La Gazette #1

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ENSAPVS

LAGAZETTE ACOUSTIK ACTUS/INFOS CARNET DE VOYAGE CHRONI’CULTE PLAN SÉQUENCE SPORT PAPARARCHI MÉTÉO MOTS CROISÉS HOROSCOPE

©2013 La Gazette ENSAPVS Directeur de publication : Sylvain Massoué ENSAPVS 3-15 Quai Panhard et Levassor 75013 Paris Dépot Légal : A effectuer Distribution libre Ne Pas Jeter sur la voie publique

#1

MARS 2013


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Coucou vous ! La voici, l’édition #1 de La Gazette. Elle est là, dans vos mains et vous l'avez peut-être attendue impatiemment. Sans doute cet édito est la première chose que vous lisez. A moins que l’HOROSCOPE, les JEUX, la MÉTÉO et les news PAPARARCHIS m’aient volé la vedette… C’est un plaisir de vous retrouver pour ce premier vrai numéro de La Gazette. Nous espérons que vous avez profité de ces agréables vacances et que vous avez eu l’occasion de partir à la neige ou autour du monde, ou les deux; Ou bien juste que vous avez convenablement profité de votre canapé pendant l’hiver. Dans tous les cas, autant faire une rentrée (tardive, soyons honnête : la reprise a été difficile pour tout le monde) en douceur, en lisant cette nouvelle édition de La Gazette, n’est-ce pas ? Vous verrez que nous vous avons concocté un journal plus complet pour commencer ce nouveau semestre. Nous publierons désormais la version papier de La Gazette tous les 2 mois pour vous proposer pas quatre, pas six, ni sept, mais bien douze pages ! Nous avons également élargi nos thèmes d’écriture afin de vous offrir un contenu des plus exclusifs et diversifié. Nous tenons à remercier tout particulièrement les étudiant(e)s et organisations qui nous ont transmis mots et photos : Julia qui travaillera en freelance hors l’école avec l'équipe de La Gazette et qui tiendra sa propre rubrique appelée CHRONI’CULTE sur les sorties bar, ciné et autres petits plaisirs culturels parisiens. Page 33. Axel qui nous a réalisé un beau montage photo de son voyage à Londres spécialement pour la nouvelle rubrique CARNET DE VOYAGE. L’idée c’est de faire dans cette rubrique un micro routard de l’étudiant d’archi. Ce mois-ci, 3 petits articles sur Londres, Amsterdam et La Plagne. Oui. Page 16. L'administration pour les différentes informations fournies pour la rubrique ACTUS/INFOS. Page 8. Ce numéro a pu voir le jour en outre grâce à vous, merci. Vous aussi, si vous souhaitez participer et voir vos photos ou articles dans la prochaine édition ou sur le web via notre site internet, envoyez nous tout cela par mail : LaGazetteEnsapvs@gmail.com. Nous vous souhaitons une agréable lecture, A la prochaine !

GZ Crédit photo : Kagnary Pes, Dilek Karasu et Nilo Ravelomanantsoa Gazette et collaborateurs : Sylvain Massoué, Clément Nouvel, Tarik Abdelgaber, Hugo Ballaire, Etienne Kirsch, Nicolas Charles, Léo Clénet, Francis Baucher, Julien Shi Jun Hao, Jonathan Fleurance, Clément Cieziolka, Victoria Payet, Julia Giraudo, Alex. Mise en page et graphisme : Quentin Dauvergne

TUMBLR

LAGAZETTE . COM


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ACOUSTIK C’est la shortlist de mars,

écoute donc, c’est du bon. On a mis les liens qu’il faut sur le site de la Gazette. Rdv en ligne donc !

Sam Smith - money on my mind Sorti fin février, ce morceau du premier album de Smith en Initiative sympa : l’artiste téléchargement libre sur son

est le premier single avril. a laissé son morceau en SoundCloud.

fut aussi riche en nouveautés qu’en (faux) renouvellements. Voici une petite synthèse qui propose de gros machins dont tout le monde a parlé, voire trop parlé mais qui ne pouvaient être oubliés, des petites choses à côté desquelles nous ne pouvions pas passer, et de l’entre-deux. « L’oubli » de certains grands artistes comme les Strokes ou David Bowie dans ce récapitulatif bien évidemment non-exhaustif, ne devrait pas susciter trop de remous, leurs albums cru 2013 n’étaient subobjectivement pas terribles, et, par souci d’originalité, nous avons choisi de parler uniquement du ‘bien’. Arctic Monkeys – AM On se souvient des premières apparitions des Arctic avec leur album Whatever People Say I’m Am, That’s What I’m Not, une bande de potes sur scène, polos de kéké et acné d’adolescent qui ne savent pas bien quoi faire de leur corps tout maigrichon. Transformés en performers ultralookés quelques années après, ils reviennent huit ans plus tard, avec un cinquième album qui se veut plus mature. On met au placard les aires de britpop gentillette et on opte cette fois pour un son rock plus authentique. Le miracle, ici, c’est d’avoir su canaliser toute l’énergie de nos jeunes anglais dans un son très américanisé, très seventies, très désuet mais sans cesse perturbé par des irruptions de 2013, un peu de R’N’B, d’électro, de soul, de puissants riff … Voici, le bel exemple d’un groupe qui a su évoluer. Espérons que leurs fans sauront en faire autant, nous on valide.

Damon Albarn - Everyday Robots Premier single du premier album solo de Albarn. L’Anglais nous avait jusque là habitué à des projets collaboratifs plus ou moins expérimentaux : Blur, gorillaz, the good the bad and te queen et même un opéra (mr dee and the monkey, journey to the west). Cette fois il est seul. C’est toujours aussi spé. Mais on aime. Flight Facilities ft. Micky Green - Stand Still Le dernier EP en date du duo australien avec une chanteuse pop australienne aussi. Toujours pas de nouvelles pour un LP de ce groupe qui monte… Reste que Stand Still est sorti à la fin de l’an dernier et ce son est sans aucun doute tubesque. Ou super énervant. Ou les deux, on sait pas.

Ø [Phase] – Frames Of Reference Inutile de nier les faits, beaucoup d’artistes préfèrent la facilité des EP à la fastidieuse élaboration d’un album et Ø [Phase] ne fait pas exception. Fort d’une dizaine d’années d’expérience en tant que producteur et ingénieur du son, il a débuté sa collaboration avec Token en 2007 avec l’EP « Mass » déjà très remarqué à l’époque. On y décelait déjà un style propre, une techno puissante, soutenue par des sons cosmiques, qui donnent à ses productions cette noirceur et cette profondeur attirante. La consécration arrive en 2012 avec l’EP « Binary Opposition » dont la qualité est illustrée par tous les grands noms qui l’ont joué ou remixé, on mentionnera entre autre les remixes de Ben Klock, Planetary Assault System, Peter Van Hoesen, Sigha et Inigo Kennedy. Vient ensuite la parution en Octobre 2013 de son premier album, « Frames Of Reference » sorti après 13 ans de carrière et salué par la critique. Véritable pavé dans la mare, cet opus explosif mérite que vous preniez sur votre temps pour un décorticage en bonne et dûe forme. Encore une fois il n’y a rien à jeter.


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#L’Amourdure3ans

Arcade Fire - Reflektor

Alors que l’Angleterre a du mal en ce moment à rester attractive en terme de rock, on ne peut pas en dire autant de la pop british, qui ne cesse de nous réjouir. Après Florence & The Machine, The XX, voilà que débarque les London Grammar et leur tout premier album très remarqué. Certes, il n’y a rien de franchement inédit, et pourtant on se laisse facilement séduire par le talent des trois anglais qui ont concentré dans ce premier album tous les ingrédients du succès : une production minimaliste que l’on jurerait signée Jamie XX, un registre émotif déjà exploré par Chris Martin dans sa période Parachutes ou encore une voix féminine opulente qui n’est pas sans rappeler, par certains côtés, la rousse Florence Welch. Un album qui se laisse écouter et qui a su nous embarquer, un bon moment en perspective !

