Manuel de Falla, rÉCital FESTIVAL MUSICAL DE NAMUR 2012
espagnes espagnes VENDREDI 13 JUILLET 2012 EGLISE SAINT-LOUP NAMUR
Le Festival Musical de Namur, c’est le festival de Wallonie à Namur Le Festival musical de Namur reçoit le soutien de la Ville et de la Province de Namur
FESTIVAL DE WALLONIE Le Festival de Wallonie, membre de l’Association Européenne des Festivals. Le Festival de Wallonie, membre de l’Association Européenne des Festivals. Sous le Haut Patronage de sa Majesté la Reine Fabiola. Avec l’aide de la Fédération Wallonie - Bruxelles, de Wallonie - Bruxelles International, du Parlement de la Fédération Wallonie - Bruxelles, de la Présidence du Gouvernement wallon, du Commissariat Général au Tourisme, du Ministre de la Santé, de l’Action sociale et de l’Egalité des chances, de la Wallonie et de la Région Bruxelles-Capitale.
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PARTENAIRES DE CONCERT
AVEC L'APPUI DE
Bruselas
programme
Marie-Catherine Baclin, soprano Daniel Thonnard, piano Maria Luisa Rico Panadero, récitante
Ce concert matérialise la collaboration entre le Festival Musical de Namur et l’IMEP (Institut Supérieur de Musique et de Pédagogie) imep.be
7 chansons espagnoles 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
El Paño Moruno Seguidilla Murciana Asturiana Jota Nana Canción Polo
La Vie Brève (Intermède) L’amour sorcier, ballet-opéra 1) 2) 3) 4) 5)
CHANSON DU CHAGRIN D’AMOUR CHANSON DU FEU FOLLET RITUEL DE LA DANSE DU FEU DANSE DU JEU D’AMOUR LES CLOCHES DU MATIN
Manuel de Falla (Cadix, 1876 – Alta Gracia, en Argentine, 1946)
Tous les grands compositeurs ne furent pas des enfants prodiges ! A huit ans, Falla était encore très débutant. Ce n’est sans doute pas son père, commerçant de Cadix, qui exhorta Falla à progresser rapidement ou à embrasser un jour la carrière musicale. Peut-être sa mère, pianiste amateur? Mais s’il allait devenir un compositeur majeur de l’Espagne et de l’Europe du 20ème siècle, ce fut nonobstant une liste de professeurs locaux bien intentionnés mais sans doute un peu limités.
cords, comme le bourdon formé par la corde grave de Mi, à la guitare), des modulations par enharmonie (un tour de passe-passe harmonique capable de vous dresser les cheveux sur la tête !). En 1907, et c’est ce qui fit sans doute du compositeur un maître véritablement européen, Falla décida de rejoindre Paris pour découvrir et fréquenter les grands compositeurs français du moment : Dukas, Debussy et Ravel, dont il deviendra l’ami intime grâce au pianiste espagnol Ricardo Vines, établi làbas. C’est le début d’une vie artistiquement trépidante, faite de rencontres incessantes. Falla y fait aussi la connaissance d’Albeniz, autre compositeur espagnol parti se grandir dans la Ville Lumière…. De retour au pays, Falla donne La Vie brève en 1914 à Madrid et œuvre sans relâche à faire connaître la musique d’autres compositeurs européens : celle de Ravel, bien sûr, mais aussi celle de Bartok et d’Hindemith. Sa notoriété va grandissante et il compose une série de pièces magistrales : Nuits dans les Jardins d’Espagne, Concerto pour clavecin, Le Retable de Maître Pierre, le Tricorne…. En 1939, suite à la situation politique héritée de la Guerre Civile et, aussi, devant le conflit général qui se prépare en Europe, Falla embarque pour l’Argentine. Là, son destin sera étrangement semblable à celui de Bela Bartok, parti se réfugier aux EtatsUnis. Sa situation financière va se dégrader rapidement pour frôler le dénuement total. En 1944, il faudra que le monde artistique se mobilise pour que l’Espagne accepte de lui attribuer une fonction en détachement. Mais, en 1946, alors que l’horizon semblait pouvoir s’éclaircir pour lui, Falla est victime d’un malaise cardiaque auquel il ne survivra pas.
