DSA Marne-la-Vallée

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Epa Marne · Les franges en ville nouvelle

DSA d’architecte-urbaniste Yves Lion, Jérôme Villemard Février 2009

Epa Marne Les franges en ville nouvelle

Thibault Barbier Louis Beaudon Aline Cauchy Marthe Gady

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Epa Marne · Les franges en ville nouvelle

DSA d’architecte-urbaniste Février 2009

Enseignants Yves Lion Architecte urbaniste, enseignant responsable, Christophe Delmar Paysagiste, enseignant Jérôme Villemard Architecte urbaniste, enseignant Laurence Madrelle Graphiste, enseignante

Groupe d’experts François Leclercq Architecte urbaniste, enseignant David Mangin Architecte urbaniste, enseignant Alexandre Bouton Architecte urbaniste, enseignant Antoine Viger-Kohler Architecte urbaniste, enseignant Michel Guthmann Architecte urbaniste, enseignant


Epa Marne · Les franges en ville nouvelle

Epa Marne, les franges en ville nouvelle 4

Problématique : Etalement urbain et recul des espaces ouverts

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Parcours photographique des franges de Marnela-Vallée

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Prospective : Horizon 2030, des villes-territoire

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Des villes à la campagne

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Le territoire de Marne-la-Vallée comme entité géographique

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Les franges comme espace vivrier pour nourrir 500 000 habitants

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Les franges comme espace partagé

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Construire autour des transports en commun

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Recomposer Marne-la-Vallée en fonction de l’espace vivrier

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Des densités raisonnées 1. Face au rebord de coteau boisé de Chigny 2. Face à la vallée de la Gondoire 3. Face au plateau agricole de Jossigny 4. Face au plateau boisé de Ferrières

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Epa Marne Les franges en ville nouvelle Etalement urbain et recul de la campagne Notre travail porte sur la question des franges à Marne la Vallée. On entend par frange l’espace de confrontation entre l’urbain et le rural. Cette notion peut être définie à plusieurs échelles. A grande échelle, Marne La Vallée se situe entre Paris et le plateau rural de la Brie. Il constitue une interface entre Paris et la campagne. On constate un étalement très rapide de Paris sur le territoire rural entre 1919 et 1960. A partir de 1960, les villes nouvelles se développent autour des stations du RER A menant à Eurodysney, en extension des communes existantes. L’agriculture représentant une part importante du territoire est mise en péril. A cette échelle la notion de frange amène à s’interroger sur la manière dont s’effectue le passage de la ville de Paris à la campagne à travers le territoire de Marne La Vallée. Comment affirmer des identités et limiter l’étalement des villes ? En parcourant le territoire de Marne La Vallée, on a découvert différents types de rapport entre urbain et rural ; sur le plateau, à Bussy Saint Georges, la confrontation est très franche. Une route, dont les abords ne sont pas aménagés, effectue la limite entre un front bâti et les champs. Les maisons sont directement ouvertes sur l’étendue du plateau agricole. Sur les côteaux de la vallée de la Gondoire, à Bussy Saint Martin, la morphologie urbaine offre une autre confrontation au paysage. Les habitations s’ouvrent sur une cour, un espace d’entre soi, qui lui même cadre le paysage. Ici, on peut se demander quelles typologies, conciliant nouveaux modes de vie et rapport au paysage, mettre en place ? L’EPA Marne a pour objectif de passer de 282 000 habitants à 500 000 habitants sur le périmètre de Marne La Vallée. Les extensions sont prévues, principalement, autour de Val d’Europe, où se concentrent la ligne SNCF connectée à l’aéroport Charles de Gaulle, au réseau européen et national, la ligne de RERA menant à Paris, Eurodysney et des zones commerciales et industrielles.

Bussy Saint Georges, habitations face au plateau agricole


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Limites du périurbain francilien

Marne-la-Vallée

1919 Destruction de l’enceinte de Thiers, Paris sort de ses murs.

1960 Elaboration du plan d’aménagement de la ville nouvelle.

2009 Aménagement des secteurs Est de la ville nouvelle.

Bussy Saint Martin, habitations sur cour commune

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2 3

1

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Les diff茅rents types de frange 0

1km


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1 Paysage autoroutier traversant les champs

2 Espace en friche entre Bussy Saint Georges et la zone d’activité

3 Nouveaux lotissements à Bussy Saint Georges


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Les diff茅rents types de frange 0

1km


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4 Espace public à l’entrée de Jossigny

