Koupat Ha׳ir
La principale caisse de Tsédaka d׳Israël
Les envoyés de Koupat Ha’ir
prierons chaque jour,
pour vous,
pendant une année entière sur la tombe de
Rahel notre mère
Le 11 Hechvan auprès de
notre mère Rahel Des milliers de prières Depuis plus de deux mille ans, d’innombrables Juifs se sont penchés sur la tombe silencieuse. Des larmes sans fin ont été versées sur le rideau de velours. Des cœurs émus par la douleur, l’espoir, la prière, et l’aspiration ont battu plus vite. Auprès de notre mère Rahel… Le lieu de sépulture de Rahel a été fixé comme un lieu de prière par notre patriarche Yaacov. Yossef a inauguré par ses larmes ce lieu de recueillement, au moment où il fut emmené en exil. Seul, vendu en esclave par ses frères, écarté de sa maison paternelle, il s’est rendu sur la tombe de sa mère en versant des larmes amères. Après lui, sur leur route vers l’exil en Babylonie, les enfants d’Israël ont versé leur cœur au même endroit. Leurs voix s’unirent pour sangloter et supplier notre mère Rahel d’intervenir pour eux au Ciel. Notre mère Rahel ne reste pas silencieuse. Elle va pleurer, supplier et argumenter devant le Maître du monde. Et Il accepte sa prière ! « Cesse de pleurer et de verser des larmes » lui répond-Il. Il n’est écrit nulle part dans la Torah ou le Midrache que D. a Lui-même essuyé, pour ainsi dire, les larmes de quiconque si ce n’est de Rahel.
Et quelle promesse elle reçoit : « Ton acte aura une récompense ! Tes fils reviendront à leur frontière » Il ne reste pas indifférent devant les pleurs de Rahel, devant ses paroles, devant sa pitié. La miséricorde divine s’éveille en faveur de Rahel et de ses enfants.
S’associer aux pleurs de Rahel En sanglotant un jour devant la tombe de Rahel, Rav Haïm Schmulevits s’est écrié : « D. te demande de ne plus pleurer mais nous, tes enfants, nous te supplions de continuer ! Ne retiens pas tes larmes ! » Et Rahel ne cesse de pleurer. Quiconque visite sa tombe ressent ce tremblement, ces pleurs, et ne peut s’empêcher de s’y associer. On ne peut s’empêcher de pleurer sur la tombe de notre mère Rahel. Chaque année, chaque jour, et en particulier le 11 Hechvan, jour anniversaire de sa mort, des torrents de larmes sont versés sur sa tombe. Rahel intervient au Ciel pour chaque Juif qui y prie. Rav Haïm Kaniewsky a dit à de nombreuses reprises que le meilleur endroit pour la prière est la tombe de Rahel. La Présence divine à notre époque se trouve sur la tombe de Rahel.
Rav Yaacov Edelstein a ajouté : la prière sur la tombe de Rahel est la plus importante et la meilleure de celles organisées par Koupat Ha’ir. Et quelle prière c’était ! Ces dernières années, Koupat Ha’ir a organisé des prières sur le Kéver Rahel le 11 Hechvan et pendant les 40 jours qui ont suivi, afin d’ajouter la ségoula des quarante jours sur ce lieu saint. Combien de larmes ont été versées ! Combien de noms ont été murmurés entre ciel et terre, entre la pierre tombale et le rideau de velours ! Combien de gens ont tremblé en sachant qu’à ces moments-là, notre mère Rahel fendait les Cieux en leur faveur !
