Quatuor alFama FESTIVAL MUSICAL DE NAMUR 2012
espagnes espagnes VENDREDI 6 JUILLET 2012 THÉÂTRE ROYAL DE NAMUR NAMUR
Le Festival Musical de Namur, c’est le festival de Wallonie à Namur Le Festival musical de Namur reçoit le soutien de la Ville et de la Province de Namur
FESTIVAL DE WALLONIE Le Festival de Wallonie, membre de l’Association Européenne des Festivals. Le Festival de Wallonie, membre de l’Association Européenne des Festivals. Sous le Haut Patronage de sa Majesté la Reine Fabiola. Avec l’aide de la Fédération Wallonie - Bruxelles, de Wallonie - Bruxelles International, du Parlement de la Fédération Wallonie - Bruxelles, de la Présidence du Gouvernement wallon, du Commissariat Général au Tourisme, du Ministre de la Santé, de l’Action sociale et de l’Egalité des chances, de la Wallonie et de la Région Bruxelles-Capitale.
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PARTENAIRES DE CONCERT
AVEC L'APPUI DE
Bruselas
PROGRAMME
QUATUOR ALFAMA Les musiciens: Elsa de Lacerda, violon Céline Bodson, violon Kris Hellemans, alto Renaat Ackaert, violoncelle
Juan Crisostomo de Arriaga (1806 — 1826) Quatuor n°1 en ré mineur (1824) Allegro Adagio con espressione Menuet et trio Adagio ma non troppo - allegretto Maurice Ravel (1875 — Paris 1937) Quatuor en fa majeur (1903) Allegro moderato Assez vif-Très rythmé Très lent Vif et agité Dans le cadre de la thématique espagnole qui régira le Festival de Wallonie en 2012, le quatuor Alfama a réuni Arriaga & Ravel dans un programme empreint de cette lumière du Sud qui caractérise l’Espagne. Le premier quatuor d’Arriaga et celui de Ravel sont des oeuvres de jeunesse qui attestent toutes 2 de la personnalité affirmée et de la maîtrise de la forme de leurs jeunes auteurs, véritables orfèvres du son. Surnommé le Mozart Espagnol, Arriaga écrit ses 3 quatuors à l’âge de 20 ans. Ravel quant à lui écrit son unique quatuor à 27 ans. Dès les premières mesures, nous sommes conquis par l’ambiance subtile et raffinée de ces 2 quatuors dont la pureté de la mélodie et la clarté de la forme font écho aux contours lumineux de l’Espagne.
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Juan Crisostomo de Arriaga 1806 : année de création du Concerto pour Violon de Beethoven, de la mort de Michael Haydn, du mariage de Fétis avec la fille du révolutionnaire Robert, de la naissance à Bilbao de Juan Chrisostomo de Arrtaga.
à Paris de nombreuses œuvres instrumentales et vocales - sacrées ou dramatiques - , tant et si bien que le sévère Cherubini, directeur du Conservatoire d’ordinaire peu généreux dans l’attribution de satsifecit, qualifiera sa fugue pour chœur Et Vitam Venturi de pur chef-d’œuvre (contribuant ainsi à nourrir une profonde frustration chez ceux qui, aujourd’hui, tentent d’éditer le catalogue complet d’Ariaga : la partition en est perdue !). Bien plus, son maître Fétis, qui sait reconnaître les gens doués, en fera son assistant pour l’enseignement de l’harmonie et de la composition. La reconnaissance au plus niveau ! Mais l’écrin de Paris se muera brutalement en cercueil : encore dans sa 19ème année, Arriaga est y vaincu par une tuberculose aussi cruelle que foudroyante, plongeant le monde musical parisien dans l’amère tristesse que sèment ceux qui partent, comme disait Bartok, « en laissant les malles pleines à ras bord ».
