P O R T F O L I O Design & Architecture
LEA GIBERT
Mémoire de recherche disponible sur Linkedin - 2018
« C’est plutôt dans l’absence qu’il faut chercher, dans le vide entre deux formes, dans l’intervalle, la pause, le repos, la marge. Dans l’absolu, le Beau doit rester inachevé, en devenir. » Dominique Buisson, « Esthétiques du quotidien au Japon » Institut français de la mode/Regard, Paris, 2010
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La construction du « beau » à travers la photographie : Une question de postures
Mémoire de recherche, Léa Gibert 04 octobre 2018 Encadrante : Margaux Darrieus
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Design - Voyage d’étude en Mongolie - 2014
La chaîne de montagnes Altaï en Mongolie est le
Février 2013 point de départ du projet. Les formes des vases sont Design/Couleur - matière inspirées du profil atypique de ces montagnes. La
base du travail s’est faite avec du feutre synthétique. Il est teinté ce qui a permis d’obtenir une couleur hétérogène rappelant le relief montagneux. Par opposition, l’objet est travaillé à travers un matériau solide et léger, la mousse expansive. Le feutre sert de moule textile, ce qui permet de gonfler et rigidifier les formes créant ainsi une collection de contenants offrant une utilisation personnelle. Cette série d’objet a été sélectionnée pour participer à un workshop à Oulan-Bator, en Mongolie sur le design textile et plus particulèrement sur le savoir faire du feutre.
Altaï
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Design - Maquette - 2014
Les dessins en 2D font l’objet d’une recherche autour de la ligne, du contour et de la diagonale à travers des formes géométriques simples. La réalisation des dessins en maquette s’est faite de manière instinctive en passant de la 2D à la 3D. Au final, le résultat est un ensemble d’objets en bois de différentes formes complètement aléatoires et innocentes. Certaines sont basées sur l’étirement et la continuité de la ligne et d’autres sont basées sur le plein et le vide. Par la suite, j’ai voulu mettre en forme ces essais en les manipulant ensemble ou séparément. Une collection permet d’être modulable en fonction du lieu où elle se trouve.
Collection urbaine
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Design - Obssession - 2015
Deux en un
Deux en un
Deux en un S’étirer
Deux en un Contre forme
Limite
La lecture du texte de Bruno Munari sur le carré m’a orientée dans mon projet. La nature crée des formes selon le matériau, l’utilité, la fonction et l’environnement. Ce travail se base sur ces formes réalisées spontanément et sur l’obssession de la forme du carré. Ces objets architecturaux sont nés d’une série de dessins autour de cette obssession. Sol Lewitt décline la forme du cube. En retirant 1 à 5 arêtes à cette forme, il obtient une collection finie d’objet, une variation exhaustive d’éléments d’une même famille. Le projet a été pensé dans la même démarche, les « lignes » matérialisées en bois dessinent, prolongent le contour des formes carrées en béton. Il se forme un certain jeu entre le plein et le vide.
Contourner
Deux en un
Prolongement
Objet scénique Vide contre plein
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Design - Chaise empilable - 2015
L’exercice de la chaise empilable est l’occasion de questionner la dualité et la cohabitation de deux matériaux dans un même objet, d’où la recherche sur les modes d’assemblages, la structure et le confort. La structure de la chaise est composée de deux parties faites en bois. La première est celle de l’assise et du dossier incluant les accoudoirs. La deuxième partie permet de tenir et de structure la chaise. La mise en volume de la chaise est faite en mousse, cela permet de travailler et de modifier le confort. Line Chair a été fabriqué en partenariat avec un ébéniste.
Line Chair
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Design - Diplôme DNSAP - 2015
Le projet Modul-home est une recherche autour du paravent. L’objet construit partitionne l’espace. Le dessin permet de montrer les différentes variatons de ces formes simples. L’idée est de dessiner une forme sans lever le crayon. Le métal tubullaire est la meilleure réponse pour construire l’objet. Un travail du textile est mené pour induire la fonction de chaque partie du paravent.
Modul-home
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C’est ça la vie mademoiselle ?
Photographie - Voyage d’étude à Calais - 2016
La vie dans la jungle de Tioxide, 1 rue de Garennes 62100 CALAIS
C’est ça la vie mademoiselle ?
