Une occasion unique!
Koupat Ha׳ir
La principale caisse de Tsédaka d׳Israël
Gagnez cette magnifique Hanoukya en argent massif accompagnée d’une fiole d’huile bénie par le Tsadik
Rabbi David Abouhatsira.
Et soutenez des milliers de familles nécessiteuses de tout Israël.
r n u s a p t s Ce n’e Allumerez-vous cette année les lampes de Hanoucca avec l’huile d’olive de Rabbi David Abouhatsira ? Imaginez-vous… Le premier jour de Hanoucca, vous êtes debout devant votre hanoukia, les mains tremblantes. Sur la table est posée une bouteille d’huile d’olive, mais pas simplement de l’huile… De l’huile d’olive très spéciale, l’huile d’olive de Rabbi David Abouhatsira ! L’huile d’olive que Rabbi David Abouhatsira a offerte aux donateurs de Koupat Ha’ir après y avoir déversé ses bénédictions et ses prières. Cette huile se trouve sur votre table, elle est à vous ! Vous êtes si ému que vous avez peur que la bouteille vous glisse des mains. Plusieurs minutes passent avant que vous arriviez à calmer votre émotion. Vous saisissez la bouteille et sentez votre cœur s’émouvoir et battre. Est-ce vos battements de cœur ou est-ce le cœur de Rabbi David qui est versé dans l’huile ? Rabbi David et sa grandeur dans la Torah, Rabbi David et son amour pour tous les Juifs, Rabbi David et ses innombrables disciples, Rabbi David et son soutien enthousiaste de Koupat Ha’ir ! L’huile coule dans le gobelet avec lequel vous allez bientôt allumer la première lampe de Hanoucca. Vous fermez la bouteille et la posez bien haut pour demain. Ensuite, tous les membres de votre famille se
groupent autour de vous, aussi émus que vous. Vous allumez une allumette et la flamme attire l’attention de tous. Puis vous commencez à réciter les bénédictions, d’une voix que vous-même ne reconnaissez pas. Vous n’êtes pas d’un caractère émotif mais allumer les lampes de Hanoucca avec l’huile spéciale de Rabbi David… Ce n’est pas une chose qui arrive tous les jours, ce n’est jamais arrivé. Et seules quelques personnes ont eu cette chance. L’huile que Rabbi David a donnée de sa propre initiative, on l’a partagée en plusieurs petites fiole. Vous faites partie de ces heureux gagnants. Vous avez reçu cette bouteille extraordinaire pour accomplir votre mitsva avec l’huile de Rabbi David Abouhatsira. Vous prononcez les bérakhot avec inspiration, peutêtre avec la plus grande inspiration que vous ayez connue de votre vie à ce moment-là. Soudain, vous comprenez les mots des bénédictions avec plus de profondeur, vous sentez la lumière de la foi, de l’élévation, de la proximité à D. Votre famille éprouve les mêmes sentiments que vous, vous le voyez. Dans la hanoukia, la flamme brûle, belle et éclatante. La lampe de Hanoucca éclaire et réjouit le cœur. Vous n’oublierez jamais ce moment. Vous chantez en chœur les chants de Hanoucca et vous rendez compte que chacun de vous prie intérieurement. C’est un moment important, un moment propice qui vient avec l’accomplissement de la mitsva. Il faut prier pour tant de choses ! La santé, la parnassa, l’éducation des enfants, la paix dans le foyer… Ce ne sont que de grandes lignes qui incluent tant de moments difficiles, tant de déceptions, tant d’espoirs. Les
! e l b i s s o p t s e ’ c , e v ê r Portes du Ciel sont ouvertes devant vous à présent et, éclairé par les lampes de Hanoucca, vous y pénétrez. Vous sentez cette fois que le mérite de Rabbi David qui est entré aujourd’hui chez vous a fait quelque chose en vous. Vous priez et sentez les murailles célestes s’effondrer les unes après les autres. Vous ressentez une proximité à D., une affection particulière. Il est impossible d’oublier des moments pareils où vous vous êtes élevés au-dessus de vous-mêmes. Vous ne le savez peut-être pas, mais le mérite de la tsédaka que vous avez donnée, cette tsédaka qui a fait de vous un « donateur de Koupat Ha’ir » ayant la chance de participer à ce tirage au sort, vous ouvre la voie. L’argent que vous avez donné a été distribué aux foyers où la faim se faisait sentir et l’a apaisée. Il a visité des malades et les a aidés à guérir. Il a pénétré chez des familles qui souffraient et a soulagé leur malheur. L’argent que vous avez donné à Koupat Ha’ir a donné la vie, la santé, l’espoir et la lumière. Tous ces mérites vous enveloppent à présent. Et la force exceptionnelle vient du mélange de la tsédaka et de la sainteté de Rabbi David Abouhatsira avec ses prières et ses bénédictions en faveur des donateurs. C’est Rabbi David lui-même qui a suggéré à Koupat Ha’ir : Prenez cette huile, mon huile destinée à l’allumage des lampes de Hanoucca, et proposez-la aux donateurs de Koupat Ha’ir. Qu’ils donnent davantage, qu’ils méritent davantage. Quand ils allumeront avec cette huile, toutes mes bénédictions se déverseront sur eux.