Rav Haïm Kaniewsky a dit à de nombreuses reprises que le meilleur endroit pour la prière est la tombe de Rahel. La Présence divine à notre époque se trouve sur la tombe de Rahel. Rav Yaacov Edelstein a ajouté: la prière sur la tombe de Rahel est la plus importante et la meilleure de celles organisées par Koupat Ha’ir. De Grands Rabbanim se sont joints à ces prières en ce lieu saint et y ont ajouté leur puissance. Le sérieux, la concentration, le souci d’autrui, la crainte du Ciel et le désir d’apporter le soulagement à leurs frères, tout cela a donné une puissance immense au minyane de Koupat Ha’ir. Koupat Ha’ir a introduit 40 jours de prières au Kéver Rahel puis a ajouté la ségoula des 516 prières, comme la valeur numérique du mot Vaet’hanane. Le moment est venu de fixer une prière quotidienne, du 11 Hechvan au 11 Hechvan, pendant une année entière, tout près de notre mère Rahel.
Le Rabbi de Nadvorna prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel
Rav Yaacov Edelstein prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel
Une année entière auprès de notre mère
Pendant une année entière, jour après jour, les envoyés de Koupat Ha’ir se rendront sur la tombe sainte et mentionneront votre nom et votre requête. Une année entière de chapitres de Téhillim, de jeûne de la parole, de supplications, puis votre nom s’élève, avec sa requête particulière et la yéchoua dont vous avez besoin.
L’aspiration Chaque jour a son lot, ses épreuves particulières. Chaque jour, au fond de lui, chaque Juif désire poser la tête sur la pierre tombale de notre mère Rahel et y déverser son cœur. Parfois, nous ne sommes pas même conscients de cette aspiration. Mais tout au fond du cœur, il n’est pas d’homme qui ait cessé d’être un enfant, et il n’est pas d’enfant qui ne se languit pas de sa mère. Il n’est aucun Juif qui ne se languit pas de sa mère Rahel. Quiconque a prié sur sa tombe, quiconque y a versé des larmes, quiconque a eu le mérite de sentir les Portes célestes s’ouvrir pour lui, a du mal à quitter cet endroit. Une partie de luimême reste sur place. Peu importe le moment où il reviendra, il sera toujours considéré comme un homme qui « revient », qui rentre chez lui, qui retourne chez sa mère Rahel qui, depuis son décès, pleure pour ses enfants devant D. Cette possibilité de se rendre chaque jour sur sa tombe n’a jamais existé. Il n’y a pas de village à proximité. Elle est ensevelie seule, au bord de
la route. Aujourd’hui aussi, malgré les routes confortables, venir chaque jour est pratiquement impossible. C’est impossible pour un particulier mais beaucoup plus envisageable pour les envoyés de Koupat Ha’ir. Les membres du minyane ne peuvent pas réaliser de prodiges : parfois, la sécurité à cet endroit est incertaine, parfois des limitations à l’entrée peuvent empêcher la prière. On ne peut pas promettre… Mais on peut vouloir, essayer, et faire tout les efforts possibles. Et il est possible que les envoyés de Koupat Ha’ir bénéficient de l’aide divine, comme l’expérience l’a montré. Ce n’est pas seulement la ségoula de 40 jours d’affilée, pas seulement les 516 prières (ségoula retrouvée récemment par Rav A.L. Steinman), mais aussi une prière quotidienne pendant une année entière, sur la tombe de notre mère Rahel !
Le Rabbi de Rahmastrivka prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel
Une année entière Pendant une année entière, jour après jour, les envoyés de Koupat Ha’ir se rendront sur la tombe sainte et mentionneront votre nom et votre requête. Une année entière de chapitres de Téhillim, de jeûne de la parole, de supplications, puis votre nom s’élève, avec sa requête particulière et la yéchoua dont vous avez besoin. Combien de jours y a-t-il en une année ? Combien d’événements ? Combien d’épreuves, de dangers ? Impossible de les compter. Mais notre mère Rahel pleure pour ses enfants et ne cesse de supplier le Créateur en leur faveur. Cette année, il sera possible, bli néder (sans engagement), de bénéficier des prières des envoyés de Koupat Ha’ir chaque jour du 11 Hechvan au 11 Hechvan suivant. Tout ce qui se passera cette année sera à l’ombre des prières de notre mère Rahel. Tout ce qu’il arrivera arrivera le jour où l’envoyé penchera la tête sur la pierre tombale et dira votre nom et votre requête. Est-ce superflu pour qui que ce soit ? Quelqu’un peut-il y renoncer ? Y a-t-il un homme parmi nous qui puisse se débrouiller parfaitement sans la prière de Rahel pour lui et sa famille ?
