PB- PP B-01134 BELGIE(N) - BELGIQUE
« Ne nous laissons pas voler l’Espérance ! » Face aux nombreuses tentations qui nous guettent - le manque d’enthousiasme, le pessimisme stérile, la jalousie,… - le Pape François, dans La joie de l’Évangile, nous invite à ne pas nous laisser voler l’essentiel : l‘enthousiasme missionnaire, la joie de l’évangélisation, la communauté, l’idéal de l’amour fraternel, la force missionnaire et… l’espérance ! L’avertissement est ferme parce que la menace est subtile en même temps qu’omniprésente. Le Pape François n’est pas naïf : il connaît « les maux de notre monde et ceux de l’Église » ; il sait la désertification spirituelle et notre environnement aride. Ceci ne l’empêche pas d’affirmer avec force : « La joie de l’Évangile est celle que rien ni personne ne pourra jamais enlever » (n° 84). C’est précisément dans le désert qu’il nous faut être des « personnesamphores » capables d’abreuver nos contemporains. L’eau pouvant être, comme nous le lirons dans cette Lettre, la médiation artistique, la vie conjugale ou la démarche éducative. Lorsque l’amphore devient une lourde croix, nous pouvons nous tenir dans l’espérance avec Marie, parce que « c’est justement sur la Croix que le Seigneur, transpercé, s’est donné à nous comme source d’eau vive. Ne nous laissons pas voler l’espérance ! » (n° 86). Etienne Vandeputte s.J. Directeur
Passeurs d’Espérance... Au fond de la Cathédrale de Liège, se trouve « le Christ gisant » (Jean Del Cour, 1696, sculpteur renommé de la Cité ardente). Avec les élèves de deuxième année, nous lui rendons visite. Je raconte le travail du sculpteur, la maîtrise, la délicatesse du coup de burin, mais surtout, la Foi qui seule permet de transformer un bloc de marbre froid, en hymne à la Vie. Les cheveux, les linges s’animent. Le bras repose sur le suaire avec une légèreté telle qu’il n’écrase pas les plis de l’étoffe, et le mouvement des doigts n’a plus la rigidité de la mort. Cette veine sur le bras évoque avec puissance la circulation du sang. Enfin, un souffle gonfle le torse du gisant. Du marbre dur, de ce cadavre torturé, l’artiste a extrait avec passion cet instant secret, ce passage mystérieux, cette Présence qui le rejoint soudain. Il nous rend compte de l’Espérance qui jaillit en lui. Autour de moi, silence. Vingt-cinq paires d’yeux attentifs justifient l’Espérance qui brille en eux, et me donnent de rendre témoignage à mon tour : « Je crois, j’éprouve la certitude que le Christ a vaincu la mort, le désespoir, la barbarie, pour nous dire que nous sommes aimés, que nous sommes créés pour aimer, envers et contre tout. Il dit à chacun et chacune d’entre nous : tu es unique, et je t’aime. Il nous confie les uns aux autres pour porter cette Espérance à tous ceux que nous rencontrons ». En partant, certains jeunes posent aussi la main sur le marbre... On compare souvent l’Espérance à une petite flamme courageuse qui éclaire nos obscurités. Elle est aussi puissante lame de fond qui nous porte irrésistiblement les uns vers les autres à travers le temps, l’espace et les différences. Françoise Lempereur
F. Lempereur et B. Peeters s.J. animeront la retraite « Quand le regard de Dieu croise le nôtre… Retraite et expression artistique » en août prochain à La Pairelle (NDLR)
Ed. resp. : Michel DANCKAERT • Rue Marcel Lecomte 25 - B-5100 Wépion - Namur • Bureau de dépôt : 5000 Namur 1 • N° d’agréation P 201 136
Je ferme les yeux, me vient le souvenir, pinceau à la main, de badigeonner quelques grandes feuilles blanches, éclaboussant çà et là, me laissant porter sans contrainte par l’imagination de l’enfant… Quel doux plaisir…! Ne serait-il réservé qu’aux plus jeunes ? Ressentir la joie des couleurs que l’on prépare, que l’on teste et assemble : harmonie, camaïeux, contraste, mise en valeur d’un ton par un autre. Infinies sont les nuances, infinis les jeux entre elles. Permettre à son esprit de vagabonder : c’est la terra cotta d’Italie, c’est l’indigo des mers du sud. Jouer avec l’eau, se laisser surprendre par toutes ses frasques puis l’apprivoiser petit à petit. Faire apparaître des lieux où l’on s’est déjà senti en paix, serein, des paysages qui nous parlent. Créer du beau et s’émerveiller… Ressentir la satisfaction d’apprendre, s’offrir une expérience nouvelle mais également prendre distance, se déconnecter du quotidien, car l’aquarelle demande présence et attention à ce que l’on fait et nous emporte ainsi dans son savoureux voyage. Quel chemin riche on peut parcourir avec une feuille, quelques pinceaux et un peu d’aquarelle… tellement sont nombreux les expériences, les sensations, les sentiments qui nous animent alors. De manière individuelle, en groupe, guidé ou non, l’art est source de bien-être, la peinture est bienfaisante. L’aquarelle est chemin d’espérance ! Sophie Gilon, aquarelliste Te trouver, Seigneur, I. Blanchard, Nos peurs en toutes choses. En ce temps de vacances, donne moi, Seigneur, l’envie d’aller au devant des autres.
