Le Journal de Tanger 11 juillet 2015

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I.S.S.N. 0851-0882 DĂŠpĂ´t legal 1/90

N° 3853 Samedi 11 Juillet 2015 Assabt 24 Ramadan 1436 Sabbat 24 Tamouz 5775 Directeur : ABDELHAK BAKHAT E-mail : direct@lejournaldetanger.com redact@lejournaldetanger.com

Hebdomadaire multilingue d’informations gĂŠnĂŠrales Paraissant le samedi matin, il totalise sa 110ème annĂŠe de parution (1904)

Prix : DH 4,00

ActivitĂŠs Royales Ă Tanger

A ct ua li tĂŠ s de Ta ng er

SM le Roi Mohammed VI

- Peine de mort pour la meurtrière de Mechlaoua - DĂŠmantèlement d’une bande criminelle Ă Ard Daoula - Homicide Ă Hay Dradeb - Des marchands ambulants entravent le passage d’une ambulance - Electrocution d’un jardinier

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Photo : MAP

est arrivĂŠ Ă Tanger en dĂŠbut d’après-midi d’hier vendredi et inaugurĂŠ deux projets sociaux

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Circulation urbaine Ă Tanger

Un policier renversÊ par un chauffard, meurt à l’hôpital

LIRE EN PAGE 2 LE JOURNAL DE TANGER - Siège social, Administration, RÊdaction, PublicitÊ CJT 3VF 0NBS #FO "CEFMB[J[ t 5�M t 'BY

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Drame de la circulation Ă Tanger

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Un policier renversÊ par un chauffard, meurt à l’hôpital

Poste Ă pourvoir Ă Tanger

police motorisĂŠe, Rachid Chakhtouna, appartenant au service de la circulation relevant de la prĂŠfecture de police de Tanger, a ĂŠtĂŠ mortellement renversĂŠ mercredi vers 17 heures Ă la rue d’Angleterre par un chauffeur de mini bus, qui a pris la fuite en empruntant un sens interdit. Apparemment, le policier aurait interpellĂŠ ce conducteur au bas de cette rue, Ă proximitĂŠ du collège Mohammed V, probablement Ă la suite d’une infraction commise. Mais, ayant constatĂŠ que l’automobiliste refusait d’obtempĂŠrer, le policier aurait essayĂŠ de s’interposer au passage du vĂŠhicule. Ceci n’a pas dissuadĂŠ le chauffard qui, au lieu de s’arrĂŞter, aurait empruntĂŠ en, contresens la rue d’Angleterre interdite Ă la montĂŠe vers le croisement de l’avenue Hassan II et de la rue de Belgique. Alors que le policier ĂŠtait agrippĂŠ au capot du vĂŠhicule, le chauffard a accĂŠlĂŠrĂŠ et l’a renversĂŠ sur la chaussĂŠe, le trainant sur plusieurs mètres, avant de prendre la fuite devant le regard effarĂŠ de plusieurs passants dont aucun n’a pu noter le numĂŠro d’immatriculation du vĂŠhicule. Un tĂŠmoin amateur a eu tout de mĂŞme mer la scène dramatique oĂš

mort dans l’exercice de ses fonctions, en s’acquittant de sa noble mission, ont eu lieu jeudi après salat Al Asr au cimetière de Sidi Amar oĂš la dĂŠpouille du dĂŠfunt a ĂŠtĂŠ conduite au milieu d’un ĂŠmouvant cortège funèbre comptant de très nombreuses personnes dont une forte dĂŠlĂŠgation reprĂŠsentant le corps de la SĂťrePhoto : Hammouda tĂŠ rĂŠgionale, conduite par le l’on voit la victime collĂŠe au

prĂŠfet de police de Tanger. En cette douloureuse capot du mini bus, puis ĂŠten- ou encore que l’intĂŠressĂŠ due au milieu de la chaus- ĂŠtait interpellĂŠ Ă son domi- circonstance, nous prĂŠsensĂŠe, la tĂŞte ensanglantĂŠe et cile, on apprendra dans la tons nos condolĂŠances les la chemise dĂŠchiquetĂŠe. soirĂŠe que l’on ĂŠtait effec- plus attristĂŠes Ă la veuve du TransportĂŠ en urgence Ă tivement parvenu Ă arrĂŞter dĂŠfunt; Ă ses trois enfants ; l’hĂ´pital rĂŠgional Moham- le jour mĂŞme, l’individu en Ă l’ensemble des membres med V, le policier qui a luttĂŠ question alors que dans sa de la famille Chakhtouna et pendant toute la nuit contre fuite prĂŠcipitĂŠe, il aurait vio- familles alliĂŠes ; Ă la grande la mort, a succombĂŠ Ă ses lemment tamponnĂŠ une se- famille de la SĂťretĂŠ rĂŠgioblessures jeudi matin, mal- mi-remorque qui se trouvait nale et nationale ; ainsi qu’à grĂŠ les efforts dĂŠployĂŠs par sur son chemin Ă Mesnana. tous les proches du regrettĂŠ l’Êquipe mĂŠdicale pour le Il s’agirait d’un chauffeur disparu, priant Dieu le Tout sauver.. de mini bus s’activant dans Puissant d’avoir le dĂŠfunt Alors que, faute de le transport de personnel en Sa Sainte misĂŠricorde, sources sĂťres et concor- d’entreprise et, Ă ses heures l’accueillir en Son Vaste dantes, divers mĂŠdias ĂŠlec- libres, dans le transport Paradis et apporter soutien et patience Ă sa famille et Ă troniques tissaient, jeudi clandestin. matin, des informations Il a ĂŠtĂŠ mis en examen contradictoires tirĂŠes no- pour ĂŞtre dĂŠfĂŠrĂŠ devant la aider Ă traverser cette dure ĂŠpreuve et les protĂŠger de tamment de la vox popu- justice. Parallèlement, les funĂŠ- tout malheur. Amine. ĂŠtait assidĂťment menĂŠe railles du brave policier M. ABOUABDILLAH

lors que la saison touristique a dĂŠmarrĂŠ, le poste de dĂŠlĂŠguĂŠ du ministère du Tourisme continue d’être vacant Ă Tanger depuis le dĂŠpart en mai dernier, de Mohamed Agounjab, mutĂŠ Ă Casablanca, Le Ministère du Tourisme aurait lancĂŠ un appel Ă candidature pour ce poste, mais la procĂŠdure semble tarder Ă se concrĂŠtiser. Les professionnels s’inquiètent de l’absence d’un inter

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IN MOROCCO TRAVEL AND EVENTS S.A.R.L SociĂŠtĂŠ Ă responsabilitĂŠ limitĂŠe au capital de 400.000,00DH DivisĂŠ en 4000 parts de Dh 100,00 Siège social : Avenue Beethoven, ĂŠtage N° 38 – Tanger

CONVOCATION Chers associÊs, Nous vous prions de bien vouloir assister à la rÊunion de l’assemblÊe gÊnÊrale ordinaire annuelle de la sociÊtÊ  In Morocco Travel & Events S.A.R.L, qui se tiendra

le 15 juillet 2015 à 10 Heures du matin au siège de la sociÊtÊ,

Tanger Av. Beethoven, RĂŠs. Oumnia 1, 1er Etage N° 38 Ă l’effet de dĂŠlibĂŠrer sur l’ordre du jour suivant : - Approbation des comptes de l’exercice clos le 31 dĂŠcembre 2014, - Affectation des rĂŠsultats, - Quitus Ă la gĂŠrance, - Questions diverses.

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Remise de prix aux 10 premiers bacheliers de la rĂŠgion La Fondation Tanger Med, en partenariat avec l’AcadĂŠmie rĂŠgionale de l’Êducation et de la formation professionnelle et les associations des parents d’Êlèves, a organisĂŠ une cĂŠrĂŠmonie de remise d’un Prix d’excellence aux dix meilleurs bacheliers de la rĂŠgion, au titre de la session de juin 2015, rĂŠpartis sur quatre dĂŠlĂŠgations du ministère de l’Êducation nationale de Fahs-Anjra

Direction, Administration, RĂŠdaction, PublicitĂŠ : 7 bis, Rue Omar Ben Abdelaziz TĂŠl.: 05.39.94.30.08 06.62.19.15.54 Fax : 05.39.94.57.09 Site Web : www.lejounaldetanger.com E-mail : direct@lejournaldetanger.com redact@lejournaldetanger.com

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(quatre ĂŠlèves), Tanger-Asilah (deux ĂŠlèves), M’diq-Fnideq (deux ĂŠlèves) et TĂŠtouan (deux ĂŠlèves)Âť. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la promotion de la culture de l’excellence et permet d’appuyer la scolaritĂŠ des jeunes jusqu’aux ĂŠtudes universitaires pour les mettre en phase avec le dĂŠveloppement ĂŠconomique que connaĂŽt la rĂŠgion.

Directeur responsable de la publication : ABDELHAK BAKHAT Directeur commercial : MOHAMED TARIK BAKHAT SecrĂŠtariat de direction : AĂ?CHA RYAD - Email : aicharyad@gmail.com TĂŠl.: 05.39.94.30.08 Fax : 05.39.94.57.09 SecrĂŠtariat : MAJDA MANSER Service commercial : ABDEL ILAH - TĂŠl.: 06.48.81.12.80 Imprimerie : LE JOURNAL DE TANGER S.A.R.L. Tirage : 10.000 exemplaires Distribution : StĂŠ HICHOU DISTRIBUTION s.a.r.l. GSM : 06.61.66.73.15

Le Journal de Tanger

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situÊ à Azib Abakiou, Zone des arènes à Tanger (entrÊe de Tanger par TÊtouan)

RĂŠdacteur en chef : MOHAMED ABOUABDILLAH (TĂŠl.: 06.66.04.89.65) E-mail : abousamitanger@gmail.com RĂŠdaction : Abdelilah ABBAD Mohamed OITACHE Mohamed SAĂ?DI Mustapha EL HARRAK Mohammed IMEGHRANE

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REDACTION :

DIRECTION - ADMINISTRATION :

HEBDOMADAIRE MULTILINGUE D’INFORMATIONS GÉNÉRALES DÉPÔT LEGAL 1/90

06.60.11.78.46 - 06.62.27.13.09

Composition; Nadia BOUKHOBZA Laborantin : Mohamed SEBAB

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ou contacter le journal qui transmettra

Membre de la FÉDÉRATION MAROCAINE

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Collaborateurs : Sidi Med. EL YAMLAHI OUAZZANI Brahim TEMSAMANI Correspondant : Rachid DFOUF Med DGHOGHI (Ksar El KÊbir) Hammouda DES ÉDITEURS DE JOURNAUX

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Mรถvenpick Hotel Malabata Ta n g e r

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HĂ´pital Duc de Tovar

Ouverture du service du Dr El Fellous Transport aĂŠrien interne

Tarifs prĂŠfĂŠrentiels pour les rĂŠgions du nord

? [ # ? en avion Ă l’intĂŠrieur du pays, une convention de partenariat a ĂŠtĂŠ signĂŠe, dans ce cadre, entre la Royal Air Maroc, le ministère de l’Équipement, du transport et de la logistique, le ministère de l’IntĂŠrieur et les rĂŠgions de Taza-Al Hoceima et Tanger-TĂŠtouan. La signature de ce partenariat s’inscrit dans le cadre de la politique d’ouverture et de dynamisation du transport aĂŠrien interne dans les rĂŠgions du nord. La convention prĂŠvoit la programmation de trois vols hebdomadaires, les mercredis, vendredis et dimanches Ă des tarifs ÂŤtrès rĂŠduitsÂť. Les vols seront effectuĂŠs Ă bord d’avions de type ATR 72. Les lignes concernĂŠes par la convention ainsi que leurs tarifs (allers simples) : Casablanca - Al Hoceima : 600 DH (classe ĂŠconomique) et 1.200 DH (classe affaires) ; Casablanca - TĂŠtouan : 400 DH (classe ĂŠconomique) et 800 DH (classe affaires) ; TĂŠtouan - Al Hoceima : 300 DH (classe ĂŠconomique) et 600 DH (classe affaires).

