Roch Hachana 5772

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Koupat Ha‫׳‬ir

La principale caisse de Tsédaka d‫׳‬Israël

Etre inscrit dans le livre de la vie Rav ‘Haïm Kaniewsky mentionnera chaque jour des Dix Jours de Repentir, y compris Roch Hachana et Yom Kippour, tous les noms des donateurs qui seront transmis par Koupat Ha’ir, dans la requête qui suit la lecture des Téhillim (Psaumes)

afin qu’ils méritent une bonne et douce année.


s r u e t a n o d s le r u o p t n Spécialeme de Koupat Ha’ir

e t ê u q e r a l Dans prononcée

m i l l i h é T s e d à la fin Le soir de Roch Hachana

Dans cette lettre est rapportée la conversation entre le Grand Maître de notre génération, Rav ‘Haïm Kaniewsky, et son fils Rav Chaoul. Rav Chaoul Kaniewky a inscrit les mots précis que son père lui a dits au cours de leur entretien. Lors des Appels précédents, une telle occasion ne s’est jamais présentée. Alors que vous vous trouvez à des moments cruciaux et que l’avenir de votre famille est sur la balance, vous ne devez pas manquer cet Appel. Ne dites pas : « Encore ? » car ce bulletin peut vous sauver la vie. Ne dites pas : «J’ai déjà donné». C’est vrai, vous avez déjà donné et vous ne pouvez pas donner sans arrêt comme si vous étiez le Baron de Rotschild. Mais pendant les Dix Jours de Repentir, les jours où le décret pour l’année à venir est scellé, cela en vaut la peine. « J’ai parlé à mon père le Gaon Rabbi ‘Haïm chlita, qui a dit : Je ne peux pas le promettre, mais bli néder, chaque jour des Dix Jours de Repentir… » Que se passera-t-il à Roch Hachana ? A Yom Kippour ? Et pendant les Dix Jours de Repentir? Espérons que…

L’un des spectacles les plus impressionnants du monde est le soir de Roch Hachana, à la Rue Rachbam à Bnei Brak. Des dizaines de milliers d’hommes envahissent la rue. Il est impossible de passer. Une foule d’hommes, tous habillés de leurs vêtements de fête, s’approche du vieil immeuble. Tous espèrent une seule chose : réussir à passer devant Rav ‘Haïm Kaniewsky. Le courant humain les emporte, les gens sont serrés les uns contre les autres. Malgré cela, personne ne quitte les lieux. Des milliers de personnes se serrent et restent debout en attendant leur tour, les yeux levés vers la maison. Ils ne rentreront pas chez eux avant d’avoir entendu Rav ‘Haïm Kaniewsky leur souhaiter : « Bonne et douce année ». Ils ne rentreront pas chez eux avant de l’avoir vu hocher la tête en signe de bénédiction. Car le soir de Roch Hachana, quand la vie de chacun est sur la balance, personne ne veut renoncer à la bénédiction d’un Grand Maître. Si le tsaddik donne sa bénédiction pour une bonne année, le Tribunal céleste l’entend. Si lui qui consacre sa vie au service divin, demande quelque chose, D. accomplit sa requête.


Pendant des heures, les gens affluent devant lui. Le Rav, qui s’efface devant les demandes de son peuple, ne fera le Kiddouch que très tard le soir, près de minuit. Un souhait de « Bonne année » de Rav Kaniewsky, espèrent les hommes rassemblés devant l’immeuble. La « Bonne année » qu’il me souhaitera. Juste ces deux mots-là…

Sans attendre Pourquoi, cher ami ? Pourquoi se contenter de peu ? Nous nous approchons de vous dans la file d’attente, alors que vous êtes debout parmi les milliers de gens. Nous vous faisons sortir de la queue et vous murmurons : « Venez vite ! Il y a une autre entrée à la maison de Rav ‘Haïm

J’ai parlé à mon père le Gaon Rabbi ‘Haïm chlita, qui a dit : Je ne peux pas le promettre, mais bli néder, chaque jour des Dix Jours de Repentir, y compris Roch Hachana et Yom Kippour, lorsque je terminerai le livre des Téhillim comme j’en ai l’habitude [bli néder],

je mentionnerai tous les noms des donateurs qui seront transmis par Koupat Ha’ir dans le Yéhi Ratson qu’on dit à la fin du Séfer Téhillim, pour qu’ils méritent une bonne et douce année. Yits’hak Chaoul fils de Rav ‘Haïm Kaniewsky chlita