Pour nous, l’espérance est la certitude qu’il existe un chemin d’amour et de bonté, une promesse de Vie, au-delà des difficultés rencontrées. Elle nous permet de porter un regard positif sur ceux qui nous entourent, parents et amis, voisins ou étrangers, et sur la vie. Cette espérance, nous devons en Stany Simon s.J. découvrir la source chaque jour et aller à sa rencontre. Elle peut se trouver dans les actes les plus infimes de la vie. Quant à notre foi, nous sommes intimement convaincus qu’elle est liée à notre espérance, elles se nourrissent l’une l’autre. Nous avons fondé notre couple avec le souhait de devenir ensemble sources d’Espérance. L’amour de mon conjoint me transforme et me fait naître au meilleur de moi-même, il remplit mon réservoir d’amour et me rend davantage heureux et joyeux. Il me permet de m’épanouir pleinement afin de transmettre ce surplus d’amour à ceux que je rencontre tout au long de mes journées. A deux, nous avons également plus de confiance pour dire oui à certains engagements (via l’une ou l’autre ASBL, au sein de la crèche de nos enfants, de notre paroisse …), aux travers desquels nous avons l’audace de croire que l’amour et la foi qui animent notre couple peuvent être sources d’Espérance et don de vie. Au quotidien, nous essayons de vivre cette espérance tant dans la vie privée que professionnelle par un sourire partagé, un moment échangé, un service rendu,… Dans nos relations, nous cherchons à favoriser une qualité d’écoute avec les personnes que nous rencontrons. Nous essayons de garder un regard positif sur l’autre. Sans le souffle de l’Esprit, nous sommes parfois bien démunis. La foi liée à l’espérance nous permet de voir les choses sous un angle positif, surtout lors de moments plus difficiles. C’est alors que nous puisons notre force dans le Seigneur. Nos temps de prière, les retraites, les moments passés en Equipes Notre-Dame sont autant d’éléments indispensables dans notre vie. Ils nous permettent de nous arrêter et de nous recentrer sur Dieu, source de tout Amour. Notre espérance à deux, nous la vivons également au travers de nos enfants ! Sources de joie, nous essayons de leur offrir un lieu de vie apaisant et épanouissant, une oreille attentive, ainsi que de leur donner des valeurs d’ouverture à Dieu et aux autres. Nous souhaitons qu’à leur tour, ils deviennent sources d’espérance au-delà des discours parfois pessimistes et égoïstes qui peuvent apporter morosité et repli sur soi. Les moments difficiles font partie de la vie. Certains jours, ils nous découragent, ils nous rendent défaitistes… C’est alors que l’espérance apportée par mon conjoint peut me permettre d’avancer sans me décourager et par là, voir les difficultés comme autant de possibilités de croissance ! Catherine et Julien Declairfayt
Aller aux sources de l’espérance, pour devenir sourcier d’espérance L’équipe de coordination des écoles jésuites en Belgique francophone a reçu pour mission de transmettre et de faire vivre, en fidélité créatrice, l’héritage pédagogique ignatien. Cela ne se fait pas en un simple clic sur un ordinateur, mais à travers un cheminement partagé dont nous allons parcourir quelques étapes. Chacune d’elle, à sa manière, est fenêtre d’espérance. Etape 0 : aller aux sources. Au coeur de la démarche éducative, et comme un préalable ou une condition de possibilité, il y a l’accueil du jeune, l’a priori positif, l’espérance dans sa croissance. Cet accueil initial, et sans cesse à reconduire, ne repose ni sur ses qualités, ni sur sa manière de se présenter ou de répondre à l’attente, ni sur un bon feeling. Il s’enracine bien plus profondément dans le regard créateur et sauveur de Dieu lui-même : « Et Dieu vit que cela était bon, très bon même … et Dieu bénit … soyez féconds … remplissez la terre et dominez-la » ; ou encore « La volonté de Celui qui m’a envoyé, dit Jésus, c’est que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donnés ». « Chaque matin, en accueillant mes élèves, au moment d’entrer en classe, je posais mon regard sur chacun : je repérais alors celui qui était dans la joie, celui qui était souffrant ou fatigué, celui qui avait besoin d’un mot d’encouragement », me disait un enseignant. Quelle bénédiction que ce regard, cette parole, d’un jour mais