La ségoula de cette huile appartient à nous tous. C’est pour cela que Koupat Ha’ir ne l’a pas vendue à une vente aux enchères publique : nous sommes tous égaux, nous sommes tous des donateurs. C’est pourquoi cette huile précieuse sera tirée au sort de façon égale entre tous les donateurs. Vous avez fait un don ? Vous faites partie du tirage au sort. Qui obtiendra cette huile ? Personne ne le sait encore. Nous le voulons tous, nous l’espérons tous, nous faisons tous un don. C’est là l’important.
Une occasion unique:
Recevez toutes les bénédictions et Segoulot dans une fiole d’huile bénie et sanctifiée par le saint Rabbi David Abouhatsira. 10 fioles d’huiles ont été préparées à partir d’une bouteille bénie ! 10 fioles seront remises aux heureux gagnants du tirage au sort qui sera effectué par Rabbi David Abouhatsira en personne parmi les donateurs ayant répondu présents à l’appel de Hanouka de Koupat Ha’ir. Cette année, c’est peut être vous qui allumerez vos lampes de Hanouka avec cette huile unique, grâce à un don à Koupat Ha’ir. Pour cela, il vous suffit de joindre à votre don le formulaire d’inscription imprimé au dos de ce bulletin.
Fendre
Nous attendons tous Hanoucca. Deux mois de routine après les fêtes ont éveillé en chacun de nous l’attente d’un changement dans le quotidien. Quoi de plus beau qu’un changement tout en lumière et en miracle ? Hanoucca est une fête extraordinaire. Voilà que la Hanoukia est frottée pour la faire briller et que l’huile est prête. Bientôt, nous réciterons «Chéassa nissim laavoténou» et nous chantonnerons «pour les miracles et les prodiges, les délivrances et les consolations que Tu as faits à nos ancêtres autrefois, à cette période de l’année ». Nous répéterons ces mots à chaque Amida, à chaque Bircat Hamazone, et nous nous imprégnerons de cette foi en les miracles que D. a faits pour nous à cette époque pour nous sauver en tant que peuple, et en les miracles qu’Il réalise pour nous sans cesse aujourd’hui. Sans eux, comment survivrions-nous ? D. fait des miracles et accomplit pour nous des délivrances impressionnantes depuis toujours. Mais que donnons-nous en échange ? Comment pouvons-nous exprimer notre reconnaissance envers notre Père pour Ses miracles ? De même qu’Il est miséricordieux, soyons-le aussi, de même qu’Il est bienfaisant, soyons-le aussi, de même qu’Il fait des délivrances, faisons-le aussi…
Réaliser des délivrances Nous aussi nous pouvons faire des délivrances car nous avons reçu la possibilité de sauver nos
les Cie
frères. Et si nous le pouvons, nous devons le faire ! Lorsque nous faisons un don à Koupat Ha’ir, notre argent est distribué à des familles malheureuses. Il fraie un passage à travers des murailles de désespoir et de détresse et fait entrer la lumière. Si seulement vous pouviez en être témoin ! Quel mérite que de sauver un frère ! Il n’est rien dont nous nous souviendrons avec autant de plaisir et de contentement que de ce bonheur d’avoir sauvé un frère de ses souffrances. Et ces mérites sont à notre porte, bien plus que nous ne serions prêts à le croire. Les besoins sont pressants : encore une famille, encore un homme de valeur, encore des enfants privés d’enfance, encore des bébés qui n’ont jamais connu un jour de joie de leur vie. La pauvreté fait des ravages. S’il n’y a pas assez d’argent à la maison pour acheter du lait pour le bébé, la famille entière est en crise… Un enfant qui a faim par manque de moyens est une douleur inimaginable… Un bébé qui pleure de maux d’oreilles quand il manque les quelques sous pour lui acheter un
Nos Grands Maîtres allument la Hanoukiya et éclai
Le Gaon Rav H. Kanievski שליט''א
Le Gaon Rav Y. Hillel שליט''א
Le Gaon Rav C. H. Wozner שליט''א
eux
médicament, c’est quelque chose que ses parents supportent difficilement… Chaque larme touche au cœur comme un couteau, chaque soupir blesse. Et des maux de dents sans possibilité de soins, et un enfant hospitalisé auquel sa mère ne peut rendre visite parce qu’elle n’a pas d’argent pour payer le transport, et un adolescent déséquilibré qui ne prend pas de médicaments parce qu’ils coûtent trop cher et qui cause des traumatismes inoubliables chez ses frères et sœurs, et une famille qui va dormir le ventre vide parce que l’épicier refuse de lui vendre une fois de plus à crédit… Tout cela existe, tout cela attend la délivrance que nous pouvons effectuer !
