louis CAUDRON
architecte_urbaniste 06 81 76 74 06 louis.caudron@gmail.com
sommaire individuel
3
MAISON INDIVIDUELLE_Seattle Espace de vie pluriel et évolutif
7
VILLA EMILIO SAGI_El Escorial Espace de vie et de représentation
collectif
11
LOGEMENT INTERMEDIAIRE_Clichy 1 immeuble collectif = 4 maisons individuelles
15
IMMEUBLE MIXTE_Paris Un faille pour restructurer un noeud urbain
équipement
19
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE_Paris La justice entre menace et lieu de protection
23
MUSEUM der MODERN_Berlin Espace ouvert fédéranteur du Kultur Forum
urbain
27
UNE COUTURE URBAINE_Ivry-sur-Seine Franchir l'infrastructure de transport par des îlots-ponts
33
ATLAS_Île-de-France Mutabilité et évaluation du potentiel de logement en renouvellement urbain
divers
45
REGENESIS_New York Décadence et renaissance d'une ville
47
SPHERE FLOTTANTE Cellule d'habitation de loisir autonome et mobile
1
MAISON INDIVIDUELLE_Seattle Espace de vie pluriel et évolutif Le "scénario" de vie de famille choisi est volontairement laissé non défini pour que la maison puisse s'adapté à une grande diversité de cellules familiales. Pour cela, après étude des compositions les plus courantes, on a défini le principe d'un pôle de vie principal (pour un ou deux parents intégrant l'espace de travail) et un pôle de vie secondaire de trois personnes (pour des enfants, des invités ponctuels ou des habitants tiers).
PROGRAMME DU PROJET Maison individuelle de 200m² se développant sur deux niveaux pour une cellule familiale de cinq personnes. Elle comporte un espace en double hauteur et un lieu spécifique pour l’activité professionnelle d'un des parents, dont la surface s'ajoute à celle de la maison. La parcelle rectangulaire, de 20m de large sur 40m de profondeur, comporte une dénivellation de 1,5m entre ses deux extrémités. Elle est implantée dans un ensemble résidentiel individuel, où la vue ouest est dégagée et laissée au libre choix de l'étudiant. Il s'agit ici du skyline de Seattle, un paysage linéaire régulièrement ponctué verticalement sans point exceptionnel de focalisation visuelle.
L'objectif de la maison est de pouvoir s'adapter aux différents modes de vie des habitants et à leurs modifications dans le temps. De même, si les caractéristiques spatiales des espaces sont figées, leur ambiance doit changer selon les heures, le climat et les saisons. Pour cela, on a choisi de MULTIPLIER, VARIER et FAIRE EVOLUER : - les circulations, - les espaces, - les rapports au paysage, - les rapports au jardin, - les types de lumières, pour créer un habitat à la fois polyfonctionnel et changeant dans le temps, en fonction des usages de ses habitants et de son environnement. La maison est enchâssée par une succession de bandeaux, composés de deux équerres associées, disposés longitudinalement sur la parcelle. Ils encadrent des percées visuelles, traversant les espaces jusqu'au paysage du skyline. Le décalage de 1,5m entre les deux pôles permet de dégager des vues même depuis l'arrière de la maison. Le terrain est aménagé de jardins recevant chacun un caractère particulier, en rapport avec les espaces attenants de la maison. Le dénivelé de 1,5m et la végétation à l'est protègent la privacité du jardin et de la maison. La séquence d'accès, depuis le porche couvrant le parking les laisse découvrir progressivement.
Maquette _ SUCCESSION DES BANDEAUX ENCHASSANT LA MAISON Invariant = Routine = Ennui
Variant = Evènement = Surprise
On demande l'exploration des dimensions spatiales et territoriales de la notion d'habiter et la constitution des espaces d'habitation à partir des activités variantes, et invariantes, qui s'y déroulent. Chaque étudiant choisira un "scénario" de vie de famille auquel la maison devra répondre. Une réflexion doit aussi être portée sur la façon d'habiter la parcelle sur laquelle se dresse la maison.
BANDEAUX ET PLANS SUCCESSIFS QUI ENCADRENT DES VUES MAISON INDIVIDUELLE Licence 2_Groupe de projet : N. Laurent_ENSAPVS_2005/2006
NIVEAUX DECALES DEGAGEANT DES PERCEES VISUELLES
MULTIPLICATION DES JARDINS EN RAPPORT AVEC LA MAISON
3
1
2
3
4
Plan masse
1
N
cuisine salle à manger salon
atelier bibliotheque sejour dynamique
5
sejour statique
6
4 bureau garage
Coupe 3D _ BANDEAU DU POLE PRINCIPAL AVEC UN ESPACE EN MEZZANINE ET TROIS AXES VISUELS 3
2
Plan R+0 _ TRANSPARENCE LONGITUDINALE DE LA MAISON - DIFFERENTES MISES EN RAPPORT AVEC LES JARDINS
Coupe 3D _ ESPACES DU SEJOUR STATIQUE AVEC LES VUES INDIRECTES SUR LE SKYLINE
4
Coupe longitudinale _ DECALAGE DES NIVEAUX PERMETTANT DES VUES DEPUIS TOUS LES ESPACES SUR LE SKYLINE MAISON INDIVIDUELLE Licence 2_Groupe de projet : N. Laurent_ENSAPVS_2005/2006
5
6
7
8
9
N chambre
chambre principale
espace chambre jeu
7 chambre
9
Coupe 3D _ BANDEAU DU POLE SECONDAIRE AVEC LES CHAMBRES ET L'ESPACE INTERMEDIARE
Elévation ouest _ OUVERTURE TOTALE VERS LE SKYLINE
8
Plan R+0 _ UN POLE DE VIE PRINCIPAL (PARENT-S-) ET UN SECONDAIRE PARTAGE (ENFANT-S-, INVITE-S-, ETC)
Elévation sud _ OUVERTURE INDIRECTE CONTRE LE SOLEIL ET LES VIS-A-VIS
MAISON INDIVIDUELLE Licence 2_Groupe de projet : N. Laurent_ENSAPVS_2005/2006
terrasse
Elévation est _ OUVERTURE REDUITE VERS LA RUE
Elévation nord _ FERMETURE TOTALE CONTRE LE FROID ET LES VIS-A-VIS
5
VILLA EMILIO SAGI_El Escorial Espace de vie et de représentation
MONASTERE PALATIAL DE SAN LORENZO DE EL ESCORIAL La villa se développe dans un volume unique à base carré, clos par une membrane de verre et couvert par une table plane de béton brut. Les espaces sont délimités et articulés par quatre volumes parallélépipédiques aux qualités distinctes : un patio vitré, un jardin d'hiver translucide, une loggia ceinte de jalousies d'acier et un bloc en béton brut. Leurs différentes matérialités peuvent favoriser, filtrer ou obstruer les rapports visuels entre les lieux qu'ils séparent. PROGRAMME DU PROJET Le point clef du sujet réside dans le fait que la villa est projetée pour un client défini. Il s'agit d'Emilio Sagi, metteur en scène d'opéra, actuellement Directeur du Teatro Arriaga de Bilbao. Lors d'une rencontre avec les étudiants de l'ETSAM, il a expliqué en détail ses attentes. La villa n'est pas une résidence principale, bien qu'elle occupe une surface de 600m². Emilio Sagi, vivant seul et étant souvent en déplacement pour ses activités professionnelles, souhaite un refuge où pouvoir se retirer pour se reposer et occasionnellement travailler à ses projets scénographiques. Toutefois, la villa doit permettre de recevoir des amis pour de courts séjours, des diners et des veillées musicales. Il ne s'agit donc pas réellement d'une villa devant accueillir de grandes réceptions, mais plus d'un espace domestique ayant une certaine part de représentativité. Le terrain se situe dans la Sierra de Madrid, à 40km de la métropole. Il est bordé de montagnes à la végétation clairsemée du fait du climat relativement sec. Le site est tout proche de la ville de El Escorial et du monastère palatial de San Lorenzo. C’est l'un des plus importants de la péninsule, historiquement et parce qu'il s'agit d'un des chefs d'œuvre du Baroque dit Herrerien, du nom de son architecte Juan de Herrera. Il se caractérise par des volumes massifs et des lignes rigoureuses et hiératiques.
