindre les 700 spectateurs.
A.C
Agenda
SPECTACLES
VENDREDI 7 OCTOBRE
MC FLY & CARLITO
Duo comique.
A 20h - Tarif : 30€ - Kabaret, Tinqueux
DIDOU
One man show.
A 20 h - Tarif : 22€ - Royal Comédie Club, Reims
SPECTACLE : CLIN D’ŒIL À LA VIE
À travers sa voix, Agnès Deschamps invite à un moment conte en écho à la vie, et ravira adultes et grands enfants.
A 18 h – Gratuit – La Filature, Bazancourt
VENDREDI 7 ET SAMEDI 8 OCTOBRE
THÉÂTRE : DELPHINE ET CAROLE
Amitié militante, de Marie Rémond et Caroline Arrouas.
Ven à 20 h et sam à 18 h - Tarifs : de 6 à 23€ - La Comédie de Reims
SAMEDI 8 OCTOBRE
SOIRÉE DE CLÔTURE DU TEMPS DES CERISES
Avant de ranger son chapiteau, le Temps des cerises invite le public à un concert des Vagabonds et au spectacle de l’école de cirque Supercrampe.
A partir de 18 h 30 – Billetterie inversée - Au Temps des Cerises, parking de l’hippodrome, Reims
SAMEDI 8 ET MERCREDI 12 OCTOBRE HO ! LÀ LÀ
Seul en scène, art plastique, poésie et marionnettes.
A 15 h et 17 h - Tarifs : 6 à 10€ - Le Cellier, Reims.
JEUDI 13 OCTOBRE
SURPRISE PARTY Comédie.
A 20h - Tarif : 25€ - Kabaret, Tinqueux
VENDREDI 14 OCTOBRE
4 Conférences TEDxReims, Influence(s), jeudi 1er décembre à 19 h 30, Centre des congrès, Reims. Tarifs : de 20 à 45€. Infos : tedxreims.fr
C ONCERT - L A C ARRÉ B LANC
Gustine, version intime
Deux jours après sa soirée cé lébrant l'ouverture de sa sai son, la salle de spectacle de Tinqueux accueille un concert événe ment avec à l'affiche Gustine. L'ar tiste rémoise, révélée au grand public grâce à son passage dans l'émission The Voice, est de retour avec sa voix et sa harpe qu’elle met au service d’un répertoire renouvelé qui s'ac commode parfaitement avec la scène. Chanteuse et harpiste, donc, mais aussi pianiste, compositrice et productrice de musiques électroniques, Gustine possède un parcours musical aussi riche que varié. Au Carré Blanc, entourée de deux musi ciens, elle partagera avec le public les titres de deux de ses trois mini-albums Aquatism et Exotism.
4 Gustine, vendredi 8 octobre, à 20 h 30, au Carré Blanc, Tinqueux. Tarifs : 5 à 18 €. Infos : le-carreblanc.fr
ALEXIS LE ROSSIGNOL One man show.
A 20 h - Tarif : 22€ - Royal Comédie Club, Reims
CIRQUE : IN BILICO Acrobaties par la Cie La Sociale K.
A 19 h au Cirque - Tarifs : de 6 à 23€ - Le Manège, Reims
DU VENDREDI 14 AU MARDI 18 OCTOBRE LA TRAVIATA
Opéra de Giuseppe Verdi.
Ven. à 20h30, dim. à 14 h 30 et mar. à 20 h - Tarifs : 10 à 54€Opéra de Reims
DU VENDREDI 14 AU JEUDI 20 OCTOBRE THÉÂTRE : LE FIRMAMENT
Treize femmes en colère, de Lucy Kirkwood, mise en scène de Chloé Dabert.
Ven. 14 à 19 h 30, sam. 15 à 18 h et du mar. 18 au jeu. 20 à 19 h 30 - Tarifs : 6 à 23€ - La Comédie de Reims
SAMEDI 15 OCTOBRE
JE VAIS T’AIMER Comédie musicale.
A 20h - Tarifs : 35 à 79€ - Arena, Reims
UN DERNIER POUR LA ROUTE Comédie d’Éric Brulé et Daniel Camus, mise en scène de Thomas Cost.