Premier Quatuor en Ré mineur
Le bambin à la bonne idée de naître un 27 janvier, comme Mozart, 50 ans plus tôt. Il n’en faut pas plus pour que son père, organiste de profession, ne donne à son garçon les deux premiers prénoms de Mozart : Johannes Chrysostomes. Cette idée est à l’origine du surnom d’Arriaga retenu par l’histoire : « Le Mozart espagnol ». Mais, sans doute aussi, le destin tragique d’un talent exceptionnel fauché prématurément. Le jeune Arriaga montre très tôt son goût d’écrire de la musique. A 9 ans, il tient la partie de second violon dans ses premiers essais d’écriture : un quatuor, puis un étonnant Essai d’Octuor en un mouvement « Nada y mucho », pour quatuor à cordes, contrebasse, guitare, trompette et piano ! Sa verve compositionnelle est intarissable et à 12 ans, il a déjà fait jouer une belle Ouverture par l’orchestre de l’Academia de sa ville et bouclé un premier opéra : «Los Esclavos felices». Après 22 numéros d’opus (dont une série de variations sur divers thèmes pour quatuor à cordes), Arriaga part pour Paris, à la fois dans l’idée de se perfectionner au violon (il rejoindra ainsi le célèbre Pierre Baillot, élève de Viotti et futur directeur de l’opéra de Paris) et de trouver en notre Fétis national (il est né à Mons), pédagogue et érudit hors pair en fonction au Conservatoire parisien, un homme capable de lui dévoiler les secrets compositionnels des génies, de parcourir avec lui les sentiers connus et moins connus de ce que l’Europe musicale a imaginé de plus beau et de plus rare. Paris offrira à ce talent précoce et fécond un écrin artistique à sa mesure. Car la notoriété d’Arriaga y va grandissante. Il compose et crée
On l’a dit plus haut, Arriaga écrivit son tout premier quatuor encore enfant. Mais ce que l’on appelle communément aujourd’hui son « Premier Quatuor » est le premier d’une série de trois, écrite en 1823 à l’âge de 16 ans, la même année que la Symphonie en Ré mineur. Le plan des quatuors de notre jeune Espagnol n’est pas différent de celui qu’ont contribué à installer en Europe Bocherini et J. Haydn : une plan en quatre mouvements. Deux mouvements rapides, en introduction et en finale, entourant un mouvement lent et un menuet flanqué de son trio (menuet bis). On l’entendra, rien de nouveau chez Arriaga (il est à l’âge où l’on se nourrit aux sources), mais une manière très aérée de développer son matériau mélodique initial. A noter, malgré tout, un développement important du mouvement lent, vrai moment de méditation en mesure ternaire, et, dans le mouvement final, d’un caractère proche de celui de la tarentelle (voir illustration), la brève introduction grave, réintroduite de manière inattendue en cours de mouvement. •Allegro (Ré mineur, mesure 3:4) •Adagio con espressione Si b majeur, mesure 3:4) •Minuetto (Allegro) – Trio (piu moderato) (Ré m mineur, mesure 3:4) •Adagio – Allegretto (Ré mineur, mesures 4:4 – 6:8)
Maurice Ravel Marguerite, la mère de Ravel, aimait tellement l’Espagne qu’elle quitta Cibourre (fief de sa famille depuis le 17ème siècle) pour aller vivre près de 20 ans à Madrid. Son nom, Delouart, provenait d’ailleurs du nom d’une ancienne dynastie espagnole, les Deluarte. C’était une femme de caractère, cultivée, originale. Joseph, le père de Ravel, était d’origine suisse. Ingénieur mais amoureux des arts, il était passionné de constructions ferroviaires et aida à l’évolution du moteur à explosion. Lorsque Maurice vit le jour, en mars 1875, ses parents savaient sans doute déjà qu’ils allaient gagner Paris, tant pour