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PARTIE 1 50 000 logements : Quel signal pour la métropole ? Construire 50 000 « nouveaux » logements de plus sur un territoire qui en comprend aujourd’hui à peu près 350 000 et prévoit d’en produire 10 000 par an représente un changement important, à la fois dans le rythme de construction mais également dans les modalités d’occupation du territoire. De fait, cela ne manque pas d’interroger ce qu’on peut appeler la vision ou le modèle métropolitain à la fois dans sa forme, dans son organisation territoriale et au-delà dans la représentation que l’on s’en fait. S’il y a consensus aujourd’hui pour affirmer le recentrage du coeur métropolitain tout en conservant les vastes espaces naturels qui caractérisent le territoire aujourd’hui, différentes stratégies sont possibles, à travers le projet des 50 000 logements, pour infléchir et faire évoluer le modèle. Au-delà des questions stratégiques évidentes (par quoi commence-t-on et où ?), c’est bien la question du signal qui est posée, c’est-à-dire la capacité du projet 50 000 à fabriquer des transformations exemplaires du territoire métropolitain.


PARTIE 1 50 000 logements, quel signal pour la métropole ?

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+ Grau + Idea + D. Boudet + T. Laverne + 3E La Cub comme une ville-territoire

D’ici 2030 la Communauté Urbaine de Bordeaux a l’ambition d’atteindre un million d’habitants. Ce processus de métropolisation qui est en marche depuis un certain temps a une face visible et une face cachée. Sa face visible s’appuie sur ses acquis - l’aura du centre, patrimoine mondial de l’Unesco, et la richesse de ses vignobles - ainsi que sur une nouvelle dynamique d’aménagement (politique de créations d’espaces publics) et d’accessibilité accrue (tramway et la future arrivée de la LGV). La face invisible concerne directement cette consultation, ainsi qu’un ensemble de mécanismes moins identifiables mais tout aussi importants. L’émergence de Hollywood était, selon Reyner Banham, le moment clé de la métropolisation de Los Angeles. Hollywood amenait les grands projecteurs, mais Hollywood a surtout selon Banham ‘attiré à Los Angeles un mélange aussi inédit qu’inimitable de génie, de névrose, de savoir-faire, de charlatanisme, de beauté, de vice, de talent et de bonne vieille excentricité... Il n’est pas vraiment question ici d’attirer ces populations-là à Bordeaux, mais le point essentiel dans le propos de Banham est que la métropolisation est avant tout un phénomène culturel et qu’il concerne avant tout les populations et la capacité de la métropole de les attirer.

Bordeaux, de part sa situation géographique - une métropole isolée (Toulouse est à plus de 200 km, La Rochelle à 180 km) - doit pouvoir tout offrir. Contrairement au système du nord de l’Europe, composé d’une constellation de villes souvent complémentaires, La Cub pour sa part atteindra un réel statut métropolitain qu’en réussissant à garder les populations qui la quittent aujourd’hui (surtout les familles), et en attirer des nouvelles. Ce changement graduel passe par une accélération de la production de logements et surtout par une offre plus variée programmatiquement et économiquement. Le devenir métropolitain de La Cub passera inexorablement par l’augmentation des trajectoires individuelles et la superposition d’autres logiques territoriales que celle de l’extension de la ville centre. L’état des lieux des déplacements urbains des bordelais, permet de constater déjà aujourd’hui que la voie a déjà été prise. 840 000 hab Le devenir métropolitain est une question qualitative720avant d’être une 000 hab 590 000 hab question quantitative. Cette transformation progressive doit s’appuyer 495 000 hab sur ses qualités intrinsèques en les amplifiant. » » étude 50,000

« DEVENIR MÉTROPOLE

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croissance de la population dans la CUB - vers une révolution douce

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: 1 225 000 hab : 1 100 000 hab : 1 150 000 hab

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: 235 000 hab : 720 000 hab : 950 000 hab