Après le succès, frôlant la perfection, de The Suburbs, la mise en vente de leur studio/église et la naissance du petit Butler, on attendait les Arcade Fire au tournant : allaient-ils confirmer leur statut ou imploser ? Trois ans à les attendre qu’ils ont passés en tournée, puis planqués dans leur base montréalaise mais aussi un peu à travers le monde, à Haïti et en Jamaïque où ils ont posé leurs valises pour l’enregistrement de ce nouvel opus. Et d’ailleurs, ça se sent, on trouve sur chaque morceau de Reflektor un groove et une souplesse venue de loin. Ce double album mêle à la fois sonorités rock d’antan (Joan of Arc, Normal Person) et Cold Wave (Porno, It’s Never Over, Hey Orpheus, Supersymetry) le tout rafraîchi par un rythme frénétique apporté par des percussions carnavalesques, ajoutez à cela des touches électroniques et vous obtenez un album explosif. Mais Arcade Fire est avant tout un groupe qui se vit, en live alors n’hésitez pas une seconde, frisson de plaisir garantis (à voir le live au Pavillon Baltard). Trois ans c’est long, mais ça valait le coup d’attendre.

La Femme - Psycho Tropical Berlin

Money - Shadow of Heaven

Malgré la recrudescence des groupes chantant en français, certains s’y risquent encore, parfois ça passe, parfois ça casse, mais quand ça marche, là, on dit bravo. Quand on possède un talent musical indéniable, que l’on persiste à vouloir chanter en français et que l’on ne s’appelle pas Jacques Brel, mieux vaut avoir un sens de l’absurde et de l’autodérision, et ça, la Femme l’a parfaitement compris. Des voix flottantes, des synthés subtilement rétro, des touches pop et quelques bruits insolites par-ci par-là nous transportent dans un autre univers. Le tout, soutenant des paroles étranges faisant parfois pencher l’album vers le psychédélisme, rappelant, à certaines reprises, un autre grand groupe contemporain français : Salut c’est cool. Avec Psycho Tropical Berlin, la Femme prend les devants et se (ré)affirme comme l’un des groupes de la scène pop française qu’il faut suivre de près.

Manchester est une ville qui a engendré de nombreux groupes cultes. Que ce soit les Joy Division, The Smith, James ou The Stone Roses, la liste est longue, et non exhaustive. Et aujourd’hui encore, après une petite période de flou musical, la relève semble peut-être enfin assurée. On préfère nuancer nos propos parce qu’il est vrai que Money n’est pas le groupe le plus communicatif du monde. A l’exception de deux 45 tours sortis sur un petit label et de quelques cassettes démos distribuées à un petit nombre de privilégiés, on n’entend que très peu parler d’eux. Ce premier album semble pourtant bien confirmer leur passage d’un groupe discret quasi invisible à celui d’incontournable. L’écoute commence à la découverte de la pochette. Le modèle, semble vivre un moment de grâce, il est suspendu dans les airs sans attaches, et dès les premières notes de So long (god is dead) on ressent cette légèreté. Grandiloquent, intelligent, atmosphérique, à la frontière du rêve, l’album nous transporte et nous élève. L’un des albums les plus poignants de l’année, malheureusement trop méconnu du grand public, on espère vous avoir donné envie.

London Grammar – If You Wait


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6 Darkside – Psychic

Stromae – Racine Carrée Stromae nous prouve avec ce second album, qu’il est un véritable artiste avec un talent hors du commun. Ce qui est indéniable, c’est que chaque titre nous fait vibrer, que ce soit par son instrumen tal, par le vocal ou dans les paroles, il nous transmet des sensations et per sonne ne reste de marbre. Un bel exemple d’un son à dominantes électroniques, que l’on pourrait classer comme album «dance» mais qui par ses textes, ne laisse pas de place à la légèreté (de sens). On sent une volonté critique, un agacement, et dans un sens il nous demande de prendre part au combat. Parallèlement, Stromae fait preuve d’un grand second degré, d’une pointe humoristique qui apporte une véritable touche de fraîcheur à l’album et le rend moins sérieux (notamment dans Tous les Mêmes ou Ave Cesaria). Après c’est sûr on accroche ou pas à la pâte Stromae, nous on aime, c’est frais, c’est différent, c’est sans prise de tête alors on se laisse porter.

Drake - Nothing Was The Same Bon à première vue, Drake n’est pas de ceux qui surprennent ou de ceux qui font polémique, il est bien loin de Kanye West et de son album Yeezus très controversé, de faire partie de la nouvelle génération de baby rappeurs comme Chance The Rapper ou Joey Badass, ou de ceux qui renouvelle la scène hip hop indé comme le duo de Run The Jewels. Mais, ce qu’on apprécie chez lui, c’est sa constance. Avec ce 4ème album, Drake continue de bâtir sa carrière sur des bases solides et tout ce que l’on peut dire, c’est que l’on n’a pas à se forcer pour l’écouter. Malgré quelques incursions dans les classiques sujets du Rap US, Drake réussit l’exploit de placer l’air de rien des paroles étonnantes, introspectives, honnêtes mais avouables, sans que sa crédibilité ne soit entachée. On a d’ailleurs parfois, plus l’impression de se retrouver face à Aubrey Graham, ce jeune de de 27 ans qui pourrait très bien faire partie de notre bande de pote, plutôt que face au célèbre rappeur. Drake affiche cette sensibilité comme une arme qui le place comme un artiste à part entière, accessible à quiconque saura l’écouter, et, là est la vraie surprise.

Darkside, c’est la rencontre du jeune prodige New-Yorkais Nicolas Jaar et du multi-instrumentaliste Dave Harrington. On ne se trompera pas en qualifiant cet album de « pointu », « d’éloge à la lenteur » ou même « d’intellectuel », finalement il est un peu élitiste, accessible seulement à ceux capable de vraiment l’écouter. Il faut un peu de temps pour l’apprivoiser et saisir toute la qualité et l’audace de ce projet. C’est une découverte que l’on vous propose en sachant pertinemment qu’il a peu de chances de séduire un large public. On se retrouve face à une électro sombre et murmurante, alternant les beats puissants, les arrangements pop/rock psychédéliques, et les bruitages futuristes. Un univers inquiétant dans lequel bizarrement, on se sent plutôt bien.

Daft Punk - Random Access Memories On ne pouvait assurément pas passer à côté de ce qui fut l’un des albums les plus attendus de l’année 2013. Tout le monde en a parlé, tout le monde l’a décortiqué, tout le monde s’est fait un avis, et si ce n’est pas encore le cas, il est temps de s’y mettre. Après huit ans d’absence, Daft Punk crée l’évènement avec la sortie de Random Access Memories, et voici un petit état des lieux contrasté de la dernière livraison du duo casqué. Album moyen pour certains, trop éloigné du son originel pour d’autres, trop pop ou encore un véritable renouveau pour les derniers, cet album a au moins le mérite de ne laisser personne indifférent. On est bien obligé de vous consentir que deux sentiments se bousculent dans nos têtes. On s’attendait à quelque chose d’extraordinaire, du jamais vu, et finalement, à trop vouloir ressusciter le son disco-funk des années 80 tout en se réinventant, les Daft Punk semblent oublier d’être eux-même. Bien sûr, tout n’est pas à jeter loin de là. Étonnamment ce sont les deux titres les plus électro de l’album (Instant Crush et Doing it Right) où Daft Punk s’émancipe du genre qui les a portés au sommet, qui nous ont le plus marqué. Reste après les tubes incontournables que chacun de nous a entendu une dizaine de fois minimum tel que « Get Lucky » qui rebooste notre moral et nous donne envie de remuer notre popotin. Un avis mitigé, on en aurait espéré plus, mais finalement quand on se laisse aller c’est un album qu’on prend le temps d’écouter volontiers.


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Acte de vandalisme ou blague de mauvais goût ? L’atelier Demonchy se souvient encore de ce qu’il a découvert au matin du samedi 25 janvier. La veille, entre 23h et 23h20, des individus se sont introduits dans l’atelier, se sont servi de bouteilles de gouache rangées dans une armoire et ont commencé par faire des traînées noires et rouges un peu partout, salissant les maquettes de diplômes, les maquettes de Vaux-le-Vicomte (dont une maquette appartenant au château de Vaux-le-Vicomte) principalement ainsi que les autres maquettes présentes un peu partout dans la salle. Ils ont littéralement vidé une bouteille de gouache bleue dans les maquettes de Vaux le Vicomte, formant des flaques de peinture. D’après nos sources, les maquettes de Vaux le Vicomte réalisées par 24 étudiants De Monchy ont coûté presque 1400 euros mais surtout 2 semaines de travail acharné, maintenant réduit en poussière. Fort heureusement, les diplômables victimes dans cette affaire ont réussi, grâce au soutien et l’aide de leurs camarades, à réaliser à temps et de nouveau leurs maquettes avant leurs oraux. Ils ont obtenu leurs diplômes. Félicitations à eux ! Au final, les coupables n’ont toujours pas été retrouvé(e)s.