des raisons professionnelles propres à Joseph que par désir d’offrir à leur rejeton l’environnement culturel qu’une bourgade de province ne pouvait garantir. L’enfance de Ravel n’eut donc rien de basque ni d’espagnol, mais dès l’âge de 25 ans, le compositeur eut le goût de revenir séjourner souvent en Pays Basque. Par ailleurs, à Paris, Ravel lia une solide amitié avec Manuel de Falla. La vie de Ravel ne rima guère avec l’anodin. Jamais marié, d’une ascèse affective apparente, solitaire malgré une vie sociale débordante, Ravel connut une vie riche en rencontres, en
Paris hurle au scandale, • recalé à quatre reprises au Prix de Rome (« affaire » qui fit chuter le directeur du Conservatoire), • collaborateur artistique de Colette (L’Enfant et les Sortilèges) ou de Diaghilev, Nijinski et des Ballets Russes (Daphnis, la Valse…), • amoureux fou d’élégance vestimentaire et de luxe (il embarqua en croisière avec passion à bord du luxueux yacht du richissime Alfred Edwards et de sa femme Misa Godebski, pianiste, égérie et modèle de Toulouse-Lautrec), • sourd et sans réaction lors de l’invitation à recevoir la Légion d’Honneur, • invité avec ferveur aux Etats-Unis où Gerschwin l’accueillera comme un dieu vivant, • admirateur du Jazz et pourfendeur des Américains quand ceux-ci n’y voient qu’un exotique et joyeux divertissement, • galant exécutant d’une commande de la danseuse, Ida Rubinstein, accouchant du plus grand succès « savant » de tous les temps : le Bolero, qui restera jusqu’en 2003, l’oeuvre rapportant annuellement le plus de droits d’auteur…à des ayants droit éloignés et en continuelle dispute, • et pour finir, condamné tragiquement à l’inaction les quatre dernières années de sa vie en raison d’un cerveau devenu peu à peu inopérant… Une vie bien pleine, qui prit fin en 1937 (comme celle de son ami Gerschwin), une vie riche en succès et en œuvres inspirées, mais riche aussi en paradoxes et en mystères. Une vie qui fait de Ravel, un compositeur illustre du 20ème siècle mais un homme méconnu à bien des égards.
Le Quatuor à cordes en Fa Majeur (1904) •Allegro Moderato - Très doux (mesure 4:4) •Assez vif – très rythmé (mesure 3:4 / 6:8) • Très lent (mesure 4:4) • Vif et agité (mesure 5:8)
événements et en prises de position les plus étonnants. Il est curieux qu’elle n’inspira jamais aucun cinéaste. Rien d’anodin, disions-nous : • lié de manière quasi fusionnelle à sa mère, • élève chéri du grand Gabriel Fauré, • ardent patriote refusé à l’armée pour poids insuffisant mais parvenant à rejoindre le front de la Grande Guerre, • défenseur du Sacre de Stravinski quand tout
L’Espagne est présente dans bien des œuvres de Maurice Ravel : Elborada del Gracioso, Habanera, Rhapsodie Espagnole, Don quichotte à Dulcinée, L’heure Espagnole, Bolero.. Mais le Quatuor, hormis un finale en 5 temps comme dans les Zorcicos basques, brille plutôt des couleurs qui sont celles du plus profond Ravel, jaillissant de la part de son génie le plus originel, étranger aux paysages, aux parfums ou aux chants de cette Espagne qui hanta de si prégnante manière son imaginaire musical. Comme la Sonatine, le Tombeau de Couperin, ou Daphnis et Chloé, le Quatuor est un joyau pur de l’art ravélien, une musique à 100 pourcents française, dans un style d’une élégance folle, d’un caractère inimitable intégrant dans des formes classiques un langage original, puisant tant dans la tradition (la tonalité) que dans le passé revisité (les anciens modes d’église, remis à l’honneur par la Schola Cantorum, Fauré et Debussy…).