Heureusement, en 1898, à 22 ans, Falla finit par rejoindre le conservatoire de Madrid où il obtint un premier prix de piano dans la classe de José Trago, un élève de Frédéric Chopin. Il était bon pianiste mais, en termes de composition, il s’en tenait à encore à ce moment à de petites pièces pour piano : valses, caprices, sérénades… Cependant, déjà pouvait-on y entendre quelques épices sonores qui donnent du caractère profondément espagnol à chaque pièce : l’usage de la gamme andalouse (l’ancien mode de mi, le phrygien, mâtiné d’une tierce tantôt majeure, tantôt mineure), des pédales fréquentes (des notes obstinées sous les ac-
Les « Sept chansons traditionnelles espagnoles » 1. El Paño Moruno 2. Seguidilla Murciana 3. Asturiana 4. Jota 5. Nana 6. Canción 7. Polo Falla se mit à ce travail auquel il tenait beaucoup en 1912, à Paris. Il termina ses 7 Chansons seulement trois ans plus tard, pour les donner en première à Madrid. L’œuvre est prévue pour voix et piano. On y sent l’attrait irrésistible du compositeur pour le cante jondo, ce « chant profond » du répertoire flamenco qui désigne les mélodies les plus anciennes, au contenu le plus souvent dramatique et dont l’interprétation exige un investissement expressif sans retenue. L’œuvre connut un rapide succès et on ne compte plus les arrangements de ces chansons. Ainsi, le grand guitariste Miguel Llobet (1878-1938) les adapta pour voix et guitare ce qui dut plaire à Falla, puisque celui-ci lui dédia sa seule œuvre pour guitare : Hommage à Debussy. Par ailleurs, Ernesto Halffter en fit une version pour voix et orchestre et pour orchestre seul.
L’Amour sorcier L’ Amour sorcier (El Amor Brujo) fait partie de ces œuvres qui ont connu bien des aventures avant de s’imposer au grand public. A l’origine, Falla avait eu l’idée de composer une sorte de « drame gitan », sorte de ballet-pantomime, dans un style nettement ancré dans la rudesse populaire. C’est un spectacle total : parties théâtrales, danses, intermèdes chantés par une chanteuse traditionnelle de Flamenco accompagnée d’un orchestre de chambre. Face à un succès plus que mitigé à la création, en 1915, Falla retravaille l’œuvre en profondeur l’année suivante et, tout en supprimant les dialogues, prévoit de confier le chant à une mezzo-soprano classique et les parties orchestrales à un orchestre symphonique. Enfin, en 1925, l’Amour sorcier devient un ballet qui sera popularisé grâce à la danseuse et chorégraphe Antonia Mercé y Luque, mieux connue sous le nom de La Argentina. Le livret de l’Amour sorcier est dû à Gregorio Martinez Sierra. Et l’argument en est pour le moins original : Cardela, une gitane est littéralement harcelée par le fantôme de son ancien amant. Ayant d’autres projets conjugaux (elle aime un autre homme, bien vivant:
Carmelo), elle imagine d’aiguiller l’encombrant revenant vers une autre femme… Pour conclure…. L’art mélodique (vocal ou instrumental) de Falla est réellement le fait d’un maître d’une école nationale, comme il s’en créa tant dans l’Europe dès le milieu du 19ème siècle, et jusqu’à la seconde guerre mondiale. Mais, par un concentré des effets compositionnels et, au fil de sa production, avec une forme d’ascèse dans l’écriture, Falla transcende la carte postale pour accéder à une expression universelle Ainsi que nous le dit Marie-Catherine Baclin, interprète de ces pages magnifiques, « Falla élabore une musique enracinée, créée à partir d’un matériau mélodique populaire. Son art est puissant, riche, somptueux et l’on doit le vivre dans son intimité pour en pénétrer le secret. Sa musique est un mélange de poésie, d’ascétisme et d’ardeur qui représentent en profondeur l’esprit de l’Espagne et sa pureté. »