Un don à Koupat Ha’ir Cette coutume de donner la charité au moment de l’allumage des lumières de Hanoucca figure dans les livres saints. Lorsque nous allumons les lampes, nous voulons sentir que la lumière se fait dans tous les foyers, que partout les Juifs sont heureux face aux lumières de Hanoucca et pas seulement chez nous. Un Juif n’est heureux que lorsque son frère l’est aussi.
Lorsque vous téléphonez à Koupat Ha’ir, votre don est inscrit à l’ordinateur et une enveloppe de plus est envoyée. Aujourd’hui même, pendant Hanoucca, elle parvient au foyer qui en a tant besoin et y fait rayonner la lumière. Elle accomplit une délivrance et vous fait adopter les traits de votre Créateur. Koupat Ha’ir fait en sorte que le nom de chaque donateur qui fera un don avant Hanoucca soit transmis chaque jour de Hanoucca à nos Grands Maîtres pour qu’ils prient pour lui. Huit prières pour vous, chaque jour. Les Portes du Ciel ne s’ouvriront-elles pas devant de telles prières ? La clé des délivrances est dans la main de D. Nul homme ne peut promettre ni ne peut en disposer. Lui seul donne de Sa main généreuse. S’il y a quelque chose qu’il est possible de faire pour mériter, pour demander, pour trouver grâce aux yeux du Créateur, c’est cela.
La scène a beau se répéter tous les ans, la force qui s’en dégage est toujours aussi impressionnante. Chaque soir, durant les huit jours de Hanoukka, après l’allumage des bougies, les maîtres de notre génération prient pour les donateurs de Koupat Ha’ir. A cet instant particulièrement propice à la prière, ces géants de la Torah supplient longuement Hachem de protéger nos donateurs. Imaginez le rav Steinman, le rav Kaniewsky, le rav Wozner ou encore Rabbi David Abouhatsira transmettre personnellement vos suppliques au Créateur…
irent les malheureux grâce à un don à Koupat Ha’ir!
Le Gaon Rav A.I.L. Steinman שליט''א
Le Gaon Rav G. Edlshtein שליט''א
Le Gaon Rav M. Tsadka שליט''א
s e r è i r p 1 27 av Aharon R e d a l u o g é La s n a m n i e t S b i Le
Koupat Ha’ir n’a pas hésité à faire tout le nécessaire pour mettre en place la récitation de 271 prières en différents lieux saints. Elle rassemble plusieurs ségoulot ensemble et vous fait bénéficier de 271 prières au Kotel Hamaaravi, à Amouka et sur la tombe de Rahel, pendant les huit jours de Hanoucca. Au cours de ces prières, votre nom et votre requête personnelle seront mentionnés par les envoyés de Koupat Ha’ir. Parallèlement, nos Grands Maîtres prieront pour vous chaque jour de Hanoucca après l’allumage des lampes.
C’est le moment Comme c’est éprouvant… Toutes vos amies de classe sont mariées et mères de famille alors que vous habitez encore chez vos parents. Vos camarades sont depuis longtemps passés sous la ‘houpa et vous, vous cherchez quelqu’un avec qui échanger quelques mots au repas du soir. Personne ne peut comprendre votre peine. Personne ne peut sentir combien c’est terrible, combien cela vous prend de forces, combien ce sujet envahit vos pensées et épuise votre énergie.