Kaniewsky, par la porte arrière ! Celui qui entre par là reçoit beaucoup plus ! Pas seulement un souhait de bonne année, mais beaucoup plus ! » Vous nous suivez, étonné, incrédule. Nous vous conduisons à la porte arrière, et il est écrit noir sur blanc : « J’ai parlé à mon père le Gaon Rabbi ‘Haïm chlita, qui a dit : Je ne peux pas le promettre, mais bli néder, chaque jour des Dix Jours de Repentir, y compris Roch Hachana et Yom Kippour, lorsque je terminerai le livre des Téhillim comme j’en ai l’habitude [bli néder], je mentionnerai tous les noms des donateurs qui seront transmis par Koupat Ha’ir dans le Yéhi Ratson qu’on dit à la fin du Séfer Téhillim, pour qu’ils méritent une bonne et douce année ». Yits’hak Chaoul fils de Rav ‘Haïm Kaniewsky chlita.


Vous voyez ! Vous regardez la note une fois de plus et vous vous demandez : si j’ai attendu ici pour trois secondes de « bonne année », je peux mériter à présent non pas une seconde de souhait mais des heures de récitation de Téhillim le jour du Jugement. Rav ‘Haïm Kaniewsky récitera tout le livre des Téhillim et priera pour moi ! Et cela est écrit noir sur blanc et signé par le fils du Rav. C’est ce que Rav ‘Haïm Kaniewsky a dit à son fils et ce que son fils nous a répété. Rav Kaniewsky priera pour vous pas seulement le premier jour de Roch Hachana, mais aussi le deuxième jour, puis le 3 Tichri, et tous les jours jusqu’à Yom Kippour. Pendant ces jours où vous et votre famille attendez le verdict concernant la nouvelle année, notre Maître terminera chaque jour la lecture du livre des Téhillim, ajoutera la requête Yéhi Ratson et mentionnera votre nom si vous l’avez transmis par Koupat Ha’ir.

Ceux qui Le craignent Si le Rav annonce qu’il priera pour une bonne année, ce sera une prière venant d’un cœur pur et saint. Ce sera une prière du Grand Maître de la génération dont la vie n’est que l’expression de la royauté divine sur terre. Rav Kaniewsky se dévoue pour les enfants du Créateur chaque jour, à chaque moment. La souffrance du peuple juif est sa souffrance à lui. Il tranche des questions cruciales et assume une responsabilité immense. Quand un homme comme lui, aimé au Ciel, demande : « Mon D. ! Aie pitié de … et de … et donne-leur une bonne année », le Créateur l’écoute et accepte sa requête. Car « Il réalise la volonté de ceux qui Le craignent ». Aux cours des derniers jours de l’année, quand vous vous apprêtez à donner votre argent de tsédaka, toutes les possibilités sont devant vous. Mais à Koupat Ha’ir, vous gagnez les Téhillim que Rav ‘Haïm Kaniewsky récitera en priant pour vous. Cela semble incroyable, mais c’est ce que le fils du Rav a écrit lui-même. Alors que vous prierez en ces jours de Jugement

pour une bonne année pour vous-même et pour tout le peuple juif, il est bon que la prière de Rav Kaniewsky s’ajoute à la vôtre. Celui qui se tient seul pendant les Dix Jours de Repentir n’est pas comparable à celui qui est accompagné de dix récitations du Livre des Téhillim et de la prière d’un Grand Maître qui laisse une empreinte très forte au Ciel. Pendant dix jours critiques de l’année, vous êtes protégés par la prière d’un Grand de la Torah.

Dans la requête de Rav ‘Haïm Kaniewsky Ce n’est pas juste une bénédiction de « bonne année », c’est bien plus que cela. Le Rav fera pour vous une requête dans le Yéhi Ratson qu’on dit après avoir récité le Livre des Téhillim. Savez-vous quel trésor de requêtes figure dans ce Yéhi Ratson ? Voici quelques exemples : Expie toutes nos fautes – Rav ‘Haïm Kaniewsky supplie que D. vous pardonne. Il vous aide à le demander. Cette aide est-elle superflue pour qui que ce soit ? Guide-nous dans Ton service, ouvre notre cœur à l’étude de Ta Torah – Qui ne désire pas servir D.? Qui ne voudrait pas que le cœur de ses enfants soit ouvert à l’étude de la Torah et au service de D ? Quand notre Maître demande pendant les Dix Jours de Repentir que D. nous guide, vous en verrez les conséquences. Envoie la guérison complète aux malades de Ton peuple – Quelle douleur transparaît dans ces mots ! De nos jours où la santé est un trésor que seul un miracle peut nous assurer, le Rav priera pour votre santé. Et pour tous les voyageurs… Sauve-les de tout danger – Nous sommes tous des voyageurs. Nous entendons tous les jours comment peut se terminer un simple trajet en voiture sur l’autoroute. Nous et nos enfants prenons la voiture, le bus, le métro… Rav Kaniewsky priera que D. nous protège de tout préjudice au cours


des voyages de l’année à venir. Souviens-Toi de tous ceux qui n’ont pas d’enfants et des femmes enceintes – Combien d’aide divine faut-il avant de pouvoir tenir dans les bras un bébé en bonne santé ? Qui ne désire pas que le Rav prie pour lui à ce sujet ? Qui ne s’inquiète pas de l’avenir ?