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Immigration clandestine

Des Subsahariens rĂŠfugiĂŠs dans la cathĂŠdrale de Tanger près leur expulsion de 85 logements privĂŠs qu’ils occupaient ilA lĂŠgalement au quartier Al Irfane Ă Tanger, quelque 400 immigrĂŠs clandestins originaires de pays subsahariens ont trouvĂŠ refuge en diffĂŠrents endroits de la ville, en attendant une solution Ă leurs problèmes. Parmi eux, plusieurs se sont rĂŠfugiĂŠs Ă l’intĂŠrieur de la cathĂŠdrale espagnole de la rue Sidi Bouabid oĂš une ĂŠquipe de la dĂŠlĂŠgation diocĂŠsaine des migrations prend en charge la gestion de leur situation, particulièrement sensible Ă cause de leur grand nombre et de la prĂŠsence de femmes et d’enfants. Dans un communiquĂŠ, l’archevĂŞque de Tanger Mgr Santiago Agrelo % \ / ] # # d’accueillir des personnes ĂŠvacuĂŠes de Boukhalf et il a ĂŠtĂŠ fait en sorte que tous aient quelque chose Ă manger Âť. Deux jours plus tard, explique-t-il, ÂŤ l’Êquipe de TAM (Tanger Accueil Migrants) de la DĂŠlĂŠgation diocĂŠsaine des Migrations, qui depuis des annĂŠes s’occupe des migrants sĂŠjournant Ă Tanger, a pris en charge la gestion de la situation, particulièrement sensible pour un grand nombre de personnes sans abri , dont de nombreuses femmes avec enfants Âť. Un ÂŤ plan d’action a ĂŠtĂŠ ĂŠlaborĂŠ Âť. Il accorde ÂŤ la prioritĂŠ aux femmes enceintes, aux femmes avec enfants, aux femmes cĂŠlibataires, aux mineurs et Ă des hommes avec enfants Ă charge Âť. ÂŤ Cette urgence qui ĂŠtait gĂŠrable au dĂŠbut est devenue ensuite insoutenable avec l’arrivĂŠe d’autres migrants cherchant refuge et nourriture Âť. L’Êquipe diocĂŠsaine a ĂŠtĂŠ obligĂŠe de fermer le parvis de la cathĂŠdrale. La cĂŠlĂŠbration de la messe n’a pas ĂŠtĂŠ possible ni samedi ni dimanche dernier : ÂŤ Ce sont des moments extrĂŞmement ^ # _ Ă€ l’heure actuelle, l’Église offre un refuge temporaire Ă 69 femmes et enfants et Ă un veuf accompagnĂŠ de deux enfants. Le maire de la ville, Fouad El Omari, s’est rendu lundi 6 juillet Ă la cathĂŠdrale, oĂš Mgr Agrelo lui a prĂŠsentĂŠ un nouveau plan d’action qui inclut ÂŤ une aide immĂŠdiate Âť aux plus nĂŠcessiteux, dont 11 femmes, un veuf et ses trois enfants qui sont toujours Ă la rue. Le maire a soulignĂŠ que ÂŤles aspects politiques et sĂŠcuritaires de la question relèvent des autoritĂŠs centralesÂť. Mais il a indiquĂŠ que ses services allaient ÂŤfaire tout ce qu’il fallait pour assurer des visites mĂŠdicales et de la nourritureÂť. Il a annoncĂŠ que des options de logements dĂŠcents allaient ĂŞtre mises Ă l’Êtude. El Omari a ensuite fait livrer des caisses de fruits, des packs de boissons et de lait. Le Journal de Tanger

Vendredi 3 juillet, une forte dĂŠlĂŠgation comptant des reprĂŠsentants de la commune urbaine de Tanger, du dĂŠpartement de la SantĂŠ et de l’association Ibn Batouta d’actions sociales, a procĂŠdĂŠ Ă l’inauguration du nouveau centre d’analyse et de diagnostic mĂŠdical auquel on a donnĂŠ le nom de feu Dr Abdelwahab Fellous, ancien mĂŠdecin-directeur de l’hĂ´pital rĂŠgional Mohammed V Ă Tanger. D’un coĂťt global de 1,3 million de Conseil de la ville et diffĂŠrents partenaires, ce nouveau centre amĂŠ ! comporte des services d’examens et de consultations dĂŠdiĂŠes au diagnostic des maladies notamment cardiovasculaires, hĂŠmatologiques, de l’appareil digestif, et de la thyroĂŻde. Selon l’adjointe du maire de Tanger, SaĂŻda Chaker, chargĂŠe du volet social, culturel et du dĂŠveloppement humain, une dame très versĂŠe dans la vie associative et dans l’action caritative, et qui compte parmi les personnes qui sont Ă l’origine de l’extension et de la restauration de l’hĂ´pital Duc de Tovar, ayant appuyĂŠ le projet et suivi personnellement sa mise en Ĺ“uvre, la mise en service de cette nouvelle unitĂŠ mĂŠdicale pluridisciplinaire permettra de rĂŠduire la pression enregistrĂŠe Ă l’hĂ´pital Duc de Tovar, qui connaĂŽt quotidiennement une forte " # prĂŠfectures et provinces de Tanger-Asilah, Fahs-Anjra, Larache et Chefchaouen. ÂŤCela permettrait de rapprocher $ # % % " prestations mĂŠdicales Âť explique la conseillère communale, annonçant

Photo : Hammouda

Le maire Fouad El Omari et son adjointe SaĂŻda Chaker, recevant des explications lors d’une prĂŠcĂŠdente visite des chantiers un futur renforcement, pour les annĂŠes Ă venir, des structures de hĂ´pital Duc de Tovar, en vue de l’amĂŠlioration d’une manière gĂŠnĂŠrale, de la situation du secteur de la santĂŠ Ă Tanger Âť, explique-t-elle. A rappeler qu’un autre pavillon des spĂŠcialitĂŠs et de la rĂŠanimation mĂŠdicale avait ĂŠtĂŠ dĂŠjĂ ouvert il y a quelques mois au sein du mĂŞme hĂ´pital. Ce service rĂŠalisĂŠ avec une enveloppe budgĂŠtaire de 1,34 million de commune urbaine de Tanger et diffĂŠrents partenaires, dispose d’une trentaine de lits. LĂ encore, l’adjointe du maire comptait parmi les principaux initiateurs de ce projet et avait personnellement veillĂŠ Ă ce que d’anciens blocs et services soient ĂŠgalement rĂŠamĂŠnagĂŠs pour offrir plus de confort aux patients, De mĂŞme, l’hĂ´pital a ĂŠtĂŠ dotĂŠ d’un ascenseur et divers ĂŠquipements mĂŠdicaux, avec le concours de la dĂŠlĂŠgation provinciale de la SantĂŠ Ă Tanger-Asilah et d’associations locales. En outre, une enveloppe de 1,6 million DH devait ĂŞtre allouĂŠe Ă cet hĂ´pital, dans le cadre de l’Initiative

nationale pour le dĂŠveloppement '*+/<= # frais d’acquisition d’Êquipements mĂŠdicaux de dernière gĂŠnĂŠration. Le centre hospitalier devait ĂŠgalement ĂŞtre dotĂŠ de cadres mĂŠdicaux spĂŠcialisĂŠs dans le diabète et la rĂŠanimation. Dans une dĂŠclaration au Journal de Tanger, la conseillère communale Saida Chakir, avait soulignĂŠ l’importance de cette rĂŠalisation pour les habitants de la ville et de la rĂŠgion : ÂŤ Nous savons que les infrastructures sanitaires publiques sont nettement

# > population se multiplie et ses besoins en soins de santÊ augmentent de jour en jour. Ces projets contribueront sans doute à dÊcongestionner partiellement la situation et à dispenser aux citoyens des soins appropriÊs, mais, si nous devons nous fÊliciter de ce genre de rÊalisation, nous devons aussi, en tant qu’Êlus de la population, avancer plus en avant et ne pas nous arrêter là . Il s’agit de continuer d’œuvrer pour d’autres acquis au ? # de ses visiteurs. C’est un devoir et non pas un choix !, dira-t-elle.

Transport aĂŠrien

Liaisons Air Arabia Tanger-Madrid et Tanger-Montpelier :

c’est parti ! Le transporteur aĂŠrien low cost qatari ÂŤAir ArabiaÂť, qui avait annoncĂŠ, il y a quelques semaines, le lancement de deux nouvelles lignes aĂŠriennes au dĂŠpart de Tanger, a inaugurĂŠ, le 2 juillet courant, la première ligne reliant Tanger Ă la capitale espagnole Madrid Ă raison de trois vols par semaine devant s’effectuer comme suit : - Jeudi : DĂŠpart de Tanger Ă 14h55 ; arrivĂŠe Ă Madrid Ă 17h55 locales ; DĂŠpart de Madrid Ă 18h40 arrivĂŠe Ă Tanger Ă 19h15 locales ; -Vendredi : DĂŠpart de Tanger Ă 9 h, arrivĂŠe Ă Madrid Ă 12 h locales ; DĂŠpart de Madrid Ă 12h45 arrivĂŠe Ă Tanger Ă 13h20 locales ; Dimanche : DĂŠpart de Tanger Ă 14h55 ; arrivĂŠe Ă Madrid Ă 17h55 locales ; DĂŠpart de Madrid Ă 18h40 arrivĂŠe Ă Tanger Ă 19h15 locales ; Pour ce qui est de l’autre nouvelle ligne reliant Tanger Ă la ville française de Montpelier, elle est opĂŠra-

tionnelle depuis le 7 juillet courant, à raison d’un vol aller, le samedi, et d’un vol retour, le mardi. Le samedi, le dÊpart se fait de l’aÊroport Ibn Batouta de Tanger à 6 h 00 et l’arrivÊe a lieu à l’aÊroport de Montpelier à 10 h 15 heure locale.

Le mardi, le dÊpart se fait de l’aÊroport de Montpelier à 23 h 55 et l’arrivÊe a lieu à l’aÊroport Ibn Batouta à Tanger à 1 h 15 heure locale. Toutes ces lignes sont assurÊes par des avions Airbus A 320 qui ont une capacitÊ de 168 passagers.

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Le  Pont de l’Excellence 

organise avec succès sa première activitÊ publique sous le thème

Stories des mĂŠdias de Tanger Le ÂŤ Pont de l’Excellence Âť qui est un cabinet rĂŠcemment crĂŠĂŠ, dirigĂŠ par Mme Meriem El Alami et spĂŠcialisĂŠ en activitĂŠs culturelles, en formation et en coaching, vient de rĂŠussir sa première sortie publique et sa première ĂŠdition 2015 sous le thème de : ÂŤ Success stories des mĂŠdias de Tanger Âť, dont les recettes sont consacrĂŠes au proďŹ t des ďŹ lles Ă risques de l’association ÂŤ Tikka Âť. Le jeudi 3 juillet ĂŠtait consacrĂŠ Ă la première ĂŠdition des histoires rĂŠussies des mĂŠdias de Tanger, alors que le samedi suivant, les invitĂŠs ont ĂŠtĂŠ conviĂŠs Ă un dĂŽner spectacle inĂŠdit. Tous les ĂŠvĂŠnements se sont dĂŠroulĂŠs dans le somptueuse patio central de l’hĂ´tel El Minzah de Tanger. endant la P première soirĂŠe, quatre personnalitĂŠs tangĂŠroises très

" ĂŠtĂŠ invitĂŠes pour participer Ă la table ronde animĂŠe par M. Brahim Temsamani. Il s’agit de M. Noureddine Sail, Mme Badria Ahardane, M. Abdelhak Bakhat et M. Abdellatif Benyahya. Ces personnalitĂŠs ont beaucoup de similitudes et points en commun. Elles sont toutes issues de grandes familles tangĂŠroises, leurs premières annĂŠes d’enseignement primaire et secondaire se sont dĂŠroulĂŠes dans les principales ĂŠcoles de la ville du DĂŠtroit, elles ont une expĂŠrience (selon les secteurs et domaines d’activitĂŠ) dĂŠpassant la moyenne de 40 ans, elles appartiennent toutes Ă la famille des journalistes et mass mĂŠdia, elles parlent ĂŠgalement plusieurs langues et adorent, naturellement et nostalgiquement, leur ville natale Tanger. Une autre caractĂŠristique commune Ă ces quatre invitĂŠs, c’est qu’ils ont tous une personnalitĂŠ persĂŠvĂŠrante et ÂŤ travaillomane Âť. NĂŠanmoins, une question ÂŤphilosophiqueÂť et lancinante mĂŠrite

de ma part quelques ÊlÊments de rÊponse : C’est qui un(e) tangÊrois(e) ? Et bien, je pense que le seul _

' = ' = \

tifÂť, une personne doit ĂŠgalement y vivre au mois son enfance, jusqu’à l’âge de l’adolescence, mais elle doit aussi apporter Ă sa # €

# tout en participant au dĂŠveloppement socio-ĂŠconomique de sa rĂŠ  ` appartenance et en mesure de la dĂŠfendre honorablement. En revanche, chacune de ces personnalitĂŠs a suivi un parcours diffĂŠrent et relativement atypique. En effet, Noureddine Sail est un grand spĂŠcialiste du cinĂŠma marocain et international. Il ĂŠtait le premier fondateur de la FĂŠdĂŠration Nationale des cinĂŠ-clubs du Maroc (Rabat) depuis 1973 et Directeur GĂŠnĂŠral du Centre CinĂŠmatographique Marocain. Il aime, certes, le cinĂŠma, mais il adore aussi le football, la philosophie et la tĂŠlĂŠ. Concernant cette dernière, il a occupĂŠ le poste de Directeur GĂŠnĂŠral des programmes Canal Plus Horizon Ă Paris et le Directeur GĂŠnĂŠral de la deuxième chaĂŽne marocaine 2M. Lorsque j’ai posĂŠ Ă M. Sail la question suivante : ÂŤPouvez-vous nous raconter une histoire rĂŠussie de votre vie personnelle ou

professionnelle et dont vous ĂŞtes { ‚ ` # plait, sur quelles valeurs et compĂŠtences vous vous ĂŞtes basĂŠs pour rĂŠussir cet exploit ?Âť. La rĂŠponse ĂŠtait très simple, mais assez si