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DO NOT DISTURB

BIG BROTHER

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ou pas.

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Voilà quelques années

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que notre chère école connait une vague de subtilisations ! La recrudescence des vols ces 3 dernières années nous amène à nous questionner sur la sécurité générale de l'école. Avec la communauté administrative, nous nous sommes posé la questionlors d’une réunion des représentants étudiants des structures et associations. Doit-on sécuriser l'école? Doit-on faire attention aux uns aux autres? Qui vole ? Qui dégrade ? Pour le moment, deux solutions plausibles demeurent : Installer un système de vidéo-surveillance interne dans tous les couloirs dont les vidéos seraient supprimées au bout d’un certain temps et dont le visionnage ne serait autorisé qu’en présence d’un officier de police. Ou bien mettre en place un passage sécurisé à l'entrée par un système de badge. L’école possède déjà le matériel technique pour mettre ce type d’installation en route, le problème principal étant que le jour où un étudiant oublie son badge, il ne pourra pas rentrer, ou bien en fraudant avec un camarade qui lui aura son badge. Pensez y et parlez-en entre vous. L’idée d’une consultation globale sur la question a été rapidement abordée lors de la même réunion des assos. Cela pourrait bien déboucher sur un changement radical dans le rapport que chacun entretien avec notre belle école. Il faut donc logiquement que cette question soit posée à chacun des utilisateurs de l’ENSAPVS.


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LE CHOC DES TITANS

C.A QUI LE TOUR ? Faire et refaire le Comme tous les deux ans,

des étudiants sont élus pour représenter la communauté étudiante au Conseil d'Administration. Le C.A. est le lieu de vote des budgets pour toutes les actions entreprises et proposées dans notre école sans exception. Les voix sont réparties également entre 7 étudiants, 7 professeurs et 7 membres du personnel administratif. Ce vote est donc d’importance cruciale pour le fonctionnement interne de notre école chérie ! Cette année deux listes furent proposé : La Supersaiyan Liste et la Justice Liste. À 65% des suffrages exprimés, c’est la Supersaiyan Liste l’a emporté. Le système répondant à une logique de proportionnelle, deux membres de la Supersaiyan ont donc laissé place aux deux têtes de liste de la Justice Liste. Bien sur il n'y a aucune rivalité interne due aux listes dont sont issus les membres siégeant au CA. Au contraire, le groupe d'étudiants élus s'entendent à merveille et préparent de grandes choses ! Ainsi n'hésitez pas à aller parler à nos 7 mercenaires préferés afin de faire valoir vos suggestions, vos calembourg ou vos pamphlets revolutionnaires. Voici la listes des étudiants ainsi que l’endroit où les trouver le plus souvent. Laura Lescouarc’h au BDE (Licence 3 membre du BDE) Justine Buisson en 505 (Master 1, créatrice de l'association étudiante “505”) Nicolas Charles en 605 (Licence 3, vagabond récemment connu pour sa performance en combinaison de ninja intégrale) Alexis Prades en 505 (Master 1, Membre reconnu de l'association "H&M" et Membre actif de la fanfare MilfShake) Léo Clénet en 601 ou au BDE ( Licence 2 , Président du BDE) Jassim Dey au BDE (Licence 2, Vice-Président du BDE) Clément Nouvel sur la terrasse du 5e, en train de se toucher la bûche : ( Master 1, Porte parole des groupes de projets, Vice président de la Gazette et Grand Chevalier de l’Ordre Suprême de la Montagne Flamboyante)

CORBU VS NEPTUNE

R D C Lectrices exquises ! Lecteurs avertis ! Votre école va subir un lifting en sa base. Et elle en avait bien besoin ! Voilà maintenant quelques mois qu'un groupe d'irréductibles mené par notre Michelle Pasquier preferée s'est lancé dans cette aventure un peu folle : repenser entièrement le Rez-de-chaussez de notre fabuleuse matrice architecturale, notre Gaïa pleine de calques et de chutes de carton, j'ai nommé l'ENSAPVS. Vous avez peut être pu assister à la conference qui eu lieu entre les deux amphis avant les vacances où le projet fut exposé. Si ce n'est pas le cas voici, en quelque mot, "de quoi que ça s’agit”: Le principe est de refaire vivre cet espace vide comme mon frigo que l'on appel le rdc, lieu uniquement de passage aujourd'hui, lieu de vie demain. Il s’agit pour cela de repenser plusieurs lieux : la Cafet qui se placera dorénavant à l’opposé de l’école, du côté de la salle d’expérimentation. Elle sera ouverte à la fois vers le jardin ou se plante la tente des fanfares et le hall. Les arcades de la petite ceinture qui deviendront magasins, ateliers de materiaux lourds et salle à maquette (peut être avez vous dejà observé les travaux réalisés sous 2 des voûtes) ! La salle vitrée qui acceuille pour l’instant la Cafet deviendra lieu de travail et de convivialité entre professeurs et étudiants. Cela jouera le rôle d'une vitrine épique où l’on montrera au monde nos savoirs-faire. Malheureusement, notre architecte à l’équerre d’argent préféré, Frédéric Borel a décidé pour une raison qui le regarde que sa participation au projet qui devait à la base etre bénévole lui rapporterait 13% du budget total de l’opération sans quoi il ne l’autorisera pas. L’école étant encore dans son giron légal pour quelques années, l’ensemble du projet s’est retrouvé etre mis en standby complet. Merci Borel.

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Cinq guerrières des flots

ce sont lancé un défi : porter les couleurs de notre école lors de la course de l'EDHEC, une course de voiliers internationale qui aura lieu du 19 avril au 3 mai aux Sables d’Olonne. Nos sources nous ont annoncé récemment que Nelson Montfort serait au commentaire live (c’est pas une blague). Félicitations donc à mesdemoiselles Pauline Burgelin, Hortense Le Coniac, Amélie Marchand, Louise Roger et Marie Plouhinec. Il faut absolument encourager ce genre d'initiative étudiante que tout le monde dans notre école peut proposer et qui peu n'apporter que du bien à tout le monde. Bravo les filles !

CAFET’PALETTE INFO CAFET’PALETTE : Besoin de bénévoles La CAFET’ recrute des bénévoles pour ouvrir encore plus qu’au premier semestre. On nous a dit que si l’un de vous, futur intéressé, offre ses services, il recevra des avantages uniques aux bénévoles CAFET’ (repas moins cher par exemple). S’impliquer dans la vie étudiante de son école, ce n’est pas grand-chose, c’est bénéfique pour vous autant que pour les autres. Alors au lieu de râler car la CAFET’ n’est pas ouverte, venez l’ouvrir ! Si vous êtes intéressés, rendez-vous à la CAFET’ au RDC ! La Cafet’

À Travers Paris organise des pro-

menades in situ pour comprendre et interroger la ville en train de se faire. L’association est composée d’étudiants provenant de formations différentes (architecture, urbanisme, politique publique urbaine…) afin de multiplier les regards sur la ville. Par une approche sensible, ces promenades interrogent le territoire, son histoire et son évolution et favorisent ainsi son appropriation. Loin des images de synthèse ou des cahiers de doléances, le but est ici de prendre le temps d’observer l’existant et de le mettre en discussion. Ca la promenade est aussi un temps d’échange où chacun peur exposer sur un pied d’égalité sa vision du territoire. RDV sur www.atraversparis.com pour plus d’informations sur les prochaines balades.

ERASMUS, PARRAINAGE, GROUPE MULTICULTUREL

Bien que l’administration ait instauré le système des parrainages, certains étudiants de l’école pensent cependant qu’on ne « s’occupe » pas assez des étudiants étrangers venant en France. Ces derniers souhaitent mettre en place un groupe multiculturel mélangeant ainsi langues et cultures différentes pour intégrer au mieux les ERASMUS tout au long de leur séjour en France et permettre si cela réussit à inciter d’autres étudiants étrangers d’aller étudier en France. Pour aider au développement d’un tel groupe, contactez : Lucie Dutheil (groupe 7, salle 301) 06 30 08 81 60 lucie.dutheil@gmail.com


15 Une nuit dans une chambre à lit double coûte 92 euros mais à part le prix exorbitant, je vous assure que vous vous y sentez comme chez vous et que l’accueil y est plus que chaleureux. Dès votre arrivée, les hôtes vous prennent en charge et vous filent une carte en vous recommandant des endroits à visiter : des places populaires, rues commerçantes … Bref « your home away from home », j’ai approuvé.