Vous tentez de rester vifs et de vous occuper à des choses intéressantes, mais vos prières ne cessent pas, et vous avez visité toutes les tombes sur lesquelles on vous a conseillé d’aller vous recueillir. C’est douloureux. On ne peut imaginer la douleur de ceux qui attendent de se marier, et celle de leurs parents. Hanoucca est un moment privilégié pour vous, et nous ne le savions même pas. « Le Maharil faisait des chidoukhim, nous a dit l’un des Grands Maîtres, et les faisait justement pendant Hanoucca, car ces jours de miracles sont particulièrement propices pour trouver son conjoint ! » Le Maharil vivait voici sept cents ans et ce qu’il a dit à l’époque nous éclaire aujourd’hui encore : ces jours de miracles sont particulièrement propices pour trouver son conjoint. De plus, le Tiféret Chlomo déclare que Hanoucca est un moment propice pour déverser la parnassa et le soulagement pour le peuple juif. Hanoucca est à présent proche de nous… pour trouver un conjoint, pour une bonne parnassa…
271 prières Rav A.L. Steinman nous a fait connaître cette ségoula mentionnée dans nos séfarim. La femme d’Ovadia n’a pas été exaucée après avoir supplié 265 fois le prophète Elicha de sauver ses deux fils. Ceux-ci devaient être pris comme serviteurs dans la maison du méchant roi Ahav en remboursement des dettes de leur père. Elle n’a cependant pas renoncé et a continué à prier six fois de plus. C’est alors qu’elle a été exaucée et que le prophète a réalisé le miracle de remplir d’huile sa cruche et tous les
ustensiles qui se trouvaient chez elle, pour lui permettre de vendre l’huile et de régler au roi la dette de son mari. Cela nous apprend que certaines prières ne sont exaucées qu’après 271 fois ! Aussi Rav Steinman a-t-il recommandé à Koupat Ha’ir d’offrir à ses donateurs la possibilité de 271 prières en leur faveur. Koupat Ha’ir n’a pas hésité à faire tout le nécessaire pour mettre en place la récitation de 271 prières en différents lieux saints. Elle rassemble plusieurs ségoulot ensemble et vous fait bénéficier de 271 prières au Kotel Hamaaravi, à Amouka et sur la tombe de Rahel, pendant les huit jours de Hanoucca. Au cours de ces prières, votre nom et votre requête personnelle seront mentionnés par les envoyés de Koupat Ha’ir. Parallèlement, nos Grands Maîtres prieront pour vous chaque jour de Hanoucca après l’allumage des lampes. Koupat Ha’ir accompagne ses donateurs à tout moment. De même qu’ils s’efforcent de faire entrer la lumière et la joie dans les foyers malheureux, elle s’efforce d’illuminer leur vie par la manifestation de la faveur divine à leur égard. Il n’en fallait pas davantage pour que Koupat Ha’ir
organise immédiatement des prières, en particulier pour trouver un conjoint et pour recevoir une bonne subsistance.
La mise en place Tant de donateurs prient pour cela constamment. Tant de jeunes gens et de jeunes filles font des dons à Koupat Ha’ir dans l’espoir de voir enfin la délivrance. Tant de frères, de grands-parents, de parents et d’amis font des dons pour chaque jeune (ou moins jeune) qui veut se marier, et leur cœur est bouleversé quand ils pensent à eux. Pour eux, Koupat Ha’ir est prête à tout. Pour les aider, rien n’est trop difficile à Koupat Ha’ir. Et d’autre part, ces jours de prière sont une occasion d’apporter la délivrance dans des foyers, d’offrir des allocations tant attendues, de pourvoir à des besoins urgents. Lorsque ces foyers démunis seront soulagés, peutêtre la situation de nombreux jeunes gens sera-telle transformée, car peut-on jauger le mérite de la charité ?
Chaque jour de Hanoucca, les envoyés de Koupat Ha’ir prieront au Kotel, à Amouka et sur la tombe de Rahel, ils mentionneront lentement et clairement chaque nom des donateurs, avec sa requête personnelle, 271 fois et par ce mérite, ils mériteront une yéchoua miraculeuse.
L'admour de Rahmastrivka, prie pour les donateurs de Koupat Ha'ir à Amouka
Le Gaon Rav M. Gross, prie pour les donateurs de Koupat Ha'ir sur la tombe de Rahel
Vous aussi, participez à ce moment exceptionnel ! Pour cela, communiquez-nous votre prénom et celui de votre mère, accompagné de votre requête au Tout-Puissant. Les prières de nos envoyés les feront monter jusqu’à Lui.
c c u o n a H e d e g a m u l l L’a r déverser le bie po u ()ספה״ק
Nos Grands Maître donateurs de Koupat Ha’ir des lampes d
Tous les noms seront transmis le jour Rabbi David Abouhatsira,le Rabbi de N Hillel et le Rabbi de Rahmastrivka po lampes de
ca, un moment pro p i c en sur le peuple ju e if
es prient pour les r au moment de l’allumage de Hanoucca
même à Rav Steinman, Rav Kaniewsky, Nadvorna, le Rabbi de Tchernobyl, Rav our qu’ils prient après l’allumage des Hanoucca.