A 20 h 30 - Tarif : 11€- La Spirale, Fismes
CONCERTS VENDREDI 7 OCTOBRE
GUSTINE
Chanson française.
A 20 h 30 - Tarifs : 5 à 18€ - Le Carré Blanc
SAMEDI 8 OCTOBRE
PARCELS
Pop rock.
A 20 h - COMPLET - La Cartonnerie, Reims
DIMANCHE 9 OCTOBRE
CHOEUR SACRÉS ROBERT INGARI
L’Ensemble Qunitette à cordes et le violoncelliste Marc-Di dier Thirault accompagneront le Choeur Nicolas de Gri gny, sous la direction musicale de Robert Ingari et Jean-Marie Puissant.
A 16 h – Entrée libre sur réservation au 06 20 23 44 36 – Eglise Saint-Maurice, place Museux, Reims
DU LUNDI 10 AU DIMANCHE 16 OCTOBRE
SUNNYSIDE FESTIVAL
Organisé par Jazzus, ce festival propose une programma tion hétéroclite et séduisante autour du jazz, avec la volonté de mixer les genres et les lieux.
A Reims. Programmation complète et infos sur sunnysidefestival.fr
SAMEDI 15 OCTOBRE
LES BULLES MUSICALES
Troisième édition pour cet événement proposant des concerts, avec en tête d’affiche Barcella, mais aussi un marché d’artisans, des activités diverses pour petits et grands...
De 16 h à 1 h - Tarif : 13€ (moins de 12 ans 8€) billetweb.fr/lesbulles-musicales - Champagne Jean-Paul Deville, Verzy
DIMANCHE 16 OCTOBRE
CHORALE A TRAVERS CHANTS
Un concert commun avec la La Villanelle.
A 15 h - Entrée libre - Eglise d’Hermonville
CANTABILE
Choeur et piano (Debussy, Poulenc...).
A 15 h - Entrée libre - Eglise St-Lambert, Lavannes
LOISIRS
VENDREDI 7 OCTOBRE
LES CAUSERIES
Conférence débat, par le collectif IO.
A 18 h - Entrée libre sur réservation - Opéra de Reims
DÉDICACE : SPÉCIALE « MANAGAKA »
Avec les mangaka Federica Di Meo, Senchiro, Maluko et Valne.
De 16 h à 19 h – Entrée libre – Librairie Bédérama, galerie de l’Etape, Reims
SAMEDI 8 OCTOBRE
BALADE NATURE DANS LES MARAIS ET SABLIÈRES DU MASS
Proposée par le Conservatoire d’espaces naturels Cham pagne-Ardenne. Infos : 03 26 69 12 39.
A 9 h 30 – Gratuit – Départ du parking de la mairie de Cormicy
DÉDICACES : KEYAN KHOJANDI ET MAUD BETTINA-MARIE
Les deux auteurs présentent leur livre « Comment je suis ar rivé jusqu’à moi » (First Editions).
De 14 h à 17 h – Entrée libre – Librairie Rougier&Plé, Reims
Les Europuces, c'est ce week-end et c'est gratuit
Historiquement organisées à Reims, les Europuces dé ballent pour la première fois au Capitole et réunissent 65 exposants spécialisés dans la brocante, les anti quités, les objets de collection et le vintage. « Installer notre manifesta tion à Châlons, c'est un pari, souligne Pascal Valleise, dirigeant de la société Artcom, qui chapeaute l'événement. Les acteurs châlonnais ont été d'une aide précieuse. On espère que les vi siteurs, y compris ceux de Reims, se ront au rendez-vous. On a d'ailleurs choisi de rendre l'entrée gratuite, contre six euros d'habitude, pour faciliter leur venue. » Les étals répartis sur 6 000 m2 proposeront une multitude de choses à chiner, pour tous les goûts et toutes les bourses. « Les Europuces, c'est un peu la caverne d'Ali Baba, sourit l'instigateur. On aura des jouets, de la BD, des vêtements, des cartes postales, des chapeaux et des sacs, de la verrerie art déco, de la dentelle, etc. Sans oublier le mobilier de toutes les époques. » Du classique au design des années 70, en passant par l'art industriel ou le style des 50's. Les curieux pourront également dénicher des raretés insolites, comme des luminaires fabriqués à partir de matière recyclée, du matériel scientifique, de la déco en plaque émaillée, etc.
