Le Journal de la Gazette #1

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Numéro 1 / 07.09.15

ENSAPVS

le journal de

La gazette

.INTERVIEW : PHILIPPE BACH .PARTICIPER À LA VIE DE L’ÉCOLE LES 10 CONSEILS AUX NOUVÔ .DÉTENTE


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Edito

Lecteurs, Lectrices,

Bienvenue aux « Nouvôs » arrivants au sein de ce fief que nous appelons ENSA Paris Val-de-Seine. Votre école de la vie, là où pour les cinq prochaines années, vous apprendrez un métier difficile et passionnant, passerez par toutes les galères imaginables, fêterez vos réussites, vous construirez en tant que personne, n’arrêterez pas de faire de la douce nuit votre nouvelle compagne … Pas de panique ! On vous a rédigé un genre de « la première année en architecture pour les nuls », histoire de se retrouver et de connaître les 10 bonnes astuces pour démarrer sur les chapeaux de roues et tenir le rythme. La question de l’intégration et de la rentrée est au cœur de ce premier numéro du journal de La gazette où vous trouverez une interview de notre directeur Philippe Bach, où vous comprendrez le fonctionnement du réseau associatif et des instances de cette école, où vous saisirez l’importance de participer à la vie de Val de Seine avec le mot de l’actuel président de la FED, Julien Laudière, et où vous trouverez de quoi relaxer vos esprits tout en commençant ce semestre.

Nous, c’est La gazette, votre service de communication pour relayer l’information en trois temps : sur sa page Facebook avec des posts quotidiens, avec sa publication magazine semestrielle, et nouvellement avec ce journal, piqure de rappel aux dates clés de l’année. Pour remplir ces fonctions, la gazette accueille, pour l’année ou juste pour un article, tout étudiant qui aurait envie de prendre la parole, ou de faire partager celle des autres. Si l’envie vous prend de rejoindre une cause juste, passez nous voir le lundi en amphi 120 à partir de 19h30, ou écrivez nous à lagazetteensapvs@gmail.com. Bonne rentrée à tous, étudiants, enseignants et administratifs !

Par Sylvain Massoué, Redacteur en chef.


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Gazetteam

Alice - Chroniques

Calypso - Chroniques

Charlotte - Chroniques

Clément - Sobre

Emma - Photographies

Emilie - Web

Elissa - Chroniques

Clément - Graphisme

Etienne - Web

Fleur - Web

Hugo - Chroniques

Ikram - Graphisme

Marie - Chroniques

Léo - taupe

Jun - Photographies

Tarik - Secrétaire

Paul - Photographies

Quentin - DA

Rouba - Traductions

Sylvain - Redac Chef

Gazetteam


Interview : Philippe Bach Directeur de l’ENSAPVS

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Photographie : Portes Ouvertes 2015.


04 Il semble que vous avez pour ambition de donner à cette école un rayonnement national et international. Quelles sont, d’après vous, les outils à développer pour cela ?

Après un an à la direction de l’ENSAPVS, quel est votre état de l’esprit ?

Tout d’abord je voudrais confirmer mon grand plaisir d’être dans cette école. Je confirme également le propos que j’ai tenu au début de l’année, je trouve que cette école a un gros potentiel. Le site dans lequel elle est installée est proche du campus de l’université Paris Diderot, seule université pluridisciplinaire de Paris. Elle est également au bord de la Seine dans un quartier en pleine expansion et très bien desservi. Par ailleurs, la diversité du corps enseignant permet de proposer à nos étudiants des postures pédagogiques et des approches architecturales très différentes, ce qui est, à mon avis, la marque d’une grande richesse. Enfin, la qualité de la vie associative est également une grande potentialité. Je n’ai pu que constater au fil des jours l’attachement des étudiants pour leur école. C’est un établissement très complexe, avec lequel je commence à me familiariser, au bout de neuf mois à sa direction. Quelles sont les mesures que vous souhaitez mettre en place pour continuer sur votre lancée, à court, moyen et long terme ? Vis-à-vis de la politique de site, je souhaiterais développer nos relations avec l’université Paris Diderot ; je vais d’ailleurs commencer à travailler avec la présidente pour établir la mutualisation de certains domaines entre nos deux campus. Celle-ci passerait par les réseaux informatiques, la vie sportive, la bibliothèque et un accès à des enseignements communs, notamment par la création du parcours libre dès la rentrée prochaine. Pour ce qui est de l’informatique j’ai déjà recruté un responsable des services informatiques, ce qui je pense, est l’élément essentiel de tout changement. Nous avons déjà apporté de nouveaux équipements au laboratoire vidéo, les prochains objectifs sont de remplacer, pour la prochaine rentrée, tous les postes informatiques des salles du premier étage et ensuite d’améliorer la couverture Wifi d’ici début 2016. Ces objectifs sont plutôt de l’ordre du court et moyen terme. Pour ce qui est du RDC, je souhaiterai dans un premier temps redonner de la vie à ce grand hall et à la cour centrale, en supprimant l’entrée au sud. L’étape suivante sera d’équiper cet espace de panneaux digitaux ainsi que de mobilier favorisant la rencontre. Sur le long terme, nous avons également l’ambition de déplacer la cafétéria dans l’ancienne SUDAC, l’idée est de faire un percement dans la façade pour donner un accès sur l’extérieur à la cafétéria. Cette dernière serait remplacée par un lieu réservé au corps administratif et enseignant. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous avons fait ouvrir le jardin. Bien sûr, Fréderic Borel approuve tous ces changements.