Le Quatuor en Fa est le chef-d’œuvre d’un homme encore jeune (il a 27 ans à sa création), lorsque bien des compositeurs de sa génération hésiteront à en composer un avant la pleine maturité. C’est aussi la confirmation que Ravel a soif d’équilibre, d’écriture ciselée, sans une note de trop, de liberté trouvée dans les contraintes des formes classiques. Les termes Sonate, Trio, Concerto le motivent à s’exprimer comme ils motivaient Mozart, alors que son contemporain Erik Satie, lui, ne pouvait les ouïr. Celui-ci dira d’ailleurs, avec son humour moins tendrement féroce : « Ravel refuse la Légion d’Honneur, mais toute sa musique l’accepte ». Parler de classicisme chez Ravel est souvent l’opposer à Debussy. Les deux hommes se tenaient en haute estime et si les critiques musicaux les renvoyaient souvent dos à dos, bien malgré eux, (Debussy fut novateur, ce que ne peut revendiquer Ravel), il faut pourtant les unir tous deux dans le désir de rendre à la musique française un esprit que le wagnérisme de la fin du 19ème siècle avait pour le moins dilué. L’élégance, la légèreté, l’ineffable, toutes ces qualités dont parle si bien le philosophe Vladimir Jankelevitch, un des exégètes les plus pertinents de Ravel, voilà ce que veulent retrouver les deux hommes, chacun par des chemins propres mais qui semblent pareillement trouver leur point de départ dans cette confidence écrite deux siècles plus tôt par François Couperin, dans son Art de toucher le Clavecin : « J’avoue préférer ce qui me touche à ce qui me surprend ». Le Quatuor comprend 4 mouvements, comme à l’époque classique, comme dans les quatuors d’Arriaga. L’allegro initial est écrit dans la forme-sonate: emploi de deux thèmes distincts (on emploie parfois les qualificatifs « masculin » et « féminin » ) qui, par leur caractère différent mais inspirés d’une même simplicité, nourriront tout le mouvement. Bien que l’armure et l’accord initial figurent la tonalité de Fa majeur, on est ici dans un langage modal (emploi de modes anciens), loin des contraintes tonales, dans un discours rigoureusement conduit mais – et c’est l’esprit français - laissant la place à l’imaginaire. Musique apaisante, s’il en est.
» est sans doute le plus original des autre. Un thème en mode éolien (mode de La) est donné en pizzicati, très vite suivi d’un second thème joué à l’archet, très lyrique. Tout est donné en quelques secondes, le reste sera un moment de génial développement : transformations et combinaisons thématiques, jeu autour des trilles, ruptures tout en douceur. Avec, et c’est là toute la richesse du mouvement, une ambiguïté métrique qui ne nous lâchera pas : un peu comme un pianiste dont la main droite jouerait dans une mesure, la gauche dans une autre. Ravel l’indique d’ailleurs à l’interprète : on est à la fois dans le ternaire (3 :4) au thème et dans le binaire (6:8) dans l’accompagnement. Une polymétrie dont les clavecinistes et luthistes de la France baroque raffolaient et s’amusaient dans leurs « courantes à la française ». Bien plus, dans l’énoncé du thème (voir illustration), comme pour brouiller les pistes, le second violon et l’alto accompagnent la mélodie dans un état métrique alterné (binaire – ternaire). Si vous lisez les accents joués par ces instruments (33 / 222), vous y retrouverez la cellule rythmique employée bien plus tard par Léonard Bernstein dans sa célèbre « I want to leave in America » ! Ici, Ravel s’amuse, emploie toute la science de sa technique pour nous livrer malgré tout, si on veut bien se priver d’une écoute analytique, une pièce d’une spontanéité confondante. Le troisième mouvement, « Très lent » est une rêverie comme Ravel les affectionne mais, contrairement à celle qu’il nous offre, par exemple, dans le mouvement lent du Concerto en Sol, on est ici dans une quasi fantaisie. Apparente fantaisie, cependant, car, faite de changements constants de mesure, de tonalité et de paliers dans le lyrisme, elle est malgré tout rigoureusement construite sur deux thèmes tous deux énoncés à l’alto qui se trouve ainsi mais à l’honneur. Le finale, comme pour boucler l’œuvre et empêcher le temps de s’enfuir, emprunte au mouvement initial ses deux thèmes principaux, habilement transformés. Car on est ici dans une mesure asymétrique (5:8). On n’entend donc pas ce que l’on connaît déjà, mais on se retrouve en paysages familiers…. L’esprit de ce finale est très brillant, proche du divertissement. La virtuosité d’écriture, conjuguée il est vrai à la virtuosité instrumentale, joue efficacement son rôle séducteur. Perfectionniste, amoureux du détail, doutant souvent de lui, Ravel avait sollicité l’avis de Debussy pendant l’élaboration de son quatuor. On connaît l’avis de Debussy : « Au nom des dieux de la musique, et au mien, ne touchez à rien de ce que vous avez écrit de votre Quatuor ! » - Marc Maréchal
