Lawrence Croquis etrusques

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D . H . L AW R E N C E

CROQUIS ÉTRUSQUES Traduction de l’anglais par Jean-Baptiste de Seynes Préface de Gabriel Levin Appareil critique établi par Simonetta de Filippis pour la Cambridge Edition of the Works of D. H. Lawrence Notice traduite par Élisabeth Vialle

LE BRUIT DU TEMPS


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Ouvrage traduit et préparé avec le concours du Centre national du livre.

The Cambridge Edition of the text of « Sketches of Etruscan Places »

from SKETCHES OF ETRUSCAN PLACES AND OTHER ITALIAN ESSAYS now correctly established from the original sources and first published in 2002 © The Estate of Frieda Lawrence Ravagli 2002, pour l’établissement du texte anglais. © Cambridge University Press 2002, pour l’appareil critique. © Le Bruit du temps, 2010, pour la traduction française et la présente édition.


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C H A P I T RE I I I

L E S T O M B E S P E I N T E S D E TA R Q U I N I A • I

Nous nous arrangeâmes avec le guide pour qu’il nous emmène voir les tombes peintes,

qui sont la vraie gloire de Tarquinia. Nous nous mîmes en route après le déjeuner, montâmes jusqu’en haut de la ville et passâmes la porte sud-ouest sur la crête plate de la colline. En jetant un regard en arrière, on aperçoit le rempart médiéval de la cité, aveugle, avec en dessous un fragment de mur plus ancien, noir. À peine passée la porte on croise une ou deux maisons neuves esseulées, puis on poursuit sur le long plateau que traverse la route blanche qui descend vers Viterbe, plus loin à l’intérieur des terres. «Toute la colline devant nous, ce ne sont que des tombes ! nous dit le guide. Partout des tombes ! La cité des morts…» Eh bien ! cette colline est donc la nécropole ! Les Étrusques n’enterraient jamais leurs morts dans l’enceinte de la ville. Le cimetière moderne et les premières tombes étrusques sont si proches de la porte de la ville actuelle qu’ils la touchent presque. Or, si l’antique cité de Tarquinia se trouvait sur cette colline où nous sommes, elle ne pouvait occuper plus de place que la petite ville qui compte aujourd’hui quelques milliers d’habitants. Ce qui semble impossible. Il est bien plus vraisemblable que la cité elle-même couvrait la colline opposée qui court en parallèle, splendide, inviolée. Nous traversons un lopin de friches où la pierre surgit de terre, où frémissent les premières cistes de crête, où l’asphodèle dresse la tête. Voici donc la nécropole. Jadis on y voyait de nombreux tumulus, des allées de tombes ; aujourd’hui, plus trace de tombes 81


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ni de tumulus, rien que le dos d’une colline âpre et nue couverte de pierres, d’herbe rase et de fleurs, avec à droite la mer qui scintille sous le soleil, et vers l’intérieur des terres la douce brûlure d’un vert très pur. On aperçoit un petit pan de mur, destiné peut-être à abriter un abreuvoir. Notre guide s’y dirige tout droit. C’est un jeune homme gras et placide qui ne semble aucunement intéressé par les tombes. Ce en quoi nous nous trompons. Il en sait long, se montre éveillé et sensible, parfaitement discret, et s’avère finalement un compagnon aussi agréable qu’on pouvait le souhaiter pour une telle visite. Le pan de mur est en réalité un petit ressaut de maçonnerie avec une porte en fer ouvrant sur un étroit escalier qui descend sous terre. On tombe dessus tout soudain, dans le grand vide râpeux de la colline. Le guide s’agenouille pour allumer sa lampe à acétylène, et son vieux terrier se couche à ses pieds, résigné sous le soleil et les assauts d’un vent perpétuel soufflant du sud-ouest sur ces longs plateaux nus. La lampe se met à briller, et à sentir, puis brille sans plus d’odeur. Le guide ouvre la porte métallique, et nous descendons l’escalier raide jusqu’au cœur de la tombe. L’impression d’être dans un trou noir sous la terre : un trou noir exigu, après le soleil du monde d’au-dessus! Mais la lampe du guide nous éclaire et révèle une étroite chambre taillée dans le roc, juste une petite cellule nue où aurait pu vivre quelque anachorète. C’est si petit, si nu, si familier… rien à voir avec les tombes spacieuses et splendides de Cerveteri. La lampe est puissante, et nos yeux s’étant accoutumés, nous distinguons les peintures sur les parois. C’est la tombe de la Chasse et de la Pêche, qui doit son nom aux représentations figurées sur les murs, et dont on suppose qu’elle date du VIe siècle avant J.-C. Toutefois, elle est très endommagée. Des morceaux de mur sont tombés, l’humidité a rongé les couleurs à la tempera et il semble qu’il ne reste plus rien, sinon notre déception. Peu à peu cependant, nous habituant à la pénombre, nous apercevons des 82


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Tombe de la Chasse et de la Pêche.