« C’est ça la vie mademoiselle ? » que répondre à l’interrogation de Rashid, exilé du Pakistan. C’est au travers de ces cartes postales qu’est mon expérience au sein des « jungles » à Calais lors d’un workshop encadré par le photographe Laurent Malone. L’objectif est de renouveler le répertoire des représentations de Calais et y le répertoire des réponses à apporter. La carte postale synonyme de voyage, d’évasion, ou encore de bonnes nouvelles est ici détournée dans le but de traduire ce que nous avons vu, entendu et ressenti. Ce que Rashid vit au quotidien depuis son arrivée.
« C ’est ça la vie ? » La vie dans la jungle de Tioxide, 1 rue de Garennes 62100 CALAIS
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Photographie - Hospitalité - 2017
Une longue journée de travail vient de se finir, je me dirige boire un verre avec un ami. C’est un mercredi soir de novembre. Je me rends au Grands Voisins dans le 14ème arrondissement. Je prends une bière et une assiette du repas préparé par les résidents de l’association Aurore. L’ambiance y est plutôt détendue. Des petits groupes de discussions se forment et des rires éclatent. Les effluves de bière se répandent dans la salle de La Lingerie. L’atmosphère est apaisante, je sors mon appareil photo et vole quelques clichés de ce moment. Travail exposé à Beaubourg dans le cadre du festival « Hors Pistes » sur le thème de La Nation et ses fictions.
Les Grands Voisins
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Série « Les Grands Voisins » Novembre 2017 Learning from hospitality, sous la direction de Sébastien Thiéry
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Projet personnel - Vases Atelier Maquette - 2019
Plaster
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Projet personnel - Dessins et installations - 2018
Briques
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Projet personnel - Typologies industrielles - 2018
Industriel
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Recherches personnelles - Dessins et photographies - 2019
Charleroi
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DiplĂ´me Architecture - PFE 2019 - Paysage Noir - 1/6
Paysage Noir
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Paysage noir est un projet qui s’articule avec le paysage et le patrimoine architectural industriel. Le territoire se situe à Marchienne-au-Pont au sud-ouest de Charleroi. C’est un ancien site de charbonnage de plus de 70 hectares occupé jusqu’en 2007, par une centrale électrique. Le passé industriel a laissé une très forte qualité de l’environnement comme la végétation, la géologie et la topographie. La nature dessinée par l’industrie a créé une végétation remarquable. Ce territoire est à l’image d’un magnifique archipel qu’on ne peut atteindre par manque de cheminements piétons et routiers. Le site est partiellement délaissé et malmené. La problématique de Paysage Noir est d’apporter une forte lisibilité et accessibilité au territoire. Comment renforcer le potentiel architectural et paysager sans le détruire tout en conservant son identité?
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Diplôme Architecture - PFE 2019 - Analyse urbaine - 2/6
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LE HAMEAU
MARCHIENNEAU-PONT
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1. La topographie indique une différence de dénivelé de part et d’autre de la Sambre. 2. La densité permet de comprendre l’emplacement des villes par rapport au site du projet et son potentiel de connexions piètonnes / routières. Page de droite, se trouve la maquette du territoire réalisée en plâtre et encre de chine. Elle permet de visualiser la fragmentation du territoire. Sur cette page, ce sont les schémas de l’analyse urbaine.
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Diplôme Architecture - PFE 2019 - Le terril du Hameau - 3/6
Le terril du Hameau est connecté aux berges de la Sambre par un cheminement forestier respectueux de l’environnement. Cette ascension tout en douceur permet de découvrir l’incroyable végétation du terril. Une passerelle permet de faire la connexion entre le terril et le parc de la Providence qui lui fait face. Au sommet le belvédère circulaire joue sur les hauteurs pour donner un effet de surprise au promeneur. En se retrouvant au centre de l’arène, le regard dialogue uniquement avec le ciel. C’est en escaladant les quelques marches qu’on peut admirer le territoire de jeu de Marchienne-au-Pont. On passe d’un monde à un autre. C’est un moment où le temps s’arrête pour pouvoir contempler le théâtre de la Tour, le Parc de la Providence et la ville.
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Diplôme Architecture - PFE 2019 - Le Théâtre de la Tour - 4/6
L’idée est de travailler sur un programme d’interventions ponctuelles, légères et évolutives. La première intervention est de l’ordre du culturel et se trouve sur le site de la tour de refroidissement. La seconde intervention est une proposition paysagère et contemplative sur le terril. La dernière intervention est sur le thème de la surface, surface paysagère pour le parc et les jardins. Ces surfaces sont reliées entre elles par un réseau de connexions et de zones de stationnements paysagères qui connectent le site à la ville. Pour réveiller le site, la reconstitution d’une scène urbaine, dit « lieux communs » est essentielle afin d’accueillir les interactions humaines qui créent la ville. Les interventions sont perçues comme des outils pour faire évoluer le paysage et le territoire. Ce sont des éléments moteurs pour l’avenir et la ré-appropriation de ce site.