Le second mouvement, « Assez vif - Très rythmé
Quatuor Alfama Subtilité, élégance et dynamisme sont les marques du Quatuor Alfama qui compte désormais parmi les jeunes formations les plus en vues du paysage musical belge. Après 5 ans d’existence, Alfama poursuit son travail avec les précieux conseils du Quatuor Danel. Sélectionné par le Centre Européen de musique de chambre ProQuartet en 2006, le Quatuor Alfama a suivi les enseignements de Walter Levin du Quatuor Lasalle et Rainer Schmidt du Quatuor Hagen et se perfectionne cette année auprès de Heime Muller (Quatuor Artemis) et Eberhard Feltz. Le Quatuor Alfama a enregistré en compagnie du guitariste Denis Sung-Hô (Rising Star 2004/2005) le quintette de Léo Brouwer pour Fuga Libera ainsi que l’intégrale des oeuvres pour quatuor à cordes de Frédéric Devreese pour le label Kalidisc.Ces deux enregistrements ont été unanimement salués par la critique belge et internationale. Le Quatuor Alfama vient de sortir son troisième CD pour le label Fuga Libera intitulé «Quartettsatz». Le Quatuor Alfama multiplie les engagements en Belgique (Festival de l’Ete mosan, Brussel Summer Festival Ostbelgienfestival, Festival de Wallonie…) et à l’étranger (Festival du prieuré de Chirens, les heures musicales de Cunault, les musicales du Golfe; Jeudis musicaux de Royan…) en compagnie notamment du jeune pianiste français Guillaume Coppola. Le Quatuor Alfama bénéficie du soutien de la communauté française de Belgique et des tournées « arts et vie » www.quatuoralfama.com
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prochains concerts
Vendredi 6 juillet 20h Saint-Loup Claudio Monteverdi Madrigaux guerriers et amoureux Les Talens Lyriques Christophe Rousset Samedi 7 juillet 20h Saint-Loup Les Agrémens Jennifer Borghi Guy Van Waas Symphonie d’Arriaga + airs d’opéras de Grétry, Cherubini, Gluck Samedi 7 juillet 22h30 Brasserie François Spectacle de tango, musique et danse Tango TinTO Dimanche 8 juillet 16h Chapelle Séminaire Musiques populaires basques Julie Calbète / Benat Achiary Chœur de Chambre de Namur, solistes
le so s con po nt g cer ur ra ts de les m tuits 16 an oins s!*
Mardi 10 juillet 20h / Théâtre Royal de Namur La Cambiale di matrimonio Gioacchino Rossini Académie Baroque d’Ambronay Leonardo García Alarcón
Mercredi 11 juillet 12h Théâtre Royal Espagne, entre jazz et flamenco Baggili Trio Mercredi 11 juillet 20h Saint-Loup Odisea Negra El mar de las memorias La Chimera Eduardo Egüez
ABONNEZ-VOUS! 081 226 026 WWW.festivaldenamur.be
Jeudi 12 juillet 18h Théâtre Royal L’homme de la mancha (version pour les enfants) Mise en scène de Sybille Wilson Adaptation en français de Jacques Brel. Chris de Moor, Christophe Herrada, Hanna Bardos, Julie Calbète, Laurent Soffiati, Xavier Elsen, Jean-François Breuer, Denis Boudart Direction musicale David Miller
Vendredi 13 juillet 12h / Musée de Croix Récital Manuel de Falla Marie-Catherine Baclin L’amour sorcier et 7 chansons populaires
Vendredi 13 juillet 19h30 / 21h00 / 22h30 Eglise Saint-Loup, Cour de l’Athénée Barroco y salsa Solistes et orchestre du Concert de l’Hostel Dieu Mango Son 1ère partie : Negrillos & villancicos des manuscrits d’Oaxaca et Guatemala 2ème partie : Guaracha, chuchumbre, fandango, Bolero... 3ème partie : Salsa, chachcha, Timba
Samedi 14 juillet 20h00 Spectacle flamenco Cinco Maneras de Ausencia Raul Corredor
Samedi 14 juillet 21h30 Bal du Gouverneur Eric Mathot et le Tivoli Band Une nuit de Barcelone Alternant fox swing, slow canción, mambo, cha-cha-cha, merengue et tango, … et paso-doble, cette soirée nous fera découvrir des trésors méconnus de cette fascinante ville méditerranéenne.
* à l’exception de l’homme de la mancha