Rav Sender Erlanger prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel
Les notes des Grands Maîtres aux envoyés de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel
La note envoyée par le Rabbi de Tsanz à Koupat Ha’ir
La note en Rav P. Sche Koupat
Quand Rav Steinman a écrit une note (kvittel) à remettre aux envoyés de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel, la concentration et l’effort qu’il y a investis étaient remarquables. Cette note a été recopiée et inscrite sur la liste des donateurs de Koupat Hai’r. C’est l’une des requêtes qui figurent parmi les notes envoyées par nos Grands Maîtres, qui désirent être inclus dans cette prière très particulière. Rav C. H. Wozner, Rav A. L. Steinman, Rav P. Scheinberg, le Rabbi de Tsanz, Rav Haïm Kaniewsky, Rabbi David Abouhatsira, Rav Yaacov Edelstein, le Rabbi de Rahmastrivka et Rav Sender Erlanger – toutes ces notes font partie des prières, des requêtes, des supplications qui monteront au Ciel en même temps que votre nom à vous ! Parfois, nos Grands Maîtres ont demandé de ne pas faire connaître leur requête personnelle. D’autres fois, ils ne s’y sont pas opposés et l’on peut lire les mots, même sur les photos : « Une bonne vie de Torah et de crainte du Ciel, et de
La note envoyée par Rav Sender Erlanger à Koupat Ha’ir
La note envoyée Rabbi de Rahma à Koupat Ha
nvoyée par einberg à t Ha’ir
e par le astrivka a’ir
La note envoyée par Rav M. Y. Lefkovitch zt"l à Koupat Ha’ir
La note envoyée par Rav A. Y. L. Steinman à Koupat Ha’ir
zikouy harabim » ou « L’aide divine pour accomplir la volonté de D. » ou simplement « L’aide divine ». Nos Grands Maîtres envoient leurs requêtes personnelles et demandent que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour eux sur la tombe de Rahel !
Et les envoyés prient… avec concentration, avec ferveur, avec un sentiment de mission à accomplir, avec pureté, avec sanctification. Ils récitent les prières selon l’ordre fixé par Rav Yaacov Edelstein puis, lentement et sérieusement, prient pour chaque personne. Certes, les gens ne pensent pas à téléphoner pour mettre les envoyés du minyane au courant des yéchouot. Mais ils le remarquent euxmêmes. L’année dernière, le couple Yissakhar ben Léa et Dina bat Sarah a demandé une bénédiction pour avoir des enfants. A présent, ils demandent que leur fils devienne un talmid ‘hakham… D. soit loué ! Voici deux ans, ils ont prié que Yossef ben Rahel trouve rapidement
La note envoyée par Rav Y. Edelstein à Koupat Ha’ir
La note envoyée par Rav C. H. Wozner à Koupat Ha’ir
sa conjointe et à présent, Yossef ben Rahel demande d’avoir un enfant. Les parents Moché ben Yokhéved et Tsippora bat Esther ont demandé que leurs enfants trouvent un bon parti. A présent, le premier nom sur leur liste a disparu et il figure à part, pour demander un accouchement facile. Lorsqu’on prie avec ferveur en s’identifiant aux auteurs des notes, on se rend compte de ces changements. Les envoyés du minyane prient pour nos Grands Maîtres selon leur requête personnelle, ainsi que pour vous. Vous ne manquerez certainement pas cette occasion d’envoyer une note sur la tombe de Rahel.
Toutes ces notes, avec vos prières, avec votre don à la tsédaka, arriveront devant la tombe sainte. Les prières s’élèveront ensemble et traverseront les Portes du Ciel. Espérons la yéchoua pour ceux qui en ont besoin !