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Hypothèse 1 : logement + transports = ville Notre première hypothèse est une hypothèse d’ordre conceptuel. Elle n’implique par conséquence l’AUCune spatialité spécifique mais plutôt une attitude et une philosophie de projet. Elle stipule que l’urbanité contemporaine n’est plus tout à faite celle du passé et que l’accumulation des logements (denses) et des transports (en réseaux) peuvent ensemble ‘faire ville’ (pas forcement classique mais surement contemporaine). Selon Aldo Rossi ‘la ville c’est des logements et des monuments’. Pour redéfinir les urbanités d’aujourd’hui nous choisissons de suivre plutôt Reyner Banham qui dans son ouvrage Los Angeles parle d’un glissement de la monumentalité vers la mobilité. « ...à Los Angeles, le design, l’architecture et l’urbanisme parlent tous la langue du mouvement. La mobilité l’emporte ici sur la monumentalité à un degré tel que cette ville ne sera jamais bien comprise de ceux qui ne peuvent évoluer à leur aise dans sa texture urbaine diffuse... » Pour nous, le cadre de la consultation : la construction de 50000 logements autour des transports public est une forme d’approche et de discours sur la ville. Penser la ville comme un système composé essentiellement de logements et de transports permet d’ouvrir la question et d’imaginer le logement comme un système dynamique. Cela permet d’inscrire ces 50000 nouveaux logements dans un cadre métropolitain basé sur le mouvement. L’environnement d’un logement ‘bien connecté’ n’est pas juste un espace physique mais aussi un espace temps qui comporte une multitude de choix et d’environnements urbains différenciés. À l’échelle d’un quartier, un réseau de mobilité produit des couches invisibles de temporalité, de flux, de changements et d’intensités. Cette hypothèse n’exclut pas catégoriquement l’idée d’une ville de proximité, mais elle tend à relativiser la pertinence de son systématisme. Avec un réseaux de transport isotrope, qui combine les transports publics (tramway, bus) et les mobilités individuelles (vélo, voiture, piéton), La Cub offre une forte flexibilité et des vrais choix à ses habitants. Nous pensons que cette flexibilité, combinée à une offre de logement diverse peut offrir un vrai paysage métropolitain à ses citadins, une métropole faite d’intensités urbaines diverses et multipliées.

Extraits documents 51N4E | Appel à projet 50 000 logements | Février 2011


Les clefs de lecture L’organisation de l’espace métropolitain doit prendre appui sur la diversité des valeurs territoriales qui le composent, et qui ne sont pas pleinement exploitées aujourd’hui par les mécanismes de l’aménagement. Sans réfuter le besoin d’affirmer le poids du coeur métropolitain, face aux attracteurs centrifuges que sont les grands espaces naturels, le littoral et le vignoble, l’équipe exprime la nécessité de sortir du modèle d’une ville continuum. Elle postule que le territoire lui-même devienne le référent d’organisation urbaine, et ce au

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travers de typologies particulières appelées « concepts opérationnels », combinant mise en réseau de centralités périphériques éclatées (les « grappes »), relation privilégiée aux grands espace naturels (les « aménités »), et pôles de transport et micro-opérations fragmentées en tissu urbain continu ou semi-continu. Ces différents concepts leur permettent de balayer l’essentiel des opportunités de projets, tout en introduisant une nouvelle échelle de mixité urbaine grâce à la combinaison logements + réseau de transport.

