PB- PP B-01134 BELGIE(N) - BELGIQUE
Une mission d’espérance nous est confiée… « Notre manière de procéder est de trouver les traces de Dieu partout, sachant que l’Esprit du Christ est au travail en tous lieux et situations, et dans toutes les activités et médiations qui cherchent à le rendre davantage présent dans le monde » (35ème C.G., décret 2). C’est ainsi que la Compagnie universelle explicitait, en 2008, la mission propre à toute la famille ignatienne de chercher et trouver Dieu en toute chose. Au-delà d’une formule peut-être trop connue, cette responsabilité « nous met au centre d’une “tension” qui nous attire en même temps vers Dieu et vers le monde » (ibid.). Plus précisément, déceler les signes de la présence de Dieu « au plus obscur de l’humanité », voir Dieu à l’oeuvre dans notre actualité combien tragique et inquiétante peut parfois sembler difficile et même impossible. Pourtant, nous croyons que « Dieu peine et travaille pour moi, en toutes les choses créées sur la face de la terre » (E.S. 236) ; mais seul le don de son regard peut ouvrir nos yeux d’aveugles aux merveilles de son Amour. Et la 35 ème Congrégation Générale ajoute que « découvrir la vie divine au coeur de la réalité est une mission d’espérance qui nous est confiée » (ibid.). Comme ce prêtre âgé qui ne s’endormait jamais sans relever un signe du Royaume dont il avait été témoin durant la journée, les petites pâques sur le chemin d’un couple en sont un bel exemple (cf. p. 2). Avec Marie, dans les samedis saints de notre monde, croyons que la Résurrection opère son oeuvre de libération parce que telle est notre espérance. Soyons des guetteurs d’espérance. Etienne Vandeputte s.J. Directeur
Christ nous ouvre le chemin L’espérance, c’est une confiance à toute épreuve dans l’amour abyssal du coeur du Père, vainqueur de tout obstacle, de toute mort, de tout péché. Nous avions perdu le chemin du coeur de notre Père, mais le Christ nous l’ouvre à nouveau. Fils prodigue parti loin du Père pour nous y ramener, Jésus est cependant incapable d’oublier un seul instant ce coeur de Père : il y est sans cesse plongé – dans l’Évangile de Jean, le mot Père (avec majuscule) apparaît 118 fois ! S. Köder, L’enfant prodigue À certains moments, même le coeur endurci de nos pères terrestres est capable de redevenir tendre… alors comment désespérer un seul instant de notre Père des cieux ? Soeur Elvira, fondatrice des communautés Cenacolo qui accueillent des jeunes drogués désirant s’en tirer, « ressusciter » (risorgere) comme elle dit, nous raconte au début de son livre L’étreinte, la mission qu’elle confie à ces jeunes, la première fois qu’ils retournent à la maison (où ils ont souvent causé beaucoup de dégât !) : « Va à la maison, leur dis-je, et quand tu vois ton père de loin, tu cours, tu cours, tu cours à sa rencontre. Puis tu te jettes dans ses bras et tu l’embrasses, tu l’embrasses fort. Et pendant que tu l’embrasses, tu dois compter, sans le lâcher, jusqu’à sept. Un… deux… trois… quatre… cinq… six… sept. Tu verras qu’après quelques secondes, lui cherchera à se détacher de toi, mais toi, tu le serres encore plus fort, et alors, lui aussi, il t’embrassera avec force. Puis après ces sept secondes, tu le lâches et tu le regardes dans les yeux. Ton père pleurera. Toi tu pleureras. Tous pleureront. Et cet homme, tu l’auras fait redevenir un père ». Le drogué-fils prodigue ressuscite, permettant à son pauvre père terrestre de ressusciter lui aussi, car le Fils éternel s’est abaissé jusqu’à nous pour nous ramener au Père de toute espérance. Comment ressusciter à notre tour ? Ce sera le thème de la journée du 18 avril prochain à La Pairelle Bernard Pottier s.J.