La note envoyée par Rabbi D. Abouhatsira à Koupat Ha’ir
La note envoyée par Rav H. Kaniewsky à Koupat Ha’ir
Koupat Ha’ir Projecteur sur la principale caisse de tsédaka en Israël.
Un nom bien connu ‘Koupat Ha’ir’, voilà un nom aujourd’hui bien connu de la communauté juive internationale. A la naissance de cette caisse, voici 15 ans exactement, ce n’était pourtant qu’une petite association créée à Bnei Brak dans le but de « procurer du pain à ceux qui ont faim ». Parmi les membres qui y œuvrent bénévolement, aucun ne s’attendait à trouver une telle demande. Chaque jour, des dizaines de familles s’adressèrent timidement à la caisse pour recevoir un colis de nourriture. Très vite, les demandes dépassèrent les frontières de Bnei Brak et de toutes les villes d’Israël, des nécessiteux se faisaient connaître. La misère était palpable, les besoins immenses. Face au dénuement dans lequel vivent tant de foyers juifs, Koupat Ha’ir n’eut d’autre choix que de s’agrandir. Elle entreprit de fournir une aide qui dépassait le cadre que la Caisse s’était fixée initialement. C’est vrai, bien des caisses de solidarité existent mais Koupat Ha’ir possède une particularité qui fait d’elle une caisse privilégiée pour la plupart des donateurs: nos Grands Maîtres sont eux-mêmes les membres de l’Association Koupat Ha’ir: Le Gaon Rav C.Wozner, Le Gaon Rav A.I.L. Steinman, Le Gaon Rav N. Karelits, Le Gaon Rav H. Kanievski.
Bien qu’il soit difficile de le croire, les Grands Maîtres de notre génération sont inscrits comme les membres de l’Association Koupat Ha’ir. Responsables de toutes ses activités, ce sont eux qui donnent les directives à suivre et qui prennent les décisions nécessaires. Ils sont les seuls signataires des chèques.
Koupat Ha’ir est leur caisse de charité ! Soutenue et dirigée par les plus grands Rabbanim d’Israël qui garantissent sa probité, cette caisse a su s’attacher la confiance et l’estime des donateurs.
Quelques grandes lignes Malgré la crise qui sévit actuellement dans le monde, la nourriture reste abondante et les pays occidentaux continuent à prospérer. Pas partout cependant ! Dans bien des villes d’Israël, on rencontre des familles qui vivent de façon misérable et qui manquent de nourriture. La plupart de ces foyers ont un revenu inférieur à 20% du revenu minimum. Pour d’autres, la situation est plus lamentable encore. C’est pour ces familles démunies et privées de tout que Koupat Ha’ir existe. La première année, l’association s’était limitée à procurer des denrées de première nécessité aux personnes qui se faisaient connaitre : du lait, du pain, des médicaments… Au fil du temps, elle a compris qu’il lui fallait accompagner ces familles si elle voulait les faire sortir du cercle infernal de la pauvreté. Les activités de Koupat Ha’ir se sont progressivement élargies et diversifiées. Au moment des fêtes, des équipes se sont formées pour livrer des colis plus importants que ceux habituellement distribués. Des collectes de vêtements ont été organisées, une aide psychologique pour enfants et adultes, et un suivi dans les démarches de recherche d’emploi ou dans la gestion du budget. Des milliers de familles bénéficient du soutien de Koupat Ha’ir grâce à l’appui de généreux donateurs certes, mais aussi grâce à la détermination de ses membres qui ont récolté sou après sou des sommes considérables. Aujourd’hui, après 15 ans d’activité intensive.
Sa réussite est celle de tout le peuple juif.
