L’honnête courtisane festival musical de namur vendredi 5 juillet 2013 théâtre royal NAMUR Introduction au concert à 19h30 dans le foyer du Théâtre par Bernard Montfort
l’honnête courtisane Denis Raisin Dadre Direction musicale Philippe Vallepin Mise en scène Simon Le Moullec Collaboration à la mise en scène Frédéric Pineau Costumes avec Véronique Bourin soprano Hugues Primard ténor Philippe Vallepin comédien Pascale Boquet luth Miguel Henry luth, guiterne Denis Raisin Dadre flûtes à bec
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Une épidémie de peste s’est répandue sur la ville. Dans une église, une compagnie d’amis s’est retirée pour lire des textes pieux et entonner des chansons spirituelles. La soirée est austère, ponctuée d’une méditation sur la mort de Saint François de Sales et du psaume 130 : du fond de ma pensée, à toi s’est adressée ma clameur jours et nuits. Puis on décide de respirer un air plus salubre à la campagne. Là, sous l’effet du printemps, le ton change. Les contes lestes remplacent les évangiles ; les chansons grivoises, les psaumes lugubres. On s’égaye à « l’histoire du moine rustique » et « de la belle dédaigneuse qui servit de poule à tous les coqs du couvent ». On chante Elle est d’andouille friande, Ramonez moi ma cheminée, Mon compère que votre chose est petit ! Le tout ponctué de refrains peu convenables ! Rien ne semble mettre un terme à cette frénésie. Dans un moment de lucidité, tous décident enfin de reprendre les chansons en changeant les paroles pour les rendre plus acceptables, Il était une fillette devient Il était une nonnette, Martin menoit son pourceau au marché devient Il nous faut tous renoncer au péché. Vaguement contrite, la compagnie se retire… en odeur de sainteté… _ Denis Raisin Dadre (déroulé du programme en page 7)
L’HONNETE COURTISANE
n’étaient guère détaillées dans la partition.
La chanson polyphonique : une joyeuse liberté offerte aux interprètes.
En d’autres mots, la recherche stylistique est indispensable pour user de la liberté inhérente à l’œuvre.
Les maîtres du passé nous ont laissé des œuvres qui nous divertissent, des chefsd’œuvre qui nous transforment. A ce titre, nous les admirons et leur offrons une forme d’immortalité : leurs noms, leur image et leurs oeuvres ont survécu aux affres du temps. Bien plus, et il faut s’en féliciter, lorsque ce temps nous renvoie loin d’ici, lorsque nul d’entre nous, même parmi les plus âgés, ne peut témoigner de la manière dont la musique était jouée ou de la façon dont le compositeur voulait que son œuvre soit donnée, nous dévorons les traités, nous reconstruisons les instruments à l’identique, nous fouillons les chroniques d’époque ou l’iconographie disponible à la recherche d’indices nous permettant d’imaginer une certaine forme de respect - d’authenticité, entend-on parfois -, tant il est vrai que seule la différence peut nous grandir, non un regard au travers de lunettes mal adaptées.
Pour la Renaissance, les sources théoriques écrites sont moins nombreuses qu’à l’époque baroque : les livres restent un luxe et le temps va davantage les disperser. L’interprète se mue en explorateur d’un temps révolu, bien étranger au nôtre. Pour découvrir, finalement, à côté des inévitables débats stylistiques, une étonnante liberté dans la manière d’exploiter un canevas très ouvert. On semble en tout cas peu attaché à fixer les timbres.