VILLA EMILIO SAGI Master 1_Projet : I. VICENS et J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
Le sol de la villa est échelonné en différentes plateformes qui créent une circulation en boucle traversant les différents espaces. Ce parcours lui imprime un caractère scénographique, accentué par les rapports de transparence et les différents axes de vues entre les espaces. Les dénivellations mettent en relation la villa avec son site et le paysage de diverses manières selon la fonction et le caractère de chaque lieu. Les points de vue alternent entre les bosquets proches et bas, ou le paysage lointain de l'Escorial, des montagnes et de la vallée de Madrid. Les plateformes de béton peuvent s'étendre au dehors de la villa pour aménager des terrasses et des accès au jardin ou, au contraire, former des belvédères intérieurs.
RELATIONS GEOMETRIQUES AVEC SAN LORENZO DE EL ESCORIAL
La villa interprète la rigueur géométrique du tracé de la "grille" de San Lorenzo, de même qu'une part de sa solennité par la table constituant la toiture. Elle se définit comme un édifice volontairement isolé et compacte dans la pente de la vallée, en contraste avec la végétation sèche et clairsemée environnante.
BOUCLE ECHELONNEE ENTRE LES NIVEAUX
PLAN HAUT ET PLATEFORMES DENIVELLEES
PRINCIPES DE L'ORGANISATION INTERNE DE LA VILLA
7
S-4
S-3
N
4 S-1
S-1
5
1
3 9
2 S-2
S-2
10
2
S-4
S-3
1
Plan niveau haut _ UN ESPACE UNIQUE DIVISE PAR LES QUATRE VOLUMES ET LES PLATEFORMES DENIVELEES
3 Coupe S-1 _ DIFFERENTS RAPPORTS AU PAYSAGE ET AU SOL DES PLATEFORMES
8
Coupe S-2 _ ECHELONNEMENT PROGRESIF DES NIVEAUX VILLA EMILIO SAGI Master 1_Projet : I. VICENS et J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
S-4
S-3
N
4
8
7 S-1
S-1
5 6 S-2
S-2
S-4
S-3
6
Plan niveaux bas _ UN ESPACE UNIQUE DIVISE PAR LES QUATRE BLOCS ET LES DENIVELATIONS DES PLATEAUX
Coupe S-3 _ LES PLATEFORMES OFFRENT DES HAUTEURS DE PLAFOND ADAPTEES A CHAQUE ESPACE VILLA EMILIO SAGI Master 1_Projet : I. VICENS et J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
Coupe S-2 _ DEUX ESPACES EXTERIEURS PARTICULIERS LA LOGIA ET LE PATIO
7
9
1
3
5
BETON POLI
VERRE TRANSPAREN T
VERRE TRANSLUCID E
2
4
6
BETON MATRICE PAR DES LATTES DE BOIS
BETON BRUTE
ACIER INOX PERFORE
8
Modelisation 3D _ LA VILLA SE POSE TELLE UNE MACLE MINERALE DANS LE PAYSAGE
9
10
4
5
3
1
2
6
1
2
Axonométrie _ UTILISATION DES MATERIAUX ET ECHANTILLONS
Elevation sud-ouest
10
Elevation sud-est
Modelisation 3D _ LA VILLA DEPLOIE SES PLATEFORMES POUR SE METTRE EN RELATION AVEC LE SOL
Elevation nord-est
Elevation nord-ouest
VILLA EMILIO SAGI Master 1_Projet : I. VICENS et J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
LOGEMENT INTERMEDIAIRE_Clichy 1 immeuble collectif = 4 maisons individuelles Division de l'immeuble en deux blocs qui: - permet de multiplier les vues vers l'extérieur et l'apport de lumière via la faille centrale. - donne une ouverture dans la façade qui favorise les échanges visuels et ouvre la rue sur le jardin et le cœur de l'îlot. - constitue une faille centrale concentrant les circulations horizontales et verticales dans un espace extérieur protégé, graduant la transition entre le public et le privé. - multiplie les possibilités sur la volumétrie de l'ensemble et crée un dialogue entre les deux corps de bâtiment. Dédoublement des entrées de chaque logement, créant un accès urbain dans la faille centrale et un second paysagé sur le jardin dans la cour. Ceci permet aussi de rendre les logements plus individualisés. PROGRAMME DU PROJET Un immeuble de logement intermédiaire (R+4) à Clichy comprenant : - 2 appartements duplex de 160m2 en R+2 - 2 appartements flats de 80m2 en R+1 - 2 commerces 150m2 et services en RDC Il s'agit d'apprendre à constituer un ensemble unitaire à partir de différentes composantes du programme. On demande une démarche innovante et de penser un édifice qui allie les qualités du logement collectif et du logement individuel. Une attention particulière est portée au traitement des espaces collectifs, aux rapports intérieurs et extérieurs des logements et à l'accès.
Décomposition de chaque bloc en plusieurs fragments pour: - rompre la masse de l'immeuble et donner l'illusion que chaque logement est une maison individuelle. - permettre de dégager de nombreux prolongements extérieurs en les articulant avec les différents blocs pour créer des jardins individuels.