Ed. resp. : Michel DANCKAERT • Rue Marcel Lecomte 25 - B-5100 Wépion - Namur • Bureau de dépôt : 5000 Namur 1 • N° d’agréation P 201 136
Le bruit métallique des portes de prison. Celui des clés et des talkies-walkies. Un bonjour, un sourire et un bon mot à tous ceux que je rencontre dans les couloirs, témoignage d’humanité dans un monde de béton. Tant de couloirs et de portes à passer avant de rencontrer le gardien qui m’ouvrira la porte de ta cellule. Je me tiens là, intérieurement prêt à te chercher, à te découvrir, Dieu caché au plus obscur de l’humanité. Sur le seuil de la porte, je me prépare intérieurement à te rencontrer, toi le Dieu qui ne se lasse jamais de nous surprendre et qui me redis encore une fois que tu es là, assis en cellule, quand je viens te visiter. Je souhaite intérieurement la paix à cette « maison », remercie le gardien qui s’est déplacé et rentre dans ta cellule. Je suis soulagé de voir la joie avec laquelle tu m’accueilles, entre surprise et soulagement. C’est vrai que je n’ai pas eu l’occasion de te prévenir. Et tu me proposes systématiquement un café. J’écoute le récit d’une vie partie à la dérive, d’une vie piétinée comme un parterre de fleurs sur lequel se seraient acharnés des enfants jouant au ballon. Je me tiens là à tes côtés, descendant au plus bas comme toi, le Christ, espérance des pauvres. J’essaie de ne pas juger, d’écouter avec empathie, mais aussi avec la nécessaire distance qui me permettra de te respecter et de ne pas sombrer à mon tour. Je me tiens là comme un guetteur d’espérance, scrutant dans le jardin les prémisses de fleurs à venir, le printemps comme horizon de tout hiver. Mais qu’il est long, l’hiver en prison ! Des mois, des années parfois sont nécessaires pour réfléchir ou se distraire, se reconstruire ou se détruire, se ressaisir ou s’égarer, revivre ou dévisser. Comment pardonner à cet adulte qui a brisé ma vie, à ces parents qui m’ont rejeté, à ces « copains » qui m’ont balancé et qui me laissent croupir en tôle ? Comment se faire pardonner quand on a commis l’irréparable ? Car elle ne reviendra pas, ma compagne morte par ma faute. Les enfants m’ont abandonné ; comment ne pas les comprendre ? Je les ai tellement déçus. Est-ce qu’elle accepterait des fleurs, la vieille dont j’ai arraché le sac à main pour quelques dizaines d’euros ? Au bout du récit vertigineux que j’entends et qui me dit la dérive de l’humain dans l’inhumain, tu me donnes de reprendre pied dans l’espérance. Ta manière de rejoindre la brebis perdue ne lasse de me surprendre et exige de t’imiter… Alors quelle surprise, quel soulagement de voir les premières fleurs percer la neige. I. Blanchard, Nos peurs
Je regarde à travers les barreaux de ta cellule et je vois le grand mur qu’on a repeint cette année. Dans la fente verticale qui sépare les deux grandes plaques de béton, il y a un peu de mousse qui s’est incrustée. Clin d’oeil de la vie, plus forte que la mort. Mais regarde bien de plus près. Ne vois-tu pas, dans ce petit îlot de verdure, une petite fleur blanche toute fragile faire son apparition ? Et si on l’appelait « espérance » ? Vincent Klein s.J. Voir aussi p.4 Session « Etty Hillesum : un éblouissement au coeur de l’obscur » (NDLR)
Ce titre évoque pour nous le rythme de notre vie de couple tissée pendant quarante années. D’abord à deux durant une décennie, lorsque nous descendions dans le midi pour quelques jours de repos. Ce que j’aimais le plus, c’était de nous relayer au volant dès les premiers signes de fatigue du conducteur… Depuis, notre équipage a assez bien fonctionné sur ce modèle de relais. Quand l’un de nous deux flanchait, l’autre reprenait la barre, et le petit navire chargé de 4 matelots gardait le cap.
