JOS BLEUS 30 ANS DE SERVICE Comment vous êtes-vous retrouvé chez Kumpen ? En dehors de Kumpen, avez-vous travaillé dans d’autres entreprises ? Et qu’y faisiez-vous, exactement ? J’ai d’abord travaillé dans une autre entreprise de construction de route, mais je participais régulièrement aux réunions des collègues-concurrents de Kumpen. Après la faillite de Van Engelen, je suis passé à l’enseignement pendant quelques mois. J’enseignais les matières techniques et j’y prenais un certain plaisir. Mais lorsque Paul Kumpen m’a téléphoné et m’a offert un job – avec perspectives d’avenir – dans le service d’adjudication, je n’ai pas mis longtemps à me décider et c’est ainsi qu’un peu plus tard, j’ai commencé à travailler chez Kumpen comme calculateur. Êtes-vous passé par différentes fonctions au sein de l’entreprise Kumpen ? Parlez-nous du cours de votre carrière chez Kumpen. J’ai donc commencé comme calculateur, mais grâce à l’expérience que j’avais acquise chez mon employeur précédent, Kumpen m’a très vite donné la chance d’élargir mon domaine de travail. Étant donné que j’étais familiarisé avec les matériaux, les types de cahiers de charge et les questions juridiques, j’ai pu apporter ma modeste contribution dans de nombreux domaines. À ce moment-là
Kumpen avait déjà une installation de concassage dont l’élargissement n’était alors envisageable qu’en rêve. Et ce rêve est, entre-temps, devenu réalité. C’est ainsi que je me suis retrouvé avec la gestion du concasseur, que je gère toujours, au demeurant. En 93, la direction m’a demandé de devenir Directeur technique du département Infra. À côté de cela, j’ai, avec Every, assuré pendant quelques années, la direction du Kogamat. Le champ de travail qui a été le mien chez Kumpen m’a amené à participer à de nombreux groupes de travail technique, comme Vlalwebo Limburg, travailler en concertation avec Aquafin et Infra, etc. Ce que je continue à faire d’une manière générale. Quelle est votre motivation ? Pourquoi aimez-vous travailler chez Kumpen ? En fait, j’ai toujours travaillé ici avec plaisir. On m’a donné la chance d’évoluer dans mon travail et c’est quelque chose de très important. Je veux également ajouter que tout ce que j’ai atteint ici, je le dois surtout également à ma fantastique femme. Elle est toujours prête à me soutenir, sans jamais me demander à quelle heure je compte rentrer à la maison. En fait, elle a fait abstraction, malgré son travail à temps plein, d’une partie d’elle-même à mon profit et à celui de Kumpen.
Si vous regardez en arrière le cours de votre carrière chez Kumpen, qu’est-ce qui est pour vous inoubliable ? Je n’oublierai jamais que chez Kumpen il faut travailler dur, mais que lorsque l’on se trouve devant un obstacle, il y a toujours quelqu’un prêt à vous aider à le dépasser. On n’est jamais seul ici. J’espère que cela ne changera pas avec le temps. Quel est votre plus beau souvenir dans l’entreprise Kumpen ? Ou, encore, quelle est la réussite dont vous êtes le plus fier ? Si je peux parler d’un succès, ce sera celui de l’introduction des chefs de projet par Infra, dans les années 90. Auparavant, il n’y avait que des chefs de chantier. Depuis cette époque, la construction de route et le chiffre d’affaires ont fait un grand pas en avant. Dès la création du courant d’étude de bachelier professionnalisant chez XIOS, je me suis immédiatement investi. C’est vrai que je suis fier de voir qu’autant de bacheliers travaillent avec succès dans notre firme. Je me souviens toujours clairement des mini-triathlons qui avaient lieu autrefois, des séminaires, des fêtes du personnel, etc. Après bien des années, on en parle toujours entre employés.
01
Est-ce qu’il y a un conseil / un message que vous voudriez adresser aux employés de Kumpen ? Exportez l’esprit et les valeurs familiales de Kumpen. Ce que nous réalisons ensemble comme équipe est extrêmement important aussi bien pour notre département que pour l’entreprise.
Si vous aviez la possibilité d’être, un jour durant, directeur de Kumpen, que feriez-vous, quel changement introduiriez-vous ? Personnellement, je trouve qu’ils se débrouillent bien, donc je leur laisse le souci [rire]. Quelle est votre devise de vie ? Maintenir !
01
Jos Bleus