APPORTS DE LA DIVISION DE L'IMMEUBLE EN DEUX BLOCS LOGEMENT INTERMEDIAIRE Licence 2_Groupe de projet : N. Laurent_ENSAPVS_2005/2006
PRINCIPES D'AMENAGEMENT DES APPARTEMENTS
Maquettes _ FRAGMENTATION ET RECOMPOSITION DES VOLUMES
11
N
Modèle 3D _ MISE EN TENSION DES VOLUMES DE LA FAILLE
Coupe 1 _ LA FAILLE CONSTITUE UN ESPACE D'ARCHITECTURE, D'OUVERTURE, DE DESSERTE ET D'ECHANGES
Modèle 3D _ RELATION VISUELLE ENTRE LA RUE ET LE JARDIN
1
1
1
2 Plan masse
12
2 Plan R+0 _ MISE EN RELATION VISUELLE ENTRE LA RUE ET LE JARDIN SUR COUR
Plan R+1 _ SEJOUR CENTRAL ENTOURÉ PAR DES PIECES, ARTICULÉES ENSEMBLE PAR DES ESPACES INTERMEDIAIRE LOGEMENT INTERMEDIAIRE Licence 2_Groupe de projet : N. Laurent_ENSAPVS_2005/2006
4 Coupe 2 _ COMPOSITION D'UN DUPLEX AUTOUR DU VIDE CENTRAL ET DES ESPACES INTERMEDIAIRES
Modèle 3D _ LES ESCALIERS SUR COUR OFFRENT UN SECOND ACCES AUX LOGEMENTS PAR LE JARDIN
3
1
1 3
4
2 2
2 Plan R+3 _ LES CHAMBRES SONT HABITABLES AVEC PLUSIEURS NIVEAUX D'INDEPENDANCE AU TRAVERS DES ESPACES INTERMEDIAIRES LOGEMENT INTERMEDIAIRE Licence 2_Groupe de projet : N. Laurent_ENSAPVS_2005/2006
2 Plan R+2 _ LES BOW-WINDOWS ET LES JARDINS D'HIVERS APPORTENT DES ESPACES INTERMEDIAIRES DE QUALITE POUR DIVERS USAGES
1
13
IMMEUBLE MIXTE_Paris Une faille pour restructurer un noeud urbain En préalable, il a été choisi de conserver l'escalier existant s'intégrant au pont de Tobliac, qui constitue le seul vestige de cette ensemble.
PROGRAMME DU PROJET Urbain : - un lien entre la ZAC Paris Rive Gauche et l'ancien arrondissement, - un croisement de deux voies en dénivélation, - une parcelle de 1 500 m² avec un COS = 4 dans la bande des 20 m et des règles du PLU à respecter.
Le projet complète cette liaison piétonne exiguë, par un passage public traversant l'ensemble du programme. Formé d'une faille, qui se positionne en continuité de l'entrée du métro rendant parfaitement lisible la circulation, il mène par deux plateaux de la rue du Chevaleret à la rue de Tolbiac. C'est autour de cette composition que vient s'articuler le programme. Le passage est bordé de commerces qui forment un socle s'inscrivant dans l'épaisseur du bâti d'activité environnant. Il est recouvert d'une toiture végétalisée et paysagée. Une petite tour d'activités ponctue l'angle des rues de Tolbiac et du Chevaleret pour crér un pivot où s'enroule la circulation piétonne. Un ensemble de logements se positionne en pont entre le mitoyen et la tour pour créer un porche au dessus du passage public. Un plot de ARTICULATION logements se dresse en continuité du tissu DU PROGRAMME faubourien de la rue du Chevaleret.
PHOTOS DU SITE FACE AUX DESSINS DE "BROUILLARD SUR LE PONT DE TOLBIAC", TARDI
Archictectural : - une liaison piétonne par des emmarchements, escaliers, escalators et/ou ascenseurs reliant la rue du Chevaleret à la rue de Tolbiac, - un programme mixte de logements (2 500 m² avec 20% de T2, 30% de T3, 20% T4, 10% T5 et 20% au choix ), activités (1 500 m²) et commerces (1 000 m²), - un parking de 70 places pour véhicules et 30 places pour vélos, - un accès pompier à la cour.
ANALYSE DE L'EPANNELAGE ET DES DÉGAGEMENTS VISUELS IMMEUBLE MIXTE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
ANALYSE DES ACTIVITÉS
ANALYSE DES FLUX PIÉTONNIERS
15
N
Espace exposi on
Commerce
U CH E
1
Désenfumage parking
RUE D
RestaurantSnack
VALER E
T
Commerce
Plan masse _ INSERTION DES ÉLÉMENTS DU PROJET AUTOUR DE LA FAILLE
Com m erce Com m erce
Accès Métro lig ne et RER C 14
Plan Rdc "rue du Chevaleret" _ FAILLE S'OUVRANT EN PROLONGEMENT DE L'ACCÈS AU MÉTRO Coupe _ SOCLE DE COMMERCES S'INSCRIVANT DANS LA "TOPOGRAPHIE "
1
2
16
IMMEUBLE MIXTE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
RUE DE TOLBIAC
2
Espace exposi on
Cuisines restaurant
Accue il
17 16 15 14 13 12 11 10
9 8 7 6 5 4 3 2 1
Restaurant
Commerce
TOUR D'ACTIVITES Ac vit és
Plan de l'entresol _ PLATEAU DE COMMERCES ET ACCUEIL BAS DES BUREAUX
Plan Rdc rue de Tolbiac _ PORCHE SUR LA RUE DE TOLBIAC ET JARDINS SUSPENDUS
LOGEMENTS EN PONT
LOGEMENTS EN PLOT
Axonométrie nord _ PROLONGATION DU TISSU HAUSSMANIEN EN ALIGNEMENT ET AMORCE DE LA ZAC PAR LA TOUR DE BUREAUX IMMEUBLE MIXTE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
Axonométrie sud _ PROLONGATION DU TISSU FAUBOURIEN AVEC UN BÂTI BAS ET UN JARDIN EN COEUR D'ÎLOT
PASSAGE PUBLIC
17
3 3
4
L.T.
Caves
L.T.
Caves
L.T.
4
Désenfumage parking
Caves L.T.
N
Plan R-1 _ NIVEAU DE PARKINGS PARTAGÉS ET DES CAVES
18
Plan d'étage type _ LOGEMENTS MULTIORIENTÉS AVEC DES ESPACES INTERMÉDIAIRES ET DES PROLOGEMENTS EXTÉRIEURS IMMEUBLE MIXTE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE_Paris La justice entre menace et lieu de protection
UN ARBRE SOLEMNEL ET PROTECTEUR
PROGRAMME DU PROJET Le projet se base sur le programme du concours d'idées de l'EPPJP pour l'implantation du nouveaux Palais de justice de Paris sur le site de la Halle Freyssinet. Un parti doit être pris sur la conservation totale, partielle, la valorisation ou la suppression de ce patrimoine technique et industriel. Le site étant en reconversion, il prend comme cadre urbain l'étude d'implantation du secteur Tolbiac-Chevaleret de la ZAC Paris Rive Gauche, proposé par Reichen et Robert. Le TGI fait appel à un programme complexe et très rigoureusement défini. Il comprend des espaces de bureaux hiérarchisés pour le pôle civil, le pôle pénal, etc. (53 500 m²), les salles d'audience avec leurs annexes (11 200 m²), la salle des pas perdus et l'accueil (14 000 m²), des espaces sécurisés (8 000 m²) et de services (13 500 m²), soit 100 000 m² de SHON. Les accès et les flux de circulation doivent être différenciés et indépendants pour le public, les employés de justice et les prévenus. Outre ses contraintes programmatiques, il est demandé de considérer l'intégration dans le tissu urbain de ce grand équipement et son rôle de monument dans la ville. Pour cela, on réfléchira aussi à l'image de la justice, à travers son "Palais", et le rapport qu'elle doit avoir avec la société civile.