Concert vocal, école italienne, milieu du 16ème siècle Comme bien d’autres formes musicales du passé, la chanson polyphonique de la Renaissance nous montre à quel point la composition musicale n’était pas forcément liée à une manière figée d’interprétation. Nous le savons déjà pour la période baroque. Combien de sonates en trio ne mentionnent-elles pas « dessus » en lieu et place d’un instrument précis ? Combien de compositeurs omettaient-ils d’indiquer les ornements ? On le sait, il y a la manière d’articuler (celle qui rapproche le discours musical d’un discours, davantage que d’une peinture), il y a toutes les autres habitudes d’interprétation qu’il nous faut retrouver car, implicites pour les Anciens, elles
Ainsi, la chanson polyphonique du XVIème siècle, celle qui sert de fondement au programme de ce soir, se présente le plus souvent à quatre voix. On peut la chanter à quatre solistes : c’est le cas le plus simple. Mais pour autant, on ne va pas s’en priver s’il ne se trouve en même temps pas quatre chanteurs pour la donner. Trois feront l’affaire, et l’on donnera la partie restante au flûtiste à bec ou au violiste passant par là. Ou même deux, ou un (le dessus, en ce cas) : on aime mêler la voix et les instruments. Bien plus, on entendra bien des fois des quatuors instrumentaux, ou, même, un organiste ou un luthiste habile à jouer seul les quatre parties. Bref : l’imagination nourrie d’étude historique est un point de départ. Susato, l’éditeur anversois, indiquait dans ses recueils : « Chansons convenables tant à la voix comme aux instruments ». Et, à Paris, e, 1529, Attaignant est certain de plaire à un large public en annonçant une prochaine sortie : « Très breve et familiere Introduction pour entendre et apprendre par soy mesme à jouer toutes chansons réduictes en la tabulature du Lutz avec la maniere daccorder le dict Lutz » La même chanson offre mille manières de plaire, d’amuser ou d’émouvoir. Car, comme disait Goudimel à propos de ses psaumes et chansons : l’important, c’est « de s’esjouir ès maisons »
Art savant, traditions populaires : l’illusoire frontière. Sans doute avons-nous cette idée toute spontanée que les musicologues, d’ici cent ans, différencieront facilement l’œuvre des Beatles de celle de Stockhausen. La première s’adresse au plus grand nombre et se montre d’un accès facile. La seconde est goûtée par une minorité : celle des mélomanes érudits et nécessite sans doute une préparation, une culture musicale pour être appréciée dans toutes ses subtilités. Soit… Mais ce type de différenciation confortable se heurte vite à des contre-exemples. Ainsi, chez les Beatles, la chanson Eleonore Rigby, écrite pour voix et cordes, offre une écriture réellement savante; et bien des plages de l’Album blanc font entendre des recherches sonores proches de celles de la musique acousmatique auxquelles les fan féminines du quartet n’étaient guère sensibles. Par ailleurs, Stimmung, si on veut bien écouter entre les portées de la partition de Stockhausen, offre une curieuse incursion dans un monde psychédélique proche de certaines musiques hippies alternatives des années ’70.
Le concert dans l’œuf, Jerôme Bosch
toutes les musiques anciennes comme « savantes », ou « classiques » sans doute parce qu’elles sont rééditées en enregistrement ou en partitions par des maisons spécialisées dans la musique savante. A moins que ce ne soit le temps qui impose le respect dû au grand âge ? Toujours est-il que le programme de ce soir nous confronte bien des fois à la question : « populaire ou savant ? ». Si on reconnaît la science d’écriture dans bien des chansons polyphoniques renaissantes, pour d’autres, l’arrangement proposé, en se reposant bien entendu sur des recherches historiques, vise avant tout la vie du texte, sa verve et sa bonne humeur. En ce cas, ce sont les traditions populaires qui inspirent l’accompagnement et l’arrangement. Le luth renaissant On imagine bien que la reconquista de Grenade en 1492 n’a pas signifié le retour au pays de tout ce que les occupants arabes avaient emmené avec leurs conquêtes. Depuis près de 8 siècles, le luth arabe était joué en terres européennes. Instrument mélodique (car, on le sait, la musique traditionnelle arabe est monodique), il s’européanise cependant peu à peu en nos terres, dès le XIVème siècle : nos musiciens le rendent aptes à la polyphonie, nettement facilitée par l’ajout de frettes, ces « barrettes » qui divisent le manche en autant de cases précisément positionnées. Par ailleurs, l’ajout progressif de cordes graves et des recherches sur l’accordage idéal font peu à peu du luth, et jusqu’au milieu du XVIIIème siècle, un instrument aux prétentions quasi égales à celles des instruments à clavier :il est capable de jouer des compositions originales à plusieurs voix, de se prêter à la retranscription de riches œuvres polyphoniques, voire, à l’époque baroque, d’assurer une basse continue.
