barock & folk the elfin knight MAR 07 juillet 20h eglise saint-loup
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La Ville et la Province de Namur, partenaires du Festival Musical de Namur www.festivaldenamur.be 081 226 026 ou 070 22 88 88
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Festival Musical de Namur Denis Mathen Président, Patricia Wilenski Administratrice-déléguée, Jean-Marie Marchal Directeur Artistique, Jean Ghiste Trésorier, Laurent Cools Promotion Mesdames Suzanne Boonen-Moreau, Sylvaine Collin, Carine Debelle, Anne De Gand, Dominique De Spoelbergh, Anne Hallet, Anne-Marie Straus, Messieurs Bernard Anselme, Jean-Luc Balthazar, Guy Carpiaux, Laurent Collin, Patrick Colpé, Laurent Cools, Amand Dalem, Bernard Ducoffre, Jacques Etienne, Michel Gilbert, Philippe Hermal, Eric Lemmens, Charles Loiseau, Guy Maquet, Baudouin Muylle, Emmanuel Poiré, Bernard Poncelet, Jean-Marc Poncelet, Ali Serghini, Jean-Marc Van Espen, Administrateurs Le Festival Musical de Namur ouvre chaque année le Festival de Wallonie. Organisé par l’asbl Festival de Namur, il met à l’honneur les ensembles du Centre d’Art Vocal et de Musique ancienne ; les Agrémens et le Chœur de Chambre de Namur, l’un des meilleurs ensembles vocaux d’Europe. Le Festival Musical de Namur est coréalisé avec le Théâtre de Namur.
Le FmN est soutenu par N.E.W. Contact Jean-Marie Marchal, Centre d’Art Vocal et de Musique Ancienne Avenue Jean 1er, 2 B – 5000 Namur T +32 (0)81 711 500 F +32 (0)81 742 194 www.cavema.be
Le Festival de Wallonie, membre de l’Association Européenne des Festivals. Sous le Haut Patronage de sa Majesté la Reine Fabiola Avec l’aide du Ministère de la Communauté française (Direction générale de la Culture, service de la Musique), de Wallonie-Bruxelles International, du Parlement de la Communauté française, de la Présidence du Gouvernement wallon, du Commissariat général au Tourisme de la Région wallonne et de la Région Bruxelles-Capitale Avec le soutien de la Loterie Nationale, de la Banque Nationale, de la Société Régionale d’Investissement de Wallonie Avec l’appui de Musiq3, Le Soir, Bank Card Company Avec Electrabel/Groupe GDF SUEZ, Peugeot, Distrigas, partenaires structurels Avec BASF, Cera, Coca-Cola, Dexia, Ethias, EVS Broadcast Equipment, GlaxoSmithKline Biologicals, Lhoist Group, SNCB, UCM, partenaires de concerts Avec ArcelorMittal, CMI Group, Herstal Group, Magotteaux International, Techspace Aero, — Institut du Patrimoine Wallon, amis du Festival
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Barock & Folk The Elfin Knight Mar 07 Juillet 20h Eglise Saint-Loup
The Elfin knight Programme
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— Whittingham Fair (The Elfin Knight) Anonymous — Walsingham Anonymous — Greensleeves Anonymous — Go from my window Anonymous — Go from my window John Dowland (1563-1626) — Lord Darly Anonymous — Yonder comes a courteous Knight Thomas Ravenscroft (c.1582-1635)
— Robin is to the greenwood gone Richard Mynshall (1582-1638) — A Round of Three Country Dances in One Ravenscroft — Barbara Ellen Anonymous — Untitiled and Corne yairds Rowallen — Ane Scottis Dance Rowallen — London (Text: William Blake) Anonymous — Scarborough Fair (The Eflin Knight) Anonymous
— My Lord Willoughby’s Welcome Home Dowland — Farewell, adieu Anonymous — Brave Lord Willoughby Anonymous — La bouree Nicolas Vallet (c.1583-1642) — Willie O’ Winsbury Anonymous — Gigue Rowallen Manuscript (c. 1620) — The Lover’s Tasks (The Elfin Knight) Anonymous Pause — Watkin’s Ale Anonymous — London’s Lotterie (to the tune of Lusty Gallant) Anonymous
Ensemble Phoenix, Munich — Joel Frederiksen Bass, lutes and musical direction — Timothy Leigh Evans Tenor, percussion — Domen Marincic Viola da Gamba — Sven Schwannberger Lute, flute and countertenor — Bruno Caillat Percussion — Axel Wolf Theorbo, lute