5 Jardins familaiux en coeur d’îlot à Bussy Saint Martin

6 Vue depuis la place du village de Bussy Saint Martin


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Epa Marne 路 Les franges en ville nouvelle


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Horizon 2030 Des villes-territoire Suite à la crise économique de 2008 liée au contexte économique américain, est né un nouveau contrat social dynamisé par une prise de conscience collective des effets catastrophiques d’un capitalisme mal maîtrisé. Il affirme que les initiatives individuelles sont porteuses d’une ambition collective et que l’intérêt individuel passe désormais par l’intérêt collectif. Un « nouveau capitalisme » est mis en place. L’ Etat reprend sa place de faiseur d’équilibre en mettant sur le même plan les intérêts économiques et écologiques. Convaincus de la portée économique et sociale du green business, de nouvelles coalitions se forment, notamment entre des ONG environnementales et les syndicats sur l’économie verte. En matière d’énergies renouvelables, la France rattrape son retard ; elle se retrouve aux côtés du Danemark sur le marché européen. Les innovations entreprises pour développer de nouvelles filières d’énergies entraînent un essor économique important. L’économie francilienne est redevenue attractive et ouverte. Le tourisme se conforte à Paris et prend une part importante du développement régional. En 2030, le mille-feuilles institutionnel change d’équilibre et se créent des intercommunalités fortes et plus démocratiques où les compétences sont partagées. Le phénomène de l’étalement urbain dù à la construction massive de maisons individuelles en périphérie reflète les nouvelles aspirations des français en terme d’habitat. Garder un équilibre entre urbain et rural devient une priorité. Les émeutes urbaines de 2005 se répétent. La nécessité de relier les quartiers entre eux et au centre ville est un enjeu majeur. Afin de diminuer l’effet polarisant de Paris sur la banlieue, le maillage inter-banlieue sera amélioré et de nouvelles liaisons seront créées. Le transport individuel et le transport collectif seront rééquilibrés. Face à la flambée du pétrole, l’électrique prendra une place plus grande. Une charte européenne du développement durable est signée en 2015 par les acteurs européens en vue de faire évoluer l’esprit de la loi et les cadres réglementaires européens et nationaux. Elle a pour objectif la libération de l’initiative privée dans les limites des grands principes du développement durable. Un COS minimum sera notamment établi. L’eau devient un enjeu majeur, et il devient nécessaire d’organiser sa récupération et son traitement de manière plus efficace et à plus petite échelle. Le traitement des déchets devient obligatoire. Il permet de développer fortement ce secteur économique. L’agriculture est redevenue essentielle du fait des pénuries mondiales, notamment après l’arrêt de la PAC en 2013. La valeur du foncier agricole augmente. Il est rationnalisé et restructuré. Pour faire une production alimentaire de proximité, des parcelles anciennement dédiées à l’agriculture intensive sont utilisées : maraîchage, agrosylviculture. Ce phénomène est accentué par l’application de la taxe carbone. Les modes de consommation ont changé ; 50% se font par circuits-courts consommateurs/producteurs.

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Des villes à la campagne

Extensions prévues par l’EPA Marne

Urbanisation existante

Zone d’extension prévue par l’EPA Marne

Prendre le paysage comme base du projet Nous avons envisagé le développement des communes du territoire de Marne La Vallée en s’appuyant sur les qualités existantes du territoire. Nous avons dégagé trois grands potentiels à développer. Une bonne connexion au réseau national et européen permet, depuis la gare de Marne La Vallée Chessy, d’arriver à Lille en une heure, à Marseille et à Amsterdam en trois heures. La présence d’un espace agricole et naturel important confère aux habitants de ce territoire de profiter des qualités de vie qu’offre la campagne. Enfin, la faible densité des communes offre des potentialités de densification sur le tissu existant et en limite de celui-ci.


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De m 50 ain 00 00 ha b.

20 0 28 9 20 00

ha b.