« L'un des exposants fait du relooking avec d'anciens postes TSF à lampes datés des années 30. Il y intègre des enceintes connectées, ce qui permet d'écouter les radios du monde entier avec une qualité de son d'aujourd'hui, tout en valorisant ces superbes objets. » La crise n'a, semble-t-il, pas eu raison des amateurs de chine, et c'est heureux. « Ils partagent leur passion, s'échangent des tuyaux et se font plaisir. On sait toujours ce dont on a besoin, jamais ce qu'on va trouver. » La magie des puces.
Sonia Legendre
4 Europuces, samedi 8 octobre de 14 h à 18 h et dimanche 9 octobre de 9 h à 17 h, Capitole en Champagne (68, avenue du Président-Roosevelt à Châlons) - Entrée libre – Infos : europuces.com.
Chiner
VENDREDI 7 OCTOBRE
FISMES - BOURSE AUX VÊTEMENTS & PUÉRICULTURE
18 h à 20 h - Salle des fêtes, rue de la Huchette
SÉZANNE - BRADERIE DU SECOURS POPULAIRE
9 h à 18 h - Prétoire, Cours d'Orléans SAMEDI 8 OCTOBRE
REIMS – BOURSE AUX VÊTEMENTS
A partir de 8 h 30 – Service du vêtements, 19 et 25, rue du Jard
BOURGOGNE-FRESNES PUCES DES COUTURIÈRES
9 h à 17 h - Salle de la Buissonnière, place de la Mairie
CHÂLONS - EUROPUCES
Antiquités, objets design, etc.
14 h à 18 h - Entrée libre
Au Capitole-en-Champagne
FISMES - BOURSE AUX VÊTEMENTS ET PUÉRICULTURE
9 h à 17 h - Salle des fêtes, rue de la Huchette
SÉZANNE
BRADERIE DU SECOURS POPULAIRE
9 h à 18 h - Prétoire, Cours d'Orléans DIMANCHE 9 OCTOBRE
ATHIS - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
AUMÉNANCOURT - VIDE-POUSSETTES
8 h 30 à 12 h - 14, rue Désiré Sarazin
CHÂLONS - EUROPUCES
Antiquités, objets design, etc.
9 h à 17 h - Entrée libre - Au Capitole-en-Champagne
CHÂLONS - VIDE-GRENIERS & BRADE-LIVRES
8 h à 17 h - Esplanade du Verbeau
Cinéma du 5 au 11 octobre 2022
OPÉRAIMS
CHRONIQUE D'UNE LIAISON PASSAGERE
Ven : - 16h00 - 20h30 Sam : - 13h45 - 18h15 Dim :16h00 - 20h30 Lun : - 13h45 - 18h15 Mar : - 16h0020h30
CITIZEN KANE Dim : - 18h00, VO, ST DON'T WORRY DARLING Ven : - 16h00, VO, ST18h40 - 21h20, VO, ST Sam : - 18h40, VO, ST - 21h20, VO, ST Dim : - 13h20 - 16h00, VO, ST - 21h20, VO, ST Lun :13h15, VO, ST - 16h00 - 18h40, VO, ST Mar : - 16h00, VO, ST - 18h40 - 21h20, VO, ST
DRAGON BALL SUPER: SUPER HERO Ven :13h40, VO, ST - 18h00, VO, ST - 20h10 Sam : - 13h4015h50, VO, ST - 18h00 - 20h10, VO, ST Dim : - 10h3013h40, VO, ST - 15h50 - 18h00, VO, ST Lun : - 13h4015h50, VO, ST - 18h00 Mar : - 13h40, VO, ST - 18h00, VO, ST - 20h10
JUMEAUX MAIS PAS TROP Ven : - 13h30 - 19h0021h10 Sam : - 16h40 - 19h00 - 21h15 Dim : - 10h4013h30 - 15h40 - 21h00 Lun : - 13h30 - 15h40 - 17h45 Mar : - 13h30 - 15h40 - 20h15
KOATI Sam : - 14h10 - 16h10 Dim : - 10h50 - 14h1016h10
KOMPROMAT Ven : - 13h20 Sam : - 13h20 Dim :10h30 - 18h40 Lun : - 21h20 Mar : - 13h20
LA TERRE DE GEVAR Lun : - 20h30, VO, ST
LE CHAMEAU ET LE MEUNIER Sam : - 13h50 Dim : - 10h50 - 13h50
LE SIXIEME ENFANT Ven : - 13h30 - 17h30 Sam :15h00 - 19h00 Dim : - 17h00 - 21h00 Lun : - 13h3019h30 Mar : - 15h30 - 21h30