aussi de tous les jours ! Elle permet d’affronter ce rude travail quotidien de l’entrée « en humanité », qui suppose de sortir de l’immédiateté des pulsions, des envies, des sondages d’opinion, pour entrer patiemment dans la complexité des choses en mobilisant la mémoire, l’intelligence et la volonté et accéder ainsi à la liberté. En langage ignatien, on parlera de la « cura personalis » : attention à chaque personne et à toute la personne. Pourquoi l’appeler étape zéro ? Parce que le zéro qui vient se poser après un chiffre en décuple les effets. Ainsi en est-il de l’attention bienveillante et exigeante à la personne de l’élève. Etape 1.0 : la mise en contexte. Du regard d’espérance de Dieu sur chacun et sur tout le créé, découle le
regard d’espérance de l’enseignant sur tout le créé, sur les mondes de la nature et des cultures. C’est ce regard qui va donner l’audace de le découvrir, de l’explorer sous toutes ses facettes et de progressivement en prendre une maîtrise responsable. La mise en contexte visera à mobiliser l’élève et le groupe, avec son histoire, son état d’esprit actuel, l’environnement socio-culturel, mais aussi toutes les connaissances et compétences déjà acquises. C’est sur ce terreau-là, avec ses potentialités, mais aussi ses limites et même ses handicaps, que le professeur est amené à proposer une mise en travail et à lui donner du sens. Il s’agit ici de mettre entre les mains des jeunes à la fois l’argile (religion, géographie, math, français, …) et les outils pour la travailler, sachant que l’argile essentielle de leur travail sera eux-mêmes dans leur capacité d’intériorisation et de relation aux autres et au monde.
questionnant sa manière de faire à la lumière des recherches nouvelles en pédagogie comme en neurosciences. Dans les Exercices Spirituels, Ignace insiste sur le rôle central de cette étape : découvrir par soi-même, dit-il, voilà ce qui donne du goût.
La tête fleurie. André françois
Etape 3.0 : la relecture. L’exercice engage le présent de l’élève en son intelligence cérébrale autant que manuelle et affective. Cependant, il ne se suffit pas à lui-même. Le temps de la relecture va permettre d’intégrer l’exercice et de le faire passer du statut éphémère de l’événement au statut durable de l’expérience. Cette relecture est d’abord un moment d’arrêt : sabbat. Elle va permettre une mise en perspective qui reconnecte avec le sens. Elle favorisera aussi la prise de conscience de l’augmentation ou de la déperdition des énergies vitales, pour chacun comme pour le groupe. Etape 4.0 : sourcier d’espérance
Etape 2.0 : l’exercice. Prendre l’argile en mains. Pas si facile quand, au premier contact, ce bloc apparaît froid et dur. Oser se salir les mains, s’engager ; oser le tâtonnement, l’essai et l’erreur ; oser le regard de l’autre. L’espérance ici mise en oeuvre est faite de foi en la capacité d’avancer : confiance de l’adulte qui nourrit la confiance en soi de l’enfant ou du jeune, surtout dans le dépassement de l’échec ; confiance de l’enfant ou du jeune, en soi d’abord, et en l’adulte qui stimule, soutient, guide et corrige. Elle demande à l’adulte de prendre conscience des multiples formes d’intelligences qui imposent une conduite toute en doigté : quand laisser le temps de la maturation, quand imposer le drill qui permet d’automatiser une démarche pour passer à la suivante, quand secouer, quand consoler, … Pendant que le jeune est en travail, l’adulte l’est aussi,
Passé le sabbat de la relecture et de la reconnaissance, il reste l’engagement dans le futur. Conscient de ce qui ouvre des perspectives, l’élève en dialogue avec l’enseignant/éducateur, va devoir faire des choix. Où et comment va-t-il donner visage à l’espérance ? Avec la finesse du sourcier qui cherche l’eau souterraine, il va se mettre en quête du pas possible aujourd’hui : magis. Loin du rêve illusoire ou de la démarche culpabilisante, respectueux de ce qu’il est à ce moment de son parcours, il va entrer ainsi dans la mission confiée par le Créateur : « Soyez féconds … remplissez la terre et soumettez-la ». Mission de responsabilité, fondée sur le respect de soi, des autres et de toutes choses ; mission de patience et d’espérance. Bernard Peeters s.J., attaché à la Coordination des écoles jésuites.