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LES TOMBES PEINTES DE TARQUINIA

I

vols d’oiseaux qui, à travers la brume, surgissent de la mer, l’impulsion de la vie encore attachée à leurs ailes. Encouragés, nous nous rapprochons. Tout autour de la petite chambre, des fresques donnant à voir la mer et des cieux lumineux, des oiseaux qui voltigent et des poissons qui bondissent, ainsi que de petits fragments d’hommes occupés à chasser, pêcher ou manier l’aviron. La partie basse du mur est toute d’un bleuvert de mer, une mer dont la surface silhouettée nous encercle de ses ondulations. De la mer émerge un grand rocher duquel un homme nu, une ombre, distinct pourtant, plonge, parfaitement net et beau, dans la mer, tandis que derrière lui un compagnon gravit la roche et que, sur l’eau, une barque attend, rames au repos, où sont trois hommes qui observent le plongeur, celui du milieu est debout, nu, les bras levés. Dans le même temps un dauphin jaillit derrière l’embarcation, une nuée d’oiseaux s’élancent dans l’air pur vers la roche à franchir. Au-dessus de tout cela, bordant le haut du mur, courent des bandeaux de couleur auxquels sont suspendues les habituelles boucles de guirlandes, des guirlandes de fleurs et de feuilles, de bourgeons et de baies, ces guirlandes qui sont l’apanage des jeunes filles et des épouses et qui représentent le cercle floral de la vie de la femme et du sexe féminin. La bordure la plus haute est constituée de rayures ou de rubans horizontaux qui font le tour de la pièce et sont de couleur rouge, noir ou or terne, mais aussi bleu ou jaune primevère, des couleurs qu’on retrouve invariablement. Les hommes sont presque toujours peints d’une couleur rouge sombre, qui est celle de nombreux Italiens quand ils s’exposent nus au soleil, ce que faisaient les Étrusques. Les personnages féminins sont plus pâles, en raison du fait que les femmes ne se promenaient pas nues sous le soleil. Au fond de la pièce, où le mur présente un renfoncement, est peint un autre rocher émergeant de la mer, sur lequel un homme armé d’une fronde vise des oiseaux qui s’éparpillent en tous sens. À distance du rocher se tient une barque dotée d’une grande pagaie, barque au milieu de laquelle un homme nu adresse un étrange salut au frondeur, 85


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tandis qu’un autre homme agenouillé, tournant le dos aux autres, se penche par-dessus la proue pour mouiller un filet. Sur la proue on remarque un très bel œil peint, qui permet à la barque de voir où elle va. Aujourd’hui à Syracuse, vous verrez nombre de ces bateaux à deux yeux qui viennent s’arrimer au quai. Un dauphin plonge dans la mer, un autre en surgit. Les oiseaux virevoltent sous les guirlandes suspendues à la bordure. Tout cela ramassé, gai, jaillissant de vie, spontané comme seule la jeunesse sait l’être. Si seulement ce n’était pas si abîmé, on se réjouirait de tant de fraîche vivacité. Rien d’impressionnant ou de grandiose. Mais à travers le blêmissement du temps et les outrages des hommes on perçoit encore ici le nerveux ondoiement de la vie, l’éternité de l’instant naïf : cela, les Étrusques le connaissaient. La petite tombe est vide, n’étaient ces peintures ombreuses. On n’y trouve aucun lit de pierre, seulement une niche profonde destinée à accueillir des vases, vases qui peutêtre renfermaient des choses précieuses. Le sarcophage était posé sur le sol, peut-être sous le frondeur du mur du fond. Et il n’y en avait qu’un, car cette tombe est une tombe individuelle, réservée à une seule personne comme c’est l’habitude dans les plus anciens hypogées de cette nécropole. Sur le mur du fond, le triangle du pignon au-dessus du frondeur et de la barque accueille l’une de ces scènes de banquet funéraire si fréquentes chez les Étrusques. Le défunt, malheureusement en partie effacé, est allongé sur sa couche de réjouissances en appui sur son coude, une coupelle de vin à la main ; à côté de lui, étendue mais également à moitié redressée, une belle femme couverte de bijoux et vêtue de robes ravissantes, dont la main gauche repose apparemment sur la poitrine nue de l’homme et dont la droite lui tend une guirlande, la guirlande de l’offrande festive de la femme. Derrière l’homme se tient un jeune esclave nu, qui joue peut-être de la musique, tandis que sur le côté un autre esclave nu est en train de remplir un pichet de vin tiré d’une amphore ou d’une jarre magnifique. Aux côtés de la femme, une jeune fille semble jouer de la 86


