Bulletin historique - février 2019

Page 1

La première école communale connue (1842) La loi Guizot du 28 juin 1833 vise à combattre l’analphabétisme en améliorant les conditions d’enseignement public et libre du primaire, gratuit pour les enfants pauvres, enseignement étendu aux filles en 1836. A Lambersart, d’après la matrice cadastrale de 1829, il semble que c’est une maison louée à la commune par un particulier, située à l’actuel 122 rue du Bourg, qui servit d’école auparavant. La construction spécifique d’une maison d’école publique demandée en 1838 par le conseil municipal à la préfecture qui approuve en 1840 (voir affiche de soummission), est réalisée en 1842 par l’entrepreneur Béghin et l’architecte lillois Louis Colbrant. Elle se situe sur la petite place communale (voir page 4 du bulletin n°12). Une partie du rez de chaussée accueille les garçons et une partie de l’étage reçoit les filles (voir plan 1842). La contenance initiale est de 73 élèves pour deux classes. En 1854 on compte 47 inscrits. L’école comprend aussi un logement de fonction pour l’instituteur et des bureaux pour l’instituteur et l’institutrice, deux petites cours avec abris à charbon et des cabinets de toilette. Nous avons écrit son devenir dans le bulletin n°7 (photo et dossier sur la 4e mairie). Elle semble peu appréciée par le curé du village, monsieur Bécuwe (1828-1847) qui écrivait : « la commune de Lambersart avait une jolie place ornée d'un bouquet de tilleuls. Le conseil municipal a fait la bévue d'y construire une maison d'école sans cour ni jardin, incommode au dernier point... C'est une vraie lanterne et comme elle est de plain-pied avec le sol de la place, lorsqu'en hiver la neige et les eaux couvrent cette place, cette école représente admirablement l'arche de Noé voguant sur les eaux du Déluge ».

Comité historique de Lambersart Pour nous contacter : Bulletin-historique@ville-lambersart.fr Mairie de Lambersart 19, avenue Clemenceau 59130 Lambersart www.lambersart.fr/bulletin-historique Parution chaque mois sauf juillet-août. Versions numériques disponibles dans la rubrique « retour sur notre histoire ». Responsable de publication : Claude REYNAERT Secrétaire de publication : Éric PARIZE

Impression ville de Lambersart

BULLETIN HISTORIQUE DE LAMBERSART N°13 - février 2019 Nécrologie religieuse

Un article de la semaine religieuse du diocèse de Cambrai du 19 février 1929 fait état du décès de Mgr Carlier. L’archevêque le recommande aux prières du clergé et des fidèles de son diocèse. Jean-Baptiste Carlier est né à Salesches dans l’Avesnois le 5 avril 1839. Il devient vicaire en 1866 de la nouvelle chapelle St-Sépulcre de Canteleu, puis curé de Canteleu quand l’édifice devient église paroissiale en 1870. En dépit de l’appui de l’abbé Desplanque, curé de St-Calixte de Lambersart de 1846 à 1874 à l’origine de la demande de création de St-Sépulcre, le curé Carlier eut du mal à imposer la nouvelle paroisse et part de Lambersart en même temps que Desplanque. La rivalité entre les vieux bourgs de Lomme et Lambersart (avec son nouveau curé JB Cazier 1876-1904) et l’agglomération industrielle et ouvrière de Canteleu étalée sur les trois communes de Lille, Lomme et Lambersart est vive. Jusqu’à la tentative d’érection en 1876 d’une commune libre de Canteleu unifiée ! Elle échoue finalement par refus de la préfecture, en compensation celle-ci demande des concessions pour ses habitants. Elles sont faites pour apaiser les tensions : on crée des écoles, un cimetière (1884), une poste, une caserne de pompiers, on agrandit l’église St-Sépulcre en 1880 (clocher en 1890) et on améliore la voirie. Le filateur de lin de Canteleu Lomme, Eugène Verstraete, grand-père de Louis Nicolle et annoncé comme le 1er maire de la nouvelle commune qui ne voit finalement pas le jour, a financé largement la construction et l’agrandissement de l’église St-Sépulcre et les logements que fréquentent d’abord ses employés des deux côtés de l’avenue de Dunkerque. Le curé de St Sépulcre succédant à Carlier en 1874 sera le bien connu Jules Capelle, curé de Canteleu jusqu’à son décès en exercice en 1907…