Tout le programme sur www.lapairelle.be Nʼhésitez pas à en parler autour de vous et à demander des renseignements
Renseignements et inscriptions : Tél: 081 46 81 11
Mail: centre.spirituel@lapairelle.be
F rm Fo rmat atio at ion on ANIIMATIO IO ON D’UN UN CH HE EMI EM M N DE PRIÈRE RE CON O TEMPL PLA PL ATIV T E Avec A e P. D. de Crom rom mbruggh bru rugg g e sj, J. J ett M. D mar Des arets etts, C. Gillett jui uille llett : Ma Ma.. 7 (18h1 (1 18h 8h1 8 h 5)) au L. 13 1 (17 ( 7h00 h00)) h0
Co oup ple les s et et fam a il i le es DIM MANC AN HES H DE ES FAMI AM ML LLE L S 10h00 00 à 17h0 00 17 7h h00 h0 Avec c P. C. Rend enders ers er rs s sj 28 ju uin n : Prom romena e aded déc découv dé o vert e e au dése er é rt r d la Ma de Mar arlag a agne ag ne e Avec c S. S. de de Liie ede deker d erke er ke e ett N. N Sch Sc u Sc ull 11 octo octo tobre br : Met br e tre et re e en s sc cène ne un une ne hiis ist s oirre bibliq que sou sous s le mode mode ode du u th théât éâtre éât re chi ch noi n s d’imag mag ges es NOU O S MARI A ER AR R ? OUI, OUI, I,, N NO ON ? PO POU UR R QUO Q I? Avec B A B.. et B. B va van n Dert r on, n P. C. C Renders ers sjj oc ctob bre r :d du V. 16 ((20h 20h 2 0 00) 0 au D. D 18 8 (1 ( 7h0 00) 0 WE EN N FAMI AM LLE E « JON J AS S» ven ndre edi 20h 0 00 0h 0 au u di dimanc dim anche nch he e 14h 4 00 4h 0 (possibil bilité bil bi ilit ité té éd d’’ar ’ar arrrive ve v er s same a di d pou ur 9 hrrs) Avec G.. Bo Boyer ye er et P. Ph. h. M Mar arbai arbai ba aix x sj octob bre e : V. 23 au D. D 25
Jeune es es SOUFFL S LER… E PRIE IE ER… R M RIR MÛ RU UN NC CH H HOIX OIX… P r les Pou s 18 1 - 35 ans. n D Du uré ré au ch rée choix oix x Avec P P. X. Léonard ard d sj, sjj, Sr F. Magu ag ire ag re rs sa et e u équip une pe de La a Pair Pair i ellle Entre Me e. 24 4 jjuin ui (1 18h1 15) ett V V. 3 ju j ille et ( 00) (9h « VENEZ À L’ÉC CART A AR D NS DA S UN U LIEU DÉSERT E REPOSE ET OS OSE SEZ-V VO OUS US S UN U PEU PEU » (Mc PE M 6,31) 31) Avec Sr F. Magu uire re e rs sa, a P. X. Léon é ard sj et une équip ipe de la P Pairrell e e août ent entre r L. 24 4 (18 8h00 h00)) et D. D 30 (9h00) 0
R trrai Re aite aite t s « SANS CE CESSE TE ES YEU YEUX YE X SONT NT PO P SÉS SÉ ÉS SU ÉS UR MOI OI ET JE OI J VI VIS DE TON REG RE EGA ARD RD » Avec ve P. Ch. Ren ve nders de der d e s sj, Sr A. Tho olenc ence rsa sa,, Sr MC. M Pe P tia au ej ju uin n : Me. e 2 24 4 (18 8h15)) au Ve. e 3 juil ju let et ((9 et 9h00 h0 ) « EPH P AT ATA TA ! OUV OU REE TO EOII ! » Av vec e l’Eco Ec le e de d Pri Pr ère re Co re Conte nte nt ttempl plati lati ttive: e: P. D. d de e Cro rombru uggh gghe he sj, j, J. J et M.. Des De ma De mar m a ets et , C