# destie authentique : ÂŤJe n’ai, Ă vrai dire, fait que mon boulot ! Et j’ai fait de mon mieux pour atteindre mes objectifs personnels et professionnels ! Âť. En termes managĂŠriaux, il s’agit [ la performance pure et dure. La deuxième personnalitĂŠ interviewĂŠe est bel et bien Mme Badria Ahardane. Cette femme rayonnante nous a expliquĂŠ, preuve Ă l’appui, que le diplĂ´me n’est qu’une clef, parmi beaucoup d’autres, qui peut ouvrir la porte du monde professionnel, mais heureusement qu’elle n’est pas la seule. Indubitablement, Mme Ahar { { cours, car mĂŞme si elle n’a pas parachevĂŠ ses ĂŠtudes supĂŠrieures universitaires, elle ĂŠtait responsable de plusieurs ĂŠmissions tĂŠlĂŠvisĂŠes Ă la Radio MĂŠdi1 depuis l’âge de 23 ans, elle a ĂŠgalement crĂŠĂŠ le Magazine ÂŤ Bien-ĂŞtre et santĂŠ Âť et, aujourd’hui, elle est la Directrice de Vynil.com une sociĂŠtĂŠ spĂŠcialisĂŠe dans la communication institutionnelle, politique et fabrication des contenus. De mĂŞme, elle est souvent invitĂŠe Ă l’ISCAE (Casablanca) pour ani-

mer des sĂŠminaires relatifs Ă la communication institutionnelle et # diants du niveau Master. Le troisième emblĂŠmatique de la soirĂŠe, ĂŠtait M. Abdelhak Bakhat. A vrai dire, et en suivant ses propres mots, M. ƒ „ # ĂŠtĂŠ membre du Conseil Municipal de Tanger, membre ĂŠlu de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Tanger, PrĂŠsident du comitĂŠ directeur de l’IRT et RST‌, { # compli deux exploits : D’une part, le fait d’être nommĂŠ au poste de Directeur du Journal de Tanger depuis 1972, jusqu’à aujourd’hui. Sachant que ce journal en tant que sociĂŠtĂŠ Ă ĂŠtĂŠ structurĂŠ, rĂŠorganisĂŠ et modernisĂŠ de telle sorte qu’il ait la forme (papier et ĂŠlectronique) actuelle que nous lui connaissons ; Et d’autre part, le fait d’avoir soutenu une thèse de Doctorat en droit public Ă l’âge de 68 ans!! Le sujet de la thèse est très problĂŠmatique et d’une actualitĂŠ virulente puisqu’il traite de : ÂŤLa rĂŠgionalisation entre le non aboutissement et l’incertitude : Analyse du cas marocain Ă l’aide des expĂŠriences françaises et espagnoles Âť. The last but not the least, M. Ab ƒ ? ? proue sur la scène mĂŠdiatique du nord.

par : Brahim TEMSAMANI Photos : Hammouda - Dfouf

En racontant de façon très concise son histoire, M. Benyahya s’est focalisĂŠ sur deux aspects fondamentaux de sa vie professionnelle : Premièrement, son entrĂŠe vers les annĂŠes 1980 Ă Radio de Tanger oĂš il a lancĂŠ plusieurs programmes : Avec nous au studio, Bonjour la mer, images de la campagne, etc.; Deuxièmement, sa nomination en tant que PrĂŠsident de l’association Mohamed Choukri, ĂŠcrivain tangĂŠrois de renommĂŠe internationale qu’il a accompagnĂŠ pendant plus de 40 ans. M. Benyahya demeure un poète dans l’âme et un fervent dĂŠfenseur de la langue arabe classique dans toute sa splendeur poĂŠtique et musicale. ‡ [ de la table ronde, qui a durĂŠ plus de deux heures, une sĂŠance de dĂŠbat a ĂŠtĂŠ ouverte et l’auditoire prĂŠsent a participĂŠ activement Ă son enrichissement et animation par des questions intĂŠressantes et pertinentes. Une des questions posĂŠes et adressĂŠes directement Ă Mme El Alami, Directrice de l’ÊvĂŠnement, consistait Ă savoir s’il y aura une continuitĂŠ de cette première ĂŠdition 2015 de success stories. Sa # # seul changement au niveau du titre : ÂŤ Les success stories des femmes tangĂŠroises Âť.

soirĂŠe du samedi 4 juillet a ĂŠtĂŠ totalement dĂŠdiĂŠe Ă un dĂŽner spectacle. La ` # { " -

crĂŠe orchestrĂŠe par Saad Temsamani qui a enchantĂŠ le public. La chanteuse Awatef Fajaj a participĂŠ, quant Ă elle, avec des mode qui est venu pour clĂ´turer en beautĂŠ la soirĂŠe du samedi avec les stylistes Mme Naima Senor Tazi et Mme Layla Alhabib. | } } ` | dernier mot pour remercier toutes les personnes prĂŠsentes et les sponsors tout en donnant un rendez-vous l’annĂŠe prochaine avec un spectacle foncièrement diffĂŠrent et innovant.

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Lu pour vous Par Dr. Brahim TEMSAMANI (brahimtemsamani@yahoo.fr)

ÂŤ Introduction Ă la science ĂŠconomique et Ă la gestion : Concepts de base Âť ÂŤ Lu pour vous Âť est une rubrique Ă travers laquelle je prĂŠsenterai un ouvrage traitant des questions et problĂŠmatiques ĂŠconomiques, ďŹ nancières, managĂŠriales, organisationnelles, de stratĂŠgie, etc. pour permettre Ă nos chers lecteurs du Journal de Tanger d’être proches de la production intellectuelle et culturelle aussi bien au niveau rĂŠgional, national qu’international. C’est aussi une sorte d’incitation dĂŠguisĂŠe Ă la lecture, Ă la recherche et Ă la curiositĂŠ scientiďŹ que et intellectuelle. Ainsi, au moins une fois par mois, un ouvrage sera sĂŠlectionnĂŠ et prĂŠsentĂŠ. Les auteurs et ĂŠcrivains qui veulent communiquer autour de leur ouvrage peuvent me contacter Ă l’adresse susmentionnĂŠe. L’ouvrage que j’ai ÂŤ lu pour vous Âť, cette semaine, est celui du Docteur Abdessalam Lazrak. Il est intitulĂŠ : ÂŤ Introduction Ă la science ĂŠconomique et Ă la gestion : Concepts de base Âť. ’ouvrage du Docteur Abdessalam Lazrak est considĂŠrĂŠ comme une contribution fondamentale pour mieux comprendre la science ĂŠconomique et la gestion aussi bien pour les ĂŠtudiants que pour tous ceux qui veulent se familiariser et qui s’intĂŠressent Ă ces deux domaines complĂŠmentaires. L’ouvrage a ĂŠtĂŠ rĂŠdigĂŠ avec un style arabe classique accessible et € € [ # comprĂŠhension approfondie des concepts ĂŠconomiques clefs, mais ĂŠgalement Ă maĂŽtriser le jargon managĂŠrial le plus utilisĂŠ actuellement. Il prĂŠsente ĂŠgalement une clef de lecture permettant de lier et de comprendre d’autres ouvrages traitant de l’Êconomie, du management et de la gestion en gĂŠnĂŠral. Dans l’introduction gĂŠnĂŠrale, l’auteur a mis en ĂŠvidence quatre principaux aspects : ' = ˆ - La relation existentielle entre la science ĂŠconomique et les autres sciences ;

caractĂŠristiques des phĂŠnomènes ĂŠconomiques ; - L’analyse ĂŠconomique. Par ailleurs, l’ouvrage a ĂŠtĂŠ structurĂŠ autour de quatre chapitres. ‡ € € mine par quelques questions de rĂŠvision et d’Êvaluation. Ainsi, le premier chapitre traite des volets thĂŠoriques de la philosophie ĂŠconomique. Dans ce chapitre, le Professeur Lazrak a fait un survol sur les six principaux courants de la pensĂŠe ĂŠconomique, notamment les mercantilistes, les physiocrates, les classiques, les marxistes, les nĂŠoclassiques et le nĂŠolibĂŠralisme. Le deuxième chapitre a ĂŠtĂŠ, en revanche, rĂŠservĂŠ Ă l’Êconomie et Ă la problĂŠmatique ĂŠconomique. L’accent a ĂŠtĂŠ mis, dans ce chapitre, sur les besoins du consommateur et comment ce dernier parviendra-t-il Ă les satisfaire en faisant des choix et en prenant des dĂŠcisions rationnelles ? Le fait d’Êvoquer les facteurs de production a poussĂŠ l’auteur Ă se poser systĂŠmatiquement trois questions essentielles : ‰ Š ‚ ‰ ‡ ‚ ‰ ` ‚ Le chapitre trois a ĂŠtĂŠ scindĂŠ en deux grandes sections : la première analysait les dĂŠterminants du marchĂŠ (l’offre, la demande, les prix, le revenu du consommateur, etc.) alors que la seconde approfondissait les typologies du marchĂŠ (monopole, duopole, oligarchie, concurrence pure et parfaite, etc.). Dans le quatrième et dernier chapitre, le Professeur Lazrak retourne [ ` # { # concepts de base du management et exposĂŠ quelques auteurs de la pensĂŠe managĂŠriale, il revient aux diffĂŠrentes typologies d’entre % €] [ l’environnement interne et externe de l’entreprise‌ pour mieux les expliquer et les rendre plus intelligibles. L’ouvrage du Docteur Lazrak se termine par une liste bibliographique aussi bien en langue arabe qu’en français pour pousser le lecteur Ă aller plus loin dans sa recherche et investigation.

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ActivitĂŠs Royales Ă Tanger Mghougha

SM le Roi inaugure un Centre de formation et d’insertion des jeunes Sa MajestĂŠ le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a procĂŠdĂŠ vendredi au quartier M’ghougha Ă Tanger, Ă l’inauguration d’un Centre de formation et d’insertion des jeunes, rĂŠalisĂŠ par la Fondation Mohammed V pour la SolidaritĂŠ pour un investissement global de 6,8 millions de dirhams. Illustration nouvelle de l’intĂŠrĂŞt accordĂŠ par le Souverain Ă l’Êpanouissement de la jeunesse particulièrement celle issue de milieux dĂŠfavorisĂŠs, ce projet structurant ouvrira de nouvelles perspectives # % € ciaires qui pourront, grâce Ă des

le marchĂŠ de l’emploi, amĂŠliorer leurs conditions de vie et celles de leurs familles. Ce Centre, dont les travaux de rĂŠalisation ont ĂŠtĂŠ lancĂŠs par SM le Roi le 02 aoĂťt 2013, vient conforter les multiples actions menĂŠes par la Fondation au niveau de la rĂŠgion de Tanger-TĂŠtouan et tĂŠmoignant de sa pleine implication dans la conception de projets qui rĂŠpondent aux attentes des populations les plus vulnĂŠrables. Ce projet solidaire, mis en place dans le cadre d’une approche participative avec les reprĂŠsentants de la sociĂŠtĂŠ civile, ambitionne d’encadrer les jeunes du quartier M’Ghougha et quartiers avoisinants, de favoriser leur accès Ă diffĂŠrents outils et moyens

Photo : Map

d’intĂŠgration sociale et d’insertion professionnelle, outre l’amĂŠlioration du niveau scolaire et ĂŠducatif € Il contribuera ĂŠgalement Ă l’Êpanouissement et Ă la socialisation des personnes cibles Ă travers des activitĂŠs culturelles et sociales qui encouragent la responsabilisation, la citoyennetĂŠ et l’esprit de volontariat, notamment dans l’action associative. Le nouveau Centre comprend des ateliers de menuiserie aluminium, d’ÊlectricitĂŠ de bâtiment et de coupe-couture moderne, des salles d’informatiques, d’enseignement des langues ĂŠtrangères, de soutien scolaire et d’alphabĂŠtisation, une unitĂŠ d’orientation et d’accompagnement des jeunes, un espace d’enseignement prĂŠscolaire, une salle polyvalente, deux locaux de commerce, une € #

La rĂŠalisation du Centre de formation et d’insertion des jeunes de M’Ghougha est le fruit d’un partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la SolidaritĂŠ (construction et ĂŠquipement) et ‹ ÂŒ sionnelle et de la promotion du travail qui assure l’encadrement technique des ateliers de la formation professionnelle. La gestion du ‡ [ l’Association de gestion du centre de formation et d’insertion des jeunes Ă M’ghougha. Ce nouveau projet solidaire vient ainsi consolider les diffĂŠrentes actions engagĂŠes par la Fondation Mohammed V pour la SolidaritĂŠ dans la rĂŠgion de Tanger-TĂŠtouan et qui s’assignent pour principaux objectifs l’amĂŠlioration des conditions de vie des citoyens et la valorisation des potentialitĂŠs des jeunes.