pas de tumeurs, pas d’accidents, pas d’attaques ennemies…

Qu’aucun enfant juif ne rencontre d’accident – Nous envoyons notre enfant à l’école. Qui sait ce qui lui arrivera ? Qui rencontrera-t-il ? Et s’il tombe ? Qui le protégera ? Nos jeunes enfants, nous voudrions tant les garder en bonne santé physique et morale. La prière de notre Maître aura sûrement un effet…

Vous savez que « la charité écarte le mauvais décret » et vous préparez dès maintenant des avocats en votre faveur en vue du jugement de Roch Hachana : la charité, la prière (la vôtre et celle de Rav ‘Haïm Kaniewsky) et le repentir.

Fais-les grandir dans Ta Torah – Fais qu’ils ne se complaisent pas à dormir le matin et à passer la nuit à lire ; fais qu’ils ne soient pas indifférents à leur étude. Le monde est si dangereux et si séduisant ! Fais que nos enfants ne soient pas aveuglés par la rue. Fais que nos enfants soient les justes de la prochaine génération. Sauve-les du mauvais œil… annule les mauvais décrets – Rav Kaniewsky récite cette prière du fond du cœur… Qu’il n’arrive pas de malheurs,

Prépare notre subsistance de Ta main large – Evite-nous de compter chaque sou, de perdre notre emploi, d’assister à l’affaissement de la Bourse.

Les Dix Jours de Repentir sont les derniers jours où il est encore possible de changer le décret. Ensuite, les portes se fermeront. Si vous avez profité de cette opportunité, c’est un gain immensurable. Bien que vous ayez déjà donné, certainement, quand il s’agit des dix jours déterminants, chacun fait un effort supplémentaire. « On ne devient pas pauvre pour avoir donné la charité » disent nos Sages. Chaque euro que vous donnerez à l’Appel de Koupat Ha’ir vous reviendra au centuple, et plus encore.

A l’intention de Rav ‘Haïm Kaniewsky chlita Je transmets mon don de__________euros à Koupat Ha’ir

en tant que pidyon néfech (rachat) pour moi-même et tous ceux qui sont inscrits ci-dessous et je demande la bénédiction du Rav chlita afin que se réalise :

« Tous les donateurs de Koupat Ha’ir sont assurés de mériter une bonne et douce année, sans aucun malheur » Veuillez mentionner mon nom parmi les donateurs de Koupat Ha’ir dans le Yéhi Ratson pendant les Dix Jours de Repentir après la lecture du livre des Téhillim : Nom : Nom : Requête : Requête :


UNE VISITE

DE MARQUE

Cinq ans ont passé depuis la visite de nos Grands Maîtres dans les bureaux de Koupat Ha’ir. Depuis, ce sont les Rabbanim et les responsables de la Koupa qui frappent aux portes de nos Maîtres et sont reçus avec estime et bienveillance à chaque moment du jour et de la nuit. Cinq ans ont passé, et Rav Chemouel Halévi Wozner chlita prend la peine de revenir. Cette fois, le but de la visite est le « bureau des allocations », le département secret de Koupat Ha’ir. Dans cette pièce où les règles de sécurité ressemblent à celle des archives militaires est effectué un travail approfondi, un travail de fourmi précis et ordonné dans les moindres détails. Le travail ne cesse pas du matin au soir, y compris la veille de chabbat et à l’issue du chabbat, et même le 9 Av, Pourim et la veille de Yom Kippour.