La justice, c'est d'abord faire la lumière sur une affaire, établir la vérité des faits. Il s'agit de reconnaître des victimes pour les protéger. Un Palais de justice doit en cela être avant tout un lieu où l'on se sent à l'abri physiquement et surtout symboliquement. D'autre part, la justice joue un rôle de sanction, ce ne doit pas être une vengeance, mais la réparation d'un préjudice ou la mise à l'ecart de personnes dangereuses pour leur redemption. Elle est alors perçue comme une menace. Pour ORGANISATION DU TGI AVEC LES illustrer cet antagonisme, nous avons choisi l'image de l'arbre protecteur mais dominant, aussi SALLES D'AUDIENCES ET LES BUREAUX souvent utilisé dans l'histoire comme le siège des réunions des sages du village. Les salles d'audience et des pas perdus sont aménagées dans le volume de la Halle Freyssinet, simplement réstaurée et close de baies vitrées. Elle forme un espace intermédiaire, ni tout à fait dedans, ni tout à fait dehors, comme protégé par la frondaison d'un bois qui peut s'ouvrir sur une terrasse surplombant le jardin aménagé autour. Les salles d'audience sont séparées dans la nef en trois entitées, les audiences pénales (où elles comptent un accès sécurisé pour les prévenus), les audiences civiles et celles des affaires familiales couplées avec le tribunal pour enfants. Cette disposition permet leur autonomie et évite le rapport entre des affaires d'ordres très différents. Les bureaux de la magistrature sont situés dans un bâtiment en pont, en surplomb de la halle, qui repose sur des piliers s'enracinant dans celle-ci et desservant ainsi directement les espaces des audiences. La suspension et la forme brisée du bâtiment de bureaux permet de rompre la massivité du volume bâti necéssaire au programme, en prenant des aspects variés en fonction d'où l'on se situe. Cependant, l'édifice conserve un caractère solemnel, dominant au dessus de l'espace public et de la salle des pas perdus. Les bureaux s'organisent en cellules de travail, sur une trame de 4,7m, autour d'une travée central servant de noyau structurel reliant les différents piliers et accueillant les espaces secondaires et de services. Les façades sont constituées d'une double peau avec un vitrage d'isolation thermique et un masque d'écailles à inclination variable, réalisées en différents matériaux afin de créer une texture originale autour du bâtiment.
RECHERCHES SUR LE TRACÉ DU BÂTIMENT-PONT DE BUREAUX
PRINCIPE DES PASSERELLES SUSPENDUES TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
19
N
1
2
1 _ accès public 2 _ accès fourgons, livraisons et pompiers 3 _ accès parking du personnel et pompiers
services internes espaces sécurisés pc police archives et scéllés
Plan rdc av. de France _ LES PASSERELLES COUSENT LE TISSU URBAIN ROMPU PAR LA HALLE - LE BATIMENT-PONT SE FRAGMENTE POUR ROMPRE SA MASSIVITE ET DYNAMISER LE SITE
Plan masse
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Coupe 1 _ PASSERELLE TRAVERSANTE ENTRE LA HALLE ET LE BATIMENT PONT TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
Plan entresol _ ACCES PRINCIPAL PAR UN VASTE PARVIS DEPUIS L'AVENUE DE FRANCE
Voir détail plan type1
5
6 2
2
3
Plan R-1 _ GALERIE SOUTERRAINE D'ACHEMINEMENT DES PREVENUS 1 _ accès public 2 _ accès fourgons, livraisons et pompiers 3 _ accès parking du personnel et pompiers 4 _ espace accueil et information 5 _ tribunal pour enfants 6 _ tribunal des affaires familiales
salles pénales salles civiles services internes espaces sécurisés pc police archives et scéllés
Plan RDC Halle _ OUVERTURE DE LA SALLE DES PAS PERDU SUR LE JARDIN - REGROUPEMENT DES SALLES D'AUDIENCE EN ALVEOLES
Coupe 2 _ ACCES PAR LE PARVIS SOUS LA PARTIE SURELEVE DE LA HALLE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
Coupe 3 _ RAPPORTS AU JARDIN ENCAISSE AU NIVEAU DE LA HALLE
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VERRE BRISE CUIVRE OXYDE VERRE COLORE VERT VERRE VERRE DEPOLI ACIER INOX AJOURE VERRE COLORE BLEU Détail plan type1 _ LES SALLES D'AUDIENCES S'ORGANISENT EN ALVEOLES AUTOUR DE PIEDS DU BATIMENT PONT
Détail plan type2 _ BATIMENT PONT AVEC DE DEUX BANDES DE BUREAUX ET UNE BANDE D'ANNEXES ET SERVICES
ACIER INOX CHROME ZINC BOIS Détail_DOUBLE PEAU ASSURANT LA CIRCULATION DE L'AIR
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Coupe type_PLANCHERS SUSPENDUS A LA POUTRE CAISSON
Elévations types _ DOUBLE PEAU A LAMELLES DIFFEREMENT INCLINEES POUR CREER UNE TEXTURE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE Licence 3_Groupe de projet : S. Chirat_ENSAPVS_2006/2007
MUSEUM der MODERN_Berlin Espace ouvert fédéranteur du Kultur Forum Le Museum der Modern se place au centre du Kultur Forum et entend en fédérer les différentes entités. Pour cela, il libère au sol un vaste espace public clos servant de hall, où l'on trouve toute les activités annexes du musée : l'accueil-information, le centre de documentation, la boutique et le restaurant. Celles-ci, ayant un accès double depuis l'intérieur et depuis l'extérieur, peuvent rester ouvertes en dehors des horaires du musée, prolongeant ainsi la vie à l'intérieur de l'édifice et dans le quartier. L'espace entre ce forum et les rues est traité en gradins, rampes et jardins, gérant l'accès et la différence de niveau entre les voies et offrant une interface d'appropriation publique aux passants et aux visiteurs.
PROGRAMME DU PROJET Il s'agit de concevoir un musée de l'architecture du Mouvement Moderne. Il contiendra entre autre les archives du Bauhaus dans des espaces d'expositions permanentes et temporaires. Le fonds comprend une grande diversité de documents (textes, dessins, plans, maquettes, objets originaux, etc.) qui devront pouvoir y être exposés dans les meilleures conditions. L'objectif du musée est de présenter de manière didactique les collections, pour permettre la compréhension du courant artistique, de même que de maintenir un débat vivant sur les réponses que le Mouvement Moderne a apportées. Pour cela, il comprendra en plus des infrastructures muséales usuelles: un auditorium, des salles de séminaire et un centre de documentation.