Fahs-Anjra:

Le Souverain inaugure un centre de formation et de renforcement des compÊtences des femmes à Ksar Majaz Sa MajestÊ le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a procÊdÊ, vendredi à la Commune rurale de Ksar Majaz (Province Fahs-Anjra), à l’inauguration d’un centre de formation et de renforcement des compÊtences des femmes, une structure multifonctions destinÊe à l’amÊlioration des conditions socio-Êconomiques des personnes cibles.

des milieux dĂŠfavorisĂŠs en les dotant de compĂŠtences diverses (art culinaire, coupe-couture, coiffure-esthĂŠtique, broderie) leur RĂŠalisĂŠ par la Fondation Mo- permettant d’avoir des revenus hammed V pour la SolidaritĂŠ pour stables, notamment par le biais une enveloppe budgĂŠtaire glo- d’activitĂŠs gĂŠnĂŠratrices de revebale de 4,5 millions de dirhams, nus et d’emploi. Ce centre permettra ĂŠgalement ce projet tĂŠmoigne de la prioritĂŠ accordĂŠe par le Souverain Ă l’amĂŠ- l’alphabĂŠtisation fonctionnelle des lioration des conditions sociales € et ĂŠconomiques des femmes, par- tion de leurs conditions socio-ĂŠcoticulièrement celles issues du mi- nomiques, ainsi que l’Êducation et le suivi prĂŠscolaire de leurs enmoyens d’Êmancipation leur per- fants de moins de cinq ans. Le Centre de formation et de mettant de consolider pleinement leur position en tant que moteur renforcement des compĂŠtences des femmes comprend des atede l’effort national de dĂŠveloppeliers de cuisine-pâtisserie, de ment. A forte valeur ajoutĂŠe sociale, coupe-couture, de broderie et trale centre de formation et de ren- vaux manuels, de coiffure-esthĂŠforcement des compĂŠtences des tique, un restaurant pĂŠdagogique, femmes de Ksar Majaz, dont les des salles d’informatique, de travaux de rĂŠalisation ont ĂŠtĂŠ lan- cours, d’alphabĂŠtisation et de soucĂŠs par SM le Roi le 02 aoĂťt 2013, tien scolaire, un espace d’enseivise Ă soutenir les femmes issues -

Photo : Map

rie, et deux locaux de commerce. Ce projet est le fruit d’un partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la SolidaritÊ, le conseil provincial de Fahs-Anjra, la Fondation Tanger MÊditerranÊe de # ‹ de la Formation professionnelle et de la promotion du travail qui assure l’encadrement technique des ateliers de la formation professionnelle. La gestion du Centre est assurÊe par l’association MÊditerranÊe Annour. La rÊalisation de ce centre vient conforter les diffÊrents programmes complÊmentaires initiÊs par la Fondation Mohammed � Ž visant à doter cette frange de la sociÊtÊ des moyens et outils qui leur permettent de participer activement au dÊveloppement de leur sociÊtÊ. Source : MAP

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Peine de mort pour la meurtrière de Mechlaoua

verdict est tombĂŠ comme un couLe peret dans le dossier du meurtre sordide du 3 avril dernier, connu sous l’appellation de ÂŤl’affaire de MechlaouaÂť qui a tragiquement coutĂŠ la vie Ă une salariĂŠe d’usine impitoyablement tuĂŠe et dĂŠcoupĂŠe par sa collègue: la Cour d’appel de Tanger a condamnĂŠ la meurtrière, L.T, la { [ de mort pour homicide volontaire, acharnement sur une dĂŠpouille mortelle et faux tĂŠmoignages. La condamnĂŠe devra ĂŠgalement verser 200.000 DH de dommages Ă la partie civile. Les faits remontent au 3 avril dernier, jour oĂš des passants avaient alertĂŠ la gendarmerie royale de la prĂŠsence de restes humains sur lesquels s’acharnaient des chiens, au lieu-dit ÂŤOued ElkherbÂť, au pied du viaduc ferroviaire traversant la route nationale n°2 de TĂŠtouan, Ă la sortie de Tanger. Il s’agissait effectivement de membres humains rĂŠpartis dans plusieurs sacs en plastique. Les investigations ont ĂŠtabli que les restes humains en question ĂŠtaient ceux de A.Z., 45 ans, mère de cinq enfants.

Le crime n’Êtait cependant pas parfait et, fait bien rare dans ces enquĂŞtes portant sur des affaires scabreuses, c’est un membre de la famille de l’accusĂŠe qui a aidĂŠ Ă apprĂŠhender la coupable. En effet, la sĹ“ur de la meurtrière ĂŠtait allĂŠe voir sa sĹ“ur qui lui a tout avouĂŠ. Mais, loin de tenter de protĂŠger son aĂŽnĂŠe, la sĹ“ur, visiblement ĂŠcĹ“urĂŠe par cet acte monstrueux, a ĂŠtĂŠ la dĂŠnoncer. Au cours de l’enquĂŞte, la meurtrière a avouĂŠ avoir attirĂŠ sa collègue dans un piège, chez elle, dans le quartier ÂŤMechlaouaÂť. Elle l’a d’abord tuĂŠe Ă coups de bâton. Ensuite, elle s’est rendue Ă son travail pour solliciter un jour de congĂŠ. Une fois de retour chez elle, elle s’est armĂŠe d’un coutelas pour dĂŠcouper le corps de sa victime en morceaux qu’elle a emballĂŠs dans plusieurs sacs en plastique. Les deux femmes travaillaient ensemble dans une usine de recyclage de plastique. Les raisons de cet homicide n’ont pas ĂŠtĂŠ dĂŠvoilĂŠes mais, selon toute vraisemblance, il ĂŠtait question de jalousie et de petits diffĂŠrends au travail.

DĂŠmantèlement d’une bande criminelle Ă Ard Daoula

Homicide Ă Hay Dradeb Mardi, quelques instants avant l’heure d’Al Iftar, une altercation est brusquement survenue dans une artère principale du vieux quartier de Dradeb lorsqu’un jeune homme, B.A, la trentaine, a ĂŠtĂŠ mortellement poignardĂŠ par deux antagonistes du mĂŞme quartier, des frères âgĂŠs de 25 et 27 ans qui se seraient portĂŠs au secours de leur frère cadet, apparemment agressĂŠ en leur absence par la victime pour une affaire plutĂ´t simple, rapporte-t-on. Ainsi, après avoir appris que leur jeune frère a ĂŠtĂŠ bousculĂŠ par la victime qui ĂŠtait en fait leur voisin, les deux frères en colère se rendus Ă son domicile pour lui demander des comptes. La discussion s’est vite envenimĂŠe et l’un des deux frères a exhibĂŠ une arme blanche et poignardĂŠ son adversaire au ventre avant de prendre la fuite avec son frère. La victime qui aurait vraisemblablement perdu beaucoup de sang, a succombĂŠ Ă ses blessures au cours de son ĂŠvacuation par ambulance Ă l’hĂ´pital rĂŠgional Mohammed V.

Photo : DR

la victime BA, la trentaine Des ĂŠlĂŠments de la police judiciaire

prĂŠfectorales qui se sont rendues sur les lieux du drame pour procĂŠder au constat d’usage, n’ont pas tardĂŠ Ă arrĂŞter les deux frères auteur et complice du crime qui devraient ĂŞtre prĂŠsentĂŠs au parquet sous le chef d’accusation d’homicide volontaire avec prĂŠmĂŠditation.

Des marchands ambulants entravent le passage d’une ambulance

es marchands ambulants dont les D ĂŠtalages ont investi de façon anarchique plusieurs artères de hay Benkirane, ont entravĂŠ le passage d’une ambulance qui devait accĂŠder en urgence au domicile d’une femme enceinte sur le point d’accoucher. Ain de transporter la future maman souffrante jusqu’à l’ambulance bloquĂŠe

Ă une centaine de mètres, des membres de sa famille ont eu recours au brancard mortuaire ÂŤ Mahmal Âť de la moquĂŠe du quartier. La jeune femme est arrivĂŠe juste Ă temps Ă la maternitĂŠ de l’hĂ´pital rĂŠgional Mohammed V oĂš elle a ĂŠtĂŠ admise en salle d’accouchement dès son arrivĂŠe en ambulance sirènes hurlantes.

Electrocution d’un jardinier

Ă´t dans la matinĂŠe de mardi, des T ĂŠlĂŠments du deuxième district de la police prĂŠfectorale de Tanger ont effectuĂŠ une nouvelle descente Ă Ard Daoula au quartier de BĂŠnimakada oĂš ils ont procĂŠdĂŠ a l’interpellation de quatre prĂŠsumĂŠs de l’hĂŠroĂŻne. Les quatre individus qui auraient tous des antĂŠcĂŠdents judiciaires rĂŠpondraient aux initiales de A.A, 26 ans ;T. Kh. 36 ans ; H. Kh., 29 ans et Z. W, 26 ans, dealer Ă Asi-

lah, .recherchĂŠ au niveau national. ‡ % # " d’Êcoulement de drogue dure. Cette opĂŠration qui intervient une semaine Ă peine après celle similaire ayant concernĂŠ deux autres criminels mis sous les verrous, a donnĂŠ lieu Ă la saisie de 525 doses d’hĂŠroĂŻne, deux armes blanches, six tĂŠlĂŠphones portables, et la somme de 3000 dirhams provenant probablement de commerce illicite.

n jeune jardinier, 28 ans, qui ĂŠtait emU ployĂŠ depuis quelques annĂŠes dans une villa privĂŠe de Rmilet, a perdu acciden-

une dÊcharge Êlectrique moyenne tension, a ÊtÊ transportÊ en urgence à l’hôpital rÊgional Mohammed V, mais il perdu la tellement la vie, mardi, par Êlectrocution vie au cours de son transport par ambualors qu’il tentait de remettre en Êtat une lance de la protection civile. ligne Êlectrique alimentant la propriÊtÊ. La police a ouvert une enquête pour dÊLe jeune homme qui a ÊtÊ tÊtanisÊ par terminer les circonstances de ce drame. Le Journal de Tanger

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Escapade du week-end avec le passe-temps dit

ÂŤABBE DeCĂŠÂť Monsieur BZIOUI A, ancien gardien de but de lĂŠgende, sponsorise cette semaine le passe-temps dit ÂŤABBE DeCĂŠÂť qui se compose de : A) comme ADAGE : ÂŤ QUI VEUT QUE TOUT SOIT PARFAIT CHERCHE EN RÉALITÉ UNE VIE DE CONTE DE FÉES .Âť B) comme BLAGUE A PART : Qui vous fera le plus grand bien. Cela se passe dans une ville du vieux continent, une de ces villes qui grouille de racistes. Mamadou et Mokassa demandent l’aumĂ´ne partout, coins de rues, mĂŠtro -etc--Mamadou rĂŠussit très bien, il est plein aux as. Il ramasse des centaines d’euros par jour. Il a une collection de belles voitures, des Ĺ“uvres d’art... une immense villa avec un terrain de tennis, un autre terrain de mini-golf... une piscine olympique... un compte bancaire bourrĂŠ d’argent... un coffre-fort plein de lingots d’or et de diamants... etc...etc... Quant Ă Mokassa il vĂŠgète, il ne rĂŠussit jamais Ă se faire plus de deux euros - Dis-moi, Mamadou, comment fais-tu pour ramasser, chaque jour, une valise pleine de billets d’euros? - Tu sais, Mokassa, c’est très simple... Montre-moi ta pancarte. Qu’as-tu ĂŠcrit dessus pour apitoyer les passants? - J’ai ĂŠcrit: Sans travail ni logement ni nourriture convenable; j’ai une femme et huit enfants... nous dormons Ă la belle ĂŠtoile... - Ah, mon pauvre Mokassa, je vois! Tu ne comprends rien aux gens d’ici! VoilĂ mon secret. Regarde ce que j’ai ĂŠcrit sur ma pancarte: ÂŤIL ME MANQUE 50 POUR RENTRER DANS MON PAYSÂť... C) comme CONNAISSANCES : Pour le plaisir d’approfondir, d’enrichir vos connaissances gĂŠnĂŠrales en ce mois sacrĂŠ de RAMADAN, savez-vous que la première soupe aurait ĂŠtĂŠ prĂŠparĂŠe par l’homme primitif qui a laissĂŠ tomber une pierre brĂťlante dans une concoction liquide pour la chauffer. Plus tard en 1598, Andew BOORDE dĂŠcrit pour la première fois une chose qui ressemble Ă la soupe d’aujourd’hui. Il s’agit en fait d’une substance liquide dans laquelle on fait tremper une pièce de viande avec des herbes hachĂŠes, du porridge (bouillie de "# $ % sĂŠe avec cinq saveurs diffĂŠrentes dont: tomates, consommĂŠ, lĂŠgumes, poulet et queue de boeuf. Avec les annĂŠes, Campbell a rajoutĂŠ plusieurs saveurs Ă sa gamme de produits dont entre autres ÂŤpoulet et nouilleÂťen 1934. C) comme COURRIER : ou

Courrier$ % & du râleur solitaire (C.R.S ) ÂŤSACHEZ AVOIR TORT. LE MONDE EST REMPLI DE GENS QUI ONT RAISON... C’EST POUR CELA QU’IL ECOEUREÂť

 EN FAISANT LE BIEN, ON NE FAIT SOUVENT QUE DES INGRATS A.M Barry Bama,alias Barry Black moqadem modèle à BUJUMBURA