Tout d’abord, consolider les infrastructures est un outil essentiel. Cela passe notamment par le service des relations internationales, qui, à partir de novembre, va passer de deux à trois personnes. Ce service est actuellement réorganisé car il est sorti de la direction des études et devient un service à part entière. En parallèle de ceci, la création d’une commission internationale est en train d’être mis en place. Celle-ci passe par le biais de l’administration et des enseignants, afin de définir la stratégie internationale de l’école. En effet, je voudrais insister sur la fait que mon ambition est que la quasi-totalité des étudiants puissent faire un échange à l’étranger durant au moins un semestre. Le but étant que, dès la rentrée 2015, par le biais d’un régime de partenariats, on puisse ouvrir les échanges aux étudiants de 3ème et 4ème année. Cela suppose alors qu’on puisse accueillir encore mieux les étudiants en mobilité. Renforcer cet accueil par le biais des associations, mais aussi par le questionnement des enseignements. En effet, une décision se met en place actuellement sur la possibilité de proposer des cours en anglais. Cela permettrait de faciliter l’intégration des étudiants étranger à l’école, et ouvrirait plus de destinations à nos étudiants. Quels sont les atouts d’un établissement publique pour mettre en œuvre ce rayonnement? Aujourd’hui, toutes les écoles publiques en France se projettent à l’international et consolident leurs partenariats. Cela est une grande qualité qui permet de renforcer ce rayonnement. De plus, le travail en réseau avec les différents établissements (entre les écoles d’architecture Ile-de-France mais aussi entre l’Université Diderot et l’ENSAPVS) consolide d’autant plus la force de l’enseignement public. Ainsi, le développement des réseaux et la mutualisation des universités sont deux atouts considérables. Quelles différences observez-vous entre le corps privé et public en architecture, notamment vis à vis de ce que l’on observe à l’ESA en ce moment ? J’avoue être un fervent défenseur de la cause publique. Évidemment, je ne me réjouis pas des difficultés qui existent actuellement à l’ESA car c’est une école prestigieuse. Aujourd’hui, il y a peut-être une place pour l’enseignement privé en France mais selon moi, les études supérieures doivent nécessairement être attachées à un domaine de recherches. Celui-ci est, je crois, un potentiel incontestable en terme d’innovation, ce qui est d’autant plus légitime en architecture. Ce système se retrouve facilement dans le modèle publique mais est plus difficilement mis en place dans l’enseignement privé. C’est donc par cela que je vois une différence significative, par la capacité qu’auront les futurs architectes à innover et à inventer.

Propos recueillis par Carmen Maurice et Clara Halioua, Juillet 2015.


De l’investissement associatif en école d’architecture

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Couverture, Anybody can be cool, but awesomeness takes practice, par Lorraine Peterson


Comment se fait-il qu’aujourd’hui, à peine deux cents étudiants s’impliquent bénévolement pour des choses qui profitent à deux mille de leurs camarades ? C’est ce que j’appelle l’esprit associatif : le fait de profiter d’un service et en échange de vouloir y apporter sa touche, le soutenir par un peu de son temps pour au final, certes ne rien gagner de matériel, mais ressortir de cette expérience infiniment plus riche sur le plan personnel.

N’oublions pas que l’associatif, surtout ici, est un train en marche, et que chacun peut y monter pour y apporter sa touche. Car tous ces services qui nous font tripper durant les quelques cinq ans – au moins – que vont durer nos études, ne sont pas à considérer comme acquis et demandent chaque année à ce que plus de gens s’investissent pour ne serait-ce que garantir le même niveau que l’an passé.

écouter les dernières recommandations avant de commencer l’année ou tout simplement à la cafet’ à casser la croute avec vos potes fraichement retrouvés. Il vous suffit de lever la tête ou de regarder par la fenêtre pour voir qu’autour de vous d’autres étudiants s’agitent, untel vous vendant votre repas, un autre votre tube de colle, certains gérant les évènements auxquels vous aurez plaisir à participer et d’autres défendant la pédagogie dont vous profiterez. On bénéficie tous à un moment ou à un autre dans nos études de la riche vie étudiante de notre école et si on peut en être fier comme des paons, c’est parce que quelques étudiants motivés ont développé des associations pour tout ce qui peut être fait... du moins jusqu’à ce que d’autres trouvent de nouvelles idées folles à réaliser.