Au cœur du musée s'ouvre un atrium sur toute la hauteur, qui apporte une lumière interne aux galeries et sert de noyau aux circulations verticales. Les escaliers mécaniques s'y enroulent en un parcours avec des vues sur l'ensemble des galeries. Les espaces d'exposition sont formés par deux plateaux libres pouvant être réaménagés en fonction des besoins muséographiques de chaque nouvelle présentation. En étant indépendants de la carène formant la couverture, les plateaux offrent des espaces en bordure qui jouent avec cette limite, mettant en relation les deux niveaux et créant des hauteurs variables pour les objets les plus volumineux. Le niveau en sous-sol accueille tous les espaces fonctionnels du musée et le grand auditorium. Les bureaux du personnel et des conservateurs y cherchent le jour par des sortes de cours anglaises, que forme un renfoncement topographique du sol. Le musée est couvert d'une carène dont le profil est travaillé pour s'intégrer au mieux à un environnement déjà riche en formes architecturales iconiques. Ainsi, le profil plonge au niveau du socle de la Neue National Galerie pour le prolonger visuellement en un paysage abstrait, tandis que vers la Philharmoniker, il s'élève pour dialoguer avec le volume sculptural. Cette carène, constituée d'une structure en treillis métallique, est recouverte de plaques de cuivre brossées et traitées contre la corrosion.
L'ATRIUM : COEUR DU MUSEE IRRIGUANT LES VISITEURS DEPUIS LE FORUM ET LA LUMIERE DANS LES GALERIES
COMPOSITION GEOMETRIQUE DE LA CARENNE SUR LE RECTANGLE D'OR
Le site se trouve en plein cœur du Kultur Forum de Berlin, au Sud du Tiergarten, non loin de la Potsdammerplatz. Il est entouré d'édifices culturels prestigieux : la Neue Nationalgalerie (Mies van Der Rohe), la Gemaldegalerie, le musée des Art-Décoratifs, la Bibliothèque Nationale (Scharoun), la Philharmoniker (Scharoun), etc. Pour cette raison, certaines contraintes s'appliquent au site comme de ne pas sortir du rectangle (80x60m) du site et de ne pas dépasser une hauteur de 15m au sol.
INTEGRATION DU MUSEE ENTRE LA NEUE NATIONAL GALERIE ET LA PHILHARMONIKER MUSEUM der MODERN Master 1_Projet : I. VICENS - J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
23
N
5
2
1
1 3
3 1
Plan masse _ INTEGRATION DANS L'ESPACE DU KULTUR FORUM EN RE-ARTICULANT LES DIFFERENTS EDIFICES 2
4
1 _ accueil et information 2 _ médiathèque 3 _ boutique 4 _ restaurant
4 Ecorché axonométrique _ RAPPORTS DES AVANCEES ET DES MEZZANINES ENTRE LES NIVEAUX
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Plan rdc _ FORUM OUVRANT L'ESPACE D'ACCUEIL ET METTANT EN RELATION LES AUTRES EDIFICES CUTURELS MUSEUM der MODERN Master 1_Projet : I. VICENS - J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
3 3 3
2 1 Plan R+2 _ PLATEAU POUR LES EXPOSITIONS TEMPORAIRES OFFRANT DES RELATIONS VISUELLES AVEC LE NIVEAU INFERIEUR
Coupe 1 _ CONTINUITE DU FORUM AVEC L'ESPACE PUBLIC
2
1 3
Coupe 2 _ RELATIONS SPATIALES ENTRE LES PLATEAUX ET LA CARENE
2
2 1 Plan R+1 _ PLATEAU POUR LES EXPOSITIONS PERMANENTES MUSEUM der MODERN Master 1_Projet : I. VICENS - J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
Coupe 3 _ LA CARENE COUVRE LE MUSEE EN FERMANT CERTAINS ESPACES VERS L'EXTERIEUR ALORS QUE L'ATRIUM LES OUVRE DE L'INTERIEUR
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1 _ vestiaire 2 _ salle de production 3 _ coulisses 4 _ bureaux du personnel 5 _ laboratoire et atelier 6 _ archives et réserves 7 _ salles de réunion 8 _ salles de colloques 9 _ réserve de la bibliothèque 10 _ réserve du musée 11 _ installations techniques 12 _ dépendances du restaurant
Modèle 3D _ ABORD DU FORUM RELIANT LE MUSEE A L'ESPACE PUBLIC
4
Elévation ouest _ PROFIL OUVERT EN CHEVRON A L'ANGLE SUR LA PLACETTE POUR L'ENTREE
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Elévation sud _ PROFIL PLONGEANT VERS LA NEUE NATIONAL GALLERIE
6
5 4
7
10
11
1 2 11
12
9 8
3
Plan R-1 _ LES ESPACES FONCTIONNELS ET DE SERVICES REUNIS DANS LE SOUS-BASSEMENT DU MUSEE
5
ECHANTILLON DES PANNEAUX COMPOSITES INOXYDABLES DE LA CARENE EN CUIVRE ET POLYETHYLENE
Elévation est _ PROFIL OUVERT EN CHEVRON Elevation nord _ PROFIL SEMI-OUVERT POUR L'ENTREE PRINCIPALE SUR LA PHILHARMONIEKER MUSEUM der MODERN Master 1_Projet : I. VICENS - J. A. RAMOS_ETSAM_2007/2008
U N E C OU T U R E U R BA I N E_ I v ry - s ur -S ei ne Franchir l'infrastructure de transport par des "îlots-ponts"
RUPTURE DU TERRITOIRE PAR LES VOIES
Le site se localise dans la commune d’Ivry-sur-Seine, département du Val-deMarne. Elle appartient à la banlieue sud de Paris, dont elle est limitrophe, et compte 55 700 habitants sur un territoire d’un peu plus de six kilomètres carrés. Cette situation dans la première couronne fait qu’il s’agit d’une commune offrant un grand potentiel de développement dans le cadre du renforcement de Paris comme métropole. Au XIXe siècle, les activités agricoles de la ville furent remplacées par des industries qui jouissaient de la proximité de Paris, de la Seine et du chemin de fer. Ivry-sur-Seine a aussi vu l’installation sur son territoire d’emprises au service de la capitale et est devenu un important parc résidentiel principalement populaire, initialement formé par les ouvriers. Après la Seconde Guerre Mondiale, une politique de construction de logements sociaux conduit à la réalisation de nombreuses habitations, souvent en barres ou en tours. Vers 1965, la commune subie de profonds changements par la mise en œuvre de plans de rénovation qui permettent l’émergence d’architectures originales toujours à vocation sociale. Celui-ci y représente aujourd’hui 40% du parc résidentiel. La mutation d’Ivry-sur-Seine est engagée. De nombreuses implantations industrielles sont désaffectées depuis les années 1980 et laissent la place à de nouveaux projets. Le parc départemental des Cormailles est une des réalisations majeures de cette démarche de revalorisation de la commune. La ZAC du Port, achève son implantation, au nord du quartier d’Ivry-Port et sera connectée à Paris via la ZAC Paris Rive Gauche.