SOMMAIRE :

p.1 : nécrologie religieuse - dossier central : une famille noble lambersartoise, De Sarrazin p.4 : la première école communale connue (1842)


DOSSIER

Une famille noble de Lambersart,

De SARRAZIN (XVI-XVIIe) Les De Sarrazin sont originaires d'Arras, à ne pas confondre avec celle native d’Auvergne. Antoine, seigneur d'Alennes-les-Marais, époux de Marie de Poix, est hôte de la taverne du chaudron. Leur fils aîné Jean né en 1539, est le plus connu : il fait une belle carrière ecclésiastique, devient abbé de Saint-Vaast d'Arras, représentant du Roi d'Espagne en Artois puis archevêque-duc de Cambrai en 1596. Il meurt en 1598 à Bruxelles, capitale des Pays-Bas Espagnols. Son gisant en marbre blanc (voir photo) est visible dans la cathédrale St-Vaast d’Arras. Jean Sarrazin

est l'instigateur en 1579 de la Paix d'Arras pour l'Union des Provinces Catholiques du sud (Unie van Atrecht), ce qui provoque l'Union d'Utrecht des Provinces Protestantes du nord (Unie van Utrecht). Chrétien ou Christian Sarrazin, chaussetier à Lille puis engagé dans l’armée de la sainte ligue en Morée contre les Ottomans (guerre connue par la bataille de Lépante), seconde son frère Jean grand prieur de Saint-Vaast, pour amener la réconciliation de l'Artois avec Philippe II d'Espagne en 1578. Il accompagne l'ambassade de son frère à Madrid en 1582, où il est fait chevalier par le Roi pour services rendus. Il est nommé bailli de Lille en 1593 et 1606. Quand la seigneurie collective de Lambersart et Mouvaux est mise en vente en trois seigneuries distinctes en 1580

après la faillite de son seigneur Jean de Ruffaut II, Jean Sarrazin achète la seigneurie à clocher de Lambersart avec son bourg (sans la seigneurie du sud dénommée la Motte Raineval) pour 40000 florins, la fille Ruffaut conservant la seigneurie de Mouvaux. Jean Sarrazin donne la seigneurie à son frère en 1586, qui assoit ainsi sa nouvelle noblesse et prend le blason familial « d’hermines à la bande losangé d’azur » (voir dessin), couleurs qui resteront longtemps dans l’église après les funérailles somptueuses du chevalier Chrétien de Sarrazin en 1617, mort

de la peste. La carte de Martin Doué de la châtellenie de Lille en 1625 montre d’ailleurs ces armoiries pour représenter le village de Lambersart. Le portefeuille historique de Muylaert de 1750 signale encore le blason des de Sarrazin comme blason du village de Lambersart ! La famille Sarrazin donne de l'argent pour l'agrandissement de l'église en 1602-1603, devenant ainsi une hallekerke visible dans l’album de Croÿ de 1605 (voir dessin), soit trois nefs égales représentant la Sainte Trinité. Une maison seigneuriale près de l'église est construite par le fils de Chrétien, Jean II dit « l'Escuyer », installé au Bourg, à qui nous devons aussi la cloche Jésus de 1605 (voir photo page 1). Il décède en 1619, sa femme en 1627 et nous conservons leur monument funéraire dans l’église actuelle (voir photo).