Ca y est, c’est la rentrée, vous êtes assis dans l’amphi à

Alors, si vous voulez que ça bouge, bougez-vous !

S’il n’y avait qu’une chose à retenir de ces broderies de vieux râleur utopiste, c’est que la vie associative n’est jamais figée, elle dépend de ceux qui s’y investissent et développent grâce à elle passions communes et expériences professionnelles. Pour ce faire elle a simplement besoin d’étudiants concernés et désireux de lui rendre ce qu’elle leur apporte chaque jour : une vie étudiante développée et qui claque.

Quels sont les avantages de faire partie de la vie associative de son école ? Au delà de l’esprit de participation exposé juste avant,v c’est l’occasion de tenter de faire passer ses idées et de développer des compétences professionnelles qui pourront servir en architecture ou dans bien d’autres domaines. Un maquettiste à la gazette peut facilement ajouter à son C.V. l’expérience acquise et briguer un poste au sein d’une publication architecturale dès sa sortie de l’école, de même qu’un président d’asso aura appris à gérer une équipe, compétence essentielle à n’en pas douter pour plus tard monter son agence ...

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Par Julien Landreux, Président de la Fed.


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Assos’

After Charrette

Évènements à l’extérieur de l’école

L’Association Musicale

Concerts et répétitions pour musicos

Association pour la Mobilité Internationale Accueil des étudiants Erasmus

L’Association Sportive

Plein d’équipes pour plein de sports différents

Bureau Des Étudiants Évènements au sein de l’école

La Brigade du Cuivre

La grande famille des fanfarons de l’Ensapvs

Clic

Le club photo de Val de Seine

Coop

Tout le matériel nécessaire pour maquettes et autres

La Fed

L’ensemble des associations, des masses, et des instances

Jeunes Archis Au Boulot La Junior Entreprise de l’école

La Gazette

C’est nous, le journal étudiant de l’école

La Palette Ensapvs

On y mange, on y boit, tous les jours, tout le temps


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5 bons plans et 5 conseils aux Nouvôs Pour vous armer en plus du pack rentrée du BDE, vous trouverez des fournitures fraîchement préparées par La Coop (l’association de l’école) à petits prix. Ils sont au 2ème étage, derrière une grande baie vitrée. Leurs horaires sont consultables sur leur page Facebook : facebook.fr/coopensapvs. Sinon il y a la boutique Lez’arts, 5 rue Bernard Palissy dans le 6ème arrondissement, métro Saint Sulpice. Ou encore le géant des Beaux Arts (-15% pour les étudiants en art et en architecture), rue Vergniaud dans le 13ème arrondissement, métro Corvisart. La Cafet de l’école se renouvelle régulièrement en menus équilibrés et en sourires. C’est au Rez de Chaussée, dans la boite en verre avec marqué “Cafétéria” dessus. Leurs tarifs et horaires sont disponibles sur leur page et profil facebook, cherchez La Palette Ensapvs. Pour les férus de promenade, les restaurants C.R.O.U.S sont à cinq minutes de marche de l’école en longeant les quais, veillez à obtenir une carte C.R.O.U.S dès la première semaine en allant à l’Université Paris 7 - Diderot. Le quartier recèle des restaurants de burgers pas trop cher : le Bootlagers et le In&Out, un Subway, plusieurs restaurants de Sushi, une boulangerie Brioche Dorée ainsi qu’une patisserie Kayser aux alentours de l’école… Mention spéciale pour Maji, le Libanais ouvert jusqu’à 21h, compagnon fidèle lors des charrettes. Bien sur toutes ces enseignes ont des tarifs étudiants pour leurs menus. Culturellement, brillez. L’abonnement au Centre Georges Pompidou est à 18€ l’année. L’abonnement à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine de Chaillot est à 10€ l’année. Le MK2 Bibliothèque est à 5min de l’école et propose des séance entre 5,90€ en semaine et 7,90€ le weekend. Paris est la ville proposant le plus d’expositions et de spectacles par soir au monde, profitez-en, bordel. Etre architecte, ça signifie entre autres s’intéresser au monde, ne restez pas dans la bulle de l’école. Il existe un triangle de la soif autour de l’école. The Bootlagers, repaire américanisant, vous proposera une pinte de Lager (la biere pression de base) à 3,50 tous les jours de 16h-20h. On passe sur l’humeur des serveurs un poil trop variable, passant de l’amabilité indispensable aux métiers de la restauration à la misanthropie la

plus profonde d’une seconde à l’autre. Le Trac, café-théâtre qui commence à percer vous délectera de ses tapas hors de prix et de son architecture librement inspirée du RaumPlan de Loos. Le Monoprix du quartier vend de la bière dans un esprit krypto-shlag et street agressif. Le bon plan ultime, brave nouvô, ce sont tes anciens. Ils sont là depuis toujours, ils ont vu l’école telle qu’elle est aujourd’hui émerger du néant. Ils sauront te conseiller dans ton travail, t’orienter dans tes choix d’ordinateur, te passer au péril de leurs casiers judiciaires les cracks de logiciels indispensables à la bonne conduite de tes études. Bref, ils sont là pour toi (moyennant une participation aux tâches rébarbatives sur leurs maquettes).