s u l p s n a x i D Après plus de 10 ans d'activités de Koupat Ha'ir, nous regardons en arrière et sommes heureux de voir les milliers de familles heureuses et indépendantes, libérées du fardeau de la pauvreté. Voici deux histoires parmi tant d'autres:
, a r o p p i s T 36 ans:
Je suis rentrée chez moi avec un bébé de quelques jours et j’ai retrouvé mon fils de cinq ans qui mouillait de nouveau son lit et mon enfant de trois ans brusquement atteint de mutisme. Le bébé n’arrêtait ous avons N « . é n o h pas de pleurer : les médecins ont dit qu’il p télé en ’a s m u e o v m t a n d e m ne souffrait de reflux gastro-eosophagien. On Un jour, u ous étiez seule. Com ous aider ? m’a donné des médicaments pour épaissir v v appris que ? Comment peut-on tre ? » son lait, ce qui fit qu’il ne voulait pas le n s o u c o n v e r z e e s t r o n s boire. J’étais déchirée entre un bébé qui ous qu’o Voudriez-v pleurait de faim et un bébé qui pleurait de brûlures d’estomac. Je n’avais personne pour m’aider. Mes deux autres enfants avaient besoin que J’ai mis au monde mon troisième enfant toute seule. je les aide pour les actes les plus simples : s’habiller, Je pleurais tant que je ne pouvais pas expliquer aux se laver, manger, mais mes mains étaient prises par infirmières quelle était la raison de mon chagrin. mon bébé qui hurlait. Je ne savais plus que faire. «Madame, où est votre mari ? » m’a demandé l’une Mon congé maternité a pris fin et je me suis mise d’elles. J’ai sorti de mon portemonnaie une petite au chômage. Jusqu’à ce moment-là, je travaillais à photo de mon mari où j’avais écris en bas : « de temps plein et je n’avais pas quitté ma place malgré mémoire bénie ». Ce jour-là, le jour de cette naissance, mon deuil. Le travail m’aidait à garder la tête hors de j’ai pleuré davantage qu’à l’enterrement et que l’eau : je devais recevoir des gens, parler, organiser des pendant la semaine de deuil, que j’avais vécus dans projets. Cela m’obligeait à être active et responsable. un état de choc. A ces moments-là où une femme a Même si je le voulais, je ne pouvais pas venir au travail besoin de son mari auprès d’elle, j’ai compris pour les yeux rouges et pleurer sans arrêt. la première fois mon malheur. Une jeune veuve Mais après la naissance de mon fils, je n’ai pas repris avec trois enfants dont le dernier vient de naître. le travail. Trois mois de repos m’ont enlevé toutes J’ai appelé le bébé David, au nom de mon mari. Les mes forces. Je suis restée chez moi en pointant au médecins m’ont proposé de rester quelques jours chômage, et je me suis occupée de mes enfants sans de plus au service maternité car ils ont pensé que je fin. J’étais de plus en plus nerveuse intérieurement. n’étais pas en état de rentrer chez moi. Mes voisines Après six mois, je n’ai plus eu droit à l’allocation se sont occupés de mes deux jeunes enfants pendant chômage. J’ai vécu sur l’argent des indemnités. Quand mon séjour à l’hôpital. Mes parents et ceux de mon mon bébé eut un an, je me suis rendue compte que mari habitent à l’étranger, mais je suis restée en je ne disposais que des allocations familiales et de Israël car c’est le pays où mon mari a toujours voulu l’allocation aux veuves. Avec la meilleure volonté du monde, cela ne suffisait absolument pas à couvrir vivre.
s tard… nos dépenses, sans parler de mon aîné qui avait besoin de soutien psychologique et du deuxième qui ne parlait toujours pas et qui devait être soigné. Moi aussi, en réalité, j’avais besoin de soutien moral et psychologique, mais je n’y pensais pas encore. J’ai commencé à me battre contre le manque, la pauvreté, le dénuement… et j’ai vite fait de me décourager. Je n’avais plus que quelques voisines qui voulaient encore m’aider mais j’étais gênée par leur pitié et je les fuyais. Koupat Ha’ir a entendu parler de moi, probablement par l’intermédiaire d’une voisine. Un jour, une dame m’a téléphoné. « Nous avons appris que vous étiez seule. Comment vous en sortez-vous ? Comment peut-on vous aider ? Voudriez-vous qu’on se rencontre ? » Cela ne m’a pas enthousiasmé, c’est le moins qu’on puisse dire. J’avais peur des gens, mais j’avais vraiment besoin d’aide et j’ai accepté de fixer un rendez-vous chez moi. Cette dame est venue, très agréable. Elle a réussi à communiquer tout de suite avec les enfants, et même avec le bébé, David. Elle était impressionnée de voir à quel point il ressemblait à la photo de mon mari que j’avais accrochée dans le salon. Elle a mis David à côté de la photo et nous a dit: « Regardez comme David ressemble à votre papa ! Il va grandir et donner beaucoup de joie à votre Papa au Ciel, comme vous vous le faites sûrement déjà!» Elle les a conquis, cette dame. C’était la première étape de la transformation. Nous avons beaucoup parlé, j’ai beaucoup pleuré, mais cela valait la peine : depuis ce jour, ma vie a changé.