Des campagne Epa villes Marneà ·laLes franges en ville nouvelle

Objectif de population de l’EPA Marne

Espaces naturels et agricoles en régression

Ici vient un plan de situation

Cultures sur grand parcellaire

Boisement, Parc

Cultures sur petit parcellaire

Boisement Alluvial

Friche Extension urbaine prévue par l’EPA Marne

Potentiels et enjeux du territoire de Marne La Vallée

1dehabitant Marne la Vallée

Les connections au réseau national et européen

=

263 m² de surface urbanisée

=

149 m² de surface boisée

=

118m de surface agricole

Les espaces naturels et agricoles disponibles

Densité moyenne des villes de Marne-la-Vallée

200 hab/ha

Densité moyenne de Paris intra-muros

18,5 hab/ha

Un grand territoire pour une faibles densité


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Le territoire de Marne-la-Vallée comme entité géographique Se poser la question du devenir des espaces « périphériques » nécessite de sortir du territoire administratif. Les franges de Marne la Vallée font partis d’un système agricole qui s’inscrit dans un plus large territoire allant des vallons de la Brosse et de la Gondoire, à l’ouest, jusqu’à la vallée du Grand Morin à l’est et de la vallée de la Marne au nord jusqu’au massif forestier de la Brie Boisée au sud. L’agriculture qui caractérise ces franges est essentiellement orientée vers le céréalier intensif, une culture résiduelle des grands plateaux céréaliers comme il existe actuellement en Beauce ou, plus au nord de la Marne, dans le Pays de France. Pour plusieurs raisons, ce type d’agriculture semble aujourd’hui ne plus être adapté à la situation périurbaine des franges de Marne la Vallée:

Le morcellement des parcelles induit par une forte pression urbaine pose des problèmes de coût pour une agriculture céréalière nécessitant des surfaces de production importantes. Les traitements et la mécanisation lourde qu’impose l’agriculture céréalière intensive deviennent des nuisances pour les habitants les plus en contact avec les champs. La culture céréalière peine à offrir une plus value lui assurant son maintient face à la pression urbaine.

Chelles Paris

Neuilly sur Marne Vincennes Noisy Le Grand

Pontault Combault

Et si ces franges agricoles venaient à retrouver leur place dans ce territoire urbain? En Chine, 85% des végétaux consommés en ville sont produits par les villes et, ces dernières années, Shangai et Beijing sont devenues auto-suffisantes en fruits et légumes. Ainsi dans ces villes, espace agricole et espace urbain s’associent, s’entrelacent pour ne former qu’un seul et même territoire où la ville fabrique l’agriculture, où l’agriculture fabrique la ville. Développer une agriculture de proximité, ayant une plus value réelle pour l’habitant et assurant à tous l’accès à une alimentation en fruits et légumes saine et variée est une solution pour dépasser l’opposition ville-campagne.

L


Lognes

Le entité géographique Epaterritoire Marne · de LesMarne-la-vallée franges en villecomme nouvelle

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Des limites géographiques plutôt qu’administrative.

Vallée de la Marne

Vallée du Grand Morin

Plateau de la Brie Boisée

Rebords de Plateau Les franges aujourd’hui. Ensemble des espaces forestiers et agricoles entre Paris et la vallée du Grand Morin

Esbly

Lagny sur Marne

Val d’Europe

Romainvilliers

Torcy

Beauce

Céréaliculture intensive

Bussy St Georges

Pays de France Céréaliculture intensive

Marne la Vallée

Shanghai

Agriculture urbaine de circuits courts


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Une écharpe verte comme espace vivrier pour nourrir 500 000 habitants

Maraîchages

Boisements

Céréales

Prairies

Vergers


Une 茅charpe verte vivrier 500 000 habitants Epa comme Marne 路 espace Les franges enpour villenourrir nouvelle

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Inventer une agriculture urbaine orientée vers des circuits courts à destination des habitants

La mutation des terrains agricoles vers une agriculture offrant une plus grande interaction avec la ville et une plus value à l’agriculteur comme aux habitants est aujourd’hui une nécessité. Reste à savoir si le territoire disponible dispose en lui des ressources pour pouvoir opérer une telle mutation. Tout d’abord, les limons qui composent l’essentiel des terres du plateaux ont de bonnes potentialités agronomiques pour accueillir des cultures maraîchères. Protégés des vents dominants, les terrains en lisières de forêt sont, quant à eux, favorables à l’implantation de vergers. Ensuite, , l’espace disponible que représentent les franges peut permettre de nourrir une population

de 500 000 habitants tout en continuant à développer l’urbanisation. Sur les 4560 ha disponibles, 2840 ha sont amenés à muter en cultures biologiques (1840 ha de maraîchage et 1000 ha de vergers). D’autres cultures comme les prairies dans les fonds de vallons ou les boisements sur les rebords de coteaux viennent s’ajouter pour permettre une continuité entre les différents espaces.