Koupat Ha’ir présente sur tous les fronts ! Sur le terrain, Koupat Ha’ir a constaté que les familles nécessiteuses n’avaient pas toutes les mêmes besoins. Et c’est pourquoi, l’association dispense son aide sous différentes formes :
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L’aide financière
A ce jour, 7000 familles pauvres bénéficient de cette aide. Chaque mois, un chèque leur est versé pour leur permettre d’acheter des produits et denrées de première nécessité. Les montants de ces chèques sont fixés après une étude approfondie des dossiers par les Rabbanim et après vérification des déclarations des demandeurs, en fonction du revenu des familles, du nombre d’enfants à charge et de la situation propre à chacun. Dans de nombreux cas, il s’agit de chargés de familles victimes d’accidents ou de maladies, venant de connaître le décès d’un des deux parents ou une hospitalisation de longue durée. La somme d’argent remise mensuellement pendant une période déterminée constitue une véritable bouffée d’oxygène pour ces personnes éprouvées et sans laquelle elles ne pourraient vivre, ce qui entrainerait toute leur famille dans leur chute. Cette aide ne s’apparente en rien à un luxe : elle autorise simplement des familles à sortir la tête de l’eau et à des parents de nourrir leurs enfants tenaillés par la faim. Lentement mais sûrement, ces familles nécessiteuses remontent la pente et retrouvent leur indépendance. Chaque fois que cela arrive, c’est un grand soulagement pour Koupat Ha’ir, reconnue aujourd’hui par tous comme la plus grande caisse de tsédaka en Israël.
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Les bons d’achats alimentaires
Au lieu de l’aide financière mensuelle, Koupat Ha’ir décide parfois de distribuer des bons d’achat à certaines familles. Ce choix advient lorsqu’on s’aperçoit que les parents ne sont plus en mesure de discerner leurs priorités. Régler d’abord les factures ou rembourser des dettes? Koupat Ha’ir sait qu’il faut en premier lieu nourrir les enfants. C’est la raison pour laquelle, dans ce cas, des bons d’achat de nourriture utilisables dans les commerces proches du domicile sont remis à certaines familles, auxquelles on enseigne parallèlement à gérer leur budget. Préférables à des colis de nourriture, ces bons accordent aux bénéficiaires une certaine indépendance et surtout leur conservent leur dignité puisqu’ils sont libres d’acheter ce que bon leur semble.
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Les colis des fêtes
Cinq fois par an, à la veille des fêtes, Koupat Ha’ir livre plus de 25,000 colis (!) à travers tout Israël. Des ingrédients indispensables jusqu’aux produits nécessaires pour la fête composent ces cartons : huile, sucre, vin, jus de raisin, amandes, noix, bonbons et gâteaux, vaisselle jetable pour Pessah … Chaque famille reçoit à cette occasion 5 colis d’une valeur de 120 Euros chacun. Cette opération d’envergure requiert le recours de dizaines de bénévoles, tous motivés par leur bon cœur et pleins d’énergie qui emballent et livrent les cartons dans toutes les villes du pays. Chaque veille de fête, de nombreux camions de livraison stationnés devant l’entrepôt de Koupat Ha’ir à Ashkelon prennent la route, chargés de la précieuse marchandise. Pour préserver la dignité des familles auxquelles les colis sont destinés, on prend soin à ce qu’aucun nom ne soit inscrit sur les cartons. Ceux-ci sont déposés devant les domiciles. Un coup de sonnette avertit de la présence des livreurs et ceux-ci s’éclipsent avant que la porte ne s’ouvre. Nous pouvons imaginer la joie de ces familles et leur soulagement en découvrant ces colis. C’est là une bien grande récompense !