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Diplôme Architecture - PFE 2019 - Le Théâtre de la Tour - 5/6
Le théâtre de la Tour est respectueuse du site et de son architecture existante. Il faut savoir que la tour sert de support à des clips, shooting photos et films. Au vu de ces occupations, le côté culturel est renforcé en proposant une scène de spectacle à l’intérieur de la tour et un théâtre extérieur qui vient enserrer l’édifice avec la mise en place d’une scène et de gradins. L’entrée est dans l’alignement du parvis et des stationnements jusqu’à la billetterie placée en centralité. Un système de boîte légère en bois brûlé vient structurer l’espace. La fermeture du bâtiment se fait par l’intérieur pour toucher le moins possible à l’édifice avec des portes en accordéon. Une galerie périphérique reste accessible au public même lorsque que le lieu est fermé. Le théâtre extérieur a été pensé comme un lieu ouvert. Une coursive placée au plus haut des gradins extérieurs pénétre dans l’édifice et offre une expérience de découverte de la tour sous plusieurs angles. Le spectateur se retrouve au centre de la tour en partie supérieure pour admirer sa hauteur et le ciel (cf photo à droite).
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THÉÂTRE DE LA TOUR
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Diplôme Architecture - PFE 2019 - Le Parc de la Providence - 6/6
La clairière devient un autre lieu de spectacle, avec des vues lointaines sur la forêt et offre du recul pour contempler le Théâtre de la Tour.
La forêt dense est un paysage où la nature a repris le dessus. Des sentiers se glissent entre les arbres.
Le marais est composé de sentiers tramés et de zones de bassins. Des passerelles surplombent le parc et de connecter avec le terril.
Le Parc de la Providence est un espace paysager qui s’étend sur plus de 30 hectares qui encercle l’arrière du théâtre et se prolonge jusqu’à la ville de Marchienne-au-Pont. La surface paysagère a un enjeu environnemental car le site est partiellement pollué. La phytoremédiation, solution de dépollution, a fait naître un parc ouvert au public accueillant des informations sur les actions à mener pour le respect de l’environnement. Le parc est dessiné sur la base d’une trame qui joue avec le plein et le vide. C’est-àdire sur la densité paysagère. L’objectif du parc est de laisser place à la nature en créant des trames végétales qui donneront à l’avenir une végétation dense qui dialoguera avec la Sambre et son territoire.
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La forêt tramée de bouleau offre des perspectives de points de vues lointains. Un circuit de bi-cross se trouve en centralité de la forêt.
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Urbanisme - Voyage d’Êtude en Inde - 2017
Chandigarh + 240 arbres
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- Barbier WWW C’est-à-dire de penser le projet comme la définition d’un commun. L’objectif est de rendre possible un maximum avec le minimum comme un lieu des possibles : mariages, fêtes religieuses, étendages de linges, terrain de cricket, spectacle penjabi, lieux d’attente, endroit pour manger … Travailler sur des communs pose alors la question de la portée de l’intervention : jusqu’où doit aller le dessin du projet ? Il faut donc plus proposer que décider. L’intervention propose des structures d’accroches, des ombres, des ambiances, des vides et des pleins. Le projet essait de transformer ces communs sans bâtir, tout en entretenant et en cultivant l’universalité usuelle qui les définissent.
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- Thé -
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Equipement Culturel - Cité du théâtre, Ateliers Berthier - 2017
ODEON COMEDIE FRANCAISE
CNSAD
La Pléiade
CHU
T!
REPET'
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CHUT
REPET'
REPET'
R E P E T '
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COMÉDIE FRANÇAISE CNSAD
ODÉON
La pléiade est un projet sur le concours de la cité du théâtre aux Ateliers Berthier dans le nord de Paris. L’objectif est de regrouper le CNSAD, la Comédie Française et l’Odéon. Ces 3 fortes entités ont le souhait de garder leur identité. L’esthétique et l’architecture des bâtiments existants est essentiel à conserver. L’enjeu du projet est de savoir comment on peut unifier, sublimer et révéler ce patrimoine existant. La réponse est d’imaginer une couverture qui vient se déposer et s’infiltrer dans le site des Ateliers Berthier. C’est comme une couche supplémentaire de 6200m2 qui se rajoute à l’histoire des Ateliers Berthier.Le projet se construit sur un système poteaux poutres avec un plan libre.