Marie-Catherine Baclin Originaire de Marche-en-Famenne, la mezzo-soprano Marie-Catherine Baclin, après avoir obtenu un Master en Psychologie à l’Université de Liège, étudie le chant au Conservatoire Royal de Liège dans la classe de Nicolas Christou. Elle participa à plusieurs Master Class notamment avec Louis Langrée ou Noëlle Barker. Elle vient d’obtenir un master ainsi que l’agrégation en chant lyrique à l’IMEP (Institut supérieur de musique et de pédagogie) avec Ana Camelia Stefanescu et Françoise Viatour. Cette dernière la mettait également en scène, en mars 2012 dans la Vie Parisienne de Jacques Offenbach où elle jouait le rôle de « Métella ». En août 2009, elle chantait comme soliste au Palais Royal de Belgique pour l’anniversaire de mariage de nos souverains. Elle a chanté plusieurs représentations de la Missa longa de Mozart mais aussi le Stabat Mater de Dvorak, de Pergolesi, le Requiem de Verdi, la Petite messe solennelle de Rossini,... . Elle faisait partie de l’octet composé par René Jacobs pour le festival d’Innsbruck (Autriche) dans l’opéra Eliogabalo de Francesco Cavalli. On a pu l’entendre lors d’une tournée dans le rôle de Candella (L’amour sorcier : Manuel de Falla) à la salle philharmonique de Liège ainsi que plusieurs représentations au Zénith de Rouen sous la direction de Patrick Baton. En mars 2009, elle obtient le deuxième prix au concours international de chant d’Ans. Elle fut aussi finaliste du Concours international de chant lyrique de Nîmes. Elle crée en 2010 le spectacle Troubadours avec le chef d’orchestre Xavier Haag. Elle estime tout particulièrement les compositeurs tels que Massenet, Saint-Saëns ou Verdi mais apprécie aussi de nombreux styles musicaux. Daniel THONNARD est né à Verviers, en Belgique. Très jeune, il commence le piano et poursuit ses études au Conservatoire Royal de Musique de Liège où il remporte les plus hautes récompenses en Musique de Chambre, Piano et Piano d’accompagnement. A l’âge de 14 ans, il est lauréat du Concours National « Prix des Jeunes ». En 1981 : Prix des Universités Populaires et Prix du Cercle Royal de la Ville de Bruxelles. Ensuite, il obtient le Prix de la
Province Liège, et par deux fois, est lauréat au Concours National Pro Civitate… Ce palmarès impressionnant pour un si jeune artiste le classe d’emblée parmi les talents marquants de sa génération. Le talent pianistique de ce jeune virtuose belge le porte à la réussite de toutes les disciplines musicales et artistiques qu’il s’est choisies, aussi bien en tant que soliste, chambriste ou accompagnateur qu’en tant que musicien de Jazz-Variété ou même lors de quelques prestations de comédien. MARÍA LUISA RICO PANADERO Née à Cádiz le 16 Avril 1989, en Espagne. Maria Luisa découvre le flamenco avec son père et plus tard, à l’âge de 6 ans, suit des cours de flamenco et de ballet. Elle découvre le violon à l’âge de 9 ans, au Conservatorio de Grado Elemental “Rafael Taboada” à El Puerto de Santa María. María Luisa fait partie de la Joven Orquesta de Cámara de Jerez “Beigbeder”. Même si elle adore son pays, Maria Luisa décide de partir à l’étranger pour perfectionner sa technique et sa musicalité en violon. Elle débarque en Belgique en 2008 et commence ses études Supérieures à l’IMEP, à Namur sous la férule du professeur Marc Danel. En Belgique, elle participe aux projets des “Musiciens d’Europe” et vit un échange avec le Jeune Orchestre de Verone. Maria Luisa ne s’illustre pas uniquement en musique classique, mais bien également en musique traditionnelle ou du monde. Elle joue également de la musique de bal en duo avec un accordéoniste (duo Triolé).