Gil C. G let le et. juill illlet et : Ma. a 7 (18h (18h15) 18h 8h h15) 15 au 15 au V. 10 (17h 1 00) 00 INI IN N TIIATIO ON AUX AUX EX E . SPIR PIR.. DE S ST T IG GNA ACE C Éco coute uter la Paro ute arole lle e à la suit uite ui e du Chri hristt Ave vec P. C. R Rend enders en end er sjj et er e un ne équi uip de uipe d La La Pa Pai airel rel re e le e j ille ju jui lle let : L let L.. 13 3 (1 (18h1 8h15)) au S. S 18 (17 (1 1 h00) j lle ju jui et : V. 31 (18h 18 8h1 15) 1 5 5) au au Me Me. 5 ao oûtt (17 ( h00 h ) h0 MA CH MAR CHE H R ET PRIE ER
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Ave v c P. F. Ja Jani nin sj ni sj et Sr A. Grani niierr rsa jui u n : V. 19 9 - D. 21 1
Du Ven end ed endr edi (1 18h 8h15)) au Dim 8h15 man nch che (17h00)
VIV IVRE RE D RE D’U ’UNE E LET ET TTRE TR R D D’’AMOUR AMO OUR: cel c le de e Die ieu ie u qui q a tran r sfo sformé rm mé la a vie ed de e saint Jean ean an n Avec ec P. L. Capa p rt pa r sjj et e B. B van a Derto an t n juill ju illet et : L. 20 (18h 8h15) 8h 15 au Me M . 29 29 (9h00)) DÉC ÉCOUV ÉC O VRIR OUV R LA PAR ARO R LE E PA AR RL LE E THÉÂTR ÂTR ÂT TRE Av vec e Sr S F.. Magu aguire i rsa rsa rs jui u lle l t : V. 31 1 (18h 1 15) 1 au 15 u Me e. 5 a ao oût (17 7h00 h00)
DÉ ÉCO COUV UV VRIR RIIR LA PRI R R ÈR RI È E SI SILE LENC LE EN NC CIE I US USE E À LA MA N MA NIIÈR ÈRE E DU DU ZEN Ave vec c Sr S C. Dain i e, cla ariiss se, membre e du Diia D allog log ogue u Interreligi gieu gi ieu e x Mo M nastique septe epte ep tembre re e : V. 18 8 - D. 20 LE VERBE LE E, S’ S ES E TF FAIIT CH C AI A R, R LA P PAROL LE S EST S’ T DÉ D LIÉE LIÉE LI É , L’É ÉCR CRITUR U E S’ES ST JO J UÉ ÉE .... Atel e ie er d d’’écriture. ’ Ave v c N. N Sch chul hull et P. Ch C . Re end der ers s sj s se ep pte t mb mbre rre e:V V. 18 - D. 20
VER V ERS LA LA S SO OURCE E VIV IVE V
FAC ACE À LA MON O DI D AL LIS I A ATI T ON O DÉRÉG ÉRÉG ÉR É ULÉE ÉE E: DE L’A ’ NG GO OIISS SE À L’E ESPÉRAN SP P AN NCE
Avec A e P. G.. Vanh nh n hoom miss se en n sj, sj, M. M Da Danckaer e t, Srr MC. MC Pe etia i u ej août û S. 8 (9h3 (9h3 h30) h3 0 au 0) a V V. 14 (9h00)
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« OS OSER ER LA A CONFIIAN NCE C , PORT RT TER R L’E ’ SP S ÉR ÉRANCE AN AN !» Halt ltte sp s irrittuelle po pour profe fessio fe io on nn nel els s de de la sa antté Av ve ec une équiipe de soignants s et P. Pier e re er D pe De elc chin sj oct c ob o re : V V. 9 - D. D 11 1 « DI D EU U ÉCRIT DRO ROIT AVEC DES S LIIGNES TOR RTU UEU USES S»: LES CONVER LE RSIION ONS DE D SAINT AU A GUSTIN Ave v c P. P P P. Ferriè ère r sj octobre : V. 1 16 6 - D. 18
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