2030 : Mutation des franges agricoles en espace vivrier

3

Prairies

3

3

1

Boisements

2

Vergers

Céréales

Maraichage


Une écharpe verte comme· Les espace vivrier nourrir 500 000 habitants Epa Marne franges en pour ville nouvelle

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Le Maraîchage sur les limons de plateau.

Vente locale

Maraîchage

2

1 hab.

500 hab.

500 000 hab.

115 kg/an *

1,84 ha

1840 ha

Les Vergers sur les coteaux et franges forestières.

Vente locale

Vergers

1 hab.

500 hab.

500 000 hab.

20 kg/an*

1 ha

1000 ha

* Calculs élaborés avec les données de l’Agreste (rendements) et la Fondation Bonduelle (Consommation de fruits et légumes par habitants)

3

Autres cultures prairies dans les fonds de vallons, boisement en rebords de vallons. CO²

Espace de loisirs Boisements Sylviculture avec des boisements exploités en futaie destinés à produire du bois de construction. Ces boisements forment des pièges à CO² ainsi que des espaces de promenades et loisirs pour les habitants.

Céréaliculture

4

Construction bois

Favoriser une agriculture céréalière raisonnée, rejetant moins de pesticides responsables de la pollution des sols, des eaux des rus et des nappes phréatiques.

Les franges urbaines de nouvelles filières possibles entre ville et territoire agricole. Centre de compostage

Collecte

Déchets verts

Composte. Valorisation des déchets verts produits par les urbains en composte à destination des acitivités agricoles en périphèrie.

Utilisation agricole

Connection avec le réseau hydrographique

Collecte des eaux Filtration Eau. Les eaux de ruissellement sont collectées et filtrées pour être ensuite être stockées/utilisées à des fins agricoles ou retrouver le système hydrographique naturel.

VILLE

Amendement


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Une écharpe verte comme espace partagé entre les habitants du territoire La mutation des franges entraine de nouveaux usages au sein du territoire agricole. Lieu de production, les franges deviennent aussi des lieux de loisirs accueillant de multiples usages. A l’échelle locale, des nouveaux sentiers redonnent une lecture du paysage des franges à travers la géographie ou le patrimoine. Ils viennent par la suite se connecter aux grands sentiers de randonnée (GR) qui traversent l’est de l’Ile de France. A plus grande échelle, des liaisons interurbaines cyclabes venant relier les futurs grands pôles urbains du territoire comme Val d’Europe ou Bussy St Georges.

Enfin, les franges seront ponctuées de plusieurs équipements culturels basés sur la réhabilitation d’éléments patrimoniaux forts. Pour exemple, , la réhabilitation des fermes, tantôt au centre des champs ou intégrer au coeur du tissu urbain, peut ainsi permettre de prolonger des activités urbaines au sein de l’espace agricole et inversement.

Proposer des modes de deplacement alternatifs inter-urbains et de découverte du territoire.

Thorigny-Lagny

Gare SNCF

Lagny-sur-Marne

Gouvernes

Bois de Ch

vente à la ferme

Parc de loisirs de Torcy

Centre equestre

Conches-sur-Gondoire

Etang de la Loy

Chateau de Gouvernes Parc de Rentilly

Ferme de la Jo

Buss

Noisy-le-Grand Gare RER

Bussy-St-Georges

Torcy

Gare RER

Gare RER

Etang de la Brosse

Ferrières

Chateau Rotshild Parc botanique

Francilienne Ozoir-la-FFerriière

Agro-parc projeté

Itinéraires de découverte du territoire Gretz - A

Massifs boisés existants

GR existants

0

1km

Pistes cyclables inter-urbaines

Gare RE


Une écharpe· Les verte comme partagé entre les habitants Epa Marne franges enespace ville nouvelle

Des liaisons douces à usages mixtes. Cheminer entre les bourgs, les châteaux et les cours d’eau par l’espace préservé à pied, à vélo, en transport en commun.

Coupvray Gare SNCF

Grand Morin Canal La Prairie Aqueduc

Chateau de Coupvray Ferme du Couvent

Couilly - St-Germain - Quincy Gare SNCF

La Pièce de Cent Arpents

Chessy - Disneyland Gares RER et TGV

Bois Montguillon

higny

Val-d'Europe Gare RER Chateau de Chanteloup

onchère

sy-St-Georges

Bailly

ER 2

Jossigny

Parc de la Motte Forêt de grains

0

1km

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Les villes à l’Est du territoire de Marne la Vallée à l’horizon 2030.