Malgré nos épreuves du moment, donne-nous, Seigneur, de croire en la Résurrection de Ton Fils et de nous-mêmes pour l’éternité. Stany Simon, sJ
Oh, ce ne fut pas simple tous les jours ! Heureusement, nous avions de bons instruments à notre disposition : groupe de partage et de foyers, prière, retraite à deux ou en équipe, volonté de toujours dialoguer, même – et surtout - dans les moments de conflit. Que de « petites pâques »… ! Avec le recul des années nous nous rendons compte que c’est à ces moments qu’un tiers – l’Esprit – nous accompagnait, nous invitant à écouter l’autre en faisant l’effort de nous remettre en question. Aujourd’hui, début de la vie de retraités et intrusion de la maladie dans notre couple nous amènent à cette réflexion : vivre en couple, n’est-ce pas se réajuster constamment l’un à l’autre, en laissant à l’autre de prendre le temps d’y voir clair en lui-même et en lui permettant d’évoluer et de grandir ? Alors le couple est fécond et peut aller à la rencontre des autres. Alors, l’espoir naît que nous connaîtrons un jour une harmonie joyeuse où l’amour aura un goût d’éternité. Jean-Pierre Lemaître
Christiane et Peter Annegarn Voir aussi p.4 Couples et Familles « Autour des 25 ans de vie en couple »(NDLR)
Vivre le Samedi saint Lorsque nous célébrons la Semaine sainte, nous ne savons que faire avec le samedi. Tout affairés à préparer la veillée pascale, nous nous ouvrons rarement à la grâce de ce jour, le seul de l’année liturgique où n’est célébrée ni Eucharistie, ni liturgie de la Parole. Et pourtant, comme l’écrit le Père Kolvenbach, « la vie de l’Eglise, mais aussi notre vie personnelle, peuvent être faites de ces longs Samedis saints où ni la souffrance aigüe de la passion ni la joie bouleversante de la fête pascale ne marquent nos jours et nos nuits ; c’est plutôt la dure et patiente attente, dans la foi la plus nue, d’un Kyrios qui se fait tant attendre qu’il ne semble plus venir. C’est le Samedi saint d’un credo pascal qui sait que la moisson germera demain, mais présentement le grain de blé tombé en terre (Jn 12,24), enfoui dans la terre, ne voit jamais rien des moissons. »
Vivre le Samedi saint pour lui-même, c’est mettre sous la lumière du mystère pascal nos expériences de nuit, lorsque dans le quotidien ou le dramatique de nos vies, Dieu semble absent ou silencieux. Qui n’a traversé des périodes dans son existence où rien ne se passe, où l’ennui nous guette, où la sécheresse de l’âme nous accable, où tel le grain de blé, nous nous sentons comme « jetés en terre » ?
la troisième semaine dédiée à la contemplation de la Passion, il invite le retraitant à « considérer pendant toute cette journée, aussi fréquemment qu’on le pourra, comment le corps très saint du Christ notre Seigneur resta détaché et séparé de l’âme, et où et comment il fut enseveli. Considérer de même la solitude de Notre-Dame, dans une si grande douleur et angoisse ; puis, d’autre part, celles des disciples. » Ces mots d’Ignace nous mettent sur la voie de la grâce du Samedi saint, qui est grâce de la solidarité du Christ avec ses frères et soeurs humains « jusqu’à la fin ». Et d’abord solidarité dans la séparation que représente la mort.