Pour rester dans le 20ème siècle et le nôtre, demandez à votre disquaire ce qui l’a conduit à préférer tel ou tel bac de rangement pour les œuvres de Steve Reich ! Et certaines formes de Jazz n’ont-elles pas déjà trouvé place dans les journées d’Ars Musica ? Florent Pagny chantant Verdi, est-ce encore du classique ? Et lorsque Benjamen Britten et Colin Mc Phee jouent au piano leurs transcription de musiques de gamelan balinais, où se situe-t-on ? Bref, bien souvent, les musiciens ne se posent pas les mêmes questions que les disquaires ! D’une manière générale, on a pris aujourd’hui cette habitude de considérer
Détails des Ambassadeurs de Hans Holbein Mais, plus spécifiquement, à la Renaissance, qu’entend-on au luth ? Un répertoire
original pour luth solo (suites de danses, retranscription de chansons polyphoniques, et œuvres « sérieuses » contrapuntiques : ricercare, fantasias….). Mais surtout, le luth se plaît en bonne compagnie. Il convient à merveille comme compagnon de la voix : en duo ou en auto-accompagnement. Il se plaît tout autant comme membre de ce que les Anglais appelaient consort : un groupe restreint de musiciens, souvent amateurs, que l’amour de la musique réunit et qui, comme indiqué plus haut, conjuguent luths, violes et voix pour un répertoire des plus riches, composé à dessein ou adapté des recueils en vogue de chansons ou de danses _ Marc Maréchal
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Programme
Action de grâce
Prologue : la peste noire
Rendons grâce à Dieu oui, car il nous agrée De remettre en enfer le diable abhorré Il plaît à notre Dieu de le faire souvent Hommes et femmes en restent contents
Une épidémie de peste se répand sur la ville. Une compagnie d’amis se retrouve dans une église pour lire des méditations spirituelles et entonner des psaumes. Pavane la mystérieuse Psaume 130 : du fond de ma pensée (Benedictus) Hélas, mon Dieu, ton ire… (Jean Maillard) Au moins mon Dieu (Goudimel) Première partie : l’arrivée au Palais Fuyant la ville, les amis se retrouvent à la campagne et se racontent des histoires récréatives. Dont celle du jeune homme et des oies tout en chantant et en jouant de la musique.
Troisième partie : la poule de tant de coqs On poursuit par l’histoire d’une jeune fille éprise d’un convers qui la cache dans un monastère. Elle est bientôt découverte par les autres moines… Je meurs de soif auprès de la fontaine Ramonez-moi ma cheminée haut et bas ! (Certon) Ballo Milanese instrumental Il ne l’aura pas toute pucelle La mia gallina Action de grâce
Les Allemandes de Gervaise Laissons amour qui nous fait tant souffrir Beau temps, las, qu’es-tu devenu (Johan de Saint Martin) Ce beau coral des Amours (Ronsard) Cueillant la violette
Rendons grâce à Dieu de tous ces moinillons Tous brebis du Seigneur autant que fiers étalons Chantons dans ce couvent la résurrection De la chair son approbation.
Action de grâce
Epilogue
Rendons grâce à Dieu le créateur des oies Il les a faites pour nous, confortant notre foi Célébrons de ces oies les parfaites beautés Divin gage d’éternité
Les contes lestes s’enchaînent : une jolie bourgeoise insatisfaite de son mari peu vigoureux, une bergère dans un champ. Sans cesse interrompus de chansons grivoises !