« Je suis d’accord » Rav Wozner entre dans la pièce d’un pas vif. Sa démarche lorsqu’il entre donne une impression incontournable : le Rav entre ici comme s’il était chez lui. Bien qu’il n’ait jamais visité cette pièce, il est présent ici avec détermination. Sa présence est forte : sa voix, ses remarques, ses questions et ses demandes de précisions prouvent plus que tout son lien avec Koupat Ha’ir. Sur le mur a été rapidement accroché une affiche portant la lettre de nos Grands Maîtres à l’occasion du dixième anniversaire de Koupat Ha’ir. Rav Wozner en connaît les mots. Malgré

cela, il les relit attentivement – écrits en grand sur l’affiche – et proclame : « Je suis d’accord!» Il ne remarque même pas l’émotion qui étreint les Rabbanim et les responsables qui l’accompagnent à son arrivée. Le Rav parcourt la pièce de long en large. Les murs sont couverts de classeurs. Ses yeux se fixent sur les chiffres inscrits sur le dos d’un classeur puis sur ceux d’un deuxième classeur. Les responsables expliquent : « Pour que les noms des familles ne soient pas révélés à des étrangers, chaque famille reçoit un code, un chiffre, qui lui seul est inscrit sur la tranche du classeur. Dans l’ordinateur, tous les détails


figurent selon le code de chaque famille ». Le Rav hoche la tête avec satisfaction. Il passe devant les étagères puis s’arrête devant une armoire un peu bizarre divisée en compartiments. « C’est ici que les distributeurs prennent les enveloppes pour les distribuer chaque mois » dit le responsable. Rav Wozner prend une enveloppe, à laquelle est attachée une feuille portant des étiquettes à code-barres. Une feuille supplémentaire est destinée à l’inscription : à qui le distributeur doit remettre l’enveloppe et la signature du receveur. Sur cette feuille seront collées les étiquettes à code-barres, de sorte qu’on pourra vérifier que l’enveloppe est arrivée à destination et que le chèque a été remis à temps et déposé à la banque. La moindre erreur, si elle arrive, est immédiatement localisée grâce aux nombreux points de contrôle informatisés sur la route de l’enveloppe. Les personnes présentes sont surprises par sa perspicacité et son intérêt à chaque détail.

« C’est comme cela que j’aime » Rav Wozner poursuit sa visite et s’arrête devant le destructeur de documents. « Nous n’avons pas de poubelle… lui explique-t-on. Tous les

documents superflus sont détruits dans ce destructeur afin qu’aucun détail ne reste, même si quelqu’un cherche dans la poubelle. » Rav Wozner prend une feuille à demi déchirée et observe le travail de la machine. Il veut du travail propre, parfait. Ensuite, lorsqu’on lui présente les classeurs, il ne laisse rien passer. Il suit des yeux les lignes qui résument les données qui seront portées à la connaissance des Rabbanim lors de la réunion : description brève du problème auquel la famille fait face, nombre d’enfants, nombre d’enfants mariés, nombre d’années où la famille est soutenue par la Koupa, somme accordée lors des réunions précédentes, somme totale reçue, évolution de la situation. Les doigts de Rav Wozner suivent les lignes. On lui apporte un écran d’ordinateur. Il vérifie que les données portées à l’ordinateur correspondent à celles inscrites pour les Rabbanim. Il demande à voir le dossier concernant une famille qu’il connaît de près. Il vérifie la description du problème et sourit de contentement. Il est satisfait, très satisfait ! Le Rav est calme, patient, et semble disposer de tout son temps. Le Rav suit des yeux le passage décrivant la façon dont l’allocation est remise. Le responsable explique les codes : Untel n’a pas reçu la somme en main parce que les Rabbanim ont recommandé

« Nous répondons à tous ceux qui nous posent la question de transmettre leurs dons de tsédaka et de maassère à Koupat Ha’ir, et de signer un prélèvement automatique afin d’établir une assise sûre pour soutenir les familles, car là nous savons clairement que tout sera distribué aux pauvres de la façon la plus convenable qui soit. »

Sur le mur a été rapidement accroché une affiche portant la lettre de nos Grands Maîtres à l’occasion du dixième anniversaire de Koupat Ha’ir. Rav Wozner en connaît les mots. Malgré cela, il les relit attentivement – écrits en grand sur l’affiche – et proclame : « Je suis d’accord ! »


de lui donner des produits alimentaires. S’il a de l’argent en main, il ne l’utilisera pas pour la nourriture. A la place, il reçoit des bons d’achat à utiliser au supermarché et on paie sa note à l’épicerie. » Le Rav écoute attentivement, les bras croisés. « Très bien ! répond-il. Il y a beaucoup de familles qui ont besoin d’une aide de ce genre!» Il continue à comparer les informations entre les classeurs, l’ordinateur et les documents imprimés. Après vingt minutes d’examen soutenu de toutes les étapes de la décision et de la remise des allocations, Rav Wozner laisse échapper un soupir de soulagement et dit : « C’est comme cela, exactement comme cela que j’aime. C’est comme cela que j’aurais fait. Je suis heureux que tout soit fait de façon transparente, d’une part avec toutes les précautions et les vérifications, d’autre

part avec le respect du secret. Je suis content qu’à Koupat Ha’ir, tout se déroule avec honnêteté et droiture, et qu’aucun dommage n’a depuis sa création. »