UNE COUTURE URBAINE Projet de fin d'études : A. Pélissier_ENSAPVS_2008/2011
Un lie u : IVRY-SU R-SEIN E
Vue aérienne du site
MAILLAGE VIAIRE HÉTÉROGÈNE
TISSU URBAIN DÉCOUSU ET CONTRASTÉ Voies de chemin de fer
Parc des Cormailles
Espace Westermeyer
DEUX NOYAUX URBAINS SÉPARÉS Halle Haber de stockage
Bâti rue Molière
Hangar rue Molière
BANDE PARSEMÉE D'ESPACES VERTS
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Un e s tra té g ie u rb a in e : R E CO U D RE DE U X R IVE S
soustraction sur l'existant
réorganisation du viaire
restructuration des espaces au sol
addition de nouveaux programmes
Le projet stratégique a un double objectif qui est de recoudre le quartier d’IvryPort avec le centre-ville et d’apporter une plus forte densité urbaine au site, avec une qualité des espaces proposés et la mise en valeur des particularités des lieux d’intervention. Elle repose sur quatre étapes : - la réorganisation viaire, avec un nouvel axe vers Paris et un trafic alterné d'une rue à l'autre le fluidifiant et réduisant l'emprise automobile, - la restructuration d’Ivry-Port, avec l’ouverture des îlots par des passages piétonniers et cyclables et la densification des îlots par des immeubles plots, - l’intégration d’une rive poreuse le long du Parc des Cormailles, avec un aménagement de la transition entre le sol et les "îlots-ponts" et l'ajout d'équipements et résidences sociales, - la couture des rives par des franchissements urbanisés, les "îlots-ponts" construits sur les voies de train.
Eclaté programmatique _ MIXITÉ ET COHABITATION DES USAGES
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UNE COUTURE URBAINE Projet de fin d'études : A. Pélissier_ENSAPVS_2008/2011
N
Maquette _ LIMITE ET PROLONGATION DU PARC DES CORMAILLES
Maquette _ HIÉRARCHISATION DE LA DIVERSITÉ DU BÂTIE D'IVRY-PORT
0
Maquette _ ENCRAGE DU FRANCHISSEMENT PAR UN ÎLOT OUVERT UNE COUTURE URBAINE Projet de fin d'études : A. Pélissier_ENSAPVS_2008/2011
100
200
Plan masse 1/5000 _ INSERTION DU BATI ET DES ESPACES VERTS
Coupe urbaine longitudinale 1/5000 _ RAPPORTS D'ECHELLES DU BATI
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Un projet urbano-architectural : L'ÎLOT -PONT
piéton
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Vue depuis Paris _ PONT HABITÉ D'UN PAYSAGE D'IMMEUBLES
Vue depuis Paris _ PONT HABITÉ D'UN PAYSAGE D'IMMEUBLES
Vue depuis Paris _ PONT HABITÉ D'UN PAYSAGE D'IMMEUBLES
mobilité réduite < 5%
L’objectif de cette phase est de recoudre les deux rives, en les reliant avec un véritable contact urbain. Le projet entend créer deux "îlots-ponts" placés en agrafe transversalement au-dessus du faisceau ferré. Il s’agit de ponts, des structures permettant le franchissement, dans lesquels on retrouve le contenue et les qualités d’un îlot urbain. Seule une surface inférieure à la moitié de l’emprise ferroviaire est couverte. Le coût qu'engendre une telle superstructure, exige une bonne densité. Le projet cherche à offrir le même volume bâti que si l’on avait construit sur l’intégralité de l’emprise ferrée, avec un COS de l’ordre de 3, en le limitant sur les deux "îlots-ponts". Il s’agit ensuite de ne pas nier le génie du lieu, le caractère particulier que les voies confèrent à Ivry-sur-Seine. Si nous cherchons à en atténuer l’impact et les nuisances sur les espaces et les habitants, il ne s’agit pas de les faire disparaître. Le rapport au paysage, depuis les trains qui traversent la commune, est préservé et les "îlots-ponts" forment un signal sur les voies, comme une porte d’entrée à la ville.
Surface des aménagements sur infrastructure Surface d'activités sous l'infrastructure Surface des équipements Surface TOTALE
108 600 m² 29 700 m² 3 700 m² 142 000 m²
Densité Îlots-ponts
4,5
Densité Îlots-ponts + voies
3,4
Densité moyenne quartier
2,5
Tableau des surfaces et densités
Les "îlots-ponts" sont conçus de manière à ne pas en faire des éléments isolés mais à les fondre avec le tissu urbain les environnent. Leur forme, leur traitement topographique et leur organisation interne cherchent à créer la plus grande relation avec leur site. Enfin, un soin particulier a été porté pour ne pas produire un "effet dalle", c'est-à-dire une trop grande discontinuité entre le sol et les niveaux supérieurs de circulation. Les "îlots-ponts" disposent d’un vaste espace de passage public assurant la liaison piétonne. Sa topographie est traitée de sorte à définir plusieurs lieux, chacun ayant un caractère et une fonction: une galerie commerciale ouverte, une placette publique, un forum d'activités et un jardin en prolongement du parc des Cormailles. Cette succession d’espaces crée des séquences qui peuvent être explorées différemment en fonction des parcours. Les ponts urbanisés offre un potentiel urbain très fort, car le fait d’urbaniser un pont lui ajoute un programme construit, permettant une appropriation pérenne par la fréquentation des passants et des habitants.
cycliste < 13%
pompier < 10%
MARQUE TERRITORIALE SUR LES VOIES FERRÉES UNE COUTURE URBAINE Projet de fin d'études : A. Pélissier_ENSAPVS_2008/2011
T2
N
T1
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+9.0 +10.0
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3
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Plan du rez-de-dalle 1/1000 _ MULTIPLICITÉ DES PARCOURS ET DES ESPACES DANS LE PASSAGE PUBLIC Coupe perspective transversale 1/1000 _ CONTINUITÉ ENTRE LE SOL ET LE PASSAGE PUBLIC A TRAVERS UNE SÉQUENCE D'ESPACES
3
4 UNE COUTURE URBAINE Projet de fin d'études : A. Pélissier_ENSAPVS_2008/2011
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T1
Les "îlots-ponts" sont bordés de deux bandes habitables qui constituent une superstructure de plateaux libres disposés tous les 9 mètres de hauteur, dans laquelle s’aménagent indépendamment les espaces d’habitation. L’ensemble est réalisé en béton armé et constitue le squelette immuable du projet. Lors de l’aménagement de la structure, il peut être subdivisé par l’ajout d’un ou deux plateaux intermédiaires (dalles mixtes semi-préfabriquées), afin d’avoir des hauteurs de 4,2 ou 2,7 mètres. Les bandes, d’une profondeur de 12 mètres, sont tramées constructivement sur un entraxe de 6,6 mètres.