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Le soutien aux familles
Chaque semaine, plusieurs dizaines de jeune filles sont déléguées par Koupat Ha’ir pour assister des foyers désorientés en proie à la détresse. L’accablement dans lequel les parents sont plongés les prive de leurs forces vitales, ces forces qui sont nécessaires pour chercher un emploi mais aussi abattre le travail journalier relatif à l’entretien de la maison et à l’éducation des enfants. Quand tout va mal, quand on a perdu son emploi, quand la mort a fauché un membre de la famille ou que la maladie est devenue une compagne, quand les soucis financiers deviennent quotidiens et que le tunnel parait sans bout, la résistance des plus endurcis vient à s’élimer. La maison est alors laissée à l’abandon et les enfants, négligés, sont livrés à eux-mêmes. La situation empire, les vaisselles s’entassent, le linge sale s’accumule, les petits ont faim et le réfrigérateur est désespérément vide. A ce stade, il faut faire vite et apporter non seulement une aide financière mais également l’assistance d’une personne capable de remettre de l’ordre et de prendre en charge la famille. Petit à petit, la maitresse de maison retrouve le sens des valeurs pour ne plus le perdre
L’aide aux devoirs
Encadrer les enfants des familles indigentes et les aider dans leurs devoirs scolaires fait également partie du programme d’aide aux familles établi par Koupat Ha’ir. Cette aide a été instituée après qu’on ait relevé que des enfants issus de milieux défavorisés se trouvaient au bord de l’échec scolaire. L’angoisse de leurs parents et la faim qui les tourmente en sont souvent la cause. Car comment se concentrer sur un devoir quand le ventre crie famine ? Comment écouter la leçon quand l’esprit se trouve sans cesse préoccupé par les soucis des adultes ? C’est aussi là que Koupat Ha’ir intervient : stopper la chute et redonner confiance à de malheureux enfants est une de ses priorités.
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L’assistance médicale
Une grande part de l’action de Koupat Ha’ir concerne l’aide médicale. Celle-ci peut-être continue ou rare : il peut s’agir de la prise en charge du coût d’une opération, des frais de transport vers l’hôpital, de l’achat des médicaments ou des soins à domicile. Dégagés des soucis d’argent, les malades se rétablissent plus rapidement.
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Par ailleurs, Koupat Ha’ir loue du matériel médical onéreux pour les familles nécessiteuses qui en ont besoin : chaises roulantes, instruments orthopédiques, lunettes et appareils auditifs sans lesquels les malentendants seraient coupés du monde extérieur.
Achats d’appareils électroménagers
Peu de familles démunies pensent à dire qu’il leur manque un réfrigérateur ou une machine à laver. Pour elles, ces appareils sont superflus dans la mesure où leur seul souci est de mettre du pain sur la table. Le linge est donc lavé à la main et les courses sont faites au jour le jour. « La réparation de la machine coûte trop cher » reconnait en baissant la tête cette jeune maman de sept enfants aux mains gercées. Ailleurs, la vieille cuisinière ne remplit plus son office et les enfants mangent froid même en hiver. Lors des visites au domicile, les envoyés de Koupat Ha’ir sont désormais chargés de vérifier l’état des appareils électroménagers et l’association pallie aux manques. Dans les familles pauvres, les soins dentaires ne constituent pas une priorité, pas même une nécessité absolue. Comment peut-il en être autrement quand les rentrées mensuelles de ces foyers ne permettent pas une nourriture convenable ? Dans ces familles, un mal de dents ‘se soigne’ en avalant quelques calmants. Puis le mal se transforme en rage de dents ; la situation s’aggrave, les dents s’abîment ; quelquefois, il y a infection puis opération urgente de la gencive. Le programme d’aide aux familles intègre les soins dentaires : hors de question de laisser des personnes souffrir ou des enfants perdre leurs dents. A ce jour, des centaines d’hommes, de femmes et d’adolescents ont bénéficié de ce service.
L’aide aux soins dentaires
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La collecte et la distribution de vêtements
Deux fois par mois, un container de vêtements neufs ou quasiment neufs arrive de France. Cette action est réalisée grâce à une chaîne d’entraide franco-israélienne. Les vêtements pour hommes, femmes et enfants sont offerts par des donateurs français. En Israël, Koupat Ha’ir ouvre des points de distribution dans plusieurs villes, notamment à Jérusalem, Bnei-Brak, Ashdod, Modiin Illit, Natanya et Beth-Shemesh… Des bénévoles sont chargés de trier puis de disposer les habits de façon à ce que les « clients » prennent plaisir à faire leurs emplettes. Plusieurs tailles et coloris sont disponibles comme dans une vraie boutique. Comment une « vente » se déroule-t-elle ? Dans la pratique, une secrétaire de Koupat Ha’ir remet aux familles bénéficiant de cette aide une carte d’invitation sur laquelle figure le lieu de rendez-vous mais aussi une date et une heure personnelle, ceci afin d’éviter la cohue et l’embarras qu’une telle opération pourrait occasionner. Des « points », équivalents à une somme d’argent, sont attribués en fonction du nombre de membres de la famille. Essayez un peu d’imaginez le plaisir de ces personnes qui n’ont jamais l’occasion en temps normal de faire du shopping ! Ces hommes et ces femmes privés de tout ont soudain la possibilité de choisir, d’essayer puis de rentrer chez eux avec une tenue complète, chaussures comprises, pour chacun des membres de leur famille!