Des fils de prophètes Les responsables déposent devant lui le bilan annuel portant les rentrées de chaque année, les dons versés en Israël (dans chaque ville) et à l’étranger (chaque pays). Des dossiers ordonnés, signés par l’expert-comptable de l’Association. Tout est clair, transparent. Rav Wozner lit les chiffres et fait rapidement le calcul, qu’il compare à la dernière ligne, et lève les yeux. « Des Juifs de l’étranger viennent nous voir, et eux aussi donnent à Koupat Ha’ir, dit-il pensivement. Même les Juifs de l’étranger donnent ici. Nos Sages disent : Les Juifs, même s’ils ne sont pas prophètes, sont des fils de prophètes. Même les Juifs de l’étranger comprennent qu’il est bon de donner à Koupat Ha’ir. Que là, tout se déroule honnêtement. De tout Israël, on donne justement ici. S’ils ne sont pas prophètes, ils sont fils de prophètes ! » Le silence revient, profond et solennel. Le Rav vient de dire quelque chose d’extraordinaire… Le peuple juif où qu’il habite reconnaît en Koupat Ha’ir, grâce à son flair particulier, la sainteté, l’honnêtement, la qualité. Ce n’est pas la publicité ! Le peuple juif choisit Koupat Ha›ir car s’il n’est pas prophète, il est au moins fils de prophète. Comme le message enfoui dans ces paroles est profond ! Les pauvres de la ville sont prioritaires, d’après la loi, et ceux du quartier, et ceux de la famille… et pourtant, tout en sachant cela, tout le monde donne à Koupat Ha›ir. « Quand Koupat Ha›ir a été fondée, Rav Wozner l’a bénie en disant que tant qu’on travaille honnêtement, la Koupa ne fera que grandir, dit l’un des responsables en souriant. Nous constatons l’accroissement d’année en année. Et avec la chute de la monnaie, c’est une croissance encore plus grande ! » « Et je double cette bénédiction que j’ai donnée, répond Rav Wozner sans hésitation. Agissez avec droiture, comme jusqu’à présent, et l’accroissement sera double, double ! »


Koupat Ha›ir a le privilège que les Grands Maîtres de notre génération soient ses guides, ses directeurs, ses responsables. Rav Steinman observe les classeurs, les ordinateurs, les tables de travail, et son regard s’éclaire. Lui aussi consulte les classeurs. L’expert-comptable de la Koupa, M. Yaacov Varzibensky, accompagne son examen de ses explications. Tout concorde, tout est irréprochable.

Une assurance-vie « Le Rav a visité Koupat Ha’ir voici cinq ans… Nous l’invitons à nouveau pour dans cinq ans» disent les responsables de Koupat Ha›ir. Rav Wozner les regarde et lève la main. Quelqu’un sait ce qu’il se passera d’ici cinq ans ? « Mon association à la Koupa est mon assurancevie ! » dit soudain le Rav. Une assurance-vie !!! Si l’association à Koupat Ha’ir est l’assurance-vie de Rav Wozner, que dire, nous ? Les Rabbanim et les responsables qui accompagnent la visite du Rav imprègnent profondément en eux ce sentiment encourageant. Il emplit l’air, est absorbé dans les murs, repose sur les employés. Ils ressentent encore davantage un sentiment de mission à accomplir, d’élévation. Ils comprennent leur responsabilité en tant que préposés au service divin de la charité…

Le contrôle fiscal Ensuite, c’est Rav Steinman chlita qui apparaît sur les lieux. L’émotion est si forte que les responsables en ont le souffle coupé.

