Brive et le pays de Brive

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ET LE PAYS DE BRIVE Regards sur un patrimoine Laurent Derne Jean-Pierre Lacombe Frédéric Le Hech David Marmonier Jean-Michel Valade

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PROMENADE PATRIMONIALE La Guierle, trait d’union entre cité ancienne et ville moderne Un samedi matin, sur la place animée de La Guierle et sous la halle Georges-Brassens, on croirait entendre, avec un peu d’imagination, cette célèbre chanson de l’auteur sétois écrite en 1952 : « Au marché de Briv’-la-Gaillarde… À propos de bottes d’oignons… Quelques douzaines de gaillardes… Se crêpaient un jour le chignon… ». Vigueur de langage et grivoiserie des mœurs de ces marchandes se confondent en une « Brivoiserie » mythique. Ajoutonsy l’existence, supposée sans la moindre preuve, d’un culte local à Priape, dieu antique de la fécondité doté d’un gigantesque sexe et le sobriquet « Coujous » par lequel les autres Corréziens raillent gentiment les Brivistes. Voilà comment se perpétue le préjugé qui prétend que la « Gaillardise » de Brive est synonyme de paillardise. En réalité, le complément « la-Gaillarde », officiellement adopté en 1929, est attesté dès le XIVe siècle ; il indique la forte valeur défensive des fortifications urbaines. La Guierle, mot dérivé de « hierlas » (les îles), nous plonge également dans l’origine du toponyme Brive. « Briva Curretia », terme utilisé dès l’époque mérovingienne, provient du celte Briva qui signifie pont, Curretia étant le nom antique de la rivière Corrèze. Un des enjeux majeurs a été de tout temps de parvenir à traverser ce cours d’eau qui se répand, à cet endroit précis, en de multiples bras et forme une zone marécageuse. Brive, dès l’époque préromaine, est un carrefour routier de deux cheminements de long parcours, l’un orienté est-ouest (Lyon-Bordeaux) et l’autre nord-sud (Poitiers-Toulouse).

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Le « phare » de Brive, ancien château d'eau, un jour de foire. Aujourd’hui, Office de Tourisme, (AMB 37Fi461) .

Page de gauche. Modillons de la collégiale Saint-Martin, réalisés pour l'essentiel en 1905-1906 par le sculpteur Max Braemer.

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Emplacement de la prise d'eau du canal de la Guierle, (AMB 37Fi591).

Le franchissement de la rivière se fait d’abord par un gué, au niveau de Malemort ; à l’époque gallo-romaine, un pont est construit au Bouy (emplacement actuel du pont du Buy), à 600 mètres en amont du centre de Brive. Seul pont de la cité jusqu’à la fin du Moyen Âge, il est très fortement endommagé en 1405, lors du conflit qui oppose Brive à un de ses coseigneurs, le vicomte de Turenne. Vers 1480, période de reconstruction après la fin de la guerre de Cent Ans, on tire les leçons du passé : le pont, trop loin du centre, est difficile à défendre. Dans l’axe nord de la cité murée, un nouvel ouvrage enjambe les « hierlas » : c’est le « pont aux treize arches ». Au XVIIIe siècle, sont entrepris le drainage et la canalisation de la Corrèze en un seul bras, le plus au nord possible pour mettre la ville à l’abri des inondations. Est alors construit le « pont neuf », actuel « pont Cardinal » improprement nommé, car ce n’est pas le cardinal Guillaume Dubois, briviste et principal ministre de la fin de la Régence

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Le pont Cardinal, construit de 1732 à 1734 après le regroupement de plusieurs bras de la Corrèze, (AMB 37Fi558).

(1715-1723), qui l’a fait bâtir, mais son frère Joseph Dubois, Grand Voyer de France. Asséchée, la Guierle devient le foirail et une zone de promenade ; le pont aux arches, rendu inutile, est détruit en 1832. Les faubourgs nord situés sur la rive droite de la Corrèze, sur les pentes qui montent vers Ussac, peuvent à présent prendre part à l’urbanisation des XIXe-XXe siècles. Exploitations agricoles, vignes et près sont peu à peu remplacés par un bâti de type urbain aux fonctions surtout résidentielles et tertiaires. Un hôpital flambant neuf ouvre ses portes au lieu-dit Costenègre en 1902. Plus à l’ouest, est aménagée la Cité des Roses, premier cas de logements collectifs à Brive, gérée par l’office public d’HBM (Habitations à Bon Marché) créé en 1925. Le traitement architectural, simple et soigné, combine grès rouge local et béton enduit de blanc. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, d’autres projets sont réalisés : ZAC (Zone d’Aménagement Concerté)

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Ci-dessus, affiche de la première Foire du livre de Brive en 1982, (AMB 6Fi580).