M.I. Rupnik, Samedi Saint
Vivre le Samedi saint pour lui-même, c’est nous laisser rejoindre par le Christ dans nos expériences de deuil : deuil d’un proche, deuil d’un projet qui nous était cher mais qui a échoué, deuil d’une amitié ou d’un amour qui a été et n’est plus… On sait aujourd’hui combien traverser le deuil, voire y demeurer un temps, est important quand l’échec ou la perte survient. « Être là » simplement, accueillir l’absence, cela prend du temps. Cela demande du repos, du sabbat, du samedi… mais tellement nécessaire pour se laisser engendrer à neuf à la vie. Alors n’évacuons pas trop vite le Samedi saint. Evitons de passer en un clin d’oeil de l’ensevelissement du vendredi à l’annonce de la Résurrection du premier jour de la semaine. Ignace l’a bien compris : dans les Exercices spirituels il nous invite résolument à demeurer dans le silence du Samedi. Au dernier jour de
Dans le Premier Testament, mourir n’est pas un instant fugace, ce n’est pas simplement rendre le dernier souffle. Mourir, c’est, pour employer une expression paradoxale, vivre la vie des morts. La mort est un état : celui des refa’im, ceux qui sont comme s’ils n’étaient pas. « Ma place est parmi les morts, avec ceux que l’on a tués, enterrés, ceux dont tu n’as plus souvenir, qui sont exclus, et loin de ta main » pleure le psalmiste (Ps 88,6). Lorsque nous professons que le Fils de Dieu, Jésus-Christ, notre Seigneur « est descendu aux enfers », nous affirmons
qu’il n’a pas fait comme semblant de mourir pour ressusciter aussitôt, mais qu’il est vraiment mort. Il est solidaire de nous, les vivants, tout autant qu’il est solidaire de nous dans la mort. En confessant qu’il est descendu dans la mort, ce lieu de la séparation, séparation de Dieu et séparation des hommes, nous reconnaissons que même nos nuits, nos passivités, nos périodes de deuil ne lui sont pas étrangers. Le Samedi saint, la solidarité du Christ prend aussi un accent nouveau. Comme l’écrit le théologien suisse Balthasar, « la solidarité signifie ici : être solitaire avec les autres ». Dans les Exercices, on assiste comme à une contagion de la solitude. A la solitude du Christ dans la mort fait écho la solitude de Notre-Dame et des disciples. N’aurions-nous pas ici une école de cette solitude que si souvent nous avons du mal à apprivoiser ? Une invitation à vivre la solitude non comme repli sur soi, mais comme l’approfondissement de notre soif de la Présence. Le Père Kolvenbach l’exprime admirablement : « la déchirure de la séparation ne conduit pas Notre-Dame à l’isolement, mais la guide sur le chemin d’une solitude, qui est justement solitude parce qu’elle est ouverture à l’autre et qu’elle vit de ce désir d’être avec l’autre. L’amour, qui fait la différence subtile entre l’isolement et la solitude, remplit un creuset, où l’absence ne fait pas le vide, mais approfondit la présence désirée. »