L atelier
commerce
L
hôte l atelier
atelier
atelier
commerce
Les bandes bâties sont desservies par un réseau de coursives. Elles courent tous les 4,5 mètres de hauteur, nécessitant un palier d’adaptation pour accéder aux niveaux de certains aménagements. Le traitement qualitatif des coursives offre des espaces d’appropriations et de rencontre des habitants et la mixité programmatique (logements, activités et petits équipements) leur fait jouer un rôle de "rues verticales". Ce principe assure aussi un espace intermédiaire qui individualise l'accès aux espaces habitables.
Coupe schématique _ SUBDIVISION DES PLATEAUX
chambre/sejou r
chamb re/s ejour
LV
commerce
R
commerce
Les modules de 6,6 par 12 par 9 mètres deviennent l’unité d’aménagement de la superstructure. Lorsque l’on souhaite réaliser une opération dans un "îlotpont", on acquiert un certain nombre de modules, dont le nombre et l’emplacement sont prédéfinis en lots. Le foncier n’est plus considéré au sol et en surfaces, mais en trois dimensions et en modules. Ce système offre une totale modularité d'aménagement lors de la conception du projet, mais surtout dans le temps.
LV
atelier
R
N
bureau
chambre
STUDIO : 32m²
séjour
chambre 3
chambre 4
chambre 4
chambre 3
cuisi ne
chambre 2
0
20
cuisi ne
chambre 1
chambre 1
chambre 2
LOGEMENT T5 : 104m²
T1
Plan de rez-de-chaussée 1/1000 _ ACCROCHE DE L'ÎLOT-PONT A TRAVERS UN ÎLOT OUVERT Coupe T1 1/1000 _ IMBRICATION D'UN PROGRAMME MIXTE AUTOUR DU PASSAGE TRAVERSANT L'ÎLOT
séjou r
PRINCIPE DE MIXITÉ PROGRAMMATIQUE Coupe T2 1/1000 _ AMÉNAGEMENT DE L'INFRASTRUCTURE openspace
openspace
bureau
accueil
salle de réunion
BUREAUX : 340m²
Plans 1/500 _ EXEMPLES D'AMÉNAGEMENTS DE LA STRUCTURE
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UNE COUTURE URBAINE Projet de fin d'études : A. Pélissier_ENSAPVS_2008/2011
ATLAS_Île-de-France Mutabilité et évaluation du potentiel de logement en renouvellement urbain DOCUMENT STRATEGIQUE ET PROSPECTIF 1_Le contexte francilien au regard du territoire d’intervention de l’EPFIF : - Les sites d’intervention de l’EPFIF dans les grandes dynamiques franciliennes (SDRIF et Grand Paris), - La croissance urbaine sur le territoire d’intervention de l’EPFIF (démographie, revenus et fiscalité, économie, emploi, attractivité, - L’évolution du mode d’occupation des sols (extension urbaine, création d’habitat, mutation des tissus), - La construction de logements (éléments de contexte et la déclinaison locale des objectifs de construction). 2_La déclinaisons et l'analyse des objectifs de production de logements sur le territoire de pleine compétence de l’EPFIF : - Les objectifs de production annuelle de logements (chiffrage/localisation), - L'extrapolation de la production de logement au regard d’une classification selon le Mode d’Occupation du Sol, - L'étude de l’évolution des MOS. MISSION DE L'ETUDE
TERRITOIRE D'INTERVENTION DE L'EPFIF
ATLAS DE MUTABILITE (exemple de fiche)
L'étude est commanditée par l’Établissement Public Foncier d’Île-de-France et réalisée au Cycle d'Urbanisme de Sciences-Po en groupe de sept (Justine Audrain, Hélène Cordier, Gaëlle Houël, Anna Kern, Romain Sarry et Charlotte Vaury). L'étude se compose de trois parties : - un document stratégique et prospectif, qui analyse les dynamiques de la mutabilité et chiffre le potentiel de création de logements en renouvellement urbain en l'Île-de-France, - un atlas de mutabilité du territoire, qui classe les différentes situations urbaines en fonction des critères pertinents : MOS, densité, distance à Paris et desserte, aménités, démographie, marché immobilier... et défini les enjeux, les problématiques et les spécificités de leur mutabilité future, - des projets urbains, qui illustrent les situations urbaines définies dans l'atlas en cherchant la viabilité opérationnelle des projets et leur acceptabilité morphologique vis-à-vis de leur environnement.
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REGENESIS_New York Décadence et renaissance d'une ville DECADENCE . . . Au cours du XXIe siècle, la surconsommation humaine et toutes les activités hyper-développées n’ont eu de cesse de produire toujours plus de pollution. La machine terrestre s’est brusquement emballée vers les années 2060, où les anomalies climatiques se sont multipliées. Dans un laps de temps très court des variations du climat ont provoqué un réchauffement fulgurant de la température de la planète. Les zones terrestres les plus basses, se sont vues littéralement submergées par la montée du niveau des eaux et d’autres plus reculées se sont violement asséchées et désertifiées. Toutes les constructions humaines on été ruinées par ces boulversements et on radicalement réduit la population mondiale. Une grande partie des espèces animales et végétales ont définitivement disparu de la surface de la terre…
PROGRAMME DU PROJET Le thème du séminaire optionel est la ville dans la science-fiction, à travers le regard du cinéma. L'objectif du projet est de réaliser la maquette d'une ville imaginaire en se servant des éléments filmographiques présentés en cours, de dessins, BD, oeuvres-d'art... tournant autour de la représentation réelle ou fictive de la ville. Il faut pour cela travailler sur la création d'un scénario de ville original ayant un caractère d'anticipation sur le futur. La maquette doit par un travail du choix des matériaux, de la peinture, de la lumière et/ou du son... retranscrire un projet de ville fictif, utopique voire poétique.
NEW YORK REGENESIS Licence 3_Ville & Cinéma : D. Jourdin_ENSAPVS_2006/2007
. . . RENAISSANCE! Les édifices ne pouvaient plus être entretenus par leurs habitants, car ils ne disposaient plus des moyens nécessaires de production (énergie, matériaux, techniques, …). Au début du XXIIe siècle les villes ont ressurgi sur les ruines du passé. Se construisant de manière empirique en fonction des milieux, elles utilisent précautionneusement les matériaux issues de la végétation qui s’est redéveloppé. Petit à petit de nouvelles sociétés se forment et s’organisent en fonction de valeurs neuves plus justes et plus durables, basées sur la solidarité et l’échange, nécessaires dans la situation.