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Le titre “ The Elfin Knight ” est tiré du recueil de chansons folkloriques Francis James Child. C’est en fait le titre de toutes ces chansons mieux connues aujourd’hui sous le nom de “ Scarborough Fair ”—“ riddle songs ”, lesquelles puisent à la source d’une simple ballade écossaise, attestée pour la première fois en 1610. On peut retrouver l’histoire de cette ballade dans trois recueils, le North Umbria, l’Appalachian mountains of America, et le Streets of London, et dans ce programme sous les noms “ Whittingham Fair ”, “ The Lover’s Tasks ”, et “ Scarborough Fair. ” L’un des buts de “ The Elfin Knight ” est de bâtir des ponts. La distance est grande, mais finalement pas tant que ça entre Londres et la Virginie; entre l’Ancien et le Nouveau Monde. Avec des chansons comme “ London’s Lotterie ”, une ballade à double tranchant vantant d’une manière flagrante ceux qui quittent le Londres civilisé pour la terre sauvage de Virginie, nous disposons d’un document historique important — avec le recul nous pouvons lire les couplets d’un œil ironique. Dans d’autres, comme “ Lord Darly ” (Darnley), est évoquée l’histoire dramatique du mariage de Darnley et Mary, reine d’Ecosse, suivi du meurtre du favori de la reine, et finalement de la pendaison de Darnley pour ce crime. Les chants de guerre glorifiant les hauts faits des grands hommes, incluant le “ Brave Lord Willoughby ” lors de la bataille de Flandre, étaient des ballades bien connues et furent reprises tant en pièces instrumentales que par de célèbres compositeurs de l’époque (ici John Dowland). Dowland composa également un ensemble de variations sur “ Go from my window ”, présentées dans ce programme à la fois sous leur forme de ballade originale et dans un arrangement pour viole de gambe et luth
solo. “ London ” vient également étayer cette inter-relation par-delà les temps sur un thème commun, plaçant sur une mélodie traditionnelle un texte de William Blake, “ Songs of Experience ”. Dans l’une des plus célèbres ballades de tous les temps, “Barbara Ellen”, reprise au début du 20e siècle dans la collection Appalachian Mountains, le texte commence étonnamment par ces mots : “ In London town where I was born…. ” (Dans la ville de Londres où je suis né) “ Watkin’s Ale ” (à propos d’une bière introuvable dans la plupart des bistrots!) et “Yonder comes a courteous Knight” font partie d’une tradition de chansons humoristiques et érotiques. Parfois tellement érotiques en fait, que dans une source* du 19e siècle pour la musique de « Watkin’s Ale », l’auteur, William Chappell, refuse de retranscrire les mots de la chanson, les déclarant « inconvenants à imprimer ». Mais tout au long de ce répertoire paillard on trouve aussi beaucoup de chansons sérieuses, et l’une d’elles a même une véritable fin hollywoodienne : dans “ Willie O’ Winsbury ”, l’homme accepte non seulement d’épouser sa petite amie (enceinte), mais refuse également l’offre d’une terre par son père, le Roi, préférant chevaucher dans le soleil couchant un “ coursier à la blancheur de lait ”. Les histoires de Robin des Bois étaient très connues à la Renaissance. Malheureusement le texte de la ballade “ Robin is to the greenwood gone ” n’est pas parvenu jusqu’à nous. Nous reproduisons cependant une courte version suggérée par Ross Duffin dans son livre “ Shakespeare in Song ”, sur une mélodie issue des œuvres pour luth solo de Richard Mynshall et John Dowland. Ravenscroft prend une autre mélodie de Robin de Bois et l’entrelace avec deux autres danses country dans un canon élaboré. 7