Rien de stérile dans ce Samedi. Il ne s’agit pas de nous résigner, et moins encore de nous complaire, à la séparation ou la solitude. Il est plutôt question d’habiter ces états, pour les traverser, pour laisser la Résurrection y opérer son oeuvre de libération. Ce Samedi est comme le silence en musique, tellement important pour accueillir la clarté de la première note de l’Alleluia. Ce Samedi, c’est un laboratoire de l’espérance comme le chantent si bien les moines de Tamié : « Près de la tombe scellée, les gardes veillent : et pourquoi, si la vie est vaincue ? Mais en ton coeur, Vierge Marie, quelle espérance veille ?» Christophe Renders s.J. Les citations du P. Kolvenbach son tirées du chapitre intitulé « Le Christ descendit aux enfers » dans le livre « Fous pour le Christ » (Lessius, 1998)
Pa arrc cou urs
Nʼh auto ésitez p ur d as à e e des vous et n parler rens à eign deman der eme Re etr t ai aite te es nts
FIG GU URE RES BIBL RE IBLIQU Q ES, QUES, QU S FIGURE FIG URE RES DE CRO CRO ROYANT ROY NT NTS TS
INIITI T ATIO TION ION AUX A AU E . SPIR EX R. DE ST T IGN GNACE GN Éco coute ute u ter la Paro a le à la suit ite du Chri it ite Chri h stt
Avec c P. G. Va anh hoo oom o omiss o se en n sj sj Sa a. 21 mar ars de 9h a h3 h30 3 à 11h 1h3 h 0 : Si Simon mo Pi P err e e, er le ep pre remie mii r des e D Dou Do ouze e
Ave vec c : un u e équi q pe de La P Pai airel relle le mars : V. 27 (9h3 ma (9h3 9 30) au D. D 29 (17 17h00 h ) h00
Tout le programme sur www.lapairelle.be R ns Re nsei eig eign gn nem nemen em ments et in nsc scrripttio ions n : Tél:: 081 Té 8 46 81 8 11 Fa ax:: 081 8 46 81 1 18 Jeu es Jeun Je es
APR PRÈSPR ÈS ÈS S-MID M I « PAU MI AUS U E ARC C-EN -E E -CI CIIEL » CIE Mar a dis ar d de de 14 4h0 h00 00 à 17h 17h h30 0
PRI RIIER R AVEC V C LA BIBLE VE BL : CO COM OMMEN ENT ? Pou ur le es s 18 18 – 30 ans ans « J’éc écou éc écout outte out e.. Que d diira r le Sei e gne gn n urr Die D u?» Di
Avec ve ec D. Bo okor kor-Ro ko or-Ro -R R cq et et Sr S R. R. Par Paren ent en n s ss smn m 24 2 4 mar a s, ar s 14 4 avr vrril v il, 12 il 12 ma m i,, 2 juin
Avec Srr F. Magu A ag guire i e rs ir rsa rsa ma ars r :V V.. 20 (18 18h h15)) au D. 22 2 (1 17h0 h00) h0 0) 0)
E LE ECO E DE D PRI R ÈRE RI ÈRE CO ÈR ONTEMPL NTE TE EM MPL P ATIV I E
SOUFFL FFL FF FLER ER ER… R… … PRIE RIE I R… R MÛ M ÛRIR R UN UN CH HOIX IX X… Pour les s 18 8 - 35 ans ans ns Avec A c : P. X. Léon nard sj s , Sr F. Magu guire gu ire re e rs sa et une éq équip uip u ui pe de La pe La Pair a ell elle lle en ntr tre le le M Me e. 24 juin (1 ( 8h1 h15) h1 5) et 5) e le V. 3 ju j ill i et (9h00) 0) 0)
Av vec e P. D. de Crom Crom ro o b bru ru uggh g e sj, j, C. C. Gil illet il l , let C Hérrouf C. o oss sse se S 2 Sa. 28 8 ma ars r de e 13h 1 45 13 4 à 16h3 6 0
Jour Jour u né ées es de La a Pai a relle « LE LE MES ES SSIE SIE » de G. G F. HAEN AE E DEL Avec c P. G. Vanh n o oom miss ss sen e sj Sa a. 28 mar ars rs de e 9h 9h30 30 à 17h0 30 17h0 h0 00
Se ess sio ons ETTY Y HI H LLE LLESUM LL SUM SUM M : UN ÉBL É OUI ÉB OU U SSE SSEMEN MENT MEN T AU U CŒU CŒ Œ R DE L'O 'O OBSCU SCUR R
« SII LE CHR CH H IST HRIST ST T N' N'EST EST T PAS AS RESSUS RES R E ESSUS USCIT TÉ, É VID DE NOTR NOTR RE MESS E SAGE AGE GE,, VIDE IDE VO V TRE R RE FOI OI » (1 Co 15 15, 5 14) 5, 14
Avec A ve P. P. Ferr err r ière ièr èrre sj sj et II.. Meeû ûs-M s ich sch c hie iel els s ma m ars s : V. 27 (18 18h 18h h15 1 au D. 15) D. 29 2 (1 17h0 7h 0) 0)