Vallée de la Gondoire

Rebords de plateau

Lagny sur marne

Val d’Europe

Bussy St Georges

Torcy

TGV Francilienne

Vallée de la Marne Vallée de la Gondoire RER A A4

La Brie boisée


Une commeenespace partagé entre les habitants Epaécharpe Marne · verte Les franges ville nouvelle

Plateau de Val d’Europe

Transilien

A4

Vallée du grand Morin Plateau de Val d’Europe

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Construire autour des transports en commun Mieux consommer l’espace pour moins consommer d’espace Après avoir vu comment l’espace vivrier détermine la surface acceptable de l’extension urbaine, nous allons aborder la manière de répartir ces surfaces dans le territoire de Marne-la-Vallée, principalement en fonction du réseau de transport en commun. Marne-la-Vallée est un territoire inséré à grande échelle, structuré par le RER A et l’autoroute A4, tous deux parallèles d’ouest en est. Ce territoire est par contre enclavé localement, le réseau de transports en commun est très faible et donc peu attractif. Les conséquences de ces états de faits sont une forte prédominance de l’automobile ; un territoire sectorisé, et de faibles densités urbaines. Les réponses du projet passent tout d’abord par un renforcement du réseau local de transports en commun, interne à Marne-la-Vallée ; pour ensuite voir comment répartir les 200 000 nouveaux habitants. Nous proposons plusieurs tracés de transports en commun complémentaires.

Un tramway de Noisy-le-Grand à Chessy, qui emprunte en grande partie le tracé de l’A199. Cela permet de transformer ce tronçon sous-exploité en boulevard urbain, et surtout de densifier les tissus existants adjacents. Un transport en commun en site propre (TCSP), également de Noisy-le-Grand à Chessy, mais suivant le tracé de l’A4 et la circulaire de Disneyland, permettant de construire des programmes plus diversifiés que les Zones d’Activités le long de l’autoroute, et de structurer l’urbanisation autour de Chessy – Val-d’Europe. Prolonger le RER A jusqu’à Esbly et le RER E, vers le bassin d’emplois de Meaux. Cela permet de connecter les pôles urbains de Val-d’Europe et de Meaux pour assoir le rééquilibrage vers l’est de la région parisienne. Créer une ou plusieurs transversales de TCSP pour relier les différentes branches de RER dans et autour de Marne-la-Vallée. Celle que nous proposons ici passe par Lagny-Thorigny, BussySaint-Georges, et Ozoir-la-Ferrière. Enfin, le réseau de bus doit être renforcé dans son maillage et sa fréquence.

Aujourd’hui, un territoire structuré par le RER et la A4 : inséré à grande échelle mais enclavé localement.

0

1km


Construire des transports en commun Epa Marneautour · Les franges en ville nouvelle

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Francilienne

Connexion RER A - RER E vers Meaux

Autoroute A4

Esb ssblyy

RER E2 Less Cham amp mps mps Forts ts

RER E4

Montry - Condé Couilly ouilllly - St Germain Quinccy

L ny - Tho Lag h rigny SNCF Vaires - To T rcyy

Chelles - Gourn nay

Marne-l ne e-laa-Vall a lée Chess hessy h essssyy Parcs Dissneyland nd d

Villlierss - Montbarbin barb Crrécy - LLa Chaapelle

Val de Fontenay Nation

Neuilly Plaisance

Val d’Europe

RER A4 Bry-sur-Marne Noisy-leoisy le Gran nd

Noisy - Cham mps

Bussy - Est

Noisiel

Bussy ssy syy - St Geo orges es Lognes

Torcy

Les ess Yv Y ris Noisy oisy-le-Grand

Emerainvville Ponteaultlt-Combault

Ro oiss ssy-en-Brie Francilienne Ozoir-la-FFerriière

Francilienne

Ligne TGV

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1km

Gretz - A

Ozoir-la-FFerriière

Francilienne Francilienne Ozoir-la-F FFerri Ozoir-la-F erriièière re

Demain, diversifier l’offre de transports en commun : un réseau plus complet et plus local.

Ligne RER et aire de desserte des stations Ligne de tramway et aire de desserte des stations Gretz - Armainvvilliers rs Ligne de transport en commun en site propre et aire de desserte des stations Gretz Gretz--AA

Francilienne Ozoir-la-FFerriière 0

Francilienne Ozoir-la-FFerriière

Refaire la ville sur la ville et construire des franges denses en continuité de l’existant.