CARNET DE VOYAGE Vous partez

quelque part à l’étranger, vous prenez des photos, faites des croquis, visitez des musées, buvez des verres dans un quartier branché et vous rentrez chez vous content du voyage que vous avez fait. Seulement vous avez tellement envie de raconter votre expérience que vous avez pensé écrire un article pour La Gazette et de lui envoyer quelques photos. Ça tombe bien, nous avons pensé à la rubrique idéale pour ce genre d’articles. Pour vous chères lectrices et chers lecteurs, les premiers articles de la nouvelle rubrique CARNET DE VOYAGE, le routard des étudiants d’archi de Val de Seine.

amsterdam

Quand on parle d’Amsterdam, on parle souvent des coffee shops, magasins de vente de drogues, dont raffolent tellement mes potes shootés ayant déjà fait quelques périples là-bas. Mais Amsterdam c’est une ville avec des canaux, des vélos, des maisons traditionnelles en briques... Bref Amsterdam est une belle capitale.

CONTEXTE

Etant donné que je suis parti en pleine période de la Saint Valentin (Du 10 fév. au 12 fév.), j’ai souhaité profiter de l’occasion pour découvrir cette ville en compagnie de ma copine, elle aussi étudiante en archi. Nous avons donc pris le fameux TGV Thalys pour nous y rendre en partant de la Gare du Nord à Paris. Tulip of Amsterdam B&B (Bed & Breakfast) Kloveniersburgwal 9-HS 1011 JT Amsterdam Tel: +31 6 39 11 10 30 Fax : +31 6 48 74 87 22 info@TulipofAmsterdam.nl TulipofAmsterdam.nl

LOGEMENT

Nous avons réservé un hôtel en plein centre-ville, près du Nieuwmarkt, grande place remplie de bars et de restaurants, se trouvant à côté du quartier Rouge ou Red Lights, et sur laquelle se dresse un château actuellement en restauration. Le choix de cet emplacement nous a permis en outre de pouvoir circuler le plus facilement et rapidement possible aux lieux les plus emblématiques de la ville. Amsterdam est une ville à l’échelle humaine, vous serez surpris par la rapidité avec laquelle on traverse le centre historique.

TRANSPORT

Alors qu’au départ nous avons prévu un budget de 20 euros pour le transport, nous nous sommes rendu compte comme dit précédemment dans Logement qu’on peut traverser rapidement le centre historique de la ville à pied. C’est pour cela qu’au final, le transport ne nous a rien coûté (et que j’ai pu acheter du gouda). Par contre, faites attention lorsque vous faites vos trajets à pied, car dans les rues, avenues et boulevards d’Amsterdam, il n’y a que des fous du volant. Je parle des voitures autant que les vélos. La voie publique comprend voies piétonnes, voies à vélo, voies de tramway et voies de voitures. Tout cela en même temps donc autant vous dire que c’est un véritable bordel. Préférez alors les passages piétons que la traversée en aveugle dans un boulevard bondé. Pour les plus faignants d’entre vous, ceux qui souhaitent marcher un minimum, il existe une carte de transport appelé GVB que vous pouvez avoir pour 24, 48 ou 72 heures. Elle vous permet d’utiliser n’importe quel type de transport (métro, tramway et bus). Il faut savoir qu’entre minuit et 6h circulent uniquement des bus de nuit. Il est possible de prendre des ferries qui vous emmènent de l’autre côté du fleuve Ij. Ils partent de la gare centrale, passent toutes les 10 minutes et sont gratuits.

RESTAURATION

Il y a pleins d’endroits où manger et où boire à Amsterdam et pour pas cher surtout. Vous pouvez vous en sortir facilement en finançant 5 euros maximum par repas. Les hollandais mangent léger le midi (snacks, sandwichs …) mais le soir ils prennent des

mais le soir ils prennent des repas un peu plus importants. Donc autant faire comme eux et mettre un peu plus d’argent dans son diner et moins dans son déjeuner. Nous avons retenu une adresse très intéressante et économique pour déjeuners ou diners variés. Ça s’appelle La Place est ça vaut le détour. Il est divisé en 4 zones : la zone Express (pour les petites pauses déjeuners), la zone Restaurant (pour manger sur place et sur table), la zone Café (pour se détendre) et la zone Food (pour ses petites courses). C’est un genre d’énorme buffet où vous pouvez composer votre repas à volonté. Surtout que les plats ne coutent vraiment pas cher et que c’est bon. Concernant le diner, il y a deux places où vous DEVEZ vous rendre : Rembrandtplein et Leidseplein. Les deux places les plus populaires de la ville où vous trouverez de bonnes adresses pour des repas un peu couteux mais valant le coup. Mais vous pouvez aussi y aller pour boire des bières de 3 à 4 euros avec des potes. Pour boire des verres, en plus des deux places, vous pouvez aussi faire un tour au quartier Rouge où il est possible de pratiquer le lèche-vitrine si vous êtes tentés par les prostituées du quartier. Info pratique : vous ne pouvez pas les prendre en photos malheureusement (sous peine de vous faire arrêter par la police car elles peuvent porter plaintes contre vous). Enfin, j’ai toujours considéré que les meilleurs souvenirs doivent être culinaires car ils sont faciles à partager et vous pouvez toujours en faire profiter plus d’un. Donc autant acheter du gouda ou du maasdam avec du saucisson du pays et du pain. Vous pourrez faire tester à votre famille et vos potes des sandwichs dont ils ignoraient leur succulence ultime.


MUSÉES

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Fait qui ne vous surprendra surement pas, Amsterdam est remplie de musées de tout genre. Sans doute, découvrirez-vous le musée du film, le musée Rembrandt, le musée de la torture, le musée du sexe... Le grand classique reste le musée d’Anne Frank (9€50 l’entrée, à 10min du centre-ville). Oui ! C’est ce musée dont vous ont parlé sans cesse vos professeurs de français au collège. A faire une fois, pas plus. Le grand incontournable, c’est la place des musées (20 minutes à pied du centre-ville), qui rassemble les musées les plus importants de la ville : le Rijksmuseum (15€ l’entrée), le Van Gogh Museum (15€ l’entrée) et le Stedelijk Museum. Vous imaginez bien que le Van Gogh Museum parle forcément de Van Gogh, grand artiste de la fin du XIXème siècle. Ce musée rassemble la plus grande collection d’œuvres de cet artiste d’exception. Concernant le Rijksmuseum, c’est le musée national des Pays-Bas. Il rassemble des œuvres allant du Moyen- ge jusqu’au XXème siècle. Très complet, impressionnant par sa taille et d’une très grande qualité scénographique, l’intérieur du musée a d’ailleurs été rénové récemment (2008). C’est un musée à ne pas rater.

ARCHITECTURE ECTURE

La ville d’Amsterdam possède une grande ri chesse architecturale. À la fois, vous avez son architecture historique et traditionnelle avec les maisons en briques, les belles passerelles métalliques et les canaux qui arpentent la ville. Il y a aussi des bâtiments un peu plus contemporains à certains endroits. Un gros conseil : dirigez-vous vers l’est de la ville en partant du quartier d’Oosterdok jusqu’au quartier de logements du Java Island. Commencez d’abord par passer à l’ACAM, l’institut d’architecture de la ville, vous pourrez trouver des bouquins à consulter et/ou acheter parlant de l’architecture à Amsterdam. Dirigez vous ensuite à NEMO, un musée vert de sciences naturelles conçu par Renzo Piano. Vous pouvez accéder au toit du bâtiment depuis lequel vous avez une vue imprenable sur la ville. Dirigez-vous après vers Oosterdok, quartier assez neuf, haut et contemporain situé juste à côté de la Gare Centrale. Entrez dans la bibliothèque d’Amsterdam et je vous assure que vous serez fasciné par la grandeur et la qualité des espaces intérieurs de ce bâtiment. Essayez ensuite d’aller à l’Opéra Bimhuis, bâtiment composé d’énormes volumes en porte-à-faux en empruntant une magnifique passerelle métallique noire et marchez dans la rue Piet Heinkade où vous longerez de nombreux bâtiments intéressants. Tournez ensuite à gauche où vous accèderez au pont Jan Schaeferbrug qui vous amènera jusqu’à Java Island, île composée principalement de logements ayant été construits ces 10 dernières années. Rejoignez plus loin dans l’île le pont Verbindingsdam que vous traverserez afin d’accéder à un bâtiment qui ressemble au 8 tallet de BIG à Copenhague. Quand vous aurez atteint ce bâtiment il est possible de continuer plus à l’ouest dans ce quartier appelé Zeeburg où vous trouverez pas mal de logements semi-collectifs et individuels. Autre conseil : prenez le ferry et allez au musée du film, le EYE, qui se trouve de l’autre côté du fleuve Ij. Il fait partie des derniers bâtiments construits récemment à Amsterdam et il est particulièrement impressionnant par son design un peu futuriste et aussi par son énorme espace restaurant. Depuis ce musée, vous avez une belle vue d’Amsterdam. Vous pouvez également apercevoir au loin un logement collectif connu, conçu par MVDRV.