Ave vec v e : P. B. B. Pott Pott o tier iier er e sj sj, Prof sj, Proff. th héo é log éo og ogie gie IET T Sa. 18 avri Sa avr l de 9h30 à 17h h00
MIEUX X GÉR GÉRER ER NO NOS O CO C NFL NF ITS TS SD DE E TOUS OUS LES JO OURS UR RS RS Avec A ve : E. E et e C. C Ch Cho h mé, ho mé é Fo F nda ndateu teurr Com ommun mu mun u ic i Act ction ct tion ion ns, P Prof ro rof o . Lume men n Vita itae m i : Du ma u V. 1er (18 ( h15) au D. 3 (1 17h h00)) SAC A ERD AC RD DOCE CE E CO COMMU MMU M N DES MU DES S FID FIDÈLE LES ET T SAC AC CERD ERDOCE RDO OCE CE MI MINIS NIS NIS STÉR TÉ É IEL ÉR EL E L Que ue el rapp pport pp orrt ort rt ? T Tous ou ous o u us s pr p êtr êtres es s? Avec : D A D.. Ma Ma ten Mar tens, s Pro s, P f. Pr f thé t ologie e biblique ue mai : V. 15 (18h h15) 15 5) au D. 1 17 7 (17h0 h00 0) DIETRIICH DI HB BON BO O HOE OE O EF FF FFE F R « Mais To oiii,, tu tu conna nna nais na s le che c min pour moii » Avec v : Sr S ve S.. Gross s rsa r a mai : V. 29 (18h15) 15) 15 1 5) au D. 31 (17h0 5) 7 0) 0 IRO RO ONS--NOU NO O S TOUS US S AU A P PARA ADIS IS S? Le e Jugeme me ent nt Der D nie ie er revi ev sité Ave vec : D.. M Mar arrguerat at,, Ex at xég é égète ett Pa Paste teur u ur pro p rotes t tan nt j in : V. 5 (1 ju 18h h15) au u D. 7 (17h 17h 7h 7 h00 00) 0 0) DA DAN D ANSER S , C’ES EST PRIE ES IIE ER TROI OIS S FO OIIIS ! OIS Avec vec : P. P P. Depe p lch l in n sj, s C. Gi sj Gille lle et, t MM. MM M Ha H rte te er ett S. S Dem mar arrs ars jju uin : V. 12 (18 18h 8h15) 15 5) au au D. 14 1 (1 (17h0 17h0 00 0)) LA A VI VIE CONS ONSAC ONS ON ACR C ÉE ÉE « Du cœur c urr au aux fron fron ro o tiè tières res es » es Avec A ec : P. P F. Ja ani nin sj et Sr A. A. Gra G nie nier, rsa sa ju uin n:V V. 19 19 (18 18h 8h15) 5)) au D. D. 21 1 (1 (17h0 7h 0) 7h0 0
TRIDUU TR TRI DU M PA DU ASC CAL A Cél C élébr él ébrer éb e les es s jours rs saints Avec ve : P. P. Malv Malvaux aux sj et u un ne équi équi uiipe d la de a Pai Pairel relle er (1 avril av ril : Me M 1er Me. (18h 8h15) au u D. 5 (9h (9h 9h0 h 0 h0 0)) POU OUR APP OU PP P PRÉC R IER E LE L DO ON DE DE DIE IEU EU, SE E LAI LA SSER SSE ER D’AB A ORD OR AIM MER R Ave vec c : P. JM. M Sch S il iltz sj et R. Dobb Dobb o els ste tein avril av ri : V. 10 (18h ril (18h15) 15)) au D. D 19 (9 ( h00 h ) EXE XERCI XE R CES RC RCI S SP PIRI IRITU TUELS S en 30 en 3 jou jour ou urrs s rés ré identi identt els Avec ec : P. E. Vand ndepu ep tte sj et un une équi quipe e de jés j uit uites et rel religi igieus eu es av a vrill : D. D 12 2 (18 (1 18h15 18 8h15)) au Me. e 1 13 3 maii (9 (9h00 h0 h00 0 ) LAI A SSE AI SER SE R PASS SSER ER R LE SOU UFFL LE Avec ec : E. E Goe G tha als, s, so s prano, o, Pr Prof. of ch c antt et e P. C.. Render Re Ren ender d s sj av vrill : L L.. 20 0 (9h 9h h30) 0 au uV V. 24 4 (17h00) 17 0 « TROU TROU UVE VER DI D EU EN E TOUTE E CHOS HOSE » R rai Ret ra a te t sel s on la a péd p ago agogie de e l'Éco cole e de e Pri P ère è Co onte ntempl mpl p ati at ve e
Co Coup oup uple es et Fam amillle es