Mon cher ami Barry Bama, Heureusement que j’ai gardĂŠ un exemplaire du livre intitulĂŠ ÂŤLE GRAND MAFIOSO ROMAIN, LE GROS KHALIL BEN RHIMO ET LE PETIOT VAURIENÂť et sous-titrĂŠ ÂŤTROIS FIGURES MAJEURES DE L’HOMOSEXUALITÉ AFRO-ITALIENNEÂťle dernier ouvrage de l’Êcrivain et sexologue burundais le professeur TRCHOUM BATCHOUM. Aujourd’hui ce bouquin est introuvable en librairie, et, d’après le libraire, la troisième ĂŠdition a ĂŠtĂŠ ĂŠpuisĂŠe en une matinĂŠe. Et que certains critiques littĂŠraires se la ferment car comme a dit Henry de Montherlant ÂŤLE CRITIQUE INSULTE L’AUTEUR: ON APPELLE CELA DE LA CRITIQUE. L’AUTEUR INSULTE LE CRITIQUE: ON APPELLE CELA DE L’INSULTE.Âť Mon cher Barry, après la lecture très productive du deuxième chapitre de la première partie, j’Êtais ĂŠmerveillĂŠ par le style et la façon spirituelle et Ă la fois ironique que l’auteur TRCHOUM, utilise en citant chacun des personnages, tout en sachant soigneusement peser des mots. D’après un humoriste français: ÂŤMIEUX VAUT 50% DE GENS QUI NE VOUS AIMENT PAS, PLUTOT QUE 100% QUI NE VOUS CONNAISSENT PASÂť!! Barry, pour dĂŠcrire, par exemple le PETIOT VAURIEN, ce grossier individu, dĂŠpourvu de dĂŠlicatesse et donc, mal acceptĂŠ dans cette sociĂŠtĂŠ, l’auteur pratique en quelque sorte le jeu de la devinette; il s’adresse directement au lecteur pour lui demander: ÂŤpeux-tu deviner qui est ce petit homo dont le nom et le prĂŠnom commencent par la première lettre de l’alphabet et première des voyelles?... et d’ajouter: ÂŤc’est par cette première lettre de l’alphabet que commence aussi le nom d’un mammifère de la famille des ĂŠquidĂŠs, plus petit que le cheval et Ă longues oreilles!!Âť. Mon cher Barry, la grande question qui m’est tombĂŠe dans la tĂŞte et que je me pose constamment c’est de savoir qui a pu aider le prof TRCHOUM Ă dĂŠnicher le fameux trio de pĂŠdĂŠrastes qui habitent dans cette ville alors que lui, il vit au bout du monde, dans un pays lointain; est-ce que leur popularitĂŠ... a-t-elle dĂŠpassĂŠ les frontières rĂŠgionales Ă ce point..? Barry, je voudrais aussi savoir comment est venue l’idĂŠe au prof. de s’inspirer tout spĂŠcialement de cette vermine... en exprimant librement son opinion sur chacun des protagonistes... sans s’Êloigner de la rĂŠalitĂŠ? ÂŤON A TORT DE NE PAS DIRE LA VÉRITÉ QUAND ON PEUT, CAR ON NE LA DIT PAS TOUJOURS QUAND ON VEUTÂť disait Montesquieu. Mon cher Barry, ce n’est pas la peine que je te dise que j’ai passĂŠ un super moment Ă lire et Ă dĂŠcortiquer chaque paragraphe du deuxième chapitre du livre. Voici ce que je peux te raconter brièvement: Pour des raisons oĂš des zones d’ombre subsistent encore, comme il le signale, le professeur TRCHOUM refuse de faire un bond en arrière pour parler de la vie du Petiot Vaurien, Ă l’Êpoque du colonialisme quand ce # " € son gĂŠniteur. Le prof a voulu, peut-ĂŞtre, ĂŠviter ainsi toutes questions dĂŠrangeantes d’un dossier trop ĂŠpineux! Notre sage ĂŠcrivain, ignoret-il qu’un jour viendra oĂš un audacieux historien osera dĂŠvoiler Ă sa place, cette pĂŠriode du protectorat aux gĂŠnĂŠrations futures! Personnellement, je n’ai pas la moindre idĂŠe sur cette pĂŠriode car je ne suis pas de cette rĂŠgion. Barry, je pense Ă prĂŠsent, qu’il est plus utile et intĂŠressant de faire plutĂ´t un petit tour d’horizon sur le passage oĂš le prof TRCHOUM, prĂŠsente les grandes lignes sur l’entrĂŠe dans le domaine de l’homosexualitĂŠ de chacun des personnages du bouquin. (A SUIVRE)

SignÊ : OM – ART Tanger @hotmail.com ou OM-ART@outlook.fr

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Causerie religieuse

La tolĂŠrance en Islam dictĂŠe par le Coran Allah (qu’il soit exaltĂŠ) a dit: ÂŤ Ya ayouha nassou, inna khala9nakoum mine dakarine wa ounta, wa ja3alnakoum chou3oubane wa 9abaila lita3arafou. Inna akramakoum 3indallahi at9akoum Âť : (O humains ! Nous vous avons crĂŠĂŠs d’un seul couple, un homme et une femme, Nous vous avons rĂŠpartis en nations et en tribus aďŹ n que vous fassiez connaissance. Le plus digne devant Dieu est celui d’entre vous qui est le plus droit). Sourate 49 Verset 13. ans le cadre de ses activitĂŠs D ramadaniennes, le Rotary club Tanger-Doyen a organisĂŠ, mardi 20 Ramadan 1436 (7 juillet 2015), sa troisième veillĂŠe religieuse de ce mois sacrĂŠ, autour d’un ftour–dĂŠbat au domicile de son prĂŠsident ĂŠlu Me Tarik Cheikh Lahlou, en prĂŠsence de Rotariennes, Rotariens et Rotaractiens de Tanger, ainsi que d’un très grand nombre d’invitĂŠs de marque reprĂŠsentant la sociĂŠtĂŠ civile tangĂŠroise. La soirĂŠe ĂŠtait animĂŠe par l’Êminent confĂŠrencier, le Docteur d’Etat ès Lettres Mohamed Saâd Zemmouri, Doyen de la facultĂŠ des Lettres et Sciences humaines Ă TĂŠtouan et membre du ComitĂŠ

de l’Êlaboration du Dictionnaire ? sonnages des littĂŠratures francophones du Maghreb. Le Dr Zemmouri qui est l’auteur de plusieurs ouvrages dont ÂŤ L’islam et l’Occident: dialogue nĂŠcessaire Âť jetant la lumière sur le cĂ´tĂŠ € prĂŠhension qui altèrent parfois les relations entre le Monde islamique et les Occidentaux, est intervenu sur le thème de : ÂŤ Al Amana (Le DĂŠpĂśt) dans l’Islam Âť. Ont pris part Ă cette troisième soirĂŠe ramadanienne, des membres du club rotarien aux cĂ´tĂŠs de plusieurs invitĂŠs de marque et autres personnalitĂŠs reprĂŠsentant la sociĂŠtĂŠ civile. Le confĂŠrencier a commencĂŠ par dĂŠvelopper la tolĂŠrance d’un point de vue islamique. LittĂŠralement, ce terme dĂŠsigne le fait de ÂŤsupporterÂť. Conceptuellement,

\ l’acceptation et l’apprĂŠciation de la grande diversitĂŠ des cultures du monde, des formes d’expression et des comportements humainsÂť. En arabe, la tolĂŠrance est appelĂŠe ÂŤtasâmuhÂť, entre autres synonymes, dira l’intervenant, ĂŠvoquant ensuite la diversitĂŠ des religions, d’ethnies et de pensĂŠes comme relevant de la volontĂŠ divine, qui ne peut ĂŞtre dĂŠpourvue de Sagesse, dira-t-il, citant le ver

Â’ \ ` ton Seigneur l’avait voulu, Il n’aurait fait des hommes qu’une seule communautĂŠ Âť. Le Dr Zemmouri a ensuite amplement dĂŠveloppĂŠ la conception de la tolĂŠrance en tant principe fondamental en Islam, dont la tion face Ă un ĂŠlĂŠment contraire Ă une règle morale, civile ou phy-

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L’Êminent confĂŠrencier, le Dr Mohamed Saâd Zemmouri (au centre), prĂŠsentĂŠ par le prĂŠsident du club organisateur, Karim Bouzoubaâ, aux cĂ´tĂŠs du chef du protocole, Mohamed El Hitmi. sique particulière, une disposition d’esprit et une règle de conduite consistant Ă s’interdire tout moyen coercitif Ă l’Êgard de ceux qui ne partagent pas des convictions identiques. Plus gĂŠnĂŠrale individu Ă accepter une chose qui lui est inconnue, incomprĂŠhensible ou avec laquelle il n’est pas en accord. Et par extension, l’attitude d’un individu face Ă ce qui est diffĂŠrent de ses valeurs. La tolĂŠrance religieuse mesure, ainsi, l’attitude des diffĂŠrentes religions entre elles ou d’un individu face Ă une religion. Soulignant le fait que le monothĂŠisme constitue le fondement de l’Islam, la tolĂŠrance est l’une de ses caractĂŠristiques essentielles. \ * ^

[ la fois ÂŤ soumission Âť Ă Dieu et ÂŤ paix Âť. La tolĂŠrance religieuse a toujours ĂŠtĂŠ pour l’Islam une loi de vie nĂŠcessaire qui ne peut ĂŞtre nĂŠgligĂŠe sous peine de mettre la sociĂŠtĂŠ en grand pĂŠril. Partant de lĂ , le Dr SaĂŻd Zemmouri a expliquĂŠ qu’Êtant donnĂŠ que tous les peuples font partie d’une mĂŞme famille, l’Islam insiste sur la nĂŠcessitĂŠ d’une ĂŠgalitĂŠ et d’un respect absolus entre tous les ĂŞtres humains, abstraction faite de toute considĂŠration de race, de couleur, d’ethnie, de langue, de croyance, de nationalitĂŠ ou encore de privilège, si ce n’est celui de la droiture. ÂŤ La variĂŠtĂŠ et la diversitĂŠ humaines sont considĂŠrĂŠes comme faisant partie de la bĂŠnĂŠdiction et de la misĂŠricorde de Dieu et les peuples sont invitĂŠs Ă aller au-delĂ de la simple coexistence et de chercher activement Ă s’entendre mutuellement et de nouer des relations d’entraide rĂŠciproque, sachant que tous les peuples font partie de la famille de Dieu, et que Dieu aime le plus ceux qui se montrent les plus utiles aux membres de Sa famille Âť, souligne l’Êminent confĂŠrencier, estimant que les savants et les prĂŠdicateurs doivent favoriser Ă travers leurs discours et leurs cours la tolĂŠrance pour propager cette culture entre les gens, quelles que soient leurs tendances ; et ils doivent ĂŞtre un bon exemple dans la tolĂŠrance envers ceux avec qui on s’accorde et mĂŞme avec ceux avec qui on ne partage pas un avis. DĂŠplorant les dĂŠbordements

que l’on constate aujourd’hui, dĂŠlibĂŠrĂŠment commis au nom de l’Islam, Le Dr Zemmouri ĂŠvoque le verset coranique disant : ÂŤQuiconque tuerait une personne, c’est comme s’il avait tuĂŠ tous les gens ensemble Âť. ÂŤOr, l’intolĂŠrance gagne du terrain dans le monde aujourd’hui, semant la mort, le gĂŠnocide, la violence, la persĂŠcution religieuse ainsi que des affrontements Ă diffĂŠrents niveaux. TantĂ´t il s’agit d’une intolĂŠrance raciale et ethnique, tantĂ´t d’une intolĂŠrance religieuse et idĂŠologique, et tantĂ´t d’une intolĂŠrance politique et sociale. Dans tous les cas, l’intolĂŠrance est nĂŠfaste et douloureuse Âť, constate le Dr Zemmouri. A propos de la tolĂŠrance religieuse, le confĂŠrencier indique que ’Islam est par nature universel, embrassant tous les messages et religions antĂŠrieurs inspirĂŠs par Dieu. De mĂŞme que Dieu est Un, ainsi en est-il du message essentiel de la foi qu’Il a envoyĂŠe par Ses prophètes et ses Messagers. Le Saint Coran dit :ÂŤ La religion qu’Il a fondĂŠe pour vous est la mĂŞme que celle qu’Il a prescrite Ă NoĂŠ -et que nous vous avons inspirĂŠe- et qui a ĂŠtĂŠ prescrite Ă Abraham, MoĂŻse et JĂŠsus : notamment, que vous restiez fermes dans la Religion et que vous ne vous y divisiez pas. Âť (Sourate 42, Verset 13). Ainsi, explique l’Êminent confĂŠrencier, la tolĂŠrance religieuse fait corps avec le Saint Coran qui af # chaque individu Ă la libertĂŠ de pensĂŠe et de religion. Ă l’amour, Ă l’indulgence, Ă la justice et Ă la fraternitĂŠ et non Ă la violence, la contrainte ou l’oppression. Les fondements idĂŠologiques de la dans l’esprit de respect et de to # # $ les musulmans appelĂŠs Ă reconnaĂŽtre et respecter la dignitĂŠ de l’être humain quel que soit sa religion, sa culture, son ethnie ou sa couleur. Faire preuve de respect et de tolĂŠrance envers tout ĂŞtre humain n’est qu’une consĂŠquence de la reconnaissance de la dignitĂŠ humaine ĂŠtablie par Dieu, a conclu le Dr Saâd Zemmouri qui s’est ensuite attachĂŠ Ă rĂŠpondre aux questions de l’assistance tenue en haleine pendant plus de deux heures consacrĂŠes Ă ce thème de grande actualitĂŠ universelle.

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Du 11 JUILLET 2015

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RĂŠouverture des inscriptions sur les listes ĂŠlectorales ?