BUDJET Billets Aller-Retour réservés 3 mois à l’avance : 50 euros par personne Budget nourriture : environ 10 euros par repas et par personne Budget musée : tout dépend de ce que vous souhaitez voir. Vous pouvez aller jusqu’à 15 euros par musée. Budget transport : une carte GVB 78 coûte 16,50 euros. Un ticket à l’unité utilisable pendant 1 heure coûte 2,80 euros. Les ferrys sont gratuits. J’ai dépensé quasiment 120 euros en 3 jours sans compter le transport Paris-Amsterdam et l’hôtel. Au total, le voyage m’a coûté 262 euros.

Adoptez le


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LA PLAGNE Du 25 janvier au 1er Février

dernier a eu lieu le tant attendu voyage au ski annuel organisé par le BDE de l’école. Samedi 25 Janvier, 5h, Départ. En tant que reporter de La Gazette ENSAPVS, je me suis glissé à bord de l’un des deux cars qui quittèrent la capitale chargés à bloc aux alentours de 6h30. Une fois a bord, nous avons chacun reçu un magnifique bonnet orange brodé du logo de l’école ainsi qu’un petit sac de friandises en tous genres. Le reste du trajet fut ponctué par le rythme des ronflements de mon voisin : 9h de car, c’est long quand même. Nous sommes donc arrivés à La Pagne aux alentours de 16h, les appartements de 5 personne étant disponible qu’à partir de 17h, les archis de Val-de-Seine, tous munis de leur bonnet orange a pompon rouge, partirent à la découverte du labyrinthe de la grande galerie commerçante qui s’étend sur tout le RDC de la résidence dans laquelle nous allions passer la semaine. Pratique pour aller au Spar en caleçon sans avoir froid ! Dimanche 26 Janvier, 10h, Première Descente. Après une première et complète nuit de sommeil d’environ 3h, j’ouvrai mes rideaux pour découvrir un paysage à couper le souffle. Ni une, ni deux, je saute dans ma combinaison rose fluo, je visse mon bonnet orange sur ma tête, j’attrape mes skis et hop me voilà assis sur le télésiège « les Colosses ». Pendant cette première matinée, je découvre le domaine de Plage Bellecote, le plus proche de notre résidence. Domaine assez facile et relativement plat. Idéal pour se remettre en jambe après une année passée sans monter sur des skis ! A 22h nous avions tous Rendez-vous au Cosy, la seule boîte de la résidence (du moins c’est ce que l’on pensait), pour un pot d’accueil offert par le patron ! Mon verre de « cocktail maison » dégueulasse à la main, je n’eu aucun mal a repéré les étudiants de l’école grâce a leur bonnet qu’ils ne quittaient déjà plus. Les étudiants de la Sorbonne qui partageaient même résidence que nous, était également conviés à cet évènement. S’en est alors suivi un long ballet de concurrence amicale entre les deux écoles : battle de danse improvisé, concours de chants pour couvrir la musique merdique (et je reste poli)… C’était à celui qui se ferait le plus remarquer et à l’école qui mettra le plus d’ambiance !


20 LUNDI 27 JANVIER, 17h, Combat de Sumo, luge et foot sur neige Après une deuxième journée de ski, plutôt nuageuse, Le BDE nous a donné rendez-vous en bas des pistes afin de participer à quelques activités sportives. Ainsi, nous avons pu nous défouler et démonter nos potes, comme nous l’avions toujours secrètement souhaité, lors de combats dans des costumes de Sumos rembourrés. J’ai ainsi personnellement failli assassiner un ami Asiatique de petite taille dont je tairai le nom.

MARDI 28 JANVIER, 19h, Soirée Tartiflette.

SAUNA

VENDREDI 1ER FEVRIER, 1H Descente tous ensemble. Le deuxième évènement incontournable d’un séjour au ski, c’est évidemment la « Descente tous ensemble derrière la banderole » Après nous être tous retrouvé en haut du télésiège « les Colosses », dont je vous ai déjà parlé, et après avoir chanté tous ensemble le « Pompier qui met grave l’ambiance avant de descendre ». C’est une véritable horde de bonnets orange qui se sont retrouvés derrière la banderole de l’école emmenée par le BDE et quelques autres téméraires. La descente aurait pu ne durer que quelques minutes si la foule, enthousiasmée par cet évènement haut en couleur, ne s’était pas trompé de chemin ! Nous sommes donc tous arrivés au pied des pistes de la Plagne Centre, qui n’était pas du tout notre station ! Nous sommes donc remontés tous ensemble après avoir chanté le célèbre « Pompier qui met grave l’ambiance sur le télésiège ». Et rebelote nous voilà repartis pour un tour ! En prenant le bon chemin cette fois ! Après quelques belles chutes et de belles prises de vue GoPro, Nous voilà obligés de déraper comme un beau gosse devant le resaurant au pied des piste pour la dernière fois du séjour, de déchausser définitivement nos skis et de laisser échapper un dernier « aah… » de soulagement en enlevant pour la dernière fois de la semaine nos chaussures de ski... Eh oui les amis, le ski c’était déjà fini.

« Ce soir, c’est pétage de bide ! » Voilà ce qu’avaient en tête tous les participants du « Resto tous ensemble », évènement incontournable du Séjour au ski. Seulement voilà, après le traditionnel « Pompier qui met grave l’ambiance avant de manger », nous avons reçu deux plats de tartiflette et un saladier pour des tables de 13 et 16 personnes. Un peu léger donc pour une formule à 15€. « AAH voilà le Rab ! » Quelle générosité ce restaurant ! 4 nouveaux plats pour 94 personnes ! Autant vous dire qu’on est restés sur nos faims. Malgré les négociations des membres du BDE, pour en obtenir d’avantage, le patron ne cèdera pas. C’est donc un peu déçus et pas rassasié que nous avons regagné la résidence pour aller bien sagement se couch… “SOIRÈE À LA 169 !!!!! J’ARRIIIIVE !!!” … Enfin bon, faut pas exagérer, même s’il n’y en avait pas assez, on a quand même bien mangé.

MERCREDI 29 JANVIER, 17h. Quoi de mieux après une longue journée de ski débutée à 15h (parce qu’on s’est levé très tôt à 13h) que d’aller se relaxer dans la piscine extérieure chauffée de la station ? Le pied total ! Au programme : se changer en 10 secondes parce que dans les vestiaires ca caille, longueurs dans la piscines, jets massants, sauna, hammam et enfin, le célèbre combo « Je sors du sauna, je me roule dans la neige, et je me jette dans la piscine ». Petit conseil pour les prochaines fois : plongez souvent la tête sous l’eau si vous voulez éviter que votre chevelure se transforme en stalactites !

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NEIGE JEUDI 30 JANVIER, 17h.

PISCINE

Bizarre, personne n’a croisé les membres du BDE de toute l’après midi ! Que font-ils dans leur chambre à déménagéer leurs meubles et leurs valises ? Et pourquoi ont-il du Scotch et du Tesa collé sur leurs habits ? Réponse le soir pendant l’apéro : « Ce soir le BDE fait une soirée dans sa chambre !! RDV en 175 quand l’alarme sonnera » ! AH c’est une bonne idée ! Nous attendions alors tous le signal nous annonçant l’ouverture des portes de la soirée. le mégaphone sonna aux alentours de 22h30/23h, nous nous précipitâmes alors dans la chambre qui fut pour l’occasion, vidée de ses meubles, tapissée de moquette au sol et de bâches couvertes de graffs sur les murs. Quel travail ! Le résultat était vraiment sympa ! Dommage alors que quelques personnes n’aient pas compris que les « protections » c’est pour « protectionner », et que donc si le but de la soirée était de tout casser, la chambre ne serait plus protégée… Enfin bref ce fut tout de même une bonne soirée !