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Entrée de la cité du théâtre, vue sur la couverture en verre
Arrière de la cité du théâtre, gradin végétal
La toiture donne l’illusion de s’accoler aux bâtiments existants mais elle ne fait que la frôler pour respecter le patrimoine. Depuis le point de vue du parc Martin Luther King, là où l’on voit le site Berthier en plongée, on observe la couverture qui vient révéler les bâtiments existant de Garnier et Roux Sptiz. L’essentiel du travail est de comprendre les besoins de chaque institut et d’y répondre. Un travail conséquent est réalisé sur les salles de spectacles, les lieux de répétitions ainsi que les ateliers de construction. Page de droite, un schéma de la polyvalence de la salle de spectacle du CNSAD. 44
Loge
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local technique chauffage (air pulsé sous fauteuil)
Seconde entrée du public Sortie de secours
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local technique chauffage (air pulsé sous fauteuil)
Seconde entrée du public Sortie de secours
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local technique chauffage (air pulsé sous fauteuil)
Seconde entrée du public Sortie de secours
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local technique chauffage (air pulsé sous fauteuil)
45 Seconde entrée du public Sortie de secours
Urbanisme - Champigny-sur- Marne - 2016
La citÊ de l’eau
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Arpenter la ville, faire des retranscriptions écrites, photographiques, cartographiques, historiques et géographiques sont les outils mis en place pour comprendre ce territoire. Champigny-sur-Marne est traversé par des infrastructures urbaines. L’autoroute A4 vient créer une césure au Nord de la ville. La rivière la Marne vient également accentuer cette césure. Une bande du territoire de Champigny est prise entre l’autoroute et la Marne. La problématique est donc de désenclaver la zone et de lui donner une identité métropolitaine.
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Le fil conducteur du projet est, dans un premier temps, de développer « un fil rouge » constitué d’un réseau de passerelles connectant les bords de Marne à la ville, notamment la gare Rer E Boulereaux et le parc du Tremblay. Dans un second temps, un projet d’une Cité sur l’eau est proposé sur cette zone enclavée. La Cité de l’eau est pensée avec l’occupation actuelle du site: un camping. L’eau vient dessiner une trame qui structure la zone. Les différentes activités font système entre elles. Les résidents du camping et les Campinois fréquentent aussi bien la base nautique que la médiathèque. Les étudiants font leur expériences dans les bassins d’eau. Ces interactions et connexions visuelles sont importantes entre chaque programme.
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Logement - Habiter collectif - 2015
Coupe AA’ longitudinale sur les appartements et la maison individuelle
Le projet est construit sur le principe d’une nappe horizontale ponctuée d’émergences qui sont des maisons individuelles. Les appartemments ont une typologie en « tube ». Pour résoudre le problème d’apport de lumière, plusieurs patios intérieurs séquencent le logement. Une logique géométrique vient dessiner des appartements de surperficies variées. L’entrée des maisons individuelles se fait par le rez-de-chaussée et un escalier en colimasson qui amène au logement. La réalisation précise de maquettes et de plans ont été très productifs. Des solutions structurelles ont été trouvées pour offrir le maximum d’espace aux habitants avec le minimum. « Le luxe pour tout le monde » est une phrase de Lacaton&Vassal où l’idée du luxe se redéfinit alors en termes de générosité, de liberté d’usage et de plaisir. On retrouve des espaces qui offrent cette notion du luxe en terme de liberté d’usage et de plaisir.
Habiter collectif
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A
Plan RDC des appartements en nappe
A’
Plan ĂŠtage sur la maison en bande
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Logement - Habitation individuel - 2015
Le projet est pensé autour d’une figure géométrique centrale. Cette forme constituant un rectangle désaxé partionne l’espace. Le rapport aux usages découle des espaces générés par le rectangle. Le rectangle contient les pièces humides, les placards et la cuisine permet de radicaliser l’espace du logement. Le logement du rez-de-chaussée propose une terrasse et un jardin planté. La précision des maquettes a permis de faire les photos montages des intérieurs pour montrer l’espace offert aux habitants. La simplicité du photo montage est intentionnel, il permet de ne pas troubler la perception de l’espace et offre une plus grande appropriation.Charlotte Perriand m’a inspirée de part son travail sur l’architecture et sur le design.
Objet architectural 52
A
Plan RDC
A’
Coupe AA’
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2014
2019