Le Miscanthus : TOUT LE POIDS ÉCOLOGIQUE D’UNE GRAMINÉE A Bomal, la société Promisc a offert à l’herbe à éléphant le terrain nécessaire à la protection de l’environnement. Vu de l’extérieur, on pourrait le comparer au bambou. Toutefois, le Miscanthus dans sa version « sinensis giganteus » a bien d’autres atouts à valeur pro-environnementale. Cette graminée au bilan carbone positif se montre très active dans des secteurs aussi variés que la biomasse, la lutte contre
le ruissellement ou encore l’agriculture biologique. Une variété pérenne qui risque d’apporter un solide coup de pouce écologique à la nature. Pour Renaud Fabri, gérant de la société, l’aventure a démarré en 2008. « Le secteur agricole était en pleine crise, Un de mes très bons amis (devenu depuis associé dans Promisc) avait planté 6 hectares de Miscanthus dans sa ferme de Thuillies. On en est désormais à un total de 230, pour l’essentiel en Wallonie. » En moins de 10 ans, Renaud Fabri (associé à un agriculteur, un bio-ingénieur et un physicien) gère désormais la seule société wallonne dont les activités se concentrent sur le développement de la culture du Miscanthus et de ses utilisations. La plante n’a aucun mal à s’adapter à notre climat malgré ses origines asiatiques. « Tout ce dont elle a besoin, c’est de lumière et d’eau. C’est une graminée stérile qui n’est pas traçante. » Aucun risque donc de la voir se disperser dans les champs du voisin. En plus, sa durée de vie est de 20 à 25 ans . Il se développe à partir de rhizomes qui au bout de 4 ans, donne lieu à 80 plantules qui peuvent atteindre jusque 4,5 m de haut dans sa version « giganteus ». Sa prise en charge n’est guère compliquée. « Du printemps à l’automne la plante va partir du rhizome et monter. A l’automne, elle entre en sénescence et on la récolte au printemps, sous forme de cannes sèches. » Une matière première 100 % écologique qui se soucie peu de l’endroit où on l’installe : terres en friche, humides, difficiles d’accès,... Une fois planté, c’est parti pour quelques années. Les communes intéressées Le Miscanthus se présente aussi sous forme de paillis. « C’est une matière qui a potentiel d’absorption important, ce qui limite aussi l’arrosage, explique le gérant. En plus, il permet de couvrir le sol pour
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L’enjeu croissant de
l’automatisation Derrière notre épaule, il y a un petit siècle et demi, le Russe Fiodor Blinov enfantait le premier tracteur agricole mû par la seule force de la vapeur. Devant nous, à une distance difficilement estimable, la descendance de ce véhicule, devenu indispensable à la marche du monde, progressera probablement seule, sans assistance humaine, s’attelant, inlassablement, à cette tâche qui éreinta quotidiennement des générations de dos râblés. Le processus porte un nom : l’automatisation. Il vise à permettre, à terme, l’exécution presque totale des ouvrages techniques par la machine. Laissant le loisir à l’homme de se concentrer sur des activités moins ingrates. Cette course vers l’autonomie constitue, à n’en pas douter, le fer de lance de nombreuses innovations technologiques récemment introduites dans le marché agricole. « On est encore loin du compte, mais, chaque année, de nouvelles avancées permettent de s’en approcher un peu plus », explique Olivier Descampe, responsable de la marque Claas pour le fournisseur de matériel agricole Hilaire Van Der Haeghe. Pleinement inscrits dans cette dynamique, les systèmes de GPS et de téléguidage fleurissent un peu partout sur les tableaux de bord des tracteurs. « Le GPS fait avancer la machine tout droit dans une ligne de champ, sans qu’il faille s’inquiéter des imperfections de cette dernière. Arrivé en bout de ligne, le fermier appuie sur un bouton, permettant au système d’accomplir la manoeuvre et de repartir
efficacement en sens inverse », poursuit Olivier Descampe. En sus du téléguidage, ces nouvelles technologies assurent encore l’accomplissement de missions telles que la prise de puissance sur un outil annexe. « Il y a un ordinateur de bord dans le tracteur qui permet d’enregistrer des tâches, comme donner une certaine pression d’huile sur un distributeur hydraulique de manière à faire fonctionner la machine accrochée au tracteur. L’ordinateur de bord gère la programmation de ces tâches et envoie les informations. Relever la machine à l’arrière, relever une bâche... Plus besoin d’activer la machine manuellement, elle s’en charge elle-même. »