Sur le chemin de “ Walsingham ”, l’amant demande “ Avez-vous vu mon amour ? ” Cette ballade écrite sous forme de questions/réponses impose d’elle-même d’être chantée par deux voix, avec deux harmonisations basées sur Dowland et le Fitzwilliam Virginal Book. Dans le mondialement connu “ Greensleeves ”, le côté sentimental est évité, soulignant les qualités érotiques de la chanson. Les pièces instrumentales sont en grande partie tirées d’un manuscrit écossais des années 1620, appelé “ Rowallen ”. Le manuscrit a été quelquefois adapté et des arrangements pour instruments ont été librement écrits. Bien qu’il y ait une « bourree » dans le Rowallen, j’ai choisi le subtil arrangement de Nicolas Vallet, en partie pour mettre en évidence le caractère international de la Renaissance. Joel Frederiksen
*Popular Music of the Olden Time, William Chappell
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Joel Frederiksen basse profonde colorature Ensemble Phoenix Munich Musique placée sous le signe de la créativité, du renouvellement et de la passion Depuis quelques années, Joel Frederiksen, un Américain à la voix de basse et joueur de luth vivant en Allemagne, accompagné de l’Ensemble Phoenix Munich qu’il a luimême fondé, fait découvrir à quel point les sonorités de musique ancienne peuvent être d’actualité. C’est à l’occasion de l’enregistrement de son premier CD chez Harmonia Mundi, Orpheus I am, que Joel Frederiksen a réuni pour la toute première fois en 2003 les musiciens de l’Ensemble Phoenix Munich, prenant pour modèle son précédent groupe new-yorkais de musique ancienne, L’antica musica. Outre sa propre série de concerts au Bayerisches Nationalmuseum de Munich, l’ensemble, dont le répertoire comprend des œuvres allant de la Renaissance à l’époque des pionniers américains (1800-1900) en passant par l’époque baroque, se distingue également sur le plan international. Ses programmes, dont les contenus et la direction artistique sont placés sous la responsabilité de Joel Frederiksen, font preuve d’une originalité particulière et d’une recherche fondée. Les musiciens jouent en majeure partie d’après des manuscrits authentiques sur des instruments originaux. Parallèlement, il commande également des œuvres modernes auprès de compositeurs contemporains comme, par exemple, Laurence Traiger (USA/Munich) et William Ceuleers (Belgique).
Le calendrier des tournées de l’Ensemble Phoenix Munich pour 2008 témoigne des nombreuses invitations à différents festivals internationaux, parmi lesquels : Innsbrucker Festwochen (O felice morire, juillet 2008), Festwochen der Alten Musik à Bruges (The Elfin Knight, août 2008) et Tage Alter Musik de Herne (Rose of Sharon, novembre 2008). Salué avec enthousiasme par la critique, le CD The Elfin Knight avec l’Ensemble Phoenix Munich sous la direction de Joel Frederiksen est déjà sorti en août 2007 chez Harmonia Mundi : des ballades traditionnelles anglaises et écossaises, ainsi que des danses champêtres exécutées dans des arrangements vivants, fidèles à leurs sources et cependant nouveaux. Au cours de l’été 2008, en raison du grand succès du premier disque, le label l’a fait suivre d’un second enregistrement, intitulé O felice morire. Avec O felice morire, un programme de musique virtuose du premier baroque italien, l’Ensemble Phoenix Munich fera ses débuts le 9 février 2009 au Prinzregententheater de Munich. Les instrumentalistes multiples et les vocalistes regroupés autour de Joel Frederiksen font partie de l’abonnement concerts renommé : « Die neuen Meister der alten Musik » de l’organisateur de concerts munichois Tonicale. Pour de plus amples renseignements : www.ensemble-phoenix.com Joel Frederiksen basse profonde colorature
Membres de l’Ensemble Phoenix Munich (distribution du concert à l’église des Billettes, Paris, 17 octobre 2008)