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Ne pas prendre les critiques des profs trop à coeur, ils ne sont pas là pour vous conforter dans vos acquis mais plutôt pour bousculer votre réflexion et la pousser plus loin. Ce n’est pas vous qu’ils jugent mais votre travail. N’infligez pas aux autres vos larmes de fillette.

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L’amphi de 8h30 du mat’ est déterminant pour votre carrière. C’est celui la même qui fera la différence entre un dessinateur-projeteur (le grouillot de base à l’agence) et le chef de projet. Pensez-y, nous sommes 30 000 architectes en France cette rentrée.

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Les soirées et autres gaudrioles ne sont pas uniquement faites pour se mettre une tôle. La plupart des Starchitectes associés (Herzog & de Meuron pour ne citer qu’eux) se sont rencontrés pendant leurs études. Le carnet d’adresse qui vous permettra d’avoir des commandes et de vous nourrir a déjà commencé à se remplir, ne l’oubliez jamais.

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Au beau milieu de la nuit, un thé et une pomme valent bien mieux que café-coca-redbull. Cela vous réveillera tout autant et vous serez bien moins à cran. Au final, le lendemain matin vous serez fatigués mais plus détendu, ça vous évitera de vous retrouver dans une situation humiliante évoquée précédemment.

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Amusez vous ! On n’est pas là pour se prendre la tête. Bienvenue en archi.

Ikram C.T., Emilie L., Elissa A.S., avec la participation de Tarik A. et Quentin D.


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Papararchi PHILHARMONIE-SCHRÖDINGER

INTERNE

Jean Nouvel, actuellement en procès contre la Philharmonie pour non-respect des plans vient de perdre son procès pour voir son nom retiré du projet. La rédac se demande s’il a gagné ou perdu dans l’affaire.

Le rédac-chef a retrouvé ses papiers français après un an d’exil dans les Carpates. Il a déclaré le recrutement massif de jeunes vierges au sein de la Gazette et refuse de prendre sa clope/son café au soleil (référence à Dracula RPZ).

JUDO

BOULETTE

Teddy Rinner pense s’installer en Bretagne après son 10e titre mondial. “Retourner des mecs, c’est bien. Mais retourner des crêpes, c’est mieux.”

“Un groupe de CRS a confondu par erreur une opération Bellastock avec un camps de migrants.” a déclaré le Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve lors d’une conférence de presse.

FRUITS A COQUES

HUMANITAIRE

Comme vous avez pu le remarquer avec ce numéro, nous secouons des marronniers en qualité de bons journalistes.

Interrogé à ce sujet, un Afghan en transit à Calais répond : “ C’est dommage, ils auraient pu organiser un festival ici. Ça avait l’air sympa.”


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Météo / Septembre St Kanye, saint patron de tous les patrons

Min : le record enregistré sur la planète est de -89,2°C, sachez le.

Max : probablement autour de 31°C, l’été n’est pas officiellement fini.

Il parait que souhaiter une bonne rentrée c’est un peu téléphoné. Sauf qu’on fait pas dans le réseau cellulaire ici. Les nouvelles technologies nous ont toujours fasciné à la Gazette, une fois on s’est demandé si on devait pas demander à installer un télex à la rédac. Le télex c’est le super système du tur-fu des années 80 où les messages étaient envoyés à travers la tuyauterie sous air comprimé dans tout le bâtiment. C’est comme le minitel ou les disquettes, un jour ça reviendra. Mais bordel, vous êtes nés en 1997 les nouvôs, vous savez ce que c’est une disquette ? Vous avez connu internet avec les modems 56K qui faisaient *KCHHHH KOUDING KOUDING* ?

C’était sympa cette époque, Orange s’appelait encore France Télécom et on ne trouvait pas encore que Jacques Chirac avait du Swag. D’ailleurs ce mot n’existait pas et n’avait donc pas eu le temps de devenir obsolète. Pour cette rentrée, le temps devrait être clément sans non plus casser trois pattes à Kanye West. Oui, parce que non seulement c’est le mec le plus captivant du monde et le futur président des États Unis, mais en plus il a bossé avec Rem Koolhaas sur une scénographie un jour. Donc ça nous intéresse. Enfin, pas plus que la météo.

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