LONDRES Par Axel.

Foster + Partners, 30 St Mary Axe, The Gerkin


Fosters + Partners, London City Hall

MRDV, Gemini Housing, Copenhagen


Richard Rogers, Lloyd’s Building


Peter Zumthor, Kolumba Museum, Koln

MRJ Rundell, White Cube Mason’s, London


Trop Branché ?

CHRONI’CULTE LA CULTURE EST PARTOUT, PAS SEULEMENT SUR ARTE CHRONI’CULTE C’est la rubrique des externes à l’ENSAPVS, Parce que la culture c’est comme la confiture : ÇA SE PARTAGE.

Télécharge La Gazette en PDF à LaGazetteEnsapvs.tumblr.com


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La Badaboum

2bis rue des taillandiers M.8 Ledru-Rollin

Après une bonne cuite,

le lendemain c’est souvent cachet aspirine mais c’est aussi une incontestable faim de loup. Alors, je vous propose de vous rendre dans les plus brefs délais, au Starvin’Joe, AH! J'oubliais, Bienvenue dans la chronique du Burger Addict’. Le Starvin’Joe, c’est Jean Charles qui innove le burger indétrônable par son prix comme par son goût. Au menu : on va directement à l’essentiel : 4 burgers proposés (au cheddar, au Bleu,“coup de coeur“,le spicy cheddar et le chicken burger) Une version soit normale à 9€ ou maxi à 10€ sur place comme à emporter. De plus, le service est rapide et efficace.

Starvin’Joe

ouvert au 42 rue de Charonne, tous les jours de 12h à 16h et de 18h30 à 22h00, le samedi de 12h00 à 22h15.

Album sorti

Only Lovers Left Alive

Qu'est ce que c'est? C’est à la fois un Cocktail Bar, un Club Live et une Secret Room (cette dernière accessible le plus souvent à partir d’une heure du matin) et tout ça dans un seul établissement. Si vous ne connaissez pas encore,il est le club où se presse la jeunesse, il est celui où les nuits parisiennes sont éternelles, d’ailleurs, les basses tapent encore dans mes oreilles. Petit conseil : Allez boire un cocktail au bar avant 23h et vous aurez accès aux salles gratuitement. En attendant, je vous recommande de checker la programmation sur Digitick.com.

Bon, on s'est bien amusé? On a bien mangé ? Maintenant, on va se coucher avec Mogwai. Artiste non-émergent puisque Mogwai est un groupe écossais qui sort actuellement son huitième album, Rave Tapes. On adore ou on déteste et des fois c’est les deux. La particularité de cet album minimal c'est d'être sombre et même spectrale! Osez écouter et je suis sûre que vous trouverez certaines perles même après votre premier acouphéne. Pour infos : ce sont eux qui ont composé de la bande son de la mystique série « Les revenants »

Rave Tapes de Mogwai le 20 janvier 2014

TU l’AS VU ?

C’est l’histoire de deux vampires qui vivent comme ils peuvent dans notre monde moderne. C'est Adam et Eve qui auraient traversé les temps. Adam est musicien underground et collectionne des guitares improbables; il vit reclus à Détroit, ville fantôme tandis que Eve (incroyable Tilda Swinton), sa mystérieuse compagne parcourt la nuit les rues désertes de Tanger. Mais, l’arrivée d’Ava, la petite sœur d’Eve, risque de perturber leurs visions du monde moderne dans lequel leur amour fragile essaie de s’éterniser. Entre Tanger et Détroit, ces deux êtres si sublimes pourrontils continuer à survivre dans ce monde qui s’effondre autour d’eux ? Vous pouvez oublier Twilight dès maintenant! Dans son nouveau film, Jim Jarmush revisite le mythe du vampire ; oserez-vous entrer dans l’intimité d’un couple de créatures attachantes qui cherchent à préserver leur amour éternel ? Supporterez-vous de partager la souffrance d’une âme profondément déprimée ? Accepterez-vous de voir notre monde décrit par un metteur en scène hors du temps ? Bien évidemment! Car vous suivrez Adam et Eve à travers leurs errances nocturnes sur un fond musical à la fois violent et mélancolique et vous vous identifierez même à eux. Only Lovers Left Alive est un film de vampires rempli d’un romantisme fou et de délicatesse. Mais si vous n'en tombez pas amoureux je ne vous mordrai pas pour autant !

Only Lovers Left Alive

de Jim Jarmush avec Tilda Swinton, Tom Hiddleston, Mia Wasikowska, John Hurt - sorti le 19 février.


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35 [...] - Franck Ferrand nous avait déjà dit que la reconstitution était extrêmement fidèle et que c’était déjà remarquable !» déclarait Frédéric Lusa le producteur de l’émission. On constate donc que le travail réalisé par l’équipe dépasse le domaine du jeu vidéo et trouve reconnaissance auprès d’autres milieux. Pour certains journalistes il s’agit même de la plus belle reconstitution existante de Venise. C.Ciesiolka

E RE UR TU CT EC TE HIIT CH A RC AR

S O S E O D E I D V I V X U X E U J E J T E ET LES TOITS

ASSASSIN’S CREED : L’ARCHITECTURE DEPUIS Il était sans doute prévisible d'ouvrir une chronique sur le lien entre architecture et jeux vidéos en parlant de la saga Assassin's Creed. Mais c’est tout simplement parce que ces jeux sont entrés depuis quelques années dans la catégorie des incontournables. Cette licence vidéo ludique est celle qui doit le plus à l'architecture, et ce par son gameplay. Nous plonger dans la peau d'un assassin qui explore les villes de la terre sainte lors de la troisième croisade, de l'Italie de la Renaissance, ou encore Constantinople au XVIème siècle en sautant de toit en toit et en arpentant les ruelles, voilà une idée qui ne pouvait se passer d'architecture. Cependant le choix des développeurs aurait pu s’arrêter à donner l’image rêvée d’une ville passée, nourrie de quelques clichés qui auraient servi de points de repère à l’imaginaire du joueur. Ca n’a pas été le leur, bien au contraire.

Ils ont choisi d'assumer pleinement le parti pris de la reconstitution en poussant le réalisme, en faisant de ces jeux un musée virtuel. Pour qui en prend le temps, les Assassin's creed sont une source de connaissance architecturale. J'ai moi même découvert l'architecture de la renaissance à travers le deuxième volet de la saga, il a été une porte d'entrée. J'ai d'abord usé le jeu en visitant Florence et Venise, tout en lisant les fiches accessibles pour chaque bâtiment. Puis je suis allé plus loin en allant chercher des informations ailleurs. Preuve de la qualité de cette reconstitution architecturale, des images de Venise tirées du jeu ont été utilisé dans « L’Ombre d’un Doute », un documentaire sur la Sérénissime diffusé sur France 3 en mai dernier. "Je ne connaissais pas le travail qu’ils avaient fait sur la reconstitution, donc on a commencé par acheter le jeu et le faire.

Santa Maria Del Fiore

Place Saint-Marc


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DISHONORED 2012 l’année du triomphe français au cinéma avec les Oscars pour The Artist et le sourire ultra-blanc de Jean Dujardin, mais aussi vidéoludique avec Dishonored. Développé par les lyonnais d’Arkane Studios, Dishonored nous entraîne dans un monde sombre où se côtoient révolution industrielle et sorcellerie. On y incarne Corvo Attano, garde du corps de l’Impératrice Jessamin Kaldwin, ersatz de la Reine Victoria. Le jeu débute lorsque celui-ci revient d’une mission ayant pour but de trouver un remède à la peste qui ravage la cité de Dunwall (fortement inspirée du Londre de Dickens), où se déroule l’histoire. Après que l’Impératrice se fasse tuer sous ses yeux par de mystérieux individus aux pouvoirs surnaturels, Corvo se fait accuser de l’assassinat par l’affreux méchant pas beau Maître-Espion qui prend le pouvoir et jette le malheureux en prison, déshonoré. La suite ? Une vendetta menée par Corvo aidé par un groupe de résistants et une très trouble entité mystique du nom de l’Outsider. Si Dishonored ne brille effectivement pas par son scénario, bien trop prévisible,

il le fait en revanche par son univers. Le background est extrêmement riche et travaillé : on trouve par exemple des dizaines de livres expliquant le fonctionnement du monde du jeu. Celui-ci vient de connaître un boom industriel grâce à l’utilisation de l’huile de baleine qui permet de produire beaucoup d’énergie à bas coût, mais reste très teinté de coutumes mystiques anciennes que réprime fermement l’Abbaye du Quidam et ses Superviseurs, ce qui rappelle la période de l’Inquisition. Ce travail de création poussé se ressent encore plus au niveau graphique. La direction artistique est en effet assurée par Viktor Antonov, ancien dessinateur industriel hongrois ayant déjà travaillé sur Half-Life 2 des studios Valve. Dunwall se compose de quartiers de style victoriens faits de ruelles insalubres et appartements richement décorés, d’usines et autres repaires de gangs ; le tout entrecoupé d’installations militaires tranchant avec le reste du décor par un style très original entre modernité et rétro steampunk. Le tout sublimé par des textures entièrement faites à la main. Les personnages ne sont pas en reste : Arkane a étudié la physionomie de tous les personnages, qu’ils soient parti-prenants de l’histoire ou simple badauds. Visuellement, même si il n’est pas dans les canons du photoréalisme actuel, Dishonored est un quasi chefd’oeuvre de l’avis de la Gazette.