La maison seigneuriale est encore mentionnée en 1669, on l'aperçoit sur un terrier de 1733 comme dénommé château de Verghelle, le seigneur du bourg d'alors. C’est le maire Félix Clouët des Pesruches qui achètera cette solide bâtisse vers 1880 et en extraira une belle cheminée et une pierre clef de voûte frappé du blason de Sarrazin en mauvais état, qu’il confiera à son successeur Auguste Bonte. Elles seront installées dans l’hôtel de ville de l’avenue de l’Hippodrome puis au château Bonte. Cette pierre a d’ailleurs semé le trouble dans la reconnaissance du blason de Sarrazin et a participé à la confusion avec l’ancien blason de La Madeleine (commission historique du Nord, 1862), finalement choisi officiellement comme blason municipal en 1926 ! Elle a disparu ainsi que la grande cheminée après la vente du château Bonte en 1946 …

L’année 1624 voit la donation à Lambersart d'une relique de Saint Calixte (le pape Calixte 1er, fondateur des catacombes de Rome, 1er cimetière chrétien) par l’abbaye de Cysoing fondée au IXe siècle par Evrard, comte de la marche du Frioul et époux de Gisèle, fille de l’Empereur Louis Le Pieux. Les Hurlus protestants avaient détruit la précédente relique en 1582. C'est l'objet d'une grande procession religieuse. La date était sur la façade de l’église rasée en 1893, ainsi que l'écusson des de Sarrazin encastré dans le galbe au-dessus de la porte d'entrée. La nouvelle relique disparaîtra quant à elle en 1789. Nous avons récupéré ensuite de Reims la moitié de la mâchoire supérieure (le palais), l’autre partie étant à Cysoing. Elle est dans un reliquaire à droite du chœur. Le fils de Jean II est Chrétien II, écuyer seigneur de Lambersart, fait chevalier en 1628. Marié en 1637 à Ernestine de Cardevacq, il meurt en 1659. Son fils Jean III né en 1639 est écuyer seigneur de Lambersart. Il vend en 1677 la seigneurie à clocher de Lambersart à l’officier François de Semittre, dont la fille épousera le trésorier Charles de Verghelle… Le souvenir des de Sarrazin reste vivace dans l’église Saint Calixte avec leurs stèle et cloche.


DOSSIER

Une famille noble de Lambersart,

De SARRAZIN (XVI-XVIIe) Les De Sarrazin sont originaires d'Arras, à ne pas confondre avec celle native d’Auvergne. Antoine, seigneur d'Alennes-les-Marais, époux de Marie de Poix, est hôte de la taverne du chaudron. Leur fils aîné Jean né en 1539, est le plus connu : il fait une belle carrière ecclésiastique, devient abbé de Saint-Vaast d'Arras, représentant du Roi d'Espagne en Artois puis archevêque-duc de Cambrai en 1596. Il meurt en 1598 à Bruxelles, capitale des Pays-Bas Espagnols. Son gisant en marbre blanc (voir photo) est visible dans la cathédrale St-Vaast d’Arras. Jean Sarrazin

est l'instigateur en 1579 de la Paix d'Arras pour l'Union des Provinces Catholiques du sud (Unie van Atrecht), ce qui provoque l'Union d'Utrecht des Provinces Protestantes du nord (Unie van Utrecht). Chrétien ou Christian Sarrazin, chaussetier à Lille puis engagé dans l’armée de la sainte ligue en Morée contre les Ottomans (guerre connue par la bataille de Lépante), seconde son frère Jean grand prieur de Saint-Vaast, pour amener la réconciliation de l'Artois avec Philippe II d'Espagne en 1578. Il accompagne l'ambassade de son frère à Madrid en 1582, où il est fait chevalier par le Roi pour services rendus. Il est nommé bailli de Lille en 1593 et 1606. Quand la seigneurie collective de Lambersart et Mouvaux est mise en vente en trois seigneuries distinctes en 1580