« Le service des Impôts est venu ici, raconte-til à Rav Steinman. Les contrôleurs sont venus plusieurs fois. Ils ont tout vérifié, dans tous les sens, sans rien passer. Ils ont touché à tout, posé des questions sur chaque chose. Ce sont des gens qui passent d’une association à l’autre et trouvent des failles partout. Ici, ils sont restés bouche bée. Tout est inscrit, sans aucun écart, sans la moindre déviation. Ils ont été très étonnés de voir les sommes qui passent ici et la disposition du public à donner tant. Les membres de la délégation du contrôle fiscal, irréligieux, ont tous sorti leurs carnets de chèques et ont fait un don de 180 chékels à Koupat Ha›ir ! » Rav Steinman s’arrête à cette histoire, ému. « En fin de compte, ils ont fait un don à la Koupa!» répète le Rav, comme s’il observait Koupat Ha›ir à travers les yeux de ceux qui sont venus contrôler et qui sont partis en faisant un don… C’est incroyable. Rav Steinman bénit lui aussi ceux qui travaillent à la Koupa. Ses paroles chaleureuses les caressent et les émeuvent. Il exprime son lien personnel, la présence d’un parent, une association dans le sens d’appartenance. Il fait partie de cette étoffe extraordinaire. Et si le Rav en fait partie, nous… Ce n’est pas sans raison que Koupat Ha›ir est parvenue jusque là. Ce n’est pas sans raison qu’elle bénéficie d’une aide divine exceptionnelle. Si tels en sont les dirigeants, si telle est l’atmosphère qui repose sur tous les organisateurs, est-ce étonnant ? Non, ce n’est pas étonnant… Certains ont le mérite d’être les envoyés pour faire le bien. Puissions-nous en faire partie…


Nos Grands Maître

‫״‬Par un don à K on mérite d’êtr une kétiva vé’h

1

La bénédiction des Tsadikim:

La bénédiction des Tsadikim:

Avant Roch Hachana et Yom Kippour, les Grands Maîtres versent leurs supplications en faveur des donateurs de Koupat Ha’ir. Nous, aussi, nous nous associons à Koupat Ha’ir. Nous aussi nous bénéficions de la prière des Justes.

2

Veuillez inscrire votre prénom

Pour une bonne et heureuse année:___

Pour trouver un(e) conjoint(e): _______

Pour la guérison: _________________

Pour une large subsistance: _________ 40 jours de prières face au Mur des Lamentations:

Dix talmidei ‘hakhamim envoyés par Koupat Ha’ir prieront pour vous au Kotel pendant quarante jours suivis parmi lesquels: Roch Hachanah, la veille de Yom Kippour, Yom Kippour, Souccoth, et Hochana Rabba.

Pour la réussite spirituelle: __________

Autre: __________________________

La bénédiction des Tsadikim. 40 jours de prières face au Mur des Lamenta


es affirment:

Koupat Ha’ir, re béni pour hatima tova‫״‬

m et le prénom de votre mère.

_______________________________

_______________________________

_______________________________

_______________________________

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______________________________

ations.

Tout le livre des Téhillim au Kotel. Pour les Kapparot.

3

Tout le livre des Téhillim au Kotel à Roch Hachana et Yom Kippour:

Le jour de Roch Hachana et de Yom Kippour, les envoyés de Koupat Ha’ir viendront au Kotel lire tous les Téhillim pour le mérite des donateurs puis mentionneront chaque nom afin qu’il soit scellé pour la vie.

4

Les Kapparot la veille de Yom Kippour:

Pour ceux qui ont la coutume de racheter les kapparot et de verser l’argent aux pauvres, ou pour ceux qui ont l’habitude de faire les Kapparot avec de l’argent.


100,000

secondes continues Comment l’organiser ? Qui est prêt à renoncer à la prière de Néila à la synagogue afin de prier au Kotel pour les donateurs de Koupat Ha’ir ? Personne. Mais nombreux sont ceux qui posent cette question. A propos de Néila, de Kol Nidrei, du Moussaf, et de toutes les prières. Comment est-il possible d’organiser des roulements d’envoyés au Kotel pendant tout Yom Kippour? Qui peut rester au Kotel pendant ces prières exceptionnelles? Qui renoncerait à sa prière à la synagogue pendant Yom Kippour ? Comme toujours, il s’avère que lorsqu’on le veut beaucoup, on peut. Les trente-six membres de l’équipe des envoyés de Koupat Ha›ir au Kotel se sont organisés de façon à ce qu’il y ait trois hommes en permanence devant le Kotel. Il existe en ville des minyanim de Kol Nidrei dès l’allumage des bougies et il y en a d’autres qui le récitent presque au coucher du soleil. Certains minyanim commencent tôt la prière d’Arvit et d’autres, très tard. La prière individuelle de Moussaf, on peut la faire à vathikine, et participer à la répétition de l’officiant à un minyane beaucoup plus tardif, et c’est la même chose pour Néila. Selon un roulement prévu d’avance, les envoyés de Koupat Ha›ir se relaient au Kotel de façon à ce que chacun puisse faire ses prières à la synagogue, posément et en privé, ainsi que prier pour les donateurs au Kotel après avoir récité des Téhillim.

Ainsi, des prières sont récitées pour les donateurs de Koupat Ha›ir de façon continue depuis deux heures avant Yom Kippour jusqu’à la fin du jour saint. 100,000 secondes consécutives, sans interruption.