À droite, le Théâtre et le Château d'eau, (AMB 37Fi464).

Page de droite. Dessin aquarellé du Théâtre municipal. Projet non retenu de l’architecte Louis Bonnay, 1884 (AMB).

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des Beylies-Hautes à Rivet, lotissements pavillonnaires (Fadat, Migoule…), église moderne des Rosiers, premier hypermarché du Limousin en 1972 (Hyper 19 à Malemort), cinéma multiplex, Espace des Trois Provinces pour salons et congrès… Le seul vestige ancien dans ce quartier est le château de Lacan, d’origine médiévale. Redescendons sur la Guierle, le premier week-end de novembre. Des centaines d’auteurs et des dizaines de milliers de lecteurs s’y rencontrent, faisant de la « Foire du Livre de Brive », annuelle depuis 1982, un des tout premiers rendez-vous littéraires au niveau national. La culture de l’écrit est à l’honneur ici, aussi bien avec les écrivains, dont ceux de la fameuse « École de Brive » (Claude Michelet, Denis Tillinac, Michel Peyramaure…), qu’avec une police de caractères typographiques nommée « Le Brive », créée spécialement par l’Imprimerie nationale en 2002.

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Le marchĂŠ du samedi sur la place du 14 Juillet.


À quelques mètres, sur la place du 14 Juillet, se dresse le théâtre municipal, inauguré en 1890 et rehaussé d’un étage en 1912. Depuis le printemps 2011, après restructuration, il peut accueillir 480 spectateurs pour des représentations éclectiques sur une scène de 200 m². Sa façade a été restaurée à l’identique. À proximité, le « phare » de Brive s’élève à 22,5 mètres ; cet ancien château d’eau, construit en 1834 près d’un canal secondaire de la Corrèze, est aujourd’hui intégré à l’Office de Tourisme et ouvert à la visite. En avant du théâtre, lui tournant le dos, trône la statue en bronze du maréchal Guillaume Brune (1763-1815), érigée en 1841. Ce personnage illustre la cohorte de grands militaires brivistes de la Révolution et de l’Empire, parmi lesquels figure aussi le vice-amiral Jean-Baptiste Grivel (1778-1869). Né dans la maison familiale de la rue Majour, Brune est fils d’avocat. À Paris, il se lie à Danton et publie un périodique ; il s’oriente ensuite, en plein cœur de la tourmente, vers

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Affiche publicitaire de la conserverie alimentaire Bizac. Atelier de conditionnement des truffes et du foie gras ouvert par Guillaume Bizac en 1825 à Nadaillac (Dordogne), puis à Souillac (Lot) en 1870 par Jean-Léon Bizac. Enfin, atelier ouvert à Brive en 1890, (AMB Fonds Bizac 50S67).

À gauche. L'ancienne place de l'hôtel de ville (actuelle place Charles-deGaulle), devant le portail ouest de la collégiale, avec la boutique « A la Ville de Brive », (AMB 37Fi490).

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Le plan d’assemblage du cadastre « napoléonien » de Brive, achevé en 1823. Hors de la ville, la châtaigneraie, les prés, les terres arables et la vigne se partagent le finage de la commune (AMB, 18Fi01).

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L'inondation du 30 novembre 1910, vue sur la Corrèze impétueuse. Deux autres crues dévastatrices : 1960 et 2001 (AMB, 37Fi324).

l’action militaire. Après qu’il a gagné ses galons lors de nombreuses batailles, Napoléon le fait maréchal d’Empire dès 1804. Resté républicain, il tombe cependant en disgrâce en 1807. Rallié à l’empereur pendant les Cent-Jours, Brune est assassiné le 2 août 1815 à Avignon par une foule royaliste déchaînée. Lors du drainage de la Guierle, un petit bras de la rivière (comblé depuis) a été conservé, au plus près du rempart de la ville, pour alimenter des moulins. Il a ensuite été endigué et son débit maîtrisé par une vanne, afin de desservir la manufacture Le Clère. Dès 1764, en effet, l’Irlandais Thomas Cleer (francisé en Le Clère) installe, à proximité de ce canal, une manufacture de confection d’« étoffes à la façon d’Angleterre » (tissus imprimés, mélange de soie, laine et coton) ; il a obtenu, pour ce faire, l’appui bienveillant de Turgot, alors intendant du Limousin. Cette industrie devient rapidement un poumon économique indispensable pour le bassin de Brive pendant une centaine d’années. Elle nous ramène une nouvelle fois sur la Guierle puisque s’y déroulent chaque année au mois de juin, depuis plus de deux siècles, les « Foires franches », aujourd’hui fête foraine incontournable dans la région. Or, celles-ci puisent leur origine dans une foire agricole exemptée d’octroi, créée pour que la manufacture puisse s’approvisionner en laine des pays voisins (Quercy et Périgord). À l’intérieur du boulevard, le cœur de Brive Le centre historique est délimité par un boulevard. Sa rotondité est aussi théorique que la verticalité des vénérables platanes qui l’agrémentent. Il a remplacé les fortifications médiévales. Du patrimoine bâti, se dégage une « chaleur » que l’on doit à la patine naturelle du brasier, grès local de ton sable, gris ou jaunâtre, très utilisé dans la construction.