après la faillite de son seigneur Jean de Ruffaut II, Jean Sarrazin achète la seigneurie à clocher de Lambersart avec son bourg (sans la seigneurie du sud dénommée la Motte Raineval) pour 40000 florins, la fille Ruffaut conservant la seigneurie de Mouvaux. Jean Sarrazin donne la seigneurie à son frère en 1586, qui assoit ainsi sa nouvelle noblesse et prend le blason familial « d’hermines à la bande losangé d’azur » (voir dessin), couleurs qui resteront longtemps dans l’église après les funérailles somptueuses du chevalier Chrétien de Sarrazin en 1617, mort

de la peste. La carte de Martin Doué de la châtellenie de Lille en 1625 montre d’ailleurs ces armoiries pour représenter le village de Lambersart. Le portefeuille historique de Muylaert de 1750 signale encore le blason des de Sarrazin comme blason du village de Lambersart ! La famille Sarrazin donne de l'argent pour l'agrandissement de l'église en 1602-1603, devenant ainsi une hallekerke visible dans l’album de Croÿ de 1605 (voir dessin), soit trois nefs égales représentant la Sainte Trinité. Une maison seigneuriale près de l'église est construite par le fils de Chrétien, Jean II dit « l'Escuyer », installé au Bourg, à qui nous devons aussi la cloche Jésus de 1605 (voir photo page 1). Il décède en 1619, sa femme en 1627 et nous conservons leur monument funéraire dans l’église actuelle (voir photo).

La maison seigneuriale est encore mentionnée en 1669, on l'aperçoit sur un terrier de 1733 comme dénommé château de Verghelle, le seigneur du bourg d'alors. C’est le maire Félix Clouët des Pesruches qui achètera cette solide bâtisse vers 1880 et en extraira une belle cheminée et une pierre clef de voûte frappé du blason de Sarrazin en mauvais état, qu’il confiera à son successeur Auguste Bonte. Elles seront installées dans l’hôtel de ville de l’avenue de l’Hippodrome puis au château Bonte. Cette pierre a d’ailleurs semé le trouble dans la reconnaissance du blason de Sarrazin et a participé à la confusion avec l’ancien blason de La Madeleine (commission historique du Nord, 1862), finalement choisi officiellement comme blason municipal en 1926 ! Elle a disparu ainsi que la grande cheminée après la vente du château Bonte en 1946 …

L’année 1624 voit la donation à Lambersart d'une relique de Saint Calixte (le pape Calixte 1er, fondateur des catacombes de Rome, 1er cimetière chrétien) par l’abbaye de Cysoing fondée au IXe siècle par Evrard, comte de la marche du Frioul et époux de Gisèle, fille de l’Empereur Louis Le Pieux. Les Hurlus protestants avaient détruit la précédente relique en 1582. C'est l'objet d'une grande procession religieuse. La date était sur la façade de l’église rasée en 1893, ainsi que l'écusson des de Sarrazin encastré dans le galbe au-dessus de la porte d'entrée. La nouvelle relique disparaîtra quant à elle en 1789. Nous avons récupéré ensuite de Reims la moitié de la mâchoire supérieure (le palais), l’autre partie étant à Cysoing. Elle est dans un reliquaire à droite du chœur. Le fils de Jean II est Chrétien II, écuyer seigneur de Lambersart, fait chevalier en 1628. Marié en 1637 à Ernestine de Cardevacq, il meurt en 1659. Son fils Jean III né en 1639 est écuyer seigneur de Lambersart. Il vend en 1677 la seigneurie à clocher de Lambersart à l’officier François de Semittre, dont la fille épousera le trésorier Charles de Verghelle… Le souvenir des de Sarrazin reste vivace dans l’église Saint Calixte avec leurs stèle et cloche.