Autrefois, et aujourd’hui Le livre des Téhillim sera récité en entier douze fois devant le Kotel. Chaque nom et chaque requête seront mentionnés douze fois devant D., face aux Portes du Ciel ouvertes, à Yom Kippour. Autrefois, les hommes ne rentraient pas chez eux la nuit de Kippour. Ils restaient à la synagogue pour réciter tout le livre des Téhillim. Les plus zélés parvenaient à le réciter deux fois, une fois pour eux-mêmes et une fois pour leur famille. Et aujourd’hui ? Les gens sont plus faibles, et peutêtre comprenons-nous moins bien la sainteté et la puissance de Yom Kippour. Les synagogues se vident après la prière du soir et les gens rentrent dormir. Réciter tout le livre des Téhillim ? Qui en est capable ? La prière commence tôt le lendemain matin et se termine après Néila. Même s’il y a une pause au milieu de la journée, on l’utilise pour se reposer et reprendre des forces. Qu’adviendra-t-il de la récitation des Téhillim ? Les envoyés de Koupat Ha’ir réciteront douze fois le livre des Téhillim au Kotel. Pour vous. Douze fois ! Pendant toute la journée, à chaque instant, leur prière pour vous monte au Ciel. Les noms sont mentionnés toutes les deux heures.


Le livre des Téhillim entier récité douze fois au Kotel Avant Kol Nidrei, pendant Kol Nidrei, entre Kol Nidrei et Arvit, pendant Arvit, pendant la nuit, avant le lever du soleil, pendant la prière du matin, pendant la prière silencieuse de Moussaf, avant et pendant Min’ha, quand vous vous préparerez à Néila, quand vous affirmerez votre acceptation du joug de la royauté céleste, lorsque vous crierez « Hachem Hou HaElokim!» Pendant tous ces moments sacrés, vos envoyés réciteront des Téhillim pour votre mérite. Au cours de toute la journée, votre mitsva de tsédaka ira devant vous et vous protégera. C’est vrai, vous auriez aimé réciter le livre des Téhillim vous-même. Mais auriez-vous pu le réciter douze fois ? Auriez-vous pu, en le récitant, accomplir la mitsva de tsédaka de la meilleure façon qui soit ? Avez-vous quelque chose qui puisse remplacer un don à la tsédaka de Koupat Ha›ir, après tout ce qu’ont dit nos Grands Maîtres ?

à Yom Kippour sans interruption Les envoyés de Koupat Ha’ir prieront pour les donateurs au Kotel de deux heures avant Yom Kippour jusqu’à l’issue du jour saint, sans interruption, 100,000 secondes consécutives Les envoyés de Koupat Ha’ir termineront douze fois la lecture du livre des Téhillim et mentionneront après chaque fois les noms des donateurs de Koupat Ha’ir pour une ‘hatima tova et la bénédiction.

Parfois, le remplacement est encore meilleur que l’original. Un don à Koupat Ha›ir, c’est un don qui vous fait acquérir les mérites de la tsédaka, de l’obéissance aux directives de nos Grands Maîtres, du livre des Téhillim, des prières en votre faveur. A chaque seconde, pendant les C’est un acte que nous nous devons de faire, que nous désirons faire. 24 heures de Yom Kippour, on Faire partie de ceux pour lesquels on prie au Kotel à Yom Kippour, dont le nom est mentionné douze fois devant D., c’est un mérite immense, une défense très forte.

priera pour vous au Kotel pour une bonne et douce année.

Puissions-nous être inscrits pour une bonne et longue vie et pour la paix !

Tous les noms qui parviendront à Koupat Ha’ir jusqu’au 8 Tichrei 5772 (6 Octobre 2011) seront transmis pour la prière au Kotel et seront mentionnés douze fois pendant Yom Kippour


a k a d é s T a l e d e La forc No 9

Koupat Ha’ir vient de publier un nouveau bulletin de « La force de la tsédaka ». Le succès foudroyant de ces bulletins auprès du public nous encourage à raconter encore, à donner la parole à tous ceux qui ont connu cette aventure extraordinaire et qui veulent la partager avec d’autres.

sentiment exaltant !