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Vue aérienne du cœur historique. Au centre, la collégiale Saint-Martin. Les rues rectilignes percées au XIXe siècle. Le boulevard et ses platanes, à la place du rempart médiéval. REGARDS

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À gauche. L’abside de l'église Saint-Sernin (AMB, 37Fi249).

À droite. La montée du centre-ville vers la gare. L'immeuble de la Société Générale et le clocher de l'église Saint-Sernin sur la gauche (AMB, 37Fi504).

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Il faut rechercher ici les traces du premier habitat antique. Deux petites buttes, appelées Puy Saint-Pierre et Puy Saint-Martin, échappent aux crues de la Corrèze, alors que le reste de la vallée alluviale est inondable. Deux ruisseaux, à présent couverts, le Verdanson et le Nany, s’écoulent à leurs pieds. Cet espace correspond également au croisement des deux voies de communication anciennes déjà évoquées. Des fouilles archéologiques ont révélé une présence humaine quasi continue du Ier au IIIe siècle. Des céramiques sigillées, des monnaies, un puits gallo-romain, des centaines de fragments de figurines en argile cuite de fabrication locale qui rappellent le syncrétisme religieux romain (combinaison de dieux italiques et gaulois) ont été exhumés, ainsi que l’inscription dite de Calenus ; cette épigramme indique une association de statut romain, signe d’une réelle romanisation. La tradition romaine étant d’établir des nécropoles près des chemins routiers, on pense donc qu’une activité commerciale, artisanale et cultuelle, liée à des sites funéraires proches, a existé sur le Puy Saint-Pierre.

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La christianisation est à l’origine du noyau urbain historique tel qu’il se présente de nos jours. Les cultes de trois saints sont avérés dès le Haut Moyen Âge, probablement établis selon la chronologie suivante : saint Pierre, puis saint Martin et saint Sernin. Le chef des apôtres a eu deux chapelles médiévales successives, dont il ne reste rien, sur la place qui porte son nom. Saint Sernin (déformation de Saturnin, évêque de Toulouse au IIIe siècle) a été le patron d’une paroisse rurale de Brive, pour les villages des alentours. L’emplacement de son église a connu bien des vicissitudes. Originellement près de celle dédiée à saint Pierre, l’église Saint-Sernin a été détruite en 1793, puis transférée à l’ancienne chapelle des récollets (près du tribunal) ; en 1890, elle est encore déplacée, à l’extérieur du boulevard, près de la voie qui conduit à la gare. La cité connaît son véritable essor avec le culte voué à saint Martin. La légende rapporte qu’en 407, Martin l’Espagnol, disciple de Martin de Tours,

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À droite. Buste en bois polychrome du début du XIXe siècle, représentation de saint Martin dit l'Espagnol, conservé dans la collégiale, (AMB, 37Fi247).

À gauche. Vue générale sur l'église Saint-Martin prise du nord-ouest et sur deux maisons ventouses dont l'une porte l'enseigne commerciale « Grand bazar de l'hôtel de ville ».

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Chapiteaux historiĂŠs de la collĂŠgiale Saint-Martin.