Plus de 15,000 familles, par an, bénéficient de cette aide qui leur met tant de baume au cœur…
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L’aide pour l’amélioration au logement.
Lors des visites au domicile des familles nécessiteuses, les délégués de Koupat Ha’ir constatent fréquemment que les appartements sont insalubres et trop petits. Les conditions sanitaires, d’hygiène et de vie y sont déplorables. Malgré leur longue habitude, ses envoyés reviennent souvent bouleversés de ces visites : « Comment peut-on vivre ainsi? » demandent-ils. « Les murs s’effritent, l’humidité a tout envahi, tout est moisi, l’eau suinte des plafonds, les canalisations sont bouchées, l’air est vicié et quasiment irrespirable, toute la maison est branlante… » L’émotion avec laquelle ils racontent ce qu’ils ont vu peut faire comprendre à quel point la misère est grande chez certains. Pas de plans de travail dans la cuisine, pas d’armoire, aucun rangement, des salles de bains délabrées rendues inutilisables… Là encore, Koupat Ha’ir se fait un devoir de venir en aide aux familles démunies en prenant en charge les travaux de réfection nécessaires qui leur permettront de vivre dans des conditions décentes.
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Aide psychologique, conseils financiers et matrimoniaux
Un des problèmes fréquents est la rupture dans le foyer qu’engendre la pauvreté. Quand les parents sont affaiblis et privés de tout, la détresse et le ressentiment s’installent au sein du couple et provoquent des situations de crise qui n’auraient jamais eu lieu dans d’autres conditions. Bien souvent, la dépression succède aux crises. Ensuite, les enfants livrés à eux-mêmes, ‘abandonnés’ par leurs parents, perdent leurs repères. Les voici alors qui errent dans les rues, deviennent agressifs ou au contraire adoptent un tempérament craintif qui les met en marge des jeunes de leur âge. La pauvreté est un fléau qui brise des familles et les exclut de la société. Après ce terrible constat, Koupat Ha’ir a compris que ces familles étaient en danger. Parallèlement aux aides financières, elle a fait appel à des professionnels (psychologues, conseillers financiers et assistantes sociales) qui sont seuls capables de résoudre des problèmes d’une telle ampleur et de faire retrouver à ces familles leur sérénité perdue.
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Les fonds exceptionnels pour les familles
Il s’agit d’un fond destiné aux familles dont les problèmes arrivent subitement et qui ne sauraient être résolus par l’aide financière mensuelle. Les archives de Koupat Ha’ir font état de nombreux exemples. Ainsi le cas de cette famille dont la mère a été prise de pulsions suicidaires suite à une grave dépression et qui a dû faire de longs séjours en hôpital psychiatrique. Le père incapable d’assumer à la fois les charges du ménage, l’éducation de ses enfants, son emploi et les allers et venues à l’hôpital, s’est retrouvé au chômage. Les enfants avaient besoin d’une famille d’accueil mais personne ne s’est proposé pour aider ces malheureux. La somme d’argent mensuelle indispensable pour satisfaire aux besoins vitaux de la famille dépassait largement le montant-plafond que Koupat Ha’ir s’autorise à verser. Dans un cas comme celui-ci, la seule solution possible est de collecter un fond d’assistance exceptionnelle pour réunir la somme nécessaire qui permettra à long terme de remettre la famille sur les rails.