7 Canciones Populares Españolas 1. El Paño Moruno (Au drap mauresque) Poème de Gregorio Martínez Sierra (1881-1947) Al paño fino, en la tienda, una mancha le cayó; Por menos precio se vende, Porque perdió su valor. ¡Ay!
Au drap très fin, dans la tienda, Si quelque tache apparaît A faible prix qu’on le vende ! Il a perdu sa valeur Ay !
2. Seguidilla Murciana (Séguedille murcienne) Cualquiera que el tejado Tenga de vidrio, No debe tirar piedras Al del vecino. Arrieros semos; ¡Puede que en el camino Nos encontremos! Por tu mucha inconstancia Yo te comparo Con peseta que corre De mano en mano; Que al fin se borra, Y créyendola falsa ¡Nadie la toma!
Que celui qui possède Un toit de verre Ne jette pas de pierres A son voisin Muletiers sommes. Et sur la route On se rencontre ! Pour ta grande inconstance, Je te compare Aux pesetas qui passent De l’un à l’autre Et qui se rayent, Alors les croyant fausses Tous les refusent !
3. Asturiana Por ver si me consolaba, Arrime a un pino verde, Por ver si me consolaba. Por verme llorar, lloraba. Y el pino como era verde, Por verme llorar, lloraba.
Cherchant qui me consolera, Je m’approchai d’un pin très vert, Pour voir s’il me consolerait. Me voyant pleurer, il pleura ! Et comme il était vert ce pin, Me voyant pleurer, il pleura !
4. Jota Dicen que no nos queremos Porque no nos ven hablar; A tu corazón y al mio Se lo pueden preguntar. Ya me despido de tí, De tu casa y tu ventana, Y aunque no quiera tu madre, Adiós, niña, hasta mañana. Aunque no quiera tu madre... 5. Nana Duérmete, niño, duerme, Duerme, mi alma,
Nul ne croit à notre amour Parce que nous le taisons; Mais à ton âme, à la mienne Ils le peuvent demander. Nul ne croit à notre amour Parce que nous le taisons. Il me faut quitter déjà Ta fenêtre et ta maison. Que le veuille ou non ta mère ; Adieu : à demain ma niña. Il me faut partir déjà. Que le veuille ou non ta mère... Dormez bien niña, dormez Dormez, mon âme,
Duérmete, lucerito De la mañana. Naninta, nana, Naninta, nana. Duérmete, lucerito De la mañana.
Dormez bien, belle étoile Du clair matin. Nanita, nana. Nanita, nana. Dormez bien, belle étoile Du clair matin.
6. Canción (chanson) Por traidores, tus ojos, voy a enterrarlos; No sabes lo que cuesta, »Del aire« Niña, el mirarlos. »Madre a la orilla Madre« Dicen que no me quieres, Y a me has querido... Váyase lo ganado, »Del aire« Por lo perdido, »Madre a la orilla Madre«
Tes yeux, comme ils sont traîtres ! Qu’on les enterre ! Tes yeux, comme ils sont traîtres, Qu’on les enterre ! Sais-tu ce qu’il en coûte, « Del aire » De les regarder ? « Madre laorilla » De les regarder, Madre Tu n’as plus d’amour pour moi, Mais tu fus mienne… Tu n’as plus d’amour pour moi, Mais tu fus mienne… Mon gain d’autrefois vaut plus « Del aire » Que ce que je perds.
7. Polo ¡Ay! Guardo una, ¡Ay! Guardo una, ¡Ay! ¡Guardo una pena en mi pecho, ¡Guardo una pena en mi pecho, ¡Ay! Que a nadie se la diré! Malhaya el amor, malhaya, Malhaya el amor, malhaya, ¡Ay! ¡Y quien me lo dió a entender! ¡Ay!
Ay ! Dans mon coeur Ay ! Je garde une peine amère Ay ! A nul je ne la dirai ! Maudit soit l’amour, maudit Ay ! Et qui me l’a fait comprendre Ay !