« J’ai fait un don et j’ai vu la délivrance… » Quelle joie ces mots renferment ! Quel

Découvrez prochainement de nouvelles histoires authentiques et passionnantes,

De mes yeux, j’ai vu le Créateur intervenir en ma faveur. J’ai fait un don à la tsédaka et j’ai constaté combien cette mitsva est précieuse. J’ai donné de l’argent à Koupat Ha’ir et j’ai vu les Portes du Ciel s’ouvrir…

Si vous desirez recevoir un ancien bulletin qui manque à votre collection, adressez-vous au : 0-800-525-523 Vous pouvez aussi tous les consulter sur le site de Koupat Ha’ir : www.koupathair.com


Face au hei’hal Cette année, au moment de l’office de Neïla lorsque l’on ouvrira l’Arche sainte et que le peuple juif sera au comble de la ferveur, Rav Haïm Kaniewsky priera pour les donateurs de Koupat Ha’ir qui auront souscrit à un virement automatique. A l’instant le plus solennel de Yom Kippour, notre Maître demandera donc à D.ieu de sceller l’inscription de ces Juifs généreux dans le Livre de la Vie. Quel mérite immense pour ceux qui en bénéficieront ! Si vous avez un Prélèvement répétitif en faveur de Koupat Ha’ir, merci de remplir ce formulaire, afin que le Rav Haim Kanievsky prie pour vous au moment de l’office de Nehila lors de l’ouverture du hei’hal Nom: _________________ Prénom:____________________ Tel:________________________ Votre requête : ___________________________________________________________ _________________________________________________________________________________

Autorisation de Prélèvement

Numéro national d’émetteur : 511534 Organisme Bancaire: Banque:______________________ Agence:______________________ Adresse:______________________ N° de Compte:__________________

Titulaire du compte à débiter: Nom:__________________________________ Prénom:________________________________ Adresse:________________________________

Je vous prie de bien vouloir débiter sans autre avis, à la condition qu’il présente la provision nécessaire, mon compte du montant de tous les avis de prélèvement établis à mon nom présentés par Koupat Ha’ir.

A____________________, le__________ Signature du titulaire du compte: _______________

Donateur: Nom:_________________________ Prénom:_______________________ Adresse:_______________________ Tel:__________________________ E-mail: ________________________ Bénéficiaire: Les Amis de Koupat Ha’ir Autorisation 61 268, 95209 SARCELLES CEDEX

J’autorise un prélèvement mensuel de _______ € ; soit en toutes lettres __________ ________________________________ euros. à compter du _______________ La présente autorisation restera valable jusqu’à nouvel ordre de ma part.

A_____________________le_____________ Signature: ____________

Remarque: ______________________________________________________

Merci de joindre un Relevé d’Identité Bancaire


EUIL

Pidyon néfech A l’approche de Yom Kippour, le tsaddik Rabbi David Abouhatsira chlita fera pour les donateurs de Koupat Ha’ir un pidyon néfech (rachat par la charité) selon le texte du Ramban. Si vous désirez que le tsaddik l’effectue pour vous, veuillez remplir la requête suivante :

A l’intention de Rabbi David Abouhatsira J’ai fait un don de 182 euros à Koupat Ha’ir (le chiffre 182 est préconisé par le Ramban) et je vous demande de faire pour moi un pidyon néfech Prénom et prénom de la mère:

_________________________ _________________________ _________________________

Comment faire un don à Koupat Ha’ir ? chèque bancaire, en utilisant 1 Par l’enveloppe réponse ci-jointe.

19/12/08

11:03

Page 6

par carte bancaire en 3 Directement composant le 0-800-525-523

remplissant l’ordre de virement En l’adressant à: Les Amis de Koupat Ha’ir 2 En 4 répétitif ci-joint. Autorisation 61 268, 95209 SARCELLES CEDEX

éments En dele déposant basechez l’un des 300 Rabbanim,proche de votre domicile, éléments de base dont le nom et l’adresse 5 vous seront oc-marque séparé typographie communiqués en appelant le: 0-800-525-523 Le bloc-marque séparé est composé d’une partie texte fixe (N° Vert) fournie au format AI et EPS

La typographie utilisée est l’Arial disponible sur

Illustrator et d’un numéro de 10 chiffres composé dans n’importe quelle autre typographie. Il est alors

C’est une police libre de droit.

Pour plus de renseignements ou pour transmettre vos dons directement par CB composez le: Pour tout don,

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possible d’utiliser le caractère du texte dans lequel le bloc-marque est inséré.

0-800-525-523

N°Vert 0 800 00 00 00

Le Numéro Vert peut se présenter de quatre fa mémorisables

un reçu cerfa sera délivré. Attention ! Ces numéros sont donnés à titre d

Il permet de diminuer des composition des numéros impôts sur le

APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE Les Amis de Koupat Ha’ir, Autorisation 61268, 95209 SARCELLES CEDEX

800 00 00 00 N°Vert 0www.koupathair.com

revenu jusqu’à 66% du don.

N°Vert 0


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