Mais comment se joue-t-il ? Tout d’abord, il fait bon de préciser que l’on peut terminer le jeu sans tuer une seule personne. Même les cibles de la vengeance de Corvo peuvent être éliminées de façon non-léthale. Corvo dispose d’une palette d’objets et de sortilèges (fournis par l’Outsider) permettant au joueur/ joueuse d’aborder les situations comme il/elle l’entend. Ainsi, on peut très bien être complètement furtif en gambadant sur les toits et en assommant nos adversaires ou bien bourriner joyeusement en défonçant des portes et massacrant les gardes à l’aide de pistolets, pièges et autres objets entièrement améliorables. Le mot d’ordre est créativité ! Mais attention, car vos actions auront des conséquences sur l’état de Dunwall… finalement, Dishonored s’élève au rang de must vidéoludique que vous feriez bien de découvrir lors d’une période pas trop occupée par vos charettes...


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PLAN SEQUENCE TRUE DETECTIVE

EVITCETED EURT

Bienvenue en Louisiane. Mais attention, pas la jolie Louisiane des vampires de True Blood, non. Ici on parle de la “vraie” Louisiane avec ses canaux pour supertankers, ses usines pétrochimiques, se touffus bayous et autres champs à l’abandon. Et tout ce petit monde baigne dans une moiteur prenante où prospèrent les rednecks (le -très souvent bigot“péquenaud” de campagne américain). Comme le dit un des deux héros de la série, ce n’est qu’un “immense ghetto à ciel ouvert”. Voilà le décor, passons aux personnages. Nos deux héros forme un duo de flics pas très chic mais sûrement choc. Tout d’abord, Marty Hart : interprété par le très bon Woody Harrelson (Hunger Games, ZombieLand, No Country for Old Men…), il semble être le “bon” flic de prime abord en incarnant un père de famille chrétien (mais pas trop) dont le mariage bat de l’aile. Assez bourrin, il n’en reste pas moins un allié fiable pour son compère Rust Cohle, interprété par l’immense Matthew McConaughey (Mud, Magic Mike, Killer Joe et nominé aux oscar pour Dallas Buyers Club) dans le rôle d’un flic texan au passé très trouble et doué d’un intellect aiguisé lui valant une philosophie terre-à-terre brutale pour son collègue (Sherlock es-tu là ?). La dualité entre ces personnages constitue une part importante de la narration. Les deux cadors tiennent l’affiche, le reste du casting est de toute aussi bonne qualité. L’intrigue ? Les deux compères sont interrogés en 2012 sur une affaire de serial killer mystique bien taré datant de 1995. Je n’en dirais pas plus... On serpente donc entre passé et présent par flashbacks bien amenés. Outre ceux-ci, la mise en scène est remarquable : le réalisateur Cary Fukunaga fait un job digne de David Fincher en maintenant une ambiance sombre, malsaine et moite qui prend aux tripes tout le long d’un épisode (mention spéciale au plan-séquence de 6 minutes lors de l’épisode 4). En parlant d’épisodes, la première saison en comporte huit et la série se prévoit comme une anthologie : chaque saison est indépendante, un peu comme pour American Horror Story. Espérons que HBO nous sorte une seconde saison aussi bonne. En ce moment sur OCS City, ou sur vos sites pirates habituels.

EK.


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Nous sommes en 1981,

Ronald Reagan vient d’être élu et est plus que jamais déterminé à vaincre le pire ennemi du monde libre, l’U.R.R.S. À quelques kilomètres de la Maison-Blanche, à Falls Church dans la banlieue de Washington D.C, vit un couple : les Jennings, Philip et Elizabeth. Ils ont tout de la famille américaine normale : deux enfants, deux voitures, une maison de 200m² tout équipée et une agence de voyages qui tourne bien. Tout va bien dans le meilleur des mondes, ou presque : Philip et Elizabeth sont des agents du Komitet Gossoudarstvennoï Bezopasnosti, ou KGB. Et quand vous êtes espion russe sur le sol américain en pleine Guerre Froide, le boulot ne manque pas. On suit donc les missions des Jennings, mais aussi leur vie de couple, leurs vie de famille et sociale teintée de mensonges, surtout quand leur nouveau voisin n’est autre qu’un agent du F.B.I spécialisé dans le contre-espionnage. Le tout est servi par une mise en scène assez bien foutue ainsi que quelques idées amusantes : les Jennings jonglent souvent avec plusieurs identités au cours de leurs missions, donnant l’occasion aux acteurs de devenir des personnages originaux le temps d’une (ou plusieurs) séquences; ou encore les histoires personnelles d’Elizabeth et Philip lors de flashbacks se déroulant en U.R.R.S. . Au final, on a donc une très bonne série d’espionnage “à l’ancienne” (vous remarquerez que l’absence de technologies actuelles comme le téléphone portable apporte un véritable atout dramatique) portée par de talentueux acteurs (Keri Russell je t’aime) offrant un point de vue différent par rapport à d’autres séries du même genre. Allez-y Camarades ! Dispo sur Canal+ à la Demande et sur les flots de la baie des pirates EK.

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Le premier semestre 2013-2014 touche à sa fin ce qui signifie qu’il est temps de sortir les premiers bilans. Comment s’en sont sorties les équipes de notre école ?

VOLLEY BALL L’équipe féminine prend le pouvoir ! Après un début de saison légèrement compliqué suite au manque d’automatismes entre les joueuses, une victoire difficile face à l’université américaine de paris puis une défaite face aux vétérinaires de Maisons-Alfort, l’équipe de l’ENSAPVS a fait carton plein pour s’emparer de la première place de son groupe. Avec un bon bilan de 3 victoires pour une défaite et surtout sur une bonne dynamique de 2 victoires consécutives, l’équipe de l’ENSAPVS à toutes ses chances pour bien figurer en deuxième partie de saison ! La mixité c’est bien aussi ! Le 13 février dernier a eu lieu le premier tournoi universitaire en 4x4 mixte de la saison. Pour cet évènement, deux équipes de Val de Seine se sont engagées : une équipe de 5 et une équipe de 4 parmi lesquelles évoluaient 3 membres de notre chère Gazette, j’ai nommé Jésus, Mr « Avez-vous déjà vu ? » et Maurice Bédéheu. Cependant, malgré une très forte motivation, une condition physique particulièrement exceptionnelle et la technique du « Tésa sous les chaussures pour sauter plus haut », les sportifs de val de seine ont dû s’incliner face à des équipes soudées et sûres de leur expérience. En effet, les joueurs des deux équipes d’archis, n’avaient jamais joué ensemble auparavant et le volley étant un sport collectif avant tout, le miracle n’a pas eu lieu… L’équipe 2 terminera 11ème sur 16. L’équipe 1, étant tombé dans une poule de très haut niveau en première partie de tournoi, n’a pu s’imposer sur aucun de ses matchs malgré des scores très serrés contre des grosses équipes. Elle terminera 13ème sur 16. Deuxième tentative le 13 mars ! Côté masculin, une équipe est en cours de formation et ses dirigeants recherchent toujours de nouveaux joueurs ! Avis donc aux intéressés ! Vous pouvez contacter Benoît VERIN dans son bureau 110.