Extension bâtie en continuité de l’existant Gretz - A Densification de l’existant autour des transports en commun Gretz - A

1km


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Recomposer Marne-la-Vallée en fonction de l’espace vivrier

RER E2

RER E4

C

Val de Fontenay Nation

Neuilly Plaisance

RER A4 Bry-sur-Marne Noisy-le-Grand

No

Less Yv Y Noisyo

Ce nouveau réseau permet de densifier les tissus existants pour accueillir 100 000 habitants ; et d’étendre l’urbanisation sur les 1 500 hectares acceptables pour maintenir et développer l’activité agricole. Ces extensions se font en continuité de l’existant. Dans les deux cas, densification et extension, le bâti doit être dense et lié aux transports en commun.Nous proposons plusieurs tracés de transports en commun complémentaires.

Toutes les considérations évoquées jusqu’ici nous permettent d’esquisser un plan général d’aménagement du territoire de Marne-la-Vallée. Ce plan affirme la prédominance future du pôle urbain de Val-d’Europe – Chessy comme villecentre de la ville nouvelle et de son archipel urbain. Cela en raison de l’existence de la gare TGV, de la liaison avec Meaux et de l’importance de ce bassin d’emploi actuel et potentiel ; pour finalement donner corps au rééquilibrage de la région parisienne à l’est.


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Construire des transports en commun Epa Marneautour · Les franges en ville nouvelle

vers Roissy

vers Meaux

Francilienne

Connexion RER A - RER E vers Meaux

Autoroute A4

Esbly s y Les Champ mps mps mp p Fo orts

Montry - Condé Couill ouilly - St Germain Quinccy

Lagny - Thorigny SNCF V res - To Vai T rcy

Chelles - Gournay

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Marrne ne-l e-lalaa-Vall a ée e Chess he sy sy Paarcs Disssn neyland d

Villliers - Montbarbin barb Crrécy - LLa Chaapelle

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Torcy

Francilienne

Francilienne Ozoir-la-FFerriière

vris -le-Grand

Ozoir-la-FFe

Emerainville Ponteault-Combault

Ro oissy-en-Brie

Gretz - A

Ligne TGV Francilienne Ozoir-la-Ferrière

Francilienne

Francilienne

Gretz -existants Armainvilliers rs Espaces urbanisés

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Francilienne Ozoir-la-FFerriière

Ozoir-la-FFerriière

Ozoir-la-FFerriière

Limites de bâti à conforter

Périmètre administratif de Marne-la-Vallée

Gretz - A

Gretz - A

Limites d’extension future

Gretz - A

Limites géographiques de Marne-la-Vallée

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Epa Marne · Les franges en ville nouvelle

Des densités raisonnées

Nous constatons que sur ce territoire, la ville s’étale souvent sous forme de zones d’activités et de maisons individuelles dans un tissu pavillonnaire. Pour répondre à nos objectifs d’extension tout en conservant une activité agricole nécessaire pour subvenir aux besoins de 500 000 habitants, il nous faut imaginer une nouvelle manière de construire sur ce territoire. Une manière plus dense que celle que l’on observe aujourd’hui et qui offre une qualité de vie propre à ce territoire. Nous avons développé quatre projets qui s’inscrivent dans les limites géographiques Nord-Sud du territoire, c’est-à-dire depuis la vallée de la Marne jusqu’à la forêt de Ferrière. Quatre entités géographiques se dégagent : le rebord de plateau, le vallon, le plateau agricole et le plateau boisé. Chaque projet traite de la relation entre l’urbain et le rural sur un site particulier. Il s’agit de trouver une posture de la ville face au paysage. Elle peut être donnée par la morphologie du tissu, la typologie du bâti et l’orientation des espaces mettant en exergue les qualités du paysage. L’idée générale des projets consiste à offrir de nombreux espaces ouverts publics et privés autour des lieux habités pour appréhender le grand paysage. Ainsi que de traiter l’interaction urbain / rural qui garde un rapport au sol et un rapport de voisinage. L’objectif n’est pas de construire très dense mais simplement d’être plus dense que le tissu à proximité de la nouvelle opération. L’espace agricole a muté pour devenir un espace vivrier. Cette poly-fonctionnalité se répercute sur les villes du territoire de Marne-la-Vallée dont le paysage présente alors plus de diversité. Chaque lieu est singulier et identifiable. L’attractivité de ce territoire augmente parce qu’il possède les commodités de la ville (transports en commun, commerces, équipements) et un caractère rural (paysage agricole, circuits court) qui lui procure son identité.