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Les fonds aux orphelins
Quelquefois malheureusement, la maladie ou un accident enlève un père ou une mère à leurs jeunes enfants. A la douleur et au malaise psychologique s’ajoute bien souvent la détresse financière. La famille s’appauvrit, les dettes s’accumulent et le conjoint ne parvient pas à remonter la pente. Il faut aider ces malheureux. C’est pourquoi Koupat Ha’ir a décidé de créer un fonds qui permettra en outre aux veuves de marier leurs enfants orphelins. Grace à ce fond, des familles quasiment détruites ont pu sortir du tunnel, revoir la lumière et se rétablir.
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Les bénéficiaires
Si l’adresse de Koupat Ha’ir est connue de tous, nul n’est autorisé à connaitre l’identité des familles que l’association prend en charge. Cette mesure a pour but de préserver la dignité des personnes pauvres et que, du côté du bienfaiteur, la mitsva de tsédaka soit accomplie de façon désintéressée (« Lishmah »). Le secret est donc bien gardé. Toutefois, si nous ne pouvons dévoiler les noms des personnes secourues, nous pouvons au moins expliquer dans ces colonnes comment elles sont choisies. Tout d’abord, il faut savoir qu’aucune catégorie de population n’est privilégiée : quel que soit leur bord politique, leur origine, leur lieu d’habitation, tous nos frères juifs israéliens dans le besoin bénéficient de la même attention et des mêmes aides. Dans tous les cas, une enquête est minutieusement menée au préalable pour éviter toute dépense inconsidérée. La procédure d’acceptation des dossiers se déroule en plusieurs étapes: 1. L’enregistrement de la demande 2. Vérification des déclarations 3. La visite au domicile Une fois ces trois étapes réalisées, les dossiers sont déposés dans la pièce où siègent les administrateurs de Koupat Ha’ir, lesquels prennent possession de toutes les données. Ce sont eux qui jugent de la situation et établissent, après une étude minutieuse des dossiers, quelle est l’aide qui doit être apportée, si elle doit être exceptionnelle ou fixe. Deux fois par mois, les Rabbanim se réunissent et étudient cas par cas les dossiers qui leur sont soumis. Rien ne peut être décidé sans leur autorisation ; aucun sou provenant des dons versés ne peut ne peut être distribué sans leur aval. Ces Rabbanim sont respectés de tous pour leur sagesse, leur niveau d’érudition et leur immense piété. Une fois l’autorisation accordée par le Rabbanim, le nom et les coordonnées de la famille bénéficiaire sont enregistrés. Ensuite, le secrétariat de Koupat Ha’ir est chargé d’envoyer chaque mois les enveloppes contenant les chèques, les bons alimentaires et les colis.
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Je donne _______ euros à distribuer aux familles démunies, aux malades et aux défavorisés. Veuillez mentionner mon nom devant la tombe de notre mère Rahel et demander qu’elle supplie le Créateur pour moi: Prénom et prénom de la mère:___________________________________________ Requête:__________________________________________________________________ Prénom et prénom de la mère:___________________________________________ Requête:__________________________________________________________________
Le jour du Yahrtseit 11 Hechvan par un minyane d’érudits 19/12/08
11:03
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Pendant 40 jours consécutifs par un minyane d’érudits (pour tous dons de plus de 104 ¤)
Chaque jour pendant toute l’année, du 11 Hechvan au 11 Hechvan
ments de (pourbase les donateurs ayant un virement mensuel) c-marque séparé
éléments de base typographie
Veuillez transmettre les noms, pour lesquels vous désirez que les Tsadikim prient, avant le Lundi 7 Novembre à 21h au: Le bloc-marque séparé est composé d’une partie texte fixe (N° Vert) fournie au format AI et EPS
La typographie utilisée est l’Arial disponible sur un
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C’est une police libre de droit.
possible d’utiliser le caractère du texte dans lequel le bloc-marque est inséré.
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