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Parce que le tracteur est un outil généraliste, aux fonctions multiples, il est peu aisé de l’automatiser en profondeur. A contrario, les concepteurs ont déjà pu aller beaucoup plus loin sur les machines plus spécifiques que sont les moissonneuses-batteuses. « On sait automatiser complètement ses tâches, qu’il s’agisse de conduite ou de réglages plus spécifiques. Le chauffeur, car il y en a toujours un, lui donne la stratégie. Aller rapidement, opérer un travail plus minutieux ... Ça fonctionne grâce à un système de dialogue entre la machine et le conducteur. Cette première lui demande quel type de culture il traite, quelle variété, ce qu’il veut en faire... Puis s’exécute en fonction ! » Selon Olivier Descampe, ces innovations aident à réduire la pénibilité du travail d’agriculteur, d’une part, et à en accroître l’efficacité, de l’autre. « Maintenant, les pulvérisateurs sont équipés d’ampoules LED. Ça permet de travailler plus tard dans la journée, même quand il fait nuit. Avec le GPS dans le tracteur, les éclairages et les technologies modernes, on peut oeuvrer bien plus longtemps et plus efficacement. Les nouvelles technologies aident aussi à augmenter la productivité sur des espaces qui, eux, restent figés. Avec les phénomènes de désertifications et d’urbanisation, ces espaces ont même tendance à diminuer à l’échelle mondiale. Moins de terres alors qu’il nous faut nourrir plus de personnes. C’est là que les technologies rentrent en jeu.» Il reste cependant un caillou dans la botte des par-
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tisans de l’automatisation généralisée : le problème de la standardisation des protocoles de communication électronique entre les tracteurs de différentes marques, les équipements, les ordinateurs... « L’horizon d’investissement d’un agriculteur est variable. Tout le monde ne change pas de tracteur régulièrement. Raison pour laquelle la propagation rapide de ces standards leur faciliterait la vie. Une grande partie des constructeurs de tracteurs, de moissonneuses-batteuses ou de distributeurs d’engrais se trouvent en Allemagne. Pour pallier ce problème, ils ont créé une association qui oeuvre à l’établissement de standards. Quand ces standards sont acceptés par ces grandes marques allemandes, ils se généralisent vers les autres producteurs. » Nicolas Lahaut
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le champion de Pierre Pilarski sera associé au meilleur driver français Franck Nivard.
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Oui, mais de la Holstein ! Tendez une poignée de feutres à votre chère tête blonde et proposez-lui d’esquisser une coquette vache. Si l’enfant réfrène ses potentielles aspirations warholiennes, que son idée artistique de la bête a su résister à l’insidieuse influence de la dernière publicité Milka, il vous présentera, à n’en pas douter, un décor champêtre investi par un animal à la blanche
et noire robe. Sans le savoir, il vient de reproduire, avec une fidélité plus ou moins variable selon ses talents, la célèbre Holstein. Si cette race bovine a su supplanter, dans l’esprit populaire, les Angus toutes de noir vêtues, les Hereford à robe rouge, les Jersiaise couleur fauve ou les grises Brown swiss, c’est indéniablement pour son statut de championne du monde en matière de production laitière. Car son lait en aura nourris, des marmots de par le monde. Originaire de Frise, cette région historique du Nord Ouest européen qui correspond, grosso modo, au littoral germano-néerlandais, la Holstein produit annuellement, en moyenne, quelque 10.000 kilos de son divin breuvage. De quoi rassasier un bon paquet d’amateurs de nectars lactés. Et convaincre le reste de la planète de faire appel à ses services ! Dès le 17e siècle, les Hollandais importèrent l’animal en Amérique où, à force de sélection, il va accroître sa longévité et sa capacité de production au point de se différencier de son homologue européen. C’est essentiellement courant des 19e et 20e siècles qu’il se répandra dans toute l’Europe. À l’aube du troisième millénaire, l’introduction de reproducteurs Holstein américains dans nos contrées va modifier les caractéristiques de la race. En France, on l’appellera désormais la Prim’holstein. De grande taille (1,45m de moyenne, à hauteur du sacrum, chez la femelle), elle peut peser de 600 à 1200 kilos en fonction de son sexe. À Libramont, chaque année, la nuit de la Holstein propose un concours « Open Benelux » inédit en Europe. Rassemblant les amoureux de cette race formidable, elle offre aux éleveurs wallons (et à ceux du Benelux) la possibilité de promouvoir la qualité d’un animal qui n’en a pas fini de faire parler de lui.
