DHL Etrusques:Format carrĂŠ
13/04/10
17:14
Page 1
DHL Etrusques:Format carrĂŠ
13/04/10
17:14
Page 2
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 5
D . H . L AW R E N C E
CROQUIS ÉTRUSQUES Traduction de l’anglais par Jean-Baptiste de Seynes Préface de Gabriel Levin Appareil critique établi par Simonetta de Filippis pour la Cambridge Edition of the Works of D. H. Lawrence Notice traduite par Élisabeth Vialle
LE BRUIT DU TEMPS
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 6
Ouvrage traduit et préparé avec le concours du Centre national du livre.
The Cambridge Edition of the text of « Sketches of Etruscan Places »
from SKETCHES OF ETRUSCAN PLACES AND OTHER ITALIAN ESSAYS now correctly established from the original sources and first published in 2002 © The Estate of Frieda Lawrence Ravagli 2002, pour l’établissement du texte anglais. © Cambridge University Press 2002, pour l’appareil critique. © Le Bruit du temps, 2010, pour la traduction française et la présente édition.
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 81
C H A P I T RE I I I
L E S T O M B E S P E I N T E S D E TA R Q U I N I A • I
Nous nous arrangeâmes avec le guide pour qu’il nous emmène voir les tombes peintes,
qui sont la vraie gloire de Tarquinia. Nous nous mîmes en route après le déjeuner, montâmes jusqu’en haut de la ville et passâmes la porte sud-ouest sur la crête plate de la colline. En jetant un regard en arrière, on aperçoit le rempart médiéval de la cité, aveugle, avec en dessous un fragment de mur plus ancien, noir. À peine passée la porte on croise une ou deux maisons neuves esseulées, puis on poursuit sur le long plateau que traverse la route blanche qui descend vers Viterbe, plus loin à l’intérieur des terres. «Toute la colline devant nous, ce ne sont que des tombes ! nous dit le guide. Partout des tombes ! La cité des morts…» Eh bien ! cette colline est donc la nécropole ! Les Étrusques n’enterraient jamais leurs morts dans l’enceinte de la ville. Le cimetière moderne et les premières tombes étrusques sont si proches de la porte de la ville actuelle qu’ils la touchent presque. Or, si l’antique cité de Tarquinia se trouvait sur cette colline où nous sommes, elle ne pouvait occuper plus de place que la petite ville qui compte aujourd’hui quelques milliers d’habitants. Ce qui semble impossible. Il est bien plus vraisemblable que la cité elle-même couvrait la colline opposée qui court en parallèle, splendide, inviolée. Nous traversons un lopin de friches où la pierre surgit de terre, où frémissent les premières cistes de crête, où l’asphodèle dresse la tête. Voici donc la nécropole. Jadis on y voyait de nombreux tumulus, des allées de tombes ; aujourd’hui, plus trace de tombes 81
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 82
CROQUIS ÉTRUSQUES
ni de tumulus, rien que le dos d’une colline âpre et nue couverte de pierres, d’herbe rase et de fleurs, avec à droite la mer qui scintille sous le soleil, et vers l’intérieur des terres la douce brûlure d’un vert très pur. On aperçoit un petit pan de mur, destiné peut-être à abriter un abreuvoir. Notre guide s’y dirige tout droit. C’est un jeune homme gras et placide qui ne semble aucunement intéressé par les tombes. Ce en quoi nous nous trompons. Il en sait long, se montre éveillé et sensible, parfaitement discret, et s’avère finalement un compagnon aussi agréable qu’on pouvait le souhaiter pour une telle visite. Le pan de mur est en réalité un petit ressaut de maçonnerie avec une porte en fer ouvrant sur un étroit escalier qui descend sous terre. On tombe dessus tout soudain, dans le grand vide râpeux de la colline. Le guide s’agenouille pour allumer sa lampe à acétylène, et son vieux terrier se couche à ses pieds, résigné sous le soleil et les assauts d’un vent perpétuel soufflant du sud-ouest sur ces longs plateaux nus. La lampe se met à briller, et à sentir, puis brille sans plus d’odeur. Le guide ouvre la porte métallique, et nous descendons l’escalier raide jusqu’au cœur de la tombe. L’impression d’être dans un trou noir sous la terre : un trou noir exigu, après le soleil du monde d’au-dessus! Mais la lampe du guide nous éclaire et révèle une étroite chambre taillée dans le roc, juste une petite cellule nue où aurait pu vivre quelque anachorète. C’est si petit, si nu, si familier… rien à voir avec les tombes spacieuses et splendides de Cerveteri. La lampe est puissante, et nos yeux s’étant accoutumés, nous distinguons les peintures sur les parois. C’est la tombe de la Chasse et de la Pêche, qui doit son nom aux représentations figurées sur les murs, et dont on suppose qu’elle date du VIe siècle avant J.-C. Toutefois, elle est très endommagée. Des morceaux de mur sont tombés, l’humidité a rongé les couleurs à la tempera et il semble qu’il ne reste plus rien, sinon notre déception. Peu à peu cependant, nous habituant à la pénombre, nous apercevons des 82
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 83
Tombe de la Chasse et de la Pêche.