Joel Frederiksen, directeur artistique, basse et luthiste a suivi des études de chant et de luth à New York et au Michigan, où il a également obtenu son master. Après ses études, il a étroitement collaboré avec le Boston Camerata et le Waverly Consort. En même temps, il s’est fait remarquer comme soliste d’opéra et d’oratorio. Après ses débuts couronnés de succès aux Salzburger Festspiele, Joel Frederiksen s’est installé en Europe. Depuis, il se produit régulièrement avec les plus fameuses formations de musique ancienne (parmi lesquelles Huelgas Ensemble, Ensemble Gilles Binchois, Ensemble Unicorn, Musica fiata) et en soliste aux côtés des grands noms de la scène, tels que Stephen Stubbs, Jordi Savall et Paul Van Nevel. Joel Frederiksen se consacre intensivement depuis un moment déjà à sa spécialité : le chant accompagné au luth. www.joelfrederiksen.com
Sven Schwannberger, contre-ténor, luth, théorbe, flûte, a suivi une formation de flûtiste, luthiste et chanteur à Munich, Kassel et à la Schola Cantorum Basiliensis. Il a également suivi des master class auprès des plus importants interprètes des instruments dont il joue. En tant que flûtiste, il s’est tout particulièrement spécialisé dans la flûte à bec et la flûte traversière des XVIe et XVIIe siècles et tente de faire revivre la virtuosité des joueurs d’instruments à vent italiens du premier baroque. Sa grande passion pour la monodie italienne l’a amené à 9
joindre le chant au jeu du luth, ce en quoi il renoue totalement avec la conception de la pratique d’autrefois. Il est lauréat de la Fondation Peredur et a joué avec des ensembles renommés tels que Concerto Vocale, Neue Hofkapelle München, Wiener Akademie et Capriccio Basel. En tant que flûtiste et luthiste, Schwannberger a été invité à de nombreux festivals de musique ancienne, parmi lesquels : Innsbrucker Festwochen, Salzburger Festspiele, Karlsruher Händelfestspiele, également au Teatro Liceu de Barcelone, ainsi qu’au Berliner Staatsoper Unter den Linden sous la direction de René Jacobs. Les trois CD de son propre ensemble, Il vero modo, ont été acclamés par le public et la critique. www.schwannberger.com
dans la musique du XVIIe siècle. Depuis 2005, il enseigne la basse continue et la réduction d’orchestre à l’Institut de musicologie de l’Université de Ljubljana.
Domen Marineie, viole de gambe, est né dans la capitale slovène, à Ljubljana. Il a étudié la viole de gambe auprès de Hartwig Groth à Nuremberg et de Philippe Pierlot à la Hochschule für Musik de Trossingen, où il a obtenu son diplôme. Il a de surcroît obtenu un diplôme de claveciniste dans la classe de Carsten Lohff et parachevé ses études de basse continue auprès d’Alberto Rinaldi. Pendant ses études, il fut lauréat de nombreux concours et remporta en 1997 le premier prix du 1er Festival international de viole de gambe « Bach-Abel » à Köthen. Il a collaboré avec de nombreux ensembles tels que le Ricercar Consort, Stylus Phantasticus, Ars Antiqua Austria et Gruppe für Alte Musik München, ainsi qu’à de nombreux CD pour des labels tels que Aeolus, Harmonia Mundi et Ricercar. En tant que claveciniste, Marineie se produit régulièrement avec différents orchestres slovènes. Il est membre co-fondateur de l’ensemble musica cubicularis, qui s’est spécialisé
Ses concerts embrassent une large variété de styles musicaux, passant de la musique traditionnelle persane, turque et indienne à la musique ancienne occidentale, la musique médiévale et de la Renaissance.
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Bruno Caillat, percussionniste Après ses études à l’Ecole Normale de Musique de Paris, Bruno Caillat se forma aux instruments de percussions persanes avec Djamchid Chemirani, qui lui confia sa classe de zarb (tambour persan) au Centre d’Etudes de Musique Orientale (Université de la Sorbonne à Paris) en 1978. Il apprend à jouer tant sur différents tambourins arabes et d’Asie centrale que sur percussions du nord (tabla) et du sud (mridangan, kanjira et ghatam) de l’Inde.