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Tombe de la Chasse et de la Pêche.


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flûte – car dans l’antiquité, il y avait toujours une femme qui jouait de la flûte lors des funérailles. Un peu plus loin, deux jeunes filles sont assises avec des guirlandes, l’une regarde le couple par-dessus son épaule alors que l’autre tourne le dos à la scène. Un peu plus loin encore, dans le coin, à nouveau des guirlandes, et deux oiseaux, on dirait des colombes. Sur le mur à l’arrière de la tête de la femme est dessiné un objet qu’on ne saurait définir, peut-être une cage à oiseaux. La scène est aussi naturelle que la vie, et pourtant elle est chargée d’un archaïsme riche de multiples sens. C’est un banquet en l’honneur d’un défunt, mais dans le même temps celui-ci banquète dans le monde des morts – car, chez les Étrusques, le monde des morts est un endroit joyeux. Pendant que les vivants ripaillaient à l’air libre, devant la tombe du défunt, ce dernier festoyait de même, en compagnie d’une dame qui lui offrait des fleurs et d’esclaves qui lui servaient du vin, dans le lointain monde souterrain. La vie sur terre étant chose si agréable, celle d’en dessous ne pouvait qu’en être la continuation. Cette croyance profonde en la vie, cette acceptation de la vie nous apparaissent caractéristiques des Étrusques. Ce qui en demeure dans les tombes peintes est encore vivace. Tous les mouvements sont empreints de séduction, comme dansés, même ceux des esclaves nus. Ceux-ci ne sont d’aucune manière des inférieurs opprimés, les Romains pourront en dire plus tard ce qu’ils voudront. Dans ces tombes, les esclaves regorgent de vie. Nous remontons l’escalier vers le monde des vivants, sa brise marine et son soleil. Le vieux chien se traîne, le guide éteint sa lampe et verrouille la porte, nous repartons, le chien attachant son apathie aux talons de son maître, tandis que celui-ci lui parle avec cette douce familiarité italienne qui semble si éloignée de l’esprit romain, de ces Latins à la détermination sans faille. Dans le clair après-midi d’été, le guide nous pilote à travers le plateau jusqu’à un autre petit ressaut de maçonnerie. On remarque alors qu’il y a un certain nombre de ces 88


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LES TOMBES PEINTES DE TARQUINIA