Affaire jupes courtes : verdict le 13 juillet

 aurait dĂŠmenti cette information qu’elle a

] le temps de mettre Ă jour le site ÂŤ www. listeselectorales.ma Âť et les inscriptions sur les listes ĂŠlectorales seraient rouvertes et le resteraient jusqu’au 20 aoĂťt prochain. Les inscriptions peuvent se faire directement sur le site ou bien auprès des autoritĂŠs locales du lieu de rĂŠsidence et, Ă l’Êtranger, auprès des consulats et ambassades marocaines. L’objectif de cette rĂŠouverture est de donner une nouvelle chance d’inscription et de participation au vote, Ă de nombreux citoyens qui ont nĂŠgligĂŠ cette inscription ou qui ont manifestĂŠ le dĂŠsir de le faire. C’est le cas par exemple de nombreux jeunes qui n’avaient jamais votĂŠ. # communales et les rĂŠgionales devaient ĂŞtre arrĂŞtĂŠes au 20 mars. Une prolongation avait ĂŠtĂŠ apportĂŠe et les listes ont ĂŠtĂŠ arrĂŞtĂŠes au 15 avril. 1,9 million de nouveaux inscrits ont ĂŠtĂŠ enregistrĂŠs en 2015, dont 600.000 par Internet! La liste arrĂŞtĂŠe au 15 avril comporte 14,3 millions d’inscrits, contre 13,6 millions pour les ĂŠlections lĂŠgislatives de 2011. Voici le texte intĂŠgral du communiquĂŠ du ministère de l’IntĂŠrieur: ÂŤLes citoyens non inscrits sur les listes ĂŠlectorales gĂŠnĂŠrales et qui rĂŠunissent les conditions lĂŠgalement requises peuvent prĂŠsenter leurs demandes d’inscription sur ces listes jusqu’au 20 aoĂťt 2015. ÂŤDans le cadre des prĂŠparatifs des ĂŠlections communales et rĂŠgionales prĂŠvues le 04 septembre 2015, le ministre de l’IntĂŠrieur rappelle que conformĂŠment aux dispositions de l’article 30 de la loi n 57.11 relatives aux listes ĂŠlectorales gĂŠnĂŠrales, les citoyennes et citoyens non inscrits sur les listes ĂŠlectorales gĂŠnĂŠrales et qui rĂŠunissent les conditions lĂŠgalement requises peuvent prĂŠsenter leur demande d’inscription sur ces listes. ÂŤCes demandes d’inscription peuvent ĂŞtre prĂŠsentĂŠes sur le site ĂŠlectronique consacrĂŠ aux listes ĂŠlectorales gĂŠnĂŠrales (www. listeselectorales.ma), directement auprès des autoritĂŠs administratives locales ou auprès des ambassades et consulats du Royaume Ă l’Êtranger pour ce qui des Marocains rĂŠsidents Ă l’Êtranger. ÂŤConformĂŠment aux dispositions juridiques en vigueur, les intĂŠressĂŠs peuvent prĂŠsenter leur demande d’inscription jusqu’au 20 aoĂťt 2015Âť.

On se trouve en dĂŠbut de matinĂŠe de ce lundi 6 juillet dans l’enceinte du tribunal de première instance d’Inezgane oĂš doit s’ouvrir le procès des % ] [ pour avoir portĂŠ des jupes courtes en allant faire leurs courses ramadaniennes au marchĂŠ d’Inezgane. Elles sont huĂŠes, puis arrĂŞtĂŠes, # # traduites en justice. | € " notamment des reprĂŠsentants de la sociĂŠtĂŠ civile, d’organisations locales, d’ONG et des avocats venus de tout le Maroc, tous sympathisants avec % ÂĄ € organisĂŠ avant l’ouverture de l’audience. Ă€ l’intĂŠrieur de la salle d’audience, on compte au moins 70 avocats, dont le bâtonnier Abderrahim Jamai. Tous les barreaux du Maroc sont reprĂŠsentĂŠs. 118 avocats et avocates, membres du collectif le Printemps de la dignitĂŠ, se sont inscrits pour dĂŠfendre les deux accusĂŠes. Ils sont reprĂŠsentĂŠs par Me Khadija Rougan. Ă€ l’ouverture du procès, l’avocat Me Bekkar Sbaai invoque les # * les articles 56 et 57 du code de procĂŠdure pĂŠnale ont ĂŠtĂŠ bafouĂŠs. Il ajoute que les accusĂŠes n’ont Ă aucun moment ĂŠtĂŠ informĂŠes des charges retenues contre elles. L’avocat met en cause le rĂ´le jouĂŠ l’inspecteur de la police judiciaire dĂŠnonçant procès-verbal qu’il a rĂŠdigĂŠ qui, selon lui, va Ă l’encontre des dispositions de l’article 57 du code de procĂŠdure pĂŠnale. Me JamaĂŻ ajoute que les faits ont ĂŠtĂŠ rapportĂŠs par des agents qui " Me Khadija Rougan, pour sa part, met en cause la violation de la prĂŠsomption d’innocence. Elle a cette phrase très forte: ÂŤle PV est un rĂŠcit ĂŠrotiqueÂť. Me Lahbib Hajji qui reprĂŠsente le bâtonnier de TĂŠtouan, Me ZaĂŻdi, invoque, de son cĂ´tĂŠ l’article 23 du code de procĂŠdure pĂŠnale qui stipule qu’il fallait informer immĂŠdiatement le procureur, ce qui n’a pas ĂŠtĂŠ fait. Quand le procureur prend la parole, il ne charge | * } passe par une ÂŤĂŠtape historique, compte tenu des rĂŠcentes affaires en relation avec les libertĂŠsÂť. Me Bekkar Sbai salue son courage. Il invoque la primautĂŠ des conventions internationales. ÂŤLes vĂŞtements que les accusĂŠes portaient sont en vente partoutÂť, ajoute l’avocat. Il demande Ă la cour de constater la nullitĂŠ du PV et de dĂŠclarer l’abandon des poursuites. Me Abderrahim Jamai reprend la parole: ÂŤsi les % ] % „ % rĂŠtrogradesÂť. Pendant ce temps, la foule est toujours lĂ , devant le tribunal, car la salle d’audience est hyper bondĂŠe. Des femmes voilĂŠes prennent la dĂŠfense % ] [ qui condamnent fermement, l’un d’entre eux a dit: \ € ] € ¢ ÂŁ^ A la pause Ă la mi-journĂŠe, il restait encore 14 plaidoiries. Le prĂŠsident du tribunal, qui avait bien saisi l’ampleur de la mobilisation, avait pris la prĂŠcaution de renvoyer toutes les autres affaires, initialement programmĂŠes dans la journĂŠe, Ă une autre date, ne gardant que l’affaire des deux ] | š ” sur le fond et le reste sur la forme. Vers 16H00, le juge a annoncĂŠ que le verdict sera rendu le lundi 13 juillet. A 17H00, confĂŠrence de presse donnĂŠe par Me Bekkar Sbaai, principal dĂŠfenseur des deux victimes, Fettah Bennani, prĂŠsident de Bayt Al Hikma et qui s’est dĂŠmenĂŠ pour mobiliser au % # % # Fouzia Assouli, prĂŠsidente de la FĂŠdĂŠration de la Ligue dĂŠmocratique des droits des femmes. Fettah Bennani rĂŠvèle que 500 avocats se sont

% centaine d’entre eux ĂŠtaient effectivement prĂŠsents. Il fait un parallèle: ÂŤcette affaire rappelle celle de KSar Kebir lorsque Fouad avait demandĂŠ la protection de la police et au lieu d’être protĂŠgĂŠ, avait ĂŠtĂŠ arrĂŞtĂŠÂť. Selon Me Sbaai, ce sont en rĂŠalitĂŠ 1.200 avocats qui se sont inscrits, car aux 500 annoncĂŠs par M. Bennani, il faut ajouter la totalitĂŠ des 700 avocats du barreau de Laâyoune. On apprend, d’autre part, que lors du Conseil de gouvernement du jeudi 2 juillet, le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane s’est exprimĂŠ pour la première fois, sur les ĂŠvĂŠnements qui ont secouĂŠ (et qui secouent encore le Maroc), Ă Inezgane puis Ă Fès. Il a eu une position claire, quoiqu’un peu tardive. ÂŤLes derniers dĂŠrapages et les rĂŠcentes agressions effectuĂŠes par certains citoyens Ă l’encontre d’autres, en raison de ce qu’ils ont considĂŠrĂŠ comme ĂŠtant contraire Ă leurs principes oĂš opposĂŠes Ă la coutume, sont inadmissibles. Le

35000 TPE risquent la faillite

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Les petites entreprises, principal chainon du tissu entrepreneurial marocain, ne sont pas toutes en bonne santĂŠ. Inforisk vient de publier un rapport selon lequel 35.000 d’entre elles risquent de faire faillite. Au total, 24% des TPE marocaines seraient au bord de la liquidation, souligne le rapport. Le document ĂŠvoque plusieurs raisons derrière cette situation critique. A commencer par le chiffre d’affaires de ces petites entitĂŠs, qui a reculĂŠ de 11% au cours de la pĂŠriode allant de 2010 Ă 2013. Les entreprises, dont le chiffre d’affaires annuel moyen est infĂŠrieur Ă 3 millions de DH, ont vu leur CA rĂŠgresser de 2,5 points au cours des trois dernières annĂŠes. Le rapport d’Inforisk soulève une autre [ _ ` }` Â’ { crĂŠdit bancaire. Et pour cause, les garanties exigĂŠes par les banques, dont ne disposent gĂŠnĂŠralement pas ces structures de petite taille. C’est pourquoi, le crĂŠdit bancaire ne reprĂŠsente —– Les TPE et PME font ĂŠgalement face Ă des dĂŠpenses et frais de gestions trop ĂŠlevĂŠs. Ainsi, les ressources humaines occupent 24% des dĂŠpenses annuelles de ces entreprises. % – !– 11%. De leur cĂ´tĂŠ, les matières premières reprĂŠsentent près de 28% des dĂŠpenses alors que les achats de marchandises, elles, constituent 24%.

# € demande et les dÊlais anormalement longs de paiement.

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JEUX

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DIVERS

gouvernement agira avec la plus grande fermetÊ à l’Êgard des agresseurs. Les autoritÊs veilleront à ne pas avoir d’auxiliaires dans le traitement de tout dysfonctionnement qui pourrait survenir ou tout acte contraire à la loi et à la morale. Ceux qui estiment avoir un grief contre autrui ou qui veulent faire part d’une plainte ou dolÊance doivent s’adresser aux autoritÊs compÊtentes .

***** ème

Transfert des MRE: le Maroc 3 grand bĂŠnĂŠďŹ ciaire dans le monde

Selon un rapport du Fonds international de dĂŠveloppement agricole (Fida), le Maroc, avec ses 928.000 migrants rien qu’en France, fait ” ? [ € transferts d’argent en provenance d’Europe. Il est en effet classĂŠ 3ème avec 5,7 milliards d’euros en versements provenant du Vieux continent, derrière le Niger (6,8 milliards d’euros), la Chine (5,8 milliards d’euros) et devant l’Inde (5,2 milliards d’euros). Il faut savoir que les 5 pays en question reprĂŠsentent Ă eux seuls plus de •”– " % [ ? en dĂŠveloppement, et que le Maroc, l’AlgĂŠrie et la _ —˜– " % ™

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CriminalitĂŠ : 44 223 arrestations en 37 jours

Les diffĂŠrentes prĂŠfectures de police du royaume ont atteint le chiffre record d’arrestation de 44 223 criminels durant les cinq dernières semaines, dont 26.890 ont ĂŠtĂŠ arrĂŞtĂŠes " • ˜š faisaient l’objet d’avis de recherches pour leur implication dans de graves crimes, (vols sous la menace, viols, homicide volontaire, enlèvement et sĂŠquestration), 370 personnes ont ĂŠtĂŠ • ! ” arrĂŞtĂŠes dans le cadre des interventions de police menĂŠes aux environs des ĂŠtablissements scolaires. En parallèle, les services de la DGSN ont menĂŠ une opĂŠration pour renforcer le contrĂ´le de la sĂŠcuritĂŠ routière. Celle-ci a conduit Ă la rĂŠdaction de 249.423 procès-verbaux d’infractions lors de la mĂŞme pĂŠriode, soit une hausse de 9,98% par rapport Ă la mĂŞme pĂŠriode de l’annĂŠe dernière, a prĂŠcisĂŠ la DGSN.

Paiement des amendes par carte bancaire

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Dès le dĂŠbut 2016, les conducteurs en infraction pourront s’acquitter de leurs contraventions auprès des gendarmes et des policiers qui seront ĂŠquipĂŠs de terminaux de paiements ĂŠlectroniques reliĂŠs Ă un système central. Pour ce faire, le contrevenant doit ĂŞtre titulaire d’un permis biomĂŠtrique et ĂŠvidemment d’une carte bancaire.