aurait renversé les idoles païennes d’un temple briviste, d’où son martyre par lapidation et décapitation. Martin aurait reçu un culte sur son tombeau, puis des pèlerinages, source d’enrichissement et de notoriété pour ce lieu. L’archéologie a confirmé la présence de sanctuaires successifs sous la collégiale Saint-Martin. Le premier édifice de la fin du Ve siècle, modeste rectangle de 11 mètres sur 5, est détruit par un incendie ; un nouveau bâtiment le remplace un siècle plus tard, agrandi postérieurement à l’époque carolingienne. La crypte, aménagée en sous-sol de l’église actuelle, permet de voir les vestiges des murs mérovingiens et plusieurs sarcophages, dont un, surélevé, pourrait être celui de saint Martin. Un chapitre, communauté de chanoines, est affecté à ce culte aux environs de l’An Mil ; il est à l’initiative de la construction du prieuré (cloître, lieux de vie…) aujourd’hui disparu (place Charles-de-Gaulle) et de la collégiale. Celle-ci, commencée au XIIe siècle, a été remaniée à plusieurs reprises, ce qui la rend « fort curieuse » selon Viollet-le-Duc ; elle a été classée en 1862. Du style roman, elle conserve le chœur (retravaillé au XIXe siècle), la base du transept et surtout une soixantaine de chapiteaux. Certains témoignent d’influences méridionales (Toulouse, Conques, Quercy) ; quant aux chapiteaux historiés, ils sont une création originale sur place. La nef (fin du XIIIe siècle) confère à l’édifice l’allure d’une « église-halle » ; comme les deux portails nord et ouest, elle est gothique. Du XVIIIe au XXe siècle, des remaniements ont finalisé son agencement : Exposition contemporaine dans la chapelle Saint-Libéral.

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Auteurs

Laurent Derne est journaliste en presse quotidienne et installé depuis une dizaine d’années en Corrèze. Il est l’auteur de Crimes et faits divers Corrèze-Cantal et de Crimes et faits divers Périgord (Geste). Frédéric Le Hech est agrégé d’histoire-géographie professeur au lycée d’Arsonval de Brive. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur Brive, Beaulieu et leur région. Jean-Pierre Lacombe fut éleveur pendant vingt-cinq ans. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture et à la photographie. Après Sentiers paysans, il a publié Maisons de Paysans, Mémoires de la Corrèze et Maisons Paysannes en Limousin ; son recueil de poésie, Lo Dever del Vaure, est lauréat du Prix Jaufré Rudel 2010. David Marmonier, ancien professeur de philosophie et passionné d’art roman, dirige le Centre d’études et musée Edmond-Michelet à Brive. Jean-Michel Valade est professeur d’histoire et géographie et enseigne à Brive. Il est l’auteur d’une cinquantaine de publications sur l’histoire contemporaine de la Corrèze.

Crédit photographique

Archives municipales de la ville de Brive : 7-11, 13-16, 18, 19-1, 22, 23, 25-2, 28, 56, 59, 111, 122, 123-1, 124, 125, 126, 135 ; Centre d’Étude Edmond-Michelet : 29, 30, 31 ; Office de tourisme de Brive : 32 ; Photothèque Pomme du Limousin AOP : 127-1 ; Renaud Camus : 109 ; Diarmid Courrèges : 24, 6-2 ; Gérard d’Alboy : 57 ; Philippe Graille / Fotolia : 44, 48, 55, 58, 104, 123-1, 127-2 ; Jean-Pierre Lacombe : 34, 40, 42, 45, 46, 47, 49, 50, 51, 52-1, 54, 60, 62, 64-93, 97-99, 131, 133 ; Frédéric Lherpinière : 119, 128, 129, 130, 134, 137, 139 ; Tim Mannakee / ADT Corrèze : 41, 63 ; David Marmonier : 61, 94, 96, 100-103, 105-108, 110, 112-116 ; Luc Olivier : 12, 17, 33, 121, 138 ; Pierre Soissons / ADT Corrèze : 1re de couverture, 6, 19-2, 20, 21, 25-1, 26-1, 27, 43, 120, 136 ; Jean Tigé / ADT Corrèze : 52-2, 53, 117 ; DR : 36, 37, 38-39 ; Zab / Fotolia : 119


TABLE DES MATIÈRES Brive, promenade patrimoniale

.......................................................................... 7

Le Pays de Brive, un défi à l’histoire

.............................................................. 35

Le bâti rural, une somme d’originalités

........................................................ 63

Églises romanes du bas-pays corrézien

......................................................... 95

Mille saveurs sur un plateau

............................................................................ 119


BRIVE ET LE PAYS DE BRIVE Regards sur un patrimoine

Détail du plan d’assemblage du cadastre « napoléonien » de Brive (1823), (AMB 18Fi01).

Séchoir à châtaignes à Altillac.

brive, promenade patrimoniale par Frédéric Le Hech

Le Pays de Brive, un défi à l’histoire par Jean-Michel Valade

Le bâti rural, une somme d’originalités par Jean-Pierre Lacombe

Églises romanes du bas-pays corrézien par David Marmonier

Mille saveurs sur un plateau

ISBN 978-2-86266-651-8

29 €

9 782862 666518

www.loubatieres.fr

par Laurent Derne


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