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
Tombe de la Chasse et de la Pêche.
17:22
Page 84
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 85
LES TOMBES PEINTES DE TARQUINIA
•
I
vols d’oiseaux qui, à travers la brume, surgissent de la mer, l’impulsion de la vie encore attachée à leurs ailes. Encouragés, nous nous rapprochons. Tout autour de la petite chambre, des fresques donnant à voir la mer et des cieux lumineux, des oiseaux qui voltigent et des poissons qui bondissent, ainsi que de petits fragments d’hommes occupés à chasser, pêcher ou manier l’aviron. La partie basse du mur est toute d’un bleuvert de mer, une mer dont la surface silhouettée nous encercle de ses ondulations. De la mer émerge un grand rocher duquel un homme nu, une ombre, distinct pourtant, plonge, parfaitement net et beau, dans la mer, tandis que derrière lui un compagnon gravit la roche et que, sur l’eau, une barque attend, rames au repos, où sont trois hommes qui observent le plongeur, celui du milieu est debout, nu, les bras levés. Dans le même temps un dauphin jaillit derrière l’embarcation, une nuée d’oiseaux s’élancent dans l’air pur vers la roche à franchir. Au-dessus de tout cela, bordant le haut du mur, courent des bandeaux de couleur auxquels sont suspendues les habituelles boucles de guirlandes, des guirlandes de fleurs et de feuilles, de bourgeons et de baies, ces guirlandes qui sont l’apanage des jeunes filles et des épouses et qui représentent le cercle floral de la vie de la femme et du sexe féminin. La bordure la plus haute est constituée de rayures ou de rubans horizontaux qui font le tour de la pièce et sont de couleur rouge, noir ou or terne, mais aussi bleu ou jaune primevère, des couleurs qu’on retrouve invariablement. Les hommes sont presque toujours peints d’une couleur rouge sombre, qui est celle de nombreux Italiens quand ils s’exposent nus au soleil, ce que faisaient les Étrusques. Les personnages féminins sont plus pâles, en raison du fait que les femmes ne se promenaient pas nues sous le soleil. Au fond de la pièce, où le mur présente un renfoncement, est peint un autre rocher émergeant de la mer, sur lequel un homme armé d’une fronde vise des oiseaux qui s’éparpillent en tous sens. À distance du rocher se tient une barque dotée d’une grande pagaie, barque au milieu de laquelle un homme nu adresse un étrange salut au frondeur, 85
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 86
CROQUIS ÉTRUSQUES
tandis qu’un autre homme agenouillé, tournant le dos aux autres, se penche par-dessus la proue pour mouiller un filet. Sur la proue on remarque un très bel œil peint, qui permet à la barque de voir où elle va. Aujourd’hui à Syracuse, vous verrez nombre de ces bateaux à deux yeux qui viennent s’arrimer au quai. Un dauphin plonge dans la mer, un autre en surgit. Les oiseaux virevoltent sous les guirlandes suspendues à la bordure. Tout cela ramassé, gai, jaillissant de vie, spontané comme seule la jeunesse sait l’être. Si seulement ce n’était pas si abîmé, on se réjouirait de tant de fraîche vivacité. Rien d’impressionnant ou de grandiose. Mais à travers le blêmissement du temps et les outrages des hommes on perçoit encore ici le nerveux ondoiement de la vie, l’éternité de l’instant naïf : cela, les Étrusques le connaissaient. La petite tombe est vide, n’étaient ces peintures ombreuses. On n’y trouve aucun lit de pierre, seulement une niche profonde destinée à accueillir des vases, vases qui peutêtre renfermaient des choses précieuses. Le sarcophage était posé sur le sol, peut-être sous le frondeur du mur du fond. Et il n’y en avait qu’un, car cette tombe est une tombe individuelle, réservée à une seule personne comme c’est l’habitude dans les plus anciens hypogées de cette nécropole. Sur le mur du fond, le triangle du pignon au-dessus du frondeur et de la barque accueille l’une de ces scènes de banquet funéraire si fréquentes chez les Étrusques. Le défunt, malheureusement en partie effacé, est allongé sur sa couche de réjouissances en appui sur son coude, une coupelle de vin à la main ; à côté de lui, étendue mais également à moitié redressée, une belle femme couverte de bijoux et vêtue de robes ravissantes, dont la main gauche repose apparemment sur la poitrine nue de l’homme et dont la droite lui tend une guirlande, la guirlande de l’offrande festive de la femme. Derrière l’homme se tient un jeune esclave nu, qui joue peut-être de la musique, tandis que sur le côté un autre esclave nu est en train de remplir un pichet de vin tiré d’une amphore ou d’une jarre magnifique. Aux côtés de la femme, une jeune fille semble jouer de la 86
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 87
Tombe de la Chasse et de la Pêche.