Tout d’abord, j’ai commencé à recevoir une allocation mensuelle. J’avais de quoi acheter le nécessaire. A part cela, ils ont réussi à inscrire mon bébé à une crèche gratuite où il restait jusqu’à 4 heures. J’ai reçu de l’argent pour payer une professionnelle qui s’est occupée de mon fils aîné, et le problème s’est réglé assez vite. Ensuite, nous avons continué avec le deuxième. Il était moins facile et elle a dit que si nous ne nous étions pas occupés de lui à temps, il aurait dû être scolarisé dans une école spécialisée car les dommages auraient été irréparables. A part tout cela, ils m’ont fait connaître des familles qui m’invitaient le chabbat et dont les filles venaient me garder les enfants. En fin de compte, j’ai repris mon travail, avec le soutien permanent des dames de Koupat Ha’ir qui me demandaient régulièrement de mes nouvelles et m’aidaient pour tout ce dont j’avais besoin. Elles voulaient savoir s’il y avait quelque chose de cassé à la maison, s’il fallait faire venir un plombier ou un technicien. « Ce qui est cassé à la maison fait que le cœur est cassé aussi ! Il faut que vous soyez détendue et que vous éleviez vos enfants avec joie. » Elles ont tellement fait pour moi, et avec gentillesse, avec tact, sans me mettre mal à l’aise. Elles m’ont même fait sentir fière de me débrouiller si bien toute seule et d’élever mes enfants avec tant de détermination ! Aujourd’hui, dix ans plus tard, et grâce à Koupat Ha’ir, je me suis remariée. Après qu’ils eussent établi un fonds d’aide pour mes enfants et que chacun de mes orphelins disposât un compte en banque où était déposée une somme destinée à leur éducation et leur mariage, il devint possible de penser à un remariage. J’ai un mari extraordinaire qui aime mes enfants comme s’ils étaient les siens, et un enfant est né dans notre foyer. Aujourd’hui, nous faisons régulièrement des dons à Koupat Ha’ir. Mes enfants sont aujourd’hui comme les autres, joyeux et sains d’esprit.
Les bénévoles de Koupat Ha’ir réjouissent les enfants malades à l’hôpital Schneider, Pétah Tikva.
, m i k a i l E 24 ans:
physiquement, il s’est habitué à être servi. Il voulait que nous continuions à le servir même une fois guéri. Bref, en peu de temps, d son n a u q r i o notre père est passé du meilleur père au t t ur le tro n s e n i o v l i l u a s b monde à un père dépressif, tyrannique jouait au ’enfant l’a Un enfant lé sur la chaussée. L a voiture de mon et surtout, désœuvré. A part cela, nous u el ballon a ro lein sous les roues d utes ses forces en sommes passés d’un foyer relativement o p t e n e d , t t . n .. n a a e l r r o b aisé à un foyer réellement pauvre. Il n’y ar cou le v e a tourné véhicule a heurté un r è p n o M avait pas un sou. Ma mère a pris un coup . père ir et le o t t o r t u d dur : elle était déprimée et impuissante. direction La vie est devenue très difficile. Les jeunes enfants A cette époque, on m’appelait ont grandi dans une réalité bien différente de Eli. J’avais environ quatorze ans, j’étais un garçon celle d’autrefois. La maison était sale et délaissée ; plein de vie, l’aîné de ma famille. Mon père avait une personne ne les aidait à faire leurs devoirs ou leur petite agence immobilière qui marchait bien. Ma toilette. Ma mère parait au plus pressé, sans trop mère était sa secrétaire, sa remplaçante, et surtout entrer dans les détails, et mon père ne faisait rien une employée supplémentaire dans les périodes du tout à part crier. Moi, je partais en classe le matin surchargées. Nous avons grandi dans une maison où et je rentrais à midi ; le repas de midi, c’était du pain il n’y avait pas d’argent en trop, mais où il y en avait tartiné de beurre. Et le soir, j’entrais dans une salle suffisamment pour tout ce dont nous avions besoin. de bain dégoûtante et je ne trouvais pas de linge de Ma bar-mitsva est le dernier événement heureux rechange dans l’armoire. Alors que j’étais auparavant dont je me souviens, avant que n’arrive la période vif, sociable et entreprenant, je me suis mis à plonger de ténèbres. Celle-ci a commencé quand mon père a dans ces mêmes profondeurs qui avaient englouti failli avoir un accident de voiture. Un enfant jouait au mon père, ma mère et mes frères et sœurs. J’étais ballon sur le trottoir quand son ballon a roulé sur la malheureux et aujourd’hui, dix ans plus tard, j’ai du chaussée. L’enfant l’a suivi en courant, en plein sous les mal à expliquer à quel point j’étais découragé. C’était roues de la voiture de mon père. Mon père a tourné le terrible. volant de toutes ses forces en direction du trottoir Un jour, alors que je mangeais mon pain à midi, on et le véhicule a heurté un arbre. L’enfant effrayé s’est a frappé à la porte. Deux dames sont entrées. « Nous enfui. Pour mon père, ce fut un traumatisme terrible. sommes de Koupat Ha’ir, ont-elles dit gentiment. L’image de cet enfant ne le quittait pas. « Vous vous Comment allez-vous ? » rendez compte ! J’ai failli devenir un assassin ! Il ne s’en Mon père leur a lancé un regard absent ; ma