LE TIGRE ET LE PRESIDENT Mar : - 13h30
LE VISITEUR DU FUTUR Ven : - 21h30, 7.1 Lun :21h30, 7.1
LES ENFANTS DES AUTRES Ven : - 13h45 - 15h5018h15 Sam : - 16h00 - 20h30 Dim : - 10h30 - 13h4518h15 Lun : - 16h00 - 20h30 Mar : - 13h45 - 15h5018h15
L'EVENEMENT Mar : - 20h30
L'INNOCENT Lun : - 20h10
L'ORIGINE DU MAL Ven : - 13h40 - 18h40 Sam :16h00 - 21h15 Dim : - 10h30 - 21h15 Lun : - 13h40 -
CORMICY - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
COURCY - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
LES-GRANDES-LOGES - VIDE-POUSSETTES
8 h à 16 h - Salle des fêtes
LIVRY-LOUVERCY - VIDE-POUSSETTES
8 h à 13 h - 6, rue de la Renaissance
MAGENTA - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Parking groupe Anatole-France
REIMS - MARCHÉ AUX LIVRES
8 h à 17 h 30 - Halles du Boulingrin
SÉZANNE - BRADERIE DU SECOURS
POPULAIRE
9 h à 18 h - Prétoire, Cours d'Orléans
ST-BRICE-COURCELLES – BOURSE TOUTES
COLLECTIONS
9 h à 17 h 30 – Entrée libre – Salle des fêtes
ST-ÉTIENNE-SUR-SUIPPE - VIDE-MAISON
9 h à 18 h - 18, rue du Château
TOURS-SUR-MARNE - VIDE-GRENIERS
A partir de 6 h - Centre du village
DU MERCREDI 12 AU SAMEDI 22 OCTOBRE
REIMS - BRADERIE DE VÊTEMENTS
14 h à 18 h (sauf le dimanche) - Foyer protestant, 22, rue Camille Lenoir
18h40 Mar : - 16h00 - 21h00
MARIA REVE Ven : - 14h15 - 19h00 Sam : - 16h3021h00 Dim : - 14h15 - 19h00 Lun : - 16h30 - 21h00 Mar :14h00 - 18h00
MOONAGE DAYDREAM Ven : - 15h40, VO, ST Sam : - 13h30, VO, ST
NOVEMBRE Ven : - 16h15 - 18h30 - 20h45 Sam :14h00 - 16h15 - 18h30 - 20h45 Dim : - 11h00 - 14h0016h15 - 18h30 Lun : - 14h00 - 16h15 - 18h30 Mar :16h15 - 18h30 - 20h45
POULET FRITES Ven : - 21h45 Sam : - 13h30 Dim :16h15 - 21h35 Lun : - 19h00 Mar : - 21h45
REVOIR PARIS Dim : - 10h40 - 20h45 Lun : - 16h30 Mar : - 14h00 - 17h50
SAMOURAI ACADEMY Dim : - 10h30
SANS FILTRE Ven : - 14h10, VO, ST - 17h00, VO, ST20h00, VO, ST Sam : - 14h10, VO, ST - 17h00, VO, ST20h00, VO, ST Dim : - 10h30, VO, ST - 14h10, VO, ST17h00, VO, ST - 20h00, VO, ST Lun : - 14h10, VO, ST17h00, VO, ST - 20h45, VO, ST Mar : - 14h10, VO, ST17h00, VO, ST - 20h00, VO, ST
SIMONE - LE VOYAGE DU SIECLE Dim : - 16h30
THE WOMAN KING Ven : - 13h30, ATMOS - 16h15, ATMOS - 19h00, ATMOS Sam : - 15h45, ATMOS - 18h30, ATMOS Dim : - 13h30, ATMOS - 18h30, ATMOS Lun :13h30, ATMOS - 16h15, ATMOS - 21h15, ATMOS Mar :13h30, ATMOS - 16h15, ATMOS - 19h00, ATMOS
TICKET TO PARADISE Ven : - 14h15 - 16h30, VO, ST18h45 - 21h00, VO, ST Sam : - 14h15, VO, ST - 16h3018h45, VO, ST - 21h00 Dim : - 14h15 - 19h20, VO, ST20h10 Lun : - 14h15, VO, ST - 18h45, VO, ST - 21h00 Mar : - 14h15 - 16h30, VO, ST - 18h45 - 21h00, VO, ST
TORI ET LOKITA Ven : - 15h30 - 19h30 Sam : - 17h0021h00 Dim : - 15h00 - 19h00 Lun : - 15h30 - 17h30 Mar :17h30 - 19h30
UN BEAU MATIN Ven : - 16h20 - 21h20 Sam : - 18h50 - 21h10 Dim : - 18h50 - 21h10 Lun : - 16h20 - 21h20 Mar : - 13h40 - 18h40
UNE BELLE COURSE Ven : - 16h30 - 21h00 Sam :14h15 - 19h00 Dim : - 16h30 - 21h00 Lun : - 14h1519h00 Mar : - 16h00