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 88
CROQUIS ÉTRUSQUES
flûte – car dans l’antiquité, il y avait toujours une femme qui jouait de la flûte lors des funérailles. Un peu plus loin, deux jeunes filles sont assises avec des guirlandes, l’une regarde le couple par-dessus son épaule alors que l’autre tourne le dos à la scène. Un peu plus loin encore, dans le coin, à nouveau des guirlandes, et deux oiseaux, on dirait des colombes. Sur le mur à l’arrière de la tête de la femme est dessiné un objet qu’on ne saurait définir, peut-être une cage à oiseaux. La scène est aussi naturelle que la vie, et pourtant elle est chargée d’un archaïsme riche de multiples sens. C’est un banquet en l’honneur d’un défunt, mais dans le même temps celui-ci banquète dans le monde des morts – car, chez les Étrusques, le monde des morts est un endroit joyeux. Pendant que les vivants ripaillaient à l’air libre, devant la tombe du défunt, ce dernier festoyait de même, en compagnie d’une dame qui lui offrait des fleurs et d’esclaves qui lui servaient du vin, dans le lointain monde souterrain. La vie sur terre étant chose si agréable, celle d’en dessous ne pouvait qu’en être la continuation. Cette croyance profonde en la vie, cette acceptation de la vie nous apparaissent caractéristiques des Étrusques. Ce qui en demeure dans les tombes peintes est encore vivace. Tous les mouvements sont empreints de séduction, comme dansés, même ceux des esclaves nus. Ceux-ci ne sont d’aucune manière des inférieurs opprimés, les Romains pourront en dire plus tard ce qu’ils voudront. Dans ces tombes, les esclaves regorgent de vie. Nous remontons l’escalier vers le monde des vivants, sa brise marine et son soleil. Le vieux chien se traîne, le guide éteint sa lampe et verrouille la porte, nous repartons, le chien attachant son apathie aux talons de son maître, tandis que celui-ci lui parle avec cette douce familiarité italienne qui semble si éloignée de l’esprit romain, de ces Latins à la détermination sans faille. Dans le clair après-midi d’été, le guide nous pilote à travers le plateau jusqu’à un autre petit ressaut de maçonnerie. On remarque alors qu’il y a un certain nombre de ces 88
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 89
LES TOMBES PEINTES DE TARQUINIA
•
I
petits ouvrages, construits par le gouvernement pour abriter les escaliers qui descendent chacun vers une tombe distincte. C’est complètement différent de Cerveteri, bien que les deux sites ne soient éloignés que d’une soixantaine de kilomètres. Ici, point d’imposants tumulus organisés en cité, avec l’avenue qui passe entre les tombes et, à l’intérieur, ces nobles maisons des morts à plusieurs chambres ; au sommet de la colline, les petites tombes à une seule chambre semblent disséminées au hasard – bien que, si les fouilles étaient menées à leur terme, on s’apercevrait probablement qu’il existe une véritable cité des morts avec ses rues et ses carrefours. Et l’on peut imaginer que chaque tombe était surmontée d’un petit tumulus, si bien que même à la surface, des voies étaient ménagées entre les monticules de terre amassée, avec un accès à la tombe. Toutefois, même si cela avait été le cas, le site de Tarquinia ne ressemblerait pas à celui de Cerveteri, l’antique Caere : les tertres seraient bien plus petits, les rues certainement plus irrégulières. Quoi qu’il en soit, ces étroites tombes à une seule chambre se présentent aujourd’hui éparpillées, et nous plongeons en elles tout comme des lapins rentrant au terrier. Cet endroit est une vraie garenne. Il est intéressant que le lieu apparaisse si différent de Cerveteri. Les Étrusques ont réalisé à la