mère fallait de rien ! » C’est ce qu’il répétait sans cesse après s’est mise à pleurer. Moi, je leur ai dit : « Je suis prêt son opération de l’épaule et de la main droite. C’est ce à vous montrer notre appartement, et à tout vous qu’il a répété aussi plus tard à sa sortie de l’hôpital, montrer, à une condition : que vous ayez ensuite dix puis après sa longue rééducation, et lorsqu’il est enfin minutes pour regarder notre album de famille ». Elles rentré à la maison. Ce traumatisme lui a fait quelque ont accepté. Je les ai amenées dans la chambre de chose… il n’était plus l’homme gentil et optimiste mon père et leur ai montré les piles d’objets derrière qu’il était autrefois. Bien entendu, il n’a pas repris le son lit : une montagne de boites de cigarettes vides, travail. Ma mère devenait folle avec lui à la maison. des journaux, des bouteilles de bière. Ensuite, je Un jour, elle s’est mise à crier : « Si tu ne rouvres pas leur ai montré la chambre d’enfants, avec ses lits l’affaire, c’est moi qui vais l’ouvrir et c’est tout ! » Et c’est malodorants. J’ai ouvert le cartable de ma sœur ce qu’elle a fait. Ma mère a investi beaucoup d’efforts dont l’intérieur ressemblait à une poubelle. Je les ai pour remettre l’affaire en marche, mais elle n’y est fait entrer dans la salle de bain, pour qu’elles soient pas arrivée. Elle n’était pas aussi bonne vendeuse choquées en voyant la saleté. Oui, je voulais qu’elles que Papa. Après un an d’efforts infructueux, elle a dû soient effrayées : c’était ma dernière chance. J’ai fermer l’affaire et rentrer à la maison, vaincue. renversé le panier à linge et leur ai montré des habits Pendant toute cette période, mon père sortait moisis restés au fond des semaines sans être lavés. à peine de la maison. Il a refusé tout traitement Elles étaient sidérées, je l’ai vu sur leur visage. psychologique. Comme au début, il était blessé Je leur ai ensuite rappelé leur promesse de regarder
les albums. J’en ai posés plusieurs sur la table du salon. Dans l’album de ma bar-mitsva, nous étions tous si beaux, si soignés… D’autres photos de famille, un an plus tôt : une bonne famille, normale, comme tout le monde. « C’est ce que nous étions voici peu de temps, et ce que nous voulons redevenir. Nous avons besoin d’aide pour cela ». Je ne sais pas qui m’a mis ces mots dans la bouche. Les deux dames se sont enfermées avec ma mère dans une chambre et ont eu une longue conversation. Maman est sortie les yeux rouges. Dès le lendemain, les choses ont commencé à changer. Koupat Ha’ir a tout d’abord fait venir une femme de ménage qui a travaillé presque une semaine pour ramener la maison à un état normal. En même temps, une dame est venue pour cuisiner avec ma mère. Des caisses de provisions ont été livrées. Des jeunes filles sont venues s’occuper de mes sœurs : elles ont vidé leurs cartables et ont repris les choses depuis le début. Les cartables, l’uniforme scolaire, les draps ont été lavés. Quand la maison ressemblait à un palais à nos yeux, quelqu’un est venu pour faire sortir Papa. Mon père avait beaucoup grossi pendant ces deux ans et pouvait à peine marcher. Cet homme a commencé à le faire marcher deux fois par jour et profitait de la promenade pour lui parler. Il l’a convaincu de venir travailler dans la reliure. Mon père avait toujours été habile de ses mains ; il était peut-être dégoûté de ne rien faire aussi. Il a accepté et a relié quelques livres chaque jour. Peu à peu, il les reliait de plus en plus vite. Maman a progressivement repris la maison en main. Pendant
cette période, nous faisions chaque jour un pas de plus vers la vie. Mon père s’est mis à rire de temps à autre, et même à s’amuser avec les enfants. J’ai vu ma mère embrasser ma petite sœur, chose qu’elle n’avait pas faite depuis des mois. C’était un moment triste et joyeux à la fois. Ma mère a rouvert l’affaire, avec un conseiller qui s’y connaissait dans les affaires. Après quelque temps, mon père est devenu son secrétaire et son remplaçant. Il n’a jamais repris la direction mais l’affaire était rentable. Nous étions redevenus une famille normale. Nous avons déménagé pour oublier ces années noires et nous avons commencé une nouvelle vie dans un autre quartier. Koupat Ha’ir a soutenu notre famille pendant deux ans ou deux ans et demi. Mais ces années-là ont sauvé une famille entière : huit enfants et des parents qui seraient devenus fous sinon. Aujourd’hui, je suis marié et père d’un bébé très mignon. Je me rends encore plus compte à quel point Koupat Ha’ir a changé ma vie à moi aussi. Si nous étions restés comme ça, j’aurais grandi mal dans ma peau et j’aurais été marqué pour la vie. Ceux qui ont fait des dons à Koupat Ha’ir à cette époque peuvent inscrire à leur crédit dix personnes et leurs descendants, car ils nous ont littéralement sauvés. Je voudrais le dire à chacun en particulier:
quand vous donnez à Koupat Ha’ir, vous sauvez des gens d’une vie qui est pire que la mort. Je suis certain qu’il n’y a pas de plus grand mérite que cela !