Météo
C’est une semaine pleine de surprises ! Sous l’action de la nouvelle Lune, vos pro positions se multiplieront et vos projets auront toutes les chances de se concrétiser. Osez innover !
Vous voulez garder le sourire et préserver votre énergie positive ? Une seule solution : une hygiène de vie irréprochable. Oubliez les exci tants en tous genres, ils vous feraient couler à pic.
Bonne nouvelle, le tandem Jupiter-Vénus en signe ami vous réserve de belles pro messes. Côté cœur, l’amour et plaisir se rencontreront pour votre plus grande joie.
Dans l'ensemble, une bonne semaine vous attend malgré un pied de nez de la nouvelle Lune. Qui trop embrasse mal étreint, sou venez-vous de cet adage !
L’accent est mis sur votre vie relation nelle. Il s’agira de soigner vos relations sociales et de coopérer davantage avec vos collègues qui n'hésiteront pas à vous renvoyer l'ascenseur.
De nombreuses questions d’ordre pratique vous occuperont, ce qui laissera relativement peu de disponibilité pour le secteur affectif… Veillez à ne pas aller trop vite en besogne.
N'hésitez pas à vous lancer dans des projets de grande envergure. Ne laissez pas dor mir vos bonnes idées, mais appliquez-les et défen dez-les avec conviction.
Stop ou encore ? Continuer en choisissant la sécurité, ou prendre le risque de tout changer ? Ne cherchez pas à contrôler la situation de A à Z, et mieux vaut éviter toute forme d’excès.
Vous vivrez une semaine studieuse et parfois même laborieuse, histoire de vous perfec tionner. Votre vie privée vous apportera beaucoup de satisfactions, mais des dépenses en trop aussi.
Aujourd’hui, confrontez vos attentes à la réalité la plus crue possible si vous voulez mettre toutes les chances de voir vos projets aboutir en ne laissant personne vous en détourner.
Votre vie professionnelle s’annonce plus li néaire que la période précédente. En effet, vous allez lever le pied et prendre du recul, tout particulièrement dans vos relations.
Votre meilleur atout sera votre confiance en vous, ne cédez pas aux provocations et ne baissez pas les bras. Votre créativité sera au beau fixe si vous écoutez votre intuition !
Benoît MelvhilleQualité de l’air
La CLCV vous informe
L’usage paisible des lieux
L’usage paisible des lieux consiste pour le locataire à ne pas porter atteinte à la jouis sance des autres occupants de l’immeuble ou à faire un usage du logement autre que celui prévu dans le contrat (exercer une activité professionnelle alors que le bail prévoit uniquement une occupation à titre d’habitation principale) (article 7 b loi n° 89-462 du 6 juillet 1989). C’est aussi sur le fondement de l’obligation de jouissance paisible que la responsabilité du bailleur est engagée pour les actes accomplis par des personnes avec lesquelles il est lié juridiquement, par exemple pour les troubles de voisinage occasionnés par un autre de ses locataires.
CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com