L’amour sorcier 1) CHANSON DU CHAGRIN D’AMOUR Ay! Yo no se que siento, ni se que me pasa cuando este mardito gitano me farta. Candela que ardes, mas arde el infierno que toita mi sangre abrasa de celos! Ay! Cuando el rio suena que querra decir? Ay! Por querer a otra se orvia de mi! Ay! Cuando el fuego abrasa. Cuando el rio suena,
Je sens dans mon âme un sourd je ne sais quoi Quand cet homme infâme n’est pas auprès de moi Feu qui brûle en moi, Je crains moins ta flamme que la jalousie qui me brûle l’âme Ha ! La rivière, amie, murmure toujours Ha ! Et l’ingrat m’oublie pour d’autres amours Ha ! Ce feu qui brûle en moi Ce sourd je ne sais quoi Larmes, éteignez-le en moi Ah ! je sens mourir mon cœur
si el agua no mata el fuego a mi el penarme condena! A mi el querer me envenena! A mi me matan las penas! Ay! Ay!
Martyrisé de douleur D’un amour traitre et menteur Ha !
2) CHANSON DU FEU FOLLET Lo mismo que er fuego fatuo lo mismito es er quere (bis) Le huyes y te persigue le llamas y echa a corre Lo mismo que er fuego fatuo lo mismito es er quere Malhaya los ojos negros quele alcanzaron a ver Malhaya el corazon triste que en su llama quiso arde lo mismo que el fuego fatuo se desvanece el querer
L’amour est flamme et caprice, L’amour est un feu follet Vous le suivez, il s’esquive Il vous suit quand vous fuyez L’amour est flamme et caprice, L’amour est un feu follet Malheur aux yeux qui voulurent voir sa flamme voltiger Malheur au cœur misérable qui, dans sa flamme, a brûlé L’amour est flamme et caprice, Qui fuit comme un feu follet
3) RITUEL DE LA DANSE DU FEU 4) DANSE DU JEU D’AMOUR Tu eres aquel mal gitano que una gitana quera el querer que ella te daba tu no te lo merecias quien lo habia de decir que con otra la vendia Soy la voz de tu destino soy el fuego en que te abrazas soy el viento en que tu suspiras soy la mar en que naufragas soy la mar en que naufragas
C’est toi cet amant infâme Que mon cœur croyait sincère Mais l’amour de ma pauvre âme Tu ne le méritais guère Tu faisais à mon amour Des promesses mensongères Je suis la voix qui parle en ton ombre Je suis la flamme qui te consume Je suis l’air que tu soupires Je suis la mer où ton âme sombre
5) LES CLOCHES DU MATIN
Ya esta despuntando el dia cantad campanas cantad que vuelve la gloria mia
Voici la clarté du jour Chantez, les cloches, ma joie Voici venir ma gloire
A Namur votre spécialiste en classique et jazz
MUSIQUE LOISIRS
Par Mark Sound. Un choix encore plus vaste!
Rue des Carmes, 32 5000 Namur Tel : 081/22 49 59. MARKSOUND.BE
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festival musical de namur 2012
espagnes
prochains concerts CE SOIR Vendredi 13 juillet 19h30 / 21h00 / 22h30 Eglise Saint-Loup, Cour de l’Athénée Barroco y salsa Solistes et orchestre du Concert de l’Hostel Dieu Mango Son 1ère partie : Negrillos & villancicos des manuscrits d’Oaxaca et Guatemala 2ème partie : Guaracha, chuchumbre, fandango, Bolero... 3ème partie : Salsa, chachcha, Timba Samedi 14 juillet 20h00 Spectacle flamenco Cinco Maneras de Ausencia Raul Corredor Samedi 14 juillet 21h30 Bal du Gouverneur Eric Mathot et le Tivoli Band Une nuit à Barcelone! Alternant fox swing, slow canción, mambo, cha-cha-cha, merengue et tango, … et paso-doble, cette soirée nous fera découvrir des trésors méconnus de cette fascinante ville méditerranéenne.