Des densités raisonnées Epa Marne · Les franges en ville nouvelle

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Des alternatives aux lotissements

1

2

Commerce

Equipement scolaire

Patrimoine et culture

Equipement sportif

Centre de loisirs 3

Jardins familiaux

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Jardin privé

Espace public piéton

Equipement sportif

Espace semi-privé


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1. Face au rebord de coteau boisé de Chigny Relation d’échange entre lanière bâtie et boisée Construire face au rebord de coteau c’est établir une relation d’échange entre lanière boisée, lanière bâtie et vergers suivant le parcellaire agricole existant. Les espaces ouverts sont de différents statuts ; privés, semi publics et publics ; montrant différents usages du sol et créant une intimité des lieux. Un cheminement piéton est créé au Sud, entre le nouveau quartier et le bois planté. Cette promenade relie la nouvelle centralité, constituée d’une ferme réhabilitée en espace de vente et de

stockage de fruits, d’une place entourée d’équipements publics, et des allées du bois de Chigny. Trois typologies prennent place ; des maisons individuelles en duplex le long de la voie principale existante, des immeubles à R+1 au coeur du quartier et des immeubles à R+4 en contact avec le bois afin de dégager des vues vers la Marne au dessus de celui-ci.

Aménager en suivant le parcellaire agricole existant Une relation d’échange s’instaure entre le bâti, le bois et les vergers.

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100m


FaceMarne au rebord coteauen boisé Chigny Epa · Lesde franges villede nouvelle

COS 1

Bois de Chigny

75 logt / ha

Jardin privé Verger semi public

30% bati 30% espace vert privé 26% espace semi privé 14% espace public Surface moyenne des logts 120m² Agroforesterie

Etablir une progression verticale Depuis la rue, la hauteur du bâti augmente pour offrir aux habitants du bois, une vue sur la Marne par dessus la cime des arbres.

Créer un cheminement parcourant ville et campagne De la nouvelle centralité au bois, la promenade longe le quartier.

La terrasse au Sud s’ouvre vers les vergers. L’espace de promenade permet un recul par rapport au bois qui laisse alors les logements ensoleillés. Les venelles traversant les ilots permettent un cheminement piéton à travers le quartier. Cette promenade crée, au contact du bois, un effet de seuil.

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Epa Marne · Les franges en ville nouvelle

2. Face à la vallée de la Gondoire Une réinterpretation du tissu vernaculaire Un denivelé de 35 mètres est observable entre la vallée de la Gondoire et le bois de Chigny. Il s’agit pour ce projet, de former les franges de la ville de Conches-sur-Gondoire en établissant une trame bâtie et parcellaire répondant aux logiques géographiques.

Les ilots fermés fonctionnent comme le tissu de bourg autour d’un système de cours qui sont à la fois les espaces d’accés aux logements, les lieux de rencontre et les espaces de seuil entre public et privé. Cette cours est appropriable entre voisins car la circulation y est limitée.

Un tissu en lanières perpendiculaires à la topographie est établit pour mettre «la campagne en perspective de la ville». Le paysage de la vallée de la Gondoire ou du bois de Chigny est constamment visible depuis l’espace public des venelles qui traversent le tissu ou à travers les cours et les jardins privés.

Le bâti est orienté vers la Gondoire dans le sens de la pente et est orienté plein Sud. Il est disposé en quinconce horizontal et vertical pour offrir un maximum de vues. La typologie d’habitat construite est plus dense que celle observable à proximité et moins consommatrice de foncier. Les hauteurs varient entre le R+2 et R+4 avec un COS moyen de 1.1 (tissu à proximité : COS 0.5).

Mettre «la campagne en perspective de la ville» Le nouveau quartier situé entre la vallée de la Gondoire et le bois de Chigny est structuré par des lanières Nord-Sud permettant de conserver les vues et les accés vers les arrières plans.

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Jardin privé

Jardins familliaux

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COS 1.1

90 logt / ha 35% bati 50% espace vert privé 15% espace semi privé

Prairie pâturée

Surface moyenne des logts 120m² Ruelle piétonne

Ru de la Gondoire

Jouer avec les volumes pour optimiser les vues vers le paysage La hauteur du bâti, en moyenne deux fois superieure au tissu existant, permet d’augmenter la surface des logements tout en ayant une densité plus élevé et un confort de vie. La variation latérale et verticale du bâti, accentuée par le denivelé naturel, donne à voir les paysages depuis tous les appartements.

Conforter les espaces de parcours liant ville et campagne L’interstice urbain/rural est formé par les cheminements acceuillants différents usages.