perfection ce qui nous semble être l’instinct italien : des cités uniques, indépendantes, entourées d’une certaine portion de territoire, chaque région parlant son propre dialecte et disposant de sa propre petite capitale où chacun se sent chez lui, ces cités-États étant liées entre elles de façon souple par une religion commune et des intérêts plus ou moins convergents au sein d’une vaste confédération. Même de nos jours, Lucques est une ville très différente de Ferrare, et leurs langues se ressemblent à peine. Dans l’Étrurie antique, cet isolement des cités qui se développaient selon leur propre idiosyncrasie, dans le cadre d’une union ductile appelée à tort ou à raison nation, devait être total. Les contacts entre les populations, entre les gens du peuple de Caere et de Tarquinii, étaient certainement réduits à peu de chose. Ils étaient étrangers les uns aux 89
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 90
CROQUIS ÉTRUSQUES
autres, cela est sûr. Seuls les lucumons, les magistrats régnants issus de familles nobles, ainsi que les prêtres et les autres gens de noblesse, mais aussi les marchands, ont dû maintenir des liens intercommunautaires, parlant l’étrusque « correct » tandis que le peuple, à n’en pas douter, s’exprimait en des dialectes si dissemblables qu’ils en étaient presque des langues propres. Pour se faire une idée juste du passé préromain, il convient de renoncer aux concepts d’unité et d’uniformité et d’imaginer une infinie confusion de différences. Nous plongeons dans une autre tombe qui, nous dit le guide, porte le nom de tombe des Léopards. Chaque tombe s’est vu attribuer un nom pour la distinguer de ses voisines. La tombe des Léopards abrite deux léopards tachetés sur le fronton du mur du fond, entre les deux rampants du toit. D’où son nom. La tombe des Léopards est une petite pièce charmante et accueillante dont les peintures murales n’ont pas été trop endommagées. Toutes les tombes ont été, à quelque degré, abîmées du fait des rigueurs du climat et du vandalisme ordinaire, ayant été laissées à l’abandon comme s’il s’agissait de vulgaires trous après avoir été fracturées et pillées jusqu’à plus soif. Malgré cela, les peintures sont demeurées vives et fraîches : les ocres rouges, les noirs, les bleus et les bleus-verts étrangement s’animent et s’harmonisent sur le fond jaune crème des murs. Dans les tombes, la plupart des parois ont été enduites d’une fine couche de stuc qui, cependant, a l’apparence de la roche même, laquelle est fine et jaune, et se patine en un merveilleux or crémeux, une couleur qui convient parfaitement à un fond. Les murs de cette petite tombe sont une danse de pure délectation. La chambre semble encore habitée par des Étrusques du VIe siècle avant J.-C., des êtres enthousiastes et amoureux de la vie qui ont dû se rassasier de l’existence. Entrent les danseurs et les musiciens, qui se meuvent tout au long d’une large frise en direction du mur du 90
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:22
Page 91
Tombe des Léopards.
DHL Etrusques:Format carré
Tombe des Léopards.
8/04/10
17:22
Page 92
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:23
Page 283
Table des illustrations Lawrence avait réuni lui-même l’iconographie de son livre. Nous lui sommes resté fidèles en utilisant, pour les photographies d’extérieurs, de nouvelles copies de meilleure qualité des mêmes photos d’archives (dont la prise de vue est presque contemporaine de son voyage), mais en remplaçant, pour les fresques de Tarquinia, les reproductions en noir et blanc par des reproductions en couleur qui rendent justice à la « fraîche vivacité » de ces peintures.