Hypothèse 2 : prédominance territoriale Le territoire de La Cub est soumis à deux mouvements contradictoires, qui fonctionnent en directions opposées; on pourrait dire que l’un est centripète et l’autre centrifuge (ou plus précisément a-centré) : le mouvement centripète est dominé par le centre ancien et se trouve aujourd’hui renforcé par le réseau de tramway radioconcentrique; le mouvement a-centré suit de façon naturelle le territoire. L’absence de grande barrière topographique, la continuité territoriale et les attracteurs puissants en dehors de La Cub (la bassin d’Arcachon, les vignobles...) neutralisent le poids du centre. Les différentes qualités du territoire s’expriment aujourd’hui (les Jalles, les coteaux, les pins, les conditions climatiques, les micro-topographies) mais ne sont pas pleinement exploitées par les mécanismes de l‘aménagement. La vision de La Cub comme une ville-territoire implique un changement de regard sur les différentes composantes de l’agglomération. Nous émettons l’hypothèse que dans une perspective de développement métropolitain le territoire doit prendre une place plus importante que celle jouée par la ville centre : c’est-à-dire que le territoire devient un référant culturel et spatial dans la manière de faire ville.

Hypothèse 3 : échelles de mixité Dans un avenir métropolitain proche, Bordeaux, comme métropole isolée, et La Cub doivent tout offrir. C’est déjà presque le cas dans le centre ville de Bordeaux, ou la mixité correspond à un ensemble de fonctions différentes dans un périmètre restreint, qui regroupe plus ou moins tout ce dont une personne peut avoir besoin pour bien vivre (logement, commerces, équipements, culture, espaces verts...). Mais La Cub n’étant pas un modèle radioconcentrique, elle regroupe des modes de vie réellement différentiés (les habitants dans le centre de Bordeaux vont peu en périphérie et se déplacent souvent à Arcachon, les habitants de la périphérie se déplacent de plus en plus de périphérie en périphérie) qui ne se croisent pas tous entre eux et la proximité du centre-ville reste ‘éloignée’ (physiquement et psychologiquement) pour de nombreux habitants. Le modèle de mixité de la ville centre est actuellement mimé dans des cadres spécifiques de la Communauté Urbaine, par exemple le quartier Ginko au bord du lac, mais il ne peut en l’AUCun cas se généraliser. Nous pensons que la mixité doit être mesurée en tenant compte de la complexité et la spécificité des territoires. Nous pensons qu’il est aussi possible dans La Cub, parce qu’elle forme un territoire isotrope et fragmenté, de vivre dans un environnement ‘mixte’, à condition que l’environnement immédiatement à portée de main offre un ensemble de qualités et usages différents, même si ils ne sont pas mélangés dans un périmètre très restreint (un grand parc accessible par vélo + un centre commercial à deux arrêts en tramway + un cinéma accessible en bus + ...). Les modèles actuels d’une ville de proximité, déroulée le long des lignes de tramway, ne peut, et ne doit, être appliquée partout et la mise en place des différentes échelles de mixité permet de créer une métropole plus poreuse dans laquelle les différents fragments coexistent et les personnes naviguent.

Hypothèse 4 : densités horizontales et densités émergentes Notre dernière hypothèse, architecturale, résume nos intuitions typologiques et s’insère pour nous dans le cadre conceptuel des trois hypothèses énoncées ci-dessus. Selon l’hypothèse n°2 de prédominance territoriale, il faut que les nouveaux logements dans La Cub puissent trouver ou développer un vrai rapport au territoire. Ce rapport peut être physique (un petit jardin même dans des conditions de densité, une proximité immédiate à un élément naturel...) ou (et) visuel (vue sur le grand territoire, perception de la canopée d’arbres...) mais il doit exister, même de manière sentie. Le modèle de la ville européenne qui, selon les variantes, produit un continuum de R+3 à R+7 est un modèle certes très urbain mais il produit un rapport de vis à vis architectural qui bien souvent exclut le territoire et donne à la nature un statut d’agrément. Dans la Communauté Urbaine de Bordeaux, il existe aujourd’hui des éléments qui entretiennent déjà un certain rapport au territoire: l’urbanisme horizontal, qui dans sa porosité est infiltrée par la nature, ou les émergences collectives, dans leur stature par rapport à l’étendue, semblent bien cohabiter avec le paysage, la culture et le climat bordelais. Nous devons dans ce contexte définir des occupations domestiques du territoire qui sont ouvertes et discontinues, mais elles doivent être plus denses, voire bel’AUCoup plus denses. Les pratiques quotidiennes des habitants, dans leurs mobilités, dans leur occupations, dans leur culture, ont dors et déjà développé des nouveaux rapports avec le territoire et la relation à une forme de nature ou de cadre de référence allant au delà de ville est une vraie demande. Nous allons travailler sur des typologies toujours denses, qui entretiennent des rapports plus complexes avec le territoire et qui innovent la manière de pratiquer et vivre ce territoire aussi depuis son logement.