Avec A ec : T. Cris spin ett C. Gi G llet av vrill : V. 24 4 (18h 8h h15) 5 au D. 26 6 (1 (17h0 7h00))
« AIM IMER, IM MER, ER R C’ C EST EST C CH HOIS OISIR IR » Week ek-en -en ends ends en s de pr pr pa pré par p a at ation on au u mar m iag iage e (du uV V.. 20 0h0 h0 00 au au D D.. 17h0 17h0 7 0) 7h
INITIA IN TIIATIO IO ON AUX AU U EX EX.. SPIR S IR. DE E ST ST IGN GNA GN AC AC ACE CE Éco oute t r la la P Paro arr le à la l suit ite du Chri h st s
mar m arrs : 20 0 au u 22 2, avec v C. C et et J. De D cla aiirffay ayt y, P X. P. X. Lé Léonar Léonar Léo narrd sj nard mai : 8 au ma au 10, 10 a av vec P. C. Delh e ez sj el s
Avec ec c : Sr S A. A Tho h len nce c rsa et M.. Da D nck nckaer aerrt er (9 ma ai : V. 1er 9h30 h30 3 ) au a D. D. 3 (17h0 h 0) OSE O OS ER LA VI VIE
« ENTR NT TRE RÊVE ÊV VES ET ET RÉAL RÉAL LITÉ ÉS » Mo Moi M o ns s de 10 0 ans ns d de ev viie en couple oup uple le
Ave ve ec : P. J. Meeû Meeû ee e eûs sj et une équipe pe e. ma mai ai : L. L 4 (18 18 8h15 h1 ) au S. 9 (9 h1 (9h00 0)
Avec vec : P. E. E. Voll ollen ol en n sj sj et et un un co cou ouple le avril av vril ril : S S.. 25 (9h (9h30) 30) 0) au D. 0) D. 26 26 (1 (17h0 (17h0 00)
JE E LEUR LEU EU UR DONN DONN ON NN NERA ERAI UN UN CŒU ŒUR Œ U DE EC CH HAIR A AI
« LE DÉFI DÉFI ÉFI D’ D UN UN NOU NO O VE VEA EAU SO OUF UF FFLE FL L » Autour Aut ou u de es 25 ans n d de e vi v e en c vie co oupl pe pl
Avec c : P. P. Depel ep epe pelch lc lc ch hin i sj et T. Cris C spin pin mai : Ma. Ma. 1 Ma 19 9 (1 (18 8h1 h15 15) au D. 24 (17 17 7h00 0 ) « CHOI CHOI OISIIS DO ONC NC LA VIE ! »
Avec ve ec c : B. B et et B. B. van va v an De Derrto ton et un jjésu ésu su s uite itte ite e avril av r : S. ri S. 25 (9h 9h30)) au au D. D. 26 26 (1 17h0 7h 7 h00) 0)
Avec c:C Car ardin nall G. G Da Da nee Dan ee els s et N. Lac Lac a roi r ix ro ma m a aii : Me M . 20 (9h3 9h30) 0 au L.. 25 2 (17 ( h00 00 0)
DIMANC DIM ANC NCHES HES DES HE HES DE ES FAMI AM LLE AM LLES S ((de de d e 10 0h00 00 à 17h 17 00))
CHA CHA ANT NTE TE ER ET PRIE PRIER R
22 2 ma m rs rs : « B Biible ble e et e m mu u usiq siq si que ue fon ont lla a pair aire, e e, ellles s ! », », Av c le GPS Ave P Trio r 3 ma 31 maii : « Je Je fer erai erai ai pas pa s se ser er d de ev van ant toi oi ma m bea e uté té é» Avec v Ch Chaga aga gall g lll, l pi pince n aux nce ux x en e ma m ins ns,, déc éc couv ou uvron ns la be eau a auté é de de Die iie eu, u, ave ve v ec S. S. de Lied Lied deke erke r ett N. Sc rk Schul hu hul u 2 ju 28 juin in : Prom romena ena na aded déc de éc couv ouv ou vert erte au d er dése é rt és ése de e la la Marrlag a ne, ne e ave v c le le P. C C.. Rend enders nders e sj
Votre avis nous interesse : michel.danckaert@edpnet.be
Avec vec : Sr S. S G Gro oss rsa r ett Sr S F. Magu uire re rs sa j in ju i : L. L. 8 ((1 18h1 h 5)) au D. 14 (17h00 0) « SANS AN N CE CESSE S SSE TE T ES YEU YEUX X SONT NT N TP PO OS SÉS ÉS SU UR MOI ET MO MOI TJ JE E VIS VIS DE E TON REGARD REG GARD » Avec v : P. C. Re ve end nders e ss sjj, Sr Sr A. A Tho Th lence ce e rsa rsa e rs ett Sr MC. Pe Petia t au tia u ej ej ju uin n : Me. e. 24 4 (1 (18 8h15 h ) au Ve. h1 e 3 (9h00) jui u lle ui lle ll l t