Une ville : NEW YOR CITY. Le sol a disparu sous les eaux, seuls subsistent à la surface les restes des tours de l’ancienne ville. Sur ces ruines immergées se construit une nouvelle cité à travers un réseau de liens tentaculaires et de noyaux de vie. Elle utilise les structures du passé comme un nouveau sol où l’on vient non seulement accrocher les nouvelles constructions, mais aussi comme une nouvelle terre où l’on cultive les denrées nécessaires à la vie de la communauté. Les façades des tours ont laissé apparentes les structures internes et les plateaux des étages, sur lesquels un humus s’est constitué propice à la culture. Le nouveau réseau de la ville qui se développe dans les trois dimensions de l’espace, est constitué de circulations formées de lianes et autres branches, tressées ensemble. Elle connecte entre eux, à la manière de synapse, les différents éléments de la cité. Les noyaux de vie sont des cocons où se regroupent toutes les autres activités de la ville sans hiérarchisation ni ségrégations. Tous les lieux sont égaux, sans valeur foncière et librement utilisables par tous, puisque chacun à la possibilité d’en augmenter la taille en construisant des surfaces supplémentaires.
Intersection tronconique, Gordon Matta-Clark
Devant le miroir, Andy Goldsworthy
Habitat, Nils Udo
Neurone
Fleur de coton
Rockefeller Center Office Building 780 Third Avenue Citicorp Center Pan Am Building Health Center 1160 America Avenue World Tech Center Chrysler Building Empire State Building
Extrait du plan de Midtown Manhattan _ GRATTE-CIEL SUBSISTANT EN RUINES
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Maquette _ PLATEAUX DE CULTURE
Maquette _ MIDTOWN MANHATTAN LES PIEDS DANS L'EAU, LA VIE HUMAINE REPREND EN S'APPUYANT SUR LES GRATTE-CIELS
Maquette _ NOEUDS D'HABITATION
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Maquette _ ENTRE L'EMPIRE STATE Maquette _ ENTRE LE CITICORP CENTER ET LE CHRYSLER BUILDING ET LE PANAM BUILDING
Maquette _ ENTRE LE ROCKEFELLER CENTER ET LE PANAM BUILDING
NEW YORK REGENESIS Licence 3_Ville & Cinéma : D. Jourdin_ENSAPVS_2006/2007
SPHERE FLOTTANTE Cellule d'habitation de loisir autonome et mobile
SPHÈRE GÉODÉSIQUE A MONTRÉAL, B. FULLER
PROGRAMME DU PROJET Projet réalisé en groupe avec trois autres étudiants de 4e année : Ana Burdiel, Marion Hermil et Victor Fabre. L'objectif du projet était de concevoir une cellule d'habitat innovante de dimensions réduites afin d'en résoudre tout les aspects constructifs. Les points cléf de la structure sont décrits via des plans et coupes techniques commentés et des détails de contruction.
ENVELOPPE EN ETFE DE L'EDEN PARK, N. GRIMSHAW
La Shpère Flottante est une cellule d'habitation de loisir pour deux personnes permettant de séjourner pour de courtes durées sur une étendue d'eau calme : étang ou lac. Celle-ci est accessible et peut être déplacée par une embarcation motorisée. Elle peut être amarrée en un point fixe ou laissée à la dérive. En effet, la sphère composant la membrane extérieure est autonome de la coque habitable, lui permettant de rouler et d'avancer sur l'eau. Sa structure reprend la géométrie d'une sphère géodésique, ici dans sa plus simple forme: l'icosaèdre tronqué ou ballon de foot. Réalisée avec des tubes d'acier et des assemblages Mero, il s'agit d'une structure tridimensionnelle sur deux plans assurant son indéformabilité. Elle est close en surface par des cousins en ETFE qui sont : résistants, imperméables, souples, légers et non adhérents (auto-lavables). La coque habitable glisse sur les roulements à billes se trouvant sur la structure externe et fonctionne à l'instar d'un culbuteau, en conservant l'équilibre horizontal du fait de sa masse abaissée. Elle est construite sur une armature composée de six cintres liaisonés en acier, sur lesquels sont visées des plaques métalliques embouties formant le fond concave. L'aménagement est réalisé avec une structure en bois recouverte de mousse viscoelastique et de la toile pour les gradins, sur laquelle sont vissés les éléments des sanitaires et de la cuisine en panneaux de Corian. Le mobilier est rétractable dans les espaces de la coque afin de dégager l'espace lorsqu'il n'est pas utilisés.
SPHÈRE FLOTTANTE Master 1_Construction : S. Perez Arroyo_ETSAM_2007/2008
ENVELOPPE FLOTTANTE ET ROTATIVE AUTOUR DE LA CARÈNE
ICOSAÈDRE TRONQUÉ = 20 HÉXAGONES + 12 PENTHAGONES
CELLULE D'HABITATION MINIMALE COCON DE REPOS ET LOISIR
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carène d'habitation
réseau externe
réseau interne
noeuds de roulement
coussins en ETFE
Modèle 3D _ COMPOSITION ET STRUCTURE DE L'ENVELOPPE
ROULEMENT A BILLE
Coupe technique 1/100 _ STRUCTURE TRIDIMENTIONELLE DE LA SHPÈRE GÉODÉSIQUE
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Détail 1/10 _ NOEUD ET ROULEMENT A BILLE
ASSEMBLAGE DE TYPE MERO
Détail 1/10 _ OUVRANT DE LA MEMBRANE
SPHÈRE FLOTTANTE Master 1_Construction : S. Perez Arroyo_ETSAM_2007/2008
revêtements d'aménagement
Détail.a 1/20 _ RAIL D'ECRAN
Détail.b 1/20 _ ANCRAGES AU SOL
Détail.c 1/20 _ SUPPORT HAMAC
c structures d'aménagement
a
MOBILIER CORIAN
Détail.d 1/20 _ LITS RETRACTABLES
Coupe 1/100 _ INTÉGRATION ET RANGEMENT DU MOBILER DANS LA COQUE OPTIMISANT L'ESPACE
plancher aluminium nid d'abeille
carénage de plaques embouties
d
b
1 - structure métalique 2 - mousse viscoélastique 3 - banquettes 4 - rouleaux range-hamacs 5 - structure des banquettes 7 - plancher plaques en aluminium 8 - écrans en toile sur cadre d'aluminuim 9 - rail des écrans 10 - mobilier en Corian 11 - plomberie 12 - supports d'encrage des lits 13 - pieds téléscopiques 14 - structure dépliante en accordéon des lits 15 - matelas fin escamotable
CUISIN E
MOBILIER PLIABLE
SdB
rail des ecrans rouleau range-hamac
CHAMBRE Mobiliers de cuisine et sanitaires en Corian sur une structure en bois Plancher en plaques d'aluminium nid d'abeille tapissé de mousse viscoélastique et de toile
armature secondaire
trappes SEJOUR banquettes hamac déplié table et banc escamotables
Citernes d'eau potable et d'eaux usées, batterie et installations éléctriques Lest en plomb apportant une inertie au basculement cintres de l'armature principale
Ecorché 3D _ ROLE D'INTERFACE TECHNIQUE ET D'APPROPRIATION DE L'INTÉRIEUR DE LA COQUE
SPHÈRE FLOTTANTE Master 1_Construction : S. Perez Arroyo_ETSAM_2007/2008
Plan 1/100 _ ESPACE UNIQUE SATISFAISANT A TOUS LES BESOINS DANS UN MINIMUM D'ESPACE
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