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Dècès de l’acteur Omar Sharif Ă 83 ans

Omar Sharif, acteur ĂŠgyptien cĂŠlèbre notamment pour ses rĂ´les dans Lawrence d’Arabie et Le Docteur Jivago, est mort hier vendredi Ă l’âge de 83 ans. De son vrai nom Michel Demitri Chalhoub, Omar Sharif est nĂŠ Ă Alexandrie en 1932 dans une famille d’origine libanaise, qui travaille dans le commerce de bois prĂŠcieux. EduquĂŠ au Victoria College, l’Êcole chic d’Egypte, Omar Sharif, tout juste sorti de l’universitĂŠ, il est repĂŠrĂŠ, Ă l’âge 21 ans, par le rĂŠalisateur Youssef Chahine, qui le fait dĂŠbuter dans Ciel d’enfer face Ă la grande actrice ĂŠgyptienne Faten Hamama, qu’il ĂŠpouse la mĂŞme annĂŠe, mais dont il divorcera par { # _ „ En 1962, le rĂŠalisateur britannique David Lean › | *€ ` Â? Lawrence d’Arabie, aux cĂ´tĂŠs de Peter O’Toole. Son interprĂŠtation lui vaudra un Golden Globe du meilleur second rĂ´le, et un contrat avec la Columbia, le premier du genre pour une star arabe. Après son installation aux Etats-Unis, David Lean le fait jouer en 1965 Docteur Jivago, pour lequel il obtiendra un nouveau Golden Globe, celui de meilleur acteur. Il incarnera par la suite aussi bien Genghis Khan ‡ ž # ] diffĂŠrents que Mayerling (1968) de TerenceYoung, ou Les PossĂŠdĂŠs d›Andrzej Wajda (1988). Il n’avait pas hĂŠsitĂŠ non plus Ă tourner, en pleine guerre des Six jours, Funny girl, de William Wyler, avec Barbra Streisand (1968), oĂš il campait un juif de la diaspora soutenant IsraĂŤl. Une performance qui lui avait valu une interdiction de sĂŠjour en Egypte, levĂŠe seulement en 1977. Le Journal de Tanger

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I. MUSULMANS DU RAMADAN ET MUSULMANS DU RESTE DE L’ANNEE : Beaucoup d’observateurs s’interrogent à propos de

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les apprentis terroristes ne peuvent ĂŞtre parmi ces fous Ă dĂŠlirer. Š ] % [ % l’engouement des Marocains pour les mosquĂŠes en pĂŠriode de qui n’ont rien compris Ă l’indiffĂŠrence de la police. Rien ne devrait Ramadan et, en particulier, lors des prières de ÂŤ Taraweh Âť. Les plus nous ĂŠtonner après, mĂŞme pas le dĂŠcès tragique de ce pauvre optimistes parlent d’un renouveau de l’islam, les plus sĂŠvères les policier qui a ĂŠtĂŠ renversĂŠ par un chauffard criminel ! Le respect accusent d’hypocrisie et de ÂŤ mas-tu vu ? Âť or, il n’y a point de secret de la police, la crainte de la police vient de sa prĂŠsence effective en dehors de la sacralitĂŠ de ce mois qui a sa propre organisation, sur le terrain pour que le citoyen se sente en sĂŠcuritĂŠ. Toujours ses propres exigences qui font que c’est un mois qui n’est pas Ă la rue Ibn Katir, un autre coin de dĂŠpravation est Ă relever qui du tout comme les autres mois de l’annĂŠe. Il est pratiquement empĂŞche les gens de dormir et les enfants de grandir normalement. impossible de s’imposer le mĂŞme rythme de vie durant les 12 Il s’agit d’une nouvelle cafeteria du nom de ÂŤ Tropicana Âť, ouverte mois de l’annĂŠe, il est tout aussi impensable de s’acquitter des 24/24, qui rassemble toute la racaille de la ville, tous ceux qui ont mĂŞmes devoirs de la mĂŞme manière tout au long de l’annĂŠe. Le dĂŠcidĂŠ que la nuit serait leur jour et que, nonobstant les droits des mois de ramadan est l’occasion propice pour la mĂŠditation, c’est riverains, ils auraient les leurs : tapage nocturne, discours grossier un mois de vidange spirituel qui nous permettra, par la suite, de et insoutenable, habillement provocateur, invasion de la rue et ses rouler en toute sĂŠcuritĂŠ, en toute sĂŠrĂŠnitĂŠ. Ceux qui croient que alentours pour des scènes obscènes, voitures de luxe au milieu de ceux sont assidus durant le mois de Ramadan, le sont moins le la chaussĂŠe, ĂŠtat d’ÊbriĂŠtĂŠ avancÊ‌etc. Cela dure depuis quelques reste de l’annĂŠe se trompent. Ces derniers font leurs prières tout mois et durant le ramadan cela a empirĂŠ ! Qui est responsable de ce au long de l’annĂŠe, ils ne ratent pas la prière du vendredi et sont, laisser-aller qui porte prĂŠjudice Ă des citoyens qui ont investi dans en gĂŠnĂŠral, de bons musulmans pratiquants. Si certains jeunes ou des appartements de luxe pour que leur vie soit synonyme de paix, ] de convivialitĂŠ, de quiĂŠtude, de sĂŠcuritÊ‌etc? je parle d’une rue, je temps perdu, c’est, Ă mon sens, une excellente chose. Il n’est jamais sais que d’autres citoyens vivent le mĂŞme calvaire dans d’autres trop tard pour bien faire. Chez nous l’islam n’est pas seulement un espaces de la ville. Nous sommes en droit d’exiger un maximum dogme mais un mode de vie, un ensemble de règles de coexistence de contrĂ´le, d’actions visant Ă ĂŠliminer les grappes de truands, de

# # # pervers, de dĂŠpravĂŠs, de bandits‌ toutes ces causes possibles moindres dĂŠtails, ferait rougir les textes de donneurs de leçons d’insĂŠcuritĂŠ ! Les syndics de ces quartiers menacĂŠs, agressĂŠs, en matière de civilitĂŠ et de tolĂŠrance. Les musulmans du ramadan se prĂŠparent pour mener une action Ă destination des autoritĂŠs opèrent un ressourcement collectif tout Ă fait naturel, c’est une ÂŁ forme de pèlerinage local oĂš chacun puise sa force spirituelle dans le regard de l’autre, dans la proximitĂŠ de l’autre, dans l’exemplaritĂŠ III. LE JOURNAL AL MASSAE ET LA VERITE HISTORIQUE: de l’autre. Dix jours de clĂŠmence, dix autres de pardon et les dix Ce journal national, rĂŠputĂŠ sĂŠrieux, ÂŤ non-alignĂŠ Âť, a pondu un derniers de mĂŠditations profondes sur le Destin, sur notre destinĂŠe, article le vendredi 3 juillet 2015 signĂŠ par un de ses journalistes, du nom de Ahmed Amchekah ayant pour titre : ÂŤ Dar Dmana qui lave son visage après des dĂŠcennies d’exclusion Âť, comprenez, par lĂ , ÂŤ Ouazzane qui retrouve des couleurs après des annĂŠes d’indiffĂŠrence et d‘oubli Âť. Ouazzane faisant dĂŠsormais partie de notre RĂŠgion comme Amalat crĂŠĂŠe suite Ă la visite de Sa MajestĂŠ le Roi en 2010, en parler ici est naturel. Plus naturel encore le fait que cet article cite le nom d’un personnage qui a ĂŠtĂŠ tangĂŠrois et qui possède un mausolĂŠe Ă Haoumat Bni Idder. Il s’agit de sidi hadj Abdeslam, connu par les historiens sous le nom de ÂŤ Grand chĂŠrif d’Ouazzane Âť. L’auteur, dans son texte confond ledit chĂŠrif avec son ancĂŞtre le fondateur de la zaouia d’Ouazzane, Moulay Abdellah Chrif. L’auteur accuse ÂŤ Moulay Abdellah chrif d’avoir voulu devenir sultan du Maroc en 1700 ( ???) après avoir fondĂŠ la zaouia ÂŤ taybia Âť ( ???) en tant que descendant de Moulay Driss et avant que la ville ne se rĂŠvolte contre lui après voir pris la dĂŠcision de divorcer de ses ` ? „ š ' ‚‚‚= ‡ { # # } jusqu’à sa mort Ă Tanger et son enterrement Ă l’Êglise anglicane San Andrew Âť ( ???)! ‌etc. Âť Je m’arrĂŞte lĂ pour ne point vous importuner davantage juste pour vous dire comment l’information est vĂŠhiculĂŠe de nos jours, comment elle est contrĂ´lĂŠe, comment # ? ? €

l’histoire, de manipuler les lecteurs et l’opinion publique. C’est du pur dĂŠlire mĂŠdiatique! Des ĂŠlĂŠments de rĂŠponse ? 1- Moulay Abdellah Chrif est le fondateur de la confrĂŠrie d’Ouazzane en 1678 ; Il est contemporain du premier sultan Alaouite. C’Êtait un homme % { \ # ^ # § [ ‹ $$ ? # sa zaouia. Au mĂŞme moment, s’installait la dynastie alaouite. Aucun " mĂŠtralement opposĂŠs, aucune compĂŠtitivitĂŠ, ni jalousie, bien au contraire l’histoire dĂŠmontrera que la zaouia d’Ouazzane a toujours ĂŠtĂŠ très proches des sultans alaouites malgrĂŠ quelques petits malentendus qui n’ont, en aucun moment, changĂŠ le cours de l’histoire. Les dates ĂŠnoncĂŠes sont farfelues. En 1700, il crĂŠe une zaouia, en 1800, il ĂŠpouse une Anglaise avec qui, en principe, il va avoir des enfants qui auront 16 et 18 ans Ă sa mort en 1892. Cet homme surnaturel a donc vĂŠcu 2 siècles !!! Une insulte Ă l’histoire et aux historiens ! Pauvres lecteurs ! En fait, ce sont deux personnages diffĂŠrents qui ont vĂŠcu Ă des ĂŠpoques diffĂŠrentes, Ă chacun son parcours et son empreinte personnel dans l’histoire du Maroc. Les deux ont servi loyalement leur pays, sur notre capacitĂŠ Ă vivre heureux. Ceux qui nous reprochent ont investi dans l’islam juste et tolĂŠrant, ont soutenu la dynastie d’être ce que nous sommes ont du mal Ă comprendre que nous alaouite dans sa lutte contre les rebelles et ont ainsi contribuĂŠ Ă la ne soyons pas comme eux. La diffĂŠrence les dĂŠrange, les rĂŠvolte. consolidation de leur pouvoir au Maroc. Il est certain que le Maroc Etre comme eux, c’est ĂŞtre moins qu’eux lorsque la conviction est a vĂŠcu des pĂŠriodes troubles, que les puissances occidentales absente. Nous ne sommes pas des intĂŠgristes, mais des individus ont injectĂŠ leur ÂŤ venin Âť dans les relations entre les Marocains libres qui aiment leur pays et qui souhaitent prĂŠserver son identitĂŠ. comme partout dans le monde entre envahisseurs, colonisateurs Bonne ou mauvaise, cela nous regarde ! Et si dĂŠbat, il doit y avoir, ou protecteurs. C’est sidi hadj Abdeslam, le TangĂŠrois, qui a ĂŠpousĂŠ c’est entre nous, mĂťrs, matures, majeurs et libres ! Laylatou al Qadr une Anglaise en 1873, c’est toujours lui qui a marquĂŠ l’histoire du Moubaraka 3alaikoum. Allahouma taqabal salatana oua siamana } _

oua qiyamana, inchaallah ! Amine !  ? [ [ [ de la modernitĂŠ dans le pays avant sa mort sur son lit II. RUE IBN KATIR, RUE OU IL FAIT BON SOUFFRIR : Cette rue l’introduction (mitoyenne de la Place Roudani) se transforme ÂŤ naturellement Ă Dar Baroud (l’actuelle pavillon droit de l’HĂ´tel Continental) Ă son Âť en quartier latin avec sa rangĂŠe d’immeubles oĂš prostitution et enterrement Ă Haoumat Bni Idder. Quant Ă la fameuse Anglaise, pornographie se pratiquent en direct. Les habitants des immeubles elle est enterrĂŠe au Marshan Ă Tanger, dans le carrĂŠ familial de voisins sont agressĂŠs par des scènes pornographiques Ă travers Dar Dmana, une Anglaise protestante Ă son arrivĂŠe au Maroc et des ĂŠcrans en bĂŠtons, fenĂŞtres ouvertes, dĂŠversant impunĂŠment qui est dĂŠcĂŠdĂŠe en 1941 musulmane. Elle repose entourĂŠe de ses leur horreur sur les regards de familles traditionnelles, d’hommes { [ et de femmes âgĂŠs qui, de leur balcon, au lieu d’admirer le bleu la zaouia ÂŤ Taybia Âť, c’est le nom de la zaouia d’Ouazzane donnĂŠe du ciel et de la mer, sont littĂŠralement submergĂŠs par les scènes par les AlgĂŠriens et les autres peuples africains aux confrĂŠries pornos en chairs ruisselantes et insolences inadmissibles. DrĂ´les } ? |€ ‡ —{ de rĂŠsidences au nom de rose de la rose ÂŤ Oumnia Âť ! Un vĹ“u (cheikh) de la confrĂŠrie qui a contribuĂŠ Ă l’expansion de celle-ci pieux ! Rue Ibn Katir est, en ce mois de ramadan, le paseo libertin après Moulay Abdellah Chrif, Moulay Mohamed et Moulay Thami > ] % % % (moul assouk al 7ami), radia Allahou 3anhoum. Inutile de revenir charmes au grand dam des hommes et des femmes qui emprunte sur tout le texte de ÂŤ Al Massae Âť, un texte indigne de journalistes cette ruelle Ă leur retour des prières rituelles. Ibn Katir qui a donnĂŠ professionnels au service de la vĂŠritĂŠ historique, de la vĂŠritĂŠ tout son nom Ă cette rue doit se retourner dans sa tombe, lui dĂŠfenseur * € \