La première école communale connue (1842) La loi Guizot du 28 juin 1833 vise à combattre l’analphabétisme en améliorant les conditions d’enseignement public et libre du primaire, gratuit pour les enfants pauvres, enseignement étendu aux filles en 1836. A Lambersart, d’après la matrice cadastrale de 1829, il semble que c’est une maison louée à la commune par un particulier, située à l’actuel 122 rue du Bourg, qui servit d’école auparavant. La construction spécifique d’une maison d’école publique demandée en 1838 par le conseil municipal à la préfecture qui approuve en 1840 (voir affiche de soummission), est réalisée en 1842 par l’entrepreneur Béghin et l’architecte lillois Louis Colbrant. Elle se situe sur la petite place communale (voir page 4 du bulletin n°12). Une partie du rez de chaussée accueille les garçons et une partie de l’étage reçoit les filles (voir plan 1842). La contenance initiale est de 73 élèves pour deux classes. En 1854 on compte 47 inscrits. L’école comprend aussi un logement de fonction pour l’instituteur et des bureaux pour l’instituteur et l’institutrice, deux petites cours avec abris à charbon et des cabinets de toilette. Nous avons écrit son devenir dans le bulletin n°7 (photo et dossier sur la 4e mairie). Elle semble peu appréciée par le curé du village, monsieur Bécuwe (1828-1847) qui écrivait : « la commune de Lambersart avait une jolie place ornée d'un bouquet de tilleuls. Le conseil municipal a fait la bévue d'y construire une maison d'école sans cour ni jardin, incommode au dernier point... C'est une vraie lanterne et comme elle est de plain-pied avec le sol de la place, lorsqu'en hiver la neige et les eaux couvrent cette place, cette école représente admirablement l'arche de Noé voguant sur les eaux du Déluge ».

Comité historique de Lambersart Pour nous contacter : Bulletin-historique@ville-lambersart.fr Mairie de Lambersart 19, avenue Clemenceau 59130 Lambersart www.lambersart.fr/bulletin-historique Parution chaque mois sauf juillet-août. Versions numériques disponibles dans la rubrique « retour sur notre histoire ». Responsable de publication : Claude REYNAERT Secrétaire de publication : Éric PARIZE

Impression ville de Lambersart

BULLETIN HISTORIQUE DE LAMBERSART N°13 - février 2019 Nécrologie religieuse

Un article de la semaine religieuse du diocèse de Cambrai du 19 février 1929 fait état du décès de Mgr Carlier. L’archevêque le recommande aux prières du clergé et des fidèles de son diocèse. Jean-Baptiste Carlier est né à Salesches dans l’Avesnois le 5 avril 1839. Il devient vicaire en 1866 de la nouvelle chapelle St-Sépulcre de Canteleu, puis curé de Canteleu quand l’édifice devient église paroissiale en 1870. En dépit de l’appui de l’abbé Desplanque, curé de St-Calixte de Lambersart de 1846 à 1874 à l’origine de la demande de création de St-Sépulcre, le curé Carlier eut du mal à imposer la nouvelle paroisse et part de Lambersart en même temps que Desplanque. La rivalité entre les vieux bourgs de Lomme et Lambersart (avec son nouveau curé JB Cazier 1876-1904) et l’agglomération industrielle et ouvrière de Canteleu étalée sur les trois communes de Lille, Lomme et Lambersart est vive. Jusqu’à la tentative d’érection en 1876 d’une commune libre de Canteleu unifiée ! Elle échoue finalement par refus de la préfecture, en compensation celle-ci demande des concessions pour ses habitants. Elles sont faites pour apaiser les tensions : on crée des écoles, un cimetière (1884), une poste, une caserne de pompiers, on agrandit l’église St-Sépulcre en 1880 (clocher en 1890) et on améliore la voirie. Le filateur de lin de Canteleu Lomme, Eugène Verstraete, grand-père de Louis Nicolle et annoncé comme le 1er maire de la nouvelle commune qui ne voit finalement pas le jour, a financé largement la construction et l’agrandissement de l’église St-Sépulcre et les logements que fréquentent d’abord ses employés des deux côtés de l’avenue de Dunkerque. Le curé de St Sépulcre succédant à Carlier en 1874 sera le bien connu Jules Capelle, curé de Canteleu jusqu’à son décès en exercice en 1907…

SOMMAIRE :

p.1 : nécrologie religieuse - dossier central : une famille noble lambersartoise, De Sarrazin p.4 : la première école communale connue (1842)


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