Extraits documents 51N4E | Appel à projet 50 000 logements | Février 2011


PARTIE 1 50 000 logements, quel signal pour la métropole ?

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+ Grau + Idea + D. Boudet + T. Laverne + 3E Quatre concepts opérationnels

« grappes

« aménités

Les grappes représentent des constellations de sites disponibles qui se trouvent relativement proches les uns des autres et qui peuvent, de par leur taille, accueillir une quantité importante de logements. Ces sites sont en majorité des grandes zones à urbaniser, disponibles de suite, mais également des terrains publics vides et des terrains OPH à densifier. Une grappe totalise entre 55 et 200 ha et chaque site est situé au maximum à 700 m d’un autre site. La taille et la distance entre les sites sont telles que l’on peut les considérer comme un seul projet qui doit être évalué à l’échelle de la grappe. La grappe devient ainsi une nouvelle échelle de mixité, ou l’on peut envisager un vrai partage de la programmation. En effet chaque site à l’intérieur d’une grappe doit accueillir du logement, mais nous pouvons imaginer qu’il peut y avoir un partage des équipements et services. Un certain site pourrait abriter un grand parc public, un autre pourrait accueillir un cinéma, un troisième un grand complexe sportif... Ces programmes, qui deviennent envisageable grâce à la densité de logements que l’on peut créer, seront aussi d’utilité pour les quartiers existants qui participent tout autant au fonctionnement de la grappe. Ce n’est pas tellement une archipel de sites mais plutôt une mise en réseaux active. Les grappes, comme concept de mixité et de densité, varient bien sur selon leur emplacement sur le territoire: certaines sont très bien connectées au réseau de transport, radicalisant l’échelle des pôles d’échanges. D’autres sont plus isolée, en rapport avec la nature et fonctionnant de manière un peu plus autonome. »

Aménités représentent tous les terrains qui sont en rapport direct avec une zone naturelle. Ce sont aussi bien des zones à urbaniser que des terrains publics ou des sites OPH à densifier. Leur taille varie, allant des terrains de petite échelle (0,5ha) à de très grands terrains (35ha) permettant la mise en place de grandes opérations de logement. Ces sites sont spécifiques car ils apportent des qualités territoriales immédiates. Ils sont dans un rapport direct avec la nature de manière visuelle (vue sur un grand espace naturel) et/ou de manière physique (en bordure d’un parc, les logements profitent d’un ‘grand jardin’). Ils obéissent également à leur propre logique dans la densité qu’ils permettent. En effet, leur proximité immédiate à un grand vide font qu’ils sont à même de supporter une densité de logement très forte. Cette densité renforce par la même occasion la qualité des zones naturelles dans la place que prend ces vide face au pleins. L’urbanisation de ces sites participe également à une ambition métropolitaine plus large, visant à consolider le rôle des espace naturels comme espaces publics partagés. »

de 55 à 200ha par grappe au total: 851,9Ha en zone AU à bâtir 21,5Ha de terrains publics à bâtir de 55 à 200ha par grappe