Il accompagne ainsi d’éminents musiciens tels que D. Talaï, D. Safvat, Ram Narayan. En outre, il fait partie des ensembles Kudsi Erguner, depuis 1994, et Doulce France, depuis 1993. Il collabore également avec des ensembles de musique médiévale comme Alla Francesca, Allegorie, Faenza, Tempus, etc.
Timothy Leigh Evans, ténor Timothy Leigh Evans débuta sa carrière musicale à l’âge de cinq ans, en tant que choriste de la chorale paroissiale de l’Ecclesfield Parish Church, dans son Angleterre natale. Il obtint son diplôme en chant à la Royal Academy of Music et au Trinity
College of Music, et se produisit à Londres avec les Michael Brewer Singers et les London Voices, ainsi qu’aux « Proms » de la BBC. Après s’être installé aux Etats-Unis en 1991, T.L. Evans donna régulièrement des représentations avec The Waverly Consort, The Ensemble for Early Music, Pomerium, The Boston Camerata, et The Folger Consort. En tant que soliste, il se produisit aux côtés d’artistes distingués tels que Emma Kirkby, Max Von Egmond et Mira Zakai. Il fit ses débuts au Lincoln Center avec la Messe en Si Mineur de Bach, sous la direction de Joshua Rifkin. En 1998, il participa à la nouvelle production de Kurt Weill, « Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny », dans le cadre du festival de Salzburg.
notamment Musica Fiata (Cologne), Ars Antiqua Austria, le Freiburger Barockorchester, Orchestra of the Age of Enlightenment ou encore le Gabrieli Consort & Players London, avec des chefs tels que Ivor Bolton, Harry Bicket, Alan Curtis, Paul Mc-Creesh et Joshua Rifkin. En plus de sa participation à de nombreux CD en tant que continuiste ou accompagnateur, il a enregistré en solo les œuvres pour luth de Johann Sebastian Bach, « Opera for Lute » – des arias baroques pour luth seul de Johann Adolf Hasse et des œuvres pour luth et chitarrone d’Alessandro Piccinini, accompagné par l’Ensemble The United Continuo.
T.L. Evans est actuellement membre du prestigieux sextuor vocal « Hudson Shad », avec lequel il se produit sur Broadway, au Dresden’s Semper Oper, au Frankfurt Oper, au Munich’s Prinzregententheatre, au Schwerin Oper, au Deutsches Oper Berlin ainsi qu’à la télévision et radio allemandes. Il est fréquemment invité à rejoindre l’ensemble belge « Huelgas » et a enregistré de nombreux CD pour les plus grands labels. Il vit actuellement à Zell an der Mosel, en Allemagne.
Axel Wolf, luth, théorbe, archiluth Axel Wolf est un musicien freelance qui vit sur les bords du lac Starnberg (Bavière/ Allemagne). Partant de cette base, il parcourt les festivals internationaux, comme ceux de Bruges, Utrecht, Rome, Tokyo ou New-York, aussi bien en qualité de soliste qu’en tant que membre d’ensembles, 11
Prochainement
Festival musical de namur 2009 Vous trouverez le programme détaillé des prochains concerts à l’entrée de cette salle. www.festivaldenamur.be Accueil et restauration
Te Deum & Dixit Dominus le 8 juillet 20h Eglise Saint-Loup
Pour les concerts à Saint-Loup, un bar sera ouvert dans la Cour de l’Athénée. Il sera tenu et animé par des bénévoles amis du festival. Le bar du festival sera le lieu de ralliement des artistes La billetterie sera située également dans la Cour de l’Athénée.
Alte Musik Köln le 9 juillet 12h Palais Provincial
Le petit ramoneur le 9 juillet 20h Théâtre Royal de Namur
Messiah G.F. Haendel le 10 juillet 20h Eglise Saint-Loup 12
Pour les concerts au Théâtre Royal, le Foyer vous accueille dès 19h. Le chemin de Cèdre restaurant, situé dans la Cour Saint-Loup, vous ouvre ses salles et son jardin. Il propose avant ou après le concert une carte variée à des prix très attractifs. Réservez votre table de la part du Festival Musical de Namur. www.lechemindecedre.be 081 26 25 15