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petits ouvrages, construits par le gouvernement pour abriter les escaliers qui descendent chacun vers une tombe distincte. C’est complètement différent de Cerveteri, bien que les deux sites ne soient éloignés que d’une soixantaine de kilomètres. Ici, point d’imposants tumulus organisés en cité, avec l’avenue qui passe entre les tombes et, à l’intérieur, ces nobles maisons des morts à plusieurs chambres ; au sommet de la colline, les petites tombes à une seule chambre semblent disséminées au hasard – bien que, si les fouilles étaient menées à leur terme, on s’apercevrait probablement qu’il existe une véritable cité des morts avec ses rues et ses carrefours. Et l’on peut imaginer que chaque tombe était surmontée d’un petit tumulus, si bien que même à la surface, des voies étaient ménagées entre les monticules de terre amassée, avec un accès à la tombe. Toutefois, même si cela avait été le cas, le site de Tarquinia ne ressemblerait pas à celui de Cerveteri, l’antique Caere : les tertres seraient bien plus petits, les rues certainement plus irrégulières. Quoi qu’il en soit, ces étroites tombes à une seule chambre se présentent aujourd’hui éparpillées, et nous plongeons en elles tout comme des lapins rentrant au terrier. Cet endroit est une vraie garenne. Il est intéressant que le lieu apparaisse si différent de Cerveteri. Les Étrusques ont réalisé à la perfection ce qui nous semble être l’instinct italien : des cités uniques, indépendantes, entourées d’une certaine portion de territoire, chaque région parlant son propre dialecte et disposant de sa propre petite capitale où chacun se sent chez lui, ces cités-États étant liées entre elles de façon souple par une religion commune et des intérêts plus ou moins convergents au sein d’une vaste confédération. Même de nos jours, Lucques est une ville très différente de Ferrare, et leurs langues se ressemblent à peine. Dans l’Étrurie antique, cet isolement des cités qui se développaient selon leur propre idiosyncrasie, dans le cadre d’une union ductile appelée à tort ou à raison nation, devait être total. Les contacts entre les populations, entre les gens du peuple de Caere et de Tarquinii, étaient certainement réduits à peu de chose. Ils étaient étrangers les uns aux 89


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autres, cela est sûr. Seuls les lucumons, les magistrats régnants issus de familles nobles, ainsi que les prêtres et les autres gens de noblesse, mais aussi les marchands, ont dû maintenir des liens intercommunautaires, parlant l’étrusque « correct » tandis que le peuple, à n’en pas douter, s’exprimait en des dialectes si dissemblables qu’ils en étaient presque des langues propres. Pour se faire une idée juste du passé préromain, il convient de renoncer aux concepts d’unité et d’uniformité et d’imaginer une infinie confusion de différences. Nous plongeons dans une autre tombe qui, nous dit le guide, porte le nom de tombe des Léopards. Chaque tombe s’est vu attribuer un nom pour la distinguer de ses voisines. La tombe des Léopards abrite deux léopards tachetés sur le fronton du mur du fond, entre les deux rampants du toit. D’où son nom. La tombe des Léopards est une petite pièce charmante et accueillante dont les peintures murales n’ont pas été trop endommagées. Toutes les tombes ont été, à quelque degré, abîmées du fait des rigueurs du climat et du vandalisme ordinaire, ayant été laissées à l’abandon comme s’il s’agissait de vulgaires trous après avoir été fracturées et pillées jusqu’à plus soif. Malgré cela, les peintures sont demeurées vives et fraîches : les ocres rouges, les noirs, les bleus et les bleus-verts étrangement s’animent et s’harmonisent sur le fond jaune crème des murs. Dans les tombes, la plupart des parois ont été enduites d’une fine couche de stuc qui, cependant, a l’apparence de la roche même, laquelle est fine et jaune, et se patine en un merveilleux or crémeux, une couleur qui convient parfaitement à un fond. Les murs de cette petite tombe sont une danse de pure délectation. La chambre semble encore habitée par des Étrusques du VIe siècle avant J.-C., des êtres enthousiastes et amoureux de la vie qui ont dû se rassasier de l’existence. Entrent les danseurs et les musiciens, qui se meuvent tout au long d’une large frise en direction du mur du 90


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Tombe des Léopards.


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Table des illustrations Lawrence avait réuni lui-même l’iconographie de son livre. Nous lui sommes resté fidèles en utilisant, pour les photographies d’extérieurs, de nouvelles copies de meilleure qualité des mêmes photos d’archives (dont la prise de vue est presque contemporaine de son voyage), mais en remplaçant, pour les fresques de Tarquinia, les reproductions en noir et blanc par des reproductions en couleur qui rendent justice à la « fraîche vivacité » de ces peintures.

Panorama de la nécropole étrusque de Cerveteri

29

Entrée de chambres funéraires portant des inscriptions étrusques, Cerveteri

30

Tombe de l’Alcôve, Cerveteri

33

Tombe des Sarcophages, Cerveteri

34

Tombe des Tarquins, Cerveteri

37

Tombe des Stucs, dite des Reliefs, ou Grotta Bella, Cerveteri

39

Tables funéraires et cippi, Cerveteri

41

Les tombes de Cerveteri recouvertes par la végétation

44

Tombe Regolini-Galassi, Cerveteri

46

Sarcophage des époux, Cerveteri. Rome, Musée Villa Giulia

49

Vue de Tarquinia

61

© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari

© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Pietro Ronchetti © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Anderson

© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari

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L’église Santa Maria in Castello (XIIe siècle), Tarquinia

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Façade du Palazzo Vitelleschi, place Cavour, Tarquinia

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Cour intérieure du Palazzo Vitelleschi (XVe siècle), Tarquinia

69

Sarcophage sculpté, Tarquinia

72

Sarcophage du Magistrat, Tarquinia

75

Vases grecs de Tarquinia avec le fameux motif de l’œil et la figure de Bacchus

77

Bronzes et terres cuites de la période archaïque, Tarquinia

78

Tombe de la Chasse et de la Pêche, Tarquinia. Paroi du fond

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Tombe de la Chasse et de la Pêche, Tarquinia. Jeune homme plongeant d’un récif

84

Tombe de la Chasse et de la Pêche, Tarquinia. Chasse et pêche

87

Tombe des Léopards, Tarquinia. Paroi du fond

91

Tombe des Léopards, Tarquinia. Musiciens

92

Tombe des Léopards, Tarquinia. Scène de banquet

95

Tombe du Triclinium, Tarquinia. Scène de banquet

97

© Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Carlo Brogi © The Art Archive / Corbis

In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 50 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 51 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © The Art Archive / Corbis

© Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 67 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © Luisa Ricciarini / Leemage

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TABLE DES ILLUSTRATIONS

Tombe du Triclinium, Tarquinia. Danseurs

© Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali

98

Tombe du Triclinium, Tarquinia. Danseuse et joueur de lyre

101

Tombe des Lionnes, Tarquinia. Paroi du fond

105

Tombe des Lionnes, Tarquinia. Homme en train de banqueter

107

Tombe des Bacchantes, Tarquinia. Gazelle assaillie par un lion

121

Tombe des Taureaux, Tarquinia. Scène érotique

133

Tombe des Taureaux, Tarquinia. Scène érotique

134

Tombe des Taureaux, Tarquinia. Achille aux aguets

137

Tombe Francesca Giustiniani, Tarquinia. Paroi du fond, détail

141

Tombe des Augures, Tarquinia. Paroi du fond

145

Tombe des Augures, Tarquinia. Détail où apparaît le « masque »

146

Tombe des Augures, Tarquinia. La fuite du « masque »

149

Tombe du Baron, Tarquinia. Paroi du fond

150

Tombe du Typhon, Tarquinia. Géant aux pieds anguiformes

153

In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 73 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 43 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 48 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 54 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 31 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 87 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 37 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © The Art Archive / Corbis

In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 41 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 55 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 127 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur

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CROQUIS ÉTRUSQUES

Tombe d’Orcus, ou de l’Ogre, Tarquinia. Les rois de l’Averne

155

Tombe des Boucliers, Tarquinia. Banquet de Larth Velcha

156

Tombe d’Orcus, ou de l’Ogre, Tarquinia. Tête de femme

159

Le vieux pont de la Badia, Vulci

175

Vue de Volterra

195

La Porte de l’Arche, Volterra

197

Le Balze et la Badia, Volterra

199

Atelier où les artisans travaillent l’albâtre, Volterra

203

Urne cinéraire, Volterra. Scène d’adieu et départ en bateau pour l’autre monde

209

Urne cinéraire, Volterra. Voyage en chariot vers l’autre monde

210

Urne cinéraire, Volterra. Actéon et ses chiens

213

Tombe d’Inghirami, Volterra

219

In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 111 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 107 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur In La Peinture étrusque, texte de Massimo Pallottino, Skira, 1952, p. 101 – avec l’aimable autorisation de l’éditeur © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Pietro Ronchetti © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Anderson © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari

© Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali © Archives Alinari, Florence, dist. RMN / Fratelli Alinari © Photo Scala, Florence – Courtesy of the Ministero Beni e Att. Culturali


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Préface de Gabriel Levin

7

CROQUIS ÉTRUSQUES

Cerveteri Tarquinia Les tombes peintes de Tarquinia • I Les tombes peintes de Tarquinia • II Vulci Volterra

19 51 81 125 165 191

Le musée de Florence

223

Carte, précis d’histoire et lieux étrusques

229

Les Croquis étrusques de Lawrence : notice

249

Chronologie

279

Table des illustrations

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