Panorama de la nécropole étrusque de Cerveteri
29
Entrée de chambres funéraires portant des inscriptions étrusques, Cerveteri
30
Tombe de l’Alcôve, Cerveteri
33
Tombe des Sarcophages, Cerveteri
34
Tombe des Tarquins, Cerveteri
37
Tombe des Stucs, dite des Reliefs, ou Grotta Bella, Cerveteri
39
Tables funéraires et cippi, Cerveteri
41
Les tombes de Cerveteri recouvertes par la végétation
44
Tombe Regolini-Galassi, Cerveteri
46
Sarcophage des époux, Cerveteri. Rome, Musée Villa Giulia
49
Vue de Tarquinia
61
© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari
© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Pietro Ronchetti © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Anderson
© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari
283
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:23
Page 284
CROQUIS ÉTRUSQUES
L’église Santa Maria in Castello (XIIe siècle), Tarquinia
62
Façade du Palazzo Vitelleschi, place Cavour, Tarquinia
67
Cour intérieure du Palazzo Vitelleschi (XVe siècle), Tarquinia
69
Sarcophage sculpté, Tarquinia
72
Sarcophage du Magistrat, Tarquinia
75
Vases grecs de Tarquinia avec le fameux motif de l’œil et la figure de Bacchus
77
Bronzes et terres cuites de la période archaïque, Tarquinia
78
Tombe de la Chasse et de la Pêche, Tarquinia. Paroi du fond
83
Tombe de la Chasse et de la Pêche, Tarquinia. Jeune homme plongeant d’un récif
84
Tombe de la Chasse et de la Pêche, Tarquinia. Chasse et pêche
87
Tombe des Léopards, Tarquinia. Paroi du fond
91
Tombe des Léopards, Tarquinia. Musiciens
92
Tombe des Léopards, Tarquinia. Scène de banquet
95
Tombe du Triclinium, Tarquinia. Scène de banquet
97
© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © The Art Archive / Corbis
In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 50 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 51 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © The Art Archive / Corbis
© Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 67 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © Luisa Ricciarini / Leemage
284
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:23
Page 285
TABLE DES ILLUSTRATIONS
Tombe du Triclinium, Tarquinia. Danseurs
© Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali
98
Tombe du Triclinium, Tarquinia. Danseuse et joueur de lyre
101
Tombe des Lionnes, Tarquinia. Paroi du fond
105
Tombe des Lionnes, Tarquinia. Homme en train de banqueter
107
Tombe des Bacchantes, Tarquinia. Gazelle assaillie par un lion
121
Tombe des Taureaux, Tarquinia. Scène érotique
133
Tombe des Taureaux, Tarquinia. Scène érotique
134
Tombe des Taureaux, Tarquinia. Achille aux aguets
137
Tombe Francesca Giustiniani, Tarquinia. Paroi du fond, détail
141
Tombe des Augures, Tarquinia. Paroi du fond
145
Tombe des Augures, Tarquinia. Détail où apparaît le « masque »
146
Tombe des Augures, Tarquinia. La fuite du « masque »
149
Tombe du Baron, Tarquinia. Paroi du fond
150
Tombe du Typhon, Tarquinia. Géant aux pieds anguiformes
153
In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 73 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 43 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 48 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 54 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 31 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 87 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 37 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © The Art Archive / Corbis
In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 41 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 55 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 127 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur
285
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:23
Page 286
CROQUIS ÉTRUSQUES
Tombe d’Orcus, ou de l’Ogre, Tarquinia. Les rois de l’Averne
155
Tombe des Boucliers, Tarquinia. Banquet de Larth Velcha
156
Tombe d’Orcus, ou de l’Ogre, Tarquinia. Tête de femme
159
Le vieux pont de la Badia, Vulci
175
Vue de Volterra
195
La Porte de l’Arche, Volterra
197
Le Balze et la Badia, Volterra
199
Atelier où les artisans travaillent l’albâtre, Volterra
203
Urne cinéraire, Volterra. Scène d’adieu et départ en bateau pour l’autre monde
209
Urne cinéraire, Volterra. Voyage en chariot vers l’autre monde
210
Urne cinéraire, Volterra. Actéon et ses chiens
213
Tombe d’Inghirami, Volterra
219
In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 111 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 107 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 101 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Pietro Ronchetti © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Anderson © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari
© Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali
DHL Etrusques:Format carré
8/04/10
17:23
Page 287
Préface de Gabriel Levin
7
CROQUIS ÉTRUSQUES
Cerveteri Tarquinia Les tombes peintes de Tarquinia • I Les tombes peintes de Tarquinia • II Vulci Volterra
19 51 81 125 165 191
Le musée de Florence
223
Carte, précis d’histoire et lieux étrusques
229
Les Croquis étrusques de Lawrence : notice
249
Chronologie
279
Table des illustrations
283
DHL Etrusques:Format carrĂŠ
13/04/10
17:16
Page 288