^ des valeurs de l’islam et interprète du Coran. Cette semaine, c’est l’histoire ont envahi, de nos jours, les toiles virtuelles, les tablesĂ une vĂŠritable bataille de rue que nous avons eu affaire, au dĂŠpart,

entre deux jeunes ÂŤ voyous Âť (pour certains de gentils garçons du artistes‌ Les ÂŤ Photoshop Âť de l’histoire sont lĂ ! Nous sommes quartier) qui s’est transformĂŠe en guerre des clans avec armes tous menacĂŠs par le mensonge et la calomnie ! Vigilance ! blanches au su et au vu de tout le monde (ĂŠpĂŠe et coutelas). Un spectacle indigne d’une ville qui se respecte, qui se fait une nouvelle IV. ISLAM, ISLAMISME, ISLAMOPHOBIE, TOUJOURS! J’ai, virginitĂŠ ! Beaucoup d’appartements sont louĂŠs Ă des individus comme Ă mon habitude, participĂŠ Ă un dĂŠbat sur facebook, sans arrière-pensĂŠes, avec l’objectivitĂŠ que je m’impose toujours en tant rue proche des quartiers malfamĂŠs de Tanger. La criminalitĂŠ y qu’intellectuel soucieux de l’avenir de son pays, des relations prospère impunĂŠment. Les riverains ont vĂŠcu trente minutes de humaines qu’ils entretient avec les autres peuples du monde et terreur et d’enfer. A la vue d’un agent de la circulation, les tĂŠmoins surtout, imprĂŠgnĂŠ de cet ĂŠlan vers le dialogue, seule voie, Ă mon ont ĂŠmis un ouf de soulagement, or, curieusement, l’agent s’est mis sens, susceptible de rapprocher les idĂŠes, d’Êviter les malentendus, au devant d’une voiture qui traversait la rue, s’appuya sur le capot de lutter contre les amalgames qui sèment la mort, la folie, la haine # _ " % }  permis de conduire et s’en retourna calmement Ă la place Roudani Taste : J’ai toujours pensĂŠ que la religion ĂŠtait un choix ! Pourtant, alors qu’une scène macabre se dĂŠroulait Ă deux mètres de lui. Si dans ce cas, cela me semble ÂŤchoix imposĂŠÂť et, si imposĂŠ, il n’y a mort de personnes avait eu lieu ce jour-lĂ , il aurait certainement plus ni choix, ni foi !!!!! Marie-h Ribes Un bĂŠbĂŠ que l’on baptise ĂŠtĂŠ accusĂŠ de non assistance Ă personne en danger. Incroyable choisit le mĂŞme fonctionnement, au dĂŠpart !! RenĂŠe Taste Mais, irresponsabilitĂŠ alors que le danger menaçait des dizaines badauds après le baptĂŞme, il a le choix de pratiquer ou pas et de changer de qui assistaient Ă la guerre des clans. Dix minutes après, une voiture religion s’il le dĂŠsire ! Ponthieu Danielle Non ...elle est imposĂŠe ‌ de police s’approcha du lieu du drame oĂš toutes les tentatives de Laure RadiesthĂŠsiste MagnĂŠtiseuse Naturopathe Les pauvres... !!! rĂŠconciliation ont ĂŠchouĂŠ, tout le monde pensa que la police allait Anne Marie Cherigny Aboutayab ecoutez en 2011 j en pouvais plus faire son travail et que quelqu’un les avait appelĂŠs. Que nenni, la en route de Casa a Martil j ai du rompre mon jeune on s est arrete petite fourgonnette traversa la rue, ne daigna mĂŞme pas jeter un dans un service ou j ai bue un coke personne ne m a rien dit ou rien regard sur la foule en colère, sur les voyous en chaleur, torses nus fait d autres buvaient des boissons cafe ect Docteur El Yamlahi et armes Ă la main‌ A n’y rien comprendre ! De la rue Ibn Katir, Ouazzani Grande question philosophique! En effet, on ne n’est pas la rixe dĂŠborda sur le boulevard‌ LĂ , encore, aucune intervention musulman ou chrĂŠtien mais on devrait le devenir! SitĂ´t qu’on le de la police, Ă croire que tout cela fait partie de la normalitĂŠ et que devient, par conviction, c’est un choix que l’on doit assumer. Mon ĂŠpouse me disait, il y a tout juste dix jours, sur la corniche de

Le Journal de Tanger

JEUX

DIVERS

Malaga: ÂŤpourquoi ces gens-lĂ devraient-ils ĂŞtre sanctionnĂŠs par Dieu parce qu’ils ne font pas le ramadan, optent pour le nudisme,... alors qu’ils sont nĂŠs dans une culture qui est la leur, des traditions qui sont les leurs... Et si nous ĂŠtions, nous, nĂŠs ici au lieu d’être nĂŠs au Maroc? Question fort complexe, certes mais ma rĂŠponse a ĂŠtĂŠ: Le premier ordre ou conseil qui a ĂŠtĂŠ donnĂŠ au Prophète Mohamed a ĂŠtĂŠ: ÂŤLis, au nom de ton Dieu!Âť autrement dit, n’est musulman ou chrĂŠtien que celui qui a effectivement lu les textes religieux, les a compris et a dĂŠcidĂŠ de les appliquer. Tout le reste n’est que spĂŠculation et littĂŠrature! Lorsqu’on fait un choix, on le fait après ĂŠtudes et analyses, il n’y a pas de place au hasard, pas de place Ă la subjectivitĂŠ! Lorsqu’on s’assume, on est plus libre et on respecte la libertĂŠ des autres, autrement dit les choix des autres! Si les ĂŠtats ont inventĂŠ des lois, c’est uniquement pour prĂŠserver, protĂŠger l’identitĂŠ nationale, hĂŠlas, battue en brèche par la mondialisation et par l’information satellitaire! En islam ÂŤPas de contrainte en religionÂť!Tu ne peux ĂŞtre musulman pour la forme, ni jeĂťner pour la forme...! Marie-h Ribes Pas de contrainte en religion ?? DĂŠsolĂŠe, je ne vois que de la contrainte dans l’Islam car si on prend un autre chemin, justice, prison, lynchage etc et j’en passe selon le pays !!! Docteur El Yamlahi Ouazzani La religion est une affaire individuelle, braver les lois d’un pays en est une autre, madame! L’islam est comme toutes les autres religions, il raisonne de la mĂŞme manière, dĂŠfend son dogme de la mĂŞme manière, rĂŠagit par rapport aux mĂŠcrĂŠant de la mĂŞme manière. Lorsque la chrĂŠtientĂŠ cĂŠlèbre sa 2015 ème annĂŠe ou —• {

dogme sont toujours actifs et que si on parle de religions rĂŠvĂŠlĂŠs c’est que derrière elles une divinitĂŠ existe et les protèges de l’usure du temps et des mentalitĂŠs. Non, madame, ce n’est pas la religion qui te mène en prison c’est le non respect des lois en vigueur dans chaque pays, dans chaque communautĂŠ. Que quelqu’un bafoue les règles de vie chez toi et je ne serais pas ĂŠtonnĂŠ de voir ta rĂŠaction par rapport au contrevenant! Nous sommes libres de croire comme nous sommes libres d’aimer et lĂ , la religion n’a rien Ă voir lĂ dedans! Personne ne vient nous faire subir un test pour savoir si nous jeĂťnons ou pas (alors que vous le faites pour celui qui boit de l’alcool ou pas), sauf si vos actes dans la rue provoquent danger ou rejet parce que ce sont des lois positives qui rĂŠgissent la vie en sociĂŠtĂŠ. Evitons, si vous le voulez bien, les amalgames, ainsi communautĂŠs et faire en sorte la culture de la paix et de la convivialitĂŠ soit une rĂŠalitĂŠ. En reprochant aux autres ce qu’ils ne sont pas, on diffuse l’injustice, on joue Ă la provocation... voyez ce que cela donne dans la rĂŠalitĂŠ: violence, terrorisme, barbarie, aveuglement... Soyons sages, prudents et vigilants si on ne veut pas que nos enfants et petits-enfants s’entretetuent et se dĂŠchirent parce des imbĂŠciles leur ont fait croire que le paradis n’est pas le mĂŞme pour tous et que l’enfer n’est pas le mĂŞme pour tous! Sans rancune! Marie-h Ribes Pas tout lu mais le mot ÂŤmĂŠcrĂŠantÂť me stoppe : complètement dĂŠsuet et sans sens en 2015, dĂŠsolĂŠe !!! Docteur El Yamlahi Ouazzani Continuez de lire! ÂŤMĂŠcrĂŠantÂť, ÂŤnon croyantÂť, ÂŤathĂŠeÂť, ÂŤlaĂŻcÂť, ÂŤlibertinÂť, ÂŤlibĂŠralÂť... peu importe l’appellation si vous avez compris le sens ou le non sens! C’est le fond que je discute avec vous, madame, pas la forme des mots, madame! Marie-h Ribes J’ai lu... sauf que les lois chez vous sont liĂŠes Ă la religion, donc, je ne vois pas oĂš se situe la libertĂŠ, encore dĂŠsolĂŠe ! Ensuite, vous parlez de paradis, d’enfer, vous ĂŞtes dans une dimension qui m’est inconnue et qui ne m’intĂŠresse pas. Marie-h Ribes Un exemple de loi liĂŠe Ă la religion, avec entrave Ă la libertĂŠ individuelle... ÂŤAu Maroc, l’article 222 du Code pĂŠnal punit d’un Ă six mois de prison toute personne ÂŤ notoirement connue pour son appartenance Ă la religion musulmane, rompant ostensiblement le jeĂťne dans un lieu public pendant le mois de Ramadan, sans motif admis par cette religion Âť Docteur El Yamlahi Ouazzani Parce que chez vous, en France, les lois ne sont pas d’inspiration divine? La laĂŻcitĂŠ, madame, est une manière de concilier dans la rĂŠalitĂŠ respect de la religion et libertĂŠ de culte! Si vous lisiez davantage sur la genèse de l’Union europĂŠenne, sur ce pacte europĂŠen qui bat de l’aile ces derniers, vous saurez que tout s’est construit autour du ferment ÂŤreligionÂť et non sur l’Êconomique comme on vous le fait croire. Je suis persuadĂŠ qu’on ne laissera pas tomber la Grèce, tout simplement parce qu’elle est chrĂŠtienne. Pourquoi refuse t- on l’adhĂŠsion de la Turquie, celle du Maroc qui a, lui aussi dĂŠposĂŠ sa demande en 85 ( !)...etc? La loi s’applique Ă ceux % leur intimitĂŠ! La loi est faite pour garantir la solvabilitĂŠ de l’ordre publique et non pour empĂŞcher les ÂŤlibresÂť d’assumer leur libertĂŠ en consommant de l’alcool chez eux, d’âtre homosexuel chez eux... Les lois n’entravent jamais la libertĂŠ individuelle, elles la protègent! Croyez-moi, madame, faites l’effort de faire la part des choses, vous verrez plus clair! Les Français n’ont jamais reniĂŠ leur appartenance Ă la chrĂŠtientĂŠ, les IsraĂŠliens ont votĂŠ pour un statut d’Êtat ÂŤjuifÂť, pourquoi interdire Ă d’autres ĂŠtats la libertĂŠ d’être musulmans? N’est-ce pas inique? Marie-h Ribes Je ne vous lis plus !! Ne vous fatiguez pas, Monsieur !! Docteur El Yamlahi Ouazzani C’est dommage, chère amie! Il n’y a pas de dĂŠbat inutile. Je ne cherche pas Ă vous convertir mais Ă vous inviter Ă voir les choses autrement. Vous ĂŞtes libre de ne pas me lire mais vous ĂŠcrire, c’est aussi une manière de vous dire que la vĂŠritĂŠ n’est pas une et qu’elle n’est pas lĂ oĂš vous le croyez ou que je le crois. Sans rancune, madame? Je ] [ " % % des cĹ“urs et l’intelligence de l’esprit. Face Ă l’Êtat qui s’est voulu juif, s’est crĂŠĂŠ un ĂŠtat islamique! C’est absurde, mais voyez ce que l’absurde, l’entĂŞtement, l’orgueil et la vanitĂŠ, ce que la provocation peut engendrer comme malheurs et violence. Je vous laisse " ÂŁ / # # ÂŁ ¤ ÂŒ Garcia Lloret VoilĂ ... c’est encore la faute Ă l’Etat Juif. Incroyable d’en arriver Ă cette ÂŤconclusionÂť de la cause de l’islamisation.... comme si elle n’avait jamais existĂŠ avant que cet Etat Juif fut crĂŠĂŠ..... Passons... mais si des personnes censĂŠes ĂŞtre sensĂŠes en arrivent Ă ce type de conclusions.... imaginons mĂŞme pas ce que d’autres bien moins culturisĂŠes en tirent comme essence....Marie-h Ribes .... Jose Fco Garcia Lloret Que viendraient faire le Maroc et laTurquie en Europe ? Encore une grande interrogation... pourquoi pas accepter le Zimbawe ? RenĂŠe Taste Maroc et Turquie n’ont rien Ă voir avec l’Europe. Je trouve que l’Europe avec 28 pays, c’est dĂŠjĂ bien assez, trop mĂŞme et toutes ces diffĂŠrences entre pays rendent dĂŠjĂ l’Europe ingĂŠrable ! RenĂŠe Taste La Turquie a 3% de son pays en Europe !!!!! RenĂŠe Taste Beaucoup d’hypocrisie autour de ce sujet ! On veut leur imposer une foi qu’ils n’ont pas mais, de quel droit ? Âť. Suite Ă ce dĂŠbat ÂŤ surnaturel Âť, Ă ce dialogue de sourds, une de ces € " % # % qui, comme moi, tentent de servir le dialogue entre les civilisations, entre les religions, entre les cultures‌etc, un texte d’une hardiesse dĂŠroutante oĂš la pensĂŠe unique devient synonyme de terrorisme que je transpose ainsi : ÂŤ Je suis contre ces gens qui parlent des autres et oublient de parler de leur pays. C’est de l’hypocrisie‌ ce sont des donneurs de leçons Ă deux balles‌ Âť ! L’insulte est bien lĂ mais retenons l’intention. Il est des individus qui ne dialoguent pas mais qui veulent imposer leur vĂŠritĂŠ. Le Maroc est peuplĂŠ d’indigènes, de terroristes, de religieux dangereux, un ĂŠtat dont les lois sont non libĂŠrales puisqu’inspirĂŠes de la religion, des Marocains bornĂŠs et stupidement naĂŻfs, incapables d’entrevoir la vĂŠritĂŠ, nuls en analyse gĂŠopolitiques ou gĂŠoculturelles‌ L’esprit du colon est toujours prĂŠsent ! Les peuples du Sud sont incapables de penser, c’est Ă nous de penser pour eux, d’agir en leur nom, de leur apprendre ce qu’est la libertĂŠ, ce qu’est la religion, ce qu’est vivre !

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