Deuxième partie : Remettre le diable en enfer Le lendemain, dans un jardin, la troupe narre l’histoire de Madeleine, une jeune fille fort belle, qui part dans les solitudes du désert pour servir Dieu. Elle y rencontre Rustique, un jeune moine… Jouissance vous donnerai (instrumental) (A. Willaert) Allons, allons gaie, ma Mignone, et sa gaillarde Je suis trop jeunette (Hesdin) L’autre jour dedans un jardin Et ressurexit Et quand je suis couchée Un bon vieillard
Mon mari est riche et n’est qu’un vilain Elle est d’andouille friande Saincte barbe mon compère Mon ami avait promis Triquedon don daine Action de grâce Sus, sus qu’on se dispose Une bergère aux champs Par un matin la belle s’est levée Il était un clerc Il était une fillette qui voulait savoir le jeu d’amour Il était une nonette qui voulait prier Jésus toujours (version religieuse) Morale Je me désespère de cette chienne de coutume qui interdit aux yeux ce qui les délecte le plus… (Lettre de l‘Arétin)
Doulce Mémoire, Biographie Doulce Mémoire, c’est d’abord l’énergie, l’esprit de troupe, le plaisir du partage et de la rencontre avec un objectif commun : revisiter le répertoire profane et sacré de la Renaissance. Constitué d’une équipe soudée d’instrumentistes et de chanteurs fidèles à l’ensemble, Doulce Mémoire est amené à jouer aussi bien dans les festivals internationaux d’Innsbruck, Saintes, Bath, Ambronay ou Boston, que sur le parvis du cinéma UGC en plein Paris, dans un restaurant au Portugal, à 4000 mètres d’altitude dans la ville de Quito en Equateur ou en équilibre instable sur une barge posée sur le lagon de Tahiti. Ennemi déclaré de l’ennui, Doulce Mémoire crée sans cesse de nouvelles formes originales de concert mis en espace et répond présent à tous les défis : d’un spectacle sur une roulotte, tourné en 2000, au concert partagé avec le célèbre joueur de ney turc Kudsi Erguner, en passant par la formation de chœurs amateurs ou de jeunes indiens boliviens. Ouvert à toutes les formes d’art, Doulce Mémoire a rencontré le chanteur de fado Antonio Zambujo, les musiciens danseurs de la troupe, internationalement reconnue, Han Tang Yuefu de Taïwan, les danseurs italiens de la compagnie Il Ballarino, les chanteurs anglais du Cardinall’s Musick et des danseurs espagnols dans un spectacle détonnant mêlant musique renaissance et flamenco. Passant du spectacle récréatif L’ Honnête Courtisane à la rencontre envoûtante et mystique des laudes italiennes et des chants soufis (Laudes - Confréries d’Orient et d’Occident), du Requiem des Rois de France au Procès de Monteverdi, Doulce Mémoire entend fuir la routine et la monotonie. Doulce Mémoire enregistre pour Zig Zag Territoires, Naïve et Ricercar. Sa discographie a reçu de très nombreuses récompenses : Diapason d’Or de l’année, Choc du Monde de la Musique, ffff de Télérama. www.doulcememoire.com
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Mariana Flores, Céline Scheen, Caroline Weynants sopranos Fabián Schofrin contre-ténor Zachary Wilder, Fernando Guimarães ténors Victor Torres et Matteo Bellotto barytons Sergio Foresti basse Cappella Mediterranea Chœur de Chambre de Namur cavema.be | cappellamediterranea.com
Mardi 10 septembre 2013, 20h00 | Genève (CH) Salle du conservatoire (HEM) \\ Vendredi 13 septembre 2013, 20h30 et samedi 14 septembre 2013, 20h30 | Ambronay|Festival \\ Dimanche 27 octobre 2013, 15h00| Anvers, De Singel.
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Mercredi 10 juillet 12h / Chapelle du Séminaire le chant sur les lèvres Poèmes, chants d’amour, prières et danses de la Sardaigne Sergio Ladu, Chœur de Chambre de Namur - les Solistes Mercredi 10 juillet 20h Théâtre Royal Les Cris de Paris, Karaoké Le mythe d’Orphée revisité, d’Henry Purcell à Withney Houston… ! ATTENTION, CHANGEMENT DE SALLE Jeudi 11 juillet 12h Théâtre Royal, Foyer Kantes de boda (chants de mariage) La Roza Enflorese Jeudi 11 juillet 20h Saint-Loup Le Cantique des Cantiques Œuvres de Schütz, Buxtehude, JC Bach… Ricercar Consort Introduction au concert à 19h30, Cour de l’Athénée par Bernard Montfort Vendredi 12 juillet 12h Saint-Loup Raquel Andueza (s), La Galania Amore & Tormenti Vendredi 12 juillet 18h Théâtre Royal Petit Poucet, la Belle... Ravel, Prokofiev, Tchaïkovski Vendredi 12 juillet 21h30 Théâtre Royal burlesque follies Samedi 13 juillet 18h30 Saint-Loup chœur de chambre ishango Splendeurs du Baroque Allemand
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