Nouvelles approches de la promotion, la communication et la fidélisation sur internet Web 2.0 : les réseaux sociaux
Je ne blogue pas, je ne twitte pas Par Yvonne DiVita (Tendances PME/PMI) – www.openforum.com/idea-hub/ - Trad. LLiseil
26 juillet 2009 Quand je leur demande (avec un soupçon d'espoir dans ma voix) « Avez-vous lu mon blog ? », mes enfants rient et disent : «Je ne blogue pas et ne twitte pas, maman. » Ils utilisent Skype (au lieu de Twitter), ils utilisent Facebook (au lieu de blogs). Ils communiquent avec leurs amis et laissent le reste du monde vaquer à ses affaires. Ils sont la génération des « toujours con-nectés », satisfaits par leurs outils, immergés dans une société de gadgets et widgets, parlant et/ou « texting » (textos) d'un clic sur un bouton. Ils ne s'occupent pas du pourquoi – seul le comment les intéresse. Une part de ce pourquoi est d'éviter votre publicité, Monsieur le Directeur du marketing.
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Au fur et à mesure que la technologie continue de changer nos façons de communiquer, nos rapports à autrui, la façon dont nous percevons le positif du négatif - il est intéressant de re-garder les gens s'adapter, ou non. Grandir, ou non. Changer, ou pas. Je me surprends à revenir à Shakespeare et Hamlet, «être ou ne pas être, » est-ce la question ? Ou bien est-ce bloguer ou ne pas bloguer ? « Twitter » ou ne pas « Twitter » ? Communiquer ou ne pas communiquer ? L'outil de Shakespeare était une plume trempée dans l'encre ... pressé sur du papier imprimé. Aujourd'hui, il serait étonné de notre « repérabilité »(« findability » ambiante intégrée aux ou-tils que nous utilisons, Twitter, Facebook, LinkedIn - qui nous permettent de parler à des gens se trouvant à des mondes de distance. Est-ce que cette tendance, à se rapprocher de parfaits «étrangers», est une tentative d'améliorer notre vie, ou nous rend-elle seulement plus « bavards » ? Aujourd'hui nous parlons de personnalisation – de nouveaux outils et de tendan-ces changeantes centrées sur l'individu et non sur le collectif. Mais où cela nous mène-t'il ? À des invitations Facebook provoquant des regards perplexes sur nos visages: «Est-ce-que je vous connais ? » La prochaine génération d'outils vise à personnaliser nos contacts, ce qui nous permet de «se connaitre les uns les autres» - mais, tout le monde sait que, sur Internet, « personne ne sait que vous êtes un chien ». Je connais la plupart de mes « followers » Twitter à peu près autant que je connais les participants d'une conférence où je parle. Ils sont la tribu. Je suis connectée et je tiens à les connaitre tous, mais comme Malcolm Gladwell le notait dans The Tipping Point, nos tentatives de «connaitre» plus de 150 personnes à la fois peuvent être un exercice futile. Wikipédia décrit « tendance » ("trend") comme : « ... quelque chose qui devient en quelque sorte populaire au sein de la société “mainstream” en général sur une période de temps relativement longue (plus de quelques années). It is the direction of a sequence of events that LLISEIL WEB
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has some momentum and durability.” C'est la direction d'une séquence d'événements qui ont quelque élan et durabilité.” Est-ce que cette définition s'applique aux tendances en affaires (business trends) ? Je soumets que, lorsque la «popularité» deviendra un indicateur principal du succès en affaires, alors nous serons tous être assis aux cafés à papoter au sujet de la météo. Où est le changement, où est la fraîcheur - les tendances ne sont-elles pas les outils d'une nouvelle façon de penser ? Popularité et mouvement sont simplement la preuve que les tendances d'aujourd'hui imitent les tendances d'hier, peu importe comme elles semblent différentes. Faire partie de quelque chose d'important est bien mieux que d'être « branché ». Comme Michael Port, l'extraordinaire penseur du changement, me l'a dit dans un podcast récent sur mon blog, « Vous devez représenter quelque chose ou quelqu'un se représentera pour vous. » Son Think Big Manifesto signifie juste cela – voire grand - créer une tendance pour cesser de penser petit. Doté d'élan et d'une popularité croissante, cela changera le monde des affaires tel que nous connaissons. La tendance ici, est que nous avons tous en nous les moyens de voir grand, d'accomplir de grandes choses, de laisser derrière les tendances dépassées d'hier. Penser large, penser tribus, créer des idées nouvelles pour que de nouvelles tendances pren-nent leur élan, au final... tout est affaire de communication, n'est-ce pas ? Les mots peuvent changer, se raccourcir, ou se transformer en une forme pertinente pour les besoins de l'indivi-du, mais la raison de parler ou d'écrire est toujours la même : faire changer les choses, intérieurement ou extérieurement, pour soimême et / ou son groupe communautaire. « Je ne blogue pas, maman. Je ne twitte pas, » signifie seulement qu'ils utilisent d'autres moyens de se parler les uns aux autres. Car ils communiquent. La tendance à être humain – à être con-necté - à bâtir une communauté, ne change pas. LLISEIL WEB
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En affaires comme dans la vie, ce n'est pas l'outil, ce sont les gens. Ce n'est pas la technolo-gie, c'est la façon dont les gens s'adaptent à elle et avec elle. Il ne s'agit pas de bloguer ou de twitter, mais de parler d'individu à individu. Il importe peu que vous le fassiez avec un stylo et du papier, en décrochant le téléphone, ou en twittant. Ce qui importe est : avec qui parlez-vous aujourd'hui ? *** À propos de l'auteur: Yvonne Divita est l'auteur de « Dick*less Marketing: Smart Marketing to Women Online », un livre sur les moyens d'amener les icônes du baby-boom que sont Dick et Jane à acheter sur votre site Web. Suite à la publication de son livre, elle a fondé Windsor Media Enterprises, LLC « Tout sur les livres, les blogs et au-delà ». Yvonne tient un blog à l'adresse LipSticking pour soutenir son travail sur le marché féminin en ligne. Elle est vice-présidente de l'association « Rochester Chapter of the American Marketing ».
Commentaires Fanminder CEO (Jul 30, 2009) « Article rafraîchissant et rappel opportun de se concentrer sur l'essentiel. »
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