RUGBY L’équipe féminine est la seule représentante de notre école en rugby universitaire. Autant le dire tout de suite le semestre n’a pas vraiment été rose du côté des rugbywomen de l’ENSAPVS. Constituée en majeure partie de novices, l’équipe n’a jamais vraiment pu mettre en place un jeu construit face à une équipe aussi monstrueuse que Chilly Mazarin, championne de France de leur catégorie l’année passée. La vraie grosse information concernant le rugby vient de la volonté de créer une équipe « inter-archi » pour participer au championnat universitaire l’année prochaine !

BASKET

Comme vous l’avez sans doute lu dans notre précédent numéro, le basket c’est nouveau à l’école ! Et même si on se félicite déjà de cette initiative on ne peut passer outre les résultats sportifs. Honneur aux dames ! L’équipe féminine a été la première équipe à ramener une victoire ! En effet, après une première défaite contre la faculté de médecine de Paris VI, nos joueuses ne se sont pas laissées abattre et ont triomphé de l’INSEEC (école de commerce) dès le match suivant. Malheureusement cette victoire sera la seule pour l’ENSAPVS car nos joueuses seront surclassées par L’ENSCP puis battues d’un rien par Paris 7 lors des deux derniers match de poule. Ainsi, elles terminent à la dernière place de leur poule. Néanmoins, il est important de saluer la motivation et l’esprit de nos joueuses qui malgré le peu de moyens et de temps pour se préparer aux matchs ont tout de même réussi à faire bonne figure au cours de leurs différents matches ! On peut faire un bilan assez similaire pour l’équipe A masculine. Après une première défaite douloureuse face à SUPMECA (ingénieurs) et une autre plus disputée contre l’ESTP (ingénieurs), les joueurs de l’ENSAPVS ont enfin obtenus la victoire qu’ils méritaient en dominant eux aussi l’INSEEC. Au final, l’équipe A finit troisième (sur 4) de sa poule. Elle sera reversée dans une autre poule pour la fin du championnat et abandonne donc tout espoirs de montée. Quant à l’équipe B, on ne peut pas dire qu’elle ait été gâtée. Dans une poule regroupant les équipes A des Mines, de ParisTech, de l’ISEP (école d’ingénieurs) et de l’ENSAM (Arts et Métiers) on voyait mal comment elle aurait pu avoir une chance. Cependant, elle n’a pas démérité car même si il y a eu deux grosses défaite contre les Mines et l’ENSAM, elle a offert une opposition tout à fait honorable aux autres équipes qui pourtant étaient données largement favorites.

Nouveauté : Grace à son grand réseaux d’informateurs en mission aux quatre coins du monde, La Gazette peux vous informer de source sure, que des cours de Tai-Chi vous seront proposé au second semestre !


PAPARAZZI ARCHI

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44 LA METEO O MARS

SPORT REVELATION SONDAGE

15 médailles pour l’équipe de France aux JO de Sotchi. Bien joué camarades, la mère patrie est fière de vous mais surtout, merci Vlad !

Ste Reprise

MIN. : 17 ans type “j’aimeré bien

Julie Gayet est une cousine éloignée du directeur de publication (c’est vrai en plus…)

faire de l’architectur parcke c entre littérére et scientific”

Tu préfères avoir 30 canards qui te suivent absolument ou porter le chapeau de Pharrell Williams tout le reste de ta vie ? Réponds nous sur le Facebook de la Gazette

CINEMA LA CORBUNEWS RECOMPENSES

MAX. : 6°C

À la Révolution Française, les sans-culottes, emportés dans une folie destructive des institutions religieuses ont renommé le mois de Mars, dieu romain de la guerre, en Ventôse, le mois du vent. Pendant ce mois, on fêtait le jour de la chèvre, celui du thon, du cerfeuil, des épinards ou encore la journée de la paquerette. Qu’on se le dise, c’était bien de la merde. Rien ne vaut un bon mardi-gras, une rentrée aux petits oignons ou encore une journée portes ouvertes où tout le monde va encore se choper la crève. Parce que si on a repris le nom de mars, y a toujours du vent. Sortez couverts donc.

L’histoire Sans Fin dure en vérité 1h34

Yvonne Jeanneret était un plan libre

Le Louvre Lens de SANAA récompensé de l’équerre d’argent Jean Nouvel remporte le Prix Pritzker pour l’ensemble de ses travaux Christian de Portzamparc remporte pour la troisième année d’affilée le concours de manger d’andouillettes à Jouy-en-Josas

SPÉCIALITÉ CULINAIRE

Les pâtes au reste : Prendre des pâtes, les faire cuire. Pendant ce temps, dans une autre casserole mettre tout ce qui vous reste de la semaine. Remplir la casserole avec de la sauce tomate ou de la crème fraiche ou les deux. Ajouter du piment d’Espelette. Mélanger le tout. Bon appétit !

INTERNE MUSIQUE

A

BOURSE PEOPLE

Le CAC40 prend 1,97PTS entraînant une baisse du PBI lié au BTPF allant à l’encontre du CFO de B2O. La cote SBW prend 100% sur le marché NOK. MDR.

Plusieurs fois nominé mais jamais récompensé, Leonardo Dicaprio espère remporter un oscar cette année. Shia LaBeouf pête complètement un cable : lors de son expo conceptuelle, il vous accueille dans une pièce uniquement meublée d’une table et masqué d’un sac en papier sur lequel il a inscrit “I’M NOT FAMOUS ANYMORE” Frank Ribéry déclare en conséquence : “Arrêtez de vous battez.”

B

C

D

E A. Il te fait chier depuis la première année

Au moins 3 membres de La Gazette ont développé un syndrome de la Tourette

Stromae remporte les victoires de la musique. Alors on danse ! De son coté, Daft Punk a gagné quasiment tous les Grammy Awards possibles. Comme quoi, le port du casque obligatoire est une bonne chose (ceci n’est pas un retour sur l’affaire Gayet-Hollande).

avec les portes ouvertes

B. Dans le chapeau du magicien C. Zones érogènes D. Au Placard depuis AutoCAD

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E. Coucou c’est nous !

2 1. Tous les jeudis soirs au cul

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2. Fourreau 3. Fruit Phallique

Trouve la formule magique et dis la à ton voisin !


46

47

Bélier Bélier Amour :

Foncez dans le tas, y a que ça qui marche de toutes façons

Travail : Maquettez ! Santé : Un Kinder Bueno

peut être considéré comme l’un des 5 fruits et légumes de la journée.

Tau reau Taureau Santé :

Penchez-vous et toussez trois fois

Attention au surmenage avec vos 3 heures d’activité cérébrale par jour

ne sont pas bière, pâtes, brie et riz

Cancer Cancer Amour :

Le club philatéliste de Garges-Lès- Gonesses cherchent de nouveaux férus collectionneurs, renseignez-vous.

Travail : Faute d'autre Santé : Plus de formes

chose tu meurs. Sérieusement.

Tu meurs.

Lion Amour :

Un pur moment de plaisir dès le p’tit déj’

Travail : C’est reparti Santé : Vous avez mangé

des asperges ?

erge Vi Vierge Amour :

C’est pourtant pas compliqué, la grande aiguille en bas ça veut dire qu’il est la demie

Ibuprofène ® 500 : déconseillé aux femmes enceintes

Sag ittaire Sagittaire Vos animaux empaillés vous manquent en dehors de chez vous.

Amour : Essayez le tantrisme Santé : Les quatre groupes alimentaires

Travail :

Amour :

Balance

Mettez un peu de piquant dans votre couple

Santé :

pas vos profs, c'est tous des pourris

Travail :

Amour :

Amór : ¡ OLÉ ! Travail : N'écoutez

Scorpion rpion Sco

Malgré la censure on vous le dit, ça risque de faire mal.

Travail : Toujours pas hein... Santé : Bizarrement, MÉGAFORME

Travail :

Santé :

Le site Admission Post-Bac a réou vert. C’est le moment de briller.

La platitude de votre vie vous ennuie? Les implants sont une solution

apricorne CCapricorne Amour : Travail :

Santé :

La congénitalité tue. Votre mère vous avait pourtant dit que la mafia corse n’était pas un bon investissement

Vigoureux(se) et frétillant(e)

Ver seau Verseau

Amour : Vous êtes vert Travail : Solitaire Santé : Ver Solitaire

Poissons Poi ssons Amour : Du Travail : Du Santé : Une

safran riz sauce au beurre


Dessine moi un mouton

ICI VOTRE

(teams autorisées)

PUBLIVos moutons les plus beaux et les plus fous paraitrons dans la Gazette d’Avril !

Associations, envoyez nous vos publicités à LaGazette Ensapvs@ gmail.com

CITÉ. © Graphiquants


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