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Le Quinoa : Les perles poussent en terres andennaises Quentin Flamand a décidé d’importer un peu d’Amérique du Sud dans la ferme familiale en se lançant dans la culture du quinoa. Son nom : « Les Perles de ma Terre ». La Ferme du Chant d’Oiseaux à Landenne-sur-Meuse (Andenne). Un petit coin de paradis qui, depuis 25 ans, a décidé de faire ses classes dans le cadre d’un accueil à vocation pédagogique. Une volonté de diversification qui, désormais, joue les prolongations côté champs. Après les asperges vertes et le melon, c’est au tour du quinoa de prendre racine à Landenne. Avec un souci de perfection. A l’image de ces « Perles », à découvrir en circuit court. Tout a démarré en 2014 avec les premiers essais. « Nous avons démarré avec une petite parcelle d’un demi hectare pour voir comment la culture se comportait, commente Quentin Flamand. Cette annéelà, nous n’avons même pas pu récolter. » Un échec qui a permis de servi de tremplin au projet, grâce à un passage par le Pérou. C’est là que Quentin et sa famille ont pu acquérir l’expertise de ce qui constitue un « classique » en Amérique du Sud. Une démarche perçue positivement par un partie du globe qui a désormais concentré l’essentiel de ses cultures à cette plante afin de répondre à une demande de plus en plus forte, notamment de l’Europe. « Nous avons pu discuter avec des personnes qui nous ont conseillés sur une ou deux variétés spécifiques,
susceptibles d’être adaptées à notre climat. » Une variété, des conseils et du matériel introuvables chez nous (comme une machine à scarifier et trier) ont permis d’amorcer la culture de ces perles qui désormais ont pris leurs quartiers sur 20 hectares. A cela s’ajoutent tous les produits nécessaires à la culture : les besoins en azote, en potasse, en phosphore... Soit les ingrédients nécessaires pour offrir au quinoa tous les atouts pour se développer de manière optimale sur des terres qui, initialement, n’ont guère l’habitude d’accueillir ce type de graines. Résultat : la Ferme du Chant d’Oiseaux s’est donc inscrite comme précurseur dans le domaine. Non sans mal : « C’est un parcours du combattant qui doit être livré du début à la fin. » Comme du bio Inutile de préciser que la culture se conçoit comme du bio mais qu’il ne peut en porter l’appellation parce que la terre qui accueille la culture du quinoa n’est pas certifiée comme telle. Pas d’herbicide, pas de pesticide. Juste le passage d’une bineuse pour nettoyer au mieux le terrain et une finition qui s’effectue à la main. Des analyses sont consenties de manière régulière, ce qui permet aux
L’amour de la terre a un nom :
Béole reprend des cours du soir, suivi de stages. Des étapes passées sans encombre.
A 24 ans, Jade Denis a décidé de laisser de côté sa carrière de DRH pour fabriquer du beurre artisanal. Authentique à l’image de cette jeune agricultrice. Il vous faudra chercher pour la trouver. Jade, comme son prénom le raconte si bien, est quelqu’un de rare. C’est dans une magnifique ferme isolée du hameau de La Béole (dans la localité de Flostoy), qu’elle invente son futur. A 24 ans, avec l’aide de son compagnon Thomas, lui-aussi agriculteur, elle a décidé de suivre le même chemin que sa famille emprunte depuis 4 générations. Celui nourri par l’amour de la terre. Ne vous fiez pas aux apparences. Petite et fluette, Jade est quelqu’un de déterminé. Alors qu’elle s’engage dans un cursus de DRH (un boulot qu’elle exercera durant un an), elle décide de renouer avec ce qui fait son histoire : l’agriculture. Pour ce faire, elle
Vient le temps de de se fixer un objectif. Elle décide de reprendre le troupeau de vaches de son père et de se lancer dans l’aventure du beurre artisanal, à la Béole dans la ferme des parents de son compagnon. Un milieu qu’elle connaît. « Chez mon père, on trayait à l’ancienne. C’est très fatigant physiquement. Je me suis toujours dit qu’un jour, je le soulagerais de ce travail. » Une promesse tenue sur laquelle vient désormais se greffer celle de se diversifier. Son atelier de transformation, elle l’a aménagé ellemême avec l’aide de Thomas. Tout comme les recettes de ses beurres qu’elle n’hésite pas à mêler à l’ail, à la figue ou aux des tomates séchées. Rigoureuse, cette artisane du bien élever et bien manger a dû passer par les contrôles de l’AFSCA. Son produit : elle le veut « local et inscrit dans un circuit court. » Ses bénéficiaires ? Les voisins, les amis mais aussi les magasins de proximité et les restaurants, le tout dans un rayon de 80 km. « Cela fonctionne beaucoup grâce au bouche-à-oreille ». Mais sa meilleure publicité, c’est son énergie à atteindre ses buts. Et avec l’aide de sa famille et de ses proches, elle y parvient. « Je suis parfois triste de l’image que l’on renvoie des agriculteurs. On se fait parfois attaquer pour tout et n’importe quoi. » Un petit tour par les installations suffit à convaincre. Et puis les retours via les réseaux sociaux sont positifs. « Les gens nous encouragent. » Les heures consacrées au travail sont nombreuses. Néanmoins, à Béole, on se donne aussi le temps de sortir et de respirer. « Le tout est de s ‘organiser. On prend aussi du temps pour nous, » concèdet-elle. Une agriculture à visage humain, respectueuse des animaux et de l’environnement et bien décidée à perdurer. Contact : 12, Béole, à Flostoy. 0477/39.60.69 ferme.labeole@gmail.com ou sur Facebook
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