Proposer une nouvelle qualité de vie Vivre en collectivité permet de conserver plus d’espaces au sol et d’offrir à un plus grand nombre ce rapport avec le paysage.

Les appartements orientés au Sud, sont largement ensoleillés. Ils s’ouvrent vers la vallée de la Gondoire., sur les prairies et le versant Sud du coteau. Ce site classé supporte de nombreuses activités (randonnée pedestre, hyppique, cyclable) qui offrent un spectacle permanent.


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3. Face au plateau agricole de Jossigny Articuler les échelles et les relations au paysage A grande échelle, l’agriculture s’immisce dans la ville. Sous la forme de petites unités d’exploitation de 4ha, le parc maraîcher vient fabriquer la forme du quartier jusqu’à s’inscrire au sein des îlots les plus en périphérie. Au centre de cet espace, la ferme du Génitoy retrouve une position centrale par sa proximité à la nouvelle station RER au Nord mais aussi par sa position intermédiaire entre le parc urbain existant à l’Ouest et le nouveau parc maraîcher à l’Est ouvrant des perspectives vers le plateau agricole.

Face à l’étendue du plateau agricole, le relation entre logement et paysage évite tout rapport frontal. Elle cherche plutôt à s’ouvrir et à relier plusieurs échelles de perception allant du logement, à la terrasse, au jardin privé et collectif jusqu’au grand paysage. Cette multiplication et association d’échelles vise la perception d’un seul et même paysage où le logement, l’individu développe non plus une opposition mais une relation au proche comme au lointain.

Introduire l’agriculture dans la ville Le parc maraîcher structure le quartier et l’ouvre sur le plateau agricole.

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FaceMarne au plateau de ville Jossigny Epa · Les agricole franges en nouvelle

Jardins familliaux Jardins privés

Jardins semi-privés

COS 1.1

97 logt / ha 35% bati 20% espace vert privé 25% espace semi privé 20% espace public

Parc maraicher

Plateau maraicher

Surface moyenne des logts 110m²

Créer des rapports entre l’urbain et le parc maraîcher Le bâti embrasse le parc maraîcher et le parc urbain de manière constante par la création de volumes de différentes hauteurs. Le parc maraîcher s’infiltre entre les immeubles jusqu’au pied des jardins.

Etablir une relation du proche au lointain La multiplication d’échelles vise la perception d’un seul et même paysage.

Depuis la terrasse, les différents plans du paysage se décomposent. Au pied de l’immeuble, les voisins traversent la cours pour rejoindre les jardins familiaux qui se transforment en parcelle agricole en évoluant vers le village de Jossigny.

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4. Face au plateau boisé de Ferrière Une urbanisation raisonnée Le projet consiste à répondre à la frontalité de la forêt par un front bâti mettant en tension un espace public ouvert. Le nouveau quartier offre des typologies de logements spacieux et bénéficiant de prolongements extérieurs généreux. La mixité de fonctions est recherchée à toutes les échelles. A l’échelle de la ville de Bussy : un quartier mixte habitat-commerces-bureaux-activités artisanales et industrielles-équipements publics et de loisirs.

A l’échelle des lots : programation mixte horizontale logements-activités. A l’échelle de certains batiments : mixité verticale activités-parking-bureaux-logements. Le projet tente de créer une relation au paysage plus satisfaisante que celle offerte par la zone d’activités du sud de Bussy, bordée par l’autoroute. Cela passe par une stratégie de colonisation de la Z.A. et une urbanisation raisonnée autour de l’A4 pour continuer la ville.

Créer une relation au paysage Le site est structuré par la A4 au Nord et la forêt de Ferrière au Sud.

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FaceMarne au plateau deen Ferrière Epa · Les boisé franges ville nouvelle

Jardins privés Ruelle semi-privée

Belvédère Prairie pâturée

COS 1.5

80 logt / ha 50% bati 30% espace vert privé 20% espace semi privé Surface moyenne des logts 150m²

Massif boisé de Ferrière

Etablir un front bâti face à la fôret Cette confrontation met en tension un espace public ouvert.

L’esplanade s’ouvre largement vers la prairie paturée et le bois de Ferrière. Elle fait le lien entre l’espace urbain et rural. Cet espace public se dessine comme une long quai d’où l’on regarde l’étendue et son horizon.

Rechercher une mixité de fonctions A l’échelle de la ville de Bussy, à l’échelle des lots et à l’échelle de certains batiments.

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