Des centaines d'enfants de familles sans moyens, invités cet été à une journée d'attractions organisée pour eux par Koupat Ha'ir.
Associez-vous à la magnifique action de Koupat Ha’ir : 7,000
840 bénévoles
familles secourues
0 0 0 , 0 85 vêtements distribués
270 maisons renovées
0 0 0 , 0 80 bons d’achat alimentaires
670
veuves et orphelins pris en charge
6,400
0 0 0 , 250 colis alimentaires
soins dentaires gratuit
420
840 personnes handicapées soutenues
2340
formations professionnelle
es n n o T 250
opérations médicales
de fruits et légumes distribuées chaque semaine
Comment faire un à don Koupat Ha’ir ? 1 Par chèque bancaire:
envoyez-le par courrier à l’adresse suivante:
Les Amis de Koupat Ha’ir, Autorisation 61268, 95209 SARCELLES CEDEX (Merci de libeller vos chèques à l’ordre de KOUPAT HA’IR)
2 Par carte bancaire :
en composant: 0-800-525-523
3 Par prélèvement mensuel : Contacter Koupat Ha׳ir pour recevoir un formulaire , et retournez-le accompagné d’un RIB.
4 Votre don en ligne: www. koupathair.com Site sécurisé
5 Par virement bancaire: Société Générale-Sarcelles Flanades Code Banque : 3003 Code guichet : 04008 N° de compte : 00050156954 Clé Rib : 66 IBAN : FR76 3000 3040 0800 0501 5695466 Code BIC : SOGEFRPP
Si vous décidez de soutenir Koupat Ha’ir mensuellement, veuillez remplir ce formulaire: Autorisation de Prélèvement
Numéro national d’émetteur : 511534 Organisme Bancaire: Banque:______________________ Agence:______________________ Adresse:______________________ N° de Compte:__________________
Titulaire du compte à débiter: Nom:__________________________________ Prénom:________________________________ Adresse:________________________________
Je vous prie de bien vouloir débiter sans autre avis, à la condition qu’il présente la provision nécessaire, mon compte du montant de tous les avis de prélèvement établis à mon nom présentés par Koupat Ha’ir.
A____________________, le__________ Signature du titulaire du compte: _______________
Donateur: Nom:_________________________ Prénom:_______________________ Adresse:_______________________ Tel:__________________________ E-mail: ________________________ Bénéficiaire: Les Amis de Koupat Ha’ir Autorisation 61 268, 95209 SARCELLES CEDEX
J’autorise un prélèvement mensuel de _______ € ; soit en toutes lettres __________ ________________________________ euros. à compter du _______________ La présente autorisation restera valable jusqu’à nouvel ordre de ma part.
A_____________________le_____________ Signature: ____________
Merci de joindre un Relevé d’Identité Bancaire Je voudrais m'associer à l'œuvre de Koupat Ha'ir, et transmettre, la somme de __________ €, pendant ____________mois NUMERO DE CARTE BANCAIRE ֹ ______________ֹֹ______ֹֹ______ֹֹ__
Expire fin____ /____
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Si vous signez sur un prélèvement automatique d’un an, vous pouvez demander que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour vous au Kotel, sur la tombe de Rabbi Chimon bar Yo’haï ou sur la tombe de Rachel tous les jours de l'année. Transmettez les noms par téléphone au 0-800-525-523
Donnez plus, payez moins… Grâce aux réductions fiscales, lorsque vous soutenez vos frères juifs en Israël, vous payez moins d’impôts ! En faisant un don à Koupat Ha’ir, vous bénéficiez en effet d’une réduction de 66 % du montant de votre don dans la limite de 20 % de votre revenu imposable. Afin que vous profitiez de cet avantage sans attendre,
Par
nous émettrons les reçus CERFA avant le 31 décembre 2011 pour tous les dons qui nous seront adressés avant cette date. Et pour vous aider à comprendre quelle somme vous pouvez déduire de votre déclaration d’impôts, Koupat Ha’ir a mis en place une équipe de conseillers fiscaux. Appelez-les au 0800 52 55 23.
Un don de 100 Euros vous permet de déduire 66 Euros et votre don ne vous coûte donc que 34 Euros. Pour 34 Euros, vous aurez donné aux nécessiteux la exemple: possibilité de disposer de 100 Euros, une somme vitale pour eux.
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La bénédiction des Tsadikim: Pour être béni par les tsaddikim pendant les huit jours de Hanoucca au moment de l’a llumage des lampes. Les prières des Grands Maîtres de notre génération en faveur des donateurs de Koupat Ha’ir fendent les Portes de la miséricorde et produisent des prodiges.
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Pour que les délégués de Koupat Ha’ir prient pour moi au Kotel, l’e ndroit que la Présence divine n’a jamais quitté, pendant 40 jours, y compris les 8 jours de Hanoucca.
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