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Les clefs de lecture Les quatre concepts opérationnels (grappes, aménités pôles et micro-opération) permettent de balayer l’essentiel des opportunités de projets offertes par le territoire, tout en introduisant une nouvelle échelle de mixité urbaine grâce à la combinaison logements + réseau de transport. Ce postulat de faire du territoire un référent du projet s’applique également dans la manière dont l’équipe propose de décliner de nouvelles typologies construites, intitulées densités horizontales et densités émergentes. L’idée est de s’inscrire en rupture par rapport aux

typologies intermédiaires (R+3 à R+5) qui constituent aujourd’hui l’essentiel de la production de logements neufs, pour privilégier des modes de relation plus « directs » du logement au territoire, soit physiques (petits jardins), soit visuels (regard sur le grand paysage). Dans cet objectif, l’équipe propose un référentiel d’exemples architecturaux qui pourraient guider la production future.

« pôles

« MICRO-OPERATIONS

Pôles regroupe tous les sites potentiels situés à l’intérieur ou en bordure des grands sites monofonctionnels: le campus, aéroparc, écoparc, bioparc... Ce sont des sites en devenir ou en transformation, s’étendant sur de grandes surfaces, et la question se pose de savoir si nous pouvons augmenter leur potentiel de pôle économique, mixte et territorial par l’implantation de fortes concentrations de logements. La spéculation foncière sur ces zones reste très fragile car elles ne comportent pas forcément bel’AUCoup de zones à urbaniser, ni même de terrains publics ou OPH mais nous pensons néanmoins qu’il est important de poser la question aujourd’hui alors que ces sites sont en plein développement. Toutes ces zones sont relativement bien desservies, toujours directement connectées à une infrastructure principale de La Cub (rocade, aéroport, ligne sncf...) et leur valeur économique en fait des attracteurs majeurs de la métropole. L’association de logements en bordure de ces zones monofonctionelles pourrait contribuer à gérer la transition entre ces ‘économies’ et les quartiers environnants et à installer une notion de co-valorisation. Ces attracteurs économique pourraient en se diversifiant devenir des pôles urbains majeurs. »

Micro-opérations regroupent tous les terrains privés ainsi que les terrains publics ou OPH qui peuvent être construits ou densifiés et qui ne sont pas concernés par les trois concepts opérationnels énoncés ci-dessus. Ils se trouvent en majorité le long des axes de transport ou en zone constituée entre le centre de Bordeaux et la rocade, mais également à l’extérieur de la rocade en zones non-constituée. Ce sont des sites de plus petite taille, fragmentés dans le territoire et dont les propriétaires sont souvent inconnus. Ils s’inscrivent donc dans une autre échelle, à la fois de temps et d’opération. Nous imaginons qu’ils peuvent, dans une durée plus longue et dans un processus de négociation au cas par cas accueillir des opérations de plus petite taille, qui dans un ensemble opère une densification douce mais certaine du territoire. Le long des axes de transport les micro-opérations peuvent offrir une grande quantité de logements très accessibles et ainsi étendre l’impact du tramway. »

au total:

85,3Ha de terrains publics à bâtir 6800Ha de terrains privés proches des axes de transport à bâtir

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Possibilités foncières (synthèse)

au total: 1362Ha de zones monofonctionnelles 133Ha de terrains à bâtir proposés 01 01 02 03

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85,3Ha de terrains publics à bâtir 6800Ha terrains privés proches des axes de transport à bâtir 2. Terrains à densifier 1.de Zones à urbaniser

- démarche de recyclage - des entités foncières importantes - souvent avec une maitrise foncière

- zones destinées à l’urbanisation dans le PLU - des terrains vides et urbanisables de suite - la possibilité de produire bel’AUCoup et rapidement - consommation de territoire

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> terrains communaux/OPH > zones commerciales > campus (foncier d’état) 3. Corridors transports - tout terrain disponible... - les sites les moins opérationnels - recyclage progressif

> ZAU (multifonctionnelles) > ZAU (économiques) > ZAU (MF à long terme)

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> bus (principal) : 